Archive pour le Tag 'chèque'

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Chèque carburant : une aumône ridicule

Chèque carburant : une aumône ridicule

Le gouvernement se vante d’avoir substitué à des mesures bouclier une mesure ciblée avec le chèque carburant 100 €. Un gouvernement qui sans doute oublie qu’à travers la fiscalité le carburant a fait rentrer des ressources très importantes dans le budget.Il est même probable que ce chèque ne sera même pas réclamé par une grande partie des bénéficiaires avec le coût du temps passé et des formalités pouvant parfois dépasser le bénéfice.Il aurait été plus efficace et plus rapide d’encourager les entreprises à augmenter les allocations transport notamment pour les bas salaires. Ce n’est pas à l’Etat de gérer directement des questions de pouvoir d’achat. À quand un chèque pour le pain ou la viande ?

Il faut noter le cas des parisiens qui pourront toucher cette prime bien que plus de la moitié n’utilise pas leur voiture pour se rendre au travail. Environ dix millions de Français, «les plus modestes», pourront bénéficier de ce chèque de 100 euros. Ce dernier d’adresse aux travailleurs, comme les salariés, les fonctionnaires ou les indépendants. Seule condition : le revenu fiscal de référence par part ne doit pas dépasser 14.700 euros en 2021. Selon les estimations de Bercy, une personne seule ne doit pas avoir gagné plus de 1314 euros nets par mois l’année dernière. Un couple avec un enfant ou une femme seule avec deux enfants ou un couple avec deux enfants auront le même plafond de revenus de 3285 euros mensuels. Enfin, un couple avec trois enfants doit avoir déclaré 5255 euros par mois comme revenu fiscal de référence en 2021. À noter que si deux adultes sont imposables, l’aide pourra être doublée à 200 euros pour l’ensemble du ménage.

Pour recevoir le chèque, il faudra s’inscrire directement sur le site des impôts, où un espace dédié sera mis en ligne «dès le 16 janvier», selon le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire. Vous devrez renseigner votre numéro fiscal, votre plaque d’immatriculation et remplir une déclaration sur l’honneur indiquant que vous utilisez bien votre voiture pour vous rendre au travail. Une fois la demande validée, les 100 euros seront crédités huit jours plus tard en une seule fois directement sur votre compte bancaire.

Christiane Taubira : une nouvelle promesse de chèque de 150 € par mois

Christiane Taubira : une nouvelle promesse de chèque de 150 € par mois

Décidément la question se pose de savoir si cette campagne électorale ne va pas se résumer un concours de distribution de chèques. Dernier exemple en date  Taubira dont le programme politique est pour le moins évanescent propose à son tour un chèque de 150 € appelés chèque alimentaire.

 

Pourquoi 150 € ? Sans doute d’abord pour dépasser les 100 € accordés par le gouvernement et ceux proposés par ceux de ses concurrents. Aussi pour tenter d’équilibrer ses propositions écologiques et sociales. Parmi ces propositions écologiques, financement à 80 % la rénovation thermique qu’elle veut rendre obligatoire.

 

Tout cela financé notamment par des taxes sur la spéculation. Une idée évidemment attrayante mais qui manque sérieusement de précision. Tout cela sent  les propositions faites à la va-vite sur un coin de table pour tenter de meubler un peu un programme très faible pour ne pas dire inexistant hormis sur certaines questions sociétales.

2022- concours Lépine des promesses : Le Pen propose un chèque de 200 € par mois

2022- concours Lépine des promesses : Le Pen propose un chèque de 200 € par mois

Il est évident que la décision de Macon d’attribuer un chèque de 100 € une fois pour toutes contre l’inflation notamment constatée dans l’énergie fait t un peu petit bras par rapport à la proposition de Le Pen de restituer 200 € par mois aux ménages. Rien de moins !

D’autres candidats reposent aussi des mesures d’augmentation du pouvoir d’achat. Par exemple Anne Hidalgo qui propose le doublement du salaire des enseignants. Ce concours Lépine des promesses salariales témoigne à l’évidence du vide du contenu de la campagne électorale. Faute d’être en capacité d’avoir une vision pertinente sur l’avenir du pays, nombre de candidats se rabattent sur des orientations de nature syndicale. Notons aussi la proposition de l’écolo Sandrine Rousseau qui propose elle une nouvelle réduction du temps de travail à 32 heures. À quand la proposition d’un temps de travail à 20 heures avec un SMIC à 2000 € ?

Prix Énergie : un chèque électoral de 100 €

Prix Énergie : un chèque électoral de 100 €

 

 

Officiellement le gouvernement vient de décider d’attribuer un chèque de 100 € pour les Français gagnant moins de 2000 € par mois. Il s’agit de compenser l’inflation enregistrée sur plusieurs produits de base dont le carburant.

 

Il y avait deux solutions s pour tenter d’influencer l’inflation. Soit une baisse de fiscalité ( qui représente 60 % du prix du carburant), soit une opération redistribution politiquement plus visible médiatiquement avec la distribution d’un chèque. Accessoirement la distribution d’un chèque coûtera bien moins cher aux recettes fiscales qu’une réduction des impôts sur le carburant.

 

Le problème est de savoir quel objectif exact on poursuit à long terme. En effet sur le plan environnemental, la hausse de la fiscalité constitue souvent un argument pour lutter contre les émissions polluantes et en particulier le carbone. D’une certaine manière ,on a aujourd’hui en temps réel les conséquences d’un haut niveau des prix du carburant.

 

Ce niveau des prix du carburant affecte effectivement davantage les ménages les moins favorisés. En clair ce sont des pauvres qui vont surtout subir la politique énergétique via la fiscalité. Cela tout simplement parce qu’il n’y a pas le plus souvent d’alternatives à l’usage de l’automobile pour les déplacements essentiels.

 

Une politique structurelle efficace passe par une fiscalité et un prix fort du carburant à condition qu’il existe une offre alternative moins polluante. Or à court terme une forte fiscalité et un prix élevé de l’énergie n’a que des conséquences sociales néfastes en entamant le pouvoir d’achat.

 

Le chèque de 100 € vise à répondre à cette situation mais de manière à court terme et n’est pas sans arrière-pensée électorale. Une diminution générale de la fiscalité sur le carburant pour tous est beaucoup plus indolore et plus discrète tandis que le chèque de 100 € va apparaître immédiatement comme beaucoup plus massif est plus significatif.

 

Par ailleurs et surtout sans doute, la France est entrée dans une période ; de nombreuses incertitudes nt  y compris l’hypothèse d’une non réélection Macron. . Ainsi ce chèque de 100 € ressemble aussi aux autres mesures de court terme comme le blocage des prix jusqu’aux élections présidentielles.

Énergie : un chèque électoral de 100 €

Énergie : un chèque électoral de 100 €

 

 

Officiellement le gouvernement vient de décider d’attribuer un chèque de 100 € pour les Français gagnant moins de 2000 € par mois. Il s’agit de compenser l’inflation enregistrée sur plusieurs produits de base dont le carburant.

 

Il y avait deux solutions s pour tenter d’influencer l’inflation. Soit une baisse de fiscalité ( qui représente 60 % du prix du carburant), soit une opération redistribution politiquement plus visible médiatiquement avec la distribution d’un chèque. Accessoirement la distribution d’un chèque coûtera bien moins cher aux recettes fiscales qu’une réduction des impôts sur le carburant.

 

Le problème est de savoir quel objectif exact on poursuit à long terme. En effet sur le plan environnemental, la hausse de la fiscalité constitue souvent un argument pour lutter contre les émissions polluantes et en particulier le carbone. D’une certaine manière ,on a aujourd’hui en temps réel les conséquences d’un haut niveau des prix du carburant.

 

Ce niveau des prix du carburant affecte effectivement davantage les ménages les moins favorisés. En clair ce sont des pauvres qui vont surtout subir la politique énergétique via la fiscalité. Cela tout simplement parce qu’il n’y a pas le plus souvent d’alternatives à l’usage de l’automobile pour les déplacements essentiels.

 

Une politique structurelle efficace passe par une fiscalité et un prix fort du carburant à condition qu’il existe une offre alternative moins polluante. Or à court terme une forte fiscalité et un prix élevé de l’énergie n’a que des conséquences sociales néfastes en entamant le pouvoir d’achat.

 

Le chèque de 100 € vise à répondre à cette situation mais de manière à court terme et n’est pas sans arrière-pensée électorale. Une diminution générale de la fiscalité sur le carburant pour tous est beaucoup plus indolore et plus discrète tandis que le chèque de 100 € va apparaître immédiatement comme beaucoup plus massif est plus significatif.

 

Par ailleurs et surtout sans doute, la France est entrée dans une période ; de nombreuses incertitudes nt  y compris l’hypothèse d’une non réélection Macron. . Ainsi ce chèque de 100 € ressemble aussi aux autres mesures de court terme comme le blocage des prix jusqu’aux élections présidentielles.

 

Ce chèque de 100 € ressemble fort à un chèque électoral.

Gouvernement : et encore un chèque …. de 1000 € pour les chômeurs

Gouvernement : et encore un chèque …. de 1000 € pour les chômeurs

un chèque qui cette fois paraît justifié et sera bien apprécié par les chômeurs de longue durée en formation. Toutefois cela confirme la politique de chèques quasi journalière appliquée par le gouvernement pour satisfaire les différentes catégories sociales.

Former les chômeurs en particulier ceux de longue durée constituent un objectif essentiel non seulement pour les intéressés mais aussi pour l’économie. On peut seulement se demander s’il ne conviendrait pas plutôt que de multiplier les dispositifs de généraliser les aides aux entreprises pour toute embauche de chômeurs, jeunes ou vieux, chômeurs récents aux chômeurs de longue durée.

 Cette politique de distribution de chèques et de primes dispensent en faite gouvernement de prendre des mesures structurelles qui seraient susceptibles de redynamiser l’économie. Une stratégie fortement inspirée par une démarche électorale. Le ciblage paraît assez flou pour cette dernière mesure de 1000 € pour les chômeurs de longue durée;  il s’agirait pour la ministre du travail

« d inciter les demandeurs d’emploi de longue durée à aller vers» des formations en entreprise avec une promesse d’embauche, une prime de «1000 euros» .

Or aujourd’hui la demande de salariés formés est quasi générale dans tous les secteurs.

Politique-Bientôt un chèque du gouvernement pour le papier toilette ?

Politique-Bientôt un chèque du gouvernement pour le papier toilette ?

 

Après l’augmentation de nombre de produits d’alimentation ou d’entretien, le papier toilette devrait lui aussi s’inscrire dans une tendance inflationniste. La hausse pour le consommateur pourrait atteindre autour de 15 %. À la décharge des industriels les coûts des intrants ont monté jusqu’à 30 % pour certains.

On imagine que le monde politique sera sensible à cette envolée de produits indispensables dans la vie quotidienne. On en vient à espérer que le gouvernement ( ou les candidats de l’opposition pour 2022-) prennent conscience de la gravité problème en décidant par exemple comme pour d’autres biens la cordée un chèque PQ à chaque Français. En effet tous les Français sont concernés par l’usage du PQ est un geste politique pourrait être électoralement payant surtout si on inscrit sur les rouleaux de papier » financé par le gouvernement ».

Politique–Bientôt un chèque pour le papier toilette ?

Bientôt un chèque pour le papier toilette ?

 

Après l’augmentation de nombre de produits d’alimentation ou d’entretien, le papier toilette devrait lui aussi s’inscrire dans une tendance inflationniste. La hausse pour le consommateur pourrait atteindre autour de 15 %. À la décharge des industriels les coûts des intrants ont monté jusqu’à 30 % pour certains.

On imagine que le monde politique sera sensible à cette envolée de produits indispensables dans la vie quotidienne. On en vient à espérer que le gouvernement ( ou les candidats de l’opposition pour 2022-) prennent conscience de la gravité problème en décidant par exemple comme pour d’autres biens la cordée un chèque PQ à chaque Français. En effet tous les Français sont concernés par l’usage du PQ est un geste politique pourrait être électoralement payant surtout si on inscrit sur les rouleaux de papier » financé par le gouvernement ».

Bientôt un chèque pour le papier toilette ?

 

 

Après l’augmentation de nombre de produits d’alimentation , d’entretien rt de l’énergie, le papier toilette devrait lui aussi s’inscrire dans une tendance inflationniste. La hausse pour le consommateur pourrait atteindre autour de 15 %. À la décharge des industriels les coûts des intrants ont monté jusqu’à 30 % pour certains.

On imagine que le monde politique sera sensible à cette envolée de produits indispensables dans la vie quotidienne. On en vient à espérer que le gouvernement ( ou les candidats de l’opposition pour 2022-) prennent conscience de la gravité problème en décidant par exemple comme pour d’autres biens d’accorder  un chèque PQ à chaque Français. En effet tous les Français sont concernés par l’usage du PQ et un geste politique pourrait être électoralement payant surtout si on inscrit sur les rouleaux de papier » financé par le gouvernement ».

Chèque énergie : 600 millions pour la facture du chauffage

Chèque énergie : 600 millions pour la facture du chauffage

sans doute le chèque énergie d’un montant de 100 € et qui va représenter au total autour de 600 millions est-il lié au contexte de la période électorale. En effet, il y a quelques contradictions à voir l’état participer au financement du chauffage et dans le même temps à proposer l’instauration d’une taxe carbone qui va peser sur certaines énergies du chauffage et des transports. À moins que le gouvernement dans sa grande générosité décide aussi d’un chèque carburant !

Notons que depuis la crise du Covid  d’endettement est passéede 100 % du PIB à 120 % en 2020.

Pour 2022, le déficit devrait théoriquement baisser passant de -8,4% du PIB en 2021 à -4,8%. La dette devrait passer de 115,6% à 114% l’année prochaine.  »Le besoin de financement de l’Etat devrait être en baisse en 2022 de 21 milliards d’euros. Il y a une baisse très significative du déficit en raison de la reprise » a indiqué le nouveau directeur de l’Agence france trésor (AFT) Cyril Rousseau lors d’un point presse.

 

Après  les présidentielles, il faudra sans doute s’attendre à une remontée de la fiscalité compte tenu des dérives budgétaires et de l’endettement. Du côté des entreprises, le gouvernement poursuit sa politique de l’offre en baissant les impôts de production et le taux d’impôt sur les sociétés qui devrait s’établir à 25% d’ici la fin de l’année 2022. Concernant le manque à gagner des recettes issues des impôts de production pour les collectivités locales, Olivier Dussopt avait expliqué dans un entretien accordé à La Tribune au début du mois de juillet que les compensations « seraient intégrales et dynamiques ». Sur la question de la baisse des dotations aux régions qui a provoqué l’ire de l’association Régions de France dans un communiqué, la cabinet de Bruno Le Maire a répondu que « les régions sont les collectivités qui ont les finances les plus solides. Elles bénéficient de ressources encore très dynamiques ».

Énergie: un chèque électoral de 100 euros

Énergie: un chèque électoral de 100 euros

 

Une « aide sociale exceptionnelle de 100 euros supplémentaires » destinée aux 5,8 millions de ménages qui ont bénéficié du chèque énergie cette année, a annoncé Matignon à la presse, mercredi. Ce soutien exceptionnel sera versé en décembre. Un chèque forcément bien accueilli par les ménages bénéficiaires compte tenu de l’envolée des prix de l’énergie mais qui dégage cependant un certain parfum électoral.

Télétravail : un «chèque bureau» ou le retour de la bureaucratie socialiste

Télétravail : un «chèque bureau» ou le retour de la bureaucratie socialiste

 

 

Nouvelle grande idée bureaucratique du courant socialiste ( bobos socialiste) avec cette proposition d’un chèque bureau sur le modèle des chèques restaurant pour réguler le télétravail. Encore une sorte de cathédrale administrative et en plus à la clé évidemment des nouveaux moyens de financement assuré à la fois par l’État et les collectivités locales. Bref par l’impôt comme si déjà la France n’était pas écrasée par les prélèvements obligatoires.

 

Dans une tribune publiée par le JDD, des personnalités parmi lesquelles l’ancienne ministre du Travail Myriam El Khomri ou Benoît Hamon (Générations), rappellent que «dans l’accord national du 26 novembre 2020, les partenaires sociaux ont défini le cadre du télétravail, précisant notamment qu’il pouvait aussi s’exercer dans un tiers-lieu, différent des locaux de l’entreprise».

 

 «L’accord évoque également pour la première fois la nécessité de prévenir l’isolement professionnel que peut engendrer un télétravail mal organisé. Appuyons-nous sur cette avancée pour construire un droit nouveau qui remédierait aux nuisances du télétravail sans amoindrir ses bienfaits», poursuivent les signataires, dont l’ancien secrétaire général de Force ouvrière Jean-Claude Mailly, l’actuel secrétaire général de l’Unsa Laurent Escure, ou encore Louis Gallois, ancien patron notamment d’EADS, la SNCF et PSA.

«À l’image des tickets-restaurants ou des chèques vacances, financés par l’employeur et utilisables par le salarié, nous proposons un “chèque bureau” universel avec lequel les salariés pourraient payer l’accès à un tiers-lieu ou un espace de coworking et utiliser ses installations», écrivent-ils.

Ils proposent que ce dispositif soit «cofinancé par l’État et les collectivités locales pour permettre au salarié de travailler dans le bureau de proximité de son choix», qu’il soit «émis directement par l’employeur ou par l’intermédiaire d’une société spécialisée» et que le comité social et économique (CSE) des entreprises puisse aussi participer au financement.

Télétravail : un «chèque bureau» ou le retour de la bureaucratie socialiste

Télétravail : un «chèque bureau» ou le retour de la bureaucratie socialiste

 

 

Nouvelle grande idée bureaucratique du courant socialiste ( bobos socialiste) avec cette proposition d’un chèque bureau sur le modèle des chèques restaurant pour réguler le télétravail. Encore une sorte de cathédrale administrative et en plus à la clé évidemment des nouveaux moyens de financement assuré à la fois par l’État et les collectivités locales. Bref par l’impôt comme si déjà la France n’était pas écrasée par les prélèvements obligatoires.

 

Dans une tribune publiée par le JDD, des personnalités parmi lesquelles l’ancienne ministre du Travail Myriam El Khomri ou Benoît Hamon (Générations), rappellent que «dans l’accord national du 26 novembre 2020, les partenaires sociaux ont défini le cadre du télétravail, précisant notamment qu’il pouvait aussi s’exercer dans un tiers-lieu, différent des locaux de l’entreprise».

 

 «L’accord évoque également pour la première fois la nécessité de prévenir l’isolement professionnel que peut engendrer un télétravail mal organisé. Appuyons-nous sur cette avancée pour construire un droit nouveau qui remédierait aux nuisances du télétravail sans amoindrir ses bienfaits», poursuivent les signataires, dont l’ancien secrétaire général de Force ouvrière Jean-Claude Mailly, l’actuel secrétaire général de l’Unsa Laurent Escure, ou encore Louis Gallois, ancien patron notamment d’EADS, la SNCF et PSA.

«À l’image des tickets-restaurants ou des chèques vacances, financés par l’employeur et utilisables par le salarié, nous proposons un “chèque bureau” universel avec lequel les salariés pourraient payer l’accès à un tiers-lieu ou un espace de coworking et utiliser ses installations», écrivent-ils.

Ils proposent que ce dispositif soit «cofinancé par l’État et les collectivités locales pour permettre au salarié de travailler dans le bureau de proximité de son choix», qu’il soit «émis directement par l’employeur ou par l’intermédiaire d’une société spécialisée» et que le comité social et économique (CSE) des entreprises puisse aussi participer au financement.

Propagande des élections départementales

Mark Zuckerberg : un chèque de 300 millions pour la démocratie

Mark Zuckerberg : un chèque de 300 millions pour la démocratie

 

Une curieuse façon de favoriser la démocratie celle qui consiste à financer le coût des élections par des organismes privés. Le président américain a tout fait pour réduire ses moyens car il souhaite une participation la plus faible possible. Une forte participation lui serait certainement nuisible car elle inciterait des abstentionnistes à voter pour Biden. Du coup, certaine grande fortunes sortent  leur carnet de chèques pour participer à la place de l’État au financement des moyens de la consultation électorale. C’est ainsi que Marc Zuckerberg a annoncé une nouvelle contribution de 100 millions qui s’ajoutent un premier versement de 200 millions pour faciliter la participation électorale. Cette somme servira à acheter des machines de vote, des équipements de protection sanitaire pour les personnes travaillant dans les bureaux de vote et des agents supplémentaires, a détaillé l’entrepreneur dans un message sur Facebook. «Entre le Covid et un financement public insuffisant pour les élections, les responsables électoraux qui s’efforcent de s’assurer que tout le monde puisse voter en toute sécurité cette année font face à des défis sans précédent», écrit-il. Il a augmenté le montant de son don initial car la demande de la part des administrateurs d’élections a été «bien plus importante» qu’attendu, a souligné Mark Zuckerberg, dont la fortune personnelle est estimée par le magazine Forbes à un peu plus de 100 milliards de dollars.

La BCE: un chèque anticrise de 1350 milliards !

La BCE: un chèque anticrise de 1350 milliards !

 

Une nouvelle mesure chaque prise par la BCE qui d’un coup  a décidé d’augmenter de 600 milliards d’euros son plan , pour le porter à 1.350 milliards, le montant du “Programme d’achats d’urgence pandémique” (PEPP), un plan d’achats de dettes sur les marchés visant à faire baisser les coûts de financement des Etats, des entreprises et des ménages.

Les achats dans le cadre du PEPP seront en outre prolongés

“Les mesures d’assouplissement d’aujourd’hui sont une nouvelle illustration du fait que la BCE ne plaisante pas et qu’elle est prête à faire tout ce qu’il faudra pour aider la zone euro à sortir vivante et entière de la crise du coronavirus. La BCE jouera son rôle et elle espère que les gouvernements joueront le leur”, commentent les analystes de la banque Nordea dans une note.

La BCE s’attend désormais à une contraction de 8,7% de l’économie de la zone euro cette année, alors qu’elle tablait en mars sur une croissance de 0,8%.

Elle anticipe un rebond de 5,2% en 2021 et de 3,3% en 2022 mais Christine Lagarde a reconnu que la reprise était pour l’instant “laborieuse” et que les risques entourant son scénario de base penchaient à la baisse: l’hypothèse la plus sombre envisagée par la banque centrale est celle d’une contraction allant jusqu’à 12,6%.

La présidente de l’institution s’est par ailleurs dite confiante dans la possibilité d’une “bonne solution” au casse-tête juridique et politique que constitue la décision rendue début mai par la Cour constitutionnelle allemande, qui oblige la Bundesbank, la banque centrale nationale, à justifier d’ici début août les achats d’emprunts d’Etat.

Ces achats visent entre autres à faciliter la tâche des gouvernements de la zone euro, confrontés à l’envolée du chômage et des déficits budgétaires et contraints d’accroître fortement leurs emprunts sur les marchés financiers au risque d’une hausse de leurs coûts de financement.

Christine Lagarde a par ailleurs salué le projet ambitieux de la Commission européenne visant à compléter le budget de 1.100 milliards d’euros de l’Union pour la période 2021-2027 par un plan de relance de 750 milliards.

Sans surprise, la BCE n’a pas modifié ses taux d’intérêt : son taux de dépôt reste fixé à -0,5%, le taux de refinancement à zéro et le taux de la facilité de prêt marginal à 0,25.

Le fait que le taux de dépôt soit négatif signifie que les banques qui choisissent de déposer leurs liquidités excédentaires à la BCE plutôt que de les prêter doivent payer des intérêts à la banque centrale.

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