Archive pour le Tag 'candidat'

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Goodyear Amiens : Titan toujours candidat

Goodyear Amiens : Titan toujours candidat

Maurice Taylor est toujours prêt à reprendre l’usine Goodyear d’Amiens-Nord. Sur RTL, ce jeudi 23 janvier, le bouillonnant PDG de Titan a ainsi déclaré : « nous pensons que c’est une bonne, très bonne idée de produire des pneus en France ». « Si nos amis de chez Gocdyear nous appellent, cela nous pose aucun problème et c’est exactement ce que j’ai dit à [Arnaud Montebourg]« , a-t-il déclaré. Il a toutefois déploré ne pas avoir eu de nouvelles d’Arnaud Montebourg, de Goodyear et de la CGT. « Nous devons redémarrer l’usine mais avant nous devons déterminer de quoi nous allons parler avec Goodyear, ce n’est pas comme allumer un interrupteur », a-t-il affirmé.  Hier mercredi, la direction de Goodyear et les syndicats ont signé un protocole d’accord pour mettre fin à un conflit de plusieurs mois sur le site d’ Amiens-Nord, un accord qui prévoit le triplement des indemnités offertes aux salariés. »Ils auraient pu le trouver il y a bien longtemps », a réagi Maurice Taylor. Arnaud Montebourg avait déclaré, le 22 janvier, dans un communiqué que cet accord ouvre la voie à l’offre de reprise de Titan qui sauvegarderait  » à peu près 300 emplois » sur le site. « Nous avons hâte [avec Arnaud Montebourg] de nous mettre d’accord et nous asseoir autour d’un bon verre de vin français », a ajouté Maurice Taylor.

 

Laurent Spanghero seul candidat retenu

Laurent Spanghero seul candidat retenu

 

Le tribunal de commerce de Carcassonne, dans l’Aude, se prononcera vendredi sur la seule offre de reprise retenue pour le groupe de viande et de produits cuisinés Spanghero, celle du co-fondateur Laurent Spanghero et de ses associés. L’autre offre, déposée par les entreprises Delpeyrat et Deveille et soutenue par une partie des salariés, n’a pas été jugée recevable par le tribunal.  Ce projet visait à sauvegarder une centaine d’emplois sur les 240 de l’entreprise de Castelnaudary (Aude), désignée en février dernier comme la principale responsable du scandale européen de la viande de cheval.  « Delpeyrat a présenté ce mardi son projet mais le tribunal a estimé qu’il était incomplet faute d’avoir obtenu un abandon de créance de la part des banques », a dit à Reuters Jean Aparicio, délégué Force ouvrière, qui soutenait ce plan. Christophe Leguevaques, avocat de Laurent Spanghero, qui a cédé l’entreprise en 2009 à la coopérative basque Lur Berri, a confirmé que « seule l’offre de son client était encore en lice ». Le projet porté par Laurent Spanghero est soutenu par un promoteur immobilier de Narbonne, Jacques Blanc, et une société d’investissement, Investeam. Il pourrait sauvegarder une centaine d’emplois dans les deux secteurs d’activité.

 

Primaire 2016: Fillon, faux-cul, candidat « par devoir »

Primaire 2016: Fillon, faux-cul,  candidat « par devoir »

Fillon candidat même su Sarko revient et par devoir en plus. Pourquoi pas comme victime sacrificiel ou martyr ?  Décidemment les hommes politiques manquent d’imagination sémantique. L’ancien Premier ministre François Fillon a affirmé qu’il était candidat à la présidence de la République « par devoir » et non par envie, jeudi lors de l’émission de France 2 « Des paroles et des actes ». S’il est candidat à la primaire UMP de 2016 pour la prochaine présidentielle, « c’est par devoir », a-t-il affirmé. « Pour une raison simple : la situation en France est tellement difficile que chacun doit comprendre la difficulté de gouverner notre pays aujourd’hui. Ca ne peut pas être par envie, en tout cas pas dans la psychologie qui est la mienne ».   »Je le fais parce que je pense que c’est mon devoir, avec l’expérience qui est la mienne, aujourd’hui de proposer aux Français des solutions. Ça sera à eux de choisir », a-t-il ajouté. Interrogé sur ses déclarations de Tokyo et son intention d’être candidat « quoi qu’il arrive » (autrement dit, même si Nicolas Sarkozy revient), François Fillon a expliqué que « l’élection de 2017, ça ne va pas être la revanche de 2012. Avec Sarkozy, « on a un caractère différent ». L’élection de 2017 sera forcément une nouvelle élection, dans un pays qui aura profondément changé ». Nicolas Sarkozy, « je l’ai suivi loyalement comme Premier ministre, on a un caractère différent, une vision différente de l’avenir (…) Aujourd’hui, je veux conduire mon projet politique. Nicolas Sarkozy a dit qu’il voulait se retirer de la vie politique, je ne l’ai jamais entendu dire le contraire ». « S’il voulait revenir dans la vie politique, il aura un projet, il y aura un débat, les Français choisiront », a encore dit le député de Paris. « La question est de savoir qui est le mieux à même pour porter un projet de redressement du pays et c’est une question à laquelle seuls les Français peuvent répondre ».

 

Vivendi candidat pour Dailymotion

Vivendi candidat pour Dailymotion

 

Le PDG de France Télécom affirme qu’il a « reçu de nouvelles propositions de la part de géants européens des médias ».  Selon le site d’informations Wansquare, qui ne cite pas ses sources, les dirigeants de Vivendi ont exprimé jeudi à leurs homologues de France Télécom-Orange un intérêt pour le site de vidéos en ligne Dailymotion, qui appartient à l’opérateur téléphonique, afin d’accroître la partie contenues et médias de Vivendi. Wansquare ajoute que la holding Le Monde Libre, qui réunit les intérêts de Matthieu Pigasse, Xavier Niel – fondateur d’Iliad – et Pierre Bergé dans le groupe Le Monde, a également formalisé une offre jeudi sur Dailymotion. Aucun commentaire n’a pu être obtenu dans l’immédiat auprès de Xavier Niel, tandis que Vivendi a refusé de commenter l’information. L’intervention du ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg pour empêcher que Yahoo acquière plus de la moitié du capital de Dailymotion a suscité des tensions au sein du ministère de l’Economie et continue vendredi d’alimenter la polémique sur la politique entrepreneuriale du gouvernement.

 

 

Medef: Pierre Gattaz candidat unique de l’UIMM

Medef: Pierre Gattaz candidat unique de  l’UIMM

L’Union des industries et métiers de la métallurgie (UIMM) a ainsi été convaincue par l’exposé d’un de ses membres mais n’a pas donné son suffrage au programme de son propre président, Frédéric Saint-Geours.  Celui-ci a immédiatement annoncé son retrait de la course, afin qu’un seul représentant de la branche métallurgie fasse campagne pour l’élection à la présidence de la plus grande organisation patronale de France, prévue le 3 juillet.  Tout au long de la journée, les candidats à la succession de la patronne des patrons Laurence Parisot avaient défilé au siège de l’UIMM à Paris pour être entendus séparément pendant trois quarts d’heure chacun par une centaine de représentants des territoires et des professions de cette organisation.  Les auditions ont été suivies d’un vote à bulletins secrets devant fixer le choix à la majorité simple.  L’UIMM décide de cette manière, à chaque élection où plus d’un candidat se présente, celui qu’elle soutiendra. Mais l’histoire montre que ce dernier n’a pour autant pas la garantie de devenir patron des patrons.  Laurence Parisot avait en effet été élue à la présidence du Medef en 2005 alors qu’elle n’était arrivée que deuxième auprès de la fédération de la métallurgie.   »L’unité de l’UIMM est supérieure à l’ambition personnelle », a déclaré M. Saint-Geours. « J’ai décidé, comme je m’y étais engagé, de retirer ma candidature à la présidence du Medef », a-t-il poursuivi en félicitant Pierre Gattaz et en lui adressant ses « voeux de réussite ».  Après le vote, l’UIMM a néanmoins « manifesté son soutien total et sa confiance à Frédéric Saint-Geours » à sa propre présidence.  Pierre Gattaz, qui s’est dit « fier » du résultat, a réaffirmé sur France Info sa volonté d’incarner un « Medef de conquête », « tourné vers la compétitivité ».  L’attention était jusqu’à présent focalisée sur ces deux industriels aux personnalités et profils très différents.  M. Saint-Geours, ex-directeur des marques de PSA Peugeot Citroën, toujours chargé de mission chez le constructeur automobile en crise, est issu de la gauche. Il a été directeur de cabinet du socialiste Henri Emmanuelli au ministère du Budget de 1984 à 1986, au temps, rappelle-t-il, de la « rigueur ».  M. Gattaz, plus extraverti, est patron de Radiall, producteur de connecteurs électriques, notamment destinés à l’aéronautique, fournisseur du constructeur américain Boeing et exportateur dans de nombreux pays. Ses soutiens insistent sur sa qualité de chef d’entreprise, que revendiquait aussi son rival pour avoir dirigé plusieurs activités pendant 27 ans au sein de PSA.  Accessoirement, il est le fils d’un ancien patron des patrons, Yvon Gattaz, président du CNPF (ancêtre du Medef) de 1981 à 1986.  Parmi les autres candidats figure le président de la Fédération nationale des travaux publics (FNTP) Patrick Bernasconi, considéré un temps comme le dauphin de Mme Parisot avant que celle-ci ne tente, en vain, de faire modifier les statuts du Medef pour briguer un troisième mandat.  M. Bernasconi est réputé bon négociateur, notamment depuis qu’il a discuté avec les syndicats l’accord sur le marché du travail conclu le 11 janvier.  Représentant du secteur des services, comme Mme Parisot, patronne de l’institut de sondage Ifop, Geoffroy Roux de Bézieux est le fondateur du groupe Omea Telecom (Virgin Mobile, Tele2, Breizh Mobile, Casino Mobile).  Candidat moins connu, Thibault Lanxade, dirigeant de la PME Aqoba, opérateur de cartes de paiement sur mesure, est aussi chargé des réflexions sur les petites et moyennes entreprises au sein du Medef.  Moins en vue encore, l’entrepreneur Hervé Lambel, au Medef depuis 6 à 7 ans et patron de HLDC, société spécialisée dans la production cinématographique et de spectacles vivants, a comme les autres été entendu jeudi.  Jean-Claude Volot, l’ancien médiateur interentreprises, a annoncé son désistement en faveur de M. Gattaz.  Le choix définitif doit être fait par les 560 électeurs de l’assemblée générale du Medef à la majorité des deux tiers.

 

Monti candidat en Italie

Monti candidat en Italie

 

 Le chef du gouvernement démissionnaire italien, Mario Monti, a annoncé vendredi soir avoir accepté d’être le chef d’une coalition centriste aux législatives de fin février en Italie, franchissant un pas supplémentaire vers un engagement plus direct dans la campagne. « J’accepte d’assumer le rôle de chef de la coalition et je m’engagerai pour garantir le succès de cette opération », a déclaré Mario Monti au cours d’une conférence de presse impromptue, à l’issue d’une rencontre de quatre heures avec des représentants de groupements centristes et d’organisations civiques. Cet ancien commissaire européen qui a dirigé pendant un an un gouvernement de technocrates, avait été jusqu’à présent plus ambigu et prudent. Dimanche, au cours de sa conférence de presse de fin d’année, le président du Conseil s’était dit prêt à « donner son opinion, son encouragement et, si on me le demande à diriger les forces » adhérant à un programme précis diffusé sur internet, appelé Agenda Monti. Dans la pratique, Mario Monti ne sera pas candidat directement au scrutin, car il est déjà sénateur à vie. Mais son nom figurera sur une série de listes électorales qui seront déposées en janvier, en vue des élections des 24 et 25 février organisées pour renouveler les sièges de députés et sénateurs. Le président du Conseil a tenu à souligner qu’il n’était « pas en train de créer un nouveau parti » mais « un rassemblement pour faire travailler ensemble » les différentes forces qui soutiennent déjà son programme intitulé « Changer l’Italie, réformer l’Europe ». Au Sénat, les forces favorables à Mario Monti formeront une « liste unique » dénommée « Agenda Monti pour l’Italie ». A la Chambre des députés, il s’agira d’une « fédération » de différentes listes, a-t-il ajouté.

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