Archive pour le Tag 'chute'

Construction de maisons : vers une chute de 50 % de la demande

Construction de maisons : vers une chute de 50 % de la demande

La tendance était déjà mauvaise depuis le début de l’année et elle risque de devenir encore pire d’ici fin 2023. La demande de construction des maisons pourrait en effet diminuer de 50 % en 2023.

En cause d’abord sans doute la hausse des taux d’intérêt qui surenchérit le prix des maisons. Aussi un manque de solvabilité qui atteint de plus en plus une grande partie de la population. À noter aussi l’augmentation des coûts de construction. L’immobilier risque de connaître un véritable sinistre avec une forme d’assèchement de la demande. De quoi nourrir une crise encore plus grave dans les mois et les années à venir.

A fin juillet, sur un an, les ventes de maisons neuves étaient en chute de 40 %, à 71.800, selon les chiffres de Pôle Habitat FFB, la principale fédération du secteur, qui tenait jeudi 21 septembre sa convention nationale. En 2022, 96.000 unités avaient été vendues, à comparer à 122.000 sur une moyenne annuelle de long terme.

Chute productivité: en cause la faiblesse de l’industrialisation

Chute productivité: en cause la faiblesse de l’industrialisation

Comme souvent, il y a plusieurs facteurs explicatifs à la baisse inquiétante de la productivité en France. Parmi les facteurs conjoncturels on note la guerre en Ukraine, le Covid. Mais il y a des facteurs plus structurels comme la baisse de l’industrialisation depuis des années. La France crée bien des emplois mais ce sont surtout des emplois de services gourmands en main-d’œuvre. La richesse nationale augmente moins que les effectifs.

Entre fin 2019 et fin 2022, près de 1,1 million d’emplois nets se sont additionnés, soit une hausse de 4,3 %, alors que la valeur ajoutée dépasse à peine son niveau de fin 2019, en hausse de 1,2 %. Ce qui a contribué à ramener le taux de chômage à 7,2 % fin 2022.

Cette nouvelle croissance riche en emplois réjouit d’un côté mais inquiète d’un autre . En trois ans, la productivité par tête a baissé de 3,4 % en France. «On change de monde», résume Eric Heyer, le chef économiste de l’OFCE. Sur les dix dernières années, la productivité augmentait en moyenne de 0,85 % par an en France. La rupture de tendance est encore plus nette dans l’industrie manufacturière, avec une baisse de 7 % des gains de productivité depuis 2019.

Mis à part l’Espagne, aucun autre grand pays européen n’a enregistré une chute aussi brutale de sa productivité depuis le Covid.

Compte tenu de la faiblesse de la production du secteur industriel toujours inférieure de 7 % à l’avant-Covid, le nombre d’emplois aurait dû être inférieur de 350 000 à son niveau actuel de fin 2022 si la productivité était restée à son rythme tendanciel. «Il est possible que les entreprises gardent des équipes de réserve pour faire face aux arrêts maladie et à l’augmentation du turn-over. Mais là aussi, l’effet sera transitoire. Si cela devient la nouvelle norme, elles adapteront leur organisation», estime l’économiste Eric Heyer.

Mais d’après une étude du conseil d’analyse économique, rattaché à Matignon, il y a des facteurs plus structurels: la baisse de la formation en mathématiques et en sciences en général, et l’adéquation des compétences. «Nous sommes dans une situation étrange où jamais nous n’avons eu autant de salariés diplômés et pourtant la productivité baisse» abonde Denis Ferrand. Bref des formations mal adaptées aux besoins de l’économie. Donc des salariés moins bien qualifiés, ( Soudeurs par exemple) alors qu’on forme des armées de sociologues.

Immobilier: La chute se confirme

Immobilier: La chute se confirme

Jusque-là beaucoup d’observateurs se montraient discrets à propos de la crise qui est en train d’affecter l’immobilier. Une crise à la fois conjoncturelle mais aussi structurelle. Une crise conjoncturelle du fait de la raréfaction des crédits qui ont diminué de l’ordre de 50 %. Une conséquence directe de la hausse des taux décidés par la banque centrale européenne. Mais aussi une crise structurelle en raison de la folle envolée des prix au cours de ces 10 à 20 ans. Des prix qui écartent du marché nombre d’acquéreurs notamment les jeunes. Une crise qu’aborde clairement le journal les Échos

Tous les indicateurs virent au rouge vif sur le ou plutôt les marchés de l’immobilier d’habitation français. Le segment du logement ancien, qui restait à des niveaux élevés malgré une nette correction engagée l’an dernier, suscite de plus en plus d’inquiétudes.

Sur un an, à fin décembre 2023, la Fédération nationale de l’immobilier (Fnaim) table désormais sur une chute de 17 à 18 % de transactions, à 920.000 ou 930.000 ventes. Une estimation qui, selon Henry Buzy-Cazaux, président de l’Institut du management des services immobiliers (Imsi), « ne rend pas compte de la réalité ». « On a des chiffres impressionnistes, de quelques grands réseaux nationaux, mais pas d’indicateur unifié. Pour moi, la baisse est plutôt de l’ordre de 35 % », assure-t-il.

Secteur Immobilier : chute confirmée

Secteur Immobilier : chute confirmée

La production a chuté d’environ 50 % au premier semestre. La baisse des prix est amorcée mais est encore insuffisante pour relancer le marché. Les vendeurs ne veulent pas baisser de manière significative le prix, on attend 10 % sur l’année mais il faudrait 25 % pour relancer durablement l’activité. De leur côté, les acheteurs sont dans une position d’attente espérant des baisses significatives.Des baisses qui pourraient éventuellement provenir d’un éclatement d’ une bulle immobilière devenue préoccupante aussi bien dans l’immobilier commercial que dans l’immobilier de particuliers

La baisse de l’activité et des prix s’est accrue au premier semestre 2023 en dépit de l’effet traditionnellement dynamisant de la période printanière. Les relations se crispent entre acheteurs et vendeurs. Tous les territoires ne sont pas concernés de la même façon, révèlent les indices « Meilleurs Agents – Les Echos » du 1 er juillet.

Ce n’est pas la chute libre mais les signes d’essoufflement de l’immobilier résidentiel tricolore s’intensifient . Le ralentissement du marché amorcé en début d’année, tant en termes d’activité qu’en prix, s’est accentué au deuxième trimestre. L’effet saisonnier et traditionnellement revigorant de la période printanière sur le secteur n’aura pas réussi cette fois-ci à renverser la vapeur.

Au 1er juillet, d’après les indices Meilleurs Agents – « Les Echos », sur six mois, les prix ont reculé de 0,4 % pour s’établir à 3.180 euros le prix moyen au mètre carré, France entière. « C’est la première fois depuis 2015 que l’on enregistre un semestre de baisse des prix à l’échelle de l’Hexagone », s’exclame Thomas Lefebvre, directeur scientifique de Meilleurs Agents.

Immobilier : chute confirmée

Immobilier : chute confirmée

La production a chuté d’environ 50 % au premier semestre. La baisse des prix est amorcée mais est encore insuffisante pour relancer le marché. Les vendeurs ne veulent pas baisser de manière significative le prix, on attend 10 % sur l’année mais il faudrait 25 % pour relancer durablement l’activité. De leur côté, les acheteurs sont dans une position d’attente espérant des baisses significatives.

La baisse de l’activité et des prix s’est accrue au premier semestre 2023 en dépit de l’effet traditionnellement dynamisant de la période printanière. Les relations se crispent entre acheteurs et vendeurs. Tous les territoires ne sont pas concernés de la même façon, révèlent les indices « Meilleurs Agents – Les Echos » du 1 er juillet.

Ce n’est pas la chute libre mais les signes d’essoufflement de l’immobilier résidentiel tricolore s’intensifient . Le ralentissement du marché amorcé en début d’année, tant en termes d’activité qu’en prix, s’est accentué au deuxième trimestre. L’effet saisonnier et traditionnellement revigorant de la période printanière sur le secteur n’aura pas réussi cette fois-ci à renverser la vapeur.

