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Ce concept de réseau qui fait société

Ce concept de réseau qui fait société

 

Histoire d’une notion : le réseau, ce filet qui nous relie

Il est ce qui retient et laisse passer, ce qui enserre le solide et connecte les flux. Ce concept, dont la riche symbolique s’enracine dans l’Antiquité, s’est étendu jusqu’à désigner toutes les infrastructures de nos sociétés industrielles et numériques.

Par Youness Bousenna dans le « Monde »

 

Histoire d’une notion.

 

L’humanité vit dans une grande toile d’araignée. En choisissant d’appeler « World Wide Web » leur système de navigation par lien hypertexte, les scientifiques du CERN Tim Berners-Lee et Robert Cailliau ont fourni la métaphore évocatrice d’une société que leur technologie s’apprêtait à modeler. Car la « toile d’araignée mondiale » allait, au sein d’Internet, devenir l’ultra-réseau d’une époque déjà tissée par d’innombrables infrastructures définies par cette notion. Des transports à l’énergie, des télécommunications à l’informatique, tout est réseau dans nos sociétés contemporaines… Jusqu’aux relations humaines : dans le sillage des Facebook et LinkedIn, les entourages amicaux comme professionnels ont eux aussi fini par devenir des « réseaux ».

Cette omniprésence du réseau contribue paradoxalement à rendre la notion fuyante, puisque le terme renvoie autant à un concept qu’à un imaginaire et une technologie. Au sens générique, le réseau s’apparente à « une structure d’interconnexion instable composée d’éléments en interaction » dont la variabilité obéit à une « norme régulatrice », esquisse le philosophe Pierre Musso dans son récent L’Imaginaire du réseau (Manucius, 66 pages, 5 euros). Mais la meilleure expression du réseau reste une image, plutôt qu’une définition : celle de lignes formant des nœuds à leurs intersections, dont le maillage signale les riches significations ensevelies par l’usage profus qu’en fera la société industrielle. Son étymologie latine le rattache au filet (retis), lui offrant une symbolique puissante – dans la mythologie antique, le filage est relié au temps et au destin – chargeant le réseau d’une ambivalence intrinsèque.

« Là où se fait le tissu, se nouent les contraires : le lieu et le lien, l’immobile et le mouvement, le point et le cercle », relève Pierre Musso. Le réseau est donc tout à la fois ce qui retient et laisse passer, ce qui enserre le solide et connecte les flux. Le mot entre dans notre langue après avoir connu plusieurs formes : en 1180, Marie de France parle de « resel » pour désigner un petit filet ; soixante ans plus tard, le poète Guillaume de Lorris utilise « roisiau » dans un sens figuré ; vers 1330, le Roman de Renart le contrefait écrit enfin « réseau » dans sa graphie actuelle. Mais sa signification moderne n’adviendra que par la fusion de deux évolutions parallèles de la notion. Elle va d’abord être reconfigurée par le développement de la cristallographie (l’étude des cristaux) et de l’ingénierie militaire, qui contribueront à lui donner une acception spatiale.

Covid: ce n’est pas encore la fin de l’épidémie ( Bruno Lina, virologue)

Covid:  ce n’est pas encore la fin de l’épidémie ( Bruno Lina, virologue)

Bruno Lina est virologue et membre du conseil scientifique. Alors que les cas de Covid-19 remontent en France, il explique que la hausse actuelle est le prolongement de la cinquième vague et que la variant Omicron bien que moins virulent n’est pas un virus banal. (JDD)

Le rebond épidémique actuel est-il suffisamment pris au sérieux ?
Depuis le début de la pandémie, pour estimer l’impact des vagues épidémiques, on utilise comme indicateur le nombre de patients hospitalisés. C’est l’indicateur le plus stable et le plus robuste. Cela reste vrai aujourd’hui malgré la baisse du recours aux tests PCR. Au Danemark et au Royaume-Unis, dans les deux pays européens actuellement en avance de phase par rapport à la France, la propagation du sous-variant d’Omicron BA.2 a favorisé une reprise de l’incidence. Pourtant, alors que la transition entre BA.1 et BA.2 a coïncidé là-bas avec le relâchement des mesures barrière et la réouverture de la société, il n’y a pas eu d’augmentation significative du taux d’hospitalisation. Sauf depuis quelques jours dans certaines régions du Royaume-Uni. Cette absence de signal de gravité chez nos voisins a conduit les autorités françaises à lever l’obligation du port du masque à l’intérieur et celle du passe vaccinal le 14 mars dernier.

COVID EN FRANCE CE JEUDI 10 MARS 2022 : hausse avec +74.818 NOUVEAUX CAS

 

COVID  EN FRANCE CE JEUDI 10 MARS 2022 : hausse avec +74.818 NOUVEAUX CAS

Nette tendance à la hausse avec  soit +74.818 en 24h.

On recense ce jeudi 10 mars 2022 139.880 morts au total, +107 morts supplémentaires. Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 28.269 (+7) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 111.611 (+100 en 24h).

Le taux de reproductivité R est de 0,81 le taux d’incidence à 567,09 et la tension hospitalière à 38,1 %. Le taux de positivité est à 23,3 %.

La France compte actuellement 21.287 (-222) personnes hospitalisées et 1.928 (-34) malades en réanimation.

Selon les données de Santé Publique France, Découvrez le bilan des différentes régions françaises et leur évolution :

  • Ile-de-France : 4.259 (-59) hospitalisées, 439 (-4) en réanimation et +12 décès en 24h
  • Grand Est : 1.803 (+4) hospitalisés, 161 (-9) en réanimation et +12 décès en 24h
  • Hauts de France : 1.960 (+17) hospitalisés, 175 (-2) en réanimation et +13 décès en 24h
  • Auvergne Rhône Alpes : 2.178 (-73) hospitalisés, 200 (+2) en réanimation et +12 décès en 24h
  • Provence-Alpes Côte d’Azur : 2.300 (-10) hospitalisé, 215 (-4) en réanimation et +9 décès en 24h
  • Bretagne: 877 (-33) hospitalisés, 64 (-1) en réanimation et +2 décès en 24h
  • Normandie : 1.265 (+1) hospitalisés, 93 (-6) en réanimation et +8 décès en 24h
  • Nouvelle-Aquitaine : 1.625 (+4) hospitalisés, 133 (-8) en réanimation et +8 décès en 24h
  • Pays de la Loire : 637 (-15) hospitalisés, 57 (0) en réanimation et +4 décès en 24h
  • Occitanie: 1.939 (-42) hospitalisés, , 181 (+5) en réanimation et +10 décès en 24h
  • Centre-Val de Loire : 802 (-2) hospitalisés, 59 (-4) en réanimation et +3 décès en 24h
  • Bourgogne-Franche-Comté : 873 (-8) hospitalisés, 68 (-1) en réanimation et +4 décès en 24h

Carburant : record historique et ce n’est pas fini

Carburant : record historique et ce n’est pas fini

Lentement mais sûrement le lit de carburant s’approche des deux euros le litre ; le baril de gasoil a en effet passé la barre des 100 $ et il est difficile de prévoir jusqu’où ira la hausse. Deux raisons à cela le pétrole russe sera neutralisé et l’inflation qun risque de pousser encore les cours. Heureusement avec le printemps, la demande va se tasser

La semaine dernière, le litre de gazole a augmenté de quatre centimes, atteignant 1,7415 euro, un record historique, et la septième semaine consécutive de hausse.

 

Dans le détail, la dynamique porte la facture du plein d’essence à un niveau jamais vu jusqu’alors. Le litre de SP95 franchit la barre des 1,8 euros, à 1,8133 euro, contre 1,8816 euro celui de SP98 et près de 1,8 euro le litre de SP95-E10. À titre de comparaison, le litre de gazole est désormais 15% plus cher qu’au moment du déclenchement de la crise des «gilets jaunes», fin octobre 2018, et celui de SP95 est 17,5% plus élevé qu’à la même époque. Tous les prix ont pulvérisé leurs records historiques respectifs. La hausse est aussi notable par rapport à la même époque un an auparavant, atteignant 27% pour le gazole, 23% pour le SP95 et 22% pour le SP98.

