Archive pour le Tag 'chaises'

Le PS toujours le cul entre deux chaises vis-à-vis de Cazeneuve

Le PS toujours le cul entre deux chaises vis-à-vis de Cazeneuve

 

Nouvelle manœuvre de la direction du parti socialiste pour éviter d’avoir à voter vis-à-vis de l’attitude du parti concernant l’hypothèse de Bernard Cazeneuve comme Premier ministre. En évitant un vote sur la question, le PS fait semblant de maintenir son unité de façade. Non seulement évidemment les contradictions au sein du NFP sont importantes mais s’y rajoutent les oppositions au sein même du parti socialiste qui opposent  en gros marxistes et sociaux-démocrates.

 

La direction a préféré soumettre au vote une résolution présentant les 10 points sur lesquels le PS ne transigera pas et demandera au futur premier ministre de s’engager, comme l’abrogation de la réforme des retraites, de la réforme de l’assurance chômage et de la loi immigration, la hausse du Smic, l’ISF vert, la taxation des super-profits, des mesures pour l’école et la santé, le logement, etc. Un vote qui ne mange pas de pain mais qui n’éclaire pas la question quant à l’attitude à avoir vis-à-vis de Bernard Cazeneuve.

Les opposants internes à Olivier Faure avaient réclamé dans l’après-midi un vote du bureau national pour que le PS «annonce clairement qu’il ne censurera pas un gouvernement de cohabitation mené par Bernard Cazeneuve», si son programme s’appuie sur celui du Nouveau Front populaire.

 

Economie-Inflation : la banque centrale (BCE) , le cul entre deux chaises

Economie-Inflation : la banque centrale le cul entre deux chaises

 

 

 

Quand les institutions sont  surtout dominées par les incertitudes, leurs dirigeants se réfugient derrière des statuts d’observateur ; c’est ainsi le cas de Christine Lagarde,  la présidente de la banque centrale européenne constate l’inflation grandissante en Europe mais sans changer de politique. Le problème c’ est que la banque centrale devrait normalement commencer à relever les taux d’intérêt pour lutter contre phrase contre une inflation qui atteint maintenant près de 7.5%  dans l’union européenne. Dans le même , la banque centrale craint d’assommer un peu plus les perspectives de croissance qui pourrait être proches de zéro d’ici la fin de l’année.

Après avoir sauvé l’économie de la zone euro pendant la pandémie grâce aux milliers de milliards du «quoi qu’il en coûte», la Banque centrale européenne (BCE) apparaît impuissante face aux maux du moment: une inflation hors de contrôle et le ralentissement de l’économie lié à la guerre en Ukraine. C’est comme si elle réagissait à contretemps. Trop longtemps, elle a rechigné à s’attaquer à l’inflation, jugée simple manifestation transitoire de hoquets de sortie de crise. C’est désormais l’ennemi public numéro un. À 4,5% en France, 7,3% en Allemagne et 9,8% en Espagne en mars, cette hausse des prix grève les budgets des ménages et contraint les entreprises. Le chiffre de la zone euro, annoncé  ce vendredi,  poursuit son ascension à 7,5% après 5,8% en février. Le pic n’est pas attendu avant l’été.

Inflation : la banque centrale le cul entre deux chaises

Inflation : la banque centrale le cul entre deux chaises

 

 

 

Quand les institutions sont  surtout dominées par les incertitudes, leurs dirigeants se réfugient derrière des statuts d’observateur ; c’est ainsi le cas de Christine Lagarde,  la présidente de la banque centrale européenne constate l’inflation grandissante en Europe mais sans changer de politique. Le problème c’ est que la banque centrale devrait normalement commencer à relever les taux d’intérêt pour lutter contre phrase contre une inflation qui atteint maintenant près de 6 % dans l’union européenne. Dans le même , la banque centrale craint d’assommer un peu plus les perspectives de croissance qui pourrait être proches de zéro d’ici la fin de l’année.

