Archive pour le Tag '(Carole'

Présidentielle 2027 : Carole Delga candidate

Présidentielle 2027 : Carole Delga candidate

Carole Delga, , ne fait plus mystère de son envie d’être candidate à l’élection présidentielle de 2027. La présidente (PS) du conseil régional d’Occitanie n’élude plus les questions à ce sujet. Invitée de La Tribune ce samedi aux Rencontres économiques d’Aix-en-Provence, elle a confirmé qu’elle est« engagée pour [le] pays, pour un projet national qui soit de gauche ».

« Je ne me résous pas à la montée de l’extrême-droite, à une présentation sur le thème « On a tout essayé, pourquoi pas essayer la famille Le Pen ? » et je ne me résous pas non plus à cette société de l’affrontement, de la France à deux vitesses », a-t-elle ajouté.

« Donc oui, je prendrai ma part », a enchaîné Carole Delga.

« La gauche a beaucoup de talent et beaucoup d’envie », a poursuivi la patronne de la région Occitanie, lâchant que sa famille politique – le Parti socialiste notamment – « n’avait pas suffisamment travaillé » la dernière présidentielle. La candidate Anne Hidalgo avait en effet récolté moins de 2% des suffrages en avril 2022…

Un temps révolu, selon elle. « Nous sommes de nombreux socialistes, hommes et femmes de gauche, qui travaillons avec ambition et pragmatisme, sans aucun dogmatisme et en pensant profondément que c’est en réconciliant les gens et en conciliant les enjeux écologiques et sociaux que nous pouvons faire gagner la France ».

« Et donc gagner les élections », a conclu Carole Delga.

Occitanie : LFI pas compatible avec la socialiste Carole Delga

Occitanie : LFI  pas compatible avec la socialiste Carole Delga

. La présidente PS sortante d’Occitanie, Carole Delga, refuse toute alliance avec La France Insoumise. Arrivée nettement en tête dans sa région au premier tour (39,57%), elle a donc refusé d’ouvrir, comme convenu, les négociations avec la liste LFI, qui a terminé en sixième position (5,06%). «Je l’ai dit avant le premier tour : mon projet n’est pas compatible avec les propos de Jean-Luc Mélenchon», a-t-elle affirmé au Monde lundi 21 juin. «Elle a toujours dit qu’elle rassemblerait les forces de gauche républicaines. Cela n’inclut donc pas La France Insoumise», confirme son entourage.

Comme son homologue d’Occitanie, Alain Rousset, le président socialiste sortant de Nouvelle Aquitaine, arrivé lui aussi en tête (28,84%), n’a pas ouvert de discussion avec la tête de liste LFI, Clémence Guetté (5,67%). «Ils ont passé leur campagne à dire qu’Alain Rousset était macroniste», souffle son entourage. Il faut dire que les deux sortants disposent d’une avance confortable pour se priver d’alliance de second tour, en outre aujourd’hui l’affichage d’une alliance avec les insoumis notamment constitue plutôt un handicap qu’un soutien.

Carole Ghosn : « ils ont tous lâché Carlos » (Carole Ghosn)

Carole Ghosn : « ils ont tous   lâché Carlos » (Carole Ghosn)

 

 

L’épouse de Carlos Ghosn résume assez bien l’affaire dans une interview au JDD entre parenthèse extrait)

 

« : Il s’agit d’un coup monté par Nissan et tout le monde en France a laissé tomber Carlos Ghosn Je me suis sentie en danger. J’ai attendu de savoir si Carlos allait rester en prison ou s’il pouvait sortir vite. Quand j’ai compris et que les avocats m’ont dit que je ne pourrais plus communiquer avec lui pendant des jours, j’ai pris ma décision. Jeudi soir, j’ai dormi chez des voisins, sur un sofa. La police japonaise m’avait pris mon passeport libanais mais il me restait mon passeport américain. Vendredi soir, l’ambassadeur de France m’a accompagnée à l’aéroport, il ne m’a pas lâchée jusque dans l’avion. J’ai cru revivre la scène du film Argo, jusqu’à la dernière seconde je ne savais pas si on me laisserait décoller. C’était irréel.

Comment a réagi Carlos Ghosn?
Il est resté fier, la tête haute, digne et calme. Mais je voyais de la peine dans ses yeux. Il s’inquiétait pour moi plus que pour lui. Il est d’une force incroyable. Au moment de partir, il a voulu emporter un livre, ils ont dit non ; il a essayé de prendre du chocolat, ils ont dit non. Moi j’étais indignée, je demandais pourquoi. Ils répondaient : « This is Japan, this is our law [nous sommes au Japon, c’est la loi]. » Il m’a embrassée, il m’a dit « je t’aime » et ils l’ont emmené. Moi, j’étais paniquée, j’arrivais à peine à respirer.

Vous sentez-vous soutenue par la France?
Non. Je ne veux pas que mon mari soit au-dessus des lois mais qu’il soit jugé de façon équitable. Je sais qu’il est innocent. Je demande solennellement qu’on lui laisse la présomption d’innocence comme à tout citoyen français et j’en appelle au président de la République. Dans les médias, Carlos est déjà coupable. On oublie ce qu’il a fait pour Renault et Nissan ; il a redressé ces entreprises, sauvé des emplois, contribué à la grandeur de la France. Tout ça, on l’oublie. On ne parle plus que de son salaire, on le décrit comme un homme assoiffé d’argent. Au Liban, où je suis née, on admire les hommes d’exception. Carlos est parti de rien, sa famille n’était pas riche. Je suis choquée par les réactions en France. Tout le monde l’a laissé tomber, par lâcheté, y compris les patrons. Ça me dégoûte. »

 

 

Un centralisme à contre courant (Carole Delga, Présidente de la Région Occitanie)

Un centralisme à contre courant (Carole Delga, Présidente de la Région Occitanie)

 

Dans une tribune parue dans le JDD, Carole Delga, Présidente de la Région Occitanie, Carole Delga  s’inquiète d’une recentralisation qui va à l’encontre de l’histoire.

 

 

« L’État, c’est moi. » Cette formule attribuée à Louis XIV est-elle en passe de redevenir d’actualité à l’heure où le président Macron entame un acte de recentralisation qui ne dit pas son nom? Une recentralisation à contre-courant de l’histoire, de la mondialisation et de la proximité demandée par nos concitoyens. Le gouvernement vient de revenir sur la décision prise en 2016 de permettre aux Régions d’assumer la compétence économique des départements en leur octroyant 450 millions d’euros pour compenser ce transfert. Et de quelle façon! Gérald Darmanin a ainsi déclaré : « Les Régions voulaient le fromage, le dessert, le plat et l’entrée et peut-être aussi le digestif. »  Autre manifestation de cette volonté de limiter la liberté des collectivités : l’article 10 du nouveau projet de loi de programmation des finances publiques voté la semaine dernière à l’Assemblée institue un encadrement de leurs dépenses. C’en est fini des collectivités qui « s’administrent librement pour l’exercice de leurs compétences », selon l’article 72 de la Constitution. Un inquiétant et inadmissible retour en arrière. Six mois ne se sont pas écoulés depuis l’instauration du gouvernement Philippe et déjà le pacte girondin est remplacé par l’autorité jacobine froide et brutale. La signature de l’État n’a plus que la valeur de l’encre. Les assemblées élues sont court-circuitées par Bercy. Les élus locaux, jugés « trop nombreux » et « dispendieux », reçoivent la leçon de Paris qui sait tout et voit tout. Face à cette recentralisation, je propose une « République des territoires » basée sur la confiance et le respect. Régions, départements, intercommunalités, communes ont démontré, depuis les premières lois de décentralisation voici trente-cinq ans, leur capacité à s’entendre, à bâtir, à investir pour nos concitoyens. Oui, l’État, c’est nous! Et nous tous!

 

 




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol