Archive pour le Tag 'cas'

Grippe aviaire, premier cas de contamination humaine aux États-Unis

Grippe aviaire, premier cas de contamination humaine aux États-Unis

 

Un premier cas grave de contamination humaine au virus H5N1 a été détecté aux États-Unis, ont annoncé les autorités américaines mercredi 18 décembre, au moment où les craintes d’une éventuelle pandémie de grippe aviaire augmentent. Le malade, hospitalisé en Louisiane (sud), est le 61e cas humain de grippe aviaire détecté depuis avril dans le pays, ont précisé les Centres américains de prévention et de lutte contre les maladies (CDC) dans un communiqué. Agé de plus de 65 ans et souffrant d’autres pathologies, il est dans «un état critique» et «souffre d’une sévère affection respiratoire», ont détaillé à l’AFP les autorités de santé de Louisiane. Les autres personnes infectées présentaient des symptômes légers.

Au moins trois personnes ont été infectées ces derniers mois par le virus H5N1 aux États-Unis sans qu’on ne connaisse l’origine de leur contamination.

Alors que des traces du virus ont été détectées dans le lait cru ou non pasteurisé, le ministère américain de l’Agriculture a annoncé mercredi un nouveau plan visant à renforcer la surveillance en la matière. L’incertitude plane quant à la manière dont l’administration du président élu Donald Trump abordera l’épidémie. Le ministre de la Santé choisi par Donald Trump, Robert Kennedy Jr, est notamment un partisan notoire du lait cru et un antivaccin.

Selon des chiffres cités mardi à Genève par un responsable de l’Organisation mondiale de la santé animale, Gregorio Torres, l’épidémie de grippe aviaire a entraîné la mort de plus de 300 millions d’oiseaux à travers le monde depuis octobre 2021. En trois ans, le virus H5N1 a été détecté dans 108 pays ou territoires sur les cinq continents et chez plus de 70 espèces de mammifères, domestiques ou sauvages.

 

E.U: Nouveaux cas humains de grippe aviaire

E.U: Nouveaux cas humains de grippe aviaire 

 

Quatorze cas humains de grippe aviaire ont déjà été identifiés aux États-Unis depuis mars, la plupart étant liés à des épidémies en cours dans des élevages de volailles et de bovins laitiers. Il s’agit des deux premiers cas humains en Californie. Des cas précédents ont été identifiés chez des travailleurs au Texas, au Colorado et au Michigan. Le Missouri a également identifié un cas chez un patient qui n’avait pas eu de contact avec des animaux. le et de prévention des maladies (CDC) des États-Unis . Quatorze États des États-Unis ont connu ces dernières semaines une épidémie de grippe aviaire, ce qui inquiète les autorités.

 

La grippe aviaire est due à des souches virales d’influenza de type A qui n’infectent normalement que les oiseaux sauvages et la volaille domestique. Des infections dues à certaines de ces souches ont été observées chez l’homme. La transmission interhumaine est limitée, la plupart des cas sont d’origine animale, typiquement la volaille.

Les humains peuvent être infectés par le virus de la grippe aviaire par inhalation ou par contact direct avec des sécrétions (salive, muqueuses ou fèces) des oiseaux infectés. Il est probable que les virus de la grippe aviaire de toute spécificité antigénique puissent causer une grippe chez l’homme chaque fois que le virus acquiert des mutations qui lui permettent de se fixer aux sites récepteurs spécifiques à l’homme dans ses voies respiratoires. Comme tous les virus influenza sont capables de mutations génétiques rapides, il est possible que des souches aviaires acquièrent une capacité de contamination interhumaine par mutation directe ou par réassociation avec des souches humaines lors de la réplication chez un hôte humain, un animal ou un hôte aviaire. Si ces souches acquièrent la capacité de se propager efficacement d’humain à humain, une pandémie de grippe aviaire pourrait survenir.

Trump renonce à se présenter….. en 2028 , ouf !

Trump, 78 ans,  exclut de se représenter en 2028, en cas de défaite en novembre

 

Donald Trump a exclu lors d’une interview diffusée dimanche de se présenter à la présidentielle américaine de 2028, en cas de défaite à l’élection de novembre. En clair, l’intéressé n’exclut donc pas de se représenter en cas de victoire en 2024. En 2028 il aurait alors 82 ans. Justement le principal reproche fait à Biden : la question de l’âge !

 

Notons par ailleurs que conteste toujours par avance les résultats de l’élection de novembre !

 

 

Santé- Fièvre ovine : explosion des cas

santé- Fièvre ovine : explosion des cas

 
La fièvre catarrhale ovine se manifeste par de la fièvre, des troubles respiratoires, une langue pendante ou encore la perte des petits en gestation et parfois par la mort des animaux, dans des proportions variables d’un élevage à l’autre. Or Le nombre de foyers de fièvre catarrhale ovine (FCO) a plus que quadruplé en France en huit jours, avec 190 foyers confirmés au 22 août, essentiellement des brebis et des moutons, selon le ministère de l’Agriculture. La vaccination a débuté, mais trop tardivement, aux yeux de la Fédération nationale ovine (FNO).

La France connaît une « explosion » de fièvre catarrhale ovine (FCO). En huit jours, le nombre de foyers a plus que quadruplé dans le pays, avec 190 foyers confirmés au 22 août, essentiellement des brebis et des moutons, a-t-on appris ce vendredi auprès du ministère de l’Agriculture.

« On fait face à une explosion des cas, mais toujours à proximité des premiers foyers (…) dans une zone qui s’élargit peu », a-t-on précisé de même source.

Dix départements du nord de la France sont désormais touchés : Aisne, Ardennes, Haute-Marne, Marne, Meurthe-et-Moselle, Meuse, Moselle, Nord, Oise, Pas-de-Calais. Un précédent bilan faisait état de 41 foyers le 14 août, dans six départements. La propagation de la FCO, dite aussi « maladie de la langue bleue » s’accélère également en Europe, l’Allemagne, les Pays-Bas et la Belgique étant aussi très touchés.

 

La vaccination contre cette maladie a débuté, mais trop tardivement, selon la Fédération nationale ovine (FNO). « On est bien dans une phase d’explosion. On aurait pu vacciner un mois plus tôt pour avoir l’immunité acquise au pic de l’épidémie », a déclaré à l’AFP Emmanuel Fontaine, en charge des affaires sanitaires à la FNO.

 

Risques de cas de Mpox en France

Risques de  cas de Mpox en France 

Dans une interview à la Tribune, le ministre de la santé Français attire l’attention sur le risque de cas de MTOX en France( variole du singe). Face à la propagation du nouveau variant du virus Mpox, l’OMS a rehaussé vendredi son état d’alerte au niveau maximal. 

 

 

LA TRIBUNE DIMANCHE - Des cas du nouveau variant du virus ont-ils été détectés en France?

FRÉDÉRIC VALLETOUX - Jusqu’à présent, aucun. Chaque suspicion fait l’objet d’un séquençage. Pour l’instant, cela n’a pas donné lieu à la découverte d’un patient atteint par ce nouveau variant du Mpox.

Faut-il tout de même se préparer à voir la maladie surgir aussi dans le pays?

La France n’est pas isolée. Donc oui, on s’attend, comme tous les pays européens, à des cas déclarés, notamment en raison des allées et venues avec les zones d’Afrique touchées. Je ne suis pas devin et je ne peux pas prédire combien de cas il y aura. Mais il y a de fortes chances que des cas sporadiques apparaissent, et sans doute prochainement.

L’OMS a lancé une alerte mondiale. Faut-il s’en inquiéter?

Cet appel de l’OMS a surtout un double objectif. Le premier est de mettre en garde contre un virus d’une forme nouvelle qui doit être pris au sérieux et faire l’objet d’une solidarité internationale. C’est pour cela que l’OMS fait appel à une mobilisation de financement pour des vaccins, parce que le virus concerne surtout des pays aux systèmes de santé fragiles. C’est la raison pour laquelle le président de la République a décidé de donner des vaccins aux pays les plus touchés. Le second est de mettre en alerte l’ensemble des systèmes de santé de façon que chacun soit vigilant et en capacité de réagir. On parle d’un type d’épidémie dont le mode de diffusion et de contamination n’a rien à voir avec le Covid

Qu’est-ce qui a été mis en place depuis le lancement de cette alerte?