Au 1er juillet, d’après les indices Meilleurs Agents – « Les Echos », sur six mois, les prix ont reculé de 0,4 % pour s’établir à 3.180 euros le prix moyen au mètre carré, France entière. « C’est la première fois depuis 2015 que l’on enregistre un semestre de baisse des prix à l’échelle de l’Hexagone », s’exclame Thomas Lefebvre, directeur scientifique de Meilleurs Agents.

Prix immobilier : tendance à la chute

Prix immobilier : tendance à la chute


La Fédération nationale de l’immobilier (Fnaim) a constaté Une chute de 15 % des transactions sur un an et une nette tendance à la baisse des prix.

En juin, la fédération a constaté une chute de 15% des transactions immobilières sur un an, « soit la deuxième plus forte baisse annuelle des ventes depuis 1990 », rappelle l’organisme. Ce brusque coup de frein au marché immobilier a d’ailleurs déjà provoqué une hausse de 84% des faillites d’agences immobilières entre le premier trimestre 2022 et le premier trimestre 2023.
la baisse du problème est bien l’accès au crédit. Selon la Fnaim, « le moral des ménages montre qu’ils ne sont plus du tout dans une dynamique d’achat »

Et pour cause : les taux d’intérêt des crédits immobiliers ont été multipliés par trois en 18 mois, pour atteindre 3,5% sur 25 ans en moyenne en juin. « Jamais nous n’avons connu une hausse des taux d’emprunt aussi rapide », alerte le président de la fédération qui affirme que sur 18 mois, les Français ont perdu 40.000 euros de capacité d’achat, soit 4% de leur capacité de 2022.

Le retournement visible, depuis quelques mois, n’en est qu’à ses débuts selon la Fnaim qui anticipe une baisse de la capacité d’achat des Français de 7,5% en 2023. « Les taux ne pourront pas baisser au vu de la situation en Europe liée à l’inflation », regrette Loïc Cantin qui affirme que la seule solution pour un retour à la normale des transactions immobilières est la baisse des prix. « Elle sera inéluctable », martèle-t-il.

Ainsi, la Fnaim s’attend à une chute de 5% de la moyenne des prix en 2023 et même de 6 à 7% pour celui des maisons. En prenant en compte l’inflation estimée à 5% pour le restant de l’année, la fédération estime la baisse du capital immobilier des Français à 10% en 2023 et « cette dynamique va se poursuivre en 2024 », ajoute inquiet son président.

Immobilier : la chute continue

Immobilier : la chute continue

Du faîte de folle des prix, de la montée des taux d’intérêt passé de 1 % à 3 % et bientôt à 4 % et surtout de la baisse du pouvoir d’achat nombre de candidats à l’accession à la propriété non plus la solvabilité nécessaire. Du coup l’immobilier s’écroule et la crise du logement va devenir très grave pour l’ensemble du secteur.

Le secteur tout entier neuf et occasion, achat ou location constitue une bombe qui pourrait exploser. En effet la cible des éventuels acquéreurs se réduit de plus en plus compte-tenu de leur manque de solvabilité. Une crise de solvabilité nourrie par la baisse du pouvoir d’achat, l’augmentation des taux d’intérêt et la folle envolée des prix de l’immobilier. Quant à la location elle est notamment aussi affectée par les nouvelles normes kafkaïennes et très coûteuses qui découragent les propriétaires de louer les appartements qu’il possède. Finalement en fin d’année on risque de constater une baisse des emprunts de leur de 40 à 50 %.

Pascal Boulanger, le président de la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI), prévient, d’une manière plus pressante que «l’année 2023 sera catastrophique». Début avril, Olivier Salleron, le président de la Fédération française du bâtiment (FFP), avait, lui, souligné que «100.000 emplois étaient menacés dans la construction». De fait, la crise est globale et affecte tout le secteur, depuis l’achat dans le neuf et l’ancien à la location.

Au-delà de leur impact économique, les graves difficultés que connaît actuellement l’immobilier risquent d’engendrer une crise sociétale si les Français ne parviennent plus à se loger correctement. De quoi envisager «une bombe sociale», un terme évoqué pour la première fois par Robin…

C’est la douche froide pour les Français qui souhaitent acheter un logement pour le louer. Longtemps bien aimés des banques, les investisseurs se voient aujourd’hui barrer la route du crédit. Elles ne leur prêtent plus ou peu. Et même avec un apport substantiel d’argent frais, ils ne parviennent tout simplement plus à obtenir un crédit. «Les clients veulent acheter. Ils en ont la capacité. Mais quand on dépose un dossier de prêt tout devient plus compliqué», indique Samuel Berrih, agent immobilier pour le réseau de mandataires Keller Williams à Paris. Les établissements financiers ont fermé les vannes. «Certaines banques nous disent qu’elles ne veulent même pas étudier de nouveaux dossiers», poursuit le professionnel.

Chute de 25,3% des prêts personnels

Chute de 25,3% des prêts personnels


En raison notamment de l’explosion de l’inflation et des taux d’intérêt, les prêts personnels, crédits à la consommation non affectés à un bien en particulier, ont chuté au premier trimestre de 25,3% sur un an, a annoncé lundi l’Association française des Sociétés Financières (ASF).

Avec près de 95 milliards d’euros d’encours à fin décembre, les prêts personnels représentent quasiment la moitié des encours du crédit à la consommation, selon la Banque de France. Les crédits affectés à l’amélioration de l’habitat et aux biens d’équipement du foyer se sont quant à eux maintenus sur le trimestre (+3,9%) et les crédits renouvelables ont bénéficié de circonstances favorables. (+11,1%). Ce volume de production ne dit en revanche rien sur la qualité des emprunteurs.

Qualifiant la conjoncture actuelle de «défavorable», l’ASF faisait remarquer dans un document paru en début de mois que la qualité de la demande des crédits à la consommation poursuivait son effritement avec des «premiers impayés (qui) augmentent légèrement».

zone euro, la chute de la productivité témoigne aussi de la médiocrité des emplois

zone euro, la chute de la productivité témoigne aussi de la médiocrité des emplois

En zone euro, la productivité, c’est-à-dire la richesse produite par emploi, est très loin d’avoir retrouvé son niveau d’avant crise. Selon une nouvelle étude d’Allianz Trade dévoilée ce jeudi 4 mai, les gains de productivité sont en chute libre en zone euro. En cause la désindustrialisation mais aussi des emplois de moindre qualité notamment dans les services.

. Les économistes d’Allianz évoquent des phénomènes de « rétention » dans certains secteurs. Pendant la pandémie, de nombreux Etats européens ont mis en place des mesures d’urgence pour soutenir les entreprises et les salariés. Parmi les dispositifs employés, le chômage partiel a notamment permis d’éviter une hécatombe et des destructions de postes par millions. « Il y a sûrement eu des rétentions de main d’œuvre dans certains secteurs », a déclaré l’économiste de l’OFCE, Eric Heyer, lors d’un point presse.

« L’industrie n’a pas ajusté l’emploi à la conjoncture. Notamment dans la fabrication du matériel de transport, les entreprises ont préféré attendre une baisse des tensions sur l’approvisionnement des pièces plutôt que de débaucher , a-t-il ajouté. Dans les services, il y a sans doute un moindre recours aux heures supplémentaires ». La poursuite des aides aux entreprises a pu favoriser le maintien « d’entreprises zombies ». « Beaucoup d’entreprises ont été maintenues sous perfusion et auraient dû faire faillite sans les aides », a indiqué Mathieu Plane également économiste à l’OFCE.

L’autre facteur avancé par quelques économistes est le volume de travail par salarié. «Malgré les tensions sur le marché du travail, la durée du travail n’est pas revenue à son niveau d’avant crise. Cela permet de créer du travail », a ajouté Mathieu Plane. Le chercheur a également pointé le développement de l’apprentissage en France qui a sans doute contribué à la baisse de la productivité dans les entreprises. En effet, les apprentis sont comptabilisés dans les effectifs des entreprises alors qu’ils passent un volume de temps important en formation.