Après avoir sauvé l’économie de la zone euro pendant la pandémie grâce aux milliers de milliards du «quoi qu’il en coûte», la Banque centrale européenne (BCE) apparaît impuissante face aux maux du moment: une inflation hors de contrôle et le ralentissement de l’économie lié à la guerre en Ukraine. C’est comme si elle réagissait à contretemps. Trop longtemps, elle a rechigné à s’attaquer à l’inflation, jugée simple manifestation transitoire de hoquets de sortie de crise. C’est désormais l’ennemi public numéro un. À 4,5% en France, 7,3% en Allemagne et 9,8% en Espagne en mars, cette hausse des prix grève les budgets des ménages et contraint les entreprises. Le chiffre de la zone euro, attendu ce vendredi, devrait poursuivre son ascension après 5,8% en février. Le pic n’est pas attendu avant l’été.

 

Fed : le cul entre deux chaises

Fed : le cul entre deux chaises

Il est probable que le patron de la Fed qui s’exprimera d’ici quelques jours délivrera un message relativement ambigu. En effet au vu des bons résultats économiques, 13 membres sur 18 du gouvernement de la Fed se sont prononcés fins juillet pour un ralentissement des rachats d’actifs.

Pas vraiment encore une remise en cause de la politique accommodante mais un coup de frein. Le problème c’est que depuis les enquêtes d’opinion américaine, on constate un net affaiblissement de la dynamique économique chez les consommateurs et les producteurs. En cause évidemment cette quatrième vague sanitaire qui affecte l’ensemble du monde. Une vague sanitaire qui pourrait remettre en cause la croissance.

Du coup le président de la Fed devra trouver un équilibre entre l’intention  d’un resserrement mais seulement lorsque l’emploi sera satisfaisant et l’autre promesse du soutien à l’économie avec une politique monétaire très accommodante. En clair notamment on peut penser que le patron de la Fed n’annoncera pas de remise en cause des taux bas avant 2022.

Mali : la France le cul entre deux chaises !

Mali : la France le cul entre deux chaises ! 

 

Il y a quelque chose d’un peu ubuesque dans la situation du Mali. LA FRANCE a empêché que les islamistes prennent le pouvoir et à installé en 2013 l’opération barkhane  de lutte permanente contre les terroristes, l’armée malienne étant dans l’incapacité de s’opposer aux islamistes. La France a sauvé la souveraineté malienne. Faute de pouvoir faire face à la menace islamiste, des militaires par contre mènent  la guerre contre leur propre gouvernement et ont pris le pouvoir. La France au nom de la liberté des peuples à disposer d’eux-mêmes ne peut évidemment s’opposer frontalement à ce putsch. La France est en quelque sorte coincée entre les terroristes et les putschistes.

Lors d’une conférence de presse au côté de la chancelière allemande Angela Merkel au Fort de Brégançon, le président français a rappelé que l’armée française et ses partenaires n’étaient engagés au Sahel qu’à la demande des pays de la région.

“Rien ne doit nous divertir de la lutte contre les djihadistes”, a insisté Macron pris en quelque sorte à revers par une armée malienne portée à bout de bras par la France.

La taxe d’habitation : jeux de chaises fiscales

La taxe d’habitation : jeux de chaises fiscales

Pour simplifier les communes vont toucher la taxe foncière des départements à la place de la taxe d’habitation qui, elle, est supprimée. En compensation, les départements recevraient une partie de TVA.  Revers de la médaille, on va en profiter pour augmenter de manière substantielle la taxe foncière au motif que les valeurs foncières n’ont pas été revues depuis 1970 ! Fixées il y a près de cinquante ans, ces valeurs sont supposées correspondre au loyer théorique annuel que pourrait percevoir le propriétaire mais elles “créent des injustices” parce qu’elles “n’ont pas été revues depuis les années 1970”, souligne Gérald Darmanin.“Nous pourrions imaginer que le prochain projet de loi de Finances autorise Bercy à travailler sur ce point en 2021 en collectant les données locatives des habitants et qu’à partir de 2022, la réforme puisse être mise en place, sur une durée de cinq à dix ans». Pour faire avaler La pilule de l’augmentions significative de la taxe foncière !

Evasion fiscale : le gang « faucheur de chaises » de la BNP relaxé ?

Evasion fiscale : le gang « faucheur de chaises » de la BNP relaxé ?

