Archive pour le Tag 'chez'

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Marion Maréchal chez Zemmour

Marion Maréchal chez Zemmour

La  nièce de Marine Le Pen sera présente dimanche au meeting de Toulon (Var) d’Eric Zemmour. Autant dire que cela vaudra un soutien officiel qui constitue une vraie rupture avec Marine Le Pen .

Ceci étant Marion Le Pen aura du mal à expliquer son soutien à sa tante au second tour. Comment en effet lui trouver des insuffisances au premier tour mais des qualités au second ? La vérité sans doute ce que Marion Maréchal Le Pen ne veut pas être à côté du phénomène Zemmour dans l’objectif est de faire éclater le Front National et même les républicains après les élections.

Mercato politique : Nicolas Bay transféré chez Zemmour

Mercato politique : Nicolas Bay transféré chez Zemmour

 

Encore un qui trahit son parti et pas n’importe qui:  le porte-parole de Marine Le Pen. Nicolas Bay rejoint donc Éric Zemmour. Une adhésion assez soudaine après avoir pendant des années défendu la ligne de Marine Le Pen et bénéficié de l’investiture du parti. Comme une sorte de révélation  ! Pas tout à fait car c’est un spécialiste du slalom politique au sein de l’extrême droite.

 

« J’ai décidé de m’engager pleinement aux côtés d’Éric Zemmour dans la campagne présidentielle car je crois profondément dans sa candidature, son projet et sa stratégie », affirme avec convictionsdans Le Figaro l’eurodéputé qui usait de la même conviction ces dernières années pour défendre la ligne politique de Marine Le Pen. « 

Dans cet entretien, Nicolas Bay dénonce aussi un Rassemblement national « intolérant à la moindre critique », Là encore une découverte un peu tardive. Nicolas Bay évoque les accusation d’espionnage industriel venues de son ancien parti. « Quand on veut noyer son chien, on l’accuse d’avoir la rage », réagit l’eurodéputé.  »Ce sont des accusations mensongères, et j’ai déposé plainte en diffamation. (…) En réalité, j’ai demandé à avoir une discussion franche, devant le bureau exécutif et en présence de Marine Le Pen, et pour toute réponse on m’en a suspendu ! » conlut-il.

Macron chez Poutine: du bluff ?

Macron chez Poutine: du bluff ?

 Comme c’était prévisible Macron n’a strictement rien obtenu de Poutine. Ce dernier n’a voulu faire aucune promesse. Il s’est d’ailleurs peu exprimé à propos de la rencontre avec Macron qui s’est lui-même chargé du service après-vente en survalorisant sa démarche.

 

Il est clair que Macron était fondé à rencontrer Poutine mais le problème est que les chances d’aboutir à des décisions concrètes étaient à peu près nulles car le vrai débat a lieu entre Biden et Poutine et passe largement au-dessus de la tête de l’Europe et de la France.

Cette rencontre a pu servir Poutine pour tenter de rendre les Européens plus bienveillants que Biden vis-à-vis de la Russie. Elle a aussi certainement eu pour objectif de servir la campagne de Macron qui veut toujours se donner l’image d’un leader mondial sur la scène internationale.

«La diplomatie, c’est le dialogue. Je reproche à la diplomatie française de ne pas avoir entretenu un dialogue exigeant avec la Russie», a également déclaré le chef de file des sénateurs LR, Bruno Retailleau sur Europe 1. «Fallait-il le faire ? (se rendre sur place, NDLR) Je pense que oui. (…) Maintenant je me méfie toujours des coups de bluff, d’esbroufe, d’Emmanuel Macron. Je pense qu’il fallait y aller, mais il revient bredouille avec une mise en scène à la Poutine extraordinaire – une salle froide comme la Sibérie et une table très longue pour ajouter de la distance physique», a-t-il encore fustigé.Notons que Macron a fait aussi encore une fois dans le en même temps en affirmant à Moscou que la Russie n’avait pas l’intention belliqueuse tandis que lorsqu’il était à Kiev il encourageait les ukrainiens à se montrer très sécurisant vis-à-vis de la politique agressive de la Russie

Avant transfert chez Macron, , Éric Woerth était le plus critique de la politique du pouvoir

Avant transfert chez Macron, , Éric Woerth était le plus critique de la politique du pouvoir

Avant son transfert, Éric Woerth  a été l’un des plus critique de Macron parmi les républicains. Le Figaro rappelle certaines de ses saillies contre le pouvoir qu’il vient de rejoindre.