Tous les professionnels de santé ont été alertés par le ministère et les agences régionales de santé. Nous allons également avertir toutes les personnes qui ont voyagé dans les zones touchées, au départ et à l’arrivée de chaque vol. Nous allons poursuivre la vaccination. Elle ne concerne cependant pas la totalité de la population, seulement le public le plus exposé. Les rapports sexuels sont le mode de contamination le plus courant pour le clade 1B [nouvelle souche du virus], c’est pourquoi nous allons sensibiliser en particulier les publics les plus exposés à ce risque par le biais d’associations et de réseaux adaptés.

Aucun dispositif spécial n’est donc prévu?

Depuis 2022 et la première vague épidémique de clade 2, la France a mis en place un système de surveillance, de dépistage et de traitement qui a démontré son efficacité. Cette année-là, nous avions détecté à peu près 5000 cas sur le territoire. Puis il y en a eu 52 en 2023. Et pour l’instant, nous en sommes à 107 en 2024. Le système que nous avons déployé a permis la vaccination d’environ 150 000 personnes sur les trois dernières années.

Mais les vaccins valaient pour la précédente souche. Sont-ils également efficaces avec ce nouveau variant?

Ce nouveau virus a certes une létalité plus forte en Afrique. Il est trop tôt pour avoir des certitudes sur le niveau d’efficacité des vaccins sur ce variant. Aujourd’hui, nous avons des stocks robustes qui permettent une réponse adaptée. Nous en avons plus qu’en 2022 et nous pouvons en commander rapidement si besoin.

L’alerte lancée par l’OMS rappelle évidemment la période Covid. Prévoyez-vous une campagne de sensibilisation pour éviter la panique?

On parle d’un type d’épidémie dont le mode de diffusion et de contamination n’a rien à voir avec le Covid. Il faut donc rassurer la population de ce point de vue-là: les réponses ne seront absolument pas les mêmes. Cependant, je sais qu’à chaque suspicion d’épidémie ou à chaque alerte un certain nombre de fausses informations circulent. Il faut seulement expliquer ce qu’est le Mpox et les gestes de prévention à adopter pour rassurer la population. À ce jour, nous avons un appareil de santé qui permet des prises en charge sûres et limite la propagation, comme cela a pu être le cas en 2022

Santé -Variole du singe : Urgence aussi en France après un cas en Suède

Santé :-Variole du singe  : Urgence aussi en France après un cas en Suède

Le premier ministre français déclare une vigilance urgente vis-à-vis de la variole du singe (mpox) surtout après le cas constaté en Suède. Le ministre français de la santé n’exclut pas des cas en France. 

La Suède a   déclaré ce jeudi 15 août qu’elle avait confirmé un premier cas de mpox, une infection virale qui se propage par contact étroit. Il s’agit d’une première hors d’Afrique. «Dans l’après-midi, nous avons eu la confirmation qu’il y avait un cas en Suède de la forme la plus grave de la variole, celle appelée Clade I», a déclaré Jakob Forssmed, ministre de la santé et des affaires sociales, lors d’une conférence de presse. L’Europe craint aussi une contagion plus large.

 

Mercredi, l’OMS a déclaré que la variole constituait une urgence de santé publique mondiale pour la deuxième fois en deux ans, à la suite d’une épidémie survenue en République démocratique du Congo et qui s’est propagée à d’autres pays. Cette maladie, anciennement connue sous le nom de variole du singe, a été recensée dans 16 pays africains depuis janvier 2022, date de la dernière épidémie mondiale, avec une augmentation des décès de 160% des cas en 2024.

Actuellement, la majorité des 13.000 cas recensés depuis 2024 en Afrique sont liés au clade 1. Mais les préoccupations de l’OMS portent sur une souche émergente, distincte de celles déjà connues. Elle a été identifiée sous le nom de clade 1B par des chercheurs de l’Institut national de recherche biomédicale à Kinshasa dans une publication de la revue Nature Medicine, le 13 juin 2024.

 

Variole du singe : Urgence aussi en France après un cas en Suède

Variole du singe  : Urgence aussi en France après un cas en Suède

Le premier ministre français déclare une vigilance urgente vis-à-vis de la variole du singe (mpox) surtout après le cas constaté en Suède. La Suède a en effet  déclaré ce jeudi 15 août qu’elle avait confirmé un premier cas de mpox, une infection virale qui se propage par contact étroit. Il s’agit d’une première hors d’Afrique. «Dans l’après-midi, nous avons eu la confirmation qu’il y avait un cas en Suède de la forme la plus grave de la variole, celle appelée Clade I», a déclaré Jakob Forssmed, ministre de la santé et des affaires sociales, lors d’une conférence de presse. L’Europe craint aussi une contagion plus large.

