Archive pour le Tag 'change'

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Au bord de la faillite, Maduro change de ministre de l’Economie du Venezuela

Au bord de la faillite,  Maduro change de ministre de l’Economie du Venezuela

 

 

Conséquence de la dictature, du populisme et de l’incompétence le Venezuela est au bord de la faillite. . Le Venezuela, riche en pétrole, traverse actuellement une grave crise économique, marquée notamment par des pénuries d’aliments et de médicaments. L’inflation pourrait atteindre cette année 1.400 %, selon l’institut Ecoanalítica. Selon le FMI, elle devrait même atteindre 2.349 % en 2018. Jusque-là le président du Venezuela avait nommé des politiques visiblement complètement dépassées par la situation catastrophique. Du coup il fait appel à Simon Zerpa, directeur financier de la compagnie pétrolière étatique Petróleos de Venezuela (PDVSA), ministre de l’Economie et des Finances, selon un décret publié dans la nuit de vendredi à samedi. Madoro de ce jeu de chaises musicales pour passer au dessus le Parlement pour désigner le nouveau responsable de la banque centrale. Le nouveau ministre de l’économie, M. Zerpa figure sur la liste des treize fonctionnaires du gouvernement vénézuélien sanctionnés par les Etats-Unis le 26 juillet pour atteinte à la démocratie ou participation à des actes de violences et de corruption. Simon Zerpa succède à Ramon Lobo, un ex-député qui occupait ce poste depuis janvier. Ramon Lobo a lui-même été nommé à la tête de la banque centrale. La nomination de M. Lobo à la tête de la BCV avait été approuvée jeudi par la toute puissante Assemblée constituante, acquise au président Maduro et non reconnue par l’opposition. M. Lobo, dont la nomination figure dans le même décret que celle de M. Zerpa, succède à Ricardo Sanguino, un ex-député qui était à ce poste depuis janvier. Le député d’opposition José Guerra a estimé que cette nomination violait la Constitution, qui stipule que le président de la BCV est désigné par le Parlement, contrôlé actuellement par l’opposition. La plus haute autorité judiciaire du pays a cependant statué que les décisions du Parlement, dont les pouvoirs ont été saisis par la Constituante, étaient sans effet.

Terrorisme : Theresa May change de discours ?

Terrorisme : Theresa May : change de discours ?

 

 

Juste que là le Royaume Uni avait largement autorisé et même favorisé le communautarisme et la plus grande liberté d’expression y compris des plus radicaux. En apparence la première Ministre remet en cause cette orientation. On objectera cependant que des pays développement opposés au communautarisme  ont également été victimes  d’attentats même là où la liberté d’expression est très contrainte comme en  Russie. «Le moment est venu de dire: trop, c’est trop», a déclaré la Première ministre britannique depuis le perron du 10, Downing Street. «Nous ne pouvons pas et ne devons pas prétendre que les choses peuvent continuer ainsi.»  «Nous sommes persuadés d’avoir affaire à un nouveau type de menace car le terrorisme nourrit le terrorisme et les auteurs sont incités à commettre leurs attaques non seulement sur la base de complots minutieusement élaborés après des années de planification et d’entraînement, non seulement par des assaillants isolés radicalisés sur internet, mais aussi en se copiant les uns les autres et en utilisant les moyens les plus sommaires», a déclaré Theresa May. Elle a dressé la liste de quatre domaines où des changements devront être mis en oeuvre selon elle. Le premier concerne la lutte contre «l’idéologie du mal» à l’origine des attaques répétées de ces dernières semaines, qu’elle a qualifiée de perversion de l’islam et de la vérité. Cette lutte ne pourra être remportée uniquement grâce à des opérations militaires, a expliqué Theresa May, et la Grande-Bretagne devra défendre ses valeurs de pluralisme, supérieures à tout ce que peuvent offrir les «prêcheurs de haine». Deuxième point développé par la Première ministre, la mise en place de nouvelles réglementations pour réduire l’espace d’expression des extrémistes sur internet. «Nous ne pouvons pas offrir à cette idéologie l’espace sécurisé dont elle a besoin pour prospérer. C’est pourtant exactement ce que font internet et les grands fournisseurs de services en ligne», a déploré Theresa May. «Nous devons travailler avec les gouvernements démocratiques alliés pour conclure des accords internationaux sur la régulation du cyberespace.»  Troisièmement, a déclaré la chef du gouvernement, davantage de moyens doivent être consacrés pour identifier et éradiquer l’extrémisme au sein de la société britannique. Quatrième et dernier point, la stratégie de lutte antiterroriste, qui est solide, doit tout de même être revue à la lumière de l’évolution des menaces, a-t-elle dit. Theresa May a notamment évoqué la possibilité d’allonger les peines d’emprisonnement liées aux infractions liées au terrorisme, même dans le cas de délits mineurs.