La hausse est portée par le cours des matières premières : en janvier, le baril de Brent s’échangeait en moyenne à près de 87 dollars, son niveau le plus haut depuis au moins cinq ans. De quoi faire bondir le prix final payé par le consommateur : sur un litre de gazole payé 1,74 euros, la matière première représentait, la semaine dernière, 37% du prix final, et 34,5% pour un litre de SP95, selon l’Ufip.

De nombreuses stations essence répertoriées par le ministère de la Transition écologique affichent des prix particulièrement élevés, parfois même au-delà de la barre des deux euros le litre. C’est notamment le cas dans plusieurs arrondissements parisiens, ainsi qu’ailleurs dans l’Hexagone, comme le rapporte la presse régionale.

Éric Woerth: ce « mercenaire qui fait l’aumône auprès de Macron »

Éric Woerth:  ce « mercenaire qui fait l’aumône auprès de Macron »

 

 

 

Le transfert d’Éric Woerth des » républicains »chez Macron a forcément suscité de nombreuses réactions. Pas étonnant ,l’intéressé a été mêlé de très près à la direction des affaires par les républicains et en particulier Sarkozy. Il a souvent été l’un des plus critiques de la politique de Macron. Par calcul politique sans doute, il pense  bénéficier de son transfert pour obtenir quelques avantages de fin de carrière comme par exemple le moment venu un poste de ministre.

L’autre hypothèse sait que l’intéressé est aussi mêlé à de nombreuses affaires judiciaires dans lesquelles d’ailleurs Sarkozy est souvent impliqué. Comme pour Sarkozy, il espère sans doute aussi la bienveillance du pouvoir pourquoi enterrer  définitivement ses gamelles. Cette mutation politique est fortement critiquée par nombre de responsables républicains notamment Pierre-Henri Dumont, secrétaire-général adjoint . « C’est surtout une question de choix de fin de carrière », estime sur franceinfo le secrétaire-général adjoint des Républicains.

« Quand on a été ministre, député pendant 16 ans, devoir à la fin de sa carrière faire l’aumône auprès du président de la République pour quelques strapontins, ça ne laisse pas une bonne image de l’ensemble de son œuvre », a déclaré mercredi 9 février sur franceinfo Pierre-Henri Dumont, secrétaire-général adjoint de LR et député du Pas-de-Calais, après la décision du député LR de l’Oise Éric Woerth de soutenir la candidature d’Emmanuel Macron.

« Quand je regarde autour d’Emmanuel Macron, il y a deux types de personnes, les mercenaires et les courtisans, estime Pierre-Henri Dumont. Éric Woerth a voté contre l’ensemble des budgets du quinquennat Macron, il a vilipendé l’explosion de la dette, l’absence de réformes structurelles, il a dénoncé le mépris du président Macron à l’encontre du Parlement et des Français. »

« Manifestement, Éric Woerth ne fait pas partie des courtisans. Ça veut donc dire qu’il fait partie des mercenaires (…). On attend de savoir quelle sera sa rétribution. »

Parrainage Présidentielle « ce n’est pas le rôle des maires »

Parrainage Présidentielle « ce n’est pas le rôle des maires »

À juste titre le vice-président de l’association des maires de France pose la question fondamentale de la légitimité des candidats aux présidentielles du fait du parrainage des maires.

 

Un système sans doute complètement obsolète qui ne garantit strictement rien pour preuve on va sans doute encore parrainer par exmple la responsable d’un parti Animaliste  et la liste des prétendants comprend environ 80 personnes dont une quinzaine seront finalement retenus. Évidemment une caricature de démocratie car beaucoup n’ont strictement rien à faire comme candidat à la magistrature suprême n’ayant même pas été capable pour beaucoup d’être maire d’une grande ville ou même d’une ville moyenne encore moins d’une organisation nationale un peu représentative. Philippe Laurent, vice-président de l’Association des maires de France (AMF) et maire UDI de Sceaux (Hauts-de-Seine) a pour sa part refuser d’accorder son parrainage et s’explique. Il soutient un système de parrainage citoyen plus en adéquation, selon lui, avec le système du suffrage universel.

