Archive pour le Tag 'CGT'

Social- Déjà la perspective d’une mobilisation fourre-tout pour la CGT

Social- Déjà la perspective d’une mobilisation fourre-tout pour la CGT

De manière presque rituelle la CGT propose encore cette année une mobilisation en septembre octobre assez confuse qui reprend autant de revendications syndicales que politiques comme à propos du budget. La situation n’est pas nouvelle d’ailleurs la CGT avait appelé à des rassemblements devant l’Assemblée nationale. Par avance, la CGT se persuade du refus de certaines organisations à participer à ces mobilisations trop globales et trop politisées. Avec sans doute en point d’orgue un jour de grève et de protestation surtout suivie par des fonctionnaires ou équivalents qui a  plutôt tendance à éteindre la mobilisation qu’à l’alimenter de façon cohérente.

 

La CGT prévoit de construire une «mobilisation» sociale pour «fin septembre, début octobre», a déclaré sa secrétaire générale, Sophie Binet, dimanche, évoquant notamment l’abrogation de la réforme des retraites et le budget de l’État pour 2025. «La CGT construira une mobilisation à la rentrée avec toutes celles et ceux qui le souhaitent fin septembre début octobre. Je ne suis pas sûre que tous les syndicats y soient, mais ce n’est pas un drame», a affirmé la numéro un de la CGT dans un entretien accordé à La Vie Ouvrière, le magazine des militants de la centrale syndicale.

La preuve aussi sans doute que le gauchisme des insoumis pénètre de plus en plus la CGT. Peu d’autres syndicats seront sans doute prêt à sacrifier leur crédibilité sur l’autel de la politisation gauchiste.

Déjà la perspective d’une mobilisation fourre-tout pour la CGT

Déjà la perspective d’une mobilisation fourre-tout pour la CGT

De manière presque rituelle la CGT propose encore cette année une mobilisation en septembre octobre assez confuse qui reprend autant de revendications syndicales que politiques comme à propos du budget. La situation n’est pas nouvelle d’ailleurs la CGT avait appelé à des rassemblements devant l’Assemblée nationale. Par avance, la CGT se persuade du refus de certaines organisations à participer à ces mobilisations trop globales et trop politisées. Avec sans doute en point d’orgue un jour de grève et de protestation surtout suivie par des fonctionnaires ou équivalents qui a  plutôt tendance à éteindre la mobilisation qu’à l’alimenter de façon cohérente.

 

La CGT prévoit de construire une «mobilisation» sociale pour «fin septembre, début octobre», a déclaré sa secrétaire générale, Sophie Binet, dimanche, évoquant notamment l’abrogation de la réforme des retraites et le budget de l’État pour 2025. «La CGT construira une mobilisation à la rentrée avec toutes celles et ceux qui le souhaitent fin septembre début octobre. Je ne suis pas sûre que tous les syndicats y soient, mais ce n’est pas un drame», a affirmé la numéro un de la CGT dans un entretien accordé à La Vie Ouvrière, le magazine des militants de la centrale syndicale.

La preuve aussi sans doute que le gauchisme des insoumis pénètre de plus en plus la CGT. Peu d’autres syndicats seront sans doute prêt à sacrifier leur crédibilité sur l’autel de la politisation gauchiste.

SNCF–primes spéciales JO acceptées par les syndicats sauf la CGT

SNCF–primes spéciales JO  acceptée par les syndicats sauf la CGT
L’accord proposé par la direction de la SNCF pour le versement d’une prime spécifique aux cheminots mobilisés pendant la période des Jeux olympiques et paralympiques a été accepté ce mardi par Sud-Rail. Ayant aussi reçu le feu vert de l’UNSA Ferroviaire et de la CFDT Cheminots, il remporte une majorité suffisante pour être validé, malgré le rejet de la CGT-Cheminots.

L’indemnité proposée par la SNCF aux cheminots qui travailleront du 22 juillet au 8 septembre, la période des Jeux olympiques et paralympiques (JOP), est validée. Pour rappel, il est prévu de leur octroyer 95 euros brut par jour, avec un plafond de 1.900 euros.

JO et Irresponsabilité syndicale : la CGT dépose un préavis de grève

JO et Irresponsabilité syndicale : la CGT dépose un préavis de grève

Encore une décision qui ne grandira pas l’image du syndicalisme avec cette décision de la CGT de déposer un préavis de grève pour les JO. Et en plus pour couvrir les arrêts de travail de la fonction publique assez justement mise en cause quant à son efficacité globale et surtout à son coût. En 20, ans la France a créé environ 1 million de postes supplémentaires de fonctionnaires pour atteindre maintenant 5,5 millions ( soit plus que la population et plus que dans le privé). Et alors que la qualité laisse à désirer.

Si le droit de grève demeure une liberté fondamentale, il n’implique pas pour autant que soit négligé tout esprit de responsabilité vis-à-vis d’événements qui mettent en cause la vie du pays. Les JO sont en effet un événement tout à fait exceptionnel sur le plan sportif bien sûr mais aussi économique et politique.

Les gauchistes qui se marquent à la culotte dans certaines organisations participent à la dégradation de l’image et du rôle du syndicalisme mais aussi portent atteinte  l’attractivité du pays.

Cette annonce survient au lendemain du lancement des négociations entre le gouvernement et les organisations syndicales sur le projet de réforme de la fonction publique.
La CGT a déposé des préavis de grève dans les trois branches de la fonction publique courant du 15 avril au 15 septembre et qui couvriront donc la période des Jeux olympiques (26 juillet-11 août) et paralympiques (28 août-8 septembre), a-t-elle annoncé mercredi. «Pas de trêve olympique» a prévenu le premier syndicat de la fonction publique dans un communiqué, qui avait déjà fait savoir son intention d’appeler à la grève pendant les JO.

Ce préavis rejoint celui du deuxième syndicat de la fonction publique, Force Ouvrière (FO), qui avait également déposé début mars un préavis de grève s’étendant sur toute la période des Jeux Olympiques, réclamant une meilleure rémunération des fonctionnaires. La CFDT (3e syndicat) et l’Unsa (4e) ont à l’inverse fait savoir qu’ils n’appelaient à ce stade pas à la mobilisation pendant les Jeux olympiques, la secrétaire générale de la CFDT assurant début mars que la confédération n’avait «aucune envie de gâcher ce moment festif.»

«Tout le pays souhaite qu’il n’y ait pas de grèves» pendant les Jeux olympiques, avait martelé début mars le ministre de la Fonction publique Stanislas Guerini. Il avait alors jugé «très inexacte» l’affirmation des syndicats selon laquelle il n’y aurait pas de dialogue avec le gouvernement pour préparer les Jeux olympiques et confirmé que les agents publics mobilisés pendant les JO toucheraient des primes de 500, 1.000 voire 1.500 euros, en fonction de leur degré d’implication et de l’impact de l’évènement sur leur métier. «Nous avons pu constater qu’ici aussi de l’argent coulait à flots (…) avec une masse salariale de 584,8 millions d’euros pour seulement une trentaine de dirigeants du comité d’organisation des JOP 2024», dénonce de son côté la CGT .

Social-Irresponsabilité syndicale : la CGT dépose un préavis de grève pour les J.O.

Social-Irresponsabilité syndicale : la CGT dépose un préavis de grève pour les J.O.

Encore une décision qui ne grandira pas l’image du syndicalisme avec cette décision de la CGT de déposer un préavis de grève pour les JO. Et en plus pour couvrir les arrêts de travail de la fonction publique assez justement mise en cause quant à son efficacité globale et surtout à son coût. En 20, ans la France a créé environ 1 million de postes supplémentaires de fonctionnaires pour atteindre maintenant 5,5 millions ( soit plus que la population et plus que dans le privé). Et alors que la qualité laisse à désirer.

Si le droit de grève demeure une liberté fondamentale, il n’implique pas pour autant que soit négligé tout esprit de responsabilité vis-à-vis d’événements qui mettent en cause la vie du pays. Les JO sont en effet un événement tout à fait exceptionnel sur le plan sportif bien sûr mais aussi économique et politique.

Les gauchistes qui se marquent à la culotte dans certaines organisations participent à la dégradation de l’image et du rôle du syndicalisme mais aussi portent atteinte  l’attractivité du pays.

Cette annonce survient au lendemain du lancement des négociations entre le gouvernement et les organisations syndicales sur le projet de réforme de la fonction publique.
La CGT a déposé des préavis de grève dans les trois branches de la fonction publique courant du 15 avril au 15 septembre et qui couvriront donc la période des Jeux olympiques (26 juillet-11 août) et paralympiques (28 août-8 septembre), a-t-elle annoncé mercredi. «Pas de trêve olympique» a prévenu le premier syndicat de la fonction publique dans un communiqué, qui avait déjà fait savoir son intention d’appeler à la grève pendant les JO.

