Archive pour le Tag 'charbon'

Voitures électriques :avancée technologique chinoise grâce au charbon !

Voitures électriques :avancée technologique chinoise grâce au charbon !

Compte tenu de l’insuffisance d’informations sur la plupart des sujets notamment sur leur rapport au contexte systémique, on tombe rapidement dans le simplisme voire la caricature et l’affrontement, c’est le cas avec la voiture électrique et ses perspectives de développement.

Ainsi il y aurait d’un côté les écolos très favorables à la motorisation électrique des automobiles qui permet ou devrait permettre de réduire de manière significative les émissions de carbone si nuisibles au climat.

De l’autre côté, il y aurait les défenseurs de l’industrie automobile classique qui conteste les performances environnementales de la voiture électrique coupable elle aussi d’émissions nuisibles à l’environnement.

Mais on oublie souvent que l’extraordinaire développement de la voiture électrique ( 50 % des voitures neuves en Chine sont électriques) doit beaucoup au charbon. C’est grâce à cette énergie la plus polluante de toutes et aux subventions que le marché de la voiture électrique a pu se développer de manière considérable en Chine. Un développement qui a permis aux pays d’être très en avance sur la technologie électrique .Et la France participe au financement de cette avance à travers le bonus qui s’applique aux voitures françaises dont plus de 50 % des éléments viennent de Chine.

L’exploitation d’un énorme parc électrique permet d’améliorer encore la compétitivité au plan de la production, toujours grâce au charbon de notamment. Les constructeurs européens quant à eux passent des accords avec les Chinois puisqu’une grande partie des composants des voitures européennes viennent de Chine où sont entièrement construites en Chine toujours grâce au charbon. Finalement, le bilan écologique n’est pas aussi vert qu’on le prétend. Par ailleurs il faudrait prendre en compte la problématique de l’ensemble de la politique des transports et l’aménagement du territoire mais cela est une autre question sans doute trop complexe.

Il convient donc de rester les yeux ouverts avant de d’approuver et de se lancer dans de nouvelles stratégies qui finalement ne sont pas aussi favorables à la collectivité si l’on prend en compte les aspects systémiques et les dimensions internationales.

Compte tenu de l’insuffisance d’informations sur la plupart des sujets notamment sur leur rapport au contexte systémique, on tombe rapidement dans le simplisme voire la caricature et l’affrontement, c’est le cas avec la voiture électrique et ses perspectives de déveleoppement.

Ainsi il y aurait d’un côté les écolos très favorables à la motorisation électrique des automobiles qui permet ou devrait permettre de réduire de manière significative les émissions de carbone si nuisibles au climat.

De l’autre côté, il y aurait les défenseurs de l’industrie automobile classique qui conteste les performances environnementales de la voiture électrique coupable elle aussi d’émissions nuisibles à l’environnement.

Mais on oublie souvent que l’extraordinaire développement de la voiture électrique ( 50 % des voitures neuves en Chine sont électriques) doit beaucoup au charbon. C’est grâce à cette énergie la plus polluante de toutes et aux subventions que le marché de la voiture électrique a pu se développer de manière considérable en Chine. Un développement qui a permis aux pays d’être très en avance sur la technologie électrique .Et la France participe au financement de cette avance à travers le bonus qui s’applique aux voitures françaises dont plus de 50 % des éléments viennent de Chine.

Automobiles électriques : une avance technologique chinoise grâce au charbon !

Automobiles électriques : une avance technologique chinoise grâce au charbon !

Compte tenu de l’insuffisance d’informations sur la plupart des sujets notamment sur leur rapport au contexte systémique, on tombe rapidement dans le simplisme voire la caricature et l’affrontement, c’est le cas avec la voiture électrique et ses perspectives de déveleoppement.

Ainsi il y aurait d’un côté les écolos très favorables à la motorisation électrique des automobiles qui permet ou devrait permettre de réduire de manière significative les émissions de carbone si nuisibles au climat.

De l’autre côté, il y aurait les défenseurs de l’industrie automobile classique qui conteste les performances environnementales de la voiture électrique coupable elle aussi d’émissions nuisibles à l’environnement.

Mais on oublie souvent que l’extraordinaire développement de la voiture électrique ( 50 % des voitures neuves en Chine sont électriques) doit beaucoup au charbon. C’est grâce à cette énergie la plus polluante de toutes et aux subventions que le marché de la voiture électrique a pu se développer de manière considérable en Chine. Un développement qui a permis aux pays d’être très en avance sur la technologie électrique .Et la France participe au financement de cette avance à travers le bonus qui s’applique aux voitures françaises dont plus de 50 % des éléments viennent de Chine.

L’exploitation d’un énorme parc électrique permet d’améliorer encore la compétitivité au plan de la production, toujours grâce au charbon de notamment. Les constructeurs européens quant à eux passent des accords avec les Chinois puisqu’une grande partie des composants des voitures européennes viennent de Chine où sont entièrement construites en Chine toujours grâce au charbon. Finalement, le bilan écologique n’est pas aussi vert qu’on le prétend. Par ailleurs il faudrait prendre en compte la problématique de l’ensemble de la politique des transports et l’aménagement du territoire mais cela est une autre question sans doute trop complexe.

Il convient donc de rester les yeux ouverts avant de d’approuver et de se lancer dans de nouvelles stratégies qui finalement ne sont pas aussi favorables à la collectivité si l’on prend en compte les aspects systémiques et les dimensions internationales.

Compte tenu de l’insuffisance d’informations sur la plupart des sujets notamment sur leur rapport au contexte systémique, on tombe rapidement dans le simplisme voire la caricature et l’affrontement, c’est le cas avec la voiture électrique et ses perspectives de déveleoppement.

Ainsi il y aurait d’un côté les écolos très favorables à la motorisation électrique des automobiles qui permet ou devrait permettre de réduire de manière significative les émissions de carbone si nuisibles au climat.

De l’autre côté, il y aurait les défenseurs de l’industrie automobile classique qui conteste les performances environnementales de la voiture électrique coupable elle aussi d’émissions nuisibles à l’environnement.

Mais on oublie souvent que l’extraordinaire développement de la voiture électrique ( 50 % des voitures neuves en Chine sont électriques) doit beaucoup au charbon. C’est grâce à cette énergie la plus polluante de toutes et aux subventions que le marché de la voiture électrique a pu se développer de manière considérable en Chine. Un développement qui a permis aux pays d’être très en avance sur la technologie électrique .Et la France participe au financement de cette avance à travers le bonus qui s’applique aux voitures françaises dont plus de 50 % des éléments viennent de Chine.

L’exploitation d’un énorme parc électrique permet d’améliorer encore la compétitivité au plan de la production, toujours grâce au charbon de notamment. Les constructeurs européens quant à eux passent des accords avec les Chinois puisqu’une grande partie des composants des voitures européennes viennent de Chine où sont entièrement construites en Chine toujours grâce au charbon. Finalement, le bilan écologique n’est pas aussi vert qu’on le prétend. Par ailleurs il faudrait prendre en compte la problématique de l’ensemble de la politique des transports et l’aménagement du territoire mais cela est une autre question sans doute trop complexe.

Il convient donc de rester les yeux ouverts avant de d’approuver et de se lancer dans de nouvelles stratégies qui finalement ne sont pas aussi favorables à la collectivité si l’on prend en compte les aspects systémiques et les dimensions internationales.

Economie- L’industrie automobile chinoise en avance grâce au charbon !

L’industrie automobile chinoise en avance grâce au charbon !

Compte tenu de l’insuffisance d’informations sur la plupart des sujets notamment sur leur rapport au contexte systémique, on tombe rapidement dans le simplisme voire la caricature et l’affrontement, c’est le cas avec la voiture électrique et ses perspectives de déveleoppement.

Ainsi il y aurait d’un côté les écolos très favorables à la motorisation électrique des automobiles qui permet ou devrait permettre de réduire de manière significative les émissions de carbone si nuisibles au climat.

De l’autre côté, il y aurait les défenseurs de l’industrie automobile classique qui conteste les performances environnementales de la voiture électrique coupable elle aussi d’émissions nuisibles à l’environnement.

Mais on oublie souvent que l’extraordinaire développement de la voiture électrique ( 50 % des voitures neuves en Chine sont électriques) doit beaucoup au charbon. C’est grâce à cette énergie la plus polluante de toutes et aux subventions que le marché de la voiture électrique a pu se développer de manière considérable en Chine. Un développement qui a permis aux pays d’être très en avance sur la technologie électrique .Et la France participe au financement de cette avance à travers le bonus qui s’applique aux voitures françaises dont plus de 50 % des éléments viennent de Chine.

L’exploitation d’un énorme parc électrique permet d’améliorer encore la compétitivité au plan de la production, toujours grâce au charbon de notamment. Les constructeurs européens quant à eux passent des accords avec les Chinois puisqu’une grande partie des composants des voitures européennes viennent de Chine où sont entièrement construites en Chine toujours grâce au charbon. Finalement, le bilan écologique n’est pas aussi vert qu’on le prétend. Par ailleurs il faudrait prendre en compte la problématique de l’ensemble de la politique des transports et l’aménagement du territoire mais cela est une autre question sans doute trop complexe.

Il convient donc de rester les yeux ouverts avant de d’approuver et de se lancer dans de nouvelles stratégies qui finalement ne sont pas aussi favorables à la collectivité si l’on prend en compte les aspects systémiques et les dimensions internationales.

Technologie-L’industrie automobile chinoise en avance grâce au charbon !

Technologie-L’industrie automobile chinoise en avance grâce au charbon !

Compte tenu de l’insuffisance d’informations sur la plupart des sujets notamment sur leur rapport au contexte systémique, on tombe rapidement dans le simplisme voire la caricature et l’affrontement.

Ainsi il y aurait d’un côté les écolos très favorables à la motorisation électrique des automobiles qui permet ou devrait permettre de réduire de manière significative les émissions de carbone si nuisibles au climat.

De l’autre côté, il y aurait les défenseurs de l’industrie automobile classique qui conteste les performances environnementales de la voiture électrique coupable elle aussi d’émissions nuisibles à l’environnement.

Mais on oublie souvent que l’extraordinaire développement de la voiture électrique ( 50 % des voitures neuves en Chine sont électriques) doit beaucoup au charbon. C’est grâce à cette énergie la plus polluante de toutes et aux subventions que le marché de la voiture électrique a pu se développer de manière considérable en Chine. Un développement qui a permis aux pays d’être très en avance sur la technologie électrique . L’exploitation d’un énorme parc électrique permet d’améliorer encore la compétitivité au plan de la production, toujours grâce au charbon de notamment. Les constructeurs européens quant à eux passent des accords avec les Chinois puisqu’une grande partie des composants des voitures européennes viennent de Chine où sont entièrement construites en Chine toujours grâce au charbon. Finalement, le bilan écologique n’est pas aussi vert qu’on le prétend. Par ailleurs il faudrait prendre en compte la problématique de l’ensemble de la politique des transports et l’aménagement du territoire mais cela est une autre question sans doute trop complexe.

Il convient donc de rester les yeux ouverts avant de d’approuver et de se lancer dans de nouvelles stratégies qui finalement ne sont pas aussi favorables à la collectivité si l’on prend en compte les aspects systémiques et les dimensions internationales.

L’industrie automobile chinoise en avance grâce au charbon !

L’industrie automobile chinoise en avance grâce au charbon !

Compte tenu de l’insuffisance d’informations sur la plupart des sujets notamment sur leur rapport au contexte systémique, on tombe rapidement dans le simplisme voire la caricature et l’affrontement.

Ainsi il y aurait d’un côté les écolos très favorables à la motorisation électrique des automobiles qui permet ou devrait permettre de réduire de manière significative les émissions de carbone si nuisibles au climat.

De l’autre côté, il y aurait les défenseurs de l’industrie automobile classique qui conteste les performances environnementales de la voiture électrique coupable elle aussi d’émissions nuisibles à l’environnement.

Mais on oublie souvent que l’extraordinaire développement de la voiture électrique ( 50 % des voitures neuves en Chine sont électriques) doit beaucoup au charbon. C’est grâce à cette énergie la plus polluante de toutes et aux subventions que le marché de la voiture électrique a pu se développer de manière considérable en Chine. Un développement qui a permis aux pays d’être très en avance sur la technologie électrique . L’exploitation d’un énorme parc électrique permet d’améliorer encore la compétitivité au plan de la production, toujours grâce au charbon de notamment. Les constructeurs européens quant à eux passent des accords avec les Chinois puisqu’une grande partie des composants des voitures européennes viennent de Chine où sont entièrement construites en Chine toujours grâce au charbon. Finalement, le bilan écologique n’est pas aussi vert qu’on le prétend. Par ailleurs il faudrait prendre en compte la problématique de l’ensemble de la politique des transports et l’aménagement du territoire mais cela est une autre question sans doute trop complexe.

Il convient donc de rester les yeux ouverts avant de d’approuver et de se lancer dans de nouvelles stratégies qui finalement ne sont pas aussi favorables à la collectivité si l’on prend en compte les aspects systémiques et les dimensions internationales.

COP 28: À défaut du pétrole, Macron demande l’arrêt du charbon !

COP 28: À défaut du pétrole, Macron demande l’arrêt du charbon !


Macron qui ne réussit guère à s’imposer au plan international sort de sa poche un slogan pour demander qu’on fixe une date pour l’arrêt du charbon. Évidemment ce n’est pas tellement l’objectif central mais c’est mieux que rien. À défaut de grives on mange des merles ! La France peut s’honorer d’utiliser très peu de charbon ( une seule centrale qui va fermer) par contre elle utilise comme d’autres beaucoup d’énergie fossile en particulier du pétrole dans le transport et beaucoup de gaz.

Du coup, M acron a polarisé son discours autour du charbon. Histoire aussi d’ennuyer l’Allemagne qui a supprimé son nucléaire et qui est contrainte maintenant de relancer des centrales à charbon (et au gaz.)

Le président de la République a plus ou moins exhorté les pays développés à suivre l’exemple de la France à l’occasion de la COP 28

« Les pays les plus émetteurs doivent entrer dans cette logique de planification écologique et de transparence. » Et « si le G7 a une responsabilité majeure », « la Chine, qui est désormais le deuxième pays émetteur historique », doit aussi prendre sa part, a estimé le chef de l’État.

Si elle se permet de donner des leçons, c’est que la France n’a « pas à rougir de son bilan et de la crédibilité de son action », défend-on dans l’entourage du président, en rappelant que la planification écologique présentée en septembre dernier « permet de déterminer de manière précise, année après année par secteur, comment on va réduire notre dépendance aux fossiles ». Et le projet contesté de forages pétroliers en Gironde, qui vient de recevoir un avis favorable à l’issue d’une enquête publique, n’est pas un contre-exemple, assure-t-on à l’Élysée. « Il s’inscrit dans le respect du cadre légal adopté en 2017 » qui interdit de prolonger les concessions existantes au-delà de 2040.

À défaut du pétrole, Macron demande l’arrêt du charbon !

À défaut du pétrole, Macron demande l’arrêt du charbon !


Macron qui ne réussit guère à s’imposer au plan international sort de sa poche un slogan pour demander qu’on fixe une date pour l’arrêt du charbon. Évidemment ce n’est pas tellement l’objectif central mais c’est mieux que rien. À défaut de grives on mange des merles ! La France peut s’honorer d’utiliser très peu de charbon ( une seule centrale qui va fermer) par contre elle utilise comme d’autres beaucoup d’énergie fossile en particulier du pétrole dans le transport et beaucoup de gaz.

Du coup, M acron a polarisé son discours autour du charbon. Histoire aussi d’ennuyer l’Allemagne qui a supprimé son nucléaire et qui est contrainte maintenant de relancer des centrales à charbon (et au gaz.)

Le président de la République a plus ou moins exhorté les pays développés à suivre l’exemple de la France à l’occasion de la COP 28

« Les pays les plus émetteurs doivent entrer dans cette logique de planification écologique et de transparence. » Et « si le G7 a une responsabilité majeure », « la Chine, qui est désormais le deuxième pays émetteur historique », doit aussi prendre sa part, a estimé le chef de l’État.

Si elle se permet de donner des leçons, c’est que la France n’a « pas à rougir de son bilan et de la crédibilité de son action », défend-on dans l’entourage du président, en rappelant que la planification écologique présentée en septembre dernier « permet de déterminer de manière précise, année après année par secteur, comment on va réduire notre dépendance aux fossiles ». Et le projet contesté de forages pétroliers en Gironde, qui vient de recevoir un avis favorable à l’issue d’une enquête publique, n’est pas un contre-exemple, assure-t-on à l’Élysée. « Il s’inscrit dans le respect du cadre légal adopté en 2017 » qui interdit de prolonger les concessions existantes au-delà de 2040.

Consommation mondiale de charbon : encore en hausse

Consommation mondiale de charbon : encore en hausse

En matière d’environnement , il y a évidemment les discours mais aussi la pratique et entre les deux, le fossé d’hypocrisie. Alors que va commencer cette semaine COP 28 à Dubaï, les dernières statistiques montrent que la consommation de charbon atteint encore des records. À noter en particulier le discours ambigu en Allemagne avec des références permanentes aux énergies alternatives alors que dans la pratique une quinzaine de centrales électriques au charbon ont été mise en service pour réduire la dépendance au gaz russe.

Gordon Brown, ancien premier ministre britannique espère mes doutes du succès de la COP28 :

Il y a quatorze ans, lors du sommet de Londres, en avril 2009, les dirigeants du G20 avaient relevé le défi de la crise financière mondiale, en engageant 1 000 milliards de dollars (917 milliards d’euros) de fonds supplémentaires pour contrer la grande récession qui avait éclaté l’année précédente. Aujourd’hui, pour faire face à une crise climatique qui s’aggrave et qui devient de plus en plus une menace existentielle, la communauté internationale doit mobiliser des montants plus élevés encore : 1 000 milliards de dollars par an de flux publics et privés en direction du Sud global pour financer sa transition écologique, selon Mari Elka Pangestu, l’ancienne directrice générale de la Banque mondiale pour les politiques de développement et les partenariats.

Aucune avancée ne pourra cependant avoir lieu sans un accord entre pays développés sur la question de savoir qui en supportera les coûts. Le doute règne d’ores et déjà quant à la capacité des Etats-Unis à respecter leur contribution au fonds climatique de 100 milliards de dollars, convenue durant la COP15 de Copenhague en 2009, bien que le pays ait réaffirmé son engagement cet été à Paris.