 

Vous avez fait le choix de ne pas parrainer de candidat à l’élection présidentielle. Pour quelles raisons?
C’est d’abord pour des raisons de principes. Dans le cadre d’une élection qui a lieu au suffrage universel, je ne comprends plus la logique qui consiste à dire que ce sont les maires, et autres élus, qui ont la capacité de décider que telle ou telle personne soit candidate ou non. Parrainer les candidats, ce n’est pas le rôle des maires. Cette responsabilité n’a d’ailleurs fait l’objet d’aucun débat lors des municipales. Personne ne m’a demandé, à ce moment là, qui je pensais parrainer pour la prochaine élection.

 

Le système de parrainage actuel vous paraît-il encore adapté?
Emmanuel Macron a annoncé, lui même, qu’il avait ses 500 signatures alors qu’il n’est pas candidat! D’autres, qui le sont officiellement, ne les ont pas ou craignent de ne pas les réunir. Ce sont des opérations de manipulation et c’est aussi pour ça que je ne veux pas donner de parrainage. Ce n’est pas parce qu’aucun candidat ne me plaît, ce n’est pas le sujet. C’est parce que je pense que le système n’est plus adapté. Il est devenu anachronique par rapport au fonctionnement politique.

Vous proposez à la place un système de parrainage citoyen. En quoi cela consiste-t-il?
A faire en sorte qu’un candidat à l’élection présidentielle doive obtenir la signature d’un certain nombre de citoyens électeurs pour pouvoir officiellement se présenter. Le nombre de signatures requises pourrait être discuté. Mais l’on pourrait imaginer partir sur une base de 100.000 ou même de 200.000 signatures. Je précise un point à ce sujet : depuis maintenant deux ans, il existe un répertoire électoral unique. Ce qui signifie que les listes sont désormais gérées au niveau national. C’est un point très important puisque le numéro unique attribué à chaque électeur sur sa carte électorale permettrait de gérer ce système au niveau national sans grande difficulté. Nous ne pouvons pas le mettre en place cette fois-ci car il est trop tard, mais le temps est venu pour la prochaine élection, et il faut s’en occuper dès maintenant, de réviser ce système.

Depuis 2016, le Conseil constitutionnel rend public le nom du candidat parrainé par les maires ou les parlementaires. Le regrettez-vous? 
A partir du moment où il n’y a pas de lien entre l’élection du maire et son parrainage, il n’y a pas de raison que celui-ci soit rendu public. Je trouve que cela relève plus du voyeurisme que de la transparence. Il m’apparaît assez clair que pour la plupart des citoyens, donner un parrainage revient à soutenir un candidat. Il est très difficile d’expliquer que l’on parraine dans l’optique que le débat soit le plus ouvert possible et que tout le monde puisse avoir sa chance. C’est un raisonnement extrêmement peu crédible pour les citoyens. Beaucoup de maires de petites communes qui dépendent très fortement du soutient des intercommunalités et des départements se disent qu’ils n’ont que des désillusions à y gagner et préfèrent rester neutre. Au lieu de filtrer, le système fonctionne comme une proclamation de soutien. En tout cas, c’est l’image qu’il renvoie.

Surconsommation : Souvent le double de ce qui est nécessaire

Surconsommation : Souvent le double de ce qui est nécessaire

France Info rend compte d’une expérimentation de l’Adem auprès de 21 familles qui démontre qu’en général les ménages ont le double de ce qui est nécessaire

L’Ademe, l’Agence de la transition écologique, en a fait une opération grandeur nature pour tenter d’alerter sur la surconsommation. Vingt-et-une familles ont donc été accompagnées pendant sept mois par un coach pour faire le tri dans leurs affaires, avec pour objectif de les sensibiliser à une consommation plus responsable.

