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Fournitures scolaires : encore trop cher

Fournitures scolaires : encore trop cher

La hausse n’est pas extraordinaire mais compte tenue de la baisse des matières premières ont s’étonne que les prix des fournitures scolaires n’est pas diminuée. Alors même que le prix des matières premières chute, le prix du chariot de supermarché, pour cette rentrée scolaire, va encore augmenter en 2015, même si la hausse est minime, observe Familles de France, deux semaines avant la rentrée scolaire. L’association accuse directement les enseignes de distribution et les fabricants d’être les facteurs de cette hausse : « Sauf explications contraires fournis par les fabricants ou les distributeurs, ils ont profité d’un effet d’aubaine pour faire des marges supérieures », lâche Thierry Vidor, directeur général de l’association Familles de France, qui présentait ce mardi 18 août son enquête annuelle sur les prix de la rentrée scolaire. Les chiffres, établis à travers 12.000 points de mesures sur 45 produits issus de la liste de référence de l’éducation nationale, donnent une hausse du coût de la rentrée scolaire de 0,70%, à 190.42 euros, pour un élève entrant en 6e. Ce résultat est porté par une augmentation des fournitures non-papetières (effaceurs, stylos, etc.) de l’ordre de 3,7% à 100.82 euros, et des fournitures papetières qui enregistrent une hausse de +2,46% à 46.66 euros. Cette progression du panier moyen est fortement tempérée par la baisse du coût lié aux vêtements de sport, en réduction de 7,32% à 42.94 euros. Des chiffres qui laissent perplexes les bénévoles de l’association, dans un contexte où la conjoncture devrait être favorable à la baisse des prix, en dépit d’une inflation de 0,3% sur l’année : « Sur la papeterie, le cours de la matière première, la pâte à papier a chuté de 8% depuis janvier. Quant à l’élément de base pour fabriquer les fournitures non-papetières, le pétrole, celui-ci a vu sa valeur chuter d’un tiers ces derniers mois. C’est très paradoxale car pendant de nombreuses années, cette hausse au caddie nous était expliqué par l’augmentation du prix du pétrole », s’interroge Patrick Chrétien, président de l’association. L’association est également en désaccord avec l’estimation du gouvernement, qui chiffre à 0,1% la hausse du coût de la rentrée scolaire, selon un communiqué publié sur le site du ministère lundi 17 juin.

Vacances des Français : plus court, moins loin, moins cher

Vacances des Français : plus court, moins loin, moins cher

Conséquence de la crise les Français adaptent leurs vacances. Pour résumer ils font des séjours plus courts choisissent des résidences moins loin et le budget vacances est plus serré :- 4,8 % par rapport à l’an passé, soit désormais 1 979 € par foyer, d’après Protourisme. La progression du nombre de vacanciers et leur choix massif de l’Hexagone s’illustrent par exemple avec les achats de billets de trains effectués par des Français auprès de voyage-sncf.com: Nice, + 11 % ; Aix-en-Provence, + 6 % ; Cannes, + 6 % ; Bordeaux, + 5 % ; Paris, + 4,3 %, etc. Ces chiffres sont corroborés par les données recueillies sous la houlette de MKG Hospitality. Elles concernent la fréquentation hôtelière du mois de juillet: les établissements de la Côte d’Azur affichent un taux d’occupation en progression de + 6 % par rapport à 2014, pendant que ceux du bord de Manche enregistrent + 3,2 %, ceux de l’Atlantique, + 2,1 %, etc.  Les pays du sud de la Méditerranée, où les séjours touristiques étaient nombreux, Égypte, Tunisie et désormais Turquie, victimes des troubles politiques, n’enregistrent pratiquement plus aucune réservation Noter par ailleurs que ces chiffres positifs s’accompagnent d’une hausse significative de la recette (+27,2% sur la Côte d’Azur), il est vrai largement liée à la clientèle étrangère.  Les départs à l’étranger touchent un peu plus de 10 millions de Français cet été. Comme d’habitude, l’Espagne et l’Italie accaparent la très grande majorité des séjours. Mais la Grèce s’impose sur la troisième marche du podium avec la perspective d’accueillir plus de 1,5 million de nos compatriotes dans l’année dont plus de la moitié cet été. Comme s’ils voulaient montrer leur solidarité dans les difficultés que traverse le pays. Les autres grandes destinations touristiques internationales, États-Unis, Canada, Thaïlande, Chine et pays d’Asie du Sud-est enregistrant des résultats plus modestes.

 » Une réforme territoriale confuse qui coûtera plus cher »( Raffarin :)

Raffarin :  » Une  réforme territoriale confuse qui coûtera plus cher »( Raffarin :)

Il est clair que cette réforme confuse coûtera plus cher. En cause, le maintien de départements qui conserveront leur superstructure alors que celles des régions vont grossir. Il faut en effet se souvenir que cette réforme a surtout été justifiée par la perspective de suppression des départements. Or sur pression des élus, le gouvernement a dû reculer et finalement maintenir les collectivités qui existaient déjà avec toutefois une nouvelle répartition de responsabilités. ( intreview JDD)
Raffarin

Il y aura peu d’économies et pas de clarification. L’essentiel de cette réforme était de clarifier les compétences et d’organiser le territoire de manière rationnelle. Là on voit que l‘organisation est en train de devenir politique et que les compétences restent confuses. Prenez le tourisme : il y aura des superpositions de compétences inutiles. Le manque de réflexion en amont se paie par un grand désordre aujourd’hui, en aval, sur le terrain. […]

 

 

Une bagarre est en cours sur le siège des capitales régionales. Est-ce une bonne idée que la préfecture se situe dans une ville et le Conseil régional dans une autre?

 

Raffarin
C’est une mauvaise idée. Cela révèle l’incapacité de l’exécutif à faire des choix. Une capitale régionale doit rassembler dans un même lieu à la fois les représentants du territoire et l’autorité administrative. Créer une distance entre le lieu de travail du préfet et celui du président du Conseil régional engendrera beaucoup de frais de fonctionnement supplémentaires. Il y a fort à parier que cette réforme coûtera au final plus cher que la situation précédente

 

Tourisme : trop cher en France

Tourisme :  trop cher en France

 

Dans son dernier rapport, le World Economic Forum (WEF) sur la compétitivité des pays en matière de tourisme a passé au crible 141 pays. Et selon qu’on prend ou non le critère du prix, l’attractivité d’un pays comme la France change du tout au tout. Grâce à la qualité de son patrimoine culturel, ses richesses naturelles et ses infrastructures, l’Hexagone se hisse ainsi au 2ème rang mondial.  Mais les tarifs des hôtels, des restaurants ou des transports font grimper la facture à des niveaux quasiment sans équivalent dans le monde. Même la Suède et la Norvège sont plus abordables. En fait, seuls le Royaume-Uni et la Suisse apparaissent comme des destinations encore plus onéreuses pour qui veut y passer des vacances. Une  étude qui ne fait que confirmer que la vie est trop hère en France tant pour les touristes que pour les résidents. En cause évidemment le niveau de fiscalité qui plombe les coûts et la compétitivité. Certes la France reste heureusement une destination privilégiée pour les étrangers mais les touristes ont tendance à raccourcir de plus en plus la durée de leur séjour. 

Droit d’asile en France : trop cher pour la cour des comptes

Droit d’asile en France : trop cher pour la cour des comptes

 

En faiat un coût extravagant qui découle surtout de la bureaucratie car les textes et leur conditions d’application sosnt très confus. Du coup faut gérer évidemment le coût des réfugiés acceptés comme tels mais aussi le coût de ceux  dont on refuse le statut de réfugié   et qui demeurent en France. La Cour des comptes remet en question la politique de la France concernant le droit d’asile. Un document confidentiel publié par Le Figaro témoigne d’un « relevé d’observations provisoires », « une sorte de rapport d’étape », alors que débute mercredi l’examen par la commission des lois du Sénat d’un projet de loi réformant le droit d’asile. Selon ce document, « la politique d’asile est devenue la principale source d’arrivée d’immigrants clandestins en France». Le rapport pointe « une hausse de la demande d’asile jusqu’en 2013 pour atteindre 66.251 dossiers déposés« , des « délais de procédure qui s’élèvent à deux ans environ » et « une concentration des demandes sur certains territoires, en particulier l’Île-de-France ». La Cour des comptes a procédé au calcul des « dépenses totales effectuées pour les demandeurs d’asile » et conclut à une hausse de 60% en cinq ans : « pour les demandeurs d’asile, le coût global s’élèverait à 990 millions d’euros environ en 2013, contre 626 millions d’euros en 2009″, soit un coût par demandeur de 13.724 euros. Pour les déboutés, le montant des dépenses « serait équivalent à celui consacré aux demandeurs d’asile », à savoir un milliard d’euros par an et un coût moyen par débouté « allant jusqu’à 5.528 euros ». De ces calculs découle une facture globale de 2 milliards d’euros par an.