 

Pour protester contre l’évasion fiscale qui représenterait en France 60 à 80 milliards par an, et 1000 milliards en Europe, un gang s’est spécialisé dans le vol de chaises à la BNP considérée comme complice des détournements fiscaux. Identifié comme un des leaders du mouvement, Jon Palais risque 5 ans de prison et 75.000 euros d’amende pour vol en réunion. Il est le premier à être poursuivi. Le président des Amis de la Terre, Florent Compain, a annoncé qu’il serait lui aussi jugé pour des faits similaires le 11 avril à Bar-le-Duc, sur plainte de la BNP également. « On est dans une démarche de désobéissance civile avec des actions à visage découvert. Les réquisitions ont permis à des gens de transformer leur colère en action non violente constructive pour créer du débat », a dit Jon Palais. Mais le parquet a sans doute évité à la BNP de se ridiculiser en proposant une dispense de peine contre Jonathan Palais, jugé ce lundi à Dax (Landes) pour avoir volé 14 chaises dans une agence parisienne de la BNP Paribas le 19 octobre 2015. Il risque pour cela 5 ans de prison et 75.000 euros d’amende. La décision a été mise en délibéré jusqu’au 23 janvier.Le procureur de la République, Jean-Luc Puyo, a estimé qu’«une dispense de peine» était «de nature à satisfaire la société» car il s’agit d’un «mouvement pacifiste et bon enfant». S’il y a bien «emport de chaises, nous n’avons pas d’éléments intentionnels de l’appropriation frauduleuse», a-t-il encore fait valoir. Jonathan Palais, surnommé «Jon», appartient au mouvement basque altermondialiste Bizi (qui signifie «Vivre»). Il est aussi l’un des leaders du collectif des «Faucheurs de chaises». Ces derniers militent contre la fraude fiscale et le blanchiment d’argent depuis le scandale Swissleaks. Dévoilé en février 2015, ce vaste système d‘évasion fiscale avait été mis en place au sein du groupe Suisse HSBC. Le militant a expliqué à l’Agence France-Presse qu’il souhaitait «dénoncer l’impunité des banques qui organisent l’évasion fiscale par des montages financiers». «Jon» Palais a précisé qu’il s’agissait d’«une démarche de désobéissance civile avec des actions à visage découvert.» «Les réquisitions ont permis à des gens de transformer leur colère en action non violente constructive pour créer du débat», a-t-il ajouté.

 

Remaniement : jeu de chaises musicales

Remaniement : jeu de chaises musicales

Il paraît de plus en plus vraisemblable qu’on assistera à un remaniement prochain du fait notamment du départ de Laurent Fabius pour le conseil constitutionnel dont il pourrait prendre la présidence (au grand dam de Lionel Jospin qui espérait la place). Par ailleurs le portefeuille de Macron pourrait être élargi aux finances, ce qui impliquerait un changement de portefeuille pour Sapin. Il n’est pas exclu non plus que Christiane Taubira glisse à la culture. À l’Élysée, François Hollande s’interroge donc sur ces mutations : l’ancien chef de la diplomatie Hubert Védrine pour son expérience? Le ministre des Finances, Michel Sapin, afin de permettre à Emmanuel Macron d’élargir son périmètre? La présidente de la commission des Affaires étrangères à l’Assemblée, Élisabeth Guigou, pour son expertise et pour la parité? Le secrétaire d’État chargé du Commerce extérieur, Matthias Feckl, jugé prometteur et gage de renouvellement? Seule candidate non déclarée à faire l’unanimité contre elle parmi les diplomates : Ségolène Royal. En attendant le départ de Laurent Fabius, les membres de son cabinet ce recasent.  Trois de ses plus proches conseillers pourraient se voir affecter à l’ambassade de France en Inde, à la direction stratégique de la DGSE et au consulat général de New York tandis que le directeur de cabinet d’Annick Girardin au Développement international vient de rejoindre la direction de Total.