Ce préavis rejoint celui du deuxième syndicat de la fonction publique, Force Ouvrière (FO), qui avait également déposé début mars un préavis de grève s’étendant sur toute la période des Jeux Olympiques, réclamant une meilleure rémunération des fonctionnaires. La CFDT (3e syndicat) et l’Unsa (4e) ont à l’inverse fait savoir qu’ils n’appelaient à ce stade pas à la mobilisation pendant les Jeux olympiques, la secrétaire générale de la CFDT assurant début mars que la confédération n’avait «aucune envie de gâcher ce moment festif.»
«De l’argent coulait à flots»
«Tout le pays souhaite qu’il n’y ait pas de grèves» pendant les Jeux olympiques, avait martelé début mars le ministre de la Fonction publique Stanislas Guerini. Il avait alors jugé «très inexacte» l’affirmation des syndicats selon laquelle il n’y aurait pas de dialogue avec le gouvernement pour préparer les Jeux olympiques et confirmé que les agents publics mobilisés pendant les JO toucheraient des primes de 500, 1.000 voire 1.500 euros, en fonction de leur degré d’implication et de l’impact de l’évènement sur leur métier. «Nous avons pu constater qu’ici aussi de l’argent coulait à flots (…) avec une masse salariale de 584,8 millions d’euros pour seulement une trentaine de dirigeants du comité d’organisation des JOP 2024», dénonce de son côté la CGT mercredi.

Irresponsabilité syndicale : la CGT dépose un préavis de grève pour les J.O.

Irresponsabilité syndicale : la CGT dépose un préavis de grève pour les J.O.

Encore une décision qui ne grandira pas l’image du syndicalisme avec cette décision de la CGT de déposer un préavis de grève pour les JO. Et en plus pour couvrir les arrêts de travail de la fonction publique assez justement mise en cause quant à son efficacité globale et surtout à son coût. En 20, ans la France a créé environ 1 million de postes supplémentaires de fonctionnaires pour atteindre maintenant 5,5 millions ( soit plus que la population et plus que dans le privé). Et alors que la qualité laisse à désirer.

Si le droit de grève demeure une liberté fondamentale, il n’implique pas pour autant que soit négligé tout esprit de responsabilité vis-à-vis d’événements qui mettent en cause la vie du pays. Les JO sont en effet un événement tout à fait exceptionnel sur le plan sportif bien sûr mais aussi économique et politique.

Les gauchistes qui se marquent à la culotte dans certaines organisations participent à la dégradation de l’image et du rôle du syndicalisme mais aussi portent atteinte  l’attractivité du pays.

Cette annonce survient au lendemain du lancement des négociations entre le gouvernement et les organisations syndicales sur le projet de réforme de la fonction publique.
La CGT a déposé des préavis de grève dans les trois branches de la fonction publique courant du 15 avril au 15 septembre et qui couvriront donc la période des Jeux olympiques (26 juillet-11 août) et paralympiques (28 août-8 septembre), a-t-elle annoncé mercredi. «Pas de trêve olympique» a prévenu le premier syndicat de la fonction publique dans un communiqué, qui avait déjà fait savoir son intention d’appeler à la grève pendant les JO.

Ce préavis rejoint celui du deuxième syndicat de la fonction publique, Force Ouvrière (FO), qui avait également déposé début mars un préavis de grève s’étendant sur toute la période des Jeux Olympiques, réclamant une meilleure rémunération des fonctionnaires. La CFDT (3e syndicat) et l’Unsa (4e) ont à l’inverse fait savoir qu’ils n’appelaient à ce stade pas à la mobilisation pendant les Jeux olympiques, la secrétaire générale de la CFDT assurant début mars que la confédération n’avait «aucune envie de gâcher ce moment festif.»
«De l’argent coulait à flots»
«Tout le pays souhaite qu’il n’y ait pas de grèves» pendant les Jeux olympiques, avait martelé début mars le ministre de la Fonction publique Stanislas Guerini. Il avait alors jugé «très inexacte» l’affirmation des syndicats selon laquelle il n’y aurait pas de dialogue avec le gouvernement pour préparer les Jeux olympiques et confirmé que les agents publics mobilisés pendant les JO toucheraient des primes de 500, 1.000 voire 1.500 euros, en fonction de leur degré d’implication et de l’impact de l’évènement sur leur métier. «Nous avons pu constater qu’ici aussi de l’argent coulait à flots (…) avec une masse salariale de 584,8 millions d’euros pour seulement une trentaine de dirigeants du comité d’organisation des JOP 2024», dénonce de son côté la CGT mercredi.

La CGT appelle à une convergence entre agriculteurs et salariés

La CGT appelle à une convergence entre agriculteurs et salariés


« La CGT appelle ses militantes et militants, partout où c’est possible, à créer les conditions permettant de faire converger les revendications des salarié·es, des travailleuses et des travailleurs agricoles et des agricultrices et des agriculteurs », écrit la centrale de Montreuil.

« Nos échanges doivent permettre d’élargir la mobilisation et de créer des convergences sur les moyens de bien vivre de son travail, de bien manger, tout en protégeant notre santé et celle de la planète », estime la CGT, qui dit avoir pris attache avec la Confédération paysanne et le Mouvement de défense des exploitants familiaux (Modef).

Rémunérer les fonctionnaires au mérite: la CGT s’oppose totalement à la proposition

Rémunérer les fonctionnaires au mérite: la CGT s’oppose totalement à la proposition

Macron a proposé qu’à l’avenit la rémunération des fonctionnaires tienne compte bien évidemment de l’ancienneté mais aussi du mérite. Un critère qui normalement devrait déjà être pris en compte.

Malheureusement conformément à sa stratégie d’opposition systématique, la CGT a tenu à s’opposer totalement à une telle orientation.

Une ligne politique dénoncée par Céline Verzeletti, secrétaire confédérale de la CGT. « Ce n’est pas entendable », lance-t-elle au micro de BFMTV.

Le pouvoir d’achat des fonctionnaires « ne cesse de s’effondrer »

« Ça voudrait dire que des agents de la fonction publique ne seraient pas méritants », souligne la syndicaliste, qui rappelle que la CGT et d’autres organisations réclament « depuis des années et des années plus de moyens et plus d’effectifs pour répondre aux besoins de la population ».

Une déclaration qui d’une part démontre l’archaïsme de l’organisation syndicale et qui mélangent des problèmes qui n’ont pas de lien entre. C’est une chose en effet de constater une insuffisance globale des effectifs et c’est une autre chose que d’évaluer la performance de chaque fonctionnaire en tenant compte évidemment du contexte.

En réalité c’est le concept même d’évaluation qui est combattue par la CGT qui considère que le fonctionnaire doit bénéficier d’un salaire de droit déconnecté de la qualité de ses services.

C’est aussi avec ce style de stratégie syndicale d’opposition qu’on discrédite en même temps l’avenir de la fonction publique et ses salariés.

Audience des syndicats-A EDF, La CGC devient majoritaire au détriment de la CGT

Audience des syndicats-A EDF, La CGC devient majoritaire au détriment de la CGT

La CFE-CGC devient le premier syndicat des cadres à EDF à la place de la CGT. La CGC est passée de 25% des voix en 2016 à 29% en 2019 et finalement 33% cette année. Dans le même temps, la CGT dégringolait de 35% à 30%. Derrière, les positions restent inchangées avec la CFDT en troisième position et léger recul à 17% et FO quatrième, stable à 15%. La perte de la majorité de la CGT à EDF constitue un événement social historique. EDF constitue en effet un des derniers fiefs de l’organisation. Globalement la CGT n’a cessé de reculer ainsi alors qu’elle représentait dans les années 1945 autour de 60 % des salariés, elle n’en représente aujourd’hui qu’à peine 23 %. La première place au plan confédéral lui a été ravie par la CFDT qui représente 27 % des suffrages. En cause, la trop grande dépendance pendant longtemps de la CGT vis-à-vis du parti communiste et maintenant le glissement très dangereux vers le gauchisme et le corporatisme. Une évolution de l’audience syndicale également due aussi à la transformation sociologique de salariés dont le niveau d’éducation et de formation a considérablement progressé

La représentativité aujourd’hui: la Confédération française démocratique du travail (CFDT) avec 26,77% des suffrages ; la Confédération générale du travail (CGT) 22,96% ; Force ouvrière (FO) 15,24% ; la Confédération générale des cadres (CFE-CGC) 11,92%

La présidence du très stratégique CSE central n’est pas totalement tout à fait assurée pour autant à la CGC. . Une élection entre les délégués doit encore avoir lieu et si la CFE-CGC a pris la première place, elle n’a pas eu la majorité des voix. Tout dépendra du jeu des alliances syndicales.

Cette perte d’influence de la CGT est sans doute lié à sa politique très corporatiste mais aussi à des évolutions sociologiques internes d’une entreprise qui recrute de plus en plus de cadres et de techniciens.

Syndicats-EDF: La CGC devient majoritaire au détriment de la CGT

Syndicats-EDF: La CGC devient majoritaire au détriment de la CGT

La CFE-CGC devient le premier syndicat des cadres à EDF à la place de la CGT. La CGC est passée de 25% des voix en 2016 à 29% en 2019 et finalement 33% cette année. Dans le même temps, la CGT dégringolait de 35% à 30%. Derrière, les positions restent inchangées avec la CFDT en troisième position et léger recul à 17% et FO quatrième, stable à 15%. La perte de la majorité de la CGT à EDF constitue un événement social historique. EDF constitue en effet un des derniers fiefs de l’organisation. Globalement la CGT n’a cessé de reculer ainsi alors qu’elle représentait dans les années 1945 autour de 60 % des salariés, elle n’en représente aujourd’hui qu’à peine 23 %. La première place au plan confédéral lui a été ravie par la CFDT qui représente 27 % des suffrages. En cause, la trop grande dépendance pendant longtemps de la CGT vis-à-vis du parti communiste et maintenant le glissement très dangereux vers le gauchisme et le corporatisme. Une évolution de l’audience syndicale également due aussi à la transformation sociologique de salariés dont le niveau d’éducation et de formation a considérablement progressé

La représentativité aujourd’hui: la Confédération française démocratique du travail (CFDT) avec 26,77% des suffrages ; la Confédération générale du travail (CGT) 22,96% ; Force ouvrière (FO) 15,24% ; la Confédération générale des cadres (CFE-CGC) 11,92%

La présidence du très stratégique CSE central n’est pas totalement tout à fait assurée pour autant à la CGC. . Une élection entre les délégués doit encore avoir lieu et si la CFE-CGC a pris la première place, elle n’a pas eu la majorité des voix. Tout dépendra du jeu des alliances syndicales.

Cette perte d’influence de la CGT est sans doute lié à sa politique très corporatiste mais aussi à des évolutions sociologiques internes d’une entreprise qui recrute de plus en plus de cadres et de techniciens.

EDF: La CGC devient majoritaire au détriment de la CGT

EDF: La CGC devient majoritaire au détriment de la CGT

La CFE-CGC Devient le premier syndicat des cadres à UDF à la place de la CGT. La CGC est passée de 25% des voix en 2016 à 29% en 2019 et finalement 33% cette année. Dans le même temps, la CGT dégringolait de 35% à 30%. Derrière, les positions restent inchangées avec la CFDT en troisième position et léger recul à 17% et FO quatrième, stable à 15%.

La présidence du très stratégique CSE central ne lui est pas tout à fait assurée. Une élection entre les délégués doit encore avoir lieu et si la CFE-CGC a pris la première place, elle n’a pas eu la majorité des voix. Tout dépendra du jeu des alliances syndicales.

Cette perte d’influence de la CGT est sans doute lié à sa politique très corporatiste mais aussi à des évolutions sociologiques internes d’une entreprise qui recrute de plus en plus de cadres et de techniciens.

Manif Antisémitisme : la CFDT présente mais pas la CGT

Manif Antisémitisme : la CFDT présente mais pas la CGT


Marylise Léon, secrétaire générale de la CFDT, appelle à la marche citoyenne du 12 novembre, contrairement à Sophie Binet, secrétaire générale de la CGT.

Dans une tribune parue dans Le Figaro le 7 novembre, Yaël Braun-Pivet et Gérard Larcher appellent à une « grande marche civique » contre l’antisémitisme reliant le Palais Bourbon au Palais du Luxembourg ce dimanche. Les chefs de file de l’extrême droite, dont Marine Le Pen, Jordan Bardella et Eric Zemmour, n’ont pas tardé à annoncer leur participation, tandis que Jean-Luc Mélenchon refuse de défiler à leurs côtés.

Participera, participera pas ? Pris dans le tourbillon de la controverse liée à la marche contre l’antisémitisme prévue ce dimanche, les syndicats ont diffusé au compte-gouttes, ce mercredi, leurs mots d’ordre. Sans concertation préalable en intersyndicale, ce bloc soudé contre la réforme des retraites au début de l’année ne l’est plus : la CFDT et l’Unsa ont annoncé y participer, mais pas la CGT ni Force ouvrière.

Manif dimanche contre l’antisémitisme : la CFDT présente mais pas la CGT

Manif dimanche contre l’antisémitisme : la CFDT présente mais pas la CGT


Marylise Léon, secrétaire générale de la CFDT, appelle à la marche citoyenne du 12 novembre, contrairement à Sophie Binet, secrétaire générale de la CGT.

Dans une tribune parue dans Le Figaro le 7 novembre, Yaël Braun-Pivet et Gérard Larcher appellent à une « grande marche civique » contre l’antisémitisme reliant le Palais Bourbon au Palais du Luxembourg ce dimanche. Les chefs de file de l’extrême droite, dont Marine Le Pen, Jordan Bardella et Eric Zemmour, n’ont pas tardé à annoncer leur participation, tandis que Jean-Luc Mélenchon refuse de défiler à leurs côtés.

Participera, participera pas ? Pris dans le tourbillon de la controverse liée à la marche contre l’antisémitisme prévue ce dimanche, les syndicats ont diffusé au compte-gouttes, ce mercredi, leurs mots d’ordre. Sans concertation préalable en intersyndicale, ce bloc soudé contre la réforme des retraites au début de l’année ne l’est plus : la CFDT et l’Unsa ont annoncé y participer, mais pas la CGT ni Force ouvrière.

La CGT Ne veut pas de réunion multilatérale floue avec Macron

La CGT Ne veut pas réunion multilatérale floue avec Emmanuel Macron


La CGT refuse une grande messe multilatérales avec Macron sans ordre du jour précis notamment sur les retraites et le pouvoir d’achat. Une grande messe que souhaite en particulier la première ministre pour redorer son blason auprès de l’opinion et même son crédit auprès du président

A l’issue d’un entretien à Matignon avec la Première ministre Elisabeth Borne, la numéro 1 du syndicat a déclaré avoir refusé une « proposition » pour avoir une multilatérale avec le président de la République ou avec la Première ministre sur le calendrier social, n’y voyant « pas l’utilité s’il n’y avait pas d’annonces concrètes sur la question du retrait de la réforme des retraites ou de la hausse des salaires ».

Dernière à rencontrer la Première ministre mercredi, Sophie Binet a eu des mots très durs à l’issue d’un rendez-vous de près de deux heures avec Elisabeth Borne. « Je suis en colère », après avoir « constat(é) que sur quasiment tous les sujets, c’était une fin de non-recevoir, avec une politique alignée sur l’intérêt et la volonté patronale », a dit la syndicaliste. « Je n’ai pas pu donner une fin de non-recevoir puisque j’étais dans l’écoute des sujets » mis sur la table par les syndicats, a rétorqué la Première ministre, venue dire quelques mots à la presse à l’issue d’échanges qu’elle a décrits comme « denses, longs ».

Réforme des retraites : la mobilisation continue pour la CFDT et la CGT

Réforme des retraites : la mobilisation continue pour la CFDT et la CGT

Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT, a annoncé son départ pour le 21 juin mais il a tenu à préciser que le e combat continue pour les organisations syndicales. Après l’annonce de son départ de la CFDT, Laurent Berger souhaite conserver le même cap face à la réforme des retraites. « Le mouvement contre la réforme des retraites se poursuit et n’est pas sur la tête et les épaules d’une seule personne, a-t-il expliqué ce matin au micro de France Inter. Lorsqu’on a fait à peu près 10 ans dans un syndicat, il faut savoir passer la main. »Il a par ailleurs indiqué qu’il n’envisageait aucun engagement politique par la suite.

On est dans un pays qui a un problème d’hyper-personnalisation », a souligné Laurent Berger.

Le secrétaire général de la CFDT est notamment revenu sur la prochaine date majeure de la mobilisation contre la réforme des retraites: le 1er mai prochain. « Quand on entend, il faut écouter. Le président de la République a eu l’occasion d’entendre mais il a pas écouté Ce qui s’exprime derrière les bruits de casserole, c’est la colère du monde du travail. Il y a un 1er mai qu’on veut massif, on a invité nos collègues internationaux. »

La nouvelle secrétaire général de la CGT Sophie Binet a adopté une posture similaire dans les colonnes de La Marseillaise, en soulignant elle aussi l’importance du 1er mai.

« L’intersyndicale met en perspective le 1er mai en appelant à faire de cette date une journée historique, inédite et exceptionnelle, a souligné Sophie Binet. Et cela va bien être inédit puisque, pour la première fois, l’ensemble des syndicats du pays appellent à ce 1er mai. »

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