Archive pour le Tag 'cap'

« Cap sur l’éolien » ou l’escroquerie énergétique

« Cap sur l’éolien » ou l’escroquerie énergétique !

«Et maintenant, cap sur l’éolien …» – une tribune de Vincent Balès qui ne fait pas dans la dentelle comme tout le lobby éolien; un papier en forme d’hymne corporatiste; contresens économique ,technologique , énergétique et qui force EDF a racheté de l’électricité dont elle n’a pas besoin. Dans l’Opinion qui confond tribune et pub. Par Vincent Balès, directeur Europe de Skyborn Renewables.

Tribune

Le projet de loi portant sur l’accélération de la production d’énergies renouvelables vient d’être adopté par le Parlement. Il n’y a plus une minute à perdre pour le mettre en œuvre !

Cette loi marque une étape indispensable pour faire face à une triple crise – climatique, socio-économique et géopolitique – qui ne fait que commencer. En pleine accélération de l’urgence climatique, la France a été obligée de relancer récemment une centrale à charbon en Moselle pour éviter le black-out énergétique. Avec un prix du MWh qui avoisine les 200 euros en moyenne, la situation des commerçants mais aussi des entreprises et des collectivités est de plus en plus difficile.

Si la France avait tenu ses engagements en matière d’énergies renouvelables, l’impact de la crise aurait été limité. Mais nous avons pris un retard considérable par rapport à nos voisins européens, en grande partie à cause de procédures trop complexes et d’un manque de moyens humains pour instruire les dossiers. Il faut aujourd’hui plus de huit ans pour développer un projet éolien en mer, soit deux fois plus de temps que la moyenne européenne.

Consensus. Le texte, voté grâce à un consensus transpartisan historique, va permettre d’accélérer les projets et de donner de la visibilité aux acteurs. En outre, les mesures de simplification comme la reconnaissance de la raison impérative d’intérêt public majeur pour les projets d’énergies renouvelables ou encore la possibilité pour le juge de régulariser une autorisation irrégulière vont également permettre d’accélérer les projets.

Tout est donc en place pour favoriser le développement de l’éolien en mer : une énergie verte, locale et compétitive qui possède tous les atouts pour être un pilier de la stratégie énergétique du pays doté de la deuxième façade maritime européenne. Tout est donc en place pour favoriser le développement de l’éolien en mer : une énergie verte, locale et compétitive qui possède tous les atouts pour être un pilier de la stratégie énergétique du pays doté de la deuxième façade maritime européenne. L’éolien en mer permet non seulement de produire de l’électricité en grande quantité grâce à des vents forts et réguliers, mais il permet aussi la redynamisation industrielle de nos territoires. En effet, à date, un tiers des usines de production de turbines se trouvent en France. La filière, qui embauche plus de 6 000 personnes actuellement, devrait générer jusqu’à 20 000 emplois d’ici 2035.

Méthode. A la forte dynamique collective, le projet de loi ajoute un cap et une méthode. Il faut maintenant transformer l’essai sans perdre une seconde et en retenant les leçons de nos erreurs passées.

Macron: Pas de changement de cap

Macron: Pas de changement de  cap

C’est lavis de l’opposition qui acte quelque pas avec toutefois le risque d’une “smicardisation” de la société il y aura un effet d’aubaine dans certaines entreprise).  La France insoumise note que  président épargne “les grandes fortunes et les profits». On note aussi que Macron n’est pas revenu sur la désindexation des retraites dont l’augmentation reste  limitée à 0.3% quand l’inflation aura atteint au moins 2% en 2019.

Le chef de file de La France insoumise a repris le thème du “président des riches”, leitmotiv des “Gilets jaunes”, en affirmant que “toutes les mesures qu’il a annoncées seront payées par les contribuables et les assurés sociaux, aucune par les grandes fortunes et les profits.” “On attend une vraie redistribution des richesses”, a abondé sur BFM TV le fondateur du mouvement Génération.s, Benoît Hamon. L’ancien candidat à la présidentielle a déploré la non-remise en cause de l’impôt sur la fortune (ISF), l’absence de contribution des “grandes entreprises polluantes” ou encore “des banques et des actionnaires». Le Premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, est lui aussi allé sur ce terrain. “Le cap n’est pas modifié”, a-t-il déploré sur France 2, estimant que le gouvernement aurait pu toucher aux “20 milliards” correspondant au “doublement en 2019 du CICE”, le crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi en passe d’être transformé en baisse de charges pérenne. Nicolas Dupont-Aignan a décrit sur Périspcope “un grand numéro de théâtre” présidentiel. “J’allais dire de mauvais théâtre. De fausse empathie, fausses mesures, une hypocrisie incroyable”, a insisté le député de l’Essonne. “Il va continuer la même politique avec un petit paquet cadeau et un petit ruban en couleur. La même politique, cela veut dire la même spoliation des Français qui travaillent”. Pour le président de Debout la France, les Français doivent retourner aux urnes. “Il faut absolument maintenant que le peuple arbitre par le suffrage universel.” Bruno Retailleau, président du groupe LR au Sénat, a reconnu que le président avait fait des “constats justes” mais déploré qu’il ne s’attaque pas à la baisse de la dépense publique. “Il ne peut pas y avoir de baisses d’impôts s’il n’y a pas de baisse des dépenses publiques”, a-t-il dit sur France 2. “À concentrer les aides sur le smic, on va smicardiser la société française”, a-t-il aussi déploré. “Ceux qui vont être au-dessus vont avoir toujours la double peine : la CSG et la non indexation”.

Cap 2022 : propose 30 milliards d’euros d’économies dans le public

Cap 2022 : propose 30 milliards d’euros d’économies dans le public

 

 

Un rapport uen peu explosif qui d’ailleurs ne sera diffusé qu’au compte goute par le gouvernement qui ne veut sans doute pas que se constitue un front d’opposition chez les fonctionnaires.  Le Comité Action publique 2022, chargé par l’exécutif d’identifier des pistes de réformes et d’économies dans la sphère publique, propose 22 mesures, dont la suppression des taux réduits de TVA, pour réaliser une trentaine de milliards d’économies à moyen terme, selon Le Figaro. Les services du Premier ministre ont fait savoir la semaine dernière que celui-ci ferait d’ici au mois d’octobre des annonces sur la réforme de l’Etat au fur et à mesure d’ateliers thématiques. Contrairement à ce que le gouvernement avait envisagé dans un premier temps, le rapport de ces 44 experts du privé et du public, mandatés en octobre dernier par Matignon, sera rendu public, mais seulement après la “phase de décisions”. Le rapport propose “un nouveau contrat social entre l’administration et ses collaborateurs” et un “assouplissement du statut” de fonctionnaire. Jugeant nécessaire de “mettre un terme à toutes les interventions publiques dont l’efficacité n’est pas démontrée”, les auteurs prônent la suppression des taux réduits de TVA, dans le bâtiment et la restauration notamment, des aides à l’innovation, des aides à la transition énergétique. Le gain attendu serait de cinq milliards d’euros. Pour la restauration le rapport indique « La réduction de la TVA a essentiellement profité aux propriétaires de restaurants. Plus précisément, nous montrons que, 30 mois après la baisse de TVA, les prix ont seulement diminué de 1,9%, tandis que le coût des salaires et des fournitures a seulement augmenté de 4,1% et de 5%, respectivement, et que les bénéfices des propriétaires ont augmenté d’environ 24%. »Les experts proposent aussi  une refonte du système de soins, dont ils attendent plus de cinq milliards d’euros d’économies, la mise en concurrence des services d’aide au retour à l’emploi et le recentrage de Pôle emploi sur l’indemnisation, le contrôle et l’accompagnement des chômeurs les moins autonomes (environ 350 millions d’euros d’économies). Afin d’économiser “un milliard d’euros d’ici 2022”, le rapport propose une simplification “drastique” du recouvrement des impôts. L’Etat, selon les auteurs, doit renoncer à l’ensemble des compétences qu’il a décentralisées (aménagements, formation…) pour un gain d’environ un milliard d’euros. Le document propose par ailleurs d’assouplir le statut des fonctionnaires, afin de faciliter les évolutions entre les trois fonctions publiques (État, territoriale et hospitalière). Enfin, les auteurs du rapport proposent de simplifier les organismes chargés de recouvrer les impôts (un milliard d’euros d’économies) et de réformer Pôle emploi.

Loi Travail: où est le cap ? (Berger)

Loi Travail: où est le cap ? (Berger)

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Laurent Berger le patron de la CFDT s’interroge à juste titre sur le projet social que sous-tend la loi. Il lui reproche un manque de vision et de cap. De toute évidence le responsable de la CFDT a durci un peu ses positions du fait de certains remous internes il est donc probable qu’il risque de prendre un peu de temps avant de se prononcer définitivement sur les modifications annoncées aujourd’hui lundi par le gouvernement « Il faut fixer un cap, ce que nos gouvernants ont du mal à faire, et fixer les façons d’y arriver. C’est ce qui manque, je crois, sur la loi Travail, il aurait suffi de dire on veut davantage de négociations collectives et on veut créer de nouveaux droits, notamment pour les jeunes, à travers le Compte personnel d’activité ».  »Si on enlève les mesures néfastes dans ce projet, très bien. Si ce n’est pas le cas, on ira au clash ». « Le moment est grave parce que la situation actuelle n’est pas satisfaisante: c’est 5 millions de chômeurs, ce sont deux millions de précaires, un marché du travail qui a du mal à faire la place aux plus jeunes ou aux seniors ou au moins qualifiés. C’est pour cela qu’il faut éviter deux impasses: l’impasse du statu quo (…) et l’impasse de déréglementation libérale »

Duflot : « Hollande incapable de changer de cap »

Duflot : «  Hollande incapable de changer de cap »

 

Duflot se lâche et met es pieds dans le plat «  Hollande est incapable de changer de cap ». Il y aura encore les mots, les synthèses vasouillardes mais pas grand-chose à attendre en matière d’actes. Dans un entretien à Libération vendredi, l’ancienne ministre du Logement, Cécile Duflot, déplore l’incapacité de François Hollande à changer de cap. « Depuis des mois, je réclamais un changement de cap. J’ai cru que la défaite obligerait l’exécutif à bouger », déclare-t-elle. Mais, selon l’ancienne ministre, « la seule réponse apportée a été un casting et l’affirmation, par le nouveau Premier ministre, de la continuité ». « J’ai dû en tirer les conséquences », poursuit-elle, car pour elle, « avoir un ministère de l’Ecologie sans ce changement de cap, c’est avoir un couteau sans lame ». « Etre ministre, ce n’est pas un titre, c’est avoir les moyens de changer les choses. Le choix était entre une social-orthodoxie et la social-écologie », précise Cécile Duflot. « Il faut passer aux actes ». Interrogée sur la capacité de François Hollande et Manuel Valls de réaliser la transition écologique, l’ex-ministre du Logement estime que « le temps n’est plus aux déclarations d’intention. Il faut passer aux actes ». Pour elle, il ne faut pas « tenter une énième synthèse au trébuchet entre le productivisme de Bercy et l’écologie ». « Choisir la social-écologie, cela veut dire ne pas seulement préserver un modèle obsolète, mais préparer un avenir intense en emplois, où l’on produit et consomme différemment », explique-t-elle. « Pour cela, il faut que l’objectif soit partagé, piloté par une équipe cohérente qui lui donne de la crédibilité » reconnaît Mme Duflot, ajoutant que sa décision de quitter son poste a été « douloureuse » mais « nécessaire ».

 

Italie : changement de cap sur l’austérité

Italie : changement de cap sur l’austérité

 

Le message qu’a voulu faire passer Enrico Letta, le fraîchement nommé président du Conseil italien, est clair. Les politiques de relance de la croissance ne peuvent plus attendre dans la péninsule qui « se meurt » à cause des politiques d’austérité, selon lui. « L’Italie se meurt par la faute de la seule austérité. Les politiques en faveur de la relance ne peuvent plus attendre« , a-t-il déclaré, lundi 29 avril, dans un discours très attendu devant la Chambre des députés. « Au niveau des institutions européennes, nous individualiserons les stratégies pour arriver à la croissance sans compromettre l’assainissement des finances publiques« , a-t-il poursuivi. Avant de se vouloir rassurant: « la réduction de la pression fiscale sans endettement sera un objectif permanent de ce gouvernement dans tous les domaines« , a-t-il dit.  Puis il a adressé un message à l’adresse de l’Europe qui, selon lui, « est en crise de légitimité et au moment où les citoyens en ont le plus besoin elle doit redevenir un moteur de croissance durable« . Afin de démontrer que son gouvernement est « européen et « européiste«  », c’est-à-dire partisan du fédéralisme européen, Enrico Letta a déclaré que ses premiers déplacements seraient à « Bruxelles, Berlin et Paris« . Puis il a assuré  que l’Italie « respecterait les engagements » pris envers l’UE, mais qu’elle espère grâce à ce respect « avoir une marge de manoeuvre » supérieure dans ses négociations avec la Commission européenne pour pouvoir financer des politiques de relance économique.  Il a ensuite annoncé la suspension du paiement de la quote-part, prévue en juin pour le très impopulaire impôt foncier sur la résidence principale, instauré par le gouvernement de son précésseur Mario Monti. Le nouveau dirigeant a également promis « une réforme complète » du système des impôts. Autre annonce forte, même si elle relève du symbole: la suppression des salaires des ministres, qui sont également députés. Enfin, le président du Conseil s’est donné 18 mois pour réussir. Dans le cas contraire, ce dernier « en tirera les conséquences« . « La seule issue possible est le succès« , a-t-il conclu.

 




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