Archive pour le Tag 'capitulation'

Ukraine et plan de paix américain : une capitulation et une menace pour l’Europe

Ukraine et plan de paix américain : une capitulation et une menace pour l’Europe

 

Macron  a mis en garde en garde contre une paix qui reviendrait à une «capitulation» de l’Ukraine et s’est demandé si son homologue russe Vladimir Poutine était «sincèrement» prêt à un cessez-le-feu «durable» dans une interview au Financial Times parue vendredi.

«Une paix qui soit une capitulation, c’est une mauvaise nouvelle pour tout le monde», a-t-il lancé à l’attention du président américain Donald Trump. «La seule question à ce stade, c’est “est-ce que de manière sincère, durable, soutenable, le président Poutine est prêt à cessez-le-feu sur cette base-là”», a-t-il relevé, ajoutant que l’Europe aurait un «rôle à jouer» dans les discussions sur la sécurité régionale.

Emmanuel Macron a également souligné que «seule» l’Ukraine pouvait «négocier avec la Russie» ce qui relève de sa souveraineté et de son intégrité territoriale.

Le problème c’est que Macron ne pèse plus grand-chose en Europe et que la présidente de l’union européenne, Von der Layen  se fait particulièrement discrète sans parler des dissensions entre certains membres de l’Europe.

Or on sait que Poutine n’a jamais tenu ces engagements et que sa stratégie de conquête territoriale va continuer en grignotant petit à petit le territoire européen soit par des conflits ouverts, soit par une ingérence pour favoriser l’arrivée au pouvoir de régimes autoritaires.

C’est la défense de l’Europe qui est en jeu avec la capitulation probable en Ukraine. Il ne faut guère s’attendre en effet un accord de paix durable. Seulement un cessez-le-feu provisoire et une poursuite des agressions russes bien au-delà de l’Ukraine.

Face à cela, l’Europe est divisée sur le plan de la défense. Et la puissance militaire n’est nullement adaptée à l’enjeu.

Ukraine et plan de paix américain : une capitulation pour Macron

Ukraine et plan de paix américain : une capitulation pour Macron

 

Le président Français a mis en garde en garde contre une paix qui reviendrait à une «capitulation» de l’Ukraine et s’est demandé si son homologue russe Vladimir Poutine était «sincèrement» prêt à un cessez-le-feu «durable» dans une interview au Financial Times parue vendredi.

«Une paix qui soit une capitulation, c’est une mauvaise nouvelle pour tout le monde», a-t-il lancé à l’attention du président américain Donald Trump. «La seule question à ce stade, c’est “est-ce que de manière sincère, durable, soutenable, le président Poutine est prêt à cessez-le-feu sur cette base-là”», a-t-il relevé, ajoutant que l’Europe aurait un «rôle à jouer» dans les discussions sur la sécurité régionale.

Emmanuel Macron a également souligné que «seule» l’Ukraine pouvait «négocier avec la Russie» ce qui relève de sa souveraineté et de son intégrité territoriale.

Le problème c’est que Macron ne pèse plus grand-chose en Europe et que la présidente de l’union européenne, Von der Layen  se fait particulièrement discrète sans parler des dissensions entre certains membres de l’Europe.

Politique-Ukraine : la Russie recule pour éviter la capitulation

Politique-Ukraine : la Russie recule pour éviter la capitulation

Le chef des armées russe vient curieusement de reconnaître les difficultés auxquelles l’armée russe est confrontée et qui nécessite un recul pour éviter une défaite honteuse. Pourtant ce nouveau chef des armées n’est pas un tendre mais sans doute a-t-il pris conscience des réalités du terrain et n’est-il pas prêt à faire sacrifier l’armée sur l’autel de la démence de Poutine.

On prépare aussi en même temps l’opinion russe à la défaite en l’habillant de prétexte humanitaire pour rapatrier des Russes d’Ukraine.

Le nouveau commandant de l’armée russe en Ukraine, Sergueï Sourovikine, a donc reconnu, mardi 18 octobre, que ses troupes faisaient face à une situation «tendue» et auraient à effectuer des choix difficiles.

Le nouveau commandant de l’armée russe ménage aussi son propre avenir en décrivant un tableau assez sombre de la situation héritage de son prédécesseur et sous-entendu de Poutine aussi.
Ces déclarations de Sergueï Sourovikine à l’antenne de la chaîne de télévision publique Rossiya 24 interviennent alors que le gouverneur nommé par les Russes dans la région de Kherson, dans le sud de l’Ukraine, a annoncé une évacuation de civils face à la menace d’un assaut ukrainien.

« La situation dans le secteur de l’opération militaire spéciale peut être qualifiée de tendue », a dit Sergueï Sourovikine, général de l’armée de l’air nommé ce mois-ci à la tête des forces russes engagées en Ukraine, où elles subissent depuis début septembre une contre-offensive ukrainienne.

Recul russe. « L’ennemi tente continuellement d’attaquer les positions des troupes russes », a-t-il poursuivi. « Cela concerne avant tout les secteurs de Koupiansk, Lyman et Mykolaïv-Kryvyi Rih », a précisé Sergueï Sourovikine. Koupiansk et Lyman se trouvent dans l’est de l’Ukraine, et la zone de Mykolaïv et Kryvyi Rih recouvre essentiellement le nord de la région de Kherson. L’armée russe a reculé de 20 à 30 km ces dernières semaines dans le secteur de Kherson et elle risque d’être acculée sur la rive droite, ou occidentale, du fleuve Dniepr.

Sergueï Sourovikine a également paru reconnaître que les forces ukrainiennes risquaient désormais d’avancer vers la ville de Kherson, située près de l’embouchure du Dniepr sur la rive droite. Kherson est en outre difficile à ravitailler pour l’armée russe, car le principal pont menant à la rive gauche du Dniepr a été fortement endommagé par un bombardement ukrainien.
« Nos plans et nos actions à venir concernant la ville de Kherson elle-même dépendront de la situation militaro-tactique à venir. Je répète, c’est déjà très difficile aujourd’hui », a dit Sergueï Sourovikine. « Nous allons agir en conscience, de manière opportune, sans exclure des décisions difficiles », a-t-il conclu.

Ukraine : la Russie recule pour éviter la capitulation

Ukraine : la Russie recule pour éviter la capitulation

Le chef des armées russe vient curieusement de reconnaître les difficultés auxquelles l’armée russe est confrontée et qui nécessite un recul pour éviter une défaite honteuse. Pourtant ce nouveau chef des armées n’est pas un tendre mais sans doute a-t-il pris conscience des réalités du terrain et n’est-il pas prêt à faire sacrifier l’armée sur l’autel de la démence de Poutine.

On prépare aussi en même temps l’opinion russe à la défaite en l’habillant de prétexte humanitaire pour rapatrier des Russes d’Ukraine.

Le nouveau commandant de l’armée russe en Ukraine, Sergueï Sourovikine, a donc reconnu, mardi 18 octobre, que ses troupes faisaient face à une situation «tendue» et auraient à effectuer des choix difficiles.

Le nouveau commandant de l’armée russe ménage aussi son propre avenir en décrivant un tableau assez sombre de la situation héritage de son prédécesseur et sous-entendu de Poutine aussi.
Ces déclarations de Sergueï Sourovikine à l’antenne de la chaîne de télévision publique Rossiya 24 interviennent alors que le gouverneur nommé par les Russes dans la région de Kherson, dans le sud de l’Ukraine, a annoncé une évacuation de civils face à la menace d’un assaut ukrainien.

« La situation dans le secteur de l’opération militaire spéciale peut être qualifiée de tendue », a dit Sergueï Sourovikine, général de l’armée de l’air nommé ce mois-ci à la tête des forces russes engagées en Ukraine, où elles subissent depuis début septembre une contre-offensive ukrainienne.

Recul russe. « L’ennemi tente continuellement d’attaquer les positions des troupes russes », a-t-il poursuivi. « Cela concerne avant tout les secteurs de Koupiansk, Lyman et Mykolaïv-Kryvyi Rih », a précisé Sergueï Sourovikine. Koupiansk et Lyman se trouvent dans l’est de l’Ukraine, et la zone de Mykolaïv et Kryvyi Rih recouvre essentiellement le nord de la région de Kherson. L’armée russe a reculé de 20 à 30 km ces dernières semaines dans le secteur de Kherson et elle risque d’être acculée sur la rive droite, ou occidentale, du fleuve Dniepr.

Sergueï Sourovikine a également paru reconnaître que les forces ukrainiennes risquaient désormais d’avancer vers la ville de Kherson, située près de l’embouchure du Dniepr sur la rive droite. Kherson est en outre difficile à ravitailler pour l’armée russe, car le principal pont menant à la rive gauche du Dniepr a été fortement endommagé par un bombardement ukrainien.
« Nos plans et nos actions à venir concernant la ville de Kherson elle-même dépendront de la situation militaro-tactique à venir. Je répète, c’est déjà très difficile aujourd’hui », a dit Sergueï Sourovikine. « Nous allons agir en conscience, de manière opportune, sans exclure des décisions difficiles », a-t-il conclu.




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