Archive pour le Tag 'candidat'

Trump : Déjà candidat pour un troisième mandat !

Trump : Déjà candidat pour un troisième mandat !

 

Oubliant sans doute son âge et surtout la constitution américaine, Trump continue sa rhétorique de provocation  en évoquant  la possibilité d’un troisième mandat ce mercredi.

Donald Trump a évoqué la possibilité d’un troisième mandat ce mercredi. Brian Snyder / REUTERS
DÉCRYPTAGE – Le 47e président des États-Unis a fait part ce mercredi de l’hypothèse d’un troisième mandat.

Trump devant des républicaina évoqué l’hypothèse de se représenter à la Maison-Blanche à l’issue de son second mandat, ce qui est interdit par la Constitution américaine. «Je pense que je ne me représenterai pas, à moins que vous ne vous disiez ’’il est bon, nous devons envisager autre chose’’», a-t-il assuré sous les rires de son public. Histoire de préparer une éventuelle modification de la constitution ?

 

Pascal Affi N’Guessan Ancien premier ministre sera candidat pour le Front populaire ivoirien (FP I).

Pascal Affi N’Guessan Ancien premier ministre sera candidat pour le Front populaire ivoirien (FP I).

 

Le paysage ivoirien est encore loin d’être clarifié pour les futures élections présidentielles. D’abord avec l’interrogation sur la possibilité d’une nouvelle candidature d’ADO, actuel président ensuite sur le poids politique va représenter

L’ancien Premier ministre Pascal Affi N’Guessan, opposant de premier plan lors de la présidentielle de 2020, a été désigné samedi candidat à celle qui aura lieu en octobre 2025. Lors d’un congrès à Yamoussoukro, la capitale ivoirienne, il a été réélu président du Front populaire ivoirien (FPI) face à un autre candidat, Pierre Dagbo Godé, avec 99,34% des voix de quelque 4.500 votants.

«C’est avec joie et gaieté mais aussi gravité que je serai votre candidat (…) celui du peuple de Côte d’Ivoire. Je porterai ses aspirations pour construire ensemble une Côte d’Ivoire toujours plus unie», a-t-il déclaré lors d’un discours.

«Ensemble, nous porterons un projet de rupture», a dit Pascal Affi N’Guessan, qui souhaite notamment instaurer une quatrième république, supprimer le Sénat et interdire le cumul des mandats. «J’ai la connaissance des réalités de ce pays», «j’ai l’expérience» et les Ivoiriens «me connaissent suffisamment», a-t-il déclaré à l’AFP.

Son opposition au cumul de mandats

Pascal Affi N’Guessan, ancien Premier ministre (2000-2003) sous le président Laurent Gbagbo (2000-2011) et candidat à la présidentielle de 2015, s’était opposé au troisième mandat brigué par l’actuel président Alassane Ouattara en 2020. Il avait alors annoncé la formation d’un pouvoir parallèle, le Conseil national de transition (CNT). Des tensions lors du scrutin avaient fait 85 morts.

Objet d’enquêtes pour «complot contre l’autorité de l’Etat», «mouvement insurrectionnel», «assassinat» et «actes de terrorisme» avec un autre opposant, il avait passé deux mois en détention provisoire, avant d’être libéré sous contrôle judiciaire, finalement levé.

À lire aussi Côte d’Ivoire: à Abidjan, pouvoir et opposition en quête de dialogue 

L’année dernière, M. Affi N’Guessan avait signé un accord de partenariat avec le parti au pouvoir, le Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP) d’Alassane Ouattara, et avait fait une alliance pour les élections locales. «Ce partenariat était devenu caduc», a-t-il ajouté. Toutefois, «rien n’est exclu, aucune alliance n’est exclue», a-t-il assuré, en particulier avec l’opposition.

Attal aussi candidat à la présidentielle

Attal aussi candidat à la présidentielle

Deux semaines après la déclaration de candidature d’Édouard Philippe pour le «prochain» scrutin, Attal affirme aussi ses prétentions dans ce domaine. 

Ce positionnement pour le prochain scrutin traduit évidemment des ambitions personnelles mais renforce aussi l’hypothèse de la problématique d’un départ anticipé de Macron en cas d’approfondissement de la crise politique. Dans le cas où l’ancien ministre de l’Éducation nationale porterait les couleurs du bloc central, il recueillerait 22% des voix au premier tour, loin derrière les 35% de Marine Le Pen, selon un sondage Ifop-Fiducial pour Le Figaro Magazine et Sud Radio publié la semaine dernière.

 

Alors que le Nouveau-Front-Populaire a remporté le second tour des élections législatives de 2024, Ifop-Fiducial pour Sud Radio et Le Figaro Magazine a interrogé les Français concernant leurs intentions de vote au prochaