Archive pour le Tag 'cherche'

Centrales nucléaires EPR: on cherche financement !

Centrales nucléaires EPR: on cherche financement !

Il faudra sans doute attendre encore plus d’un an pour préciser les modalités de financement des nouvelles centrales annoncées. Un projet qui concerne dans un premier temps sixr EPR pour un montant de l’ordre de 80 milliards, coût du financement compris, et plus tard de huit autres d’un montant de 100 milliards.

Pourtant, il n’y a pas 36 solutions. L’État compte tenu de son déficit budgétaire et de sa dette abyssale ne peut évidemment financer directement ces centrales. Du coup, ne reste que l’hypothèse d’un emprunt par EDF garanti par l’État autant que par les recettes de l’incontournable augmentation de l’électricité dans les prix devraient doubler en dix ans.

C’est précisément pourquoi EDF a été récemment entièrement nationalisé. On peut se demander les raisons de l’attentisme du gouvernement à cet égard alors que la politique énergétique est un élément stratégique pour la compétitivité et la décarbonation.

Macron «Un adolescent qui se cherche» ( Zemmour)

Macron «Un adolescent qui se cherche» ( Zemmour)

 

 

 

Après ces remarques très acerbes sur le président de la république, Zemmour réitère et déclare «Emmanuel Macron, c’est exactement ce que j’ai voulu dire. Il est le grand vide. C’est un adolescent qui se cherche, on a l’impression d’un type qui n’est pas fini, on a l’impression de quelqu’un qui n’a les idées claires sur rien».

 Une déclaration dans la ligne de ce qu’il a déclaré lors de son premier meeting à Villepinte «La personne, Emmanuel Macron, ne nous intéresse pas, parce qu’elle est fondamentalement inintéressante. Trouvez-moi un seul Français dans le pays qui puisse expliquer la pensée d’Emmanuel Macron. Il n’y en a aucun, pas même lui. Personne ne sait qui il est, parce qu’il n’est personne». En réponse ,le porte-parole du gouvernement évoquele manque de sang-froid d’Éric Zemmour, qui se présente comme «quelqu’un qui dit que la France doit être maître de son destin, mais qui a parfois du mal à être maître de lui-même», en rappelant la séquence du doigt d’honneur du candidat, lors d’un déplacement chahuté à Marseille.

Erdogan cherche la provocation en Méditerranée

Erdogan cherche la provocation en Méditerranée

 

 

De toute évidence , Erdogan cherche la provocation pour redorer son blason terni par une crise économique et politique en Turquie. Ils provoque ainsi la Grèce et l’union européenne pour nourrir le sentiment nationaliste turc. Cette fois Erdogan annonce  une extension des opérations de recherche de pétrole près de Chypre. Le message de la Turquie éclaire «Nous déconseillons fermement de se rendre dans la zone de recherche», met en garde la marine turque . L’annonce de l’extension de ces opérations intervient dans un contexte de tensions croissantes en Méditerranée orientale, où la découverte ces dernières années d’importants gisements gaziers a aiguisé l’appétit de la Turquie.

La semaine dernière, Ankara a déployé le navire de recherche sismique Oruç Reis, escorté par des bâtiments de guerre, dans une zone revendiquée par la Grèce, suscitant la colère d’Athènes et la préoccupation de l’UE. L’Oruç Reis, qui a été déployé entre Chypre et l’île grecque de Crète, doit mener ses opérations jusqu’au 23 août.

Réagissant à l’annonce turque dimanche, le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell a appelé Ankara à cesser «immédiatement» ses recherches de gisements gaziers. L’extension des activités turques au large de Chypre accroît «regrettablement les tensions et l’insécurité», a ajouté M. Borrell dans un communiqué.

. La France, dont les rapports avec la Turquie se sont tendus ces derniers mois, a renforcé jeudi sa présence militaire en Méditerranée orientale pour soutenir Athènes.

Pont écroulé en Haute-Garonne: on cherche un lampiste !

Pont écroulé en Haute-Garonne: on cherche un lampiste !

