Archive pour le Tag 'cartouches'

Imprimantes : enfin la révolution pour les cartouches d’encre ?

Imprimantes : enfin la révolution pour les cartouches d’encre ?

Pas sûr que la révolution soit vraiment en marche car le très juteux commerce de vente de cartouches d’encre pourrait être remplacé par autre chose. On sait que la pratique des fabricants d’imprimantes consiste à vendre à bas prix leur produit pour ensuite matraquer l’utilisateur lors des achats de cartouches. Or ce businesse est concurrencé par des cartouches nettement moins chères et compatibles. Du coup Epson  propose désormais une gamme d’imprimantes à jet d’encre de bureau, dotées de réservoirs d’encre (d’où leur nom d’Eco-Tank) équivalents selon les modèles, à 20 voire 50 jeux de cartouches (noir et blanc et couleur).  De plus, il offre la possibilité de recharger ces réservoirs, conçus comme des appendices latéraux accolés à l’imprimante, avec des bidons d’encre qui seront vendus à un prix abordable, avoisinant le prix d’un jeu de cartouches.  Epson prétend qu’il sera possible de tenir jusqu’à 2 ans avec son modèle haut de gamme capable d’imprimer 11.000 pages en noir et blanc et 8.500 pages en couleur, sans le recharger en encre. En revanche, l’imprimante coûtera plus cher. Le modèle le plus abordable sera vendu 380 dollars, soit trois à quatre fois les prix pratiqués aujourd’hui pour les modèles bureautiques à jet d’encre. Epson a conçu une imprimante dotée d’un réservoir sur le côté qui accueille les encres de quatre couleurs. -  Epson rompt ainsi avec un modèle économique propre aux fabricants d’imprimantes à jet d’encre et que tous ont adoptés, HP en tête. Ce juteux business consiste à vendre à bas prix un matériel informatique qui générera ensuite des revenus récurrents par la vente de cartouches d’encre à des tarifs permettant au final au fabricant de générer de fortes marges.  Ce modèle très efficace sur le plan financier a été copié par les fabricants de machines à café avec dosettes et, dans une moindre mesure, par les fabricants de consoles de jeu. Sur le marché des l’imprimante, cette approche très « fermée » pour le consommateur, a induit la création d’un marché de cartouches compatibles, moins onéreuses que les originales. En retour, les fabricants ont rendu leurs imprimantes plus difficiles à copier au niveau des cartouches. Ils ont suscité une frustration croissante des consommateurs, empêchés de faire la jouer la concurrence pour réduire leur budget lié à l’achat de consommables. Le grand concurrent d’Epson, sur les imprimantes à jet d’encre a, pour sa part, une réponse bien à lui, au problème des cartouches à changer.  HP a opté, voici quelques semaines, pour un service inédit de livraison à domicile de cartouches d’encre, sur abonnement. En optant pour cette formule, HP renforce en fait le lien commercial entre le consommateur et son fournisseur. Ce marché des cartouches d’encre était particulièrement scandaleux et il n’est pas certain que les nouvelles offres des fabricants soient de nature à séduire les utilisateurs très remontés sur cette question.

Il faut taxer les cartouches d’encre (F. Pellerin) !!!

Il faut taxer les cartouches d’encre (F. Pellerin) !!!

 

L’ingénierie fiscale française est sans limite. L’énarque Fleur Pellerin, ministre de la culture, veut taxer les cartouches d’encre pour sauver les livres. Une proposition qui s’ajoute à celle qui veut aussi taxer internet, les tablettes et autres portables. On pourrait auusi sophistiquer le projet et imposer sur chaque clic sur internet en imposant un compteur sur la souris. De quoi rembourser les 2000 milliards de dette (30 000 euros par Français) !  La ministre de la Culture envisage la création d’une taxe sur les consommables d’impression, comme les cartouches d’encre et les toners, pour financer le Centre National du Livre (CNL). Cet établissement public a pour rôle de soutenir l’ensemble des acteurs du marché du livre: les auteurs, en premier lieu, mais aussi les éditeurs, les librairies, les bibliothécaires ou les organisateurs de manifestations littéraires. Ce nouveau projet, repéré par le site NextInpact, a été présenté par la ministre jeudi lors d’une audition par la commission des affaires culturelle.  Créé en 1946, le CNL est financé grâce à des taxes fiscales, notamment sur la vente de matériel de reproduction et d’impression, comme les imprimantes ou les photocopieurs. Face à une question d’une députée, Fleur Pellerin a expliqué que le marché du matériel d’impression était en «baisse constante». «Le ministère étudie la possibilité dans les prochaines années de modifier la taxe affectée qui pourrait inclure les consommables de ce type de matériel», a ajouté la ministre. La taxe en question, mise en place en 1976 dans le cadre de la loi de finances, est actuellement perçue au taux de 3,25%. Ce dernier pourrait être diminué si le projet se confirme, d’après Fleur Pellerin. L’idée de la ministre de la Culture n’est pas neuve. Elle avait déjà été suggérée dans le cadre du rapport «Création et Internet» présenté par Patrick Zelnik, ancien président de la filiale distribution du groupe Virgin, en 2010. «Il est recommandé d’élargir l’assiette de cette taxe, seule mesure à même de donner au CNL les moyens de sa politique de numérisation», peut-on y lire. «L’élargissement de cette assiette aux consommables des appareils de reprographie (cartouches jets d’encre et laser toner) permettrait à lui seul une augmentation des moyens du CNL de 10 à 15 millions d’euros par an, même si le taux de cette taxe était ramené à 1,25%». Comme le rappelle le site Numerama, la taxe de financement numérique du CNL avait déjà été étendue en 2006 pour y inclure les imprimantes, entraînant une augmentation des recettes de 10 millions d’euros.

 

Cigarettes-Tabac : plus de limitation du nombre de cartouches achetées à l’étranger

Cigarettes-Tabac : plus de  limitation du nombre de cartouches achetées  à l’étranger

 

C’est une décision qui risque de coûter cher aux finances de l’Etat. Alors qu’il est actuellement interdit de ramener en France plus de cinq cartouches de cigarettes d’un autre pays de l’Union européenne, l’interdiction pourrait bientôt être levée, selon les informations d’Europe 1.  Le ministre du Budget Jérôme Cahuzac en a en effet convenu, jeudi, devant des douaniers. Une décision obligatoire si la France veut éviter une condamnation de la Cour Européenne de Justice, mais qui risque de coûter cher aux finances de l’Etat. Une cigarette sur cinq fumée en France provient en effet actuellement de l’étranger (50% d’Espagne, 30% du Benelux). Or, ce marché en dehors des bureaux de tabac fait perdre à l’Etat deux milliards et demi d’euros de recettes fiscales par an. Si le nombre de cigarettes provenant de l’étranger augmentait dans les prochains mois (30%), cela pourrait faire perdre encore un milliard d’euros de recettes fiscales.

 

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