 

Eleveurs : encore des manifs, la FNSEA le cul entre deux chaises

Eleveurs : encore des manifs, la FNSEA le cul entre deux chaises

 

 

En dépit de l’accord avec le gouvernement les éleveurs et producteurs  de lait continuent  d’être mobilisés aussi bien dans l’est de la France que dans l’ouest. Beaucoup de ces les éleveurs considèrent en effet que la négociation n’a pas réglé  les questions structurelles essentielles relatives au prix, à la régulation de la concurrence et à la répartition des profits sur l’ensemble de la chaîne de production et de distribution. D’une certaine manière la FNSEA est un peu sur la corde raide elle fait le grand écart entre un gouvernement qui accepte de prendre quelques mesures conjoncturelles  et une base très remontée qui ne croit guère au succès de la récente négociation. Les éleveurs restent mobilisés dans plusieurs régions de France, en dépit des accords sur le relèvement des prix du bœuf, du porc et du lait, et appellent notamment à un grand rassemblement lundi en Mayenne. Les agriculteurs du Bas-Rhin ont décidé pour leur part d’établir à partir de dimanche soir des barrages filtrants sur six points-frontières avec l’Allemagne, de Lauterbourg, au Nord, à Marckolsheim, au Sud, à l’appel de la FDSEA. Seuls seront visés les camions entrant avec des produits agricoles. Le président de la FNSEA (Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles) a appelé samedi à poursuivre le « combat pour l’élevage français » tout en exhortant au respect des biens et des personnes lors des actions syndicales à venir. « Ne prêtons pas le flanc à la critique. Désespoir, colère et passion du métier se mêlent, ces trois sentiments sont désormais compris de tous », souligne Xavier Beulin dans une déclaration transmise aux représentants locaux du syndicat et aux médias. Blocages, péages gratuits, opérations escargots, actions et contrôles dans les supermarchés sont à prévoir. Des éleveurs projettent de bloquer lundi matin avec des tracteurs l’autoroute A81 entre Le Mans (Sarthe) et le péage de La Gravelle (Sarthe) à l’appel de la FDSEA de Mayenne. Les manifestants devraient ensuite se rassembler près du siège du groupe laitier Lactalis, à Laval. Les organisateurs attendent quelque 500 manifestants et au moins 300 tracteurs. Les fédérations syndicales agricoles de Bretagne, des Pays-Loire et de Normandie ont annoncé leur participation au mouvement, qui devrait se conclure par des réunions avec des représentants de la grande distribution, des industriels et des élus.  

 

 

Pierre Moscovici défend la France le cul entre deux chaises

 

 

Au grand Jury RTL Moscovici a défendu la France trop attaquée de l’intérieur aussi de l’extérieur. Un coup de patte évidemment à la droite française mais aussi aux frondeurs, un autre coup de patte à certains pays européens dont l’Allemagne ( notamment à son ministre des fiances)  Moscovici tente de trouver le fragile équilibre entre sa qualité d’ancien ministre français et son nouveau poste de commissaire. Il proclame donc en même temps que ça va aller mieux pour la France mais qu’il lui faut des réformes ( sans doute celles qu’il n’a pas réalisées quand il était ministre du gouvernement français !).  La reprise est là en Europe. Elle est vraiment là. Elle va s’accélérer », assure Pierre Moscovici. En février dernier, Bruxelles a revu à la hausse la croissance de la zone euro qui devrait atteindre 1,7% en 2015 pour toute l’Union européenne et 1,3% pour la zone euro. « Pour la première fois depuis des années, l’Europe n’est plus un problème mais une partie de la solution« , ajoute le commissaire européen.  Quant à la croissance française, « elle est en train de redémarrer. De manière modeste cette année avec 1% de croissance, mais elle sera plus importante l’année prochaine (1,8%) », précise Pierre Moscovici. La vraie question est de savoir si la reprise est conjoncturelle ou durable. » Il y a des facteurs conjoncturels extérieurs très positifs avec la baisse de l’euro, la baisse des taux d’intérêt et la baisse des prix du pétrole. Il y a donc un alignement de planètes qui est positif mais si ça ne s’accompagne pas de réformes structurelles, celles qui changent l’économie en profondeur, ce ne sera qu’un feu de paille », prévient l’ancien ministre.    »La France est un grand pays, j’en ai marre qu’on lui tape dessus de l’extérieur mais aussi de l’intérieur. C’est insupportable. L’Europe a besoin de la France (…) Mais elle a besoin de plus de réformes« , conclut t-il.