 

L’enquête n’a même pas commencé que les autorités  publiques s’efforcent  déjà de désigner un lampiste comme à chaque fois lors des grandes catastrophes. Le préfet ou  la justice joue ainsi un rôle de protection vis-à-vis de l’État et du gouvernement. On l’a vu dans les dernières catastrophes notamment à Rouen, les représentants de l’État s’empressent de dégager la responsabilité qui pourrait gêner les décideurs. Ainsi le procureur de la république s’est-il dépêché de déclarer que la cause apparente de l’écroulement du de Mirepoix-sur-Tarn (Haute-Garonne) est due au camion. Un  l’effondrement qui a fait deux morts, une adolescente et le chauffeur du poids-lourd, a déclaré mardi le procureur de la République de Toulouse. Évidemment il n’en sait strictement rien, on le sera peut-être dans quelques mois où jamais ( comme souvent dans les accidents d’avions par exemple). Il est quand même difficile de comprendre que le pont autorisé à la circulation des poids-lourds a cédé sous  le poids de 50 t d’un camion comme s’il n’existait pas de très larges marges de sécurité. Quand le  poids est limité à 19 t, le pont ne s’écroule pas à 20 t et même à 50 t. Cela d’autant plus que quand plusieurs véhicules peuvent emprunter en même temps le pont. La vérité c’est qu’il y a aujourd’hui de grandes insuffisances quant à la surveillance des ouvrages d’art, que les méthodes d’investigation ne sont pas forcément adaptées aux infrastructures anciennes et que d’une manière générale la France se caractérise par un  laisser-aller global en matière d’entretien de ces équipements de transport. Faut-il signaler qu’en un an, la France a dégringolé du septième rang mondial au 18e. Il est clair que dans cette affaire, comme dans la plupart du même genre qui met en cause l’État ou des grandes entreprises très stratégiques, on va essayer de faire porter le chapeau à une petite entreprise et même au chauffeur du camion qui est décédé. Ce qu’on a fait à propos du terrible accident entre Rio et Paris en 2009.Le 4 octobre 2009, le syndicat des pilotes d’Air France (Spaf) affirmait pourtant  que les sondes Pitot ont joué un rôle essentiel dans le crash du vol AF447. Son président, Gérard Arnoux affirma que l’accident aurait « sans doute pu être évité » si les capteurs avaient été changés plus tôt. Le syndicat des pilotes fait remarquer en 2015 que Thales, dès 2006, avait écrit que « la vitesse, l’incidence et l’altitude sont des paramètres vitaux pour la sécurité des vols » et que « la perte de ces paramètres pouvait être la cause de crash d’avions, particulièrement en cas de givrage des sondes » . Notons que les sondes Pitôt ont ensuite été changées sur la plupart des appareils !

Le problème c’est que nombre de ponts anciens suspendus ne sont plus aptes à la circulation des poids-lourds et que le pont particulier de Mirepoix aurait sans doute dû être réservé à la seule circulation des automobiles. Il est vraisemblable que ce type de mesure sera pris dans les mois à venir. Ce qui n’empêchera pas de faire porter le chapeau au conducteur  du camion mort lors de l’écroulement du pont.

 

Pont effondré en Haute-Garonne: on cherche un lampiste, comme d’habitude

Pont effondré en Haute-Garonne: on cherche un lampiste, comme d’habitude

 