 La surconsommation est surtout forte pour les jouets, les appareils électriques et les vêtements. Le mode de consommation n’est plus compatible avec les ressources, selon Pierre Galliot, chef du service consommation responsable à l’Agence de la transition écologique. « L’objet d’étude était de répondre à un des enjeux de la transition qui est de limiter les flux, de faire attention aux ressources et aux émissions de gaz à effet de serre, souligne-t-il. Ce poste équipement est très symbolique de nos modes de vie. »

« Cette surconsommation, ce renouvellement très fréquent et cette accumulation sont très impactant et se rendre compte de cela, c’est se réapproprier sa consommation et une partie de ses impacts environnementaux. »

 Rien qu’avec le tri des vêtements, on s’est séparée de presque la moitié de ce qui se trouvait dans ses placards. À la fin du tri, les adultes qui ont participé à ces travaux expliquent qu’ils avaient deux fois plus de chaussures qu’ils n’imaginaient.

Les syndicats gauchistes encore en grève ce jeudi

Les syndicats gauchistes encore en grève ce jeudi

C’est tout juste si l’appel des syndicats gauchistes pour encore une nouvelle grève ce jeudi a fait l’objet d’une information dans les médias. Et pour cause, la participation risque d’être complètement insignifiante  et même ridicule. D’une certaine manière,  c’est toujours le même scénario assez pitoyable. Le mouvement syndical quand il est uni réussit parfois une mobilisation assez significative puis les syndicats gauchistes décident de renouveler et de renouveler sans cesse la même recette. Résultat tout finit en eau de boudin avec une participation indigne qui insulte le syndicalisme et le tue à petit feu.( Notons que c’est la même stratégie d’échec qui a été choisi dans le milieu hospitalier récemment).

On comprend certes les motifs de mécontentement notamment ceux découlant de la hausse de l’inflation mais ce n’est pas des mouvements ultra minoritaires manipulés par les gauchistes qu’on parviendra à persuader les Français de se lancer dans des stratégies aussi aventureuses que la grève à répétition plus politique que syndicale.

Les syndicats gauchistes auraient décidé de tuer le syndicalisme qu’il ne s’y prendrait pas autrement. D’ailleurs aujourd’hui dans le contexte syndical français, ce sont les syndicats réformistes qui sont devenus majoritaires.

Covid France ce samedi 22 janvier 2002: encore 389 320 cas en 24 heures

  • On enregistre ce samedi 22 janvier : 28 515 personnes sont actuellement hospitalisées (en hausse, 28 457 vendredi), dont 3 746 en réanimation (en baisse, 3 842 le jour précédent). 167 nouveaux décès sont à déplorer. Par ailleurs, 389 320 nouveaux cas ont encore été diagnostiqués en 24h.
  • La décrue est très lente même si on constate un petit tassement chez les malades hospitalisés.
  • Les contaminations au Covid-19 sont passées sous la barre des 400.000, avec 389.320 personnes testées positives en 24 heures, selon les données publiées samedi par Santé publique France. En moyenne sur sept jours, cet indicateur s’élève à 356.651 cas.

« passe vaccinal « : ce sera un jour supprimé ! (Castaner)

« passe vaccinal « : ce sera un jour supprimé ! (Castaner)

 

 

 

Castaner le président du groupe de la majorité assure que le pass vaccinal sera un jour supprimé. Une déclaration qui normalement devrait rassurer mais qui en fait nourrit une certaine inquiétude car cela sous-entend que l’obligation du passvaccinal va se prolonger dans le temps, ce qui implique des mesures restrictives qui vont couvrir y compris la période des élections présidentielles et législatives… et même au-delà..

 

Une suppression future évidente qui justifie une déclaration qui , elle  est assez ambiguë.  «Personne n’entend faire du passe vaccinal une mesure permanente, mais tant que nous serons dans la situation où, le 8 janvier, samedi, il y avait 303.669 cas de Covid, le sujet n’est pas de présupposer la fin (du dispositif, NDLR) mais de se battre avec toutes les armes possibles pour faire reculer le Covid en France», a réagi Christophe Castaner lundi sur France Inter. Le passe «n’a pas vocation à être illimité dans le temps et nous n’avons pas vocation à légiférer tout le temps», a-t-il souligné.

COVID FRANCE CE MARDI 4 JANVIER 2022 : nouveau record, +271.686 nouveaux cas

COVID FRANCE CE MARDI 4 JANVIER 2022 : nouveau record,  +271.686 nouveaux cas 

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Mardi 4 janvier 2022, 124.563 morts au total et +271.686 nouveaux cas confirmés en 24h, nouveaux records .

En France, le dernier bilan fourni par les autorités sanitaires concernant la pandémie de Covid-19, fait état d’au moins 10.589.505 cas confirmés soit +271.686 en 24h.

On recense ce mardi 4 janvier 2022 : 124.563 morts au total, +351 morts supplémentaires. Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 27.139 (+58) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 97.424 (+293 en 24h).

Le taux de reproductivité R est de 1,61 le taux d’incidence à 1.698,66 et la tension hospitalière à 72,5 %. Le taux de positivité est à 15,8 %.

La France compte actuellement 20.186 (+580) personnes hospitalisées et 3.665 (+11) malades en réanimation.

Selon les données de Santé Publique France, Découvrez le bilan des différentes régions françaises et leur évolution :

  • Ile-de-France : 4.731 (+283) hospitalisées, 754 (+4) en réanimation et +65 décès en 24h
  • Grand Est : 1.581 (+43) hospitalisés, 305 (-18) en réanimation et +30 décès en 24h
  • Hauts de France : 1.427 (+41) hospitalisés, 261 (-1) en réanimation et +16 décès en 24h
  • Auvergne Rhône Alpes : 2.668 (+24) hospitalisés, 506 (+4) en réanimation et +51 décès en 24h
  • Provence-Alpes Côte d’Azur : 2.735 (+70) hospitalisé, 518 (+10) en réanimation et +33 décès en 24h
  • Bretagne: 521 (-3) hospitalisés, 78 (0) en réanimation et +6 décès en 24h
  • Normandie : 855 (+18) hospitalisés, 110 (-6) en réanimation et +16 décès en 24h
  • Nouvelle-Aquitaine : 1.178 (+30) hospitalisés, 264 (+1) en réanimation et +19 décès en 24h
  • Pays de la Loire : 573 (+27) hospitalisés, 99 (+4) en réanimation et +6 décès en 24h
  • Occitanie: 1.753 (+5) hospitalisés, , 382 (-7) en réanimation et +22 décès en 24h
  • Centre-Val de Loire : 583 (-3) hospitalisés, 114 (+9) en réanimation et +7 décès en 24h
  • Bourgogne-Franche-Comté : 877 (+6) hospitalisés, 149 (+6) en réanimation et +11 décès en 24h

Covid France cinquième vague : ce n’est qu’un début (Martin Blachier )

Covid France cinquième vague : ce n’est qu’un début (Martin Blachier )

 5000 contaminations il y a environ un mois, 15 000 samedi dernier et plus de 22 000 ce samedi 20 novembre, la pandémie progresse de façon inquiétante en France où la cinquième vague ne semble qu’au début de son évolutionEstime l’épidémiologiste Martin Martin Blachier. On pourrait rapidement atteindre 50 000 contaminés d’ici un mois. Bref mesure restrictive nouvelle le brassage des populations de fin d’année pourrait provoquer une catastrophe.Invité à l’antenne de Franceinfo ce vendredi 29 octobre, l’épidémiologiste Martin Blachier s’est montré formel : « On est au début de la 5e vague », a-t-il lancé sur le plateau avant d’ajouter, alarmiste : « On est au début de ce phénomène de reprise épidémique et il n’y a aucune raison que ça s’arrête« . Après deux mois successifs de baisse, la France encaisse un léger rebond de l’épidémie de Covid-19. Ces derniers jours, le gouvernement a multiplié les appels à la vigilance. « L’épidémie recommence à gagner du terrain« , a prévenu Gabriel Attal, le porte-parole du gouvernement, sur RTL.