Conséquence de l’abandon de l’Euro : une différence de change de 20% entre la France et l’Allemagne

Conséquence de l’abandon de l’Euro : une différence de change  de 20% entre la France et l’Allemagne

 

 

 

 

En clair,  la France perdrait  20% de pouvoir d’achat en abandonnant l’Euro. Ceux qui militent pour quitter l’euro devraient être conscients que mécaniquement la dévaluation de la monnaie nationale atteindrait de l’ordre de 20 % par rapport à l’Allemagne. Ce que viennet  de démontrer le fonds monétaire international et des experts financiers. Pour la France le taux de change actuel de l’euro est d’environ 6% supérieur à ce qu’il devrait être pour convenir aux spécificités économiques de l’Hexagone, et notamment à sa compétitivité quelque peu «fluette» comme la constitution corporelle de Stan Laurel. Et c’est exactement l’inverse du point de vue de l’Allemagne pour qui l’euro est sous-évalué d’environ 15%. Autrement dit si les deux premières économiques de l’Union monétaire européenne recouvraient leur indépendance, le franc «posteuro» devrait être déprécié de l’ordre de 20% par rapport au mark «posteuro». Ces chiffres émanent du Fonds monétaire international (FMI) qui vient de publier son «External Sector Report» pour 2016. Ce titre un peu sibyllin désigne en réalité un exercice fort simple dans son principe. Il s’agit d’examiner les performances macroéconomiques des 29 principales économies nationales, essentiellement en fonction de leur solde commercial et financier extérieur et accessoirement de la situation de leurs finances publiques internes. Ce qui préoccupe le FMI en tant que responsable de la stabilité financière mondiale, ce sont les déséquilibres extérieurs des économies nationales. À cet égard le monde peut se diviser en deux. D’un côté les pays qui affichent des excédents externes, parfois énormes. Et de l’autre côté, ceux qui enregistrent des déficits de leur balance des paiements extérieurs, souvent tout aussi considérables. À partir de là, le FMI s’interroge sur les changements des cours des monnaies qui seraient nécessaires pour rééquilibrer les comptes de chaque nation. Autrement dit des dévaluations pour les pays déficitaires, et au contraire des réévaluations pour les économies en excédent. Cet affrontement entre les deux blocs peut se résumer en réalité à sept gros acteurs. D’un côté deux pays très déficitaires. Tout d’abord les États-Unis, dont la balance des paiements a été dans le rouge à hauteur de 473 milliards sur les douze derniers mois, soit encore 2,6% du PIB du pays en 2015. Et ensuite le Royaume-Uni, en déficit extérieur de 162 milliards de dollars, soit 5,2% du PIB britannique 2015. Dans le clan d’en face, cinq gros acteurs affichent des excédents. Trois Asiatiques, la Chine (285 milliards de dollars et 3% de son PIB en 2015), le Japon (159 milliards de dollars et 3,4% de son PIB) et la Corée du Sud (105 milliards de dollars et 7,3% de son PIB). À quoi s’ajoutent deux Européens, la Suisse (72 milliards de dollars d’excédent, 9% de son PIB 2015) et surtout la zone euro qui est le champion mondial toutes catégories: les 19 pays de la zone euro affichent collectivement vis-à-vis du reste du monde un excédent de la balance des paiements de 392 milliards de dollars, soit encore 3,2% du PIB de la zone euro. Ayant dressé cette carte mondiale des déséquilibres nationaux, le FMI en tire des conclusions sur les changements des cours des monnaies qui seraient susceptibles de rééquilibrer les comptes. L’exercice est bien sûr théorique et forcément approximatif, mais du moins donne-t-il des orientations sur les évolutions souhaitables des taux de change. Ainsi le FMI envisage-t-il une dépréciation du dollar et de la livre britannique, et à l’inverse une réappréciation de toutes les monnaies des zones en excédents, qu’il s’agisse du won coréen, du yen japonais, du yuan chinois ou de l’euro. Pour la devise chinoise le FMI parle d’une réappréciation moyenne de 3,9%, non pas vis-à-vis du seul dollar américain mais par rapport à l’ensemble des monnaies des pays avec lesquels la Chine commerce. De même l’euro serait sous-évalué actuellement de 6% en moyenne vis-à-vis des autres devises, compte tenu de l’énorme excédent extérieur de la balance des paiements de la zone euro (392 milliards de dollars). Là où les choses se corsent, c’est que le FMI pousse son analyse au sein même de la zone euro, ce qui est évidemment tout à fait légitime puisque les 19 pays en question sont tous membres à part entière de l’organisation financière internationale qui siège à Washington. Mais du coup les déséquilibres intra zone euro apparaissent en pleine lumière et dans toute leur cruauté. Alors que l’Allemagne a affiché un excédent de 306 milliards de dollars (8,5% de son PIB) de sa balance des paiements sur ces douze derniers mois, la France était en déficit de 21 milliards de dollars (0,7% de son PIB).

Syrie : Hollande change de stratégie et veut une grande coalition

Syrie : Hollande change de  stratégie et veut une grande coalition

 

C’est évidemment un changement stratégique assez fondamental de la part de Hollande. Précédemment il ne voulait  pas entendre parler d’une alliance avec les Russes encore moins avec l’armée d’Assad. Certes Hollande prend des précautions oratoires pour rappeler ses exigences vis-à-vis d’Assad, mais la nouvelle priorité devient maintenant la constitution d’une alliance de toutes les forces. La question de l’avenir Assad et renvoyé à plus tard. D’où cette annonce par Hollande d’une rencontre prochaine avec Obama et Poutine. En fait Hollande reprend la les propositions de la droite et il s’appuie sur le fait que les attentats ont été commandités en Syrie par l’État islamique.  La France a en effet  identifié le commanditaire présumé des attentats de Paris grâce aux progrès de l’enquête sur un drame qui a incité François Hollande à prôner la création d’une grande coalition avec la Russie pour éradiquer la menace de l’Etat islamique. »Les actes de guerre de vendredi ont été décidés et planifiés en Syrie, organisés en Belgique, perpétrés sur notre sol avec des complicités françaises », a-t-il dit devant les députés et sénateurs réunis pour l’entendre présenter sa stratégie sur les plans militaire, européen et sécuritaire. D’une certaine manière c’est aussi la reconnaissance des limites de l’intervention française voir de son impuissance face à l’État islamique. En réplique aux attentats la France a largué 20 bombes dimanche. Mais en quatre jours la Russie a procédé à autant d’attaques aériennes que la France en 14 mois. Ce qui témoigne bien de l’État du rapport de force et de la nécessité de cette coalition que Hollande refusait jusque-là Des chasseurs-bombardiers français ont en effet  lancé dimanche soir leur raid le plus massif jusqu’ici en Syrie, visant Rakka, bastion de l’EI. Le raid a impliqué 12 avions français, dont 10 avions de chasse, et 20 bombes ont été larguées. François Hollande a donc  annoncé qu’il rencontrerait Barack Obama et Vladimir Poutine « dans les prochains jours » pour construire une grande coalition visant à détruire Daech.

 

Sarkozy n’a pas changé (Bayrou)

Sarkozy n’a pas changé (Bayrou)

Pour Bayrou,  Sarkozy n’a pas changé il est aussi sectaire et brutal. Et il le  soupçonne de vouloir « arranger » les primaires à droite au détriment de Juppé. Auquel cas Bayrou envisage de se présenter. Uen sérieuse épine dans le pied de Sarkozy car ce serait sans doute écarter sans doute l’ancien présidenet de la république du second tour.  Extrait de l’interview.

 

Dans des confidences à Valeurs actuelles, vous redites votre soutien à Juppé mais vous laissez entendre que s’il est devancé par Nicolas Sarkozy, vous serez vous-même candidat. Ne pariez-vous pas sur l’échec du maire de Bordeaux?
C’est simple : je soutiens Alain Juppé mais je redoute la mécanique des primaires. Pas seulement parce que j’ai pour lui de l’amitié et de l’estime, mais parce qu’il est le mieux placé dans le grand courant modéré dont la France a besoin. Il est attendu par une majorité de Français qui voient en lui une capacité de rassemblement et une volonté d’action dans un pays bloqué. Je le soutiens et, s’il est candidat, je travaillerai avec lui pour que la France aille mieux et un jour aille bien.

Mais vous n’aimez pas les primaires, avez-vous déclaré?
Je redoute le mécanisme des primaires. C’est le contraire de nos institutions! Surtout, les primaires risquent d’être un piège parce qu’elles remettent le choix du candidat non pas dans les mains du peuple directement, mais dans celles d’un public engagé, militant, partisan, forcément plus virulent que la France réelle, peu en phase avec un candidat modéré et nuancé. Alain Juppé croit qu’il peut surmonter cet obstacle. Tant mieux! Beaucoup de femmes et d’hommes du centre l’aideront. Simplement, si le résultat n’était pas celui que j’espère, je ne serais pas lié par ce choix. Si, au premier tour, il n’y avait sur la table de vote que les bulletins Hollande, Sarkozy, Le Pen, des millions de citoyens français ne trouveraient pas le bulletin qui correspond à leur idée de la France. Cela est pour moi inenvisageable.

Sarkozy et vous, c’est impossible, à jamais?
Ce n’est pas une guerre de personnes, en tout cas pour moi… Mais ses attitudes et ses choix fondamentaux ne cessent de m’inquiéter : jouer perpétuellement l’agressivité et la menace, chercher la division du pays, allumer le feu avec les sujets les plus brûlants – la religion, les interdits alimentaires – tout cela est dangereux. Alors, je le dis sans détour.

Mais il peut changer?
Les hommes peuvent changer, et les poules avoir des dents…

 

(interview JDD)

Grèce : « un referendum qui ne change rien » (Pascal Lamy)

Grèce : « un referendum qui ne change rien » (Pascal Lamy)

 

Sur la plan financier ce référendum ne change rien, il y a toujours  le risque d’un chaos pour la Grèce. Pour autant cela confère à Tsipras uen autorité pour vraiment négocier avec des partenaires certes réticents mais qui doivent prendre en compte la situation explosive de la région. Pour l’ancien commissaire européen, après le référendum, le Premier ministre grec « est donc en meilleure position de négociation ». Mais Pascal Lamy s’inquiète : « La situation empire tous les jours. L’économie grecque est en chute libre ». Il craint que la Grèce « s’effondre dans un chaos ».  Pour Pascal Lamy, « le non au référendum ne change rien à la situation économique et financière de la Grèce. Les banques sont fermées. Le pays va vers une situation où il n’y aura plus de cash du tout. Par contre, l’équation politique a changé. Le Premier ministre, en réussissant son pari (…) est en meilleure position de négociation. Ses interlocuteurs européens vont devoir davantage aider la Grèce qu’ils ne l’auraient fait avant ce référendum. La contrepartie, c’est qu’Alexis Tsipras a aussi une autorité plus forte sur sa propre majorité ». Le premier ministre grec a-t-il eu raison ? « Il a eu, pour l’instant, raison« , répond Pascal Lamy. « Il ressort avec une main politique renforcée mais aussi avec une responsabilité renforcée. Pour tous ceux qui sont pour le maintien du pays dans la zone euro, y compris en Grèce, ce n’est pas forcément une mauvaise nouvelle. » L’ancien commissaire européen au Commerce appelle les dirigeants français et allemands à « se mettre d’accord pour qu’ensuite le Conseil européen reconstruise les ponts avec la Grèce et regarde ce sujet avec l’angle qu’il faut et qui n’est pas l’angle comptable, mais qui est un angle géoéconomique et géopolitique ». « Si la Grèce s’effondre dans un chaos, c’est un problème majeur pour l’Europe compte tenu de ce qui se passe dans le bassin méditerranéen et au Moyen-Orient. »

Un « non » qui ne change rien

Un « non » qui ne change rien

Un exercice démocratique toujours utile mais fondamentalement qui ne change pas les données du problème : il faudra négocier, négocier encore, sans doute pendant des années encore. Pourquoi,  parce que l’Allemagne n’acceptera pas une réduction de 30% de la dette et qu’on va se refugier dans une solution partielle et provisoire. Pas tellement à cause de la Grèce mais du fait de l’endettement d’autres pays comme la France qui pourraient être tentés le moment venu de ne plus rembourser la totalité de leurs dettes.  Le « non » a donc atteint environ 61% des votes.  Réagissant peu après la clôture du scrutin, l’Elysée a fait savoir que François Hollande recevrait lundi soir à Paris la chancelière allemande, Angela Merkel, pour évoquer les conséquences du référendum grec. A Bruxelles, des responsables européens ont indiqué qu’il n’y aurait pas de réaction officielle de l’UE tant que le résultat final du référendum n’aurait pas été annoncé. Aucune réunion de l’Eurogroupe (ministres des Finances de la zone euro) n’est prévue lundi, a dit un responsable de la zone euro. En Grèce, le porte-parole du gouvernement a souhaité que de nouvelles négociations permettent la conclusion d’un accord dans les plus brefs délais.   »Les négociations qui vont s’ouvrir doivent déboucher très rapidement, peut-être même d’ici 48 heures », a déclaré Gabriel Sakellaridis à la télévision grecque.

 

« Sarkozy n’a pas changé » ( Rachida Dati)

« Sarkozy n’a pas changé » ( Rachida Dati)

 

Sas doute déçue de ne pas figurer dans l’’organigramme du nouveau parti «  les républicain »’ Rachida Dati se lâche et recadre Sarkozy dans une interview au Parisien.

Le congrès fondateur des Républicains, samedi, a-t-il été à la hauteur ?


RACHIDA DATI.
Ça a été un moment de rassemblement, il doit marquer le début d’une nouvelle ère pour notre famille politique. La participation aurait pu être plus importante (NDLR : 10 000 personnes au lieu des 20 000 annoncées) et bien sûr les sifflets contre Alain Juppé et François Fillon ont quand même crispé l’ambiance. Cela démontre une chose : tout reste encore à faire pour Nicolas Sarkozy. Il ne doit pas croire qu’on est dans la situation de 2004, quand il a été élu président de l’UMP et que tout le parti était derrière lui pour la présidentielle de 2007.

La primaire est gagnable pour lui ? Les sondages montrent qu’il devra compter avec Juppé…
S’il veut gagner, Nicolas Sarkozy va devoir être capable de rassembler l’ensemble des électeurs de droite et du centre. Cette primaire doit être la plus ouverte possible, pour créer une réelle dynamique de victoire en 2017. Je rejoins en ce sens Alain Juppé. Et Nicolas Sarkozy ne doit pas oublier que sa victoire en 2007 est en partie due au fait qu’il avait su convaincre bien au-delà de son camp. Aujourd’hui, il ne peut pas se contenter de n’être qu’un chef de parti. Et puis au-delà de l’alternance, c’est un vrai projet qu’il faut bâtir. Mais un projet, ce n’est pas un QCM : quand j’entends qu’il faut réduire les impôts de 100 Mds€, supprimer les 35 heures… Il faut surtout dire comment on fait.