L’enquête n’a même pas commencé que les autorités  publiques s’efforcent  déjà de désigner un lampiste comme à chaque fois lors des grandes catastrophes. Le préfet ou  la justice joue ainsi un rôle de protection vis-à-vis de l’État et du gouvernement. On l’a vu dans les dernières catastrophes notamment à Rouen, les représentants de l’État s’empressent de dégager la responsabilité qui pourrait gêner les décideurs. Ainsi le procureur de la république s’est-il dépêché de déclarer que la cause apparente de l’écroulement du de Mirepoix-sur-Tarn (Haute-Garonne) est due au camion. Un  l’effondrement qui a fait deux morts, une adolescente et le chauffeur du poids-lourd, a déclaré mardi le procureur de la République de Toulouse. Évidemment il n’en sait strictement rien, on le sera peut-être dans quelques mois où jamais ( comme souvent dans les accidents d’avions par exemple). Il est quand même difficile de comprendre que le pont autorisé à la circulation des poids-lourds a cédé sous  le poids de 50 t d’un camion comme s’il n’existait pas de très larges marges de sécurité. Quand le  poids est limité à 19 t, le pont ne s’écroule pas à 20 t et même à 50 t. Cela d’autant plus que quand plusieurs véhicules peuvent emprunter en même temps le pont. La vérité c’est qu’il y a aujourd’hui de grandes insuffisances quant à la surveillance des ouvrages d’art, que les méthodes d’investigation ne sont pas forcément adaptées aux infrastructures anciennes et que d’une manière générale la France se caractérise par un  laisser-aller global en matière d’entretien de ces équipements de transport. Faut-il signaler qu’en un an, la France a dégringolé du septième rang mondial au 18e. Il est clair que dans cette affaire, comme dans la plupart du même genre qui met en cause l’État ou des grandes entreprises très stratégiques, on va essayer de faire porter le chapeau à une petite entreprise et même au chauffeur du camion qui est décédé. Ce qu’on a fait à propos du terrible accident entre Rio et Paris en 2009.Le 4 octobre 2009, le syndicat des pilotes d’Air France (Spaf) affirmait pourtant  que les sondes Pitot ont joué un rôle essentiel dans le crash du vol AF447. Son président, Gérard Arnoux affirma que l’accident aurait « sans doute pu être évité » si les capteurs avaient été changés plus tôt. Le syndicat des pilotes fait remarquer en 2015 que Thales, dès 2006, avait écrit que « la vitesse, l’incidence et l’altitude sont des paramètres vitaux pour la sécurité des vols » et que « la perte de ces paramètres pouvait être la cause de crash d’avions, particulièrement en cas de givrage des sondes » . Notons que les sondes Pitôt ont ensuite été changées sur la plupart des appareils !

Le problème c’est que nombre de ponts anciens suspendus ne sont plus aptes à la circulation des poids-lourds et que le pont particulier de Mirepoix aurait sans doute dû être réservé à la seule circulation des automobiles. Il est vraisemblable que ce type de mesure sera pris dans les mois à venir. Ce qui n’empêchera pas de faire porter le chapeau au conducteur  du camion mort lors de l’écroulement du pont.

 

 

«On cherche un économiste» (Alain Minc)

«On cherche un économiste» (Alain Minc)

 

Alain Minc , essayiste et conseiller des princes (‘ il  favorisé l’élection de Macron) cherche un homme (comme Diogène), un économiste moderne pour remplacer les grands anciens comme Friedman ou Keynes. Il n’a peut-être pas tort tellement la situation économique et financière est aujourd’hui complexe. Il n’est pas difficile de rendre hommage à Alain Minc  sur certaines interrogations puisque ce dernier aura tout dit et son contraire. Derrière son interrogation sur la remise en cause des théories économiques appliquées au contexte actuel se dissimule en fait l’idée  que les dérèglements actuels pourraient constituer à l’avenir la normalité. Comme par exemple le pseudo plein-emploi assuré surtout avec la précarité et les petits salaires, l’absence d’inflation avec le plein-emploi en oubliant de préciser que c’est le fruit des disparités des conditions de production sociale, sanitaire, fiscal et environnemental au plan mondial ;, comme le déficit budgétaire financé par les banques centrales en oubliant qu’on reporte à plus tard inflation et poids de la dette. Il est vrai qu’en dépit de la crise les profits n’ont jamais été aussi importants surtout en France ou encore 50 milliards de dividendes ont été distribués au cours d’un seul trimestre. Dès lors  pourquoi changer les tendances et imaginer une régulation plus juste et plus respectueuse socialement et environnementalement.  –«  Nous avons cru en des lois économiques qui se trouvent aujourd’hui invalidées par les faits. » Une affirmation de Minc  un peu rapide car la validation scientifique des faits doit prendre une période suffisamment longue et notamment la perspective d’une croissance zéro voire d’une récession en 2021. Aussi avons-nous besoin de grands penseurs à la hauteur de ces bouleversements, alerte l’essayiste.

