Archive pour le Tag 'chiffrage'

Chiffrage des programmes: la guerre des économistes ou des médecins de Molière ?

Chiffrage des programmes: la guerre des économistes ou des médecins de Molière ?

Après l’affrontement entre les politiques défenseurs chacun de leur programme politique, c’est au tour des technos ou supposés tels de descendre dans l’arène pour justifier les chiffrages des programmes. Il s’agit en fait de donner un vernis scientifique à des promesses électorales élaborées à la hâte.

Le problème, c’est qu’on assiste à la même opposition entre les partisans d’une politique de relance par la consommation et les partisans d’une relance par la demande. Mais avec la même approximation car on oublie le plus souvent d’articuler les conséquences systémiques entre le social et l’économie.

Ajoutons aussi que l’économie n’est pas véritablement une science exacte mais plutôt une science molle qui a trop tendance à prolonger les courbes antérieures. En outre, les économistes pour beaucoup sont beaucoup trop politisés entre approche  libérale et approche étatiste voire entre approche ultralibérale et approche marxiste.. Beaucoup trop d’économistes se parent de vertus scientifiques dans un domaine très aléatoire où il est difficile de prévoir les interactions complexes et multiples. Et pour masquer cette difficulté les docteurs de l’économie se cachent derrière le masque des médecins de Molière en sollicitant les discours  de latin de cuisine. La vérité c’est que le chiffrage des programmes sont très hypothétiques car on ignore notamment ce que seront les perspectives de croissance, d’emploi de dépenses et de recettes fiscales. En outre il y a évidemment à prendre en compte l’articulation avec la problématique internationale.

Les économistes sont utiles car ils questionnent la réalité et son évolution mais il ne saurait se transformer en Madame Soleil surtout quand ils sont influencés par des courants idéologiques.

Chiffrage des programmes: la guerre des économistes ou des médecins de Molière ?

Chiffrage des programmes: la guerre des économistes ou des médecins de Molière ?

Après l’affrontement entre les politiques défenseurs chacun de leur programme politique, c’est au tour des technos ou supposés tels de descendre dans l’arène pour justifier les chiffrages des programmes. Il s’agit en fait de donner un vernis scientifique à des promesses électorales élaborées à la hâte.

Le problème, c’est qu’on assiste à la même opposition entre les partisans d’une politique de relance par la consommation et les partisans d’une relance par la demande. Mais avec la même approximation car on oublie le plus souvent d’articuler les conséquences systémiques entre le social et l’économie.

Ajoutons aussi que l’économie n’est pas véritablement une science exacte mais plutôt une science molle qui a trop tendance à prolonger les courbes antérieures. En outre, les économistes pour beaucoup sont beaucoup trop politisés entre approche  libérale et approche étatiste voire entre approche ultralibérale et approche marxiste.. Beaucoup trop d’économistes se parent de vertus scientifiques dans un domaine très aléatoire où il est difficile de prévoir les interactions complexes et multiples. Et pour masquer cette difficulté les docteurs de l’économie se cachent derrière le masque des médecins de Molière en sollicitant les discours  de latin de cuisine. La vérité c’est que le chiffrage des programmes sont très hypothétiques car on ignore notamment ce que seront les perspectives de croissance, d’emploi de dépenses et de recettes fiscales. En outre il y a évidemment à prendre en compte l’articulation avec la problématique internationale.

Les économistes sont utiles car ils questionnent la réalité et son évolution mais il ne saurait se transformer en Madame Soleil surtout quand ils sont influencés par des courants idéologiques.

Programme Bardella: Exercice réussi sur la forme mais flou sur le chiffrage et le calendrier

Programme Bardella: Exercice réussi sur la forme mais flou sur le chiffrage et le calendrier

 

 

Indiscutablement Bardella  a réussi personnellement l’exercice de présentation de son programme. Affichant sérieux, calme et détermination le candidat est RN a réussi son examen d’accès comme prétendant national. Il a repris le programme déjà connu mais en adoucissant certains angles un peu trop saillant et détendu le calendrier.

Il y aura les mesures d’urgence qu’il envisage puis un deuxième temps pour des réformes plus importantes reportées à plus tard. Sur la calendrier même ce deuxième temps pourrait se révéler assez flou compte tenu des complexités juridiques ( droit du sol par exemple pour la nationalité) . Il y a aussi l’hypothèque de l’audit financier sur les prochaines réformes. Une manière par avance de reporter la responsabilité de l’annulation de certaines réformes sur le pouvoir actuel. Enfin et peut-être surtout c’est l’insuffisance de chiffrage financier qui fait défaut. On voit mal le bouclage économique de toutes les mesures notamment sociales annoncées. Mais Bardella la aura quand même réussi son examen de respectabilité et de candidat reconnu aux plus hautes responsabilités.

 

Pour les mesures considérées comme les plus urgentes, Jordan Bardella veut qu’une session parlementaire extraordinaire soit organisée pour voter la baisse de la TVA sur l’ensemble des produits énergétiques. Une circulaire sera envoyée à la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) pour contrôler que la baisse est « effective ». Il souhaite aussi renégocier au niveau européen les règles de fixation des prix de l’électricité.

Législatives et chiffrage des programmes : la guerre des économistes ou des médecins de Molière ?

Législatives et chiffrage des programmes: la guerre des économistes ou des médecins de Molière ?

Après l’affrontement entre les politiques défenseurs chacun de leur programme politique, c’est au tour des technos ou supposés tels de descendre dans l’arène pour justifier les chiffrages des programmes. Il s’agit en fait de donner un vernis scientifique à des promesses électorales élaborées à la hâte.

Le problème, c’est qu’on assiste à la même opposition entre les partisans d’une politique de relance par la consommation et les partisans d’une relance par la demande. Mais avec la même approximation car on oublie le plus souvent d’articuler les conséquences systémiques entre le social et l’économie.

Ajoutons aussi que l’économie n’est pas véritablement une science exacte mais plutôt une science molle qui a trop tendance à prolonger les courbes antérieures. En outre, les économistes pour beaucoup sont beaucoup trop politisés entre approche  libérale et approche étatiste voire entre approche ultralibérale et approche marxiste.. Beaucoup trop d’économistes se parent de vertus scientifiques dans un domaine très aléatoire où il est difficile de prévoir les interactions complexes et multiples. Et pour masquer cette difficulté les docteurs de l’économie se cachent derrière le masque des médecins de Molière en sollicitant les discours  de latin de cuisine. La vérité c’est que le chiffrage des programmes sont très hypothétiques car on ignore notamment ce que seront les perspectives de croissance, d’emploi de dépenses et de recettes fiscales. En outre il y a évidemment à prendre en compte l’articulation avec la problématique internationale.

Les économistes sont utiles car ils questionnent la réalité et son évolution mais il ne saurait se transformer en Madame Soleil surtout quand ils sont influencés par des courants idéologiques.

Chiffrage des programmes -–la guerre des économistes ou des médecins de Molière ?

Chiffrage des programmes -–la guerre des économistes ou des médecins de Molière ?

Après l’affrontement entre les politiques défenseurs chacun de leur programme politique, c’est a,tour des technos ou supposés tels de descendre dans l’arène pour justifier les chiffrages des programmes. Il s’agit en fait de donner un vernis scientifique à des promesses électorales élaborées à la hâte.

Le problème, c’est qu’on assiste à la même opposition entre les partisans d’une politique de relance par la consommation et les partisans d’une relance par la demande. Mais avec la même approximation car on oublie le plus souvent d’articuler les conséquences systémiques entre le social et l’économie.

Ajoutons aussi que l’économie n’est pas véritablement une science exacte mais plutôt une science molle qui a trop tendance à prolonger les courbes antérieures. En outre, les économistes pour beaucoup sont beaucoup trop politisés entre approche libérale et approche étatiste. Beaucoup trop d’économistes se parent de vertus scientifiques dans un domaine très aléatoire où il est difficile de prévoir les interactions complexes et multiples. Et pour masquer cette difficulté les docteurs de l’économie se cachent derrière le masque des médecins de Molière en sollicitant les discours  de latin de cuisine. La vérité c’est que le chiffrage des programmes sont très hypothétiques car on ignore notamment ce que seront les perspectives de croissance, d’emploi de dépenses et de recettes fiscales. En outre il y a évidemment à prendre en compte l’articulation avec la problématique internationale.

Les économistes sont utiles car ils questionnent la réalité et son évolution mais il ne saurait se transformer en Madame Soleil surtout quand ils sont influencés par des courants idéologiques.

Chiffrage législatives–la guerre des économistes ou des médecins de Molière ?

Chiffrage législatives–la guerre des économistes ou des médecins de Molière ?

Après l’affrontement entre les politiques défenseurs chacun de leur programme politique, c’est a,tour des technos ou supposés tels de descendre dans l’arène pour justifier les chiffrages des programmes. Il s’agit en fait de donner un vernis scientifique à des promesses électorales élaborées à la hâte.

Le problème,c’est qu’on assiste à la même opposition entre les partisans d’une politique de relance par la consommation et les partisans d’une relance par la demande. Mais avec la même approximation car on oublie le plus souvent d’articuler les conséquences systémiques entre le social et l’économie.

Ajoutons aussi que l’économie n’est pas véritablement une science exacte mais plutôt une science molle qui a trop tendance à prolonger les courbes antérieures. En outre, les économistes pour beaucoup sont beaucoup trop politisés entre approche libérale et approche étatiste. Beaucoup trop d’économistes se parent de vertus scientifiques dans un domaine très aléatoire où il est difficile de prévoir les interactions complexes et multiples. Et pour masquer cette difficulté les docteurs de l’économie se cachent derrière le masque des médecins de Molière en sollicitant les discours  de latin de cuisine. La vérité c’est que le chiffrage des programmes sont très hypothétiques car on ignore notamment ce que seront les perspectives de croissance, d’emploi de dépenses et de recettes fiscales. En outre il y a évidemment à prendre en compte l’articulation avec la problématique internationale.

Les économistes sont utiles car ils questionnent la réalité et son évolution mais il ne saurait se transformer en Madame Soleil surtout quand ils sont influencés par des courants idéologiques.

« Le chiffrage économique est secondaire » ! ( Macron)

  « Le chiffrage économique est secondaire » ! ( Macron)

 

 

 

Gonflé le jeune président qui n’a cessé de bassiner la France à propos de la valeur des critères de l’union européenne en matière de gestion budgétaire. À telle enseigne même qu’avant le mouvement des gilets jaunes, il a très sévèrement sermonné l’Italie pour ses dérapages budgétaires. Mais devant les députés Macron a retourné sa veste « Dans les moments de crise, le chiffrage est secondaire », Et le chef de l’Etat a insisté:  »Je veux que les mesures soient appliquées pleinement, rapidement et efficacement ». Autrement dit, sans être étalées dans le temps comme le ministère des Finances l’avait voulu pour la baisse de la taxe d’habitation et la ristourne sur les cotisations sociales. Une critique très directe de Bercy, du ministre des finances le maire, du ministre du budget Darmanin. D’une certaine manière Macron répond aussi à la pression de l’aile gauche de son mouvement en marche qui considère que Bercy depuis le début du quinquennat tient un peu trop les rênes pouvoirs. Évidemment les mesures prises par Macron et ses propos ne vont pas renforcer la position de la France en Europe. Pire elle risque de discréditer complètement le plan Macron pour réanimer la zone euro. Un plan déjà toute façon largement hypothéquée par les réticences allemandes. Pour parler clair, Macron a mit le temps de l’orthodoxie budgétaire dans sa poche. Lui, le champion de la rigueur, finalement fait comme l’Italie. De toute manière, sa politique économique avec échoué. En réduisant par la fiscalité de façon substantielle le pouvoir d’achat des ménages il a tué la croissance en 2018. Son revirement idéologique doit beaucoup aux gilets jaunes mais aussi à cet échec patent de la politique économique.

Présidentielle 2017 : Marine Le Pen sort chiffrage de coin de table

Présidentielle 2017 : Marine Le Pen sort chiffrage de coin de table

 

Beaucoup attendaient avec impatience le chiffrage financier du programme de Marine Le Pen. Un chiffrage tout à fait approximatif qui relève d’un calcul de coin de table fait  dans un bistrot. Pour schématiser la candidate du Front National propose le retour de la retraite à 60 ans, la diminution des impôts, une augmentation des salaires de 200 €, l’augmentation des retraites, des effectifs publics supplémentaires, l’abandon de l’euro et nombre d’autres promesses généralement non quantifiées. Le tout aboutissant on ne sait par quel miracle à une dépense supplémentaire de 40 milliards quand il faudrait en compter au moins 100 mais compensées par des économies dont on ne sait pas comment elle serait réalisées d’un montant encore plus hypothétique de 60 milliards. Et comme Benoît Hamon pour son revenu universel,  on sollicitera l’avis du peuple avec des référendums. Une manière de couvrir d’un voile pudique supposé démocratique l’incohérence économique totale. De toute évidence le front onds national est fâché depuis longtemps avec l’économie et avec les chiffres. La vérité c’est que ce pseudo programme conduirait à la catastrophe financière d’abord tout simplement par ce qu’une monnaie nationale entraînerait immédiatement un différentiel de change avec les principales monnaies notamment l’euro. Soit une perte de l’ordre 20 % qui ce répercuterait sur le pouvoir d’achat, sans parler de l’augmentation considérable de l’endettement car la France devrait alors emprunter à des taux exorbitants à la fois pour rembourser sa dette et pour financer fonctionnement et investissement. Un programme plus près de celui du syndicat gauchiste « sud » (solidaires) que de celui d’un parti de gouvernement avec en plus l’enflure sémantique pour combler le vide sidéral des moyens nécessaires pour atteindre les objectifs. La présidente du FN s’en tient à des slogans une France « libre », « sûre », « prospère », « juste », « fière », « puissante » et « durable ». Face à la question centrale des mutations structurelles en cours le FN propose  une structure : « un secrétariat d’État dédié aux mutations économiques ». De quoi sourire si la question n’était pas aussi dramatique.

 

MEDEF : un chiffrage qui discrédite les propositions

MEDEF : un chiffrage qui discrédite les propositions

 

Le MEDEF fait d’abord une erreur d’agenda, d’une certaine manière ses propositions sabotent par avance les propos de Hollande et de Valls qui veulent rassurer une majorité difficilement trouvable. Une bavure vite réparée (en partie !) car l’annonce officielle a été décalée après les diverges réactions. Surtout c’est le chiffrage qui discrédite les mesures. C’est la énième annonce du MEDEF quant à la création du million d’emplois. Des emplois qui devaient être créés suite au CICE et au pacte de responsabilité. Maintenant conditionnés par les nouvelles propositions ! Exemple : la suppression de deux jours fériés : 1% de croissance en plus ?  Mais d’après  l’étude de l’Insee faite en juin 2012 sur ce sujet. L’Institut de la statistique affirmait en effet, dans ce rapport qui portait sur la période 2011-2014, que l’impact des jours fériés sur la croissance n’était, en moyenne, guère plus élevé que -0,1%. Donc théoriquement un impact de 0.2%. Ou encore 20 000 emploi au lieu de 100 000. Même chose concernant le temps de travail, ses modalités ou encore pour les seuils sociaux. Certes, les chose doivent bouger ( c’est vital)  les Français doivent travailler plus et surtout être plus nombreux à travailler car le nombre d’inactifs plombent les comptes sociaux et la fiscalité sans parler du drame social. Les résultats en terme d’emplois ne sont pas aussi mécaniques que ce qu’annonce le Medef car tout dépend en fai t de l’environnement économique, de la demande, des carnets de commandes. Le Medef emploie les mêmes méthodes que le gouvernement ou les partis politiques avec des annonces quantifiées illusoires et approximatives. Il devrait s’en tenir à demander davantage d’allégement sur le coût du travail, les procédures,  plus de productivité. Enfin éviter come le gouvernement de faire des annonces au coup par coup qui rendent illisible la cohérence globale.

Pacte de responsabilité : 300 000 emplois en plus ? Un chiffrage ésotérique

Pacte de responsabilité : 300 000 emplois en plus ? Un chiffrage ésotérique

D’abord ord on est loin du compte, loin des 1 million d’emplois annoncés ici ou la (y compris par Gattaz qui s’est un pris les pieds dans le tapis politicien), ensuite cette évaluation est très approximative pour ne pas dire ésotérique. Il s’agit d’une hypothèse haute, très haute même ; Si la réduction des charges est de 10 milliards, la crération d’emplois serait de 100 à 200 000 d’après  le Haut Conseil de la protection sociale, dans un document de travail dont l’AFP a obtenu copie lundi. L’impact sur l’emploi est « plus élevé lorsque l’allègement (des cotisations) est concentré sur les salaires modestes », souligne le Haut Conseil dans ce document, où sont détaillées des simulations à partir de trois scénarios « tests ».  Pour une réduction de cotisations patronales uniforme voisine de 0,5 point de PIB – soit 10 milliards d’euros -, « les effets sur l’activité à cinq ans s’étageraient ainsi entre 0,3 et 0,8 point de PIB, et les effets sur l’emploi de 134 000 à 214 000 emplois supplémentaires selon les modèles ». Un allègement uniquement sur les salaires moyens engendrerait sur cinq ans jusqu’à 37 000 emplois de plus qu’un allègement uniforme.  Pour un allégement concentré sur les bas salaires, l’impact obtenu sur l’emploi pourrait être majoré d’environ 160 000 selon l’une des simulations, par rapport au scénario d’allègement uniforme. Le « nombre d’emplois créés à cinq ans (…) pourrait alors passer à environ 300 000, si l’on ne tient pas compte du nécessaire financement de cet allègement ». Toutefois, « le mécanisme pur d’allègement du coût du travail, sans prise en compte des effets de sa compensation financière, joue de façon favorable, mais relativement circonscrite, sur l’activité économique et l’emploi », note le Haut Conseil. En outre, une compensation de ces allègements, par une hausse de la TVA ou de la CSG, affecterait le pouvoir d’achat et la consommation des ménages, ce qui réduirait les impacts potentiels sur l’activité et l’emploi, ajoute-t-il. Le Haut Conseil de la protection sociale ; En faiat on ne saura jamais mesurer l’effet du pacte de responsabilité –s’il voit le jour-. Le document évoqué fait en effet l’impasse sur la nécessité de restaurer les marges et donc d’abord de maintenir les effectifs actuels. Il fait aussi l’impasse sur les investissements, sur l’évolution de la productivité ; En fin de compte c’est l’évolution des commandes qui permettra d’ajuster les emplois et tout chiffrage de ce type est illusoire tellement il est complexe de faire le lien entre macro économie et micro économie.

 




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