Logement : «Construire plus et moins cher » (Chanut)

Logement :  «Construire plus et moins cher » (Chanut)

Dans une intreview au Figaro jacques Chanut livre ses propositions pour relancer le logement, il aborde auusi le prix mais ne va sans doute pas assez loin. Il est clair pourtant qu’il s’agit de la question centrale car eu égard  la situation économique et sociale la cible des acheteurs solvable est de pus en plus réduite. Il faudrait diminuer les prix d’au mois 30% pour resolvabiliser la demande.

Club Immo : Avec des mises en chantiers de logements toujours dans le rouge, quand peut-on espérer une véritable reprise ?

Jacques Chanut : Cette reprise nous l’attendons de pied ferme  depuis des années et les entreprises veulent vraiment voir le bout du tunnel. L’espoir  est revenu avec un certain nombre d’annonces gouvernementales ces dernières semaines. En attendant, l’activité est en baisse depuis 2008.  En 2014, les chiffres vont être plus mauvais que prévu. Nous étions partis sur une baisse d’activité de 0, 4 %,  malheureusement nous devrions atteindre – 1, 5 %.  Ce résultat succède à une année 2013 déjà négative avec – 3, 5 %.

 

Les mesures de Manuel Valls pour tenter de relancer le logement vont-elles dans le bon sens ?

Cela va dans le bon sens et la plupart de nos demandes ont d’ailleurs été entendues.  Ce plan de relance du logement neuf est équilibré sur les secteurs clés : le logement social est maintenu avec une confirmation d’aides, l’investissement locatif qui était bloqué depuis la loi Duflot, à moins de 30 000 logements, devrait rebondir avec le nouveau dispositif Pinel, s’il est voté en tant que tel. Enfin,  les conditions plus attractives du prêt à taux zéro pour les primo-accédants devraient dynamiser les ventes et donc la production de logements. Les trois piliers essentiel du logement neuf sont aujourd’hui soutenus.  Ce plan de relance sera-t-il suffisant ? Nous ne verrons les effets de ces annonces que l’année prochaine, peut-être un peu en fin d’année sur l’investissement locatif.

Quelles sont les autres priorités ?

Le marché de la rénovation représente 50 % de l’activité de nos entrepreneurs et de nos artisans.  Les annonces de Ségolène Royale vont aussi dans le bon sens, reste à les faire voter.  Sur les pistes d’amélioration, il faut voir réellement comment demain construire moins cher par rapport à d’autres pays européens. Construire moins cher cela ne  veut pas dire construire moins bien, ni de façon « low-cost » avec des travailleurs détachés, en situation irrégulière, cela veut dire simplifier les normes, les rendre accessibles à tous.

Quelles sont les grandes tendances, les innovations dans le domaine de la construction ?

Des pistes de progrès peuvent être réalisées en termes de gestion du logement. Nous croyons beaucoup à la maquette numérique. Regrouper sur un même système informatique tous les plans, toutes les réservations, les annotations, là on ne peut que gagner du temps, et donc faire des économies sur la construction en évitant des erreurs.  Il faut regarder les systèmes de production sur nos chantiers là où des gains de productivité peuvent être réalisés, tout en gardant l’esprit architectural français pour répondre à l’attente de nos concitoyens. L’époque des barres répétitives est révolue. Le choix des matériaux peut être optimisé et en simplifiant les normes, nous serons sur une tendance lourde d’économies  du coût de la construction.  Celui-ci ne représente que 50 % du coût du logement. Si l’on veut faire baisser le coût du logement, il faut aussi prendre en compte tout ce qui est autour : des frais annexes au financier en passant par le juridique, notamment.

 

Le permis de conduire français trop cher

Le permis de conduire français trop cher

 

La critique vient des Etats-Unis le permis de conduire français est trop cher et trop compliqué ; Une observation évident d’autant que la préparation est essentiellement centrée sur la conduite de automobile et non sur ce qui est fondamental à savoir la gestion du risque. Conduire ne suffit pas, la conduite sécurisée implique de prévoir en permane le risque potentiel de la route et des autres usagers.  Avec un prix (1400 euros en moyenne), une durée (18 mois en moyenne), et un taux d’échec (41%) supérieurs à ses voisins européens, le permis français ne fait pas rêver et le secteur de l’auto-école s’enlise. Chaque année, des centaines de Français passent leur permis à l’étranger pour échapper aux frais excessifs de l’examen et bénéficier d’une procédure plus flexible. L’e-learning, des cours de conduite entre 6h et 23h réservables en ligne, et surtout la possibilité de les prendre partout en France, sont des solutions évidentes à une demande toujours stable, estime le New York Times. Alors pourquoi met-on des bâtons dans les roues d’Ornikar? Le journal américain s’interroge, la start-up ayant pourtant selon lui tout pour réussir. Il fustige la réglementation du secteur, dont profitent les auto-écoles pour étouffer la compétition et gonfler les prix au détriment des consommateurs. Pour les journalistes, les syndicats repoussent tout simplement la fin du monopole des auto-écoles traditionnelles, annoncée par le nouveau modèle prôné par Ornikar. Défenseur d’une concurrence libre qui doit servir à proposer au consommateur les prix les plus bas, le New York Times en profite pour rappeler que 36 autres professions sont elles aussi réglementées et rencontrent le même type de problèmes. L’article pointe également du doigt l’obligation pour les auto-écoles de disposer d’une télé et d’un lecteur DVD pour pouvoir faire passer l’examen du permis de conduire… qui n’en exige pourtant pas l’usage. Et l’étonnement des Américains ne s’arrête pas là. Ils ne comprennent pas non plus pourquoi le gouvernement, qui n’a pas les moyens de proposer un nombre illimité d’examens chaque année, ne facture pas aux élèves la possibilité de passer le permis quand ils le souhaitent. Lorsque le FMI, la BCE et la Commission Européenne ont accepté de renflouer la Grèce, une condition a été imposée: que toutes les réglementations visant à protéger certains secteurs soient levées. Pour le New York Times, c’est la preuve ultime que la France, qui les conserve coûte que coûte, court à sa perte. Cela mettrait à mal ses possibilités d’innovation et entraînerait le déclin de sa propre compétitivité ainsi que la fuite de ses entrepreneurs. Un comble pour un pays dont l’économie chancelle: elle devrait plutôt tendre la main à ces jeunes cerveaux, estime le New York Times. Seul espoir pour Alexandre et Benjamin: que le gouvernement, qui cherche par tous les moyens à regagner des points de popularité, lâche du lest pour faire un geste vis à vis de l’entrepreneuriat, imagine le New York Times. Philippe Colombani, le président de l’Union Nationale des Indépendants de la Conduite, balaye quant à lui d’un revers les arguments d’Ornikar et nie les avantages que présenterait ce nouveau modèle. Pour lui, Ornikar est un «monstre libéral», mené par des individus qu’il qualifie de «sous-doués révoltés».

 

Immobilier : marché en panne, trop cher

Immobilier : marché en panne, trop cher

Prix  encore trop cher, insuffisance de solvabilité des primo-accédants, restrictions des banques, incertitudes liées à la crise autant d’éléments qui bloque le marché. En dépit de  taux de crédit immobiliers bas  pourtant le marché est en panne. Selon la dernière étude de l’Observatoire Crédit logement/CSA révélée mardi, les Français empruntent à 2,73 % en moyenne (hors assurance). «Or le nombre de ventes dans l’immobilier ancien a reculé de 2,8 % au premier semestre», constate Laurent Vimont, président de Century 21. Dans le neuf, les ventes des promoteurs immobiliers et des constructeurs de maisons individuelles sont aussi au point mort «Les taux bas ne suffisent pas à faire redémarrer le marché», analyse Michel Mouillart, auteur de l’étude du Crédit logement. La crise joue aussi un rôle dans ce blocage. Fragilisés par les exigences accrues des banques et des prix de la pierre qui restent élevés, «les ménages les plus jeunes et les plus modestes ne peuvent plus rentrer sur les marchés immobiliers, en l’absence du ticket d’entrée que le PTZ + représentait pour eux auparavant», commente l’étude. Les «moins de 35 ans» représentent 44,8% des acquéreurs, contre 52,4% en 2009. Désormais, les emprunteurs sont un peu plus âgés qu’il y a quelques années, plus aisés et souvent déjà propriétaires de leur résidence principale. L’autre facteur du blocage du marché, ce sont les prix très élevés. Le net recul espéré par beaucoup n’est jamais venu. Au premier semestre, les tarifs n’ont reculé que de 1 à 2,5% selon les agents immobiliers. Toutefois, le marché est de plus en plus hétérogène avec d’un côté les grandes villes où les prix se maintiennent à des niveaux élevés et de l’autre, les zones rurales ou les régions durement touchées par la crise où les prix décrochent. Conscient que le marché de l’immobilier va mal, le gouvernement Valls a pris le taureau par les cornes. Pour ne pas décourager les particuliers prêts à acheter un bien pour le louer, il a commencé à détricoter la loi Alur de Cécile Duflot. Notamment sa mesure emblématique, l’encadrement des loyers. Si ce dispositif sera bien mis en place en région parisienne avant fin 2014, Manuel Valls laisse planer le doute quant à son application dans les autres grandes villes concernées. Quant à la GUL (Garantie universelle des loyers) qui devait se substituer à partir de 2016 à la caution en cas de défaillance du locataire quel qu’il soit, elle ne concernera finalement que les jeunes locataires. Parallèlement, fin juin, le gouvernement a annoncé une série de mesures pour relancer la construction de logements neufs. Dès octobre, il va élargir les conditions d’accès au PTZ + (prêt à taux zéro). À partir de janvier 2015, il va aussi donner un nouveau souffle au dispositif Duflot, étendant la réduction d’impôt à 21% contre 18% aujourd’hui à condition que le propriétaire loue son bien 12 ans et non pas 9 comme prévu initialement. Manuel Valls a promis que d’autres mesures seraient prises à l’automne. Mi-juillet, il a demandé aux professionnels (Fédération de promoteurs immobiliers, Union des maisons françaises, Fédération française du bâtiment…) de lui indiquer d’autres pistes pour booster la construction. Parmi ces idées, ouvrir la possibilité aux investisseurs bénéficiant du dispositif Duflot de louer ce bien à leurs enfants ou à leurs parents. Une facilité attendue par le marché qui était ouverte avec le dispositif Scellier, le prédécesseur du Duflot. Autre suggestion: diviser par deux pendant trois ans la taxation des plus-values sur les ventes de terrains. Rendez-vous en septembre pour savoir quelles mesures seront adoptées par le gouvernement.

 

Immobilier français : beaucoup trop cher

Immobilier français : beaucoup  trop cher

 

 

Encore une explication supplémentaire qui faiat craindre la création d’une nouvelle bulle immobilière :  «La France est l’un des pays européens où il est le plus difficile d’accéder à la propriété», constate la troisième étude sur le marché immobilier européen du cabinet Deloitte. L’an dernier, les ménages ont dû débourser 7,9 années de salaire brut en moyenne, pour devenir propriétaires d’un logement neuf de 70 m². Certes, en un an, leur pouvoir d’achat s’est sensiblement amélioré (9,4 années en 2012). «Cette évolution s’explique par le très léger recul des prix de la pierre (-0,9 % en 2013), mais surtout par des taux de crédit bas et un changement du profil des acquéreurs, de plus en plus fortunés», décrypte Laure Silvestre-Siaz, associée chez Deloitte. La France fait partie avec le Royaume-Uni des pays les plus chers d’Europe. En 2013, les ménages britanniques ont dû consacrer en moyenne 8,5 années de revenus à l’achat d’un 70 m² neuf et beaucoup plus à Londres, capitale la plus chère du Vieux Continent, devant Paris. L’inflation des prix de la pierre a poussé le gouvernement à prendre des mesures pour calmer le jeu. Malgré une baisse des prix en 2013 (- 5 %), les Italiens doivent aussi fournir un important effort financier pour devenir propriétaires (7 ans de revenus). «Les inégalités de pouvoir d’achat immobilier se creusent en Europe», constate l’étude qui souligne des écarts très importants entre la Russie (10 ans de salaires) et le Danemark (2 ans). Contrairement à ce que certains pourraient penser, «les prix de l’immobilier ne semblent pas être significativement corrélés à l’économie d’un pays», note l’étude. C’est en effet au Danemark, en Allemagne, aux Pays-Bas, ou en Belgique, pays riches, que l’immobilier est le plus abordable. Paradoxalement, c’est au Danemark où les prix sont les plus chers d’Europe que les ménages (aux revenus élevés) bénéficient du meilleur pouvoir d’achat. Vient ensuite l’Allemagne où, l’an dernier, l’achat d’un 70 m² neuf équivalait à trois années de salaire. Soit près d’un an de plus qu’en 2012. Car, après de longues années de stagnation, les prix s’apprécient fortement outre-Rhin.  L’immobilier est aussi abordable au Portugal et en Espagne. La baisse des prix des logements espagnols depuis l’éclatement de la bulle immobilière (-13 % en 2013) a redonné un peu d’oxygène aux ménages: l’achat d’un 70 m² représentait l’an dernier 3,6 années de revenus contre près de 5 années en 2012.

