Archive pour le Tag 'Cérémonie'

Cérémonie d’ ouverture JO: Une belle cérémonie, inédite mais inégale , trop parisienne et qui oublie l’économie !

Cérémonie d’ ouverture JO: Une belle cérémonie, inédite mais inégale , trop parisienne et qui oublie l’économie !

 

Globalement la cérémonie d’ouverture des JO aura marqué par son caractère inédit puisque la plupart du temps ce type de fête se déroule dans un stade et non sur un fleuve. On aura observé la dimension très universelle des thèmes, la mise en valeur évidemment du patrimoine français et le caractère international des stars sollicitées. Une fenêtre sur la France toutefois un peu  réductrice.

 

Un spectacle globalement réussi mais  un peu anachronique par moment et mal filmé ( Un cadrage très approximatif) avec en plus une météo peu favorable.

À noter cependant le caractère un peu trop parisien de la cérémonie qui fait l’impasse sur la richesse des provinces du pays.

Un oubli -et de taille- la mise en valeur du génie et des ressources économiques ( sauf la malle LVMH!). On aurait pu consacrer 2 ou 3 tableaux à ce qui fait la force et l’inventivité française dans l’agriculture, l’industrie ou même les services ( exemples: gastronomie , industrie du transport, ingénierie du BTP, sciences etc.).

On aurait pu s’épargner dans le même temps quelques tableaux plutôt kitsch à prétention avant-gardiste mais parfois de mauvais goût.

Le point d’orgue aura été la prestation éblouissante de Céline Dion seule sans doute capable de reprendre à son compte « L’hymne à l’amour » de Piaf. Sorte de feu d’artifice vocal qui a illuminé toute la cérémonie.

Sur Spotify, leader mondial des plateformes musicales. L’Hymne à l’amour, standard d’Edith Piaf, a grimpé à + 426 % pour la France et + 497 % au total dans le monde.

Ouverture JO: Une belle cérémonie, inédite mais inégale , trop parisienne et qui oublie l’économie !

Ouverture JO: Une belle cérémonie, inédite mais inégale , trop parisienne et qui oublie l’économie !

 

Globalement la cérémonie d’ouverture des JO aura marqué par son caractère inédit puisque la plupart du temps ce type de fête se déroule dans un stade et non sur un fleuve. On aura observé la dimension très universelle des thèmes, la mise en valeur évidemment du patrimoine français et le caractère international des stars sollicitées. Une fenêtre sur la France toutefois un peu  réductrice.

 

Un spectacle globalement réussi mais  un peu anachronique par moment et mal filmé ( Un cadrage très approximatif) avec en plus une météo peu favorable.

À noter cependant le caractère un peu trop parisien de la cérémonie qui fait l’impasse sur la richesse des provinces du pays.

Un oubli -et de taille- la mise en valeur du génie et des ressources économiques ( sauf la malle LVMH!). On aurait pu consacrer 2 ou 3 tableaux à ce qui fait la force et l’inventivité française dans l’agriculture, l’industrie ou même les services ( exemples: gastronomie , industrie du transport, ingénierie du BTP, sciences etc.).

On aurait pu s’épargner dans le même temps quelques tableaux plutôt kitsch à prétention avant-gardiste mais parfois de mauvais goût.

Le point d’orgue aura été la prestation éblouissante de Céline Dion seule sans doute capable de reprendre à son compte « L’hymne à l’amour » de Piaf. Sorte de feu d’artifice vocal qui a illuminé toute la cérémonie.

Sur Spotify, leader mondial des plateformes musicales. L’Hymne à l’amour, standard d’Edith Piaf, a grimpé à + 426 % pour la France et + 497 % au total dans le monde.

JO: Une cérémonie qui oublie l’économie

JO: Une cérémonie qui oublie l’économie

 

De toute évidence,  on aura souligné le caractère innovant de la fête d’ouverture des jeux olympiques. Une manifestation qui a pour objet de divertir autant que de souligner le patrimoine du pays. Un regret toutefois l’absence totale de la dimension économique. Certes,  on a à de nombreuses reprises revisité les cabarets type Moulin-Rouge avec parfois des mises en scène un peu lourdingues voire de mauvais goût. Mais il y avait place évidemment pour éclairer ce qui fait la richesse du pays y compris en province.

En matière de sciences,  la France occupe encore le haut du pavé et peut s’enorgueillir de faire parti des meilleurs dans certains secteur économiques ( exemple l’industrie aérienne et aérospatiale qui régulièrement permet de rééquilibrer un peu la balance commerciale, aussi l’énergie, l’agriculture, les services y compris les services publics).

