Archive pour le Tag 'candidate'

Premier Ministre: Ségolène Royal toujours candidate…… à tout

Premier Ministre: Ségolène Royal toujours candidate…… à tout

L’ancienne ministre de l’Environnement a plaidé auprès de Macron pour un premier ministre «de gauche» ,«expérimenté , rassembleur,» et surtout pour elle.

Il n’est pas certain que celle qui est candidate à tout possède les qualités nécessaires pour rassembler et trouver des synthèses dans une Assemblée nationale particulièrement divisée. Sans parler de la compatibilité de son humeur avec celle de Macron.

Pas sûr non plus que Ségolène Royal possède les qualités de gestion financière requises après les ardoises qu’elle a laissées à la région Poitou-Charentes alors qu’elle en était la présidente.

 

 

NFG et Lucie Castets : Candidate première ministre mais pas pour une élection locale

NFG et Lucie Castets : Candidate première ministre mais pas pour une élection locale

 

Lucie Castets sortie du chapeau de l’ENA par la gauche comme candidate première ministre veut bien assumer cette responsabilité centrale mais finalement refuse de se présenter à une élection locale. Pourtant l’hypothèse avait été envisagée mais l’arriviste énarque aurait voulu une élection dans un fauteuil.

On objectera que la plupart de ces ancien élève de l’ENA parvienne souvent aux fonctions nationales eux-mêmes sans avoir étaient élus au plan local encore moins sans avoir été militants. D’où sans doute cette méfiance des partis politiques largement responsables par leur sociologie de la crise démocratique

«Je considère que les conditions de ma candidature n’ont pas été réunies» a déclaré la candidate du Nouveau Front populaire pour Matignon.

La candidate du Nouveau Front populaire pour Matignon, Lucie Castets, ne se présentera finalement pas à l’élection législative partielle dans l’Isère, où «les conditions n’ont pas été réunies» pour qu’elle puisse «continuer à agir comme trait d’union de la gauche», a-t-elle indiqué vendredi à l’AFP.

«Je n’y vais pas. Je considère que les conditions de ma candidature n’ont pas été réunies pour cette partielle», a-t-elle déclaré, estimant néanmoins que «la personne importe peu et (qu’il) faut tout faire pour que la gauche gagne de nouveau cette circonscription» à cheval sur Grenoble et une partie de sa banlieue nord, où La France insoumise envisageait seule de la soutenir.
On fera aussi observer que Macon lui-même n’avait pas exercé la moindre responsabilité locale où le moindre mandat avant de parvenir à la magistrature suprême. Résultat : un pays de plus en plus divisés est en pleine crise économique, financière et politique

Lucie Castets :Candidate première ministre mais pas pour une élection locale

Lucie Castets :Candidate première ministre mais pas pour une élection locale

 

Lucie Castets sortie du chapeau de l’ENA par la gauche comme candidate première ministre veut bien assumer cette responsabilité centrale mais finalement refuse de se présenter à une élection locale. Pourtant l’hypothèse avait été envisagée mais l’arriviste énarque aurait voulu une élection dans un fauteuil.

On objectera que la plupart de ces ancien élève de l’ENA parvienne souvent aux fonctions nationales eux-mêmes sans avoir étaient élus au plan local encore moins sans avoir été militants. D’où sans doute cette méfiance des partis politiques largement responsables par leur sociologie de la crise démocratique

«Je considère que les conditions de ma candidature n’ont pas été réunies» a déclaré la candidate du Nouveau Front populaire pour Matignon.

La candidate du Nouveau Front populaire pour Matignon, Lucie Castets, ne se présentera finalement pas à l’élection législative partielle dans l’Isère, où «les conditions n’ont pas été réunies» pour qu’elle puisse «continuer à agir comme trait d’union de la gauche», a-t-elle indiqué vendredi à l’AFP.

«Je n’y vais pas. Je considère que les conditions de ma candidature n’ont pas été réunies pour cette partielle», a-t-elle déclaré, estimant néanmoins que «la personne importe peu et (qu’il) faut tout faire pour que la gauche gagne de nouveau cette circonscription» à cheval sur Grenoble et une partie de sa banlieue nord, où La France insoumise envisageait seule de la soutenir.
On fera aussi observer que Macon lui-même n’avait pas exercé la moindre responsabilité locale où le moindre mandat avant de parvenir à la magistrature suprême. Résultat : un pays de plus en plus divisés est en pleine crise économique, financière et politique

Lucie Castets :Candidate première ministre mais pas pour une élection locale

Lucie Castets :Candidate première ministre mais pas pour une élection locale

 

Lucie Castets sortie du chapeau de l’ENA par la gauche comme candidate première ministre veut bien assumer cette responsabilité centrale mais finalement refuse de se présenter à une élection locale. Pourtant l’hypothèse avait été envisagée mais l’arriviste énarque aurait voulu une élection dans un fauteuil.

On objectera que la plupart de ces ancien élève de l’ENA parvienne souvent aux fonctions nationales eux-mêmes sans avoir étaient élus au plan local encore moins sans avoir été militants. D’où sans doute cette méfiance des partis politiques largement responsables par leur sociologie de la crise démocratique

«Je considère que les conditions de ma candidature n’ont pas été réunies» a déclaré la candidate du Nouveau Front populaire pour Matignon.

La candidate du Nouveau Front populaire pour Matignon, Lucie Castets, ne se présentera finalement pas à l’élection législative partielle dans l’Isère, où «les conditions n’ont pas été réunies» pour qu’elle puisse «continuer à agir comme trait d’union de la gauche», a-t-elle indiqué vendredi à l’AFP.

«Je n’y vais pas. Je considère que les conditions de ma candidature n’ont pas été réunies pour cette partielle», a-t-elle déclaré, estimant néanmoins que «la personne importe peu et (qu’il) faut tout faire pour que la gauche gagne de nouveau cette circonscription» à cheval sur Grenoble et une partie de sa banlieue nord, où La France insoumise envisageait seule de la soutenir.
On fera aussi observer que Macon lui-même n’avait pas exercé la moindre responsabilité locale où le moindre mandat avant de parvenir à la magistrature suprême. Résultat : un pays de plus en plus divisés est en pleine crise économique, financière et politique

Des patriotes ou des tacticiens ?

Des patriotes ou des tacticiens ?

Le député du Lot, Aurélien Pradié , qui a pris ses distances avec Laurent Wauquiez, plaide pour un « gouvernement de reconstruction » rassemblant des personnalités de droite et de gauche. Entretien dans La Tribune. 

Au lendemain des élections législatives, vous avez plaidé pour un gouvernement de « bâtisseurs » réunissant des personnalités de gauche et de droite. Après être resté silencieux tout l’été, dites-vous toujours la même chose ?

AURÉLIEN PRADIÉ - Chacun doit bien avoir conscience que la seule voie possible est le rassemblement des patriotes de droite et de gauche dans un gouvernement. Compte tenu de la configuration de l’Assemblée nationale, ce sera l’unique manière de tenir dans le temps. Mais au-delà d’une affaire d’arithmétique, c’est aussi une question d’espoir. Le rôle d’un exécutif n’est pas seulement d’échapper à une motion de censure, c’est d’améliorer la vie des Français. Les élections législatives, marquées par une participation exceptionnelle, ne peuvent pas accoucher d’un bricolage politicien. Les Français attendent un gouvernement de reconstruction capable de porter un espoir nouveau. Nous n’en avons pas connu depuis l’après-guerre. Toutes proportions gardées, nous sommes à un moment équivalent. La France n’a jamais autant été exposée sur le plan extérieur comme à l’intérieur de ses frontières.

Quelles sont les conditions pour qu’un tel gouvernement voie le jour ?

D’abord respecter le vote des Français. Désormais, le président de la République devra partager le pouvoir, ce qu’il semble avoir acté. Cela s’appelle une cohabitation. On en a déjà connu plusieurs et elles n’ont pas été défavorables à l’équilibre des pouvoirs. Simplement, elle aura forcément une forme originale du fait de l’absence de majorité absolue. L’époque politique a changé. La question n’est pas de « dealer » mais bien de cohabiter. Pour réussir, les partis politiques doivent quitter le jeu de rôle dans lequel ils se sont installés depuis les résultats des législatives. Le spectacle auquel nous assistons est une pantalonnade. Je vois beaucoup de calculs pour se préserver de l’exercice des responsabilités au profit d’ambitions présidentielles plus ou moins cachées. Face à cela, des femmes et des hommes capables de s’émanciper de leurs appareils politiques épuisés devront privilégier l’intérêt supérieur du pays. Les Français châtieront celles et ceux qui auront fait prévaloir leur intérêt tactique. Refuser de trouver une solution à l’impasse dans laquelle nous sommes, c’est faire le jeu de tous ceux qui veulent nous faire entrer dans une crise de régime, c’est-à-dire les amis de monsieur Mélenchon et ceux qui veulent lui rendre service.

Cela signifie que vous regrettez que Laurent Wauquiez refuse toute coalition…

Oui. L’ambition présidentielle est noble et exigeante. Laurent Wauquiez a des qualités pour la porter. Mais je lui dis, comme à tous mes amis, que nous sommes à un moment démocratique historique et que nous devons sortir de nos vieilles logiques, comme les gaullistes ont su le faire à la reconstruction. Ils n’y ont rien perdu, au contraire. Ces grandes personnalités ont fait vivre une certaine idée de l’honneur politique. Nous sommes des patriotes avant d’être des tacticiens. Miser sur l’échec du pays est un luxe cynique que seuls Le Pen ou Mélenchon peuvent s’autoriser. Pas les héritiers du général de Gaulle.

Je dis à Laurent Wauquiez que nous devons sortir de nos vieilles logiques, comme les gaullistes ont su le faire à la reconstruction

Emmanuel Macron a-t-il des concessions à faire sur le fond ?

Pour réunir des patriotes de gauche et de droite, nous devrons nous entendre sur deux grands principes : le rétablissement de l’ordre et celui de la justice, notamment sociale. Le premier point essentiel, c’est la question de la souveraineté nationale. D’abord sur le plan sécuritaire ; la justice des mineurs est la clé. Puis la souveraineté énergétique, grâce à la réaffirmation du nucléaire. Sur le plan budgétaire ensuite : la première mission de l’exécutif sera de rétablir l’équilibre de nos finances, avec un plan de bataille à dix ans qui préserve le régalien, l’école et les services publics, et assainit les dépenses artificielles. S’agissant de notre souveraineté économique, il nous faudra se mettre d’accord sur un plan de réindustrialisation passant par l’attractivité fiscale de la France. Il nous faudra enfin préserver notre souveraineté alimentaire. Notre agriculture a-t-elle vocation à produire ou à nourrir des dogmes ? Il y a sûrement des consensus à trouver sur ce point. Au-delà, il nous faudra refonder un pacte social, en premier lieu autour du partage de la valeur et de la question des salaires. Je ne crois pas que l’augmentation mécanique du smic soit la solution mais je sais que, depuis 1945, nous vivons la première période où le travail ne permet plus à une majorité de Français d’améliorer leurs conditions de vie. Il faut une révolution du travail.

Faudra-t-il aussi revenir sur la réforme des retraites ?

La dernière fois que nous avons pu, à l’Assemblée nationale, rassembler des points de vue de droite, de gauche, mais aussi du Rassemblement national, c’était lors de la bataille pour les carrières longues. Je suis fier du combat que j’ai mené, parce qu’il respectait la valeur du travail. Cette question va revenir le 31 octobre lors de la niche parlementaire du RN, et je pense que c’est l’une des clés de stabilité du futur gouvernement. Je propose donc deux choses. D’abord, faire en sorte que ceux qui ont commencé le plus tôt, dont les métiers sont les plus difficiles, partent à la retraite plus tôt. Ensuite rouvrir le chantier de la réforme à points, telle qu’interrompue en 2020, et privilégier la durée de cotisation.

Si le Premier ministre vient de la gauche, il ne pourra pas être issu du Nouveau Front populaire

En attendant, la réforme de 2023 doit-elle être abrogée ?

Elle est aujourd’hui installée. Il faut éviter de consacrer plus d’énergie à la défaire qu’à imaginer une autre voie. La priorité c’est de donner acte sur les carrières longues, et aussitôt rouvrir le chantier avec les partenaires sociaux.

Et comment un tel gouvernement pourrait-il s’entendre sur l’immigration ?

La droite républicaine doit sortir des postures en la matière. Nous avons besoin d’une immigration liée au travail, qui est d’ailleurs l’un des meilleurs vecteurs d’intégration. De l’autre côté, une partie de la gauche est capable d’entendre qu’il faut reprendre le contrôle de nos flux migratoires, qu’une personne qui travaille a sa place dans notre pays à la condition qu’elle respecte toutes les valeurs de la République. L’intransigeance sur nos valeurs peut rassembler.

Le scrutin proportionnel doit-il être mis à l’ordre du jour ?

C’est aujourd’hui une obsession portée principalement par une partie de la gauche, qui se cherche du courage pour acter son divorce avec LFI. Les Français doivent comprendre que la proportionnelle, c’est la prime aux appareils politiques. Elle ne donne pas plus de représentativité démocratique, mais plus de force aux partis qui composent, en coulisses, les listes lors des élections. Nous sommes à un moment où la démocratie a davantage besoin de personnalités libres que de calculs partisans. J’y vois donc une fausse bonne idée.

Qui serait, selon vous, le Premier ministre idéal ?

Qui que soit le Premier ministre, il lui faudra une équipe de vaillants, de personnalités tempétueuses, peut-être un peu balafrées, capables de comprendre le pays. Je ne crois pas une seconde à la pérennité d’un gouvernement qui ne soit pas éminemment politique, car le moment est politique. Si le Premier ministre vient de la gauche, il ne pourra pas être issu du Nouveau Front populaire, à moins d’avoir définitivement rompu avec lui. Pas à moitié, totalement. Je préférerais évidemment qu’il s’agisse d’un de mes amis. Et sa première mission, la plus importante, sera d’avoir une équipe obsédée par autre chose que la prochaine présidentielle.

Souhaitez-vous faire partie de cette équipe ?

En juillet, j’ai repris ma liberté. Avec mon collègue Raphaël Schellenberger, nous avons pris un risque en refusant de siéger dans le groupe de Laurent Wauquiez. Je n’éprouve aucune animosité à son égard. Mais si les écuries sont souvent plus rassurantes, je préfère l’aventure. Simplement je pense qu’on est à un moment où nous devons passer des postures à l’action. En étant volontaire pour travailler avec des femmes et des hommes, ardents républicains, venus de la droite et de la gauche, j’ai conscience de sortir du cadre. Mais c’est hors du cadre que l’avenir du pays se joue désormais. Et c’est là que je porterai mon énergie.

Ségolène Royal : candidate de Mélenchon ou de Cyril Hanouna !

Ségolène Royal : candidate de Mélenchon ou de Cyril Hanouna !

Ségolène Royal n’a nullement renoncé à la scène politique où elle se produit pour tenter de continuer à exister. Elle vient notamment d’affirmer qu’elle se verrait bien tête de liste aux européennes du mouvement de Mélenchon. Pas vraiment sa tasse de thé sur le plan idéologique mais peut-être une porte de secours pour reparaître dans le théâtre politique.

À défaut, ou en même temps d’ailleurs ,elle pourrait aussi être choisie pour par Cyrille Hanouna comme chroniqueuse régulière dans l’émission télé des beaufs TPMP. Pas non plus sa tasse de thé mais on peut bien sacrifier le vernis d’une culture pour le brillant des spots d’une télévision poubelle. D’autant que Ségolène Royal a toujours quelque chose à dire même quand il n’y a connaît rien exemple quand elle met en doute la responsabilité de la Russie dans la guerre contre l’Ukraine ou qu’elle intervient après la disparition du petit Émile. L’essentiel n’est pas ce qu’on dit mais d’exister. Ou la piteuse descente aux enfers d’une ancienne égérie socialiste brûlée dans le feu de ses propres contradictions et autres provocations.

Présidentielle 2027 : Carole Delga candidate

Présidentielle 2027 : Carole Delga candidate

Carole Delga, , ne fait plus mystère de son envie d’être candidate à l’élection présidentielle de 2027. La présidente (PS) du conseil régional d’Occitanie n’élude plus les questions à ce sujet. Invitée de La Tribune ce samedi aux Rencontres économiques d’Aix-en-Provence, elle a confirmé qu’elle est« engagée pour [le] pays, pour un projet national qui soit de gauche ».

« Je ne me résous pas à la montée de l’extrême-droite, à une présentation sur le thème « On a tout essayé, pourquoi pas essayer la famille Le Pen ? » et je ne me résous pas non plus à cette société de l’affrontement, de la France à deux vitesses », a-t-elle ajouté.

« Donc oui, je prendrai ma part », a enchaîné Carole Delga.

« La gauche a beaucoup de talent et beaucoup d’envie », a poursuivi la patronne de la région Occitanie, lâchant que sa famille politique – le Parti socialiste notamment – « n’avait pas suffisamment travaillé » la dernière présidentielle. La candidate Anne Hidalgo avait en effet récolté moins de 2% des suffrages en avril 2022…

Un temps révolu, selon elle. « Nous sommes de nombreux socialistes, hommes et femmes de gauche, qui travaillons avec ambition et pragmatisme, sans aucun dogmatisme et en pensant profondément que c’est en réconciliant les gens et en conciliant les enjeux écologiques et sociaux que nous pouvons faire gagner la France ».

« Et donc gagner les élections », a conclu Carole Delga.

Rachida Dati, Candidate pour reconquérir les catégories populaires chez les républicains !

Rachida Dati, Candidate pour reconquérir les catégories populaires chez les républicains !

Rachida Dati, archétype des bobos, à la tête des républicains pour reconquérir les couches populaires.Sans doute une confusion entre les populations du septième arrondissement dont elle est actuellement maire  et la réalité sociologique de la France. Selon les informations de l’Obs , Rachida Dati ambitionne de prendre les rênes des Républicains et de succéder à Christian Jacob après le scrutin législatif de juin prochain.

«J’envisage de me présenter à la présidence de LR (…). (pour) reconquérir les catégories populaires abandonnées par la droite», indique Rachida Dati, qui projette d’investir dans certains «sujets sociétaux». Comme l’accès aux produits de luxe de LVMH par exemple ou de la haute couture en général ?Comme au parti socialiste, cette insolite présidente potentielle pourrait condamner définitivement le parti républicain.Cela d’autant plus qu’elle traîne en outre des gamelles judiciaires pour financement illicite par Renault !

Si Rachida Dati avait déjà évoqué une possible candidature à l’élection présidentielle, elle n’avait pas encore indiqué sa volonté de briguer la présidence de son parti. Un poste détenu par Christian Jacob depuis octobre 2019, quelques mois après la démission du patron de la région Auvergne-Rhône-Alpes Laurent Wauquiez. L’ancien maire de Provins devrait laisser son poste vacant après les échéances présidentielle et législatives.

L’évolution des guerres d’influence des Etats

L’évolution des guerres d’influence 

Dans un ouvrage accessible et truffé d’exemples, le spécialiste des relations internationales Frédéric Charillon analyse la façon dont les pays séduisent, attirent et rémunèrent des cibles qu’ils souhaitent influencer. (Analyse du livre de Frédéric Charillon par le » Monde »

 

 

 

Plus le monde se complexifie, plus les conflits sont illisibles. A partir de cette équation, Frédéric Charillon, spécialiste des relations internationales, s’empare de la thématique de la guerre pour alerter sur la nuance entre « soft power » et « influence ». Si la première expression signifie « la capacité d’influencer les autres afin d’obtenir d’eux les résultats souhaités, par l’attraction et la persuasion, plutôt que par la coercition », il en va autrement de la seconde.

 

L’influence, pour Frédéric Charillon, « consiste pour un acteur A à faire faire par un acteur B ce qu’il n’aurait pas fait autrement, et ce sans recourir à la contrainte ». Or, au fil du temps, le concept s’est épaissi : l’influence suppose, désormais, un processus de fabrication et surtout de rémunération, contrairement au soft power. Elle ne s’oppose pas à la puissance. Et n’a rien à voir avec la propagande ni avec le lobby. Mais elle peut être aussi menaçante en dernier recours, corruptible à tout instant et cohabite avec les guerres hybrides. Selon cette lecture, la crise ukrainienne serait le théâtre d’une opposition entre un soft power américain et une guerre d’influence russe.

Légitimer le concept d’influence à l’aune du pivot de la géopolitique mondiale vers l’Indo-Pacifique, telle est l’ambition de Frédéric Charillon, qui décrypte les nouveaux usages des Etats en termes de séduction, d’attraction et surtout de rémunération des cibles à influencer. Mission accomplie et démonstration convaincante quand on referme ce livre accessible, truffé d’exemples et de références. Selon lui, parler aujourd’hui de « guerres d’influence » s’impose, car le passage du transatlantique vers l’Indo-Pacifique induit un changement d’échelle dans le débat géopolitique. Il consacre, en effet, l’avènement des stratégies indirectes propres à l’Asie, au moment où l’Occident sort laborieusement de deux décennies de stratégies directes et frontales.

 

Ainsi, les relations internationales seraient, au XXIe siècle, soumises à trois modèles d’influence : le modèle occidental, démocratique et libéral, en plein doute cependant sur ses capacités à séduire. Le modèle impérial et autoritaire (Russie, Turquie, Chine), dont les diplomaties de nuisance ne visent qu’à sauver des régimes tout en déstabilisant leur proie. Enfin, le modèle confessionnel fondé sur les croyances (Etats de la péninsule arabe), handicapé par une réputation sulfureuse.

Cette rencontre des modèles déboucherait, selon l’universitaire, sur trois types de stratégies : le retour aux sphères d’influence défendu par les régimes autoritaires adeptes d’un monde multipolaire ; l’émergence de « joint-ventures » entre Etats, où la logique du partenariat l’emporterait sur celle des alliances ; enfin, les rivalités entre les Etats et les géants du Net (Gafam), avatar des tensions entre le monde réel et le monde virtuel. Autrement dit, une nouvelle forme de batailles des valeurs dans un monde toujours aussi fidèle aux logiques de domination et de prédation.

EELV: Sandrine Rousseau, la candidate du parti en tête avec Jadot

EELV: Sandrine Rousseau, la candidate du parti en tête avec Jadot

 

La compétition risque d’être assez serrée entre Jadot et Sandrine Rousseau sélectionnés pour la deuxième phase des primaires d’Europe écologie les Verts. Pour nombre de médias, la qualification de Sandrine Rousseau constitue une certaine surprise. En effet, le candidat officieux de la direction du parti écolo Éric Piole  a pris une sérieuse claque en obtenant la dernière place.

Du coup la direction des écolos risque de mettre toute son énergie pour favoriser le succès de la très radicale Sandrine Rousseau marquée très à gauche. Jusqu’à ces dernières semaines, Sandrine Rousseau n’a pas été prise au sérieux. Pourtant, depuis le début, se désolant de l’inattention de la presse à son égard, elle le jurait: «Vous allez voir, je vais déjouer le match!» .

 

Cette économiste de 49 ans, enseignante et vice-présidente de l’université de Lille, a tenu parole. Cette fonctionnaire est typiquement représentative de la radicalité un peu surréaliste des verts et Jadot a tout à redouter de sa candidature.

 

Ce serait politiquement sans doute une nouvelle erreur des écolos de choisir celle qui a sans doute le moins de chances de faire gagner le parti Vert. Mais c’est une tradition dans ce parti de désigner le candidat le moins sérieux et le moins populaire.

Présidentielle 2022 : Christiane Taubira qui avait fait perdre Jospin cette fois ne sera pas candidate

Présidentielle 2022 : Christiane Taubira qui avait fait perdre Jospin cette fois ne sera pas candidate

 

Cette fois Christiane Taubira qui avait fait perdre Jospin ne veut pas être accusée de la même erreur «Je ne peux pas venir contribuer à l’éparpillement.» Sur France Inter, ce matin, Christiane Taubira a annoncé qu’elle ne serait pas candidate pour l’élection présidentielle de 2022. «Je ne peux pas venir m’aligner. Je ne peux pas dire que notre chance, c’est de sortir de la confusion, d’éviter la dispersion, de voir comment nous additionnons nos forces et les faisons converger, et en même temps dire que je viens apporter mon obole», a-t-elle expliqué.

Présidentielle 2022 : Delphine Batho aussi candidate

Présidentielle 2022 : Delphine Batho aussi  candidate

 

Et une de plus chez les verts avec Delphine Batho qui sera également candidate à la candidature pour 2022. Celle qui a navigué entre les différents courants écologistes et socialistes s’invite donc à la compétition.

Avec en plus une orientation particulièrement confuse et contradictoire: proposer «une autre écologie»«Il faut que les écologistes soient en capacité de prendre rapidement les responsabilités. À mes yeux, cela implique une autre écologie qui s’adresse à toutes et à tous, qui assume sa dimension régalienne et républicaine, qui assume la décroissance, et qui est indépendante par rapport aux anciens clivages partisans», a soutenu l’ancienne ministre de l’Environnement de François Hollande (2012-2013). Bref une écologie un peu verte, un peu rose, un peu flanc rouge, un peu anar et démago.

«Je m’en fous de savoir le parcours des électeurs et des électrices. S’ils sont pour le climat, s’ils sont pour la biodiversité, s’ils sont contre le consumérisme, contre les pesticides, ils ont vocation à voter pour les écologistes et à être les bienvenus», a-t-elle lancé.

Cinq écologistes sont désormais candidats à la primaire des Verts. En plus de Delphine Batho figurent l’ex-porte-parole d’EELV Sandrine Rousseau, le maire EELV de Grenoble Éric Piolle, l’eurodéputé EELV Yannick Jadot, et le président de Cap Écologie Jean-Marc Governatori.

Présidentielle: Hidalgo, candidate potentielle ne veut pas de primaire

Présidentielle: Hidalgo, candidate potentielle ne veut pas de primaire

 

 

 

Anne Hidalgo, la maire Paris prépare de toute évidence sa candidature aux présidentielles. Pour preuve elle refuse par avance toute idée de primaires avancées par les écolos et le parti socialiste. Sans doute l’intéressée voit-elle une incompatibilité aussi d’alliance avec le parti de Mélenchon d’autant que ce dernier entend bien maintenir sa candidature.

 

À noter qu’elle fait une proposition innovante en voulant développer l’apprentissage qu’elle considère comme une révolution indispensable après le bac pour des jeunes. «Je ne suis pas favorable à une primaire. Une primaire à l’américaine s’adresse à tout le corps électoral. En France, ce n’est pas la même logique: elle mobilise surtout les militants ou les sympathisants», fait valoir Anne Hidalgo. Quant à ses propres ambitions, «à l’automne, ce sera le moment de prendre une décision», considère-t-elle, alors que les dernières études d’opinion ne la créditent – au mieux – que de 10% des intentions de vote, sans qualification pour le deuxième tour.

 

«Nous avons beaucoup de travail devant nous. J’y prendrai toute ma part. Pour cela, je m’appuie sur un réseau de maires, par la plateforme ‘Idées en commun’, afin de faire germer des propositions», a encore expliqué la maire de Paris. «Je trace ma route», a-t-elle ajouté. En faite Anne Hidalgo compte surtout sur les sondages pour donner une légitimité à sa candidature et éviter ainsi une primaire.

Présidentielle: Hidalgo, candidate potentielle ne veut pas de primaire

Présidentielle: Hidalgo, candidate potentielle ne veut pas de primaire

 

 

 

Anne Hidalgo, la maire Paris prépare de toute évidence sa candidature aux présidentielles. Pour preuve elle refuse par avance toute idée de primaires avancées par les écolos et le parti socialiste. Sans doute l’intéressée voit-elle une incompatibilité aussi d’alliance avec le parti de Mélenchon d’autant que ce dernier entend bien maintenir sa candidature.

 

À noter qu’elle fait une proposition innovante en voulant développer l’apprentissage qu’elle considère comme une révolution indispensable après le bac pour des jeunes. «Je ne suis pas favorable à une primaire. Une primaire à l’américaine s’adresse à tout le corps électoral. En France, ce n’est pas la même logique: elle mobilise surtout les militants ou les sympathisants», fait valoir Anne Hidalgo. Quant à ses propres ambitions, «à l’automne, ce sera le moment de prendre une décision», considère-t-elle, alors que les dernières études d’opinion ne la créditent – au mieux – que de 10% des intentions de vote, sans qualification pour le deuxième tour.

 

«Nous avons beaucoup de travail devant nous. J’y prendrai toute ma part. Pour cela, je m’appuie sur un réseau de maires, par la plateforme ‘Idées en commun’, afin de faire germer des propositions», a encore expliqué la maire de Paris. «Je trace ma route», a-t-elle ajouté. En faite Anne Hidalgo compte surtout sur les sondages pour donner une légitimité à sa candidature et éviter ainsi une primaire.

Élection présidentielle : Sandrine Rousseau candidate des écolos ?

Élection présidentielle : Sandrine Rousseau candidate des écolos ?

L’ancienne porte-parole d’Europe écologie les Verts se pose en arbitre entre l’eurodéputé l’eurodéputé Yannick Jadot et le maire de Grenoble Éric Piolle.

Les profils des deux hommes sont en effet assez opposés. D’un côté, Yannick Jadot se situe plutôt au centre de l’échiquier politique tandis que son concurrent le maire de Grenoble Eric Piolle est plutôt un vert fortement teinté de rouge;  Bref plutôt un gauchiste utopiste.

Nombre de militants d’Europe écologie ne se retrouvent pas pleinement dans les positions de Yannick Jadot ou d’Eric Piolle. Il est reproché au député européen, Jadot,  d’être un peu trop social-démocrate, pas assez anticapitaliste et trop individualiste. Des critiques aussi s’adressent au maire de Grenoble considéré comme un gauchiste et un sectaire.

La candidature de Sandrine Rousseau est jugée plus consensuelle par certains cadres d’Europe Écologie-Les Verts qui assument, en interne, ne pas se retrouver dans les profils trop marqués voir trop polémistes de Yannick Jadot et d’Éric Piolle.

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