 

BCE : Draghi, le cul entre deux chaises

BCE : Draghi, le cul entre deux chaises

 

Le discours de Draghi commence à s’user. Il renouvelle sa promesse d’intervenir le moment venu dans des proportions à définir sans beaucoup d’autres précisions pour rassurer les marchés. Maintenant la situation se complique avec les élections grecques. L’Allemagne se dit désormais prête à exclure la Grèce en cas de victoire électorale de l’extrême gauche. La question centrale demeure cependant celle du rachat possible d’obligations d’Etat auquel s’oppose d’autant plus l’Allemagne depuis l’évolution de la situation grecque.   « Nous sommes en pleine préparation technique pour ajuster l’ampleur, le rythme et la nature des mesures qui seraient à prendre début 2015 s’il devient nécessaire de réagir à une trop longue période de faible inflation », affirmait, vendredi, Mario Draghi dans une interview au « Handelsblatt ». En clair, l’institut est prêt à racheter des obligations souveraines dans l’ensemble de la zone euro. S’y opposant, le président de la Bundesbank, Jens Weidmann, voit la BCE flirter ici avec l’interdiction de financer les Etats, et devenir de fait l’« esclave des marchés » en devant remplir leurs attentes même si elles s’avèrent injustifiées.  « Super Mario » a lui-même mis les marchés en appétit, en annonçant l’an dernier que le bilan de la BCE allait se hisser au niveau de 2012, soit à 3.000 milliards d’euros, afin de préserver les attentes d’inflation au bon niveau. A fin décembre, malgré deux salves de prêts à long terme aux banques, le total du bilan affiche 2.150 milliards d’euros, restant loin du compte.  En attendant, Mario Draghi reste évasif quant à l’ampleur d’un nouveau stimulus à venir. Celui-ci sera encore plus nécessaire si l’inflation en zone euro devrait encore s’affaisser en décembre, après 0,3% en novembre. L’objectif de stabilité des prix, défini comme une inflation proche de 2% à moyen terme, s’éloigne à cause de la chute des prix du pétrole. Mais pas seulement. « Il est clair que notre politique monétaire aurait plus d’effet si les gouvernements appliquaient les réformes structurelles », martèle le banquier central. Il cite à cet égard la réduction de la fiscalité et de la bureaucratie, afin de soutenir la reprise qui reste « fragile et inégale ». Dans une tribune au quotidien « Il Sole 24 Ore », il prévient du risque accru d’une implosion de la zone euro si les efforts de réformes restent insuffisants. Mais l’intégrité de la zone euro doit demeurer, et donc « il n’y a pas besoin de plan B », affirme-t-il au « Handelsblatt ». La BCE décidera le 22 janvier du cours de sa politique monétaire, trois jours avant des élections cruciales en Grèce. La gauche radicale, donnée favorite, veut en finir avec l’austérité. De nouveaux sacrifices pourraient être demandés à ses créanciers .

 

 

Jeu de chaises musicales énarchiques à l’Elysée

Jeu de chaises musicales énarchiques  à l’Elysée

 

Ça bouge à l’Elysée, non pas vraiment une révolution culturelle, on reste entre bourgeois. Des copains énarques qui remplacent d’autres copains énarques de Hollande ;Sylvie Hubac quittera ses fonctions à la fin de l’année et sera remplacée par le directeur de cabinet de Bernard Cazeneuve, Thierry Lataste. Philippe Léglise-Costa quitte, par ailleurs, ses fonctions de conseiller pour l’Europe. « Mme Constance RIVIERE, maître des requêtes au Conseil d’Etat, conseillère au cabinet du Président de la République, sera nommée directrice adjointe« , précise par ailleurs le communiqué de l’Elysée. Selon des informations de BFM TV, Sylvie Hubac, issue de la même promotion à l’ENA que François Hollande – la fameuse « promotion Voltaire » – va réintégrer le Conseil d’Etat, grand corps de l’Etat dont elle est issue. Sylvie Hubac occupait le poste de directrice de cabinet depuis l’élection de François Hollande, en mai 2012, et aurait convenu avec le président qu’elle quitterait ce poste à mi-mandat. Une source proche confiait ainsi aux « Echos » en novembre qu’elle « n’avait jamais envisagé de faire le quinquennat ».  Sylvie Hubac, compagne de Philippe Crouzet, le PDG de Vallourec, avait été pointée du doigt par l’ancienne ministre de l’Ecologie Delphine Batho lors de son éviction du gouvernement. Le conjoint de Sylvie Hubac avait en effet annoncé le limogeage de la ministre des semaines à l’avance devant des actionnaires de l’entreprise de forages pétroliers et gaziers. Dès lors, pour Delphine Batho, le doute n’était plus permis  : «Que le patron de Vallourec dise que je suis un désastre parce que je fais rempart au gaz de schiste et que je veux réduire la part du nucléaire, c’est une chose, qu’il annonce ma mise à l’écart à l’avance, c’en est une autre. De quelle informations disposait-il pour être si sûr de lui?», avait-elle déclaré lors d’une conférence de presse. Par ailleurs, Philippe Léglise-Costa quitte ses fonctions de conseiller pour l’Europe de François Hollande afin de se concentrer sur la réorganisation du suivi des dossiers communautaires en tant que secrétaire général aux Affaires Européennes. Nommé à ce poste le 9 avril dernier, il cumulait jusqu’ici les deux fonctions. Le président français lui a demandé « de conduire une réorganisation du suivi des affaires européennes afin de renforcer la cohérence de l’action du gouvernement dans ce domaine, les échanges avec les institutions européennes, ainsi que les liens avec tous les acteurs concernés », peut-on lire dans un communiqué publié vendredi par l’Elysée.

 

Nouveau gouvernement Valls : jeu de chaises musicales et on recommence

Nouveau gouvernement Valls : jeu de chaises musicales et on recommence

 

Il ne faut pas s’attendre à des changements majeurs concernant les personnalités du gouvernement Valls 2. Il y aura au moins 3 partants, Filippetti, Hamon, Montebourg, peut-être Taubira et la venue de 2 ou 3 nouveaux avec un jeu de chaises musicales. En fait tout ça pour ça  alors que l’objectif visait surtout à se séparer de Montebourg.  Aurélie Filippetti, ministre de la Culture, ne retrouvera pas son  portefeuille dans le prochain gouvernement. Pour cette dernière, l’intéressée elle-même l’a confirmé dans une lettre à François Hollande et Manuel Valls, où elle affirme qu’elle n’est « pas candidate à un nouveau poste ministériel ». Arnaud Montebourg a confirmé lui aussi lors d’une conférence de presse lundi après-midi à Bercy qu’il « croyait nécessaire de reprendre sa liberté ». Il a été suivi lundi soir par Benoît Hamon qui, sur France 2, a annoncé qu’il ne participerait « pas au nouveau gouvernement » de Manuel Valls. « J’ai décidé de partir, je m’en suis livré très librement » au président et au Premier ministre, a-t-il affirmé. « Il aurait été incohérent, alors que j’ai exprimé un désaccord, que je reste au gouvernement. », a-t-il ajouté. François Hollande et Manuel Valls pourraient promouvoir André Vallini, actuel secrétaire d’État chargé de la Réforme territoriale, au ministère de la Justice en remplacement de Christiane Taubira. Ségolène Royal hériterait d’un grand ministère de l’Éducation nationale et de la Culture. Michel Sapin, ministre des Finances et des Comptes publics, pourrait récupérer le portefeuille d’Arnaud Montebourg, ou cela pourrait être Louis Gallois, dont le nom est également cité. D’autres noms circulent comme celui de Robert Hue ! Ancien secrétaire général du Parti communiste, il est un proche de François Hollande, qu’il avait activement soutenu pendant la campagne présidentielle. Jean-Michel Baylet, président du Parti radical de gauche (PRG), a pour sa part été reçu lundi soir à Matignon par Manuel Valls. Selon nos informations, le leader des radicaux de gauche aurait deux exigences : le maintien de certains conseils généraux et un assouplissement de la règle du non-cumul des mandats. François Rebsamen a affirmé lundi soir « souhaiter » rester au ministère du Travail, un portefeuille qu’il détient depuis mars 2014. EELV, qui avait décidé en avril de ne pas participer au gouvernement, après le départ de Cécile Duflot, ne se sent pas « concerné » par ce remaniement. Pour eux, l’orientation politique ne change pas. Reste à savoir si les ministrables verts (Jean-Vincent Placé, François de Rugy, Denis Baupin ou Barbara Pompili) obéiront à la consigne.

 




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