Archive pour le Tag 'Catastrophe'

Ecole et Classement Pisa : une catastrophe dont la responsabilité incombe à la société toute entière

Ecole et Classement Pisa : une catastrophe dont la responsabilité incombe à la société toute entière

Le classement international Pisa enregistre un écroulement encore jamais connu du niveau des élèves français. La catastrophe est telle que certains n’hésitent pas à contester la pertinence de cette évaluation. Un réflexe habituel chez les corporatistes de l’enseignement national! En cause plusieurs facteurs explicatifs : l’immigration, le pédagogisme, la perte d’autorité des maîtres, le laxisme généralisé y compris des parents, les programmes et l’égalitarisme font plonger la moyenne générale des élèves. D’une certaine manière l’écroulement du niveau scolaire des élèves caractérise aussi l’effondrement de la société française

Dans le classement international qui mesure le niveau de l’enseignement de chaque pays, les élèves français ont en effet obtenu 474 points en mathématiques, soit juste au-dessus de la moyenne, qui s’établit à 472 points; 474 points en compréhension de l’écrit alors que la moyenne se situe à 476 points; 487 points en culture scientifique quand la moyenne pointe à 485 points.

Alors même que l’Hexagone est la 7e puissance économique mondiale, elle arrive 26e en mathématiques comme en culture scientifique et 29e en compréhension de l’écrit. Ses résultats sont globalement comparables à ceux de l’Allemagne, de l’Espagne, du Portugal, de la Hongrie, de l’Italie, de la Norvège ou encore de la Lituanie.

De Singapour au Japon, en passant par la Corée, ce sont les pays asiatiques qui caracolent une fois de plus en tête du classement et continuent de creuser l’écart. En Europe, les meilleures performances reviennent à la Suisse, l’Irlande et l’Estonie.

Les pays de l’OCDE enregistrent, en moyenne, une dégringolade de 15 points par rapport à Pisa 2018. Là où les baisses précédentes enregistrées n’avaient jamais excédé les 4 points. En France, la baisse est vertigineuse, avec 21 points perdus en mathématiques.

Même constat en compréhension de l’écrit, où les petits Français perdent 19 points, là où la baisse moyenne dans l’OCDE est de 10 points. Ces résultats sont «parmi les plus bas mesurés par l’enquête Pisa dans les trois matières en France», observe l’OCDE. Avec une trajectoire différente selon les matières : en mathématiques, les résultats avaient stagné entre 2006 et 2018, alors qu’en compréhension de l’écrit, le déclin s’était amorcé dès 2012.

En termes de déclin depuis 2018, la Finlande, l’Allemagne et la Norvège font encore pire que la France. La Finlande, qui fut jadis dans le haut du classement, enregistre la plus forte chute, même si le pays scandinave continue de devancer la France. Une situation qui s’explique, selon l’OCDE, par «la plus forte diversité, aujourd’hui, dans la population finlandaise, un début de pénurie d’enseignants et un fort écart entre les garçons et les filles, à l’avantage de ces dernières».

L’Allemagne, après le «choc Pisa» des années 2000 et une remontée dans le classement, connaît un «retournement de tendance qui avait déjà commencé en 2015».
«Il convient d’évoquer le fait que la proportion d’élèves issus de l’immigration en Allemagne a doublé, passant de 13 % en 2012 à 26 % en 2022, note l’OCDE. En 2022, presque un élève sur 10 en Allemagne (9%) était né dans un autre pays, ce qui implique aussi qu’il a souvent rejoint le système éducatif allemand ’en cours de route’. De manière évidente, l’Allemagne n’a pas toujours réussi à bien les intégrer dans un système fortement stratifié.»