 

Par exemple en En juillet 2017, à propos de la baisse des aides personnalisées au logement (APL) «Cinq euros ça fait mesquin, surtout pour ceux qui ont du mal à boucler leur fin de mois», confie-t-il alors au Point . Par ailleurs, l’ancien ministre du Budget reproche dans cette même interview que rien ne soit fait par le chef de l’État sur la réforme de l’indemnisation du chômage, de l’hôpital et des retraites «pour montrer qu’un travail sérieux a vraiment commencé».

 En septembre 2018, le député de l’Oise récidive en expliquant sur Public Sénat qu’Emmanuel Macron ne «fait pas» ce pour quoi il a été élu : «transformer le pays». Selon Éric Woerth, les réformes du président de la République sont celles «que tout gouvernement aurait faites et a faites. Il n’y a pas de rupture et les vieilles recettes continuent à être employées de façon encore plus cynique. C’est l’ancien monde mais en pire». Au Figaro , il expliquait par ailleurs que «ce n’est pas grave d’être impopulaire quand on fait les bonnes réformes. Macron est impopulaire pour de mauvaises raisons».

En novembre 2018, au moment de la crise des «gilets jaunes», Éric Woerth est également très critique de la façon dont est gérée cette ébullition sociale par le gouvernement. «Emmanuel Macron voulait une France apaisée, il risque de la faire imploser», regrette-t-il alors.

Interrogé sur la «lettre aux Français» d’Emmanuel Macron – publiée à l’occasion du grand débat national, en janvier 2019, et à la veille des élections européennes -, Éric Woerth estime que le président «dit vouloir transformer la colère en solutions, alors qu’il a lui-même transformé la croissance en colère!».

Ancien ministre du Travail puis du Budget de Nicolas Sarkozy, l’élu de l’Oise affirmait sur Radio Classique il y a trois ans que «Les Républicains sont la seule alternance possible à Emmanuel Macron dans le champ républicain».

En avril 2019, un mois avant les élections européennes, le francilien se demandait s’il n’y avait pas «une légère incohérence à reconnaître l’échec de l’ENA et à désigner sa directrice comme tête de liste aux européennes ?», en référence à la cheffe de file de la majorité, Nathalie Loiseau, et à la décision du président de transformer l’ENA en un Institut national du service public (INSP).

Interviewé dans Le Figaro , Éric Woerth explique en juillet 2019 que «la suppression de la taxe d’habitation reste l’erreur fondamentale du quinquennat». Tout en louant cependant une autre décision du locataire de l’Élysée : «Le gouvernement avait au départ exclu toute baisse de l’impôt sur le revenu, que nous préconisions, puis il a changé d’avis. Tant mieux!»

En décembre 2020, alors que l’économie française est fortement perturbée par la crise sanitaire, Éric Woerth explique que cette dernière n’est qu’un «prétexte au renoncement des réformes». Le député se disait alors inquiet pour «l’unité» du pays.

Par la suite, Éric Woerth s’est montré moins acerbe sur les actions menées par le président de la République. En septembre dernier, il décrit notamment dans Le Figaro une «euphorie dépensière» de la part de l’État, en précisant qu’il «ne critique pas les dépenses exceptionnelles», car il est selon lui «essentiel de soutenir l’économie et la reprise pour préparer la croissance de demain».


Un manque de culture économique dramatique chez les Français

Un  manque de culture économique dramatique chez les Français

Si l’on se fie au contenu de la campagne électorale, on constate que les candidats sont en adéquation avec l’opinion publique concernant leur insuffisance de culture économique. Pour preuve, ils font à peu près tous des promesses dont on se demande comment elles pourront être financées hormis évidemment par l’emprunt alors que l’endettement de l’État représente déjà environ 100 000 € par ménage !

Quand on parle d’économie budgétaire, le propos demeure très vague. Pour preuve de cette insuffisance de culture économique une étude Allianz plaçait l’Hexagone bon dernier des pays européens – l’Autriche et l’Allemagne se situant tout en haut du classement. Elle montrait que la moitié des Français maîtrisait les mécanismes de l’inflation et des taux d’intérêt, et seulement 9 % les concepts relatifs aux risques financiers. Ces résultats ne semblent pas être le fruit d’une désaffection pour la matière.

