Archive pour le Tag 'candidat'

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2017 : les Français pour un candidat sans parti

2017 : les Français pour un candidat sans parti

Ce pourrait être la grande surprise des élections présidentielles de 2017 car les Français seraient prêts à voter pour un candidat sans parti. La conséquence évidemment du discrédit de la plupart des organisations politiques et du phénomène d’usure des principaux candidats. De quoi donner des idées à des personnalités non liées par un parti- comme Nicolas Hulot voire un parfait inconnu – mais qui seraient en capacité d’apporter un peu d’oxygène dans un environnement politique relativement pollué soit par des idéologies obsolètes, soit par des calculs d’appareils, soit encore par des rivalités internes. De ce point de vue,  si les primaires permettent d’ouvrir un peu l’espace démocratique il n’empêche qu’elles sont quand même contradictoires avec l’esprit même de la Ve République. En effet ce sont les partis qui maîtrisent l’organisation des primaires et surtout qui désignent les candidats. Une large majorité de sondés 78% se disent donc prêts à voter à une élection présidentielle pour un candidat qui ne serait « ni issu ni soutenu par un parti politique », selon un sondage Elabe pour Atlantico publié dimanche. Selon ce sondage, 33% des personnes interrogées pourraient « certainement » voter pour un candidat non affilié à un parti et 45% « probablement ». 16% ne pourraient « probablement pas » et 6% « certainement pas ». 63% des sympathisants PS et 71% de ceux des Républicains pourraient faire un tel choix, de même que 79% des proches du FN et 84% de ceux d’EELV. De même, 66% des sondés pourraient voter pour un candidat en dissidence vis-à-vis de son parti, contre 33% qui ne pourraient pas. 1% ne se prononcent pas. Les partis politiques inspirent de « l’inquiétude » pour 40% des sondés, de la « colère » pour 34% d’entre eux, de l’ »indifférence » (22%). Pour 3% des sondés, les formations politiques inspirent de la « confiance » et pour 1% de « l’enthousiasme ».

(Avec AFP)

2017- Mélenchon candidat….. Pour faire perdre la gauche

2017:  Mélenchon candidat….. Pour faire perdre la gauche

 

Jean-Luc Mélenchon a officiellement déclaré sa candidature. En fait une candidature qui vise surtout à faire perdre la gauche puisqu’en tout état de cause Mélenchon n’obtiendra que de l’ordre de 10 % en 2017 si l’on s’en tient aux sondages. Une sorte de candidature de témoignage mais qui mathématiquement enlève toute chance au principal candidat de la gauche de l’emporter. Jean-Luc Mélenchon s’oppose en effet aux primaires de la gauche pour ne pas se rallier à celui qui viendrait en tête. En fait une candidature qui n’a guère de sens et qui va sans doute participer à la fois de l’éclatement de la gauche mais aussi de sa marginalisation « Je vous propose ma candidature pour l’élection présidentielle de 2017″, déclare-t-il sur un site internet dédié aux soutiens à sa candidature. Comme d’habitude Mélenchon a choisi la grandiloquence ésotérique pour justifier son annonce de candidature « Cette élection peut être une chance pour notre peuple. C’est l’occasion de tourner pacifiquement et démocratiquement la page de l’ordre injuste et cruel dans lequel s’enfonce notre pays et notre continent », ajoute-t-il.   »Au début, vous verrez, on nous regardera un peu de haut. Et puis après, je sais que c’est la force du nombre, de l’élan, de l’enthousiasme des citoyens, qui fait la différence », dit-il. « Après MM. Juppé, Fillon, Sarkozy, Mme Le Pen (…) a annoncé sa candidature. Dans ces conditions, il faut passer à l’action, on ne peut pas rester sans voix », a-t-il expliqué. Il a de nouveau rejeté toute idée de participer à une primaire à gauche : « Moi, pour l’instant, la seule primaire dont je suis sûr c’est le premier tour de l’élection présidentielle. » « Je veux incarner la France insoumise et fière de l’être, celle qui n’a pas de muselière ni de laisse », a ajouté Jean-Luc Mélenchon, qui a déjà été candidat à l’élection présidentielle de 2012, remportée par François Hollande.

Hulot candidat à la primaire à gauche ?

 

Hulot candidat à la primaire à gauche ?