Enfin, les emplois créés peuvent également jouer en défaveur de la productivité. L’expansion des emplois de services aux entreprises (marketing, communication et à la personne (santé, enfance, vieillesse, livraisons) en Europe ne peuvent pas vraiment contribuer à améliorer les gains de productivité contrairement aux emplois industriels.

En outre, la précarisation du marché du travail avec des emplois de faible qualité et des revenus peu valorisés ne permettent pas non plus d’améliorer les gains de productivité alors que la rotation de la main d’œuvre est souvent élevée sur certains postes. Reste à savoir si le paradoxe d’une faible croissance riche en emplois va se prolonger.

Marchés Financiers : CAC au plus haut……….. Avant la chute ?

Marchés Financiers : CAC au plus haut……….. Avant la chute ?

Nouveau record historique du CAC curieusement au moment où le fonds monétaire international révise encore à la baisse les perspectives de croissance pour 2023; En particulier aux États-Unis ou le scénario de récession n’est plus exclu compte tenu de la politique monétaire très restrictive. Au moment aussi où l’inflation s’envole partout pour plomber le pouvoir d’achat des ménages, la consommation et la croissance. Après la hausse de mardi, les bourses internationales ont d’ailleurs commencé à enregistrer mercredi une baisse qui pourrait s’amplifier. La Bourse de New York, qui avait d’abord bien accueilli un ralentissement de l’inflation américaine, a finalement terminé dans le rouge alors que le compte rendu de la dernière réunion de la Fed a remis sur la table la possibilité d’une légère récession aux Etats-Unis. Le Dow Jones a cédé 0,11 %, le Nasdaq a perdu 0,85 % et le SP 500 0,41 %. Le Cac enregistre mercredi +0,09% vers les 7.397 points nouveau record et encore +0.50% vendredi, encore nouveau record ).

En fait pour le record de hausse, il s’agit surtout d’un pari sur l’arrêt de la hausse des taux d’intérêt des banques centrales. Un pari risqué. Un record qui s’explique aussi par de bizarres mouvements de yo-yo provoqués par des prises de bénéfices ou inversement des placements massifs sur des valeurs dites porteuses. Bref un jeu qui ressemble un peu au casino. En effet il se pourrait bien que dans les semaines qui viennent la chute soit d’autant plus douloureuse car les fondamentaux économiques ne peuvent expliquer ce nouveau record.

Le CAC 40, indice phare de la place parisienne, a donc touché ce mardi 11 avril un nouveau plus haut historique en séance, à 7.403, 67 points, battant ainsi son précédent record du 6 mars dernier. Et encore un nouveau record vendredi.

Le gain est ainsi de plus de 14 % depuis janvier, contre 9% pour l’indice Stoxx 600 (600 premières capitalisations européennes).

Finances : CAC au plus haut……….. Avant la chute ?

Finances : CAC au plus haut……….. Avant la chute ?

Nouveau record historique du CAC curieusement au moment où le fonds monétaire international révise encore à la baisse les perspectives de croissance pour 2023; En particulier aux États-Unis ou le scénario de récession n’est plus exclu compte tenu de la politique monétaire très restrictive. Au moment aussi où l’inflation s’envole partout pour plomber le pouvoir d’achat des ménages, la consommation et la croissance. Après la hausse de mardi, les bourses internationales ont d’ailleurs commencé à enregistrer mercredi une baisse qui pourrait s’amplifier. La Bourse de New York, qui avait d’abord bien accueilli un ralentissement de l’inflation américaine, a finalement terminé dans le rouge alors que le compte rendu de la dernière réunion de la Fed a remis sur la table la possibilité d’une légère récession aux Etats-Unis. Le Dow Jones a cédé 0,11 %, le Nasdaq a perdu 0,85 % et le SP 500 0,41 %. Le Cac enregistre mercredi +0,09% vers les 7.397 points nouveau record et encore +0.50% vendredi, nouveau record ).

En fait pour le record de hausse, il s’agit surtout d’un pari sur l’arrêt de la hausse des taux d’intérêt des banques centrales. Un pari risqué. Un record qui s’explique aussi par de bizarres mouvements de yo-yo provoqués par des prises de bénéfices ou inversement des placements massifs sur des valeurs dites porteuses. Bref un jeu qui ressemble un peu au casino. En effet il se pourrait bien que dans les semaines qui viennent la chute soit d’autant plus douloureuse car les fondamentaux économiques ne peuvent expliquer ce nouveau record.

Le CAC 40, indice phare de la place parisienne, a donc touché ce mardi 11 avril un nouveau plus haut historique en séance, à 7.403, 67 points, battant ainsi son précédent record du 6 mars dernier. Le gain est ainsi de plus de 14 % depuis janvier, contre 9% pour l’indice Stoxx 600 (600 premières capitalisations européennes).

A la clôture, le CAC 40 a clôturé en hausse de 0,89% à 7.390,28 points, son plus haut depuis début janvier 202

Finances: Marchés : CAC au plus haut……….. Avant la chute ?

Marchés financiers : CAC au plus haut……….. Avant la chute ?

Nouveau record historique du CAC curieusement au moment où le fonds monétaire international révise encore à la baisse les perspectives de croissance pour 2023; En particulier aux États-Unis ou le scénario de récession n’est plus exclu compte tenu de la politique monétaire très restrictive. Au moment aussi où l’inflation s’envole partout pour plomber le pouvoir d’achat des ménages, la consommation et la croissance. Après la hausse de mardi, les bourses internationales ont d’ailleurs commencé à enregistrer mercredi une baisse qui pourrait s’amplifier. La Bourse de New York, qui avait d’abord bien accueilli un ralentissement de l’inflation américaine, a finalement terminé dans le rouge alors que le compte rendu de la dernière réunion de la Fed a remis sur la table la possibilité d’une légère récession aux Etats-Unis. Le Dow Jones a cédé 0,11 %, le Nasdaq a perdu 0,85 % et le S&P 500 0,41 %. Le cac enregistre mercredi +0,09% vers les 7.397 points nouveau record et encore +0.50% vendredi ).

En fait pour le record de hausse, il s’agit surtout d’un pari sur l’arrêt de la hausse des taux d’intérêt des banques centrales. Un pari risqué. Un record qui s’explique aussi par de bizarres mouvements de yo-yo provoqués par des prises de bénéfices ou inversement des placements massifs sur des valeurs dites porteuses. Bref un jeu qui ressemble un peu au casino. En effet il se pourrait bien que dans les semaines qui viennent la chute soit d’autant plus douloureuse car les fondamentaux économiques ne peuvent expliquer ce nouveau record.

Le CAC 40, indice phare de la place parisienne, a donc touché ce mardi 11 avril un nouveau plus haut historique en séance, à 7.403, 67 points, battant ainsi son précédent record du 6 mars dernier. Le gain est ainsi de plus de 14 % depuis janvier, contre 9% pour l’indice Stoxx 600 (600 premières capitalisations européennes).

A la clôture, le CAC 40 a clôturé en hausse de 0,89% à 7.390,28 points, son plus haut depuis début janvier 202

Marchés financiers : CAC au plus haut……….. Avant la chute ?

Marchés financiers : CAC au plus haut……….. Avant la chute ?

Nouveau record historique du CAC curieusement au moment où le fonds monétaire international révise encore à la baisse les perspectives de croissance pour 2023; En particulier aux États-Unis ou le scénario de récession n’est plus exclu compte tenu de la politique monétaire très restrictive. Au moment aussi où l’inflation s’envole partout pour plomber le pouvoir d’achat des ménages, la consommation et la croissance. Après la hausse de mardi, les bourses internationales ont d’ailleurs commencé à enregistrer mercredi une baisse qui pourrait s’amplifier. La Bourse de New York, qui avait d’abord bien accueilli un ralentissement de l’inflation américaine, a finalement terminé dans le rouge alors que le compte rendu de la dernière réunion de la Fed a remis sur la table la possibilité d’une légère récession aux Etats-Unis. Le Dow Jones a cédé 0,11 %, le Nasdaq a perdu 0,85 % et le S&P 500 0,41 %. Le cac enregistre mercredi +0,09% vers les 7.397 points nouveau record ).