Depuis Pisa 2018, Singapour, le Japon, la Corée, l’Estonie et l’Irlande ont continué de progresser. «Singapour a beaucoup d’avance, explique-t-on à l’OCDE. Le pays a mieux résisté au Covid. Et il souffre moins de problèmes d’attractivité du métier d’enseignant, comme le Japon et la Corée.» L’Estonie, de son côté, a largement investi sur la formation des enseignants, quand l’Irlande a développé une aide personnalisée auprès des élèves.

Secteur Immobilier : catastrophe encore confirmée

Secteur Immobilier : catastrophe encore confirmée

Le dernier trimestre a été le pire depuis 15 ans dans le secteur de l’immobilier. Les ventes sont en effet écroulé autour de 30 % et l’avenir apparaît encore plus son si l’on s’en tient aux crédits accordés par les banques et aux demandes de permis de construire. Par rapport à 2019 la chute pourrait être de près de 50 %. Une véritable catastrophe qui se traduit notamment par des cascades de fermeture d’entreprises.

Le mois dernier, le promoteur nantais Réalités, qui emploie 1200 personnes, annonçait son intention de réduire ses effectifs de 50 à 100 personnes dans les 18 mois. De telles annonces sont rares, mais elles risquent de se multiplier car la crise de l’immobilier neuf ne fait que se renforcer au fil des mois. «Certains promoteurs préparent des PSE (plans de sauvegarde de l’emploi, NDLR)», a ainsi prévenu Pascal Boulanger, président de la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI), en présentant ce jeudi les chiffres pour le troisième trimestre.

Immobilier : catastrophe encore confirmée

Immobilier : catastrophe encore confirmée

Le dernier trimestre a été le pire depuis 15 ans dans le secteur de l’immobilier. Les ventes sont en effet écroulé autour de 30 % et l’avenir apparaît encore plus son si l’on s’en tient aux crédits accordés par les banques et aux demandes de permis de construire. Par rapport à 2019 la chute pourrait être de près de 50 %. Une véritable catastrophe qui se traduit notamment par des cascades de fermeture d’entreprises.

Le mois dernier, le promoteur nantais Réalités, qui emploie 1200 personnes, annonçait son intention de réduire ses effectifs de 50 à 100 personnes dans les 18 mois. De telles annonces sont rares, mais elles risquent de se multiplier car la crise de l’immobilier neuf ne fait que se renforcer au fil des mois. «Certains promoteurs préparent des PSE (plans de sauvegarde de l’emploi, NDLR)», a ainsi prévenu Pascal Boulanger, président de la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI), en présentant ce jeudi les chiffres pour le troisième trimestre.

Niveau scolaire : Une véritable catastrophe d’après une nouvelle étude du ministère

Niveau scolaire : Une véritable catastrophe d’après une nouvelle étude du ministère


Selon le ministre de l’éducation nationale il s’appuie sur une étude, les résultats des élèves de 4e «ne sont pas satisfaisants et sont même plutôt inquiétants. Un peu plus de la moitié des élèves ne lisent pas convenablement et en mathématiques, plus de la moitié ne maîtrisent pas la résolution de problèmes et la géométrie».

D’après une étude du ministère concernant les CP, CE1, CM1, sixième et quatrième sur des compétences en français et en maths.

Pour contrer cet affaissement, le ministre souhaite «des groupes de niveau en français et en mathématiques. Bref, d’une certaine manière la remise en cause du collège unique. La taille du groupe étant réduite pour les élèves les plus en difficulté», a-t-il évoqué, tout en promettant annoncer «des mesures fortes début décembre sur le collège, pour une entrée en vigueur dès la rentrée prochaine». Peu de temps après son arrivée à la tête de ce ministère, Gabriel Attal avait souhaité «mettre le paquet sur les savoirs fondamentaux» en annonçant deux heures consacrées chaque jour à la lecture au CP, «au moins un texte écrit» chaque semaine pour les élèves de CM2.