On objectera que la cérémonie des jeux ne saurait être responsable de la faiblesse des rapports français à l’économie. Ainsi par exemple dans le domaine politique très récemment à l’occasion des élections européennes puis législatives, on s’est surtout préoccupé du social à savoir comment augmenter les parts du gâteau, comment les distribuer en oubliant l’objectif Premier de le maintenir et de le faire augmenter. Un oubli récurrent en politique qui aboutit à traîner une dette de 3100 milliards ( soit 80 000 euros par ménages !) qui -si rien ne change -conduit la France sur le chemin de la Grèce.

JO: Une belle cérémonie, inédite mais inégale , trop parisienne qui oublie l’économie !

JO: Une belle cérémonie, inédite mais inégale , trop parisienne qui oublie l’économie !

 

Globalement la cérémonie d’ouverture des JO aura marqué par son caractère inédit puisque la plupart du temps ce type de fête se déroule dans un stade et non sur un fleuve. On aura observé la dimension très universelle des thèmes, la mise en valeur évidemment du patrimoine français et le caractère international des stars sollicitées. Une fenêtre sur la France toutefois un peu  réductrice.

 

Un spectacle globalement réussi mais  un peu anachronique par moment et mal filmé ( Un cadrage très approximatif) avec en plus une météo peu favorable.

À noter cependant le caractère un peu trop parisien de la cérémonie qui fait l’impasse sur la richesse des provinces du pays.

Un oubli -et de taille- la mise en valeur du génie et des ressources économiques ( sauf la malle LVMH!). On aurait pu consacrer 2 ou 3 tableaux à ce qui fait la force et l’inventivité française dans l’agriculture, l’industrie ou même les services ( exemples: ,gastronomie , industrie du transport, ingénierie du BTP, sciences etc.).

On aurait pu s’épargner dans le même temps quelques tableaux plutôt kitsch à prétention avant-gardiste mais parfois de mauvais goût.

Le point d’orgue aura été la prestation éblouissante de Céline Dion seule sans doute capable de reprendre à son compte « L’hymne à l’amour » de Piaf. Sorte de feu d’artifice vocal qui a illuminé toute la cérémonie.

Sur Spotify, leader mondial des plateformes musicales. L’Hymne à l’amour, standard d’Edith Piaf, a grimpé à + 426 % pour la France et + 497 % au total dans le monde.

JO: Cérémonie en mémoire d’un ouvrier malien

Soutiens et famille ont rendu hommage samedi à Paris à Amara Dioumassy, décédé sur le chantier d’un bassin destiné à rendre la Seine baignable lors des Jeux olympiques, inauguré en grande pompe la semaine prochaine. Le chef d’équipe d’origine malienne Amara Dioumassy, 51 ans et père de 12 enfants, est mort le 16 juin 2023 sur le bassin d’Austerlitz, percuté par un camion de chantier qui faisait marche arrière sans bip de recul. 

 

Les soutiens de cet ouvrier expérimenté dans le BTP dénoncent de graves manquements à la sécurité sur ce chantier dirigé par la SADE, avec la Ville de Paris pour donneuse d’ordre. Sollicités par l’AFP, la mairie de Paris et Veolia ont rappelé que l’enquête judiciaire était toujours en cours pour « déterminer les responsabilités », assurant y avoir « pleinement coopéré ».

Primaire populaire : La dernière cérémonie funéraire pour enterrer la gauche

Primaire populaire : La dernière cérémonie funéraire pour enterrer la gauche

 

Il y a forcément un côté sympathique dans cette volonté des nostalgiques de l’union de la gauche de vouloir rapiécer les liens complètement usés entre les différentes forces dites progressistes. Le premier obstacle est d’abord celui de Mélenchon qui a décidé depuis le début d’organiser ses obsèques politiques à l’occasion de sa dernière candidature aux présidentielles. L’homme qui a réalisé près de 20 % n’atteindra même pas la moitié de ce score la mais il aura tenté de se faire une place » révolutionnaire » dans l’histoire du pays. De leur côté ,les écolos poussés par des vents favorables aux municipales surtout du fait  de l’abstention veulent enfin prendre le leadership aus socialistes. Des socialistes effectivement en pleine décomposition qui pourrait ne recueillir que 3à 4 % d’après les derniers sondages et mourir peu de temps après l’élection présidentielle de 2022. Ce que souhaite en tout cas le maire du Mans qui considère qu’il faut reconstruire un nouveau parti socialiste. Conclusion, la fameuse primaire populaire pourrait au mieux avec les gauchistes recueillir 5 à 6 %. Un véritable enterrement du concept même d’union de la gauche. Une gauche dont la mort semble certaine et qui est sans doute même très souhaitable pour que renaisse une autre sociologie, un autre fonctionnement démocratique, une autre idéologie et un nouveau projet. Il faudra bien encore cinq ans pour que ce projet-là se révèle autrement plus sérieux que l’illusion actuelle d’une primaire populaire.