 

La primaire à gauche n’est pas encore d’actualité mais déjà on commence à se préoccuper des candidats possibles pour la sélection des présidentielles de 2017. Cette primaire à gauche aujourd’hui apparaît peu probable car le PS  considère que le candidat naturel de la gauche pour 2017 est François Hollande. Toutefois l’organisation d’une primaire à gauche n’est pas impossible dans la mesure où François Hollande pourrait déclarer forfait au dernier moment tellement il est impopulaire. Il patauge aujourd’hui autour de 20 % dans les sondages de popularité ; si sa cote ne remonte pas il est à peu près sur d’être éliminé au premier tour des présidentielles. François Hollande ne prendra peut-être pas le risque d’une défaite infamante et laisserait alors le champ libre à d’autres candidats. En outre les sympathisants de gauche sont à 80 % favorables à cette primaire sans doute précisément pour éliminer Hollande. Mais quel autre candidat à gauche , personne au PS ne fait vraiment l’unanimité, pire les sympathisants de gauche préféreraient Nicolas Hulot qui n’appartient même pas au parti socialiste.  Les sympathisants de gauche sont cependant divisés sur les personnalités dont ils souhaitent qu’elles jouent un rôle important à l’avenir. Selon l’enquête Ifop-JDD, Nicolas Hulot apparaît comme celui qui aurait la plus grande capacité à rassembler. L’écologiste est choisi par 61% de ces sympathisants (50% des Français). Il devance Martine Aubry (59% à gauche, mais seulement 37% sur l’ensemble des sondés) et Manuel Valls (54% des sympathisants), qui est en tête chez les seuls sympathisants PS (72%).

Un candidat de la société civile en 2017 : de Charybde en Scylla !

Un candidat de la société civile en 2017 : de Charybde en Scylla !

Lors des  élections présidentielles, on avait du régulièrement subir les élucubrations de l’incontournable Cheminade (l’énarque qui s’ennuie). Cette fois on aura peut-être aussi un fils de pub dont les premières déclarations sont clairement inspirées de la philosophie de bistrot et des méthodes marketing. L’essentiel est de faire le buzz. Donc résumer sa pensée à quelques formules d’autant plus brillantes qu’elles sont creuses comme les boules qui ornent les sapins de Noël. Le fils de pub s’appelle Claude Posternak, communicant de son métier et ses premières déclarations méritent le détour (mais le plus grand possible cependant).

« On n’est ni de droite, ni de gauche. On n’a rien à foutre », s’écrie le communiquant Claude Posternak qui en a  par-dessus la tête du PS comme des Républicains, « de Hollande comme de Sarkozy » et d’une société où 6.586.000 Français sont, au total, aujourd’hui inscrits à Pole Emploi (DOM inclus). Candidat de la société civile en 2017. OK, je sais, dit Posternak, cela ressemble à l’escalade de l’Himalaya par la face nord avec des tongs, mais on en surprendra plus d’un an. Même si, dans la cordée, on a intérêt à bien connaître la personne juste devant soi celle et celle juste derrière. »

La démocratie française ne se grandit pas en laissant des hurluberlus se présenter aux présidentielles. Jusque là nous avions eu Cheminade  qui a comparé Obama à Hitler et souhaitait  « faire sauter le verrou financier » et réduire l’influence de Wall Street et la City. Dans son programme figurait  également le souhait de coloniser la Lune et Mars. « C’est une entreprise sérieuse à long terme », avait  confié le candidat. « C’est l’affaire de deux générations. S’il n’y avait pas d’espace, il n’y aurait pas de cœur artificiel, pas de téléphone portable ni d’ordinateur », avait-il  développé. Absurde mais au moins rigolo ce Cheminade ;  pas vraiment le cas de ce candidat fils de pub qui nous inflige sa dialectique médiatique de camelot.

 

Sondage 2014 : 82 % pour un candidat unique de la gauche

Sondage 2014 : 82 % pour un candidat unique de la gauche

Sans doute la conséquence de la division lors  des élections régionales, les électeurs de gauche souhaitent un candidat unique pour 2017, une très forte majorité (82%) des sympathisants de gauche et 61% des Français veulent un candidat unique à gauche en 2017, selon un sondage Odoxa vendredi pour i-Télé. La conséquence de ce souhait serait sans doute de marginaliser encore un peu plus le parti de gauche de Mélenchon, le parti communiste de Pierre Laurent et les écolos de Cécile Duflot :  Ce candidat unique serait nécessairement issu de la famille socialiste du coup il n’est pas certain que des partenaires de la gauche comme Jean-Luc Mélenchon soit prêt à se soumettre à cette unicité de candidature. La gauche toutefois est affrontée aujourd’hui à un double danger ;  premier danger classique, celui-là la droite de Sarkozy qui, elle ,a les plus grandes chances de se présenter unie après les primaires ; second danger encore plus grand, celui-là la possibilité pour le FN de se qualifier au second tour de 2017 à la place de la gauche. du coup la logique de l’union pourrait bien l’emporter sur les divisions à la fois idéologiques et programmatiques entre le courant social-démocrate du PS et Mélenchon ou encore avec Pierre Laurent. Mais en refusant cette logique de l’union, ces petits partis de gauche risque de se marginaliser à jamais emportant la responsabilité de la défaite de la gauche. Cette unité de la gauche pour 2017 Ce sont avant tout les sympathisants PS qui le réclament (94%), «car le candidat choisi devrait en toute logique être socialiste», relève Odoxa, et les sympathisants des autres partis de gauche y sont aussi très nettement favorables (68%). Reste à savoir si Pierre Laurent (PCF), Cécile Duflot (EELV) et Jean-Luc Mélenchon (PG) seraient prêt à se priver du premier tour de la présidentielle 2017 au profit du candidat PS, qui plus est François Hollande, dont ils contestent la politique…  Ce qui est sûr c’est que la chef de file des écologistes, dont on n’ignore pas les intentions présidentielles, a pris la précaution cette semaine de proposer à François Hollande, de bâtir une «coalition de transformation» englobant écologistes et communistes. Une réaction sans doute du aux fait que pour l’instant Cécile Duflot ne récolte avec environ 3 % des suffrages lors de l’élection présidentielle de 2017.

Alsace : le candidat PS se maintient, la soupe est bonne !

Alsace : le candidat PS se  maintient, la soupe est bonne !

 

L’archétype du candidat PS qui a exercé des mandats pendant 35 ans et qui continue…. puisque la soupe est bonne. « Nous pensons que c’est la meilleure façon de nous opposer au Front national, en occupant la place, dans l’opposition »s’est expliquée la tête de liste socialiste dans le Grand Est. Alors que le FN emmené par Florian Philippot engrange 36,06% des voix au premier tour, le modeste de score de Jean-Pierre Masseret (16,11%) n’a pas découragé le président sortant de la région Lorraine. Le premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis, a pourtant été clair, au lendemain du premier tour. Le Parti socialiste devait se retirer dans les trois régions où il arrive en troisième position alors que le Front national possède de réelles chances de l’emporter : Nord-Pas-de-Calais-PicardieProvence-Alpes-Côte-D’azur et donc Alsace-Lorraine-Champagne-Ardenne. Celui qui enregistre le pire score de toutes les listes socialistes en France métropolitaine est loin d’être un novice. Ce fils de mineur, né en 1954 à Cusset (Allier), a débuté sa carrière en 1979 comme conseiller général dans le canton de Montigny-lès-Metz (Moselle). En 1983, il devient le plus jeune sénateur à siéger au Palais du Luxembourg à 39 ans tout juste. Un poste qu’il n’a quitté qu’entre 1997 et 2001 depuis. Après avoir remporté la mairie d’Hayange en 1995, il poursuit son ascension et entre au gouvernement Jospin en tant que secrétaire d’État à la Défense en charge des Anciens combattants.