Crise Immobilier : Catastrophe en vue

Crise Immobilier :Catastrophe en vue

L’immobilier connait une crise sans précédent avec des baisses qui sont de l’ordre de 30 %. Aussi bien pour les constructions en cours que pour les prochaines. En cause évidemment l’inflation qui provoque la montée des frais financiers. Nombre de candidats à l’accession à la propriété n’ont plus le niveau souhaité de solvabilité et d’une certaine manière sont éjectés du marché. La baisse des demandes de crédit pourrait atteindre jusqu’à 50 %. Avec les taux actuels, les charges financières peuvent doubler par rapport à la situation d’il y a quelques années.

Le nombre de permis de construire a continué à chuter en septembre, avec 371.300 nouveaux logements autorisés en 12 mois, soit une baisse annuelle de 28,3%, selon les chiffres provisoires dévoilés vendredi par le ministère de la Transition écologique.
Le nombre estimé de chantiers commencés, qui suit traditionnellement de quelques mois celui des permis, s’érode lui aussi nettement, avec 315.800 mises en chantier sur 12 mois, une baisse de 16,6%. La chute des autorisations concerne tous les types d’habitat, l’individuel pur (-31,8%), l’individuel groupé comprenant les lotissements (-27,6%), et le collectif (-28,3%). Les résidences (étudiantes, séniors, etc.) souffrent un peu moins (-19,7%).

Du côté des promoteurs et constructeurs, les crises mondiales successives (pandémie, guerre en Ukraine…) ont fait s’envoler les coûts des matériaux de construction, et le durcissement de la réglementation environnementale sur les projets neufs ajoute encore un surcoût aux opérations. Les promoteurs pointent également la frilosité des maires à accorder des permis, sous la pression d’administrés peu enclins à accepter de nouvelles constructions.

Bref, c’est une véritable catastrophe que va connaître le secteur et qui pourrait bien se contaminer à d’autres champs d’activité comme en Chine où le pays ne se remet pas de la crise immobilière.

La catastrophe de l’accession à la propriété

La catastrophe de l’accession à la propriété

Les taux de crédit continuent de grimper d’après « Capital »; Ils vont bientôt dépasser 4 % en moyenne. selon l’observatoire Crédit logement/CSA, ils s’élevaient en moyenne à 3,77% au 3e trimestre 2023, contre 3,31% au 2e trimestre. . D’après une étude du courtier Meilleurtaux, publiée ce mardi 17 octobre, alors que pour un emprunt de 200 000 euros contracté en octobre 2022, le coût du crédit s’élevait à 54 353 euros (avec un taux de 2,50%), un an plus tard, le chiffre n’est pas loin d’avoir doublé. Pour un même niveau d’emprunt, le coût du crédit atteint désormais 98 514 euros (pour un taux à 4,30%).

Mécaniquement, les emprunteurs voient leurs mensualités augmenter. En un an, pour un emprunt de 200 000 euros, elles ont grimpé de 1 060 euros à 1 243 euros. Compte tenu du taux d’endettement dont la référence est fixée à 33% des revenus (hors assurance), pour acheter un bien, les revenus nécessaires flambent.

Toujours pour un emprunt à 200 000 euros, selon Meilleurtaux, le revenu net mensuel nécessaire était de 3 190 euros en octobre 2022. Un an plus tard, il grimpe à 3 720 euros, soit 530 euros de plus. Et comparé à janvier 2022, lorsque les revenus nécessaires pour emprunter 200 000 euros se limitaient à 2 840 euros, il faut 880 euros de plus en octobre 2023. Ainsi, «pour compenser la hausse des taux entre 2022 et 2023, il faut gagner 30% de plus», calcule le courtier.

Immobilier: Vers une catastrophe

Immobilier: Vers une catastrophe


Une crise sans précédent de l’offre qui par ailleurs devient de plus en plus inaccessible en raison du manque de solvabilité. Des taux qui s’envolent et réduisent les possibilités d’emprunt, des cours qui augmentent en raison du prix des matériaux et des nouvelles normes. Un gouvernement qui considère que l’immobilier est un capital mort. Bref tous les ingrédients sont réunis pour que survienne une véritable catastrophe dans le logement et l’immobilier en général.

