Archive pour le Tag 'chaud'

Météo: Un été très chaud ?

Météo: Un été très chaud ?

 

Des conditions plus chaudes que la normale en France « sont les plus probables » pour les trois prochains mois (juin à août), a annoncé Météo-France sur son site ce mardi 28 mai. A noté quand même des précautions oratoire de Météo-France qui ne veut pas transformer ses probabilités en prévisions. Conclusio,n l’été sera chaud ou très changeant ou pas du tout !

Selon ces probabilités, à ne pas confondre avec des prévisions, il y a 50% de chance que la France métropolitaine connaisse un été météorologique (juin-juillet-août) plus chaud que les normales, 30% conforme aux normales et 20% plus froid, des chiffres identiques à une communication précédente pour la période mai-juin-juillet.

Concernant les précipitations, « le sud-ouest et le pourtour méditerranéen seront probablement plus secs que la normale alors qu’aucune tendance n’est privilégiée pour le reste du territoire ».

Ce scénario « n’exclut pas des épisodes ponctuels avec une pluviométrie pouvant être localement importante », avertit toutefois l’établissement public.

 

juillet 2023: le plus chaud de la planète

juillet 2023: le plus chaud de la planète


49°C en Tunisie, 48 °C en Algérie, en Sardaigne et en Grèce, 47°C en Sicile, et même 53°C dans la vallée de la mort en Californie… Après juin, ce mois de juillet aligne de (tristes) records de température. Selon une analyse de l’observatoire européen sur le changement climatique Copernicus publiée ce jeudi 27 juillet, il serait ainsi en passe de devenir le plus chaud jamais enregistré sur la planète.

juillet 2023 s’annonce comme le mois le plus chaud jamais enregistré, tous mois confondus. L’Organisation météorologique mondiale (OMM) et le service européen sur le changement climatique Copernicus qualifient ce classement de « quasi certain », dans une déclaration publiée jeudi 27 juillet. Les données définitives seront disponibles le 8 août.

Le climatologue allemand Karsten Haustein, professeur à l’université de Leipzig, parle même de « certitude », à cinq jours de la fin du mois. « On est tellement au-dessus des courbes que, quoi qu’il arrive, ce record sera battu », assure le scientifique, qui publie également une analyse jeudi. Selon ses données, les températures de juillet 2023 dépasseront de 0,2 °C le précédent record de juillet 2019 et s’avéreront plus élevées d’environ 1,5 °C par rapport à l’ère préindustrielle – une première pendant l’été de l’hémisphère Nord, lorsque la planète est la plus chaude.

Prévision CLIMAT: De plus en plus chaud pour la quasi-totalité des pays

Prévision CLIMAT: De plus en plus chaud pour la quasi-totalité des pays

En lien avec les émissions polluantes le climat de la majorité des pays risque d’augmenter au moins à moyen terme.De manière un peu mécanique la hausse des températures devrait encore davantage affecter les pays de l’hémisphère nord.
Or, selon l’ONU, les engagements actuels verraient les émissions augmenter de 13,7% d’ici 2030, loin de la baisse de moitié nécessaire pour maintenir à portée l’objectif idéal de l’accord de Paris de 2015, à savoir contenir le réchauffement mondial à +1,5°C par rapport à l’ère pré-industrielle.
Une ‘étude, publiée dans la revue Communications Earth and Environment, croise des données historiques d’émissions et les engagements pris avant la récente conférence mondiale sur le climat COP26 par les cinq plus grands émetteurs mondiaux (Chine, États-Unis, Union européenne, Inde et Russie) pour établir des prédictions de réchauffement par région d’ici la fin de la décennie.
D’après cette étude  92% des 165 pays étudiés devraient enregistrer une fois tous les deux ans u,ne année de températures extrêmement chaudes. Ces années étant définies comme atteignant le niveau record attendu une fois tous les cent ans à l’ère pré-industrielle, avant l’augmentation exponentielle des émissions dues à l’activité humaine responsables du changement climatique.
Une conclusion « qui souligne l’urgence et démontre que nous allons vers un monde bien plus chaud pour tout le monde », selon Alexander Nauels, de l’ONG Climate Analytics, co-auteur de l’étude.

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La Fed souffle le chaud et le froid

La Fed souffle le chaud et le froid

 

Comme c’était prévisible le patron a soufflé le chaud et le froid à propos d’un changement de politique monétaire. On sait que la dynamique économique américaine peut paraître assez solide, elle est actuellement sur un rythme de 6 %. Pour autant certains signes de faiblesse ont été constatés au cours de l’été du fait en particulier de la quatrième vague épidémique.

Il fallait donc le responsable de la banque fédérale américaine déclarer son soutien à une économie encore en convalescence tout en préparant les esprits à une politique moins accommodante dont il n’a pas précisé le calendrier. Pour l’instant rien ne change mais la banque centrale est prête à diminuer le montant des rachats d’actifs par exemple le moment venu. Pour l’instant les taux d’intérêt restent aussi en l’état.

Ce sera sans doute aussi l’axe stratégique des deux autres banques centrales jusqu’en 2022 tant  que l’économie et l’emploi n’auront pas manifester des signes de redressement significatif et durable.

« Lors de la réunion récente du comité monétaire de juillet, mon opinion, ainsi que celle de la plupart des participants, était que si l’économie évoluait en gros comme on l’anticipe, il pourrait être approprié de commencer à réduire le rythme des achats d’actifs cette année », a déclaré Jerome Powell.

 

Eté encore plus chaud selon Météo France ?

 Eté encore plus chaud selon Météo France ?

 

Selon météo, l’été risque d’être encore plus chaud., C’est ce qu’indique à franceinfo Francois Jobard, météorologue.

Quelle météo prévoyez-vous pour les trois prochains mois en France ?

 

François Jobard :  Pour les mois de mai, juin et juillet 2021, on s’attend à un temps plus chaud que la normale sur une grande partie du sud de l’Europe, France comprise, sauf pour la Bretagne et les régions proches de la Manche.

 

Au niveau des précipitations, ce trimestre devrait être plus sec en moyenne. Ça n’est pas forcément une bonne nouvelle, puisque l’on sort de trois mois déjà très secs. Février, mars et avril de cette année correspondent à l’un des trimestres les plus secs depuis 1957 et nous sommes dans un contexte où la pluie s’est faite beaucoup plus rare que d’habitude.

Peut-on être certain qu’il fera chaud en mai, juin et juillet ?

En moyenne, sur les trois mois, quand on fera le bilan, on s’attend à ce qu’on ait des températures supérieures à la normale de façon significative. Attention, la prévision saisonnière n’est pas une prévision météorologique mais climatique, puisqu’on parle sur des échelles de temps assez longues. On ne peut donc pas dire précisément si l’on va avoir une fin juin caniculaire, ou un début juillet frais et humide. Cela peut être difficile à appréhender sur des échelles de temps assez longues.

« Cet indicateur n’est d’aucune aide pour savoir si vous pourrez organiser un événement en extérieur fin juin, mais il est important pour certaines institutions, comme la prévision du risque de feux de forêt. »

Cela fait plusieurs années de suite que les températures estivales et printanières sont au-dessus des normales saisonnières. Observe-t-on l’impact direct du réchauffement climatique ?

Ce qui est certain, c’est que le réchauffement climatique accroît nettement la probabilité d’avoir des saisons plus chaudes que la normale. A l’inverse, la probabilité d’avoir des trimestres frais devient faible, voire très faible. Il faut aussi noter que jusqu’à cette année, nous prenons en compte les normales de températures qui vont de 1980 à 2010. A partir de 2022, nous actualiserons nos moyennes en passant sur la période de 1990 à 2020, nos normales seront donc plus chaudes.

Comment sont réalisées ces prévisions à long terme ?

Les prévisions saisonnières divergent des prévisions météo puisqu’il s’agit de tendances calculées sur trois mois. Elles sont réalisées à l’aide de modèles climatiques. On prend notamment en compte les interactions entre les océans et l’atmosphère. Une autre chose que l’on regarde en particulier sont les anomalies de température des océans. Il y a le phénomène El Niño qui est bien connu, mais il y a également des zones d’eau froide dans l’Atlantique, qui vont favoriser tel type de récurrence météorologique.

D’ailleurs, ce qui est vrai, tant pour les modèles de climats que ceux de prévisions météorologiques, c’est que l’on regarde ce qu’il se passe sur la planète entière. Pour avoir une tendance du temps sur l’Europe, on a besoin de connaître la tendance partout sur le globe.

 

Un été encore plus chaud Selon Météo France ?

Un été encore plus chaud Selon Météo France ?

 

Selon météo, l’été risque d’être encore plus chaud., C’est ce qu’indique à franceinfo Francois Jobard, météorologue.

Quelle météo prévoyez-vous pour les trois prochains mois en France ?

 

François Jobard :  Pour les mois de mai, juin et juillet 2021, on s’attend à un temps plus chaud que la normale sur une grande partie du sud de l’Europe, France comprise, sauf pour la Bretagne et les régions proches de la Manche.

 

Au niveau des précipitations, ce trimestre devrait être plus sec en moyenne. Ça n’est pas forcément une bonne nouvelle, puisque l’on sort de trois mois déjà très secs. Février, mars et avril de cette année correspondent à l’un des trimestres les plus secs depuis 1957 et nous sommes dans un contexte où la pluie s’est faite beaucoup plus rare que d’habitude.

Peut-on être certain qu’il fera chaud en mai, juin et juillet ?

En moyenne, sur les trois mois, quand on fera le bilan, on s’attend à ce qu’on ait des températures supérieures à la normale de façon significative. Attention, la prévision saisonnière n’est pas une prévision météorologique mais climatique, puisqu’on parle sur des échelles de temps assez longues. On ne peut donc pas dire précisément si l’on va avoir une fin juin caniculaire, ou un début juillet frais et humide. Cela peut être difficile à appréhender sur des échelles de temps assez longues.

« Cet indicateur n’est d’aucune aide pour savoir si vous pourrez organiser un événement en extérieur fin juin, mais il est important pour certaines institutions, comme la prévision du risque de feux de forêt. »

Cela fait plusieurs années de suite que les températures estivales et printanières sont au-dessus des normales saisonnières. Observe-t-on l’impact direct du réchauffement climatique ?

Ce qui est certain, c’est que le réchauffement climatique accroît nettement la probabilité d’avoir des saisons plus chaudes que la normale. A l’inverse, la probabilité d’avoir des trimestres frais devient faible, voire très faible. Il faut aussi noter que jusqu’à cette année, nous prenons en compte les normales de températures qui vont de 1980 à 2010. A partir de 2022, nous actualiserons nos moyennes en passant sur la période de 1990 à 2020, nos normales seront donc plus chaudes.

Comment sont réalisées ces prévisions à long terme ?

Les prévisions saisonnières divergent des prévisions météo puisqu’il s’agit de tendances calculées sur trois mois. Elles sont réalisées à l’aide de modèles climatiques. On prend notamment en compte les interactions entre les océans et l’atmosphère. Une autre chose que l’on regarde en particulier sont les anomalies de température des océans. Il y a le phénomène El Niño qui est bien connu, mais il y a également des zones d’eau froide dans l’Atlantique, qui vont favoriser tel type de récurrence météorologique.

D’ailleurs, ce qui est vrai, tant pour les modèles de climats que ceux de prévisions météorologiques, c’est que l’on regarde ce qu’il se passe sur la planète entière. Pour avoir une tendance du temps sur l’Europe, on a besoin de connaître la tendance partout sur le globe.

 

Météo France un été 2020 plus chaud

Météo France:un été 2020 plus chaud

D’après France météo , L’hiver a été « extrêmement pluvieux avec un excédent de pluie », mais il a aussi été « extrêmement doux, à 2,5°C au-dessus des moyennes sur cinq mois »« Ce qui fait que les phénomènes évaporatoires sont toujours là. Heureusement depuis on a eu des orages, et ça a quand même rétabli la situation », explique-t-il.

On a l’impression que le positionnement des anticyclones a changé et on a de plus en plus de vents continentaux qui sont très forts et qui dessèchent les sols.Christian Toussaint, référent eau à Indre Naturesur franceinfo

Il estime par ailleurs que « la rose des vents a changé ». Pour 2020, Météo France anticipe un été plus chaud que la normale, « très lié au réchauffement climatique », a indiqué Michèle Blanchard, de la direction des services climatiques. Des restrictions pour l’usage de l’eau sont déjà en vigueur dans 12 départements, essentiellement en Loire-Atlantique, Vendée, Côte-d’Or, Saône-et-Loire, dans l’Ain et la Drôme.

 

 

Température : premier trimestre le plus chaud

Température : premier trimestre le plus chaud

L’Europe a connu son premier trimestre le plus chaud depuis le début des mesures en 1910 à l’échelle des continents. Selon l’agence atmosphérique américaine NOAA, jamais les températures enregistrées entre janvier et mars n’ont été aussi élevées sur le vieux continent depuis le début des relevés.

Avec une anomalie de +3,2% par rapport à la moyenne du XXe siècle, le premier trimestre 2020 en Europe dépasse d’environ 0.5°C le précédent record, jusqu’alors détenu par l’année 1990.

En ce qui concerne la France, la température moyenne au cours du trimestre était de 9,4°C dans l’Hexagone, soit presque 1 degré Celsius de plus que la moyenne entre 1981 et 2020.

Selon Météo France, le mois de mars 2020 est le dixième consécutif (depuis juin 2019) où les températures nationales enregistrées sont au-dessus des normales saisonnières. Une première en France depuis l’instauration des mesures de températures à l’échelle nationale, en 1900.

Réchauffement climatique 2019 le plus chaud depuis 100 ans

Réchauffement climatique  2019 le plus chaud depuis 100 ans

 

L’Arctique comme le reste du Monde enregistre record sur record. Après deux mois d’été (juin et juillet) entrés dans l’histoire comme les plus chauds jamais observés dans le monde le mois d’août n’a pas suffit à compenser la situation L’été météorologique (trimestre de juin-juillet-août) est devenu le plus chaud mesuré à travers l’ensemble du globe depuis le début des observations satellites il y a 40 ans ! L’anomalie sur ce trimestre s’élève à +0.546°C au niveau mondial, par rapport à la moyenne établie sur la période de référence (1981-2010). Ceci détrône le record de l’été 2016 d’un peu plus de trois centièmes de degrés (+0.513°C). Pour ces huit premiers mois de notre année 2019, l’anomalie mondiale est estimée à +0.557°C (par rapport à la moyenne 1981-2010). Pour rappel, l’année 2016 reste à ce jour l’année record en terme de chaleur sur la planète (+0.63°C) suivi de l’année 2017 (+0.54°C) et de l’année 2018 (+0.46°C). En d’autres termes, en l’état actuel des choses, 2019 devrait vraisemblablement se placer au 2e ou au 3e rang des plus chaudes années planétaires. Pour l’Arctique , région a connu en 2019 sa deuxième année la plus chaude depuis 1900 et sa deuxième plus petite banquise jamais enregistrée, selon le bulletin annuel arctique de l’agence océanique et atmosphérique américaine (NOAA) publié mardi 10 décembre.

En cause, le réchauffement climatique, qui n’est pas uniforme sur Terre : il est en effet deux fois plus rapide au pôle Nord depuis les années 1990, un phénomène que les climatologues appellent l’amplification arctique. La température moyenne dans la saison octobre 2018-septembre 2019 a été supérieure de 1,9°C à la moyenne 1981-2010, qui sont les décennies où le réchauffement a réellement commencé dans l’Arctique. Les six dernières années ont battu tous les records précédents.

 

Réchauffement climatique Arctique : 2019 le plus chaud depuis 100 ans

Réchauffement climatique Arctique  : 2019 le plus chaud depuis 100 ans

 

l’arctique comme le reste du Monde enregistre record sur record. Après deux mois d’été (juin et juillet) entrés dans l’histoire comme les plus chauds jamais observés dans le monde le mois d’août n’a pas suffit à compenser la situation… L’été météorologique (trimestre de juin-juillet-août) est devenu le plus chaud mesuré à travers l’ensemble du globe depuis le début des observations satellites il y a 40 ans ! L’anomalie sur ce trimestre s’élève à +0.546°C au niveau mondial, par rapport à la moyenne établie sur la période de référence (1981-2010). Ceci détrône le record de l’été 2016 d’un peu plus de trois centièmes de degrés (+0.513°C). Pour ces huit premiers mois de notre année 2019, l’anomalie mondiale est estimée à +0.557°C (par rapport à la moyenne 1981-2010). Pour rappel, l’année 2016 reste à ce jour l’année record en terme de chaleur sur la planète (+0.63°C) suivi de l’année 2017 (+0.54°C) et de l’année 2018 (+0.46°C). En d’autres termes, en l’état actuel des choses, 2019 devrait vraisemblablement se placer au 2e ou au 3e rang des plus chaudes années planétaires. Pour l’Arctique , région a connu en 2019 sa deuxième année la plus chaude depuis 1900 et sa deuxième plus petite banquise jamais enregistrée, selon le bulletin annuel arctique de l’agence océanique et atmosphérique américaine (NOAA) publié mardi 10 décembre.

En cause, le réchauffement climatique, qui n’est pas uniforme sur Terre : il est en effet deux fois plus rapide au pôle Nord depuis les années 1990, un phénomène que les climatologues appellent l’amplification arctique. La température moyenne dans la saison octobre 2018-septembre 2019 a été supérieure de 1,9°C à la moyenne 1981-2010, qui sont les décennies où le réchauffement a réellement commencé dans l’Arctique. Les six dernières années ont battu tous les records précédents.

 

Octobre 2019 : le plus chaud au monde

Octobre 2019 : le plus chaud au monde

 

Encore un record mondial pour le climat .  Le mois d’octobre de cette année a été 0,63°C au dessus de la température moyenne de la période de référence 1981-2010, battant de très peu (0,01°C) octobre 2015, mais à 1,2°C au dessus de la température pré-industrielle.

« C’est le cinquième mois d’affilée qui enregistre un record ou s’approche de très près d’un record », a souligné Copernicus dans un communiqué.

Juin 2019 avait été le mois de juin le plus chaud et juillet avait atteint le record absolu du mois le plus chaud jamais enregistré. Août 2019 s’était classé deuxième mois d’août et septembre 2019 en première position de tous les mois de septembre.

Les températures du mois d’octobre 2019 ont été au-dessus des moyennes de la période de référence de 1981-2010 en Europe, notamment dans l’Est et dans le Sud-Est du continent.

Dans le reste du monde, les températures dans l’hémisphère Nord en octobre 2019 ont été « sensiblement en hausse notamment dans des parties de l’Arctique, du Moyen-Orient, à l’Est des Etats-Unis et du Canada, en Afrique du Nord et en Russie », par rapport à la période de référence de 1981-2010.

Les températures ont, cependant, été « considérablement en-dessous des moyennes dans une grande partie de l’ouest des Etats-Unis et du Canada, mais également dans certaines parties de l’Afrique tropicale et de l’Antarctique ».

Si Copernicus précise que ses chiffres peuvent être différents par rapport à d’autres données, un consensus existe pour attester de la chaleur exceptionnelle de 2016 et des coups de chaud en 2015, 2017, 2018 et 2019. Tous les organismes récoltants des données sur le climat s’accordent aussi sur le fait que l’augmentation moyenne de la température est de 0,18°C par décennie depuis la fin des années 1970.

En août, l’Organisation météorologique mondiale (OMM) estimait déjà que l’année 2019 se classerait dans le top 5 des prévisions, en ligne avec les impacts du changement climatique prévus par les scientifiques.

Crise agricole: le prochain dossier chaud pour le gouvernement

Crise agricole: le prochain dossier chaud pour le gouvernement

 

 

La majorité s’inquiète surtout des dégâts subis par les permanences de certains députés Des dégâts dont la responsabilité incomberait au monde agricole, ce qui n’est pas totalement démontré. En fait, le gouvernement et les députés feraient mieux de se préoccuper de la crise agricole qui se prépare. Une crise alimentée bien sûr par l’accord commercial entre la France et le Canada. Cet accord, appelé CETA, destiné à favoriser les échanges transforme en réalité l’agriculture en variable d’ajustement. En clair, on accepte de remettre en cause les normes européennes qui sont pourtant imposées sur le continent notamment en France. Aucune disposition ne permettra de connaître les conditions exactes de production au Canada. Ce qu’on fait c’est qu’aujourd’hui comme demain le Canada s’affranchira des contraintes Sanitaire et   environnemental créant ainsi des normes distorsions de concurrence. S’ajoute à cela un mécontentement découlant de récoltes particulièrement mauvaises en raison du climat. Un climat d’abord trop chaud, ensuite trop frais puis la canicule qui a grillé nombre de plantes notamment en floraison. Les résultats financiers de beaucoup des exploitations seront catastrophiques cette année. Ce n’était certainement pas un contexte favorable pour faire ratifier par le Parlement l’accord dit CET. Or, ces derniers sont soumis à des règles de production moins strictes que les agriculteurs français, et l’Union européenne autorise l’importation de denrées produites avec des normes différentes de celles en vigueur sur son territoire. (Exemple les farines animales)

Concernant les bovins, les éleveurs canadiens ont par exemple le droit d’utiliser des antibiotiques, considérés comme des activateurs de croissance par les éleveurs français. Selon le ministère de l’Agriculture, un règlement décidé par le Parlement et le Conseil européens, début 2019,  »demande à la Commission de prendre des dispositions visant à interdire l’importation à partir de pays tiers qui continuent à autoriser les antibiotiques comme promoteurs de croissance. » Ce texte ne devrait cependant entrer en vigueur… qu’en 2022.

Juin 2019 : le plus chaud dans le monde

Juin 2019 : le plus chaud dans le monde

Selon les données du service européen Copernicus sur le changement climatique, le mercure est monté au mois de juin 0,1°C plus haut que le précédent record pour un mois de juin (2016), mais c’est surtout l’Europe qui a eu chaud, avec une température d’environ 2°C  Plusieurs records ont été battus la semaine dernière dans plusieurs pays européens étouffés par la chaleur en raison notamment d’un air chaud venu du Sahara. Les températures ont dépassé les normales saisonnières de 10°C en Allemagne, dans le nord de l’Espagne et de l’Italie, et en France, qui a atteint le record absolu de 45,9°C vendredi. L’équipe de Copernicus a noté qu’il était difficile d’attribuer ce record « directement » au changement climatique, mais une équipe de scientifiques qui s’est penchée sur la canicule française a conclu mardi qu’elle était « au moins cinq fois plus probable » que si l’Homme n’avait pas altéré le climat. Combinant des données satellite et des données historiques, le service européen Copernicus a estimé que la température du mois de juin en Europe a été de 3°C supérieure que la moyenne entre 1850 et 1900.

Les actions de Publicis mises au chaud au Luxembourg

Les actions de  Publicis mises au chaud au  Luxembourg

C’est dans l’intérêt de la France affirme l’ancien  patron de Publicis qui veut transférer 3 millions de se actions au Luxembourg ! Un grand patron sans aucun doute mais qui sait se rémunérer.Sans parler  méga-bonus qu’il a touché en 2012: 16 millions d’euros. Maurice Lévy détient: 4,6 millions de titres à fin 2017, soit 2% du capital, selon le dernier rapport annuel. Des actions qui ont pris beaucoup de la valeur sous son magistère à la tête de Publicis, où la capitalisation boursière de l’agence de publicité a été multipliée par près de 100. Elles valent désormais près de 275 millions d’euros et elles génèrent cette année 9,2 millions d’euros de dividendes. Selon les avocats fiscalistes interrogés, ce transfert au Luxembourg peut permettre de payer moins d’impôts sur les dividendes générés par les actions. Stéphane de Lassus, avocat associé chez Charles Russell Speechlys, explique: Pour mémoire, Maurice Levy avait appelé en 2011 à une hausse des impôts « des plus riches ».  Je sais ce que je fais, que cela profitera à la France, et que je pourrai en être fier ». Adcalaré sans rire Maurice Levy.

 

Mars 2015, plus chaud sur terre depuis 135 ans

Mars 2015, plus chaud sur terre depuis 135 ans

Après le record de chaleur pour toute l’année 2014, c’est maintenant le mois de mars qui bat tous les records.  Un record de chaleur qui s’ajoute et/ou amplifie les  aux sécheresses exceptionnelles dans nombre de pays ( Amérique du su ou Afrique par exemple).  Selon les chiffres de l’Agence américaine océanique et atmosphérique, ce mois de mars 2015 a été le mois de mars le plus chaud sur la planète depuis le début des relevés des températures en 1880.  Une température moyenne – au sol et dans les océans – 0,85 degrés plus élevées que celle du 20ème siècle a été relevée le mois dernier. C’est donc le mois de mars le plus chaud observé en 135 ans, en fait depuis que ce type de relevés existe. Et ce loin devant le précédent record, établi en 2010. Plus largement, précise l’Agence américaine océanique et atmosphérique, l’anomalie concerne tout le début de cette année 2015, puisque de janvier à mars, la température moyenne a été de 0,82 degrés plus élevée que celle du siècle dernier. Là encore, c’est un record. Ces relevés montrent évidemment des disparités. Quand en Europe on déjeunait en terrasse le mois dernier, on grelottait à New York. L’est du Canada et des États-Unis ont ainsi connu un hiver plus froid que d’habitude. Mais la plupart des régions du monde, particulièrement dans l’hémisphère nord, ont fait l’expérience inverse. Et ce n’est évidemment pas une bonne nouvelle. D’autant que l’année 2014 avait déjà été classée année la plus chaude jamais observée. Le réchauffement de la planète se poursuit, inéluctablement.

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