Archive pour le Tag 'chauffe !'

Climat en France : ça chauffe toujours plus

Climat  en France : ça chauffe toujours plus

Progressivement mais sûrement, les températures augmentent en France comme les émissions polluantes (même si on ne peut faire de liens direct de cause à effet compte tenu de la dimension mondiale du problème) ;  En 2018, avec 8,2 °C de moyenne (+3,1 °C d’écart de la norme), janvier a été le mois le plus anormal en France. .  La moyenne nationale du dernier mois de l’année, de 7,4°C, a dépassé la normale de 1,5°C. La moyenne annuelle, de 13,49 °C, dépasse le record de 2014, de 13,46 °C. Mais la douceur a encore dominé en décembre dans l’Hexagone, selon Météo-France. Pendant les premiers dix jours du dernier mois de l’année, les températures ont notamment été particulièrement élevées, dépassant de près de 5°C les normales de saison. Après le rafraîchissement sensible qui a eu lieu du 11 au 17, marquant un retour aux normales saisonnières, le thermomètre a encore dépassé un peu les moyennes de saison, malgré le coup de froid enregistré entre le 25 et le 29 décembre.

Globalement, la moyenne nationale, de 7,4°C, a dépassé la normale de 1,5°C. « L’excédent est assez uniforme sur l’ensemble du pays », précise Météo-France. Décembre 2018 est ainsi le septième mois de décembre le plus doux depuis 1946. Le record de ce mois avait été atteint en 2015, avec une moyenne de 9,6°C (+3,1 °C d’écart de la norme). Décembre vient ainsi clôturer une année « exceptionnellement chaude ». Tous les mois, sauf février et mars, ont en effet dépassé les moyennes nationales. Avec 8,2 °C de moyenne (+3,1 °C d’écart de la norme), janvier a été le mois le plus anormal. 2018 établit ainsi un nouveau record de chaleur en moyenne nationale (13,49 °C). Un peu en-dessus du record de chaleur de 2014 (13,46 °C), et bien loin du record de froid de 1956, seule année sous le seuil des 10 °C, avec une moyenne annuelle de 9,9 °C: . orages ».

2017: Sarkozy – Juppé : ça chauffe déjà !

Sarkozy – Juppé : ça chauffe !

 

C’est pari pour les primaires à l’UMP et ça chauffe déjà,. Sarko, avec sa délicatesse habituelle,  a fait observer le grand âge de Juppé tandis que  Juppé , plus habile,  a estimé que Sarkozy ne devait pas s’attaquer à l’institution judicaire. C’est la confirmation que les ennuis de Sarko ne font pas que des heureux à gauche mais qu’il se défend à sa manière : en attaquant. La tension monte entre l’ancien président et l’ancien premier ministre, deux candidats potentiels pour représenter l’UMP en 2017. Alain Juppé n’écarte plus l’idée de se présenter être le candidat la droite en 2017. Nicolas Sarkozy n’a presque pas caché son intention de revenir lors de son interview télévisée mercredi 2 juillet. Résultat, entre les deux hommes, l’entente cordiale fait place aux petites piques. La dernière attaque en date est rapportée par Les Echosce vendredi. « Qu’il se présente, il me rajeunit », affirme Nicolas Sarkozy en privé, selon le quotidien, à propos de son aîné de 10 ans. Et d’ajouter : « Moi je n’ai jamais été condamné ! Et au fait, c’est quoi le bilan réformateur d’Alain Juppé ? Il est nul. » Allusion à la condamnation d’Alain Juppé en 2004, dans l’affaire des emplois fictifs de la ville de Paris (où en faiat Juppé a payé pour Chirac). Réagissant à la mise en examen de Nicolas Sarkozy. Alain Juppé avait pour sa part estimé jeudi que « vilipender » l’institution judiciaire n’était pas  »une bonne méthode. »

 

Budget : ça chauffe au PS contre le pacte de responsabilité

Budget : ça chauffe au PS contre le pacte de responsabilité  

 

Début de tourmente au sien du PS à l’assemblée contre le  Pacte de responsabilité et de solidarité qui  s’est retrouvé sous les tirs croisés de la droite ; une sévère  critique de mauvais choix dommageables aux Français, mais surtout d’une portion de la gauche, décidée à « réorienter » le Pacte en faveur des ménages. Les gestes du gouvernement et les appels à la discipline, encore réitérés dans la matinée lors de la réunion du groupe PS n’ont pas fait taire les récalcitrants. Les débats, qui ont peu avancé et n’ont débouché que sur de légères retouches du texte, ont surtout illustré dans la soirée l’ampleur des fractures dans la majorité, où le plan de 50 milliards d’économies d’ici 2017 coince toujours, au-delà des 41 abstentionnistes PS. Dans un hémicycle inhabituellement garni, avec plusieurs dizaines de députés à gauche, un amendement de certains socialistes, identique à un amendement écologiste, a occasionné une discussion sur le fil du rasoir, soldée par le rejet des amendements – par 77 voix contre 51 dans le cas de l’amendement PS. Bruno Le Roux avait pourtant appelé à plusieurs reprises à ne pas défendre d’amendements n’ayant pas le feu vert du groupe socialiste et à ne « pas chercher des majorités ailleurs dans l’hémicycle ». L’objectif était d’obliger une entreprise à rembourser les sommes versées au titre du CICE en cas de non respect des objectifs de la loi, par exemple si elle s’en est servie pour augmenter les dividendes ou les hautes rémunérations. « C’est un chaînon manquant depuis deux ans », « une exigence démocratique » et une manière d’ »armer les partenaires sociaux », a notamment plaidé Jean-Marc Germain (PS), relayé ensuite par d’autres frondeurs. « Les parlementaires s’assurent que l’argent est justement employé, alors que les 20 milliards par an que vont coûter le CICE sont financés par les efforts des Français, la TVA hier, le gel de prestations sociales demain », a lancé Eva Sas (écolo), appuyée fortement par Cécile Duflot. Pas convaincu, comme plusieurs autres récalcitrants, Laurent Baumel a alerté notamment sur « le trouble que pourrait créer chez les électeurs » des informations sur des entreprises ayant touché le CICE et supprimé des emplois ou délocalisé malgré cette baisse du coût du travail. Dominique Lefebvre, Christophe Caresche ou Guillaume Bachelay sont intervenus pour appeler leurs camarades à la raison. « Aucun d’entre nous ne veut de détournement du CICE » mais attention aux effets d’un tel « amendement de défiance par rapport aux chefs d’entreprise mais aussi aux partenaires sociaux », a prévenu Olivier Faure, s’adressant notamment à « Jean-Marc » parce que « nous avons été dans le même cabinet autrefois » sous la houlette de Martine Aubry. La droite, qui a critiqué des travers d’un CICE bénéficiant massivement à la grande distribution ou à La Poste, n’a pas manqué d’ironiser sur « une sorte de débat interne à un congrès ou à un conseil national du PS ». « Nous étions tous rassemblés en juillet 2012 pour annuler la TVA sociale de Nicolas Sarkozy, six mois avant le CICE, un succédané », a par ailleurs lancé Nicolas Sansu (Front de Gauche). La reprise des débats sur ce texte prévoyant un déficit ramené à 3,8% du PIB était intervenue ce mardi peu après l’appel de François Hollande à plus de « flexibilité » de l’Union européenne dans « l’application des règles budgétaires ». Le ministre des Finances Michel Sapin a néanmoins défendu ce lundi comme « indispensable » le plan massif d’économies, soulignant que des mesures parallèles étaient prises pour « soutenir le pouvoir d’achat et la demande ».

 

Affaire Tapie : Guéant toujours en garde à vue, ça chauffe !

Affaire Tapie : Guéant toujours en garde à vue, ça chauffe !

 

Troisième jour de garde à vue pour Guéant dans l’affaire Tapie.ça chauffe et certains pourraient bien finir par se déboutonner d’autant que Sarko paraît maintenant mal embarqué pour se représenter en 2017 .  Guéant à nouveau entendu mercredi matin. La garde à vue de l’ancien ministre de l’Intérieur Claude Guéant dans l’enquête sur l’arbitrage controversé dont a bénéficié Bernard Tapie dans son litige avec le Crédit Lyonnais, a été suspendue mardi soir et reprendra mercredi, a indiqué à l’AFP son avocat. « La garde à vue a été suspendue à 21h et doit reprendre mercredi vers 8h30″, a dit Me Philippe Bouchez El Ghozi. Quel rôle dans la décision de recourir à l’arbitrage ? L’ancien secrétaire général de l’Elysée, bras droit de Nicolas Sarkozy dans sa conquête du pouvoir comme dans son exercice, est entendu depuis lundi matin dans les locaux de la brigade financière à Paris. Sa garde à vue avait déjà été levée lundi soir avant de reprendre le lendemain à 8h30. Les enquêteurs de la brigade financière de la PJ parisienne devaient interroger leur ancien patron à l’Intérieur sur son rôle dans la décision de recourir à l’arbitrage, dans celle de ne pas contester la sentence, et dans la fiscalité jugée avantageuse appliquée à l’indemnité de plus de 400 millions d’euros octroyée en 2008 à Bernard Tapie.

 




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