Par ailleurs, les appels en faveur du transfert de 100 milliards de dollars de droits de tirage spéciaux inutilisés (l’actif de réserve du Fonds monétaire international) par les pays à revenu élevé en direction des pays les plus vulnérables face au climat – un élément-clé de l’Agenda de Bridgetown de la première ministre de la Barbade, Mia Mottley – sont pour l’essentiel restés sans réponse. Quant au fonds « pertes et dommages » créé en 2022 lors de la COP27 en Egypte, il ne mobilise pas encore de grands donateurs à ce jour.

Fin des centrales à charbon : Fausse nouvelle promesse de Macron

Fin des centrales à charbon : Fausse nouvelle promesse de Macron

Le président de la république a vraiment l’art de transformer les vieilles recettes en nouvelle cuisine. Ainsi lors de son interview à la télé, il a déclaré vouloir supprimer les centrales à charbon qui restent d’ici 2027. Le seul problème, c’est que cette promesse a déjà été faite lors de sa campagne de 2017. Deux centrales qui devaient être fermées en 2022.Paradoxe supplémentaire, à la place en quelque sorte, le président a fermé la centrale nucléaire de Fessenheim qui elle serait bien utile aujourd’hui économiquement et écologiquement.

En 2017, Emmanuel Macron s’était engagé à fermer les dernières centrales à charbon en France d’ici à 2022, alors que la production d’électricité au charbon est la méthode la plus néfaste pour le climat avec plus de 1.000 grammes de CO2 émis pour chaque kilowattheure produit. Une promesse qui fut, par la suite, inscrite dans la loi Énergie et Climat, votée en septembre 2019.

« Cette sortie du charbon en 2027 est un aveu d’échec pour Emmanuel Macron, qui tente de la déguiser en progrès. La France aurait dû sortir du charbon il y a des années. S’il était véritablement ambitieux et précurseur, Emmanuel Macron aurait également annoncé des dates de sortie du pétrole et du gaz fossile », a réagi, dans la foulée, Nicolas Nace, chargé de campagne Transition énergétique à Greenpeace France.

Deux centrales à charbon demeurent toujours en activité dans l’Hexagone en cas de pic de la demande électrique : celle de Cordemais (Loire-Atlantique), exploitée par EDF, et la centrale de Saint-Avold (Moselle), exploitée par l’entreprise tchèque Gazel Énergie.

Il était bien prévu que la centrale de Cordemais cesse son activité au charbon en 2022, mais le gestionnaire du réseau de transport d’électricité RTE a estimé que le soutien de la centrale au réseau était nécessaire alors que la région pâtit des douze années de retard cumulées sur le chantier de l’EPR de Flamanville, dont le démarrage est désormais prévu au premier trimestre 2024, et d’un déploiement trop lent des énergies renouvelables.

A Saint-Avold, en Moselle, la centrale à charbon Emile Huchet a bel et bien fermé ses portes le 31 mars 2022, sans projet de reconversion. Mais cette fermeture n’a été que très provisoire car elle est intervenue seulement quelques jours après l’invasion russe de l’Ukraine, qui s’est traduite par une raréfaction du gaz russe en Europe mettant à mal la sécurité d’approvisionnement énergétique du Vieux Continent.

Et, même si l’hiver 2023-2024 s’annonce beaucoup moins tendu sur le plan de la sécurité d’approvisionnement énergétique, un nouveau décret, publié fin août dernier, autorise les deux centrales à charbon de fonctionner plus longtemps pour éviter toute difficulté hivernale sur le réseau électrique, et ce jusqu’à fin 2024. L’hiver prochain, « nous anticipons un niveau de tension moindre » par rapport à l’année dernière, « mais par précaution, nous prenons toutes les mesures qui assureront la production électrique française », a précisé le ministère de la Transition énergétique.

Concrètement, cet assouplissement permettra « aux centrales de fonctionner durant 500 heures supplémentaires » sur la période par rapport au plafond de 1.300 heures initialement autorisé jusqu’à fin 2024, est-il précisé dans la consultation publique dont est issu le décret. Ces 1.800 heures correspondent à 75 jours de production non-stop.

Le poids de ces centrales à charbon, extrêmement néfaste pour le climat, reste très minoritaire dans le mix électrique tricolore. L’an passé, leur production a représenté 0,6% du bouquet de production électrique de la France, largement dominé par l’énergie atomique (62,7%), loin devant l’hydraulique (11,1%), le gaz (9,9%) et l’éolien (8,5%).

Recours aux centrales à charbon ?

Recours aux centrales à charbon ?

Comme en Allemagne la France va recourir davantage au centrales à charbon hiver en autorisant leur fonctionnement sur une période plus longue. L’Allemagne qui va utiliser aussi davantage de centrales à gaz. Une vraie contradiction pour la France contrainte de recourir à des centrales à charbon très polluante alors qu’elle a fermé la centrale nucléaire de Fessenheim.

En effet, plafond d’émission de gaz à effet de serre applicable aux producteurs d’énergie est désormais rehaussé à «1,8 kilotonne d’équivalents dioxyde de carbone par mégawatt de puissance électrique installée entre le 1er avril 2023 et le 31 décembre 2024»,

. Cela permettra «aux centrales de fonctionner durant 500 heures supplémentaires» sur la période par rapport au plafond de 1.300 heures initialement autorisé jusqu’à fin 2024, est-il précisé dans la consultation publique dont est issu le décret. Ces 1.800 heures correspondent à 75 jours de production non-stop.

En France, deux centrales à charbon sont toujours en activité en cas de pic de demande électrique, à Cordemais (Loire-Atlantique) et Saint-Avold (Moselle). Leur production a représenté l’an passé 0,6% du mix électrique français, largement dominé par l’énergie nucléaire.

Energies Allemagne: 500 milliards en solaire et éolienne pour retourner au charbon!

 Energies Allemagne: 500 milliards en solaire et éolienne pour retourner au charbon !

 

L’Allemagne donne au moins l’exemple de ce qu’il ne pas faut pas faire en matière de politique énergétique. Le problème c’est qu’elle a aussi convaincu la commission européenne qui veut aussi imposer à la France le même contresens économique.

L’Allemagne aura dépensé en 25 ans 500 milliards en éoliennes et panneaux solaires ( les chiffres sont ceux de la Cour des comptes allemande) pour découvrir que les jours sans soleil ou vent, on est gros jean comme devant quand on n’a plus de centrales nucléaires.

Le pays a d’abord brûlé du gaz russe pour pallier l’intermittence des renouvelables. La source s’est tarie, on en revient aux vieilles méthodes encore plus sales. La lignite. Résultat de cette transition menée de main de maître, l’Allemagne produit une des électricités les plus carbonées ( dix fois plus que l’électricité française) , les plus polluantes et les plus chères d’Europe. Le pays est d’ailleurs le plus important émetteur de CO2 de l’UE.

Exempte de cette absurdité à Lützerath. On avait mal compris : quand l’Allemagne promettait de se passer de nucléaire en sortant du charbon, il fallait prendre ça au sens propre : en sortant du charbon du sol, avec des excavatrices.

Ironie de l’histoire, il va même falloir raser des éoliennes à Lützerath pour agrandir la mine de charbon.

Que les gouvernements allemands se soient, avec arrogance, entêtés, en dépit des alertes, à promouvoir une transition dont on savait qu’elle avait besoin de renforts pilotables ? Qu’ils se soient pliés aux pressions antinucléaires ? Qu’ils aient choisi la pire alternative possible, le combiné gaz-lignite?

Que les écolos allemands aient validé une à une les étapes de cette histoire ahurissante, y compris le retour au charbon, y compris la destruction de Lützerath ? Ils se retrouvent aujourd’hui dénoncés par les activistes du climat, dont Greta Thunberg, comme de vulgaires écocides. «Les Verts contre le climat», titrait, vendredi, l’hebdomadaire de gauche Der Freitag.

Que les écolos français, à l’instar de Marine Tondelier, nouvelle secrétaire d’EELV, soient encore en train de nous expliquer que oui, le 100% renouvelable est possible et que les Allemands sont en train de le prouver ?  Ou quand l’idéologie rend aveugle et idiot à la fois.

Energies- Nucléaire, gaz russe, charbon : l’Allemagne fait marche arrière

Energies- Nucléaire, gaz russe, charbon : l’Allemagne fait marche arrière

 

 

L’Allemagne envisage désormais de prolonger la durée d’exploitation des trois dernières centrales en activité dans le pays. De même pour le charbon: Berlin compte augmenter le recours à cette énergie fossile très polluante qui devait pourtant disparaître du pays en 2030.

L’Allemagne dépendait à plus de 50 % du gaz russe qui constitué l’axe stratégique de sa politique énergétique. Aujourd’hui ce gaz russe représente plus que 30 % et devrait tomber à 10 % voire à zéro. Du coup, l’Allemagne remet  complètement en cause le contenu de sa politique énergétique. En plus du gaz russe, l’Allemagne comptait sur les énergies alternatives qui constituent un véritable fiasco notamment les éoliennes. Forcé de trouver une solution - au-delà de demander aux ménages d’adopter des habitudes de sobriété énergétique en prenant, en prenant par exemple des douches plus courtes et plus froides (!), Olaf Scholz a justifié les réflexions en cours sur le sujet du nucléaire par le fait que le développement des énergies renouvelables, censées remplacer l’énergie nucléaire et le charbon, est plus lent que prévu. Et il est « très différent d’une région à l’autre en Allemagne », a-t-il dit, pointant du doigt l’énergie éolienne .  Du coup l’Allemagne développe surtout des centrales à charbon. Pire l’Allemagne à travers des propos de son chancelier n’exclut plus de recourir davantage au nucléaire !

En effet,’une des pistes actuellement envisagées par le gouvernement est de se tourner de nouveau vers le nucléaire. Une énergie que l’Allemagne avait pourtant décidé d’abandonner à la fin de l’année. Néanmoins, ce mercredi, le chancelier allemand a estimé que cela « peut faire sens » de prolonger la durée d’exploitation des trois dernières centrales nucléaires en activité en Allemagne même si elles « ne sont pertinentes que pour la production d’électricité et seulement pour une petite partie de celle-ci ».

La consommation de charbon était pourtant déjà en hausse avant le déclenchement de la guerre en Ukraine et la flambée des prix qui s’en est suivie. L’Allemagne s’était davantage appuyée sur cette énergie fossile pour pallier la sortie du nucléaire et en attendant que les énergies renouvelables se développent suffisamment. En 2021, la production d’électricité à partir de charbon avait crû de près de 18%. De même, 28,9% de l’électricité injectée dans le réseau du pays provenait encore de centrales à charbon au premier trimestre 2021, « contre 13% en moyenne dans l’Union européenne », selon une note de l’Institut Jacques Delors sur le sujet. La demande de ce combustible a toutefois été divisée par trois depuis 1990 en Allemagne.

 

Nucléaire, gaz russe, charbon : l’Allemagne fait marche arrière

Nucléaire, gaz russe, charbon : l’Allemagne fait marche arrière

 

 

L’Allemagne envisage désormais de prolonger la durée d’exploitation des trois dernières centrales en activité dans le pays. De même pour le charbon: Berlin compte augmenter le recours à cette énergie fossile très polluante qui devait pourtant disparaître du pays en 2030.

L’Allemagne dépendait à plus de 50 % du gaz russe qui constitué l’axe stratégique de sa politique énergétique. Aujourd’hui ce gaz russe représente plus que 30 % et devrait tomber à 10 % voire à zéro. Du coup, l’Allemagne remet  complètement en cause le contenu de sa politique énergétique. En plus du gaz russe, l’Allemagne comptait sur les énergies alternatives qui constituent un véritable fiasco notamment les éoliennes. Forcé de trouver une solution - au-delà de demander aux ménages d’adopter des habitudes de sobriété énergétique en prenant, en prenant par exemple des douches plus courtes et plus froides (!), Olaf Scholz a justifié les réflexions en cours sur le sujet du nucléaire par le fait que le développement des énergies renouvelables, censées remplacer l’énergie nucléaire et le charbon, est plus lent que prévu. Et il est « très différent d’une région à l’autre en Allemagne », a-t-il dit, pointant du doigt l’énergie éolienne .  Du coup l’Allemagne développe surtout des centrales à charbon. Pire l’Allemagne à travers des propos de son chancelier n’exclut plus de recourir davantage au nucléaire !

En effet,’une des pistes actuellement envisagées par le gouvernement est de se tourner de nouveau vers le nucléaire. Une énergie que l’Allemagne avait pourtant décidé d’abandonner à la fin de l’année. Néanmoins, ce mercredi, le chancelier allemand a estimé que cela « peut faire sens » de prolonger la durée d’exploitation des trois dernières centrales nucléaires en activité en Allemagne même si elles « ne sont pertinentes que pour la production d’électricité et seulement pour une petite partie de celle-ci ».

La consommation de charbon était pourtant déjà en hausse avant le déclenchement de la guerre en Ukraine et la flambée des prix qui s’en est suivie. L’Allemagne s’était davantage appuyée sur cette énergie fossile pour pallier la sortie du nucléaire et en attendant que les énergies renouvelables se développent suffisamment. En 2021, la production d’électricité à partir de charbon avait crû de près de 18%. De même, 28,9% de l’électricité injectée dans le réseau du pays provenait encore de centrales à charbon au premier trimestre 2021, « contre 13% en moyenne dans l’Union européenne », selon une note de l’Institut Jacques Delors sur le sujet. La demande de ce combustible a toutefois été divisée par trois depuis 1990 en Allemagne.

 

Électricité : conséquences de Fessenheim réouverture d’une centrale à charbon !

Électricité : conséquences de Fessenheim réouverture d’une centrale à charbon ! 

 

Alors qu’Engie ne cesse de bassiner l’opinion publique avec son énergie électrique verte ( en faite la même énergie qu’EDF puisqu’il
n’y a qu’un seul réseau de distribution, donc de l’énergie d’origine nucléaire), le gouvernement est contraint de relancer une centrale à charbon !