Quand Sarkozy parodie François Hollande en l’appelant « Moi je », il a raison ?
Je n’apprécie pas la formule « moi je ». Attention, la critique qui vaut pour les autres peut valoir pour nous aussi. Les Français méritent mieux que cela, car nous n’avons plus le droit de les décevoir. Or nous les avons déçus, il faut le reconnaître. D’ailleurs, vu le contexte, on devrait être à 200 % de popularité, ce qui n’est pas le cas. Cela prouve bien que notre crédibilité a été atteinte.

Vous savez qui vous soutiendrez pour la primaire ?
Etre candidat à la présidentielle ne s’improvise pas. Aujourd’hui, on a un nouveau candidat à la primaire tous les jours, alors même que certains n’ont ni le soutien des Français, ni le soutien des élus, ni même celui de nos militants.

Mais votre champion, c’est qui ?
C’est encore loin. Je suis loyale à Nicolas Sarkozy. Mais mon pays est plus important que mes affinités. Je ne souhaite pas que mon pays soit brutalisé, que les Français soient opposés les uns, aux autres. Je ne referai pas une campagne sur la burqa, le halal ou les menus de substitution. Sinon, on va droit dans le mur. Là-dessus je suis sur la même ligne qu’Alain Juppé, quand il dit qu’il faut arrêter de se focaliser sur le voile. Parlons d’abord d’école, d’emploi, d’autorité… et un peu moins des interdits.

Que pensez-vous du nouvel organigramme des Républicains. NKM était sur le départ, finalement elle reste numéro deux malgré les tensions avec Sarkozy ?
Les récentes prises de position de Nathalie Kosciusko-Morizet ont déplu à Nicolas Sarkozy. Il avait alors annoncé urbi et orbi ne pas vouloir la reconduire dans ses fonctions. Mais il l’a maintenue. Ce revirement ne m’a pas surpris. Il n’a pas changé…

Départementales : »les Français en colère » (Valls)…mais on ne change rien

Départementales : les Français en colère (Valls)…mais on ne change rien

 

Il est assez pathétique le Clémenceau d’Opérette, il reconnu que les Français étaient en colère mais pour autant n’envisage pas de changer de politique. Tout au plus il n’écarte pas la possibilité de décider une thérapie légère qui consiste à prescrire quelques   dolipranes pour soigner  le cancer du chômage. La vérité  c’est qu’il complètement perdu, que ses résultats économiques sont insipides et qu’il est prisonnier de l’orthodoxie de la pensée économique unique des technocrates qui sans doute couleraient la gestion d’une  épicerie de quartier en moins d’un mois ;  a fortiori,  ils  ne peuvent faire preuve de la moindre imagination pour réformer réellement.  Un bouleversement durable du paysage politique« , voici comment Manuel Valls a qualifié les résultats des élections départementales quelques instants après l’annonce des premières estimations. La gauche devrait ainsi perdre entre 25 et une trentaine de départements par rapport aux dernières élections.  Surtout, le premier ministre a fustigé les divisions de la gauche, notamment au premier tour du scrutin, ainsi que les scores « très élevés, trop élevés » du Front national. Le Premier ministre a insisté, expliquant s’être « impliqué autant qu’il a pu » contre la montée de l’extrême-droite, réussissant à mobiliser grâce à des « appels entendus ».  « Chacun devra tirer les leçons de ces résultats », a-t-il déclaré, « dénoncer les solutions dangereuses de l’extrême-droite, qui n’y a rien de bon à en entendre ni localement, ni nationalement. » Le Premier ministre a ajouté qu’il avait entendu « les attentes et les exigences » de Français en colère, fatigués « par une vie quotidienne difficile, le chômage, les impôts, la vie trop chère. »   Pour y répondre, Manuel Valls a listé un ensemble de textes qui seront votés « avant l’été ». Baisses d’impôts pour 9 millions de foyers modestes et de classes moyennes, modernisation du dialogue social, incitations à l’embauche dans les PME faisaient notamment partie de ces mesures martelées.  Maître mot du discours du Premier ministre, le thème de l’espoir a plusieurs fois été répété dans le discours d’environ 5 minutes. On peut même faire un voyage à Lourdes !

 

Sondage Hollande : il n’a pas changé pour 63% des Français

Sondage Hollande : il n’a pas changé pour 63% des Français

 

 

Il n’y a que les grands médias qui ont vu le changement de François Hollande (changement de costume, de cravate, de tonalité) ; sur le fond, rien  pour les français à 63%. Le monarque républicain a donc changé pour la cour des courtisans légitimistes pas pour le peuple. Contrairement à ce qu’il affirmé lors de sa conférence de presse du 5 février, François Hollande n’a pas changé depuis les attentats de janvier estiment 63% des Français, selon un sondage Odoxa pour CQFD et iTELE publié vendredi 6 février. À la question « estimez-vous que, depuis les évènements du mois de janvier, François Hollande a changé », 36% des personnes interrogées répondent « oui », 63% « non ». 1% ne se prononcent pas. Sans surprise, les sympathisants de droite sont très sceptiques à propos de ce changement, puisque seuls 15% d’entre eux y croit, contre 60% des sympathisants de gauche. Par ailleurs l’annonce par François Hollande, lors de sa conférence de presse, de la mise en place d’une réserve citoyenne est approuvée par 79% des Français. 20% y sont opposés et 1% ne se prononcent pas. Cette mesure a le soutien de 94% des sympathisants de gauche, et de 67% des sympathisants de droite.  Si les Français sont d’accord avec cette mesure, ils sont néanmoins peu enclin à intégrer cette réserve citoyenne, seulement 37% des personnes interrogées étant prêt à le faire, 62% ne l’étant pas.

Sarko : il n’a pas changé

Sarko : il n’a pas changé

 

Sarko réjouit les militants de l’UMP mais pas forcément les Français car visiblement, il ‘a pas changé. Toujours auusi nerveux, agressif même et grande gueule. Surtout se contentant  de slogans qui tentent de masquer l’ absence d’une réflexion un peu charpentée  sur la politique économique (en particulier sur l’Europe Schengen excepté). Discret auusi sur les questions de société qui fâchent : «  le mariage pour tous » Pour ou contre ? On ne sait pas ; certes ce n’est peut-être pas la priorité mais on pouvait attendre des prépositions un peu structurées dans les domaines économiques et soaciux. Au lieu de cela une sorte d’inventaire à la Prévert avec des bouts de trucs (certains pertinents mais vagues)  pris ici ou là,  à gauche, à droite, à l’extrême droite. En faiat un discours surtout destiné aux militants de l’UMP pour prendre la présidence du parti avec objectif 2017. Il battra Hollande ou Valls, c’est certain mais comme a dit Fillon une chèvre les battrait.   Dans son meeting du nord  Nicolas Sarkozy débute son discours : « Mes chers amis, si vous saviez comme je suis heureux de vous retrouver ! » Pour rapidement enchaîner sur l’état de la France et sans laisser passer l’occasion de critiquer le gouvernement actuel. « Deux ans et demi durant, j’ai assisté, silencieux, à la destruction systématique de tout ce que nous avions fait », s’est-il désolé (…) La présidence normale… On imagine ce que cela aurait été si elle ne l’avait pas été ! (…) On s’attendait au pire. Au moins, sur ce point, on n’a pas été déçu ». Tout en continuant d’attaquer le président actuel et le gouvernement, Nicolas Sarkozy n’a pas non plus épargné Marine Le Pen :  »Je dénonce l’alliance du FN et du PS (…) Marine Le Pen a fait de moi sa cible mais elle a donné un coup de pouce à son ami François Hollande en 2012 (…) Elle a sa part de responsabilité dans la situation dans laquelle se trouve la France aujourd’hui ».  Sans parler précisément de l’UMP, Nicolas Sarkozy a confirmé que des primaires à droite seraient bien organisées en vue des élections présidentielles de 2017.  »Il y aura des primaires. Qui pourrait de bonne foi douter qu’il en fût autrement ? A-t-on oublié mon tempérament ? » a-t-il lancé, appelant à ne pas faire de ce sujet une « inutile querelle ». Il a ainsi tenu à rassurer ses rivaux à la présidence, notamment Alain Juppé, très attaché au système des primaires « ouvertes ».  En évoquant à plusieurs reprises sa « famille politique », l’homme de droite en a profité pour caresser dans le sens du poil ses adversaires en parlant notamment de « l’expérience » d’Alain Juppé - après lui avoir lancé, selon Le Canard enchaîné,  »Je vais te tuer », le 3 septembre dernier – ou la  »confiance » qu’il porte à François Fillon. S’il a affiché son désir de vouloir refonder sa « formation politique » « de fond en comble », et ainsi faire cesser « l’impression de pagaille », il n’a pas formulé de propositions précises sur ce sujet. Plusieurs fois lors de son discours, l’ancien chef de l’État a reconnu des « erreurs » commises lors de son mandat. Mais il a particulièrement insisté sur le problème du RSA, mis en place en 2008.  »Nous avons échoué dans notre volonté de faire du RSA un moyen de réinsertion dans et par le travail », a-t-il regretté.  Nicolas Sarkozy veut donc proposer des compensations « en service à la collectivité » contre le versement de l’allocation.  »Que va devenir notre système s’il y a de moins en moins de gens qui travaillent et de plus en plus qui attendent leurs allocations ? », s’est interrogé l’ancien président. Toujours en parlant de coupes budgétaires dans les dépenses publiques, qu’il juge « beaucoup trop lourdes pour notre économie », l’ancien maire de Neuilly a annoncé vouloir, une nouvelle fois, baisser le nombre de fonctionnaires.  »Le nombre de fonctionnaires devra être réduit comme nous l’avons fait durant le dernier quinquennat », a-t-il affirmé. Avant cela, comme un écho à sa campagne présidentielle de 2007, l’ex-président de la République annonce également que les Français vont devoir « travailler davantage ». Une phrase qui n’est pas sans rappeler le slogan qui l’a fait élire : « Travailler plus pour gagner plus ».  Enfin, Nicolas Sarkozy a fait une annonce qui ne devrait pas plaire aux écologistes : « Je ne peux pas accepter que les États-Unis soient devenus, du point de vue de l’énergie, indépendants grâce au gaz de schiste et que la France ne puisse pas profiter de cette nouvelle énergie, alors que le chômage ravage tant de nos territoires et tant de nos familles, c’est inacceptable ». L’ancien président a donc présenté l’exploitation du gaz de schistes à la fois comme une alternative pour lutter contre le chômage et une manière d’assurer l’indépendance énergétique du pays. Mais la technique qui permet d’extraire le gaz de schiste est très controversée, notamment par les associations de défense de l’environnement, qui dénoncent des risques liés à des pollutions des nappes phréatiques en cas de fuite. Comme il l’avait déjà fait sur le plateau de Laurent Delahousse il y a moins d’une semaine, Nicolas Sarkozy a loué l’usage du référendum. Alors qu’il n’a jamais eu recours à ce mode de scrutin lors de son quinquennat, il en a proposé un premier sur la réduction du nombre de parlementaires et un second sur la fusion des conseils généraux et des conseils régionaux. Avec toutes ces propositions, la « longue marche » de Nicolas Sarkozy « au service de la France » semble bien tracée jusqu’à la présidentielle 2017.

 

Sarkozy n’a pas changé pour 67% des Français (Sondage Odoxa)

Sarkozy n’a pas changé pour 67% des Français (Sondage Odoxa)

 

 

Paradoxe apparent 67%  Français estiment dans un sondage Odoxa pour I Télé que Sarkozy n’a pas changé, que son retour pour 55% n’est pas une bonne chose pour le pays mais que c’est le candidat le mieux à même de redresser face à Hollande, Valls ou Lepen. Un paradoxe qui n’est en effet qu’apparent, les Français savent bien que Sarkozy ne changera pas son excitation permanente, ses outrances, son coté bling, bling. Pour preuve, les formules excessives qu’il emploit déjà : « tout réinventer » alors qu’il prend les mêmes dans son entourage. Pour preuves, sa reconversion dans la finances et les fonds d’investissement. Pour autant comme l’offre politique est très pauvre, Sarkozy n’aurait pas de mal à battre Valls, Hollande ou Lepen. (Mais d’autres auusi à l’UMP). Un tiers des Français seulement pense donc que Nicolas Sarkozy, qui a officialisé ce vendredi son retour en politique, a changé,  Et plus d’un Français sur deux (55%) pense que son retour est une «mauvaise chose», selon cette étude menée par Odoxa, pour le Parisien-Aujourd’hui en France, CQFD et iTélé, qui montre en revanche qu’il est jugé comme le mieux à même de redresser le pays.  Pour 67% des sondés, Nicolas Sarkozy n’a pas changé. 33% seulement pensent l’inverse, selon ce sondage réalisé ce vendredi. Au niveau des sympathisants de droite, ils sont tout de même 52% à penser qu’il a changé, un avis que seuls 13% des sympathisants de gauche partagent. En annonçant ce vendredi sur sa page Facebook sa candidature «à la présidence de (sa) famille politique», Nicolas Sarkozy assure, lui, avoir pris «le recul indispensable pour analyser le déroulement de (son) mandat» et en avoir «tiré les leçons». Plus inquiétant pour lui, seuls 44% des Français pensent que son retour est une «bonne chose», tandis que 55% des sondés pensent l’inverse. Parmi les partisans de son retour, en trouve évidemment une grande majorité de sympathisants de droite : 72% d’entre eux sont en effet satisfaits, tandis que seulement 12% des sympathisants de gauche voient d’un bon œil la candidature de Nicolas Sarkozy.  En revanche, face à François Hollande, Manuel Valls ou Marine le Pen, Nicolas Sarkozy est jugé systématiquement comme le plus «à même de redresser le pays». 64% de sondés lui font ainsi plus confiance qu’à  la leader du FN (28%). Face à François Hollande, Nicolas Sarkozy réunit 60% d’opinions favorables, contre 32% pour l’actuel chef de l’Etat. 51% des sondés jugent enfin Nicolas Sarkozy plus à même de redresser le pays que Manuel Valls (43%).

Immobilier : une chute des taux qui ne change rien

Immobilier : une chute des taux qui ne change rien

 

En dépit de la chute des taux c’est toujours la déprime dans l’immobilier aussi bien dans le neuf que dans l’ancien. En cause évidemment le manque de solvabilité de beaucoup de primo accédants ; rappelons que pour un bien d’une valeur moyenne de 220 000 euros, il faudra environ 4500 euros de revenus mensuels pour assurer les remboursements moyens en cas de crédit. Autant dire une chiffre difficile à atteindre pour nombre de manages qui attendent à juste titre de nouvelles baisses de prix. Les taux d’intérêt des crédits immobiliers accordés aux particuliers sont tombés à 2,70% en moyenne en juillet, poursuivant un mouvement de baisse inédit depuis les années 1940, selon les données mensuelles de l’observatoire Crédit Logement / CSA. En juillet, les taux des prêts du secteur concurrentiel, hors assurance et coût des sûretés, ont atteint 2,70% en moyenne, avec 2,67% pour l’accession dans le neuf et 2,70% pour l’accession dans l’ancien. L’observatoire a de nouveau souligné, comme pour les mois de mai et juin, le caractère inédit de ce mouvement baissier depuis les années 1940, tant dans l’ampleur que dans le temps. Depuis le début de l’année, les taux ont marqué une chute globale de 38 points de base (0,38 point), touchant tous les marchés d’une façon similaire: celui du neuf (2,67% contre 3,08% en décembre), de l’ancien (2,69% contre 3,08% en décembre) et des travaux (2,73% contre 3,12% en décembre). L’attractivité des taux variables a continué à diminuer, avec seulement 3,1% des prêts contre 6,4% en 2013. «La baisse des taux constatés depuis janvier rend ces formules nettement moins intéressantes pour les emprunteurs qu’au début des années 2010», souligne le communiqué. En juillet, la durée moyenne des prêts a légèrement diminué à 204 mois contre 206 en juin, stagnant à un niveau bas depuis plus d’un an du fait de la panne de la primo-accession des ménages jeunes ou modestes. Le coût des prêts reste quant à lui élevé à 3,82 années, «dans un contexte de stagnation des revenus des ménages», selon le document, et le niveau d’apport personnel s’est redressé à la fin juillet (+2,5% sur un an, contre -5,5% en 2013).

Euro : la BCE attentiste face au taux de change

Euro : la BCE attentiste face au taux de change

 

 

Curieux pour une banque centrale, la BCE déclare que le taux de change n’est pas un objectif quand toues les autres banques centrales considère le taux comme un élément stratégique. La Banque centrale européenne (BCE) restera cependant « attentive » au taux de change de l’euro pour éviter qu’un niveau trop élevé ne vienne perturber le début de reprise économique dans la zone euro, a déclaré son président, Mario Draghi, lundi à Strasbourg. La croissance, qui a été de 0,2% au premier trimestre 2014 dans la zone euro, devrait se poursuivre pendant les deux années à venir, selon lui, sous réserve qu’aucun élément extérieur ne perturbe cette tendance. « Nous ferons un suivi des répercussions possibles des risques géopolitiques et des taux de change », a-t-il dit lors d’une audition devant la commission économique et financière du Parlement européen. « Le taux de change n’est pas un objectif politique de la BCE, néanmoins le taux de change reste un élément important de l’inflation de la zone euro », a-t-il ajouté. Le faible niveau de l’inflation, évaluée à 0,5% en juin, très en dessous de l’objectif de la BCE, inférieur mais proche de 2%, a conduit celle-ci à réduire son taux de refinancement à 0,15% et son taux de dépôt à -0,1%, des plus bas historiques pour conjurer les risques de déflation. Ces mesures, maintenues en juillet, ont permis une baisse de l’euro par rapport au dollar qui devrait favoriser les exportations des acteurs économiques européens. « Le redressement économique devrait se poursuivre », a estimé Mario Draghi pour qui l’inflation devrait connaître « une augmentation graduelle au cours de 2015 et 2016 (…) ». « On peut s’attendre à ce que la consommation des ménages contribue à soutenir la croissance, ainsi que les accommodations monétaires qui ont été lancées en juin », a-t-il dit aux eurodéputés. L’assainissement des finances publiques devrait également y contribuer, selon le président de la BCE, qui note en revanche, la croissance encore très faible des crédits au secteur privé.

 

Gouvernement Valls : « On change le bocal mais on met les mêmes cornichons » (Jean-Christophe Lagarde)

Gouvernement Valls : « On change le bocal mais on met les mêmes cornichons » (Jean-Christophe Lagarde)

Lagarde (UDI) n’a pas fait dans la dentelle en considérant à propos du gouvernement Valls «  qu’on changé le bocal mais gardé les mêmes cornichons ». En fait au-delà du coté un peu trivial, il n’a pas complètement tort. Ce gouvernement et un rassemblement de vieux apparatchiks savant dosage des tendances internes du PS mais qui ne brille pas par sa cohérence et son innovation. Dans un sondage les français n’accorde au départ qu’ne confiance de 41% à Valls, pourcentage très faible pour un nouveau Premier ministre. La nouvelle équipe ressemble davantage à une synthèse « hollandaise »  du PS qu’à un gouvernement de combat de la crise. Une sorte de jeu de chaiss musicales où quelques sièges  auraient disparu mais qui seront  compensés  par une armée de secrétaires d’Etat. On peut regretter le manque d’imagination mais Hollande a voulu surtout cadenasser ses éventuels concurrents pour 2017. Certes Valls est nommé Premier ministre mais il sera particulièrement bien entouré de fidèles du président. Le secrétaire national de l’UDI Jean-Christophe Lagarde estime que François Hollande, et son nouveau Premier ministre Manuel Valls, n’ont pas su entendre le message des électeurs à l’issue des élections municipales.Une ne appréciation également partagée par la presse qu’on peut résumer ainsi « tout ça, pour ça ! ».

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