En fait pour le record de hausse, il s’agit surtout d’un pari sur l’arrêt de la hausse des taux d’intérêt des banques centrales. Un pari risqué. Un record qui s’explique aussi par de bizarres mouvements de yo-yo provoqués par des prises de bénéfices ou inversement des placements massifs sur des valeurs dites porteuses. Bref un jeu qui ressemble un peu au casino. En effet il se pourrait bien que dans les semaines qui viennent la chute soit d’autant plus douloureuse car les fondamentaux économiques ne peuvent expliquer ce nouveau record.

Le CAC 40, indice phare de la place parisienne, a donc touché ce mardi 11 avril un nouveau plus haut historique en séance, à 7.403, 67 points, battant ainsi son précédent record du 6 mars dernier. Le gain est ainsi de plus de 14 % depuis janvier, contre 9% pour l’indice Stoxx 600 (600 premières capitalisations européennes).

A la clôture, le CAC 40 a clôturé en hausse de 0,89% à 7.390,28 points, son plus haut depuis début janvier 202

Finances: CAC au plus haut……….. Avant la chute ?

Finances: CAC au plus haut……….. Avant la chute ?

Nouveau record historique du CAC curieusement au moment où le fonds monétaire international révise encore à la baisse les perspectives de croissance pour 2023; En particulier aux États-Unis ou le scénario de récession n’est plus exclu compte tenu de la politique monétaire très restrictive. Au moment aussi où l’inflation s’envole partout pour plomber le pouvoir d’achat des ménages, la consommation et la croissance.

En fait, il s’agit surtout d’un pari sur l’arrêt de la hausse des taux d’intérêt des banques centrales. Un pari risqué. Un record qui s’explique aussi par de bizarres mouvements de yo-yo provoqués par des prises de bénéfices ou inversement des placements massifs sur des valeurs dites porteuses. Bref un jeu qui ressemble un peu au casino. En effet il se pourrait bien que dans les semaines qui viennent la chute soit d’autant plus douloureuse car les fondamentaux économiques ne peuvent expliquer ce nouveau record.

Le CAC 40, indice phare de la place parisienne, a donc touché ce mardi 11 avril un nouveau plus haut historique en séance, à 7.403, 67 points, battant ainsi son précédent record du 6 mars dernier. Le gain est ainsi de plus de 14 % depuis janvier, contre 9% pour l’indice Stoxx 600 (600 premières capitalisations européennes).

A la clôture, le CAC 40 a clôturé en hausse de 0,89% à 7.390,28 points, son plus haut depuis début janvier 2022.

Economie-Croissance: Une chute de consommation

Economie-Croissance: Une chute de consommation

La hausse des prix plombe le pouvoir d’achat et la consommation , cette dernière elle-même pèse de manière négative sur la croissance. Officiellement, l’inflation reculerait de 0,8 % par rapport au mois précédent mais demeurerait particulièrement forte en particulier dans l’alimentation où les prix dérapent de 20 à 25 % ( officiellement plus de 14%). Mécaniquement, la consommation des ménages chute de façon significative de plus de 4 % sur un an et la croissance avec.( La consommation représente autour de 55 % du PIB) .

La consommation des ménages. Cette dernière a reculé, en février, de 0,8% par rapport au mois précédent. Au total, sur un an, par rapport à février 2022, la consommation des ménages a chuté de 4,1%.

Dans le détail, les dépenses de consommation des ménages ont pâti d’un net repli de 1,2% des achats de biens alimentaires, tant des produits agricoles qu’agroalimentaires, après un rebond revu à la hausse de 1,7% en janvier.

En outre, les achats de biens fabriqués ont, eux, chuté de 0,9%, principalement sous l’effet du recul des dépenses en biens durables tels que les automobiles, les meubles, les appareils électriques ou ménagers.

La consommation en énergie est, elle, restée quasi stable (+0,1%), la hausse de la consommation de gaz et d’électricité étant contrebalancée par une nette diminution pour les carburants.

12345...17