Archive pour le Tag 'carburant'

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Sondage Prix Carburant : les Français veulent une diminution de la fiscalité

Sondage Prix Carburant : les Français veulent une diminution de la fiscalité

Selon une enquête « L’Opinion en direct » menée par l’institut Elabe pour BFMTV, 63% des Français estiment nécessaire le retour de la ristourne sur l’essence pour le pouvoir d’achat, même si cela a des conséquences importantes sur les dépenses publiques Rappelons que la fiscalité tourne autour de 60 % du prix et représente environ 40 milliards au moins de recettes pour l’État.

Cette mesure est largement soutenue par les Français qui utilisent quotidiennement la voiture (69%), par les employés et les ouvriers (71%), par les 18-24 ans (72%) et les 25-34 ans (70%), ainsi que par les habitants des communes rurales (70%) et des villes de moins de 20.000 habitants (71%).

Par ailleurs, le retour de la ristourne est aussi soutenu par l’ensemble des principaux électorats, y compris par une majorité d’électeurs d’Emmanuel Macron (53%).

Le président LR de la région Hauts-de-France, Xavier Bertrand, a récemment demandé au gouvernement de mettre en œuvre une nouvelle ristourne de 15 à 20 centimes sur le prix du litre d’essence pour tous les automobilistes, contrairement à l’indemnité carburant de 100 euros disponible entre janvier et mars pour les foyers modestes (mesure à nouveau annoncée par Macron dimanche 25 septembre). Bruno Le Maire a néanmoins écarté la proposition de l’ex-candidat à l’élection présidentielle, estimant qu’elle ne serait « pas responsable » compte tenu du coût qu’elle représenterait pour les finances publiques. Notons cependant que l’État bénéficie largement via la fiscalité proportionnelle de la hausse des prix du carburant. En clair, plus le prix du carburant augmente et plus les recettes fiscales progressent.( Taux de fiscalité autour de 60 %)

Prix Carburant : un chèque charité

Prix Carburant : un chèque charité


Adieu la vente à perte. À la place Macron promet un petit chèque charité de 100 € par voiture et par an aux plus modestes soit environ 8 euros pr an. Une mesure qui de toute façon ne coûtera pas trop cher puisque 40 % des ayants droits ne réclament même pas.

Le projet de loi du ministre de l’économie et de la première ministre concernant l’éventualité d’une vente à perte et donc que enterré. Il sera remplacé par un petit chèque de 100 € pour la moitié de la population.

Et à la place de la vente à perte on va impulser la vente à prix coûtant. Un slogan aussi vide que le précédent car peu de personnes sont en capacité de calculer le coût réel du carburant.

Ce qui évidemment exclut ceux qui ne sont pas salariés, les retraités par exemple auxquelles sans doute va conseiller le déplacement en vélo !

Macron promet faussement et naïvement qu’il va aller chez les raffineurs pour rechercher leurs marges. On se demande bien par quel dispositif législatif puisque rien n’est prévu. On se contente simplement de menacer…. un jour.

Du coup la seule promesse est celle de Total qui déclare maintenir le prix du litre à 1,99 pour un moment.

Concernant les hausses dans l’alimentaire, Macron se contente de reprendre les propos du ministre de l’économie en indiquant qu’une réunion aura lieu entre les industriels du secteur et les distributeurs. Et Macron d’affirmer qu’il veillera personnellement à une baisse des prix.

On peut donc imaginer que le chef de l’État et son épouse se rendront dans les supermarchés pour faire un relevé régulier des étiquettes !

Et pour finir ce cri du cœur ou du porte-monnaie : » personne ne doit profiter de la crise ». Même pas à Versailles ?

Prix Carburant : les Français veulent une diminution de la fiscalité

Prix Carburant : les Français veulent une diminution de la fiscalité

Selon une enquête « L’Opinion en direct » menée par l’institut Elabe pour BFMTV, 63% des Français estiment nécessaire le retour de la ristourne sur l’essence pour le pouvoir d’achat, même si cela a des conséquences importantes sur les dépenses publiques.

Cette mesure est largement soutenue par les Français qui utilisent quotidiennement la voiture (69%), par les employés et les ouvriers (71%), par les 18-24 ans (72%) et les 25-34 ans (70%), ainsi que par les habitants des communes rurales (70%) et des villes de moins de 20.000 habitants (71%).

Par ailleurs, le retour de la ristourne est aussi soutenu par l’ensemble des principaux électorats, y compris par une majorité d’électeurs d’Emmanuel Macron (53%).

Le président LR de la région Hauts-de-France, Xavier Bertrand, a récemment demandé au gouvernement de mettre en œuvre une nouvelle ristourne de 15 à 20 centimes sur le prix du litre d’essence pour tous les automobilistes, contrairement à l’indemnité carburant de 100 euros disponible entre janvier et mars pour les foyers modestes (mesure à nouveau annoncée par Macron dimanche 25 septembre). Bruno Le Maire a néanmoins écarté la proposition de l’ex-candidat à l’élection présidentielle, estimant qu’elle ne serait « pas responsable » compte tenu du coût qu’elle représenterait pour les finances publiques. Notons cependant que l’État bénéficie largement via la fiscalité proportionnelle de la hausse des prix du carburant. En clair, plus le prix du carburant augmente et plus les recettes fiscales progressent.( Taux de fiscalité autour de 60 %)

Carburant : Encore un chèque charité

Carburant : Encore un chèque charité


Adieu la vente à perte. À la place macron promet un petit chèque charité de 100 € par voiture et par an aux plus modestes.

Le projet de loi du ministre de l’économie et de la première ministre concernant l’éventualité d’une vente à perte et donc que enterré. Il sera remplacé par un petit chèque de 100 € pour la moitié de la population.

Et à la place de la vente à perte on va impulser la vente à prix coûtant. Un slogan aussi vide que le précédent car peu de personnes sont en capacité de calculer le coût réel du carburant.

Ce qui évidemment exclut ceux qui ne sont pas salariés, les retraités par exemple auxquelles sans doute va conseiller le déplacement en vélo !

Macron promet faussement et naïvement qu’il va aller chez les raffineurs pour rechercher leurs marges. On se demande bien par quel dispositif législatif puisque rien n’est prévu. On se contente simplement de menacer…. un jour.

Du coup la seule promesse est celle de Total qui déclare maintenir le prix du litre à 1,99 pour un moment.

Concernant les hausses dans l’alimentaire, Macron se contente de reprendre les propos du ministre de l’économie en indiquant qu’une réunion aura lieu entre les industriels du secteur et les distributeurs. Et Macron d’affirmer qu’il veillera personnellement à une baisse des prix.

On peut donc imaginer que le chef de l’État et son épouse se rendront dans les supermarchés pour faire un relevé régulier des étiquettes !

Et pour finir ce cri du cœur ou du porte-monnaie : » personne ne doit profiter de la crise ». Même pas à Versailles ?

Prix Carburant: pour le retour de la fiscalité flottante ( évolutive)

Prix Carburant: pour le retour de la fiscalité flottante

C’est dans l’hypocrisie la plus totale que le ministre de l’économie estime qu’une modification de la fiscalité s’oppose totalement à toute modification des taxes sur le carburant. Une réduction par exemple de 0,20 € sur le litre d’essence coûterait 2 milliards à l’État.

En vérité une réduction de taxe ne coûte pas à l’État car tout dépend du prix du carburant dans les taxes sont proportionnelles . Autant dire que plus le carburant est cher et plus l’État empoche.

Il serait donc plus juste fiscalement et budgétairement de faire évoluer la fiscalité en fonction du prix grâce à un mécanisme de taxe flottante (qui a existé dans le passé) : l’État toucherait la même chose et les consommateurs ne seraient pas affectés d’un poids fiscal supplémentaire.
C’est précisément ce que réclame le député , le député macroniste Richard Ramos ( ancien gilet jaune) qui veut réformer la taxe sur le carburant.
Une thèse également défendue il y a quelques jours par le président des Hauts-de-France, Xavier Bertrand, qui estime que le gouvernement se constitue «un pactole (…) sur le dos des Français». Et que conteste vigoureusement le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire.

Vente à perte du carburant : du marketing gouvernemental pour masquer la croissance de la fiscalité

Vente à perte du carburant : du marketing pour masquer la croissance de la fiscalité

Le concept de vente à perte relève davantage du marketing politique que des réalités économiques.
D’abord, il est très difficile de mesurer si un produit est vendu ou non à perte, tout dépend de son coût d’une part et de la péréquation qu’effectue le commerçant entre les produits. Ainsi depuis toujours la vente du carburant constitue une sorte d’appel au consommateur qui achète aussi d’autres produits plus lucratifs dans le même magasin.

Globalement , il est vrai que le bénéfice au litre des distributeurs est relativement faible mais iles distributeurs se rattrapent sur d’autres achats ( sauf pour les indépendants). Dans ce cas le concept de vente à perte est un argument publicitaire.

Concrètement, cette idée de vente à perte n’aura que peu d’effets sur le prix du litre de carburant. Quelques centimes seulement. Contrairement à ce qu’a avancé le porte-parole très bavard du gouvernement Olivier Véran qui a parlé d’une réduction de 0,50 €. Un chiffre totalement aberrant en l’état du prix du baril de pétrole qui remonte vers les 100 $. Mais Olivier Véran est coutumier du bavardage approximatif.

La hausse du prix du carburant est une extraordinaire opportunité pour le gouvernement d’augmenter encore les recettes fiscales du carburant (autour de 60 % du prix). Il n’est donc pas question pour le gouvernement et le ministre de l’économie en particulier d’y renoncer.

Vente à perte du carburant : du pipeau pour masquer la croissance de la fiscalité

Vente à perte du carburant : du pipeau pour masquer la croissance de la fiscalité

Le concept de vente à perte relève davantage du marketing politique que des réalités économiques.
D’abord, il est très difficile de mesurer si un produit est vendu ou non à perte, tout dépend de son coût d’une part et de la péréquation qu’effectue le commerçant entre les produits. Ainsi depuis toujours la vente du carburant constitue une sorte d’appel au consommateur qui achète aussi d’autres produits plus lucratifs dans le même magasin.

Globalement , il est vrai que le bénéfice au litre des distributeurs est relativement faible mais iles distributeurs se rattrapent sur d’autres achats ( sauf pour les indépendants). Dans ce cas le concept de vente à perte est un argument publicitaire.

Concrètement, cette idée de vente à perte n’aura que peu d’effets sur le prix du litre de carburant. Quelques centimes seulement. Contrairement à ce qu’a avancé le porte-parole très bavard du gouvernement Olivier Véran qui a parlé d’une réduction de 0,50 €. Un chiffre totalement aberrant en l’état du prix du baril de pétrole qui remonte vers les 100 $. Mais Olivier Véran est coutumier du bavardage approximatif.

La hausse du prix du carburant est une extraordinaire opportunité pour le gouvernement d’augmenter encore les recettes fiscales du carburant (autour de 60 % du prix). Il n’est donc pas question pour le gouvernement et le ministre de l’économie en particulier d’y renoncer.

Prix du carburant : Bruno Lemaire ment !

Prix du carburant : Bruno Lemaire ment !

Hausse des prix des carburants : «il n’y a aucun pactole» pour l’État, a affirmé le ministre de l’économie à destination notamment Xavier Bertrand. Un mensonge grossier bien sûr quand on sait que les taxes représentent de l’ordre de 60 % du prix et que plus le prix de l’essence et du carburant général augmente et que plus les recettes fiscales progressent grâce en particulier à la TVA proportionnelle au prix. Pire, il y a même une TVA qui s’applique sur la taxe sur les produits intérieurs (TICPE). Une taxe anti constitutionnelle que n’a même pas relevé le conseil d’État où le conseil ad hoc. La vérité c’est que dans la hausse des prix du carburant tout le monde se gave. D’abord il y a les producteurs ensuite les pétroliers qui n’ont jamais dégagé autant de marges enfin l’État avec la fiscalité.

La question a provoqué une controverse ce jeudi, opposant Bercy au président de la région des Hauts-de-France. Après avoir exigé début septembre une ristourne de 10 à 20 centimes sur les prix à la pompe, qui tutoient deux euros le litre, Xavier Bertrand est revenu à la charge, jeudi matin. Invité de Cnews, l’ancien ministre a accusé l’État de «s’enrichir sur le dos des Français». Et de s’adresser directement au ministre de l’Économie et des Finances, Bruno Le Maire : «Vous récoltez un pactole en ce moment !».Mais le ministre de l’économie parle-lui du passé et du coût aides accordées surtout en 2022.

Carburant et Vente à perte : du pipeau pour masquer la croissance de la fiscalité

carburant et Vente à perte : du pipeau pour masquer la croissance de la fiscalité

Le concept de vente à perte relève davantage du marketing politique que des réalités économiques.
D’abord, il est très difficile de mesurer si un produit est vendu ou non à perte, tout dépend de son coût d’une part et de la péréquation qu’effectue le commerçant entre les produits.
Ainsi depuis toujours la vente du carburant constitue une sorte d’appel au consommateur qui achète aussi d’autres produits plus lucratifs dans le même magasin.

Globalement il est vrai que le bénéfice au litre des distributeurs et relativement faible mais ils se rattrapent sur d’autres achats ( sauf pour les indépendants). Dans ce cas le concept de vente à perte est un argument publicitaire.

Concrètement, cette idée de vente à perte n’aura que peu d’effets sur le prix du litre de carburant. Quelques centimes seulement. Contrairement à ce qu’a avancé le porte-parole très bavard du gouvernement Olivier Véran qui a parlé d’une réduction de 0,50 €. Un chiffre totalement aberrant en l’état du prix du baril de pétrole qui remonte vers les 100 $. Mais Olivier Véran est coutumier du bavardage approximatif.

La hausse du prix du carburant est une extraordinaire opportunité pour le gouvernement d’augmenter encore les recettes fiscales du carburant (autour de 60 % du prix). Il n’est donc pas question pour le gouvernement et le ministre de l’économie en particulier d’y renoncer.

Prix du carburant : Bruno Lemaire ment !

Prix du carburant : Bruno Lemaire ment !

Hausse des prix des carburants : «il n’y a aucun pactole» pour l’État, a affirmé le ministre de l’économie à destination notamment Xavier Bertrand. Un mensonge grossier bien sûr quand on sait que les taxes représentent de l’ordre de 60 % du prix et que plus le prix de l’essence et du carburant général augmente et que plus les recettes fiscales progressent grâce en particulier à la TVA proportionnelle au prix.Pire, il y a même une TVA qui s’applique sur la taxe sur les produits intérieurs (TICPE). Une taxe anti constitutionnelle que n’a même pas relevé le conseil d’État où le conseil ad hoc. La vérité c’est que dans la hausse des prix du carburant tout le monde se gave. D’abord il y a les producteurs ensuite les pétroliers qui n’ont jamais dégagé autant de marges enfin l’État avec la fiscalité.

La question a provoqué une controverse ce jeudi, opposant Bercy au président de la région des Hauts-de-France. Après avoir exigé début septembre une ristourne de 10 à 20 centimes sur les prix à la pompe, qui tutoient deux euros le litre, Xavier Bertrand est revenu à la charge, jeudi matin. Invité de Cnews, l’ancien ministre a accusé l’État de «s’enrichir sur le dos des Français». Et de s’adresser directement au ministre de l’Économie et des Finances, Bruno Le Maire : «Vous récoltez un pactole en ce moment !».Mais le ministre de l’économie parle-lui du passé et du coût aides accordées surtout en 2022.

Prix du carburant : Le gouvernement se gave aussi

Prix du carburant : Le gouvernement se gave aussi

Le gouvernement appelle les pétroliers à un geste de solidarité pour faire baisser le prix du pétrole mais se garde bien de s’appliquer cette sollicitation à lui-même. En effet, plus le prix du carburant monte et plus les recettes fiscales en également. Le carburant est en effet affecté d’une taxe d’environ 60 % qui augmentent d’autant plus avec les prix en hausse du fait de la TVA.

En pleine remontée des cours du pétrole, soutenue par des coupes volontaires de production en Arabie saoudite et en Russie, le ministre de l’Économie Bruno Le Maire a demandé jeudi au principal distributeur, TotalEnergies, de prolonger au-delà du 31 décembre 2023 son plafonnement de tous les carburants à 1,99 euros du litre.

Bruno Le Maire s’est opposé par ailleurs à l’idée d’une ristourne fiscale, jugée «pas responsable» budgétairement. «Qu’est-ce qui fait monter la facture des Français ? Ce sont les énergies fossiles. Ce qui dérègle le climat ? Ce sont les énergies fossiles. Donc il y a un besoin urgent de sortir des énergies fossiles», a ensuite déclaré Agnès Pannier-Runacher.

Prix du carburant : Le gouvernement se gave aussi

Prix du carburant : Le gouvernement se gave aussi

Le gouvernement appelle les pétroliers à un geste de solidarité pour faire baisser le prix du pétrole mais se garde bien de s’appliquer cette sollicitation à lui-même. En effet, plus le prix du carburant monte et plus les recettes fiscales en également. Le carburant est en effet affecté d’une taxe d’environ 60 % qui augmentent d’autant plus avec les prix en hausse du fait de la TVA.

En pleine remontée des cours du pétrole, soutenue par des coupes volontaires de production en Arabie saoudite et en Russie, le ministre de l’Économie Bruno Le Maire a demandé jeudi au principal distributeur, TotalEnergies, de prolonger au-delà du 31 décembre 2023 son plafonnement de tous les carburants à 1,99 euros du litre.

Bruno Le Maire s’est opposé par ailleurs à l’idée d’une ristourne fiscale, jugée «pas responsable» budgétairement. «Qu’est-ce qui fait monter la facture des Français ? Ce sont les énergies fossiles. Ce qui dérègle le climat ? Ce sont les énergies fossiles. Donc il y a un besoin urgent de sortir des énergies fossiles», a ensuite déclaré Agnès Pannier-Runacher.

Prix et carburant: La consommation diminue

Prix et carburant: La consommation diminue


L’Union française des industries pétrolières, l’Ufip Mobilités et énergies, indique que la consommation de carburants a diminué de 1,7% depuis début 2023 par rapport à la même période l’année dernière. Une variation similaire (-1,6%) avait déjà été observée entre 2019, dernière année pré-Covid, et 2022. Si l’on compare les sept premiers mois de l’année 2023 avec la même période en 2019, la baisse de la demande de carburants routiers flirte même avec les 4%.

« Depuis plusieurs années, on observe une stagnation voire une légère baisse de la demande de carburants, de l’ordre 1 % par an en France », explique aux Echos Olivier Gantois, le président du syndicat professionnel.

Certains attribueraient cette baisse à une modification de la mobilité et à un moindre recours à l’automobile. En fait, cela pourrait provenir plus simplement de moteurs nettement moins gourmands que les précédents et aux limitations de vitesse

Notons aussi que les véhicules électriques ne constituent encore que 1,5% des voitures en circulation.

Conséquences de l’inflation, la consommation de carburant diminue

Conséquences de l’inflation, la consommation de carburant diminue


L’Union française des industries pétrolières, l’Ufip Mobilités et énergies, indique que la consommation de carburants a diminué de 1,7% depuis début 2023 par rapport à la même période l’année dernière. Une variation similaire (-1,6%) avait déjà été observée entre 2019, dernière année pré-Covid, et 2022. Si l’on compare les sept premiers mois de l’année 2023 avec la même période en 2019, la baisse de la demande de carburants routiers flirte même avec les 4%.

« Depuis plusieurs années, on observe une stagnation voire une légère baisse de la demande de carburants, de l’ordre 1 % par an en France », explique aux Echos Olivier Gantois, le président du syndicat professionnel.

Certains attribueraient cette baisse à une modification de la mobilité et à un moindre recours à l’automobile. En fait, cela pourrait provenir plus simplement de moteurs nettement moins gourmands que les précédents et aux limitations de vitesse

Notons aussi que les véhicules électriques ne constituent encore que 1,5% des voitures en circulation.

Inflation-Prix Carburant : Le gouvernement se gave aussi

Inflation-Prix Carburant : Le gouvernement se gave aussi

Le gouvernement appelle les pétroliers à un geste de solidarité pour faire baisser le prix du pétrole mais se garde bien de s’appliquer cette sollicitation à lui-même. En effet, plus le prix du carburant monte et plus les recettes fiscales en également. Le carburant est en effet affecté d’une taxe d’environ 60 % qui augmentent d’autant plus avec les prix en hausse du fait de la TVA.

En pleine remontée des cours du pétrole, soutenue par des coupes volontaires de production en Arabie saoudite et en Russie, le ministre de l’Économie Bruno Le Maire a demandé jeudi au principal distributeur, TotalEnergies, de prolonger au-delà du 31 décembre 2023 son plafonnement de tous les carburants à 1,99 euros du litre.

Bruno Le Maire s’est opposé par ailleurs à l’idée d’une ristourne fiscale, jugée «pas responsable» budgétairement. «Qu’est-ce qui fait monter la facture des Français ? Ce sont les énergies fossiles. Ce qui dérègle le climat ? Ce sont les énergies fossiles. Donc il y a un besoin urgent de sortir des énergies fossiles», a ensuite déclaré Agnès Pannier-Runacher.

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