Les hôpitaux français pourront-ils supporter une 5e vague ? « On n’envisage pas pour l’instant qu’il y ait un phénomène de saturation (…) mais en revanche, c’est vrai que la pression qui existe aujourd’hui va encore s’intensifier sur les services hospitaliers et les services de réanimation », a assuré sur Franceinfo l’épidémiologiste .

Fiscalité : le G20 approuve ce qui a déjà été décidé

Fiscalité  : le G20 approuve ce qui a déjà été décidé

 

 

Sans doute en mal d’œcuménisme et d’unité, les grands pays du G20 ont décidé d’entériner le nouvel accord de fiscalité internationale qui prévoit notamment les conditions de fiscalité des grands de la tech  mais aussi les modalités de gestion de cet impôt.

 

Cet accord a été conclu début octobre par 136 pays représentant 90 ans du mondial sou l’égide de l’OCDE. L’accord était donc approuvé dès ce moments car l’OCDE constitue une institution reconnue avec un mandat international clair. À l’inverse du G20 qui lui n’est pas une institution officielle et d’ailleurs n’a pas forcément apprendre des orientations communes. Bref on a inversé les processus démocratiques. Normalement c’était au G20 d’abord de faire cette proposition, ensuite à l’OCDE de la décidée et de la mettre en application.

 

Pourquoi cette inversion des processus démocratiques ? Sans doute parce que le G20 aura bien des difficultés à se mettre d’accord sur d’autres sujets en particulier concernant la question cruciale du climat. Or c’est sur cette question qu’on attend le G20 et non sur l’approbation d’une fiscalité déjà décidée. De ce point de vue celui qui va recevoir la COP 26 savoir Boris Johnson aura beaucoup de difficultés à trouver un terrain d’entente concernant le climat.

 

«C’est l’occasion maintenant d’essayer de prendre certains des engagements vagues de (l’accord de) Paris et de les solidifier dans des engagements solides, rapides pour réduire les émissions» de gaz à effet de serre, a souligné le Premier ministre britannique Boris Johnson dans une interview diffusée samedi par la chaîne ITV. «Nous devons être plus ambitieux» sur le climat, estimait aussi le président du Conseil européen Charles Michel, tout en reconnaissant que la question était difficile notamment «pour certains pays dépendant du charbon».(L’Allemagne ou la Chine en particulier)

Fiscalité internationale internationale : le G20 approuve ce qui a déjà été décidé

Fiscalité internationale internationale : le G20 approuve ce qui a déjà été décidé

 

 

Sans doute en mal d’œcuménisme et d’unité, les grands pays du G20 ont décidé d’entériner le nouvel accord de fiscalité internationale qui prévoit notamment les conditions de fiscalité des grands de la tech  mais aussi les modalités de gestion de cet impôt.

 

Cet accord a été conclu début octobre par 136 pays représentant 90 ans du mondial sou l’égide de l’OCDE. L’accord était donc approuvé dès ce moments car l’OCDE constitue une institution reconnue avec un mandat international clair. À l’inverse du G20 qui lui n’est pas une institution officielle et d’ailleurs n’a pas forcément apprendre des orientations communes. Bref on a inversé les processus démocratiques. Normalement c’était au G20 d’abord de faire cette proposition, ensuite à l’OCDE de la décidée et de la mettre en application.

 

Pourquoi cette inversion des processus démocratiques ? Sans doute parce que le G20 aura bien des difficultés à se mettre d’accord sur d’autres sujets en particulier concernant la question cruciale du climat. Or c’est sur cette question qu’on attend le G20 et non sur l’approbation d’une fiscalité déjà décidée. De ce point de vue celui qui va recevoir la COP 26 savoir Boris Johnson aura beaucoup de difficultés à trouver un terrain d’entente concernant le climat.