Régionales : Le Drian candidat en Bretagne

Régionales : Le Drian candidat  en Bretagne

 

Hollande fera-t-il une exception pour le ministre le plus populaire du gouvernement ? C’est possible. Jean-Yves Le Drian pourrait demeurer ministre tout en étant élu à la tête de la Bretagne aux régionales.  »Si les Bretonnes et les Bretons m’accordent leur confiance, je serai et resterai président de la région », a-t-il déclaré, lors d’une déclaration solennelle organisée dans un restaurant du front de mer à Guidel-Plage, près de Lorient.  »En 2012, je l’avais déjà dit : la Bretagne m’a fait et je ferai toujours le choix de la Bretagne. Aujourd’hui, je veux rendre à la Bretagne tout ce qu’elle m’a donné. Fidèle à ma parole, je suis au rendez-vous. J’ai décidé d’être candidat à la présidence de la région Bretagne », a poursuivi le ministre de la Défense. Abordant la question de sa double casquette de ministre de la Défense et de candidat à la présidence de la région, Jean-Yves Le Drian a assuré que conformément à la demande de François Hollande et « eu égard aux circonstances exceptionnelles que vous connaissez tous », il resterait « pleinement ministre de la Défense pendant le temps de la campagne électorale ». « J’accomplirai mon devoir », a-t-il renchéri.  Quittera-t-il ce poste en cas d’élection? Assurant qu’il « serai(t) et resterai(t) président de la région Bretagne », en cas d’élection, le ministre n’a toutefois pas levé les interrogations sur un possible cumul de cette fonction avec son mandat ministériel.  »Je connais les règles relatives au cumul. J’assume mes responsabilités. Il reviendra au président de la République de prendre, le moment venu, les décisions qui conviennent », a-t-il simplement affirmé.   »Vous connaissez la règle! On ne peut pas être président de région, maire d’une grande ville, et être membre du gouvernement », avait rappelé la veille Manuel Valls sur RMC et BFMTV.

Présidence Fifa : le CIO réclame « pour un candidat extérieur  » (CIO)

Présidence Fifa : le CIO réclame « pour un candidat extérieur  » (CIO)

 

Le CIO (pourtant pas sans reproche quant à l’attribution des Jeux !)  s’immisce dans le débat sur la présidence de la Fifa. Dans un communiqué, son président, Thomas Bach, espère qu’ »un candidat extérieur crédible de haute intégrité » se présentera « pour accomplir les réformes nécessaires et ramener stabilité et intégrité ».  Le communiqué est publié alors que des incertitudes planent sur les noms des candidats à la succession de Sepp Blatter, poursuivi notamment pour « gestion déloyale ». Le prince Ali qui avait été battu lors de la dernière élection par Sepp Blatter est candidat. Il l’a annoncé officiellement le 9 septembre dernier. Michel Platini, le président de l’UEFA, a accompli les démarches pour être dans la course aussi et malgré l’annonce de sa suspension ce jour,  à France Info, il confie qu’il ira jusqu’au bout.  L’élection à la présidence de la Fifa doit avoir lieu lors d’un congrès extraordinaire le 26 février prochain à Zurich.

Sarkozy « un bon candidat, mais un mauvais président » (Buisson)

Sarkozy « un bon candidat, mais un mauvais président » (Buisson)

Ancien conseiller de l’Elysée, Patrick Buisson charge Nicolas Sarkozy dans un entretien à la revue Éléments pour la civilisation européenne.»La force de Sarkozy, c’est qu’il fut un bon candidat, mais un mauvais président. Il aurait pu renverser le rapport de force s’il s’y était pris plus tôt ». Nicolas Sarkozy, poursuit son ancien conseiller, « aura cependant permis de retrouver des marqueurs idéologiques, à commencer par le thème de l’identité, même si cela n’a pas été suivi de la mise en application d’une politique ». Patrick Buisson, tombé en disgrâce après la révélation de ses enregistrements pirates pratiqués à l’Elysée, assure qu’il était « radicalement contre » le très sécuritaire discours de Grenoble de Nicolas Sarkozy en 2010, qui lui avait valu une avalanche de critiques tant à gauche qu’à droite et même de la part du pape Benoit XVI.  A ce moment-là, « on est au pouvoir, il faut agir, en finir avec la communication politique. Cette question de l’immigration ne peut plus être réglée par voie parlementaire. Consultons par référendum les Français. Les questions sont très simples: les critères d’attribution des prestations sociales, le droit du sol, le regroupement familial, le droit d’asile, les accords de Schengen. Cinq questions. J’ai encouragé Sarkozy à les poser. Il n’a jamais voulu », a développé Patrick Buisson. A propos  des partis politiques » tant qu’ils conserveront leur monopole sur l’élection présidentielle, il ne se passera rien ». « Si la droite s’est ralliée au processus des primaires, c’est seulement pour que le parti conserve la main sur la désignation des candidats. Tant que le processus de sélection demeurera ainsi, on ne sortira probablement pas des Sarkozy et des Hollande. Pour en sortir, il faudrait qu’à l’heure du numérique, un million de signatures sur les réseaux sociaux imposent des candidats », préconise-t-il. 

 

Présidentielle 2017 : avec Mariton encore un candidat à la primaire de la droite

Présidentielle 2017 : avec  Mariton encore un candidat  à la primaire de la droite

Avec Mariton, Ils devraient être  au moins 7 présents au primaire de la droite, peut-être même 8 si NKM se décide voire une dizaine. Jusqu’alors un leader s’était toujours dégagé et on s’était abstenu de formalités démocratiques pour désigner le candidat aux présidentielles. Pour ne pas être en reste avec le PS la droite se lance donc dans un périlleux exercice. Périlleux pourquoi ? Parce que ce n’est pas vraiment dans la culture de la droite de désigner son chef de cette manière et c’est aussi en contradiction avec l’esprit des institutions de la Ve République qui ont pour philosophie de ne pas laisser les élections présidentielles prisonnières des parties politiques. Le risque évidemment c’est que les différents candidats se battent comme des chiffonniers et se laissent  entraîner dans les  surenchères. En outre cette campagne pour les primaires qui  a déjà commencé a fait  apparaître d’assez fortes contradictions entre les candidats. Cette campagne est sans doute prématurée car les préoccupations majeures des Français ne concernent pas le fonctionnement interne des parties mêmes lorsqu’il s’agit de déterminer leur  chef. La  préoccupation majeure concerne  la croissance l’emploi et la fiscalité. D’une certaine manière cette bataille des chefs au sein de la droite risque d’apparaître un peu décalée. Il y a donc un candidat de plus à cette primaire avec Marie temps ; ce dernier avait déjà annoncé qu’il n’excluait pas de se présenter à la primaire de la droite et du centre pour les élections présidentielles de 2017 et qu’il se donnait jusqu’à la fin de l’année pour y réfléchir. Ce dimanche 20 septembre, Hervé Mariton a officialisé sa décision lors d’une interview au FigaroLe député Les Républicains de la Drôme devrait donc se retrouver opposé à Alain Juppé, François Fillon, Bruno Le Maire, Nadine Morano, Xavier Bertrand et peut-être le président du parti, Nicolas Sarkozy. Hervé Mariton, qui était déjà candidat à la présidence de l’UMP, devenu depuis Les Républicains, l’an dernier, explique se présenter « parce que (je) pense que l’intérêt de la France commande qu’un candidat libéral porte le projet d’une société ouverte, pour rendre aux personnes et à la société civile la maîtrise de leur destin ». Il estime être bien placé « pour tirer les leçons de la tragédie de François Hollande au pouvoir », « mais également de l’échec de 2012″, rappelant qu’il sera le seul candidat de cette primaire à ne pas avoir fait partie de l’exécutif du quinquennat de Nicolas Sarkozy. Son programme sera détaillé dans un livre publié à la fin 2015 et intitulé « Le printemps des libertés ».« Je n’ai pas d’objectif chiffré en tête, mais j’espère être l’heureuse surprise de cette primaire. Si, au minimum, je réitère mon score lors de l’élection à la présidence de l’UMP (6,32%, NDLR) et que quelques mois plus tard, je suis nommé Premier ministre, je ne me plaindrai pas ! Si je peux peser sur la ligne de la droite et du centre pour 2017, je prends », affirme Hervé Mariton,

Présidentielle : Bayrou candidat

 

Bayrou sera candidat si Sarkozy se présente. Une équation électorale à laquelle Sarkozy n’avait sans doute pas pensé ou qu’il avait minimisé.  En effet un sondage Odoxa pour CQFD sur i-Télé et le Parisien/Aujourd’hui révèle  que les Français préfèrent le leader centriste à l’ancien chef de l’Etat. Plus de quatre Français sur 10 (43%) souhaitent voir le président du Modem se présenter à l’élection  présidentielle de 2017. En revanche 54% ne le souhaitent pas (3% sans opinion). En comparaison, 21% des Français souhaitaient en mai que François Hollande se représente, et 26% Nicolas Sarkozy. A l’inverse ils étaient 77% à ne pas souhaiter une candidature Hollande, et 72% une candidature Sarkozy.  Le rejet tant de Hollande que de Sarkozy sera bien entendu d’abord bénéfique à Marine Le Pen qui peut espérer autour de 25 % des voix au premier tour des présidentielles. Mais ce rejet pourrait aussi profiter à François Bayrou. Une sorte de refuge électoral pour ce qui ne veut pas se résoudre à voter pour la candidate du Front National. Certes la candidature de Bayrou est hypothéquée par celle de Juppé. Mais il n’est pas du tout certain que Juppé sorte vainqueur des primaires à droite dans la mesure où Sarkozy maîtrise l’appareil des républicains. Dès leur la candidature de Bayrou pourrait prendre une certaine crédibilité. Dans ces conditions François Bayrou ne se résout pas à n’avoir le choix qu’entre François Hollande, Nicolas Sarkozy et Marine Le Pen. Il n’envisage pas de n’avoir aucun bulletin de vote à prendre. Comme il estime qu’il faut trois mois pour faire une campagne, si dans la dernière ligne droite, Hollande, Sarkozy et Le Pen sont toujours là, il sera candidat.

 

FIFA : Platini candidat

FIFA : Platini candidat

Platini sera candidat pour remplacer la terre à la dette de la FIFA. Ce n’est pas une surprise dans la mesure où Platini a largement contribué à obtenir la démission de la terre. Ses chances d’être élu son sérieuses cependant on pourra lui reprocher d’avoir été parti prenante dans l’attribution de certaines coupe du monde. Attribution contestée comme celle du Qatar par exemple. En outre Platini ancien grand joueur professionnel devra montrer un peu plus de cohérence et de fermeté dans la gestion de l’organisation internationale. On lui reproche en effet parfois de faire un peu trop de politique et pas assez de gestion sportive dans cinq un milieu relativement pourri par l’argent.  . Ma candidature est aussi  la conséquence des chaleureux témoignages d’estime, de soutien et d’encouragement que nombre d’entre vous m’ont prodigués », indique-t-ill. « Il est des moments dans la vie où il faut forcer son destin », ajoute l’ancien international français. « Je suis à l’un de ces instants décisifs, à la jonction du cours de ma vie et des événements qui dessinent l’avenir de la FIFA. » Pris dans une vaste affaire de corruption qui ébranle la Fifa, le Suisse Sepp Blatter, qui préside la fédération depuis 1998, a annoncé son départ il y a deux mois, dans la foulée de sa réélection. « Durant ce presque demi-siècle, la FIFA n’a connu que deux présidents. Cette extrême stabilité est une sorte de paradoxe, dans un monde qui a été sujet à des bouleversements radicaux et dans un sport qui a vécu une mutation économique considérable. Mais les événements récents obligent l’institution suprême qui régit le football mondial à se réformer et à repenser sa gouvernance », ajoute Michel Platini, président de l’UEFA depuis 2007 et membre du Comité exécutif de la FIFA depuis 2002. Il souligne que ces derniers mois « il a défendu ses idées et ses propositions pour rendre à la FIFA la place et la dignité qu’elle mérite ».

 

Jean-Marie Le Pen candidat en Paca et en 2017 ?

Jean-Marie Le Pen candidat en Paca et en 2017 ?

 

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Forts remous au FN en PACA qui de nouveau réhabilitent  la possibilité d’une candidature de Jean Marie Lepen aux régionales. Au-delà pourrait se profiler une  candidature pour 2017 moins pour être  élu que pour faire éliminer Marine Lepen du second tour. Ce pourrait être la propre candidature de Jean Marie Le Pen voire de l’un de ses fidèles. Je suis sollicité de le faire par un certain nombre de gens auxquels je n’ai donné aucune réponse », a-t-il déclaré lundi à Reuters. « Je suis dans une phase d’information, puisque c’est un phénomène nouveau. Je fais le tour de la question et je communiquerai ma décision en temps utile. » S’il constituait effectivement une liste dissidente, Jean-Marie Le Pen se retrouverait en concurrence avec sa petite-fille Marion Maréchal-Le Pen, tête de liste officielle du FN dans cette région susceptible de basculer à l’extrême droite. La jeune députée du Vaucluse avait déclaré en mai à l’hebdomadaire Valeurs Actuelles avoir reçu l’assurance de son grand-père « qu’il ne s’immiscerait pas dans la campagne ». « Nous sommes à quatre mois des élections. Il y a des remous qui se produisent », a dit Jean-Marie Le Pen, 87 ans, qui a réussi à faire annuler par la justice sa suspension par la direction du parti pour cause de propos polémiques répétés, notamment sur les chambres à gaz. Prié de dire s’il n’excluait pas de présenter une liste dissidente en Paca, il a répondu à Reuters, en jouant sur les mots : « Je suis le seul dans ce mouvement qui n’exclut pas. »

Jean-Marie Le Pen candidat en PACA et en 2017 ?

Jean-Marie Le Pen candidat en PACA  et en 2017 ?

Pas impossible mais  peu vraisemblable. Une candidature De Jean Marie Le Pen aux régionales en PACA pourrait être un avant gout des présidentielles en 2017.  Jean Marie Lepen pourrait en effet cautionner un candidat dissident uniquement pour empêcher sa fille de figurer au second tour.  .   Ce samedi 18 juillet, Le Parisien croit savoir qu’une « hypothèse d’une liste Front national » aux prochaines régionales conduite par Le Pen père « ne peut plus être écartée ». Selon des sources proches du fondateur du parti d’extrême droite, Jean-Marie Le Pen envisagerait, pourquoi pas, une candidature en PACA (Provence-Alpes-Côte d’Azur). Mais voilà, sa petite-fille, Marion Maréchal, a déjà annoncé sa propre candidature, même si elle l’a récemment remise en cause.  Le fait est qu’une candidature du grand-père pourrait remettre de l’huile sur le feu alors que celui-ci est en conflit avec une branche du parti, notamment celle proche de Florian Philippot qu’il a traité de « jeune con » en mai dernier. Cité par le quotidien, un conseiller régional suspendu du parti, Laurent Comas, confie qu’ils sont en train de préparer, pour les régionales, « une liste avec Jean-Marie Le Pen en tête de liste si ce dernier reste personna non grata au FN ». Un peu de chantage en somme. Mais en réalité, cette candidature serait davantage un pied de nez au numéro 2 du parti qu’une manœuvre pour affaiblir Marion Maréchal. Celui qui a « déclaré la guerre », selon Jean-Marie Le Pen, est dans le viseur de nombreux élus régionaux qui semblent organiser une fronde contre Florian Philippot. Toutefois, toujours d’après le journal, Bruno Gollnisch, au parti depuis 1983, ne croit pas à une telle candidature et la jugerait « pour le moins hasardeuse ». Jean-Marie Le Pen, lui, n’a pas commenté et laisse planer le doute, comme le commente Le Parisien.

Sepp Blatter à nouveau candidat à la FIFA !

Sepp Blatter à nouveau candidat à la FIFA !

Incroyable mais vrai le vieux bandit s’accroche et se prépare même à être à nouveau candidat à la FIFA ; Il est soutenu par les nombreux membres de la FIFA très corrompus qui ne souhaitent pas qu’on ouvre la boite de pandore.. Une à une, les apparitions prévues de Sepp Blatter en tant que futur ex-président de la Fédération internationale de football (Fifa) – une nouvelle élection doit intervenir avant la fin de l’année – avaient été soigneusement déprogrammées et même pour la plupart annulées. Une présence devenue bien trop encombrante. Aujourd’hui, pourtant, c’est BBC Sport qui fait état de ce retour du Suisse à l’occasion d’une petite fête donnée pour le personnel du futur nouveau musée de la Fifa, qui doit ouvrir ses portes l’an prochain. Loin, très loin d’adopter le profil bas que l’on serait en droit d’attendre de lui dans le contexte que l’on sait, Blatter a bien au contraire cru bon d’alimenter les spéculations, qui lui prêtent l’intention de poursuivre sa mission en déclarant : « Je n’ai pas démissionné, je me suis placé, moi et ma fonction, entre les mains du congrès de la Fifa. » Et de plaisanter en affirmant qu’il n’était pas prêt « à rejoindre un musée », ni à devenir une statue de cire.

 

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