Conséquence indirecte de la démagogie gouvernementale vis-à-vis de la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim, il faut maintenant réouvrir la centrale à charbon de Saint-Avold: La centrale à charbon  va bien redémarrer l’hiver prochain « à titre conservatoire, compte tenu de la situation ukrainienne » et des tensions sur le marché de l’énergie, a confirmé dimanche le ministère de la Transition énergétique.

 

Et le gouvernement n’hésite pas à déclarer que cette ouverture  « s’inscrit dans le plan de fermeture » et de l’engagement d’Emmanuel Macron de fermer l’ensemble des centrales à charbon en France « demeure inchangé ».

Saint-Avold fait partie des deux dernières centrales à charbon encore raccordées au réseau électrique, après les mises à l’arrêt des centrales du Havre et de Gardanne, en Provence. La seconde encore en activité est celle de Cordemais, située en Loire-Atlantique. Celle-ci aussi devait cesser son activité en 2022, afin de respecter la promesse d’Emmanuel Macron de fermer toutes les centrales à charbon de France d’ici la fin de son mandat. Mais, il y a quelques mois, sa fermeture a été reportée à 2024, voire 2026. Un projet de reconversion a été abandonné par EDF tandis que RTE estime que le soutien de la centrale au réseau est nécessaire alors que la région pâtit des onze années de retard cumulées sur le chantier de l’EPR de Flamanville.

 

 

Cette voiture électrique qui renforce le poids du charbon

Cette voiture électrique qui renforce le poids du charbon

 

Le charbon fait office de matière première pour produire de l’essence synthétique et de l’électricité en Afrique du Sud et, surtout, en Chine, observe Jean-Baptiste Fressoz dans sa chronique au Monde.

L’usine qui a émis le plus de dioxyde de carbone (CO2) au monde en 2021 se trouve en Afrique du Sud. Elle appartient à la South African Synthetic Oil Limited (Sasol) et son activité principale consiste à liquéfier le charbon pour le transformer en essence. Avec 57 millions de tonnes par an, cette usine émet à elle seule davantage de CO2 que des pays comme le Portugal, la Norvège ou la Suisse. Elle produit aussi 7,6 millions de tonnes d’essence à partir de charbon, un tiers des besoins du pays.

La liquéfaction du charbon est une technique de « souveraineté énergétique » de grande importance. Son histoire commence en Allemagne durant l’entre-deux-guerres avec les procédés d’hydrogénation du charbon développés par le chimiste Friedrich Bergius. Pendant la guerre, les usines de carburants synthétiques font voler les avions de la Luftwaffe et avancer une bonne partie des tanks de la Wehrmacht. Prouesse technologique, l’hydrogénation était un désastre économique et environnemental : la réaction avait lieu à 400 °C ; 100 atmosphères et 4 à 6 tonnes de charbon étaient nécessaires pour produire une tonne d’essence, qui revenait de 10 à 15 fois plus cher que son équivalent tiré du pétrole.

Malgré ces défauts, des pays comme la France, l’Angleterre, le Japon et même l’Italie, pourtant pauvre en charbon, se lancèrent dans les années 1930 dans la liquéfaction en invoquant la souveraineté énergétique et, à plus long terme, l’épuisement des puits de pétrole. La liquéfaction du charbon ne disparaît pas dans les décombres du nazisme. Bien au contraire : après la guerre, les experts allemands sont convoités, en particulier par l’Afrique du Sud, pauvre en pétrole et riche en charbon. En 1955, le gouvernement ségrégationniste crée la Sasol et subventionne sa production pour contrer les sanctions économiques liées à l’apartheid et préserver sa souveraineté énergétique. Avec les chocs pétroliers des années 1970, la Sasol devient le leader technologique du domaine, enviée du monde entier. L’administration américaine de Jimmy Carter crée une entreprise publique dotée de 20 milliards de dollars, la Synthetic Fuels Corporation, qui prévoit de produire 3 millions de barils par jour dans les années 1990. Le contre-choc pétrolier aura raison de ce projet.

Mais c’est surtout en Chine, après le troisième choc pétrolier de 2007-2008, que la liquéfaction du charbon connaît son plus grand essor. Shenhua et Yitai, deux des plus grandes compagnies minières au monde, qui opèrent principalement dans le Shanxi et en Mongolie intérieure, se sont massivement lancées dans les carburants synthétiques. Presque inexistante en 2009, la production chinoise atteint 2 millions de tonnes par an (Mt/an) en 2010, 15 en 2017 et, selon les dernières statistiques disponibles, 35 en 2019. A titre de comparaison, l’industrie nazie de carburants synthétiques, avec ses 21 usines, n’en avait produit que 2,3 Mt à son apogée. Si on ajoute à cela les 80 millions de tonnes de méthanol produit en Chine à partir du charbon, on peut estimer qu’entre un cinquième et un sixième des carburants chinois provient du charbon.

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