 

165 000 euros pour former un énarque, c’est cher !

165 000 euros pour former un énarque, c’est cher !

 

 

165 000 euros pour former un énarque qui apprennent  essentiellement comment ne pas répondre aux questions qu’on leur  pose ; hormis quelques disciplines juridiques et administratives, l’ENA n’enseigne rien de sérieux. C’est une grande école qui organise  surtout la future mafia administrative, politique et économique du pays. La filière la pus classique consiste à se faire affecter dans un corps d’Etat, à ne pratiquement jamais y mettre les pieds pour s’orienter vers les cabinets ministériels et ensuite à se faire nommer grâce au tremplin politique dans une grande direction privée ou publique, à moins de choisir la carrière politique comme Hollande, Fabius, Sapin, Royal ; Giscard, Chirac et tant d’autres qui étouffent le pays. .A l’heure de recherches d’économie tous azimuts, l’information est cocasse. L’an dernier, la formation d’un jeune énarque a coûté 82.357 euros à la collectivité, soit 576 euros de moins que l’année précédente. C’est cependant plus qu’en 2011 où les futurs hauts fonctionnaires avaient coûté 79.639 euros (traitement de l’élève compris). Il y a actuellement 164 élèves en formation à Strasbourg, soit deux promotions en même temps, plus 149 stagiaires étrangers. La formation étant étalée sur deux ans, le coût total d’un énarque atteignait donc 165.290 euros à la fin 2013. C’est ce qui ressort des documents budgétaires annexés au projet de loi de règlement 2013 qui sera examiné prochainement par les parlementaires.  Comme les autres services de l’Etat, l’Ecole nationale d’administration a dû faire des efforts d’économies. En 2012, son budget a été réduit de 3 millions d’euros pour s’établir à 29,5 millions (-13%). Les effectifs sont cependant passés de 514 à 516 personnes, enseignants compris. Pour 2014, ce budget sera en augmentation à 32,4 millions.

Consommation : Le poisson trop cher recule

Consommation : Le poisson trop cher recule

Selon le dernier bilan de l’établissement national FranceAgriMer publié ce samedi 31 mai, les achats de poisson frais ont diminué de 5% en volume entre mars 2013 et mars 2014. Le prix moyen d’achat a quant à lui augmenté de 3%. Pour l’organisme, cette évolution s’explique principalement « par l’important recul du volume des achats de saumon frais (-25%), qui représentent 20% du volume des achats de poisson frais ». Les achats de saumon fumé ont eux reculé de 12%. A l’inverse, les Français ont acheté 13% de cabillaud de plus que l’année précédente, « grâce à un prix en repli de 3% ».  »Le cabillaud devient la première espèce consommée, devant le saumon », résume FranceAgrimer, avec jusqu’à 7 points d’écart en faveur du premier dans la part des achats de poisson frais. Les cours du saumon, première espèce importée en France, ont flambé l’an dernier à cause notamment de l’accroissement de la demande mondiale. En moyenne sur 12 mois à fin mars 2014, le prix moyen du saumon entier congelé importé a augmenté d’un tiers. La hausse s’est accentuée entre janvier et avril 2014, où le prix a augmenté de 50%. Le cabillaud « dont les disponibilités sont abondantes », et les poissons blancs en général, profitent de cette situation. Les importations de cabillaud entier réfrigéré ont augmenté de 50% en volume. Les achats de coquillages ont reculé (-5% pour les moules, -4% pour les coquilles Saint-Jacques) tout comme ceux de crevettes et gambas cuites (-16%). En France, les volumes de pêche ont légèrement reculé (2%) sur un an, en raison des fortes tempêtes de l’hiver qui ont empêché les bateaux de sortir en février. Les pêches de mars, très importantes, ont toutefois quasiment compensé le retard pris le mois précédent.

 

Européennes : le PS va payer cher l’addition

Européennes : le PS va payer cher l’addition

 

Affaire Alstom, fiscalité, retour de l’écotaxe, traité de libre échange avec les Etats Unis, autant de sujets qui vont peser lourd pour les élections européennes et coûter très cher au PS. Sans parler du tripatouillage électoral qui repousse les élections régionales. Certes une reforme territoriale indispensable mais ne pourra se faire avec Hollande. Il lui faudrait les 3 /5 ème du parlement, ce qu’il n’a pas. Ou alors plus sûrement un referendum (qu’imposera sans doute le conseil constitutionnel). Mais que Hollande ne veut pas car ce serait un vote anti-Hollande assuré. Quant à la promesse du PS de réorienter la politique européenne c’est un vœu pieux puisque pour l’instant il s’est toujours couché devant Bruxelles et Merkel. Rappelons-nous du fameux pacte de croissance que voulait imposer Hollande à l’ensemble de l’Europe et qui a fini en eau de boudin. Visiblement les parlementaires du PS n’ont rien compris puisqu’ils continuent d’œuvrer à alourdir l’ingénierie fiscale et les procédures de toutes sortes. Surtout il n’y a aucun renoncement au pacte de stabilité qui impose dans des délais invraisemblables une austérité qui tue la croissance et l’emploi. Précisément toujours rien sur l’emploi non plus si ce n’est la promesse du nouveau ministre du travail de parvenir à « seulement »3 millions de chômeurs en 2017. De toute manière il n’en sait rien. Enfin le retournement économique claironné par hollande ne se produit pas et la croissance du premier trimestre devrait être insignifiante. La question qui va se poser est de savoir si Hollande détiendra  encore la légitimité populaire pour diriger le pays après les européennes.

L’immobilier trop cher tue la croissance

L’immobilier trop cher tue  la croissance

Comme dans toute l’Europe, les prix de l’immobilier ont grimpé en flèche en France dans les années 2000. Mais contrairement à nos voisins, ils n’ont pas baissé après la crise de 2008, ou très modérément. Trop, selon Terra Nova, le laboratoire d’idées proche du Parti socialiste, qui souligne les conséquences négatives de ces prix élevés. L’épargne des Français est ainsi entièrement dédiée au logement, ce qui ralentit la consommation d’autres biens. Mais l’achat immobilier est pourtant réservé qu’à quelques ménages. Les plus modestes et les plus jeunes n’ont pas les moyens d’accéder à la propriété, ce qui renforce les inégalités entre ces exclus et les propriétaires de longue date qui étoffent encore leur patrimoine. Pour enrayer ce système, Terra Nova émet plusieurs propositions. La fondation suggère par exemple de rendre obligatoire la construction sur un terrain pour lequel une attestation de constructibilité a été émise, faute de quoi le propriétaire serait exproprié ou contraint de payer à la commune une contribution aux investissements collectifs. Dissocier la propriété du foncier et de la construction pourrait également être une solution pour développer l’offre, comme cela se fait déjà dans d’autres pays.

Hollande et Valls vont payer cher le gel des pensions

Hollande et Valls vont payer cher le gel des pensions

 