 

«C’est l’occasion maintenant d’essayer de prendre certains des engagements vagues de (l’accord de) Paris et de les solidifier dans des engagements solides, rapides pour réduire les émissions» de gaz à effet de serre, a souligné le Premier ministre britannique Boris Johnson dans une interview diffusée samedi par la chaîne ITV. «Nous devons être plus ambitieux» sur le climat, estimait aussi le président du Conseil européen Charles Michel, tout en reconnaissant que la question était difficile notamment «pour certains pays dépendant du charbon».(L’Allemagne ou la Chine en particulier)

Algérie: Macron dit tout haut ce que tout le monde pense tout bas

Algérie: Macron dit tout haut ce que tout le monde pense tout bas

 

 

La réaction virulente du régime algérien aux propos tenus par le chef de l’Etat français le 30 septembre tient à ce qu’il n’assume pas que sa démocratie est « juste formelle » puisque sa souveraineté est dans les mains de la hiérarchie militaire, analyse le politiste, Lahouari Addi,Professeur émérite à Sciences Po Lyon,  dans une tribune au « Monde ».(extrait)

 

Tribune.

 Les propos d’Emmanuel Macron critiquant, le 30 septembre, le « système politico-militaire » de l’Algérie et l’accusant d’entretenir une « rente mémorielle » ont créé la surprise auprès des autorités à Alger, qui ont réagi avec un communiqué sévère de la présidence. Il est vrai que c’est la première fois qu’un président français dit publiquement ce que ses prédécesseurs, de droite comme de gauche, disaient en privé.

Les officiels français sont exaspérés de ne pas avoir des interlocuteurs algériens dotés de l’autorité que leurs fonctions supposent. C’est ce que veut dire Emmanuel Macron quand il parle du président Abdelmadjid Tebboune, qu’il décrit comme étant l’otage d’un « système politico-militaire dur ». Venant de la France, pays à travers lequel beaucoup de gouvernements étrangers perçoivent l’Algérie, cette déclaration est considérée comme un coup de poignard dans le dos par des généraux qui font tout pour apparaître sous les ordres du président.

Priorité à la lutte contre l’opposition

Il n’est pas à écarter que Macron ait été contrarié par le peu d’empressement que montre l’Algérie à accepter l’expulsion de ses ressortissants en situation irrégulière, en cette période préélectorale où Eric Zemmour presse gauche et droite sur la question sensible de l’immigration clandestine. Alger veut-il monnayer en contrepartie de cette expulsion l’extradition d’opposants sur le sol français ? Cela est probable, surtout que les services de sécurité algériens ont été encouragés à cette fin par l’extradition d’Espagne d’un ex-gendarme réfugié à Barcelone obtenue à la suite de négociations confidentielles. Mais l’Algérie a moins de moyens de pression sur la France que sur l’Espagne qui pourrait, du jour au lendemain, ne plus recevoir de gaz algérien [l’Algérie fournit à la péninsule Ibérique 50 % de son gaz ].

Si cela se confirme à l’avenir, cela signifierait que la diplomatie algérienne donne la priorité à la lutte contre l’opposition au détriment d’autres aspects de la coopération avec les pays d’Europe, portant notamment sur les échanges économiques et culturels. Les services de sécurité, qui décident de la politique étrangère, ont juste oublié que ce qu’ils obtenaient hier de [l’ancien ministre de l’intérieur de 1986 à 1988 et de 1993 à 1995] Charles Pasqua, ils ne peuvent l’obtenir aujourd’hui d’Emmanuel Macron.

Pour les officiels algériens, la déclaration du président français est inadmissible de la part d’un chef d’Etat étranger. La réaction sera d’autant plus brutale que le régime algérien n’assume pas sa caractéristique essentielle, à savoir que la souveraineté appartient à la hiérarchie militaire en lieu et place de l’électorat, sous un habillage institutionnel qui ne traduit pas la réalité des rapports d’autorité au sommet de l’Etat.

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