Archive pour le Tag 'casseurs'

Émeutes des quartiers: des pilleurs, des casseurs et des sauvages

Émeutes des quartiers: de pilleurs, de casseurs et des sauvages

Ce qui caractérise surtout les émeutes dans les quartiers c’est surtout l’absence d’identité politique et idéologique. Évidemment les sociologues seront nombreux pour compléter l’inventaire des facteurs explicatifs notamment pour imputer la responsabilité à la pauvreté. Certes ces quartiers ont été ghettoîsés d’une certaine manière avec l’entassement de populations assez pauvres et dune certaine manière « communautarisés ». Pour autant la pauvreté ne peut justifier les violences contre les personnes, les institutions les biens publics et privés.

Cette concentration sociologique a généré une sorte de sous-culture antirépublicaine qui en fait conteste tout : les institutions, l’autorité mais aussi les valeurs républicaines et sociétales. Une population – Heureusement minoritaire mais qui peut atteindre 10 % des résidents jeunes. Des révoltés mais surtout des casseurs, des pilleurs surtout des sauvages souvent les trois.

Des territoires qui en quelque sorte aujourd’hui hors de la république et qui repose sur des principes des mafias de drogue qui constitue la base économique mais aussi idéologique et sociétale. Bref une sorte de processus de criminalisation qui vise aussi bien les institutions que les bandes considérées comme rivales. Avec chaque jour des meurtres.

Le laisser aller de l’État voire la complicité, souvent aussi des communes, a largement contribué à la constitution de ces zones hors la loi.

Les émeutes servent aussi de prétexte, elle vise à chasser la puissance publique à commencer par les forces de l’ordre mais aussi les autres institutions pour imposer les conditions de l’économie de la drogue et du communautarisme .

Une situation qui aujourd’hui touche la quasi-totalité des villes y compris des petites. On recense aujourd’hui de l’ordre de quatre à 5000 officiels de drogue. La première action à entreprendre serait de s’attaquer à cette immense business qui pourrit les quartiers même s’il y a bien d’autres facteurs explicatifs à prendre en compte .

Émeutes: de pilleurs, de casseurs et de sauvages

Émeutes: de pilleurs, de casseurs et de sauvages

Ce qui caractérise surtout les émeutes dans les quartiers c’est surtout l’absence d’identité politique et idéologique. Évidemment les sociologues seront nombreux pour compléter l’inventaire des facteurs explicatifs notamment pour imputer la responsabilité à la pauvreté. Certes ces quartiers ont été ghettoîsés d’une certaine manière avec l’entassement de populations assez pauvres. Pour autant la pauvreté ne peut justifier les violences contre les personnes, les institutions les biens publics et privés.

Cette concentration sociologique a généré une sorte de sous-culture antirépublicaine qui en fait conteste tout : les institutions, l’autorité mais aussi les valeurs républicaines et sociétales.

Des territoires qui en quelque sorte aujourd’hui hors de la république et qui repose sur des principes des mafias de drogue qui constitue la base économique mais aussi idéologique et sociétale. Bref une sorte de processus de criminalisation qui vise aussi bien les institutions que les bandes considérées comme rivales.

Le laisser aller de l’État voire la complicité, souvent aussi des communes, a largement contribué à la constitution de ces zones hors la loi.

Les émeutes servent aussi de prétexte, elle vise à chasser la puissance publique à commencer par les forces de l’ordre mais aussi les autres institutions pour imposer les conditions de l’économie de la drogue.

Une économie qui aujourd’hui touche la quasi-totalité des villes y compris des petites. On recense aujourd’hui de l’art de quatre à 5000 officiels de drogue. La première action à entreprendre serait de s’attaquer à cette immense business qui pourrit les quartiers.

Violences: Double responsabilité des casseurs et de Darmanin

Violences: Double responsabilité des casseurs et de Darmanin


Il y a une double provocation des casseurs à l’occasion des grandes manifestations récentes. Une politique critiquée à l’intérieur du pays et à l’étranger. Le ministre de l’intérieur favorise en effet la recherche de contact avec les casseurs justement venus pour provoquer la police.

Pour le JDD, Sébastian Roché, directeur de recherche au CNRS et auteur de « La Nation inachevée – la jeunesse face à l’école et la police », fait le point sur Les erreurs du gouvernement en matière de maintien de l’ordre.

Sommes-nous actuellement face à un échec du maintien de l’ordre en France ?
Le drame est qu’on a l’impression que le ministère de l’Intérieur n’a rien appris. Ils ont eu les Gilets jaunes avec une stratégie de police qui a revigoré le mouvement et la France a été la risée du monde entier. C’est la troisième crise où la France est publiquement et unanimement mise au ban des pays civilisés. Ce n’est pas une position enviable.

Les premières manifestations contre la réforme des retraites se sont déroulées sans heurts. Était-ce une volonté du gouvernement d’afficher un maintien de l’ordre plus souple ?
Oui, Laurent Nuñez avait tenu les BRAV-M et les Bac en retrait des cortèges, il n’y avait pas d’utilisation de lanceurs de balle de défense. Les instructions semblaient viser à la tranquillité du cortège. Mais cela venait aussi de la nature des manifestations : la coordination interprofessionnelle avait elle aussi un intérêt à ce qu’il y ait le minimum d’incidents parce que la crédibilité d’une force est de ne pas faire usage de la force. La crédibilité des syndicats est de montrer la discipline et la marche vers un objectif.

Politique et Violences: Double provocation des casseurs et de Darmanin

Politique et Violences: Double provocation des casseurs et de Darmanin

Acculé , Le gouvernement se sert de la violence par ailleurs inadmissible pour déplacer l’objet du mécontentement de la population. Le sujet n’est plus la réforme des retraites mais le rétablissement de l’ordre pour le gouvernement. D’ailleurs pouvoir a clairement fait savoir qu’il n’entendait pas reprendre la négociation avec l’intersyndicale sur la reforme. Il y a une double provocation des casseurs à l’occasion des grandes manifestations récentes. Une politique critiquée à l’intérieur du pays et à l’étranger. Le ministre de l’intérieur favorise en effet la recherche de contact avec les casseurs justement venus pour provoquer la police.

Pour le JDD, Sébastian Roché, directeur de recherche au CNRS et auteur de « La Nation inachevée – la jeunesse face à l’école et la police », fait le point sur Les erreurs du gouvernement en matière de maintien de l’ordre.

Sommes-nous actuellement face à un échec du maintien de l’ordre en France ?
Le drame est qu’on a l’impression que le ministère de l’Intérieur n’a rien appris. Ils ont eu les Gilets jaunes avec une stratégie de police qui a revigoré le mouvement et la France a été la risée du monde entier. C’est la troisième crise où la France est publiquement et unanimement mise au ban des pays civilisés. Ce n’est pas une position enviable.

Les premières manifestations contre la réforme des retraites se sont déroulées sans heurts. Était-ce une volonté du gouvernement d’afficher un maintien de l’ordre plus souple ?
Oui, Laurent Nuñez avait tenu les BRAV-M et les Bac en retrait des cortèges, il n’y avait pas d’utilisation de lanceurs de balle de défense. Les instructions semblaient viser à la tranquillité du cortège. Mais cela venait aussi de la nature des manifestations : la coordination interprofessionnelle avait elle aussi un intérêt à ce qu’il y ait le minimum d’incidents parce que la crédibilité d’une force est de ne pas faire usage de la force. La crédibilité des syndicats est de montrer la discipline et la marche vers un objectif.

Société-Violences: Double provocation des casseurs et de Darmanin

Société-Violences: Double provocation des casseurs et de Darmanin

Il y a une double provocation des casseurs à l’occasion des grandes manifestations récentes. Une politique critiquée à l’intérieur du pays et à l’étranger. Le ministre de l’intérieur favorise en effet la recherche de contact avec les casseurs justement venus pour provoquer la police.

Pour le JDD, Sébastian Roché, directeur de recherche au CNRS et auteur de « La Nation inachevée – la jeunesse face à l’école et la police », fait le point sur Les erreurs du gouvernement en matière de maintien de l’ordre.

Sommes-nous actuellement face à un échec du maintien de l’ordre en France ?
Le drame est qu’on a l’impression que le ministère de l’Intérieur n’a rien appris. Ils ont eu les Gilets jaunes avec une stratégie de police qui a revigoré le mouvement et la France a été la risée du monde entier. C’est la troisième crise où la France est publiquement et unanimement mise au ban des pays civilisés. Ce n’est pas une position enviable.

Les premières manifestations contre la réforme des retraites se sont déroulées sans heurts. Était-ce une volonté du gouvernement d’afficher un maintien de l’ordre plus souple ?
Oui, Laurent Nuñez avait tenu les BRAV-M et les Bac en retrait des cortèges, il n’y avait pas d’utilisation de lanceurs de balle de défense. Les instructions semblaient viser à la tranquillité du cortège. Mais cela venait aussi de la nature des manifestations : la coordination interprofessionnelle avait elle aussi un intérêt à ce qu’il y ait le minimum d’incidents parce que la crédibilité d’une force est de ne pas faire usage de la force. La crédibilité des syndicats est de montrer la discipline et la marche vers un objectif.

Société-Violences: Double provocation des casseurs et de Darmanin

Société-Violences: Double provocation des casseurs et de Darmanin

Il y a une double provocation des casseurs à l’occasion des grandes manifestations récentes. Une politique critiquée à l’intérieur et à l’étranger. Le ministre de l’intérieur favorise en effet la recherche de contact avec les casseurs justement venus pour provoquer la police.

Pour le JDD, Sébastian Roché, directeur de recherche au CNRS et auteur de « La Nation inachevée – la jeunesse face à l’école et la police », fait le point sur Les erreurs du gouvernement en matière de maintien de l’ordre.

Sommes-nous actuellement face à un échec du maintien de l’ordre en France ?
Le drame est qu’on a l’impression que le ministère de l’Intérieur n’a rien appris. Ils ont eu les Gilets jaunes avec une stratégie de police qui a revigoré le mouvement et la France a été la risée du monde entier. C’est la troisième crise où la France est publiquement et unanimement mise au ban des pays civilisés. Ce n’est pas une position enviable.

Les premières manifestations contre la réforme des retraites se sont déroulées sans heurts. Était-ce une volonté du gouvernement d’afficher un maintien de l’ordre plus souple ?
Oui, Laurent Nuñez avait tenu les BRAV-M et les Bac en retrait des cortèges, il n’y avait pas d’utilisation de lanceurs de balle de défense. Les instructions semblaient viser à la tranquillité du cortège. Mais cela venait aussi de la nature des manifestations : la coordination interprofessionnelle avait elle aussi un intérêt à ce qu’il y ait le minimum d’incidents parce que la crédibilité d’une force est de ne pas faire usage de la force. La crédibilité des syndicats est de montrer la discipline et la marche vers un objectif.

Violences: Double provocation des casseurs et de Darmanin

Violences: Double provocation des casseurs et de Darmanin

Il y a une double provocation des casseurs à l’occasion des grandes manifestations récentes. Une politique critiquée à l’intérieur et à l’étranger. Le ministre de l’intérieur favorise la recherche de contact avec les casseurs justement venus pour provoquer la police.

Pour le JDD, Sébastian Roché, directeur de recherche au CNRS et auteur de « La Nation inachevée – la jeunesse face à l’école et la police », fait le point sur Les erreurs du gouvernement en matière de maintien de l’ordre.


Sommes-nous actuellement face à un échec du maintien de l’ordre en France ?

Le drame est qu’on a l’impression que le ministère de l’Intérieur n’a rien appris. Ils ont eu les Gilets jaunes avec une stratégie de police qui a revigoré le mouvement et la France a été la risée du monde entier. C’est la troisième crise où la France est publiquement et unanimement mise au ban des pays civilisés. Ce n’est pas une position enviable.


Les premières manifestations contre la réforme des retraites se sont déroulées sans heurts. Était-ce une volonté du gouvernement d’afficher un maintien de l’ordre plus souple ?

Oui, Laurent Nuñez avait tenu les BRAV-M et les Bac en retrait des cortèges, il n’y avait pas d’utilisation de lanceurs de balle de défense. Les instructions semblaient viser à la tranquillité du cortège. Mais cela venait aussi de la nature des manifestations : la coordination interprofessionnelle avait elle aussi un intérêt à ce qu’il y ait le minimum d’incidents parce que la crédibilité d’une force est de ne pas faire usage de la force. La crédibilité des syndicats est de montrer la discipline et la marche vers un objectif.

Police : Les pompiers au même régime que les casseurs !

Police : Les pompiers au même régime que les casseurs !

 

On peut se demander si les ministères de l’intérieur et la préfecture de police de Paris ne sont pas tombés sur la tête en infligeant le même régime de répression aux pompiers que celui des casseurs en fin de manifestation. Comme d’habitude les policiers n’ont rien trouvé de mieux que d’aller au contact (une stratégie particulièrement dangereuse et irresponsable). Une situation assez incroyable quand on sait qu’après la police, les pompier sont le dernier maillon de la protection publique et qu’ils vont même là où la police ne va plus dans les quartiers sensibles. Là où ils se font insulté et même agressés.

 

Aspergés par les canons à eau. Visés par des gaz lacrymogènes, les pompiers ont été traités comme de vulgaires casseurs. Ce qui forcément a coqué l’opinion publique.  Du côté des pompiers comme de certains policiers, les réactions étaient encore vives mercredi.

« Cette intervention policière est honteuse et elle a été faite délibérément ! », déclare André Goretti, le président de la Fédération autonome des sapeurs-pompiers professionnels (FA/SPP, premier syndicats de pompiers professionnels). « Nous étions en fin de parcours et nous informions les manifestants des suites de la rencontre au ministère de l’Intérieur [qui s'était déroulée le jour même] lorsque nous avons reçu des gaz lacrymogènes alors qu’il ne se passait rien ! », s’exclame-t-il.

Pour lui, sans l’ombre d’un doute, « l’intention de provocation venait de la police ». Il en veut pour preuve la « ligne d’arrêt empêchant les pompiers d’accéder aux bus qui devaient les ramener dans leur département. Quand les pompiers demandaient à rejoindre leur bus, on leur interdisait l’accès et on les gazait [avec des gaz lacrymogènes]« , affirme le syndicaliste à franceinfo. 

« A la suite de cette intervention policière, il y a même un pompier qui risque de perdre un œil et qui a été opéré ce matin », poursuit-il. Sollicitée par franceinfo sur ce point, la préfecture de police n’avait pas encore répondu mercredi soir. André Goretti pense que les actions policières laisseront des traces : « Ça risque de refroidir les relations entre pompiers et policiers dans les départements pendant les interventions. »

 

Manif Loi Travail : pourquoi les casseurs s’en prennent à hôpital Necker ?

Manif  Loi Travail : pourquoi les casseurs s’en prennent à hôpital Necker ?

 

 

On peut légitimement se demander si les casseurs ne sont pas devenus complètement fous en s’attaquant à l’hôpital Necker qui soigne les enfants. La preuve sans doute que pour ses manifestants très radicalisés l’objectif n’est pas de protester contre la loi travail mais uniquement la violence pour la violence. De nombreux dégâts ont été enregistrés tout au long du parcours de la manifestation. Les casseurs ont notamment dégradé une quinzaine de baies vitrées et les mobiliers de l’hôpital Necker, situé dans le XVe arrondissement.  Le message « Ne travaillez jamais » a été tagué sur une des vitres de l’établissement de santé. Selon une information de France TV Info, l’Assistance publique – Hôpitaux de Paris devrait porter plainte. « Aucun bâtiment n’a été évacué », a précisé l’établissement public de santé. L’œuvre de ces casseurs a été condamnée par la ministre de la Santé, Marisol Touraine, sur Twitter. « Attaque insupportable de casseurs contre l’hôpital Necker. Honteux. Mon soutien aux professionnels de santé mobilisés auprès des patients ».

Casseurs : faire payer les dégâts aux organisateurs des manifs (Sarkozy)

Casseurs : faire payer les dégâts aux organisateurs des manifs (Sarkozy)

 

Nicolas Sarkozy était l’invité du JT de 20 heures de TF1 ce dimanche soir. il a notamment proposé que les organisateurs de manifestations assume la responsabilité civile et financière des dégâts causés par les casseurs.  Revenant sur la contestation du projet de loi Travail, la multiplication des manifestations et les incidents ou violences qui en découlent, l’ancien chef de l’Etat a tenu à préciser qu’il était là en tant que «responsable de l’opposition». «La place de la République est occupée on se demande pourquoi », a interrogé Sarkozy, a propos du mouvement citoyen Nuit debout qui occupe la place parisienne depuis le 1er avril. Avant d’enchaîner. «Premièrement je propose le rétablissement de la peine plancher pour toute personne portant atteinte à un représentant de la République.» Puis de demander que cela soit les organisateurs déclarés des manifestations qui assument la responsabilité civile, et donc financière, des dégâts occasionnés lorsque celles-ci dégénèrent. «Il n’y pas de raison que ce soit les contribuables qui paient», insiste le président du parti Les Républicains. Troisième proposition de Nicolas Sarkozy : l’interdiction préventive des « casseurs reconnus et que l’on connaît, comme on a fait avec les hooligans.» Enfin, quatrième de ses solutions à la crise sociale : la dissolution immédiate «de tous ces groupes d’ultra gauche». Et de citer le collectif  « Silence la police assassine» (sic, le collectif luttant contre les violences policières se nomme en réalité Urgence-notre-police-assassine) comme une véritable « injure».»

 

(Le Parisien) 

Manif Gaza : « mettre les casseurs « hors d’état de nuire »(Bertrand)

Manif Gaza : «  mettre les casseurs « hors d’état de nuire »(Bertrand)

 

« Je suis prêt à soutenir le gouvernement s’il est présent et efficace ». Face aux violences enregistrées lors de deux manifestations pro-palestiniennes durant le week-end du 20 juillet à Paris et Sarcelles, Xavier Bertrand exige de la fermeté.  Le député UMP soutient Manuel Valls. « Je me reconnais dans ses propos, d’une extrême fermeté. Il a eu raison de parler d’antisémitisme ». Xavier Bertrand regrette toutefois qu’il n’y ait pas eu de réaction plus rapide face à la formation d’un rassemblement pourtant interdit. « Il ne faut pas attendre pour procéder à des interpellations, estime-t-il. Et je suis d’accord pour qu’une manifestation soit interdite quand on sait qu’elle n’aura aucun caractère pacifique ». Rappelant qu’ »il n’y a pas eu de débordements en province », Xavier Bertrand juge que le France « n’a pas à vivre au rythme de ce qui se passe ailleurs ». Et l’ancien ministre de craindre pour l’unité républicaine. « Quand on attaque une synagogue, demain ça peut être une mosquée ou une église ». S’il reconnaît que les violences ne sont le fait que d’une « minorité », l’élu de l’Aisne réclame qu’elle soit mise « hors d’état de nuire ». Xavier Bertrand espère, enfin, une intervention de François Hollande : « J’attends qu’il s’exprime, qu’il soit clair, ferme et qu’il montre que la République ne se laissera pas faire ».

 

Emeute PSG Troocadéro : 11 nouvelles interpellations de casseurs

Emeute  PSG Troocadéro : 11 nouvelles interpellations de casseurs

 

Une nouvelle série d’arrestations a eu lieu ce mardi matin, un mois après les émeutes du PSG au Trocadéro : onze hommes ont été interpellés dès 6h00 en région parisienne. Ils sont soupçonnés de s’en être pris à des riverains et aux forces de l’ordre, d’avoir pillé des magasins, d’avoir saccagé des voitures ou encore d’avoir lancé un fumigène dans un appartement, le 13 mai dernier lors de la célébration du titre de champion de France du club. Il s’agit de jeunes casseurs, tous connus de la police pour des faits de délinquance.  Le Service d’investigation transversale de la préfecture de police de Paris a remonté leur piste essentiellement grâce à l’exploitation de vidéos (caméras de la ville, de commerces, images prises par des témoins avec leurs smartphones).  Mardi 4 juin, neuf hommes, cette fois des « ultras » du PSG, avaient déjà arrêtés. Cinq supporters du PSG, se réclamant pour la majorité de la mouvance « ultra », avaient également été condamnés jeudi 13 juin à des peines de prisons fermes. Ils étaient accusés de violences aggravées lors de la célébration du titre de champion de France du club.

 




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