Nous avons depuis cinquante ans été formés à respecter des tables de la loi économiques peu nombreuses mais très strictes: le plein-emploi crée l’inflation et celle-ci pousse les taux d’intérêt à la hausse. Le financement de l’État par une banque centrale est un anathème car facteur d’inflation. La création monétaire doit demeurer dans des limites raisonnables sous peine, là aussi, de nourrir l’inflation. Et enfin, plus globalement, une révolution technologique engendre des progrès de productivité qui constituent le meilleur adjuvant de la croissance. Les dix dernières années viennent de nous démontrer que ces principes fondateurs n’ont plus lieu d’être et nous sommes, dès lors, désemparés car privés de boussole macroéconomique. Nombre de pays occidentaux vivent, depuis quatre ou cinq ans, en plein-emploi – États-Unis, Royaume-Uni, Allemagne en particulier.  L’avantage de Minc  que c’est que dans un an ou deux, il pourra dire exactement le contraire avec la même conviction pour  que la réalité soit conforme à ses propos.

 

UE-nominations : on cherche des nuls pour faire l’unanimité

UE-nominations : on cherche des nuls pour faire l’unanimité

Les candidatures de deux ténors ont été balayées, celles de Manfred Weber, l’allemand,  et celle du -démocrate néerlandais Frans Timmermans qui semblaient pourtant  faire consensus. En faite le choix des nominations à la tête de l’Europe résulte d’un savant équilibre entre eux les intérêts de chaque pays, les tendances politiques et les personnalités. Par exemple comme la France ne veut pas d’un président de commission allemand, il faut bien se rabattre sur un responsable ni allemand ni français. (L’Allemagne ne veut pas non plus d’un Français comme président  de commission) Et ceci vaut pour d’autres postes. D’une façon générale,  on aura donc tendance à choisir des seconds couteaux sans grande personnalité afin qu’il puisse être toujours contrôlés par les Etats. C’est de cette façon que Juncker, la marionnette, avait été choisi. Et le bilan de ce dernier est assez catastrophique puisque sous sa présidence la cohésion de l’Europe s’est beaucoup affaiblie. Paradoxalement c’est peut-être la banque centrale européenne qui aura fait preuve de plus de personnalité avec Draghi, pourtant assez critiqué lors de sa nomination. Pour surmonter toutes ces contradictions, l’Europe pourrait bien se satisfaire de candidats venant par exemple de Malte ! En tout cas de pays ne pesant pas trop lourd dans l’Europe et de candidats assez transparents. Tout cela découle évidemment du mode d’élection des Européens choisis par pays.

Brexit: on cherche un habillage pour repousser la date

 Brexit: on cherche un habillage pour repousser la date

Officiellement, il n’est pas question de renégocier l’accord pour l’union européenne. Officiellement, il n’est pas question de l’accepter pour la Grande-Bretagne. Du coup, au lieu de parler de l’accord, on va se rabattre sur la déclaration politique qui accompagne cet accord. L’hypothèse la plus vraisemblable, c’est qu’on risque de repousser les échéances dans le temps. En effet la rupture entre l’union économique et la Grande-Bretagne est fixée au 29 mars. Une date beaucoup trop proche pour envisager une nouvelle négociation. Pour résumer, la déclaration politique pourrait donner du temps au temps. Ainsi le principe du Brexit  défendu par la Grande-Bretagne ne serait pas remis en cause de même que la volonté de l’union européenne de parvenir à une sortie organisée. En fait, l’échéance pourrait être reporté d’un an voir davantage. Cela va cela donnerait du temps aux Britanniques de se donner une majorité politique un peu cohérente. Cela éviterait aussi à l’union économique d’avoir à affronter le choc économique du Brexit à un moment où la conjoncture économique se tasse sérieusement. Michel Barnier réaffirmera  donc lundi à son interlocuteur Stephen Barclay, le ministre britannique chargé du Brexit qu’il rencontrera à Bruxelles, que l’UE ne renégociera pas l’accord de divorce mais qu’elle est prête à retravailler la déclaration politique qui l’accompagne. “J’ai hâte de rencontrer Steve Barclay lundi soir à Bruxelles”, a déclaré sur Twitter le négociateur en chef de l’Union européenne sur le retrait britannique, prévu le 29 mars. “L’UE ne rouvrira pas l’Accord de retrait. Mais je réaffirmerai que nous sommes prêts à retravailler la déclaration politique dans le respect total des principes du Conseil européen”, a-t-il ajouté. Le même message avait été adressé jeudi à la Première ministre Theresa May qui a rencontré à Bruxelles le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker et le président du Conseil européen Donald Tusk.

Européennes LaREM cherche ses candidats sur le Bon coin

Européennes LaREM cherche ses candidats sur le Bon coin

 Un peu invraisemblable cet appel de la république en marche, un appel à candidature pour gérer les élections européennes de mai prochain. Une sorte d’appel qui pourrait être relayé par le bon coin. Un peu comme pour les législatives ou n’importe quel candidat pouvait adresser son CV à un petit cercle autour de Richard Ferrand qui décidait de tout et qui d’ailleurs continue avec Castaner comme responsable du parti en marche. La preuve encore que ce parti en marche est une illusion ou un simple club de fans de Macron. Ce parti n’a jamais fonctionné, il ne dispose d’aucune structure locale ou régionale et les militants abreuvés de propagande par mail n’ont pas leur mot à dire, encore moins à décider de la liste qui sera présentée par Macron aux européennes. C’est la négation même du concept d’organisation démocratique d’un parti. Une sorte de club d’élites au sommet et une masse plus ou moins fictive en tout cas passive à la base. Une organisation complètement centralisée et verrouillée que souhaite Macron qui veut évitait toute contestation de sa posture jupitérienne. La République en marche (LaREM) a lancé mercredi, lors d’un meeting à Paris, un appel public à candidatures pour les élections européennes de mai prochain, en vue desquelles le mouvement présidentiel a recueilli les doléances des Français. Selon les résultats dévoilés, 69% des personnes interrogées “pensent que l’Europe a un impact concret sur leur quotidien”. L’euro comme monnaie unique, le programme d’études Erasmus et la libre-circulation sont plébiscités, à la différence des institutions européennes dont le “dysfonctionnement” est dénoncé par 85% des Français consultés.

Bref, pas vraiment une découverte. Et en face des insuffisances de l’Europe, les propositions d’en marche paraissent bien minces. Christophe Castaner a seulement décaler “Nous ne voulons plus des accords entre les grandes formations politiques européennes avant même que les citoyens aient voté”, a-t-il dit. Les citoyens intéressés par l’appel public ont jusqu’au 15 novembre pour se faire connaître sur le site en-marche.fr/je-candidate ou sur le BON Coin.  Il faut pour cela être “issu du milieu politique ou de la société civile, adhérant aux valeurs de La République en marche et voulant refonder l’Europe avec et pour 

Macron cherche un ministre de l’environnement sur le Bon coin

Macron cherche un ministre de l’environnement sur le Bon coin

 

 

Il est possible que Macron recrute un nouveau ministre de l’environnement sur le Bon coin. En effet, il ne sera pas facile de remplacer Nicolas Hulot qui parlait si bien de l’écologie même s’il agissait peu. Ce ne serait pas la première fois que Macron recrute par petites annonces au hasard de rencontres sulfureuses. C’est ainsi qu’il a procédé pour le recrutement de la plupart de ses députés qui bénéficient de la légitimité politique mais des  chèvres auraient pu être élues à leur place. Quand on entend ces députés, jeunes pour la plupart, on se demande un peu d’où ils sortent. De quelle légitimité politique ou sociale ils peuvent se prévaloir certes chacun dans son petit domaine a sans doute obtenu quelques résultats mais pour l’essentiel des résultats personnels qui n’ont qu’une relation approximative avec la prise en compte de l’intérêt général. Pour le recrutement de ses ministres, Macron a plutôt utilisé le hasard de ses rencontres. Celle par exemple qui lui a fait recruter Benalla, Ferrand, Koehler ou encore Bayrou tous impliqués dans des scandales. D’autres ministres recrutés avec le même hasard font moins parler d’aux. Pas étonnant ils ne servent à peu près rien. Hormis deux ou trois ministres qui émergent, les autres sont comme Hulot : inutiles.  Car macro décide tout même du montant du permis de chasse. À quand une rencontre avec le lobby des joueurs de pétanque ? L’affaire de la démission de Nicolas Hulot révèle en fait ce qu’est le macronisme a, une sorte d’opportunisme ramasse-tout soutenu par les lobbys notamment financiers en grande délicatesse, le mot est faible, avec les problématiques sociales et sociétales. Pour remplacer Hulot, pas de doute c’est encore sur le Bon coin qu’on trouvera le ministre opportuniste compatible avec le macronisme

Benalla: le pouvoir cherche des bouc- émissaires

Benalla: le pouvoir cherche des bouc- émissaires

 

 

 

Faute pouvoir mettre en cause le président de la république, le pouvoir cherche des boucs-émissaires. Il y aura sans doute le préfet de Paris qui d’ailleurs à été « chargé » par le ministre de la défense (et réciproquement) lors de l’audience de Colomb. Oui j’étais au courant a dit le préfet mais on m’a dit que l’affaire était gérée par l’Elysées. Autre personnalité visée, le directeur de cabinet de Macron qui a aurait infligé une sanction symbolique à Benalla. Ce dernier atteint d’ailleurs l’âge de la retraite. Sans doute à terme, le ministre de l’intérieur devra sauter tellement sa prestation a été lamentable devant la commission d’enquête de l’assemblée. Colomb a vraiment démontré qu’il n’avait pas le profil d’un ministre de l’intérieur surtout en matière d’autorité. On le verrait mieux à l’agriculture. On espère donc coté du pouvoir que cela suffira pour apaiser le climat politique car  l’onde de choc de l’affaire Alexandre Benalla a continué lundi à secouer la classe politique avec les premières auditions de la commission d’enquête parlementaire qui ont vu les autorités pointer du doigt les fautes individuelles de subalternes, sans apaiser une opposition bien décidée à en découdre. Le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, et le préfet de police de Paris, Michel Delpuech, se sont longuement exprimés devant la commission des Lois de l’Assemblée, dotée pour l’occasion de pouvoirs d’enquête sur ce dossier à l’origine de turbulences politiques sans précédent sous le quinquennat. Alexandre Benalla, un jeune conseiller d’Emmanuel Macron omniprésent pour tout ce qui concerne la sécurité du candidat et, dans la foulée, du président, a été filmé, coiffé d’un casque de police, en train de frapper un jeune homme et de malmener une jeune femme lors d’une manifestation le 1er mai. “Fondamentalement, ces événements résultent de dérives individuelles inacceptables, condamnables sur fond de copinage malsain”, a déclaré Michel Delpuech en visant explicitement trois policiers mis en examen dans cette affaire. Gérard Collomb, dont une partie de l’opposition demande la démission, a lui aussi rejeté toute responsabilité en affirmant que c’était à la préfecture et à l’Elysée de prendre des sanctions — Alexandre Benalla n’avait écopé en mai que de deux semaines de mise à pied après que l’Elysée eut été informée.

Air France-KLM : on cherche un président sur le Bon coin !

Air France-KLM : on cherche un président sur le Bon coin ! 

 

Situation vraiment surréaliste pour la compagnie aérienne dont d’abord le PDG a démissionné volontairement alors qu’il n’y était pas juridiquement contraint. Ensuite,  cette nomination d’un président intérimaire, une sorte d’innovation curieuse en manière de gouvernance. Enfin cette recherche laborieuse d’un nouveau président avec comme pour les candidats députés d’En marche, un recrutement sur candidature avec CV. Comme si dans le réservoir inépuisable des dirigeants français (ou étrangers), on ne connaissait nombre de personnalités compétentes capables de faire le job. Bref,  Macron continue de gérer la France et les entreprises comme une start-up. Le problème c’est qu’Air France n’est pas une start-up que son rôle est très stratégique et qu’il faut sauver l’entreprise dans l’intérêt national sinon le pavillon français disparaitra du ciel national, européen et mondial.  Réuni le 12 juillet, le conseil d’administration d’Air France-KLM a fait un point, par téléphone, sur la gouvernance, deux mois après la démission de Jean-Marc Janaillac à la tête du groupe le 15 mai et trois semaines seulement après les dissensions intervenues au sein du conseil d’administration à la suite du choix du comité de nomination de proposer le directeur financier de Veolia, Philippe Capron, comme PDG d’Air France-KLM. Un choix contesté par Delta Air Lines, actionnaire depuis un an d’Air France-KLM qui a poussé le comité de nomination, piloté par la présidente par intérim du groupe Anne-Marie Couderc, à reprendre le processus à zéro, en associant non seulement Delta mais aussi China Eastern, actionnaire comme la compagnie américaine à hauteur de 8,8% du capital d’Air France-KLM. Le futur Pdg devra évidemment convenir à ces deux actionnaires mais aussi l’État (14,7%). Sans surprise, il n’y a pas eu de fumée blanche à l’issue du conseil d’administration qui s’est déroulé le 12 juillet. Le Figaro avait annoncé le 9 juillet que Catherine Guillouard, la Pdg de la RATP, allait être nommée Pdg d’Air France-KLM cette semaine. Air France-KLM cherche toujours un Pdg détenant une solide expérience à l’international, connaissant le transport aérien ou l’aéronautique ou le transport en général, et si possible francophone. Les candidatures sont à adresser au bon Coin !

Catalogne : Madrid cherche l’incident

Catalogne : Madrid cherche l’incident

 

De toute évidence, Madrid cherche maintenant l’incident pour mettre au pas la Catalogne. Le Premier ministre espagnol fait preuve d’une hypocrisie particulièrement irresponsable. D’un côté,  il indique que  le président déchu de la Catalogne Carles Puigdemont pourra se présenter aux élections du 21 décembre mais de l’autre, ils le menacent de 15 à 30 ans de prison. Une bien curieuse façon de rechercher l’apaisement. Certes l’ancien président de la Catalogne n’est pas exempt de responsabilités puisqu’il a pris le risque d’un référendum sur l’indépendance. Mais un référendum non représentatif et qui de toute façon a démontré qu’une minorité de catalans était pour l’indépendance. Menacer  maintenant Carles Puigdemont (et 13 membres de l‘administration de la région) témoigne d’une pure provocation. En réalité Madrid instrumentalise le conflit catalan pour renforcer un pouvoir politique bien affaibli avant ces événements (et qui permet aussi de mettre  un voile pudique sur les affaires de corruption. Le  Premier ministre espagnol voudrait fabriquer des indépendantistes qu’il ne s’y prendrait pas autrement. Rajoy  a sans doute gardé le souvenir de certaines méthodes autoritaires.  À l’origine militant de l’Union nationale espagnole (UNE)3, il a adhèré au début des années 1980 à l’Alliance populaire (AP), parti de la droite conservatrice conduit par Manuel Fraga, Galicien et ancien ministre de Francisco Franco..  On s’étonne en effet de l’acharnement de Rajoy vis-à-vis de  l’ancien président de la Catalogne d’autant plus que ce dernier  a indiqué mardi qu‘il accepterait le verdict des élections régionales anticipées qui ont été convoquées pour le 21 décembre par le gouvernement.  Cependant la Haute cour d’Espagne a indiqué mardi qu’elle avait convoqué le président déchu de la Catalogne Carles Puigdemont et 13 membres de l’administration de la région pour qu’ils témoignent devant elle jeudi et vendredi. /Photo prise le 31 octobre 2017/REUTERS/Yves Herman La haute juridiction ajoute qu‘elle a entamé une procédure pour rébellion, sédition et abus de confiance à l‘encontre de Puigdemont et d‘autres dirigeants catalans. Le système judiciaire espagnol prévoit qu‘il appartient à un juge de décider si Puigdemont doit être placé en détention pendant le temps de l‘enquête et lors d‘un éventuel procès. L’ancien président de la Catalogne est menacé de 15 à 30 ans de prison. Carles Puigdemont et cinq autre dirigeants catalans sont arrivés lundi à Bruxelles et devraient donc  rester en Belgique en attendant d‘avoir les “garanties” d‘un “traitement juste, indépendant” de la part des autorités espagnoles.

Présidentielle 2017 : on cherche un homme honnête ! (Pôle emploi)

Présidentielle 2017 : on cherche un homme honnête ! (Pôle emploi)

 

La sphère politique classique cherche désespérément un homme honnête ( comme Diogène), un peu compétent, pour occuper le poste de président de la république à partir de 2017. Ce pourrait être une petite annonce de Pôle emploi tellement nombre de candidats actuels sont complètement inadaptés pour le poste de  la magistrature suprême. À l’extrême gauche on trouvera sans doute quelques candidats honnêtes encore que certains vivent de la politique depuis une trentaine d’années. À l’extrême droite, les Le Pen sont complètement englués dans les affaires y compris de détournement de fonds publics (affaire des micros partis notamment). Dans la droite classique, le sulfureux succède au sulfureux. Après Chirac, Sarkozy c’est maintenant Fillon. Ce qui caractérise la classe politique française c’est la malhonnêteté mais aussi l’incompétence : témoin, la gestion catastrophique du pays depuis plus de 30 ans. On objectera qu’on ne peut mettre tous les politiques dans le même sac. Sans doute faudrait-t-il distinguer ceux qui ont été impliqués officiellement dans des affaires douteuses de ceux qui n’ont pas encore été pris (par exemple ceux  qui se font construire ou aménager de luxueuses résidences en échange de marchés publics). Il faudrait aussi distinguer les responsables qui n’ont pas mis les doigts dans le pot de confiture. Ils existent sans doute mais la plupart sont des professionnels de la politique et se caractérisent  par une incompétence notoire. Le ridicule dans le domaine étant Benoît Hamon qui  pronostique la fin du travail, le revenu universel et la taxation des robots. Le rêve évidemment pour des électeurs au profil d’ados attardé En cause, évidemment le fait que la démocratie est complètement phagocytée par les partis politiques qui font surtout émerger des apparatchiks dans la connaissance des réalités socio-économiques est assez approximatives.

Airbus : la Pologne cherche à se racheter

Airbus : la Pologne cherche à se racheter

Après avoir annulé de façon un peu illégale une commande de 50 hélicoptères à Airbus, la Pologne cherche à se racheter en indiquant qu’elle pourrait à l’avenir commander du matériel au constructeur européen. La  Pologne dont le gouvernement est clairement anti européen à peut-être pris la mesure de l’erreur qu’elle vient de commettre. En effet ce pays qui a largement bénéficié du soutien de l’Europe pour se libérer du joug soviétique a sans doute aussi oublié qu’il a profité d’aides européennes substantielles pour relancer son économie. Le nouveau gouvernement semble avoir aussi oublié certaines règles en vigueur en Europe pour les appels d’offres. En guise d’excuse bien maladroite la Pologne n’exclut pas d’acheter à l’avenir des appareils à Airbus, a dit vendredi le ministre polonais des Affaires étrangères, des propos interprétés comme voulant rassurer la France après l’annulation par Varsovie d’une commande d’hélicoptères militaires. Witold Waszczykowski a déclaré que l’avionneur européen était le bienvenu pour participer aux futurs appels d’offres que la Pologne serait amenée à faire dans ce domaine. Varsovie a annulé la semaine dernière une commande de 50 hélicoptères Caracal à Airbus Helicopters, un contrat de plus de trois milliards d’euros qui avait été conclu par le précédent gouvernement. Le dossier a provoqué un sérieux froid entre Paris et Varsovie, au point que le président François Hollande a annulé une visite prévue en Pologne cette semaine. Airbus Helicopters a protesté et accusé la Pologne d’avoir modifié les règles du jeu. (Avec Reuters)

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