 

Mercredi, l’OMS a déclaré que la variole constituait une urgence de santé publique mondiale pour la deuxième fois en deux ans, à la suite d’une épidémie survenue en République démocratique du Congo et qui s’est propagée à d’autres pays. Cette maladie, anciennement connue sous le nom de variole du singe, a été recensée dans 16 pays africains depuis janvier 2022, date de la dernière épidémie mondiale, avec une augmentation des décès de 160% des cas en 2024.

Actuellement, la majorité des 13.000 cas recensés depuis 2024 en Afrique sont liés au clade 1. Mais les préoccupations de l’OMS portent sur une souche émergente, distincte de celles déjà connues. Elle a été identifiée sous le nom de clade 1B par des chercheurs de l’Institut national de recherche biomédicale à Kinshasa dans une publication de la revue Nature Medicine, le 13 juin 2024.

 

Variole du singe : Urgence aussi en France après un cas en Suède

Variole du singe  : Urgence aussi en France après un cas en Suède

La Suède a déclaré ce jeudi 15 août qu’elle avait confirmé un premier cas de mpox, une infection virale qui se propage par contact étroit. Il s’agit d’une première hors d’Afrique. «Dans l’après-midi, nous avons eu la confirmation qu’il y avait un cas en Suède de la forme la plus grave de la variole, celle appelée Clade I», a déclaré Jakob Forssmed, ministre de la santé et des affaires sociales, lors d’une conférence de presse.

 

Mercredi, l’OMS a déclaré que la variole constituait une urgence de santé publique mondiale pour la deuxième fois en deux ans, à la suite d’une épidémie survenue en République démocratique du Congo et qui s’est propagée à d’autres pays. Cette maladie, anciennement connue sous le nom de variole du singe, a été recensée dans 16 pays africains depuis janvier 2022, date de la dernière épidémie mondiale, avec une augmentation des décès de 160% des cas en 2024.

 

Actuellement, la majorité des 13.000 cas recensés depuis 2024 en Afrique sont liés au clade 1. Mais les préoccupations de l’OMS portent sur une souche émergente, distincte de celles déjà connues. Elle a été identifiée sous le nom de clade 1B par des chercheurs de l’Institut national de recherche biomédicale à Kinshasa dans une publication de la revue Nature Medicine, le 13 juin 2024.

 

Variole du singe : un cas en suède

Variole du singe (Mpox) : un cas en suède

La Suède a déclaré ce jeudi 15 août qu’elle avait confirmé un premier cas de mpox, une infection virale qui se propage par contact étroit. Il s’agit d’une première hors d’Afrique. «Dans l’après-midi, nous avons eu la confirmation qu’il y avait un cas en Suède de la forme la plus grave de la variole, celle appelée Clade I», a déclaré Jakob Forssmed, ministre de la santé et des affaires sociales, lors d’une conférence de presse.

 

Mercredi, l’OMS a déclaré que la variole constituait une urgence de santé publique mondiale pour la deuxième fois en deux ans, à la suite d’une épidémie survenue en République démocratique du Congo et qui s’est propagée à d’autres pays. Cette maladie, anciennement connue sous le nom de variole du singe, a été recensée dans 16 pays africains depuis janvier 2022, date de la dernière épidémie mondiale, avec une augmentation des décès de 160% des cas en 2024.

 

Actuellement, la majorité des 13.000 cas recensés depuis 2024 en Afrique sont liés au clade 1. Mais les préoccupations de l’OMS portent sur une souche émergente, distincte de celles déjà connues. Elle a été identifiée sous le nom de clade 1B par des chercheurs de l’Institut national de recherche biomédicale à Kinshasa dans une publication de la revue Nature Medicine, le 13 juin 2024.

La mpox est une maladie virale qui se propage de l’animal à l’homme mais qui se transmet aussi par contact physique étroit avec une personne infectée par le virus. Le Clade 1b fait apparaître des éruptions cutanées sur tout le corps, quand les précédentes souches étaient caractérisées par des éruptions et des lésions localisées, sur la bouche, le visage ou les parties génitales.

 

Violences en cas de victoire du RN ?

Violences en cas de victoire du RN ?

 

Invitée de France, Marine Le Pen a jugé qu’il y aurait «probablement des manifestations dans les rues», en accusant par avance «l’extrême gauche» d’en être «responsable». À l’inverse, «si pour notre plus grand malheur» ces mêmes opposants «gagnaient les législatives, il n’y aurait pas une manifestation dans les rues», a poursuivi l’ancienne chef de file des députés RN.

Marine Le Pen n’a sans doute pas tort cette fois d’annoncer l’hypothèse de réactions violentes de la part de l’extrême gauche surtout si le RN obtient la majorité absolue. L’extrême gauche rêve depuis toujours de révolution et une victoire totale du rassemblement national serait sans doute un excellent prétexte pour semer le trouble dans le pays en tout cas dans certaines grandes zones urbaines.

Dans une interview à paraître jeudi dans Valeurs actuelles, le président du RN dit «ne pas croire» à des émeutes ou des violences s’il était porté à la tête du gouvernement. «C’est l’argumentaire utilisé par nos adversaires dans une stratégie de la peur», raille l’eurodéputé. Bardella la prévoit cependant quelques manifestations, «mouvements» qui, selon lui, «resteront sporadiques et n’auront pas un grand pouvoir de nuisance».

 

Société-Des manifestations violentes en cas de victoire du RN ?

Société-

Société-Des manifestations violentes en cas de victoire du RN ?

 

Invitée de France 2 mercredi matin, Marine Le Pen a jugé qu’il y aurait «probablement des manifestations dans les rues», en accusant par avance «l’extrême gauche» d’en être «responsable». À l’inverse, «si pour notre plus grand malheur» ces mêmes opposants «gagnaient les législatives, il n’y aurait pas une manifestation dans les rues», a poursuivi l’ancienne chef de file des députés RN.

Marine Le Pen n’a sans doute pas tort cette fois d’annoncer l’hypothèse de réactions violentes de la part de l’extrême gauche surtout si le RN obtient la majorité absolue. L’extrême gauche rêve depuis toujours de révolution et une victoire totale du rassemblement national serait sans doute un excellent prétexte pour semer le trouble dans le pays en tout cas dans certaines grandes zones urbaines.

Dans une interview à paraître jeudi dans Valeurs actuelles, le président du RN dit «ne pas croire» à des émeutes ou des violences s’il était porté à la tête du gouvernement. «C’est l’argumentaire utilisé par nos adversaires dans une stratégie de la peur», raille l’eurodéputé. Bardella la prévoit cependant quelques manifestations, «mouvements» qui, selon lui, «resteront sporadiques et n’auront pas un grand pouvoir de nuisance».

 

Des manifestations violentes en cas de victoire du RN

Des manifestations violentes en cas de victoire du RN

 

Invitée de France 2 mercredi matin, Marine Le Pen a jugé qu’il y aurait «probablement des manifestations dans les rues», en accusant par avance «l’extrême gauche» d’en être «responsable». À l’inverse, «si pour notre plus grand malheur» ces mêmes opposants «gagnaient les législatives, il n’y aurait pas une manifestation dans les rues», a poursuivi l’ancienne chef de file des députés RN.

Marine Le Pen n’a sans doute pas tort cette fois d’annoncer l’hypothèse de réactions violentes de la part de l’extrême gauche surtout si le RN obtient la majorité absolue. L’extrême gauche rêve depuis toujours de révolution et une victoire totale du rassemblement national serait sans doute un excellent prétexte pour semer le trouble dans le pays en tout cas dans certaines grandes zones urbaines.

Dans une interview à paraître jeudi dans Valeurs actuelles, le président du RN dit «ne pas croire» à des émeutes ou des violences s’il était porté à la tête du gouvernement. «C’est l’argumentaire utilisé par nos adversaires dans une stratégie de la peur», raille l’eurodéputé. Bardella la prévoit cependant quelques manifestations, «mouvements» qui, selon lui, «resteront sporadiques et n’auront pas un grand pouvoir de nuisance».

 

Législatives : Au cas par cas au second tour pour le pouvoir

Législatives : Au cas par cas au second tour pour le pouvoir

 

Finalement le pouvoir en place a décidé de ne pas donner de consignes générales pour le second tour. C’est au cas par cas que seront prises les décisions soit de maintenir un candidat soit de se désister pour un autre.