 

Cérémonie des Césars : le discours corpo radical chic

Cérémonie des Césars : le discours corpo radical chic

 

Symbole de rêve et de partage autour du cinéma, la cérémonie est devenue une tribune corporatiste, analyse dans sa chronique Michel Guerrin, rédacteur en chef au « Monde ».

Chronique.

 

Beaucoup ont parlé de naufrage, voire de suicide collectif, après la cérémonie des Césars qui a eu lieu il y a une semaine à l’Olympia : vulgarité, nombrilisme, arrogance. Yann Barthès a résumé l’affaire dans son émission « Quotidien », sur TMC : vivement que les cinémas rouvrent pour oublier ce qu’il a vu. Soyons indulgent : la pandémie a de quoi rendre fou. Ce qui s’est passé vendredi 12 mars traduit une radicalité qui gagne le cinéma, la culture et l’époque. Une radicalité qui se vérifie dans ce basculement : de rêve et partage autour du cinéma, la cérémonie est devenue une tribune corporatiste.

 

Le glissement n’a rien de nouveau, mais il s’exacerbe autour de la notion d’exception culturelle. Ce beau principe, porté par le slogan « l’art n’est pas une marchandise », a permis à la France, mieux que tout autre pays, de sauver son cinéma, ses librairies, sa créativité. Mais quand il est brandi à tout bout de champ, le monde culturel peut donner l’impression qu’il vit dans un monde à part. Ce n’est pas le meilleur moyen de fédérer le public – l’audience de cette édition fut la pire depuis dix ans. Le danger est de fragiliser les liens avec la société, qui voit moins la vitalité de la création que permet l’exception culturelle que les subventions conséquentes qui sont versées.

La détresse, la frustration et l’injustice qu’exprime la culture depuis la fermeture des cinémas ou théâtres sont légitimes. Ces sentiments furent répétés aux Césars. Mais sans nuance ni légèreté, sans un mot ou presque pour les personnels soignants ou les malades, beaucoup pour moquer la ministre Roselyne Bachelot. Le discours ambiant dans la bulle de l’Olympia, comme celui en cours dans des théâtres occupés, est surtout déconnecté de ce qui se passe dehors : des variants qui galopent et bouleversent le paysage de la pandémie.

Admettons que les lieux culturels ne soient pas « dangereux ». Quel responsable politique prendrait le risque d’ouvrir cinémas ou lieux de spectacles ? Et puis le monde culturel sait qu’une réouverture dans des conditions draconiennes fait surgir mille questions autour de la sécurité, de la viabilité économique, des œuvres à programmer. D’une ville à l’autre, d’une salle à l’autre, d’un spectacle à l’autre, d’un film à l’autre, le casse-tête serait rude.

L’autre question que soulèvent les Césars est la façon dont la cérémonie a muté en plate-forme politique. Le discours est monopolisé par les marges, comme sur les réseaux sociaux. Il est à sens unique, dans un climat radical-chic, au sens gauchiste, pour reprendre l’expression de Tom Wolfe, tirée d’un texte fameux de 1970. L’écrivain y décrivait par le menu la réception donnée par le compositeur Leonard Bernstein dans son duplex de Park Avenue, à New York, afin de lever des fonds en faveur des Black Panthers, qui dévoraient des canapés présentés par des serveuses (blanches, heureusement).

Cérémonie des César : une triste pantalonnade

 

Cérémonie des César : une triste pantalonnade

 

 

La cérémonie des Césars est particulièrement ennuyeuse d’habitude mais depuis quelques temps et surtout cette année, elle s’enfonce dans le plus pur ridicule. Il fallait sans doute s’y attendre avec  l’annonce publicitaire de l’animatrice de la soirée  

Une prestation de Marina Foïs qui ressemblait davantage à une promotion de cérémonies funéraires qu’à la promotion d’une séance de récompenses. On se demande pourquoi l’intéressée a pris cette tonalité d’une tristesse à mourir. Évidemment les événements intervenus pendant la cérémonie elle-même sont venus encore ternir ce qui devait constituer une fête. Par opportunisme évidemment, on a a assisté à des prestations  grossières, maladroites et bien peu humoristiques, les revendications victimaires  à la mode.

On ne peut sans doute objecter que la culture vit un moment difficile, que les artistes pour la plupart sont privés d’activité. Mais c’est aussi le lot de nombres d’autres catégories de Français qui, eux, ne sont pas aussi soutenus financièrement en permanence par l’État. Sans ce soutien nombre d’activités artistiques notamment cinématographiques aurait disparu en France comme ce fut le cas en Italie ou encore en Allemagne. En outre ce corporatisme bon marché ferme les yeux sur les disparités de situation entre les grandes vedettes et certains intermittents du spectacle.




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