Un  désaveu massif de la part des français pour le gel des pensions dont il fauta rappeler que la moyenne est de 1257 euros par mois , une moyenne qui cachent bien des disparités car nombre de petits pensionnés doivent se satisfaire de 800 euros environ. Des pensionnés dont beaucoup ne travaillaient pas 35 heures par semaine mais près de 70 heures avec 15 jours de congés (voire moins) et non deux mois comme aujourd’hui ; ce gel va couter cher à Hollande et Valls qui s’attaquent auusi aux couches populaires et moyennes tandis que les patrons de banques, les traders, les grands parons en général se gavent. Tandis que que les petits copains de Hollande, les énarques se répartissent le gâteau des places des organismes publics. Du coup Hollande et Valls pourraient bien être contraints de revoir leur copie et rapidement sinon lors  européennes ils vont payer le prix de leur reniements en matière de justice sociale et efficacité économique. Face à la désapprobation d’une très grande majorité de Français et à l’hostilité d’une partie du PS face au gel des pensions annoncé par Manuel Valls, l’exécutif va-t-il faire machine arrière?  D’un côté des Français qui désapprouvent très largement le gel des pensions de retraites jusqu’en octobre 2015. De l’autre, des élus PS qui craignent de faire les frais de cette grogne aux prochaines élections, en particulier les Européennes de mai prochain. A l’évidence, la mesure choc annoncée par Manuel Valls le 16 avril dernier dans le cadre des 11 milliards d’euros d’économies sur les prestations sociales a bien du mal à passer.   Au point qu’avant le vote sur le plan d’économies, le 29 avril à l’Assemblée, les conciliabules entre Elysée, Matignon et la direction du PS se multiplient. Jean-Christophe Cambadelis, le nouveau patron du parti, s’est ému ouvertement de la mise en cause du pouvoir d’achat des retraités modestes. Les députés PS rencontreront d’ailleurs Manuel Valls ce mardi pour tenter d’arracher quelques aménagements aux mesures d’économies.  Pourtant, en 2013 lors du débat sur les retraites, le gouvernement Ayrault n’avait pas cédé sur le décalage de six mois de la revalorisation des retraites, une mesure déjà très contestée au PS. Celui de Manuel Valls, à peine installé, va-t-il pouvoir reculer sur le gel des pensions?  Valérie Rabaud, la nouvelle rapporteure générale PS du budget de l’assemblée, doit également renconter Manuel Valls cette semaine. Avec son collègue Gérard Bapt, rapporteur du budget de la Sécu, elle lui proposera que ce gel des pensions jusqu’en 2015 épargne les retraités modestes dont les revenus sont inférieurs à un certain seuil, à définir.  Au PS, on souhaiterait que ce gel épargne aussi les classes moyennes, qui, elles, ne bénéficieront pas à la différence des foyers modestes de la mesure fiscale annoncée par Matignon pour juin.  Mais encore faut-il que l’exécutif accepte de revenir un peu en arrière et face porter les économies sur d’autres prestations sociales. Le gel des pensions doit en effet rapporter 1,3 milliard d’ici à 2015.

 

De moins en moins de vacances pour les français ; trop cher

De moins en moins de vacances pour les français ; trop cher

 

 

D’après  une étude menée par le cabinet Protourisme, l’an dernier, seuls 29,5 millions de Français (adultes et enfants) ont passé au moins une nuit en hébergement marchand soit 41% de la population contre 45% en 2012. Selon les calculs du cabinet spécialisé, ce seraient 3,5 millions d’habitants de l’Hexagone qui auraient renoncé à ce genre de sortie depuis 2010. Le camping affiche un recul de 3 millions de nuitées, tout comme les locations meublées tandis que l’hôtellerie perd 2 millions de nuitées. Seuls les villages de vacances et les résidences de tourisme tirent à peu près leur épingle du jeu dans une quasi stabilité. «C’est un niveau de départ extrêmement faible et le recul affecte toutes les catégories de clientèle», souligne Didier Arino, directeur de Protourisme. Même les vacances subventionnées dans les villages de vacances associatifs sont en recul. Néanmoins, le niveau de vie reste déterminant pour continuer à s’offrir des vacances. Si les trois quarts des foyers disposant de revenus mensuels nets supérieurs à 3500 euros partent toujours, ils ne sont plus que 56% chez ceux gagnant entre 2500 et 3499 euros et 38% dans les classes moyennes pouvant compter sur 1500 à 2499 euros mensuels. Quant aux foyers avec un revenu inférieur à 1500 euros, la proportion de ceux qui se permettent de s’offrir ce genre de séjour ne dépasse pas 23%. De mauvais chiffres qui rendent Didier Arino pessimiste pour l’avenir. «Si les clientèles étrangères progressent un peu et les catégories socioprofessionnelles supérieures se maintiennent, le cœur du marché se réduit, explique-t-il. Il sera de plus en plus compliqué et coûteux de toucher une nouvelle clientèle. Avec la hausse de la TVA et des charges, la seule manière de s’en sortir pour les plus fragiles sera de se regrouper vers les marques les plus fortes du secteur.»  Un mouvement qui ne se fera pas sans quelques victimes, selon lui, du côté des clubs de vacances ou de l’hôtellerie. Ces professionnels ont d’ailleurs d’autant plus de mal à maintenir leurs marges que le poids des intermédiaires en ligne ne cesse de progresser. L’an dernier 84% des acheteurs d’hébergements marchands se sont renseignés sur le Web, et 72% de ces internautes ont au moins acheté une prestation touristique payante au cours de l’année 2013.

 

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