A l’inverse côté écologiste Marine Tondelier, la secrétaire nationale des Écologistes, rappelle que les Verts, comme les socialistes, se retireront au second tour dans les circonscriptions où des « candidats républicains » seront mieux placés face au RN. « J’avoue ne pas comprendre votre incapacité à tenir des propos aussi clairs », déplore-t-elle.

 

Santé- Moustiques: les cas de dengue en hausse

Santé- Moustiques: les cas de dengue  en hausse

Depuis le 1er mai, 98 cas importés de dengue ont été identifiés en France métropolitaine, a annoncé Santé publique France (SpF). Dans le détail, 35 ont été identifiés en Auvergne-Rhône-Alpes, 19 en Provence-Alpes-Côte d’Azur, 11 en Nouvelle-Aquitaine, 10 en Bourgogne-Franche-Comté ou encore sept en Île-de-France.

 Concernant la provenance de ces cas, 46 revenaient de Martinique, 28 de Guadeloupe six de l’Île Maurice ou encore quatre du Brésil.
SpF a également indiqué que 2.166 cas de dengue avaient été importés du 1er janvier au 30 avril, « dont 82% contractées en Martinique ou en Guadeloupe et 5% en Guyane, départements où sévit une épidémie importante ». « Lors des 5 dernières années, le nombre moyen de cas importés de dengue signalés par déclaration obligatoire était de 128 entre le 1er janvier et le 30 avril », a ajouté l’agence sanitaire.

Fin de vie :  » L’impératif du cas par cas « 

Fin de vie : « L’impératif du cas par cas  »

Le médecin Nicolas Foureur, directeur du Centre d’éthique clinique de l’AP-HP, souligne, dans une tribune au « Monde », l’importance de tenir compte de la spécificité gériatrique dans la mise en place de l’aide active à mourir.

 

Dans le champ de la fin de vie en France, toute l’attention est actuellement portée à la création et aux modalités d’une loi concernant une aide active à mourir. Il s’agit d’une décision cruciale, mais elle ne suffit pas à rendre compte de la complexité des différents parcours de soins. La spécificité de la fin de vie des personnes vieilles invite à questionner leur accompagnement, en insistant sur l’utilité d’une réflexion au cas par cas et pluridisciplinaire.

Dans la vieillesse, en effet, il est extrêmement difficile de savoir dans quel délai le pronostic vital est engagé. Bien accompagnées, les personnes peuvent vivre plusieurs années sans qu’il y ait d’épisode aigu inquiétant. Une chute, une infection pulmonaire, une déshydratation ? Rien que la médecine ne sache résoudre facilement. Ce temps long rompt avec les limites habituelles entre la « fin de la vie », à embellir autant que possible, et la « fin de vie », à reconnaître pour mieux l’accompagner. D’autant plus que le ralentissement cognitif des personnes peut faire douter de leur parole, rendant l’évaluation de leur souffrance périlleuse.

 Dans les pays où l’aide active à mourir est autorisée, la loi ne tient pas compte de cette spécificité gériatrique. Pour avoir droit à cette aide, il faut présenter un problème médical mettant en jeu le pronostic vital et/ou une souffrance insupportable. Même dans les pays où les personnes vieilles peuvent y accéder – soit au motif d’une pathologie grave et incurable (en Belgique), soit en ayant rédigé des directives anticipées pour le jour où elles ne seraient plus capables de faire des choix pour elles-mêmes (aux Pays-Bas) –, aucune législation ne permet à des personnes d’être aidées activement à mourir au seul motif qu’elles sont « fatiguées de vivre ». Par ailleurs, aucune loi ne peut assurer à un individu que sa demande, même légale, sera pleinement respectée.

Ni les lois ni les recommandations de bonnes pratiques n’épuisent donc la nécessité de réfléchir au cas par cas. Cet impératif est d’autant plus grand que les attentes des patients ne sont pas toujours faciles à prendre en compte.

Prenons le cas de Jacques, 95 ans. Troubles de la vision et de la marche, troubles cognitifs débutants, son état l’empêche de vivre comme il le désire. Il rejette l’idée de finir sa vie dépendant en Ehpad, où il a dû aller. Il décide de mettre en œuvre un désir profond, et plusieurs fois déclaré à son entourage, de partir en

12345...47



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol