Archive pour le Tag 'chef'

Poutine change encore le chef de l’armée en Ukraine !

Poutine change encore le chef de l’armée en Ukraine !

 

Comme d’habitude en Russie, on fait porter le chapeau aux subalternes. C’est le cas aussi pour la guerre en Ukraine ou le chef des armées a encore été remplacé.

La preuve de la faillite de l’armée russe minée par la corruption et l’incompétence.

Trois mois seulement après sa désignation, Sergueï Sourovikine a été remplacé par Valéri Guérassimov.

Acte politique autant que décision stratégique, le remplacement mercredi parVladimir Poutine du commandant militaire en Ukraine illustre, selon les observateurs, la rivalité entre les «clans» du pouvoir russe à un moment où Moscou tente coûte que coûte d’arracher un succès sur le terrain dans le Donbass.

Le général Valéri Guérassimov, 67 ans, chef d’état-major des armées russes, a été officiellement désigné pour diriger les opérations à la place du général Sergueï Sourovikine, 56 ans. Celui-ci avait été nommé il y a trois mois seulement, avec l’appui notamment du sulfureux Evgueni Prigogine, dont les mercenaires du groupe Wagner sont actuellement à la manœuvre dans l’empoignade sanglante de Bakhmout et Soledar. , dont les mercenaires du groupe Wagner sont actuellement à la manœuvre dans l’e, que l’on surnomme le «cuisinier de Poutine», mène depuis des mois une campagne de dénigrement contre les chefs de l’armée et Sergueï Choïgou, le ministre de la Défense.

Le Figaro

Macron chef de file européen ?

Macron chef de file européen ?

 

Si le président avance en France sur un champ de mines, tout concourt à en faire aujourd’hui le principal chef de file de l’Union européenne, estime, dans sa chronique, Gilles Paris, éditorialiste au « Monde ».

 

Une affirmation sans doute un peu rapide de la part du « Monde ». On voit mal en effet se dessiner les réformes européennes qui pourraient être imputées à Macron depuis sa présidence de l’union. La vérité sans doute c’est que Macron parle beaucoup, se met en scène mais fait très peu. Témoin l’attitude de l’union européenne par rapport au conflit ukrainien où chaque État se positionne de manière isolée. Et ce ne sont pas les multiples conversations sans résultat entre  Macron et Poutine qui change la donne. Bien au contraire car elles entretiennent toutes les ambiguïtés.

À noter aussi l’absence officielle de l’union européenne, en tout cas le rôle marginal, dans la réunion de 40 pays réunis par les États-Unis en Allemagne à propos de l’Ukraine et du climat de guerre actuel NDLR

 

Le paradoxe est saisissant. Au premier tour de l’élection présidentielle française, dimanche 10 avril, les partisans d’un rejet de l’Union européenne (UE) dans sa forme actuelle avaient obtenu ensemble une majorité absolue de voix. Deux semaines plus tard, Emmanuel Macron s’est pourtant présenté devant ses partisans rassemblés sur l’esplanade du Champ-de-Mars au son de l’hymne européen. La réélection à plus de 58 % d’un président sortant qui a placé la souveraineté européenne au cœur de sa campagne a été immédiatement accueillie par un soulagement non feint à Bruxelles, comme dans la majorité des capitales de l’UE.

Emmanuel Macron avance en France sur un champ de mines, compte tenu de la puissance d’un vote contestataire et des motivations divergentes des électeurs qui lui ont permis de l’emporter, certains voulant avant tout faire barrage au Rassemblement national de Marine Le Pen. Il peut, en revanche, aborder l’avenir de l’Europe avec les coudées franches. Les larges pouvoirs en politique étrangère que lui confère la Constitution le lui permettent.

Tout concourt à faire de lui aujourd’hui le principal chef de file de l’UE : l’expérience acquise au cours de son premier mandat comme la vision d’un meilleur avenir, avancée de longue date. Il avait énoncé, en septembre 2017, les fondations d’une construction européenne renforcée dans un discours prononcé à la Sorbonne et qui s’adressait directement à la chancelière allemande, Angela Merkel. Cette dernière, qui jouait alors le rôle de métronome européen du fait de sa longévité à la tête du géant économique de l’UE, n’y avait jamais vraiment répondu.

Le retour du tragique dans l’histoire, mentionné dans le discours de la victoire, dimanche 24 avril, a donné tout son sens à l’objectif de souveraineté européenne défendu par le président français. La déflagration économique liée à la pandémie de Covid-19, puis le défi sécuritaire lancé aux Européens par l’invasion russe de l’Ukraine ont rendu intelligibles les propositions françaises. La mutualisation des dettes en a été une première application.

Selon Benjamin Haddad, directeur Europe de l’influent cercle de réflexion Atlantic Council, « une fenêtre d’opportunité sans précédent s’ouvre »« Non seulement les idées françaises pour que les Européens pensent en termes de puissance et de rapports de force dans les domaines militaires ou de sécurité énergétique sont au rendez-vous de l’histoire, mais elles peuvent également bénéficier de la transformation en cours en Allemagne », estime cet expert qui compte parmi les partisans du président français. Il fait référence à un réveil stratégique allemand esquissé par le chancelier social-démocrate, Olaf Scholz, arrivé aux affaires à la fin de l’année 2021.

Le chef du renseignement militaire français licencié …comme en Russie ?

Le  chef du renseignement militaire français licencié …comme en Russie ? 

 

 

En Russie,  Poutine a procédé à un vaste nettoyage d’environ 1000 personnes constituant son entourage politique, économique et militaire. Parmi eux des responsables du renseignement qui ont trahi la réalité sans doute pour faire plaisir au dictateur ou par incompétence

C’est un peu aussi ce qui se produit en France où le chef du renseignement militaire vient d’être remercié pour insuffisance. Le renseignement français aurait sous-estimé les intentions russes concernant l’envahissement de l’Ukraine. Le problème est que sur le papier l’armée française constitue une grande puissance mais qui ne se vérifie pas en termes opérationnels. Conséquence notamment de crédits régulièrement rabotés et de services mal ou peu équipés. S’y ajoute une conception de la politique un peu désuète avec la prolifération de conflits de type guérilla ou terroristes. Une remise à plat de cette politique de défense par les politiques serait utile pour éviter que ce domaine soit confisqué par des militaires forcément un peu corporatistes et souvent en retard d’une guerre.

Le patron du renseignement militaire français, le général Éric Vidaud, va quitter ses fonctions suite notamment à ce qui a été jugé comme une insuffisance de ses services sur l’invasion russe en Ukraine, a appris l’AFP mercredi 30 mars de sources proches du dossier.

Selon la source militaire contactée par l’AFP, la DRM était dans le viseur de l’état-major des Armées depuis l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Mais la DRM «fait du renseignement militaire sur les opérations, pas sur l’intentionnalité», a-t-elle estimé. Les productions du service concluaient que la Russie avait les moyens d’envahir l’Ukraine. «Ce qui s’est passé lui donne raison», a-t-elle fait valoir.

Selon une autre source militaire interrogée par l’AFP et qui a elle aussi requis l’anonymat, le départ du haut-gradé faisait l’objet de rumeurs depuis quelques jours au sein de l’armée. Mais il était question qu’un autre poste lui soit confié, ce qui n’aurait finalement pas été le cas. Le général Vidaud avait été nommé à ce poste l’été dernier, en provenance du Commandement des opérations spéciales (COS). Mais sa nomination avait été le fruit de jeux de chaises musicales qui avaient fait du bruit au sein de la communauté militaire.

Début mars, peu après l’invasion de l’Ukraine par les forces russes, le chef d’état-major des armées, le général Thierry Burkhard, avait admis dans le journal Le Monde des divergences d’analyses entre Français et anglo-saxons sur la question d’une possible invasion de l’Ukraine. «Les Américains disaient que les Russes allaient attaquer, ils avaient raison. Nos services pensaient plutôt que la conquête de l’Ukraine aurait un coût monstrueux et que les Russes avaient d’autres options» pour faire chuter le président Volodymyr Zelensky, avait-il reconnu.

Société–Macron , un chef des armées qui n’a pas fait son service militaire !

Société–Macron , un chef des armées qui n’a pas fait son service militaire !

 

 

Florence Parly évidemment n’a pas fait son service militaire bien qu’elle soit en charge du ministère des armées et pas davantage Macron, chef suprême des armées.