Dès lors, il paraît difficile d’engager des réformes structurelles permettant de retrouver une certaine compétitivité mais qui impose aussi de faire des choix et de réduire des dépenses improductives qui au surplus pour certaines ne rentrent pas dans le champ des missions régaliennes de l’État.

«Partygate»: consommation d’alcool excessive chez Boris Johnson

«Partygate»: consommation d’alcool excessive chez Boris Johnson

 

L ‘enquête interne sur les dérives des services du Premier ministre démontre une surconsommation d’alcool pour agrémenter les nombreuses fêtes organisées en totale contradiction avec les mesures d’hygiène contre la Covid. Bref, ça picole sec chez Boris Johnson qui lui-même ne s’est pas privé de participer à la fête. On peut se demander si cela n’a pas conduit à certains états éthyliques qui expliqueraient alors les positions incohérentes du Premier ministre tant vis-à-vis de la crise sanitaire que vis-à-vis du brexit. Deux sujets qui font l’objet d’une critique désormais assez majoritaire dans l’opinion britannique. Le document d’enquête parle de comportements «difficiles à justifier» et de rassemblements qui «n’auraient pas dû se tenir». Il dénonce notamment une «consommation excessive d’alcool pas appropriée dans un cadre professionnel». Sue Gray estime que des «leçons» doivent être tirées de ces événements par le gouvernement, sans attendre les résultats de l’enquête de police.

La hantise du déclin chez les catholiques ?

La hantise du déclin chez les catholiques ?

 

Le politiste Yann Raison du Cleuziou analyse, dans une tribune au « Monde », le succès d’Eric Zemmour auprès des militants catholiques, alors même que son obsession pour la théorie raciste du « grand remplacement » s’oppose aux positions du pape.

 

Tribune. 

 

Le parallèle était saisissant. Le dimanche 5 décembre 2021, en Grèce, le pape François tirait pendant la messe les leçons de sa rencontre avec les migrants parqués à Lesbos : « Je prie Dieu de nous réveiller de l’oubli de ceux qui souffrent, de nous secouer de l’individualisme qui exclut, de réveiller les cœurs sourds aux besoins des autres. » Il ajoutait encore : « Luttons à la racine contre cette pensée dominante, cette pensée qui se concentre sur son propre moi, sur les égoïsmes personnels et nationaux, qui deviennent la mesure et le critère de toute chose. »

En France, quelques heures plus tard, Eric Zemmour rassemblait ses partisans lors d’un meeting à Villepinte [Seine-Saint-Denis]. A la tribune, pour le soutenir, les différentes branches du catholicisme conservateur, jusqu’alors divisées entre le Rassemblement national et les Républicains, convergeaient : Laurence Trochu apportait le soutien du Mouvement conservateur (ex-Sens commun), Jean-Frédéric Poisson celui du Parti chrétien-démocrate (créé par Christine Boutin pour prolonger l’action du Forum des républicains sociaux) [et rebaptisé VIA, la voie du peuple, en 2020], enfin la Lyonnaise Agnès Marion engageait le Cercle Fraternité, jusqu’alors défenseur d’une politique familiale conservatrice au sein du Front national.

Sans doute ne faut-il pas perdre de vue que le catholicisme est un univers clivé et que les conservateurs n’en représentent qu’une sensibilité minoritaire. Mais, dans un contexte de déclin de la pratique religieuse, leur influence au sein de l’Eglise est croissante en raison de leurs familles nombreuses, au sein desquelles, tendanciellement, la foi se transmet avec plus de succès que dans l’aile gauche. Le succès d’Eric Zemmour auprès des militants catholiques nécessite donc d’être interrogé, car il peut avoir des effets durables sur le catholicisme français.

Comment expliquer que l’obsession du « grand remplacement » de l’ancien journaliste du Figaro, si antagoniste avec les positions du pape, ne freine pas le ralliement des catholiques ? Comment réduisent-ils la dissonance cognitive ? Celle-ci est potentiellement d’autant plus forte que Renaud Camus [le polémiste ayant popularisé cette théorie raciste] fut une figure de la cause homosexuelle avant de devenir le contempteur de la décadence nationale. Mais s’intéresser à la réception de son œuvre serait une fausse piste. En fait, la thématique est déjà acclimatée depuis longtemps dans les imaginaires du catholicisme de droite. Si les flux migratoires inquiètent tant, c’est parce qu’ils mettent à l’épreuve une faiblesse politique du christianisme, dont les catholiques conservateurs sont bien conscients et qu’ils tentent d’exorciser.

 

Le télétravail progresse chez les fonctionnaires… et le travail tout court ?

Le télétravail progresse chez les fonctionnaires… et le travail tout court ? 

 

D’après le gouvernement et la sous  ministre ad hoc Amélie de Montchalin , le télétravail progresserait chez les fonctionnaires. Il aurait même atteint un pic le 6 janvier. D’après la sousministre, les progrès seraient même considérables dans ce domaine; les effectifs concernés par le télétravail étant passés de 90 000 à plus de 400 000.

Rien de surprenant sans doute à cela car nombre de fonctionnaires, pas tous mais une grande partie, entretiennent une relation ésotérique avec le concept même de travail. Il est donc pas étonnant qu’ils saisissent l’opportunité du télétravail pour s’éloigner encore de ce concept.

Le télétravail dans la fonction publique progresse et un «pic historique» a été observé le jeudi 6 janvier, a estimé la ministre Amélie de Montchalin vendredi lors d’un déplacement à Bobigny (Seine-Saint-Denis). La semaine dernière, 38% des agents qui peuvent télétravailler l’ont fait «trois jours ou plus» contre 30% lors de la dernière période où le télétravail était obligatoire, «au printemps», a-t-elle affirmé, tandis que «68% d’entre eux ont télétravaillé au moins un jour» contre 55% au printemps.

La ministre avait fait part la semaine passée de sa volonté de faire appliquer le télétravail dans la fonction publique d’Etat.

Un suivi a lieu «chaque semaine» auprès du Premier ministre «pour que nous puissions détecter, anticiper, piloter cette continuité, pour nous assurer que les absences d’agents publics n’amènent pas à un service public dégradé pour les Français», a assuré Amélie de Montchalin.

L’ inflation favorise les ventes chez les discounters

L’ inflation favorise les ventes chez les discounters

 

 

À bas bruit souvent la hausse des prix se développe dans la consommation nombre de produits sont concernés. En cause évidemment la hausse des matières premières et de l’énergie sans parler des questions logistiques. Officiellement l’inflation aurait été autour de 3 % en France mais surnombre de produits, les hausses sont autrement importantes. Conséquence les consommateurs au pouvoir d’achat content ont tendance à délaisser la grande distribution traditionnelle pour se diriger vers les discounters .

Le panel Référenseigne de l’institut Kantar en donne la preuve. Au mois de décembre dernier, les Français ont plébiscité les discounters. Dans un marché dynamique – les dépenses courantes ont augmenté de 2,8 % par rapport à l’avant-crise sanitaire -, Lidl, Aldi et Leclerc ont gagné le plus de parts de marché (PDM) : respectivement 0,6 point, 0,4 point et 0,3 point pour atteindre chacun respectivement 6,9 %, 2,7 % et 22,9 %. À l’inverse dans les grandes marques de distribution les tendances sont à la stagnation voire à la baisse.

Parmi les facteurs explicatifs aussi, une moindre fréquentation des grands centres commerciaux du fait de la pandémie

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Conséquences de l’inflation : le développement des ventes chez les discounters

Conséquences de l’inflation : le développement des ventes chez les discounters

 

 

À bas bruit souvent la hausse des prix ce développe dans la consommation nombre de produits sont concernés. En cause évidemment la hausse des matières premières et de l’énergie sans parler des questions logistiques. Officiellement l’inflation aurait été autour de 3 % en France mais surnombre de produits, les hausses sont autrement importantes. Conséquence les consommateurs au pouvoir d’achat content ont tendance à délaisser la grande distribution traditionnelle pour se diriger vers les discounters .

Le panel Référenseigne de l’institut Kantar en donne la preuve. Au mois de décembre dernier, les Français ont plébiscité les discounters. Dans un marché dynamique – les dépenses courantes ont augmenté de 2,8 % par rapport à l’avant-crise sanitaire -, Lidl, Aldi et Leclerc ont gagné le plus de parts de marché (PDM) : respectivement 0,6 point, 0,4 point et 0,3 point pour atteindre chacun respectivement 6,9 %, 2,7 % et 22,9 %. À l’inverse dans les grandes marques de distribution les tendances sont à la stagnation voire à la baisse.

Parmi les facteurs explicatifs aussi, une moindre fréquentation des grands centres commerciaux du fait de la pandémie

« Mercato » politique 2022: Guillaume Peltier muté chez Zemmour

« Mercato » politique  2022: Guillaume Peltier muté chez Zemmour

 

Comme football le mercato politique est ouvert avec des mutations de certains responsables. Le dernier en date concerne Guillaume Peltier un habitué des changements de maillots puisqu’il aura été responsable au Front National, puis au MNR mouvement de Maigret puis au MPF mouvement de de Villiers en passant par l’UMP, puis les républicains et nombres de micros partis.

 

Bref l’archétype du mercenaire politique de droite ( il en existe aussi à gauche) qui certes n’aura pas réussi dans les affaires mais qui se sera fait une place en politique depuis maintenant une vingtaine d’années.

 

Et pour être élu ce responsable issu de la région parisienne a labouré le terrain des ploucs : en Touraine puis dans le Loir-et-Cher.

 

 Dernièrement il avait été exclu des organes dirigeants des républicains pour avoir signalé sa proximité avec Robert Ménard le maire de Béziers un autre itinérant de la politique passé lui de l’extrême gauche à l’extrême droite. Et récemment selon les sondages de Le Pen à Zemmour et réciproquement

EELV: Sandrine Rousseau joue les mouches à merde chez les écolos

EELV: Sandrine Rousseau joue les mouches à merde chez les écolos

 

Il est clair que Sandrine Rousseau a mal digéré d’avoir perdu les primaires chez les écolos. Sans doute pourquoi elle multiplie les peaux de banane sous les pieds de Yannick Jadot. Ce dernier s’est opposé à la proposition de Taubira pour organiser une « primaire populaire de la gauche ». L’occasion saisie par Sandrine Rousseau pour rejoindre l’idée de Taubira qui consiste en fait non pas à réunir la gauche mais la diviser encore davantage avec une candidature supplémentaire.

Sandrine Rousseau se moque  sans doute pas mal de l’union de la gauche voir même de l’avenir d’Europe écologie les Verts. Elle sert surtout les intérêts gauchistes du wokisme  tout autant que ses propres intérêts.

Yannick Jadot a maintes fois répété qu’il ne souhaitait pas participer à la primaire de la gauche proposée début décembre par la candidate socialiste, Anne Hidalgo. Chez les Verts, la pression continue malgré tout de monter pour un rassemblement de ce camp. «On ne peut pas continuer en ordre dispersé de cette manière-là, il nous faut une équipe», a considéré Sandrine Rousseau ce mardi matin sur France Inter.À matière de solidarité, cela ressemble surtout un joli croche-pied

ans cette primaire». Et de finir par un conseil particulièrement casse-gueule :«Je dis à Yannick : Vas-y, passe des coups de fil, et mettons-nous autour d’une table pour trouver la solution pour faire  équipe”».Sandrine Rousseau voudrait démontrer l’inutilité de la candidature de son leader qu’elle ne s’y prendrait pas autrement

 

Le porte-parole de Sandrine Rousseau (EELV) muté chez Mélenchon !

Le porte-parole de Sandrine Rousseau (EELV) muté chez Mélenchon !

 

Thomas Portes,  ncien communiste, ex-porte-parole de Sandrine Rousseau ( l’écolo très gauchiste battue par Jadot aux primaires) rejoint Mélenchon.( Interview Le Figaro)

 

INTERVIEW 

 - Ex-porte-parole de Sandrine Rousseau à la primaire des écologistes, avez-vous choisi votre candidat pour la présidentielle ?

Thomas PORTES. - Au regard de l’urgence, du danger à la fois d’un nouveau quinquennat d’Emmanuel Macron – avec les conséquences terribles que l’on imagine -, et le risque d’un basculement du pays dans l’extrême droite, je crois qu’il y a besoin de s’engager dans un projet de gauche qui peut être majoritaire et radical sur les questions sociales et écologiques. C’est ce que porte Jean-Luc Mélenchon. C’est pourquoi, j’ai décidé de rejoindre l’union populaire et sa campagne.

Yannick Jadot (EELV) n’incarne-t-il pas cette radicalité ?

J’ai beaucoup de respect pour Yannick Jadot qui mène depuis des années un combat sur les questions écologiques. Simplement, je pense que les réponses qu’il a aujourd’hui ne sont pas celles d’une remise en cause des logiques libérales du système. J’ai fait partie de cette génération qui a vu le mouvement progressiste d’Alexis Tsipras prendre le pouvoir en Grèce avant de se soumettre à l’Union européenne. Pour ma part, je partage ce que dit Jean-Luc Mélenchon : si on arrive au pouvoir, nous appliquerons notre programme et nous désobéirons aux traités européens. C’est une des différences avec Yannick Jadot.

Tendez-vous la main à Sandrine Rousseau ?

Je respecte son engagement aux côtés des écologistes et de Yannick Jadot. Je pense cependant que des passerelles sont à construire avec toutes celles et ceux qui portent aujourd’hui des projets politiques radicaux, de gauche, et qui mettent les questions sociales et écologiques au même niveau. Demain, nous aurons besoin de tous ces gens-là pour prendre le pouvoir et redonner de l’espoir à des millions de gens.

Êtes-vous toujours porte-parole de «Génération.s», mouvement qui soutient la candidature de Yannick Jadot?

Non, j’ai rendu mon mandat mercredi. Je garde beaucoup de respect pour cette organisation.

Vous rejoignez le «Parlement de l’union populaire» de Jean-Luc Mélenchon. Quel va être son rôle ?

C’est une démarche qui permet de tisser des ponts entre le mouvement politique et les mouvements sociaux, syndicaux, associatifs tout en respectant leur autonomie. Cela permet d’inclure des gens qui font de la politique au plus près du terrain, qui peuvent convaincre les citoyens d’aller voter. Nous avons besoin d’eux. C’est important de travailler ensemble et de construire des projets politiques. Nous avons besoin de toute cette effervescence, de ce bouillonnement de ces forces progressistes qui, en réalité, mènent le même combat.

Vous êtes un ancien communiste. Que pensez-vous de la candidature de Fabien Roussel (PCF) ?

Je trouve dommage que Jean-Luc Mélenchon et les communistes ne soient pas rassemblés, comme en 2012 et en 2017. À l’époque, nous avions levé un espoir immense dans la population, notamment chez les jeunes qui aujourd’hui ne votent pas. Je pense, j’espère, qu’on arrivera à se retrouver prochainement pour avoir une dynamique de campagne pour nous permettre de gagner. L’enjeu c’est d’exercer le pouvoir pour changer les choses.

Energies fossiles autorisées chez soi mais pas chez les autres !

Energies fossiles autorisées chez soi mais pas chez les autres !

Un curieux accord sur les énergies fossiles dont le développement ne devrait plus être encouragé à l’étranger mais qui pourront être exploité et utilisé nationalement. Cette déclaration ambiguë s’ajoute à une succession de promesses inédites formulées ces derniers jours à la COP26. Hier, la France avait notamment rejoint une autre coalition, baptisée Boga (Beyond oil and gas alliance). Portée par le Costa Rica et le Danemark, elle rassemble une quinzaine de pays et régions qui s’engagent à sortir progressivement à l’exploitation de gaz et de pétrole sur leur sol. Et jeudi dernier, presque 200 pays s’étaient engagés à sortir progressivement du charbon à partir de 2030, en stoppant tout « soutien à la création de nouvelles centrales ». Bref une succession d’engagements finalement assez contradictoire et peu contraignants. À noter que pour le charbon l’obligation d’abandon à terme a été remplacée par le mot réduction à la demande de la Chine et de l’Inde en particulier

Benalla: condamné à un an de résidence chez sa mère

Benalla:  condamné à un an de résidence chez sa mère 

En apparence, le jugement du tribunal a été beaucoup plus sévère que la proposition du parquet. Le parquet avait proposé en effet 18 mois de prison et finalement Alexandre benalla  a été condamné à trois ans dont deux avec sursis … et un an chez sa mère.

 

Concrètement on a du mal à distinguer le caractère plus sévère de la peine. De toute manière l’affaire n’est pas terminée puisque l’intéressé a évidemment fait appel.

 

Une histoire qui risque de finir en eau de boudin d’un puisque concrètement au pire Alexandre Benalla  risque au pire d’être contraint de résider chez sa mère au maximum un an.

 

Les faits sont graves évidemment notamment concernant l’usurpation d’autorité mais comme souvent le dossier se dilue dans le temps et finira vraisemblablement comme d’autres histoires politiques en eau de boudin. On a du mal à comprendre en effet que l’obligation théorique de résider chez une mère puisse constituer réellement une peine.

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