Nouvel appel des professionnels en forme d’alerte concernant la situation économique de l’immobilier qui s’écroule littéralement. le choc est brutal pour les professionnels de l’immobilier : « La situation est alarmante et nécessite une action immédiate », agite Thierry Leblanc, le président de la Fédération française du bâtiment de Gironde, à l’occasion du coup de gueule poussé conjointement avec huit autres organisations professionnelles ce mercredi 4 octobre : FPI, FFB Habitat, USH, Fnaim, Aria, Medef, CPME, Unam (*).

« On n’a jamais connu une crise pareille. Il est impératif de prendre des mesures urgentes et décisives, il faut se réveiller ! Sinon on aura des conséquences gravissimes pour tout le monde », appuie Franck Schikowski, le président du pôle habitat de la FFB girondine, qui représente des aménageurs, promoteurs et constructeurs de maisons individuelles. Ces derniers sont ceux qui souffrent le plus avec des carnets de commandes qui se sont effondrés de moitié depuis un an sous l’effet conjugué de la flambée des taux de crédits immobiliers, de la hausse des coûts de construction et de la pression foncière. Des plans sociaux sont en cours chez les gros acteurs du secteur et les licenciements économiques se multiplient chez les plus petits.

Catastrophes: Une assurance privée ou la prise en charge par l’État

Catastrophes: Une assurance privée ou la prise en charge par l’État


Comment l’Etat peut-il financer la couverture de risques de plus en plus fréquents et généralisés, que les assureurs privés peuvent de moins en moins prendre en charge ?, s’interroge l’économiste dans « Le Monde » .

Il existe un consensus, dans l’opinion publique comme chez la plupart des économistes, pour défendre l’idée que les Etats doivent assurer les ménages et les entreprises contre un nombre croissant de risques. Les risques les plus évidents, ceux qui font la « une » de l’actualité, sont bien sûr les risques environnementaux, liés essentiellement aux dérèglements climatiques : risques de sécheresse, de canicule, d’incendie, d’érosion du littoral, ouragans, inondations, orages et grêle.

On sait que l’intensité des événements climatiques extrêmes s’accroît, que leur fréquence augmente, ce qui conduit à demander à l’Etat d’indemniser les personnes ou les entreprises pour les pertes subies. On sait aussi que la transition énergétique va vraisemblablement provoquer une hausse forte des prix de l’énergie, d’où la demande de compensation des prix élevés de l’énergie pour que le pouvoir d’achat des ménages modestes ne soit pas entamé.

Un risque que l’Etat devra prendre en charge de manière croissante est beaucoup moins commenté : il s’agit du risque financier. Le vieillissement démographique conduit à une hausse de la proportion de personnes assez âgées ou très âgées dans la population totale. Or, les personnes âgées prennent moins de risques lorsqu’elles investissent leur épargne que des personnes plus jeunes, puisqu’elles ont un horizon de placement plus court et qu’elles doivent disposer d’une épargne plus liquide pour soutenir leur consommation après leur départ à la retraite.

Le vieillissement démographique réduit donc la prise de risque des épargnants, et puisqu’il faut pourtant continuer à réaliser des projets d’investissement risqués, les Etats devront assurer les épargnants contre une partie croissante du risque financier. Pour stimuler le niveau d’investissement industriel et faire en sorte que des innovations soient développées, les Etats devront prendre à leur charge une partie croissante des risques d’échec des investissements ou de la recherche. Cela peut se faire par des avances des Etats aux entreprises qui investissent ou qui innovent, qui ne seront remboursées qu’en cas de succès.

Mais le point commun de ces risques est qu’ils ne sont pas assurables par des investisseurs privés. En effet, ils concernent trop de monde et sont répétitifs, ce qui implique qu’ils ne sont pas diversifiables dans le temps et ne peuvent être mutualisés entre les personnes. L’aversion pour le risque des épargnants est tout le temps plus forte que l’incitation à financer des projets risqués, pourtant nécessaires .

Ecole- Niveau mathématiques des élèves de sixième : la catastrophe

Ecole- Niveau mathématiques des élèves de sixième : la catastrophe

Disons le clairement, les niveaux des connaissances en mathématiques (comme d’ailleurs en français) sont catastrophiques. Pourtant, on continue de pousser une génération vers le bac désormais distribué à la quasi-totalité et qui forme surtout des chômeurs futurs alors que le pays manque de main-d’œuvre dans les métiers qualifiés. En outre, le collège unique provoque un brassage social qui tire tout le monde vers le bas . Il est clair qu’il conviendrait de distinguer nettement ceux qui sont capables de poursuivre des études et ceux qu’on doit orienter vers des métiers dès la sorties du CM2.

«Combien y a-t-il de quarts d’heure dans trois quarts d’heure?» À cette question apparemment simple, seule la moitié des élèves qui entrent en sixième trouve la bonne réponse. Dans une note d’alerte publiée le 20 septembre, le Conseil scientifique de l’Éducation nationale (Csen), présidé par le neuroscientifique Stanislas Dehaene, conclut à une «inquiétante mécompréhension» des nombres et surtout des fractions de la part des élèves qui sortent de l’école primaire.

Pour beaucoup, «les nombres décimaux et les fractions n’ont aucun sens. Ces constats viennent confirmer les résultats des enquêtes internationales Pisa (la prochaine évaluation, centrée sur les maths justement, sera dévoilée le 5 décembre) et Timms, qui soulignent le retard considérable des élèves français en mathématiques. Dans cette discipline, la France occupe la dernière place en Europe.

Niveau mathématiques des élèves de sixième : la catastrophe

Niveau mathématiques des élèves de sixième : la catastrophe

Disons le clairement, les niveaux des connaissances en mathématiques (comme d’ailleurs en français) sont catastrophiques. Pourtant, on continue de pousser une génération vers le bac désormais distribué à la quasi-totalité et qui forme surtout des chômeurs futurs alors que le pays manque de main-d’œuvre dans les métiers qualifiés. En outre, le collège unique provoque un brassage social qui tire tout le monde vers le bas . Il est clair qu’il conviendrait de distinguer nettement ceux qui sont capables de poursuivre des études et ceux qu’on doit orienter vers des métiers dès la sorties du CM2.

«Combien y a-t-il de quarts d’heure dans trois quarts d’heure?» À cette question apparemment simple, seule la moitié des élèves qui entrent en sixième trouve la bonne réponse. Dans une note d’alerte publiée le 20 septembre, le Conseil scientifique de l’Éducation nationale (Csen), présidé par le neuroscientifique Stanislas Dehaene, conclut à une «inquiétante mécompréhension» des nombres et surtout des fractions de la part des élèves qui sortent de l’école primaire.

Pour beaucoup, «les nombres décimaux et les fractions n’ont aucun sens. Ces constats viennent confirmer les résultats des enquêtes internationales Pisa (la prochaine évaluation, centrée sur les maths justement, sera dévoilée le 5 décembre) et Timms, qui soulignent le retard considérable des élèves français en mathématiques. Dans cette discipline, la France occupe la dernière place en Europe.

Catastrophe climatique aussi en Libye

Catastrophe climatique aussi en Libye


2300 personnes au moins sont mortes et plus de 10.000 sont portées disparues en Libye après le passage de la tempête Daniel qui a entraîné de très violentes inondations.

La tempête Daniel, qui avait touché plus tôt la Bulgarie et la Grèce, s’est abattue sur les côtes libyennes à l’est du pays dimanche. Celle-ci a provoqué des pluies diluviennes, notamment dans la ville de Derna où plus de 2300 personnes ont péri dans les inondations selon les secours tandis que plusieurs milliers de personnes sont toujours portées disparues.

De quartiers entiers de la ville libyenne se sont retrouvés sous les eaux, empêchant les véhicules de circuler et piégeant de nombreux habitants dans leurs foyers. Les terres agricoles, situées au sud de la ville, n’ont pas non plus été épargnées par les très fortes précipitations qui sont tombées.

« Je m’attends à ce que le nombre de morts s’élève à 10.000″, a averti lundi soir le ministre de la Santé au sein de ce gouvernement, Othman Abdeljalil, soulignant que nombreux quartiers étaient toujours inaccessibles.

Attal conscient de la catastrophe de l’éducation nationale et pour l’uniforme

Attal conscient de la catastrophe de l’éducation nationale et pour l’uniforme

GABRIEL ATTAL a reconnu que l’éducation nationale se trouve dans une situation catastrophique et semble disposé à y apporter des solutions. Il y a longtemps qu’un ministre de l’éducation n’avait pas fait un constat aussi lucide. Le nouveau ministre de l’éducation nationale s’est aussi prononcé pour éventuellement la mise en place de l’uniforme à l’école.

« Est-ce qu’on peut imaginer que ce serait solution magique pour régler tous les problèmes? Je n’y crois pas », a tempéré le nouveau ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse.
Faut-il mettre en place l’uniforme à l’école? Tout juste nommé ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse, Gabriel Attal s’est prononcé sur cette question ce vendredi à l’occasion d’une interview pour le Midi Libre. Pour lui, cela doit être possible, si des établissements scolaires le souhaitent.

Le nouveau ministre de l’Education nationale a aussi été interrogé sur sa position sur une autre tenue: les abayas. Il juge que « venir à l’école en abaya est un geste religieux, visant à tester la résistance de la République sur le sanctuaire laïque que doit constituer l’école ». Gabriel Attal assure qu’il sera « ferme » sur cette question.

Secteur -Immobilier: une catastrophe annoncée

Secteur -Immobilier: une catastrophe annoncée

Par Raphaël Legendre et Jérémy Bouillard dans l’Opinion

Depuis un an, le secteur de l’immobilier connaît un double choc d’offre et de demande. Une bombe sociale à retardement, comme l’explique notre le Raphaël Legendre

Pourquoi le secteur du logement est-il dans la tourmente ?
Raphaël Legendre, journaliste au service économie de l’Opinion : Depuis un an, le secteur de l’immobilier connaît un double choc. Un choc d’offre tout d’abord, avec la flambée des coûts de l’énergie qu’on a connue après l’invasion russe en Ukraine.

Les pénuries de matériaux qui ont entraîné aussi une très forte hausse des coûts de la construction. Et, depuis un an, est venu s’ajouter à ce choc d’offre un choc de demande avec une hausse brutale des taux d’intérêt de la BCE : + 3 points en 12 mois, ce qui a très fortement resserré le crédit bancaire pour les logements.

Les ménages ont aujourd’hui beaucoup moins de moyens de s’endetter pour acheter leur logement. Ce qui a jeté un grand coup de froid sur le marché de l’immobilier.

Pourquoi le problème est politique en plus d’être économique ?

Le logement c’est d’abord et avant tout le quotidien des Français. C’est l’une des premières dépenses contraintes, tout comme l’alimentation. On a vu la colère monter avec la flambée de l’inflation ces derniers mois. C’est la même chose sur le logement.

C’est un sujet d’abord et avant tout politique. Véronique Bédague, présidente de Nexity, premier promoteur immobilier, très critique vis-à-vis de l’inaction du gouvernement ces derniers jours, a cité quelques chiffres qui font froid dans le dos.

Le logement c’est plus 100 000 personnes mal logées, plus 10% de personnes à la rue et plus 100 000 demandeurs de logements sociaux.

Des demandes de logements sociaux qui touchent désormais la classe moyenne. Ce qui donne un sentiment de déclassement qui est, bien évidemment, d’abord et avant tout politique.

Quelles solutions sont sur la table ?

D’abord, au sein de l’exécutif, on explique que si la construction neuve est effectivement en crise, la rénovation peut prendre le relais pour les entreprises du bâtiment.

La France détient le record européen des logements vacants et beaucoup sont à rénover, notamment du côté des passoires énergétiques. Cela donne un relais de croissance pour les entreprises de la construction.

Par ailleurs, la Caisse des dépôts est actuellement en train de préparer un plan pour supporter la construction. On parle de 15 à 20 000 logements supplémentaires qui pourraient être mis sur le marché.

Et enfin, Bruno Le Maire travaille actuellement à un assouplissement des conditions d’octroi du crédit bancaire avec le gouverneur de la Banque de France.

L’année dernière, le Haut Conseil de stabilité financière avait donné un gros tour de vis sur les conditions d’octroi de ces crédits : pas plus de 25 ans, pas plus de 35% d’endettement.

Ces conditions pourraient être assouplies d’ici la prochaine réunion du Haut Conseil de stabilité financière, en juin. Avec, à l’ordre du jour, une éventuelle révision du taux d’usure qui a très nettement contraint le crédit ces derniers mois.

Immobilier: une catastrophe annoncée

Immobilier: une catastrophe annoncée

Par Raphaël Legendre et Jérémy Bouillard dans l’Opinion

Depuis un an, le secteur de l’immobilier connaît un double choc d’offre et de demande. Une bombe sociale à retardement, comme l’explique notre le Raphaël Legendre

Pourquoi le secteur du logement est-il dans la tourmente ?
Raphaël Legendre, journaliste au service économie de l’Opinion : Depuis un an, le secteur de l’immobilier connaît un double choc. Un choc d’offre tout d’abord, avec la flambée des coûts de l’énergie qu’on a connue après l’invasion russe en Ukraine.

Les pénuries de matériaux qui ont entraîné aussi une très forte hausse des coûts de la construction. Et, depuis un an, est venu s’ajouter à ce choc d’offre un choc de demande avec une hausse brutale des taux d’intérêt de la BCE : + 3 points en 12 mois, ce qui a très fortement resserré le crédit bancaire pour les logements.

Les ménages ont aujourd’hui beaucoup moins de moyens de s’endetter pour acheter leur logement. Ce qui a jeté un grand coup de froid sur le marché de l’immobilier.

Pourquoi le problème est politique en plus d’être économique ?

Le logement c’est d’abord et avant tout le quotidien des Français. C’est l’une des premières dépenses contraintes, tout comme l’alimentation. On a vu la colère monter avec la flambée de l’inflation ces derniers mois. C’est la même chose sur le logement.

C’est un sujet d’abord et avant tout politique. Véronique Bédague, présidente de Nexity, premier promoteur immobilier, très critique vis-à-vis de l’inaction du gouvernement ces derniers jours, a cité quelques chiffres qui font froid dans le dos.

Le logement c’est plus 100 000 personnes mal logées, plus 10% de personnes à la rue et plus 100 000 demandeurs de logements sociaux.

Des demandes de logements sociaux qui touchent désormais la classe moyenne. Ce qui donne un sentiment de déclassement qui est, bien évidemment, d’abord et avant tout politique.

Quelles solutions sont sur la table ?

D’abord, au sein de l’exécutif, on explique que si la construction neuve est effectivement en crise, la rénovation peut prendre le relais pour les entreprises du bâtiment.

La France détient le record européen des logements vacants et beaucoup sont à rénover, notamment du côté des passoires énergétiques. Cela donne un relais de croissance pour les entreprises de la construction.

Par ailleurs, la Caisse des dépôts est actuellement en train de préparer un plan pour supporter la construction. On parle de 15 à 20 000 logements supplémentaires qui pourraient être mis sur le marché.

Et enfin, Bruno Le Maire travaille actuellement à un assouplissement des conditions d’octroi du crédit bancaire avec le gouverneur de la Banque de France.

L’année dernière, le Haut Conseil de stabilité financière avait donné un gros tour de vis sur les conditions d’octroi de ces crédits : pas plus de 25 ans, pas plus de 35% d’endettement.

Ces conditions pourraient être assouplies d’ici la prochaine réunion du Haut Conseil de stabilité financière, en juin. Avec, à l’ordre du jour, une éventuelle révision du taux d’usure qui a très nettement contraint le crédit ces derniers mois.

Crise Logement: une catastrophe annoncée

Crise Logement: une catastrophe annoncée

Par Raphaël Legendre et Jérémy Bouillard dans l’Opinion

Depuis un an, le secteur de l’immobilier connaît un double choc d’offre et de demande. Une bombe sociale à retardement, comme l’explique notre le Raphaël Legendre

Pourquoi le secteur du logement est-il dans la tourmente ?
Raphaël Legendre, journaliste au service économie de l’Opinion : Depuis un an, le secteur de l’immobilier connaît un double choc. Un choc d’offre tout d’abord, avec la flambée des coûts de l’énergie qu’on a connue après l’invasion russe en Ukraine.

Les pénuries de matériaux qui ont entraîné aussi une très forte hausse des coûts de la construction. Et, depuis un an, est venu s’ajouter à ce choc d’offre un choc de demande avec une hausse brutale des taux d’intérêt de la BCE : + 3 points en 12 mois, ce qui a très fortement resserré le crédit bancaire pour les logements.

Les ménages ont aujourd’hui beaucoup moins de moyens de s’endetter pour acheter leur logement. Ce qui a jeté un grand coup de froid sur le marché de l’immobilier.

Pourquoi le problème est politique en plus d’être économique ?

Le logement c’est d’abord et avant tout le quotidien des Français. C’est l’une des premières dépenses contraintes, tout comme l’alimentation. On a vu la colère monter avec la flambée de l’inflation ces derniers mois. C’est la même chose sur le logement.

C’est un sujet d’abord et avant tout politique. Véronique Bédague, présidente de Nexity, premier promoteur immobilier, très critique vis-à-vis de l’inaction du gouvernement ces derniers jours, a cité quelques chiffres qui font froid dans le dos.

Le logement c’est plus 100 000 personnes mal logées, plus 10% de personnes à la rue et plus 100 000 demandeurs de logements sociaux.

Des demandes de logements sociaux qui touchent désormais la classe moyenne. Ce qui donne un sentiment de déclassement qui est, bien évidemment, d’abord et avant tout politique.

Quelles solutions sont sur la table ?

D’abord, au sein de l’exécutif, on explique que si la construction neuve est effectivement en crise, la rénovation peut prendre le relais pour les entreprises du bâtiment.

La France détient le record européen des logements vacants et beaucoup sont à rénover, notamment du côté des passoires énergétiques. Cela donne un relais de croissance pour les entreprises de la construction.

Par ailleurs, la Caisse des dépôts est actuellement en train de préparer un plan pour supporter la construction. On parle de 15 à 20 000 logements supplémentaires qui pourraient être mis sur le marché.

Et enfin, Bruno Le Maire travaille actuellement à un assouplissement des conditions d’octroi du crédit bancaire avec le gouverneur de la Banque de France.

L’année dernière, le Haut Conseil de stabilité financière avait donné un gros tour de vis sur les conditions d’octroi de ces crédits : pas plus de 25 ans, pas plus de 35% d’endettement.

Ces conditions pourraient être assouplies d’ici la prochaine réunion du Haut Conseil de stabilité financière, en juin. Avec, à l’ordre du jour, une éventuelle révision du taux d’usure qui a très nettement contraint le crédit ces derniers mois.

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