 

Une situation qui en dit long sur la crédibilité de ceux qui gouvernent la France et sur leurs compétences également. Un rappel de la situation de Macron par rapport à son exemption de service militaire ( dans Libé)

 

Né en 1977, , Emmanuel Macron aurait pu faire son service national. Le service a effectivement été supprimé par la loi du 28 octobre 1997, qui dispose que «les jeunes hommes nés en 1979 sont exemptés de l’appel de préparation à la défense». Il n’est pas fait mention dans la loi de la classe d’âge née avant cette date. Pour autant, le journaliste spécialisé dans les questions de défense Jean-Dominique Merchet explique sur son blog qu’en fait, une minorité des hommes nés en 1977 (qui avaient 20 ans, donc, au moment de la loi supprimant le service) ont finalement effectué leur service:

«Emmanuel Macron appartient pourtant aux toutes dernières classes d’âge encore soumises à l’obligation de la conscription, puisque celle-ci a été suspendue, en 1996, pour «tous les Français nés après le 31 décembre 1978». En pratique, seule une poignée de jeunes nés en 1977 ont réellement été incorporés, à la fin de la période de transition vers l’armée professionnelle.»

Une analyse confirmée dans le livre de Béatrice Houchard Le Fait du prince: petits et grands caprices des présidents de la Ve République:

«Quant à Emmanuel Macron, né en 1977, il aurait pu faire son service militaire s’il avait vraiment insisté, mais il faisait partie de la dernière classe avant la mise en place de l’armée de métier, décidée dès 1995 par Jacques Chirac. Et il n’insista pas pour porter l’uniforme.»

Politique–Macron , un chef des armées qui n’a pas fait son service militaire

Politique–Macron , un chef des armées qui n’a pas fait son service militaire

 

 

Florence Parly évidemment n’a pas fait son service militaire bien qu’elle soit en charge du ministère des armées et pas davantage Macron, chef suprême des armées.

 

Une situation qui en dit long sur la crédibilité de ceux qui gouvernent la France et sur leurs compétences également. Un rappel de la situation de Macron par rapport à son exemption de service militaire ( dans Libé)

 

Né en 1977, , Emmanuel Macron aurait pu faire son service national. Le service a effectivement été supprimé par la loi du 28 octobre 1997, qui dispose que «les jeunes hommes nés en 1979 sont exemptés de l’appel de préparation à la défense». Il n’est pas fait mention dans la loi de la classe d’âge née avant cette date. Pour autant, le journaliste spécialisé dans les questions de défense Jean-Dominique Merchet explique sur son blog qu’en fait, une minorité des hommes nés en 1977 (qui avaient 20 ans, donc, au moment de la loi supprimant le service) ont finalement effectué leur service:

«Emmanuel Macron appartient pourtant aux toutes dernières classes d’âge encore soumises à l’obligation de la conscription, puisque celle-ci a été suspendue, en 1996, pour «tous les Français nés après le 31 décembre 1978». En pratique, seule une poignée de jeunes nés en 1977 ont réellement été incorporés, à la fin de la période de transition vers l’armée professionnelle.»

Une analyse confirmée dans le livre de Béatrice Houchard Le Fait du prince: petits et grands caprices des présidents de la Ve République:

«Quant à Emmanuel Macron, né en 1977, il aurait pu faire son service militaire s’il avait vraiment insisté, mais il faisait partie de la dernière classe avant la mise en place de l’armée de métier, décidée dès 1995 par Jacques Chirac. Et il n’insista pas pour porter l’uniforme.»

Macron : un chef des armées qui n’a pas fait son service militaire

Macron : un chef des armées qui n’a pas fait son service militaire

 

 

Florence Parly évidemment n’a pas fait son service militaire bien qu’elle soit en charge du ministère des armées et pas davantage Macron, chef suprême des armées.

 

Une situation qui en dit long sur la crédibilité de ceux qui gouvernent la France et sur leurs compétences également. Un rappel de la situation de Macron par rapport à son exemption de service militaire ( dans Libé)

 

Né en 1977, , Emmanuel Macron aurait pu faire son service national. Le service a effectivement été supprimé par la loi du 28 octobre 1997, qui dispose que «les jeunes hommes nés en 1979 sont exemptés de l’appel de préparation à la défense». Il n’est pas fait mention dans la loi de la classe d’âge née avant cette date. Pour autant, le journaliste spécialisé dans les questions de défense Jean-Dominique Merchet explique sur son blog qu’en fait, une minorité des hommes nés en 1977 (qui avaient 20 ans, donc, au moment de la loi supprimant le service) ont finalement effectué leur service:

«Emmanuel Macron appartient pourtant aux toutes dernières classes d’âge encore soumises à l’obligation de la conscription, puisque celle-ci a été suspendue, en 1996, pour «tous les Français nés après le 31 décembre 1978». En pratique, seule une poignée de jeunes nés en 1977 ont réellement été incorporés, à la fin de la période de transition vers l’armée professionnelle.»

Une analyse confirmée dans le livre de Béatrice Houchard Le Fait du prince: petits et grands caprices des présidents de la Ve République:

«Quant à Emmanuel Macron, né en 1977, il aurait pu faire son service militaire s’il avait vraiment insisté, mais il faisait partie de la dernière classe avant la mise en place de l’armée de métier, décidée dès 1995 par Jacques Chirac. Et il n’insista pas pour porter l’uniforme.»

Macron : président et infirmier en chef Covid

Macron : président et infirmier en chef Covid

Alors que le que le porte-parole du gouvernement lui-même reconnaît la violence de la cinquième vague depuis maintenant presque un mois, on attend vainement des mesures à la hauteur des risques. En fait on attend la décision du président infirmier en chef de la  Covid. Le problème est que ce dernier en cette période pré électorale ne veut pas brusquer les Français. Il faudra donc des chiffres encore plus inquiétants pour imposer la troisième dose  pour tout le monde et le confinement pour les réfractaires. Sans parler des mesures barrière un peu plus exigeant pour les  rassemblements par exemple dans les stades où on ne respecte strictement rien.

En France, le haut niveau de vaccination permet à l’exécutif de ne pas évoquer de nouvelles restrictions, alors que le sujet est inflammable. L’exemple de la Guadeloupe le montre, mais aussi des manifestations, parfois violentes, contre les nouvelles mesures de restriction sanitaire en Belgique, aux Pays-Bas ou encore en Autriche.

Le problème est que le nombre de contaminés ne cesse d’augmenter chaque jour. Pour Macro, il s’agit de concilier sa fonction d’infirmier en chef qui implique des mesures radicales avec sa posture de futur candidat à la présidentielle qui implique, elle,  de ménager l’électorat

Un en même temps difficile à gérer qui explique un  certaine immobilisme. Un immobilisme qui n’est cependant pas sans danger dans la mesure où la gestion sanitaire constitue à peu près le seul résultat à peu près positif de la gestion de l’actuel président de la république.

TAPIE, chef d’entreprise exemplaire !

TAPIE, chef d’entreprise exemplaire !

 

 

Bien entendu à l’occasion du décès de l’intéressé on trouve des qualités tout à fait exceptionnelles à Bernard Tapie au point dans la presse parfois d’en faire un exemple de chef d’entreprise, voire un héros  Certes l’intéressé ne manquait pas de dynamisme mais le résultat de son action n’a pas été toujours dans l’intérêt des entreprises loin s’en faut. Ce qui rappelle le Figaro.

« . Sa marque de fabrique: racheter des entreprises au bord de la faillite, parfois pour un franc symbolique, avant de les revendre plus tard avec une juteuse plus-value.

Il va ainsi mettre la main sur une quarantaine d’entreprises: les balances Terraillon, la chaîne de magasins bio La Vie Claire ou encore la société française de vente par correspondance Manufrance. Il restructure, licencie, écrème, aidé par la banque SDBO, filiale du Crédit lyonnais qui l’accompagnera dans ses « bons coups ». Autoproclamé « samu des entreprises », le bilan de Tapie est pourtant rarement positif mais l’homme d’affaires s’en sort mieux que ses prises de guerre. Il parvient souvent à céder à bon prix ses entreprises restructurées.

Meilleur exemple: le fabricant de piles Wonder qu’il tente de relancer en vain. Il ferme quatre usines, licencie 600 salariés et permet ainsi au cours de bourse de retrouver de l’air. Malgré une fusion avec l’entreprise Saft-Mazda, les ventes ne décollent pas. Il finit par revendre pour 470 millions de francs la marque à l’américain Ralston, à la fin des années 1980, qui cherche à implanter Energizer dans l’hexagone. Wonder va finir par disparaitre. Pour Tapie, c’est sa plus grosse plus-value.

Même sort pour Manufrance, liquidé en 1986. La Vie Claire est revendue avec deux fois moins de boutiques. Testut, marque emblématique de pèse-personne, ne se remettra pas non plus de la cure drastique de Tapie, alors que ce dernier est condamné pour abus de biens sociaux en lien avec cette entreprise en 1996. Reste tout de même le redressement de Look Cycle International grâce aux premières pédales de vélo à fixation rendues célèbres par Bernard Hinault vainqueur du Tour de France 1985. Il revend l’entreprise en 1990.

Mais son gros coup, c’est évidemment le rachat de l’équipementier Adidas, en 1990, financé en grande partie par la SDBO, filiale du Crédit Lyonnais..

Une acquisition permise grâce à ses amitiés avec Mitterrand. Une acquisition qui donnera lieu à un scandale qui dure depuis 25 ans grâce aussi aux amitiés qu’entretenait Bernard Tapie avec Sarkozy et maintenant Macron. Une affaire qui pourrait bien durer encore 25 ans et finir en eau de boudin comme nombre de dossiers politico-économiques.

Gonflé : le chef des putschistes maliens accuse la France d’abandon

Gonflé :  le chef des putschistes maliens accuse la France d’abandon

 

 

 

S’il est clair que les pays riches y compris la France n’accordent pas le soutien nécessaire aux pays pauvres notamment en Afrique il est tout aussi évident que les déclarations excessives et caricaturales de certains chefs d’État africain ne peuvent que faire douter de l’intérêt de l’aide des pays développés.

 

On ne peut en effet qu’être choqué par les déclarations du premier ministre malien désigné par la junte militaire qui recherche actuellement des alliances avec la Russie et se montrent particulièrement bienveillantes par rapport à certains courants terroristes.

 

Disons le clairement, le plus souvent les militaires africains sont plus compétents pour faire des putschs que pour assumer leurs responsabilités de défense de leur pays. C’est le cas encore pour les putschistes maliens qui reprochent à la France son abandon.

 

la force Barkhane  ne n’est pas suffisamment dimensionnée notamment en raison du manque de soutien de l’Europe qui globalement se désintéresse de l’Afrique. Pour autant ,les putschistes maliens pas davantage que le pouvoir précédent ne sont capables de gérer le moindre maintien de l’ordre en dehors de la capitale. Il est clair que si les Russes mettent les pieds au Mali ce sera le désordre pour une longue période. Les russes  sont en effet champion pour déstabiliser un pays déjà secoué par un État complètement paralysé et par différents courants terroristes qui gangrènent le pays.

«La nouvelle situation

(…) nous conduit à explorer les voies et moyens pour mieux assurer la sécurité de manière autonome avec d’autres partenaires», a-t-il fait valoir à la tribune de l’Assemblée générale des Nations unies à New York. Sans doute des aides russes voir chinoises surtout intéressés par la déstabilisation d’un champ géographique jusque-là sous influence française.

L’élimination du chef Jihadiste du Sahara (Christophe Gomart)

L’élimination du chef Jihadiste du Sahara  (Christophe Gomart)

Christophe Gomart , ancien directeur du renseignement militaire, revient sur l’opération d’élimination du chef djihadiste du Sahara. (Dans le JDD, extrait)

 

L’élimination d’Adnan Abou Walid Al-Sahraoui, le chef de Daech au Sahel, a été annoncée jeudi alors qu’elle a été menée le 17 août. Pourquoi un tel délai?
Dans ce genre d’opérations, la question de l’authentification est cruciale. Après chaque raid comparable de drone, il y a toujours une mission de vérification au sol dans la foulée, pour s’assurer de l’identification de la personne ciblée. Dans les heures qui précèdent et au cours même du raid, il y a toujours des images ou du son qui sont exploitables. Et si on finit par tirer, après avoir écarté les risques de dommages collatéraux, c’est parce qu’il y a une quasi-certitude qu’on a identifié notre cible. Mais il s’agit aussi de récupérer du matériel ou des données qui permettent de compléter nos informations. Pour Omar Ould Hamada, l’un des chefs d’Al-Qaida éliminé en 2014, on ne savait pas s’il avait été tué par un bombardement ou au contact des forces tchadiennes au sol accompagnées par des éléments de nos forces spéciales. On avait récupéré son ADN, que l’on avait transmis à la DGSI. La DGSI l’avait ensuite fait authentifier par les services de renseignement algériens. Tout cela peut prendre du temps.

Faut-il attendre que les organisations djihadistes reconnaissent la perte d’un de leurs chefs ou les devancer au risque d’être démentis?
Le temps d’attente permet à toutes les autorités politiques et militaires d’êtres prévenues. Ce n’est pas le commandement des opérations spéciales qui décide de communiquer en la matière. La communication est assurée à trois niveaux avec le chef d’état-major des armées en coordination avec la ministre des Armées et le président de la République, et parfois à quatre avec le directeur de la DGSE, comme on l’a vu jeudi. Dans la très grande majorité des cas, les djihadistes ont toujours reconnu leurs pertes, même deux ans plus tard pour Ould Hamada. Ça participe de la glorification de leur martyr qui a rejoint le paradis d’Allah. Ça leur permet aussi d’introniser le successeur du chef tué.

Sahara : le chef islamiste tué par l’armée française

Sahara : le chef islamiste tué par l’armée française

 

Le chef du groupe djihadiste État islamique au Grand Sahara (EIGS), Adnan Abou Walid al Sahraoui, a été tué par la force Barkhane L’EIGS est considéré comme l’auteur de la plupart des attaques dans la zone des trois frontières, à cheval sur le Mali, le Niger et le Burkina Faso. Cette zone dite des «trois frontières» est la cible récurrente d’attaques de deux groupes armés djihadistes: l’État islamique au Grand Sahara (EIGS) et le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM), affilié à Al Qaïda.

Une victoire d’après le président de la république. Reste cependant à définir l’avenir de la force Barkhane qui s’est mis en retrait depuis le coup d’État au Mali et qui souffre d’une inadaptation par rapport aux immenses enjeux. Dans cette affaire, la France demeure relativement isolée du fait de l’indifférence de l’union européenne notamment.

Macron à la télé : président ou chef infirmier

Macron à la télé : président ou chef infirmier

 

La question qui se pose est de savoir quel est le rôle actuel du président de la république qui paraît relativement paralysé en raison bien sûr de la crise sanitaire mais aussi de la position ultra minoritaire de son parti dans le pays. Le parti en marche ne représente sans doute d’après les régionales que 2 à 3 % des inscrits et encore grâce à des alliances.

Jupiter est seul, il l’a voulu, il le demeure mais finalement n’exerce son emprise que sur des sujets relativement mineurs faute de pouvoir engager désormais la moindre réforme significative. Pourtant l’objet de son intervention télévisée devait être de réaffirmer son volontarisme, son réformisme , sa posture disruptive.

En fait il devra se rabattre sur la question de la situation sanitaire pour jouer le rôle à nouveau de chef infirmier. Bien loin de ses grandes ambitions de super président à dimension mondiale.

Il va recommander ici ou là de porter le masque, de développer les tests voire éventuellement après débat d’envisager le caractère obligatoire de la vaccination.

Pour un peu le chef de l’État donnerait aussi des conseils alimentaires ou des recettes de cuisine , des sujets plus consensuels par exemple que la réforme des retraites.

Le chef des Gardiens de la révolution iraniens sanctionné par l’union économique

Le chef des Gardiens de la révolution iraniens sanctionné par l’union économique

L’union économique a décidé de sanctionner Hossein Salami, chef des Gardiens de la révolution, la force de sécurité la plus puissante et la plus lourdement armée de la République islamique.

« Hossein Salami a participé aux réunions qui ont abouti aux ordres de recourir à la force létale pour réprimer les manifestations de novembre 2019. Par conséquent, Hossein Salami porte la responsabilité de graves violations des droits de l’homme en Iran », est-il écrit dans le Journal officiel de l’UE.

Parmi les autres personnes visées par les sanctions de l’UE, qui entrent en vigueur lundi, figurent des membres de l’organisation Basij, qui est placée sous le commandement des Gardiens de la révolution, et son chef, Gholamreza Soleimani.

Des diplomates ont déclaré que ces sanctions étaient sans rapport avec les efforts visant à relancer l’accord nucléaire.Officiellement non, mais officieusement !

 

 

Capitole : Le chef républicain du Sénat dénonce Trump

Capitole : Le chef républicain du Sénat dénonce Trump

 

 

Pour le chef de la majorité au Sénat américain, Mitch McConnell, Trump est directement responsable des événements du capitole. Il en est le principal instigateur «La foule était nourrie de mensonges. Ils ont été provoqués par le président et d’autres personnes puissantes », a déclaré McConnell dans un discours prononcé devant le Sénat.

Mercredi dernier, la Chambre des représentants américaine a destitué Trump pour la deuxième fois. Le Sénat n’a pas encore programmé de procès pour déterminer la culpabilité ou l’innocence de Trump.

McConnell a déclaré la semaine dernière qu’il écouterait les arguments présentés lors du procès du Sénat avant de décider comment voter sur l’accusation de destitution d’incitation à une insurrection qui a abouti au siège du Capitole.

Le leader démocrate au Sénat Chuck Schumer, qui est sur le point de devenir leader de la majorité au Sénat dans les prochains jours, a déclaré dans un discours au Sénat que Trump «est une menace pour notre ordre constitutionnel, qu’il soit en poste ou non».

Le mandat de Trump en tant que président se termine mercredi lorsque le président élu Joe Biden est assermenté.

Schumer a ajouté que si Trump était condamné, le Sénat voterait alors pour l’empêcher de se présenter à nouveau à la présidence.

Les partisans de Trump ont attaqué le Capitole le 6 janvier, retardant de plusieurs heures la certification de la victoire électorale de Biden en novembre, forçant les législateurs à se mettre en sécurité et entraînant la mort de cinq personnes, dont un officier de police du Capitole.

Le chef militaire d’Al Qaïda tué par la France

Le chef militaire d’Al Qaïda tué par la France

 

Pendant que les militaires maliens engagent des négociations avec certains rebelles présents dans les régions proches de l’Algérie, la France, elle, mène des opérations de grande envergure contre les terroristes. Non seulement la force Barkhane  a tué il y a quelques jours une cinquantaine de djihadistes mais  hier encore une dizaine ;  en plus elle a tué le chef militaire de la branche sahélienne d’Al Qaïda, le Malien Bah ag Moussa, au cours d’une opération aéroportée menée mardi soir dans le nord-est du Mali, annonce vendredi la ministre des Armées, Florence Parly. De quoi contrarier un peu plus les négociations entre le gouvernement militaire du Mali et les terroristes. Des négociations condamnées par la France.

L’ancien officier de l’armée malienne, également connu sous le nom de Bamoussa Diarra, était un lieutenant d’Iyad Ag Ghali, le chef touareg du Rassemblement pour la victoire de l’Islam et des musulmans (RVIM), lié à Al Qaïda.

“Cadre historique de la mouvance djihadiste au Sahel, Bah ag Moussa est considéré comme responsable de plusieurs attaques contre les forces maliennes et internationales”, dit Florence Parly dans un communiqué qui salue “un succès majeur dans la lutte contre le terrorisme”.

La ministre des Armées précise que “d’importants moyens de renseignement ainsi qu’un dispositif d’interception composé d’hélicoptères et de troupes au sol” ont été mobilisés.

Cette intervention a été lancée alors que vient de s’achever une opération d’envergure de la force Barkhane et ses alliés africains et européens contre les groupes liés à Al Qaïda et à l’Etat islamique dans la zone dite des “trois frontières”, pendant laquelle des dizaines de djihadistes ont été tués.

Bah ag Moussa avait déserté l’armée malienne dès 2012 pour rejoindre la rébellion et fonder avec Iyad ag Ghali le groupe djihadiste Ansar Dine, devenu RVIM (ou GSIM ou JNIM, selon l’acronyme retenu) à la faveur d’une fusion avec Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) et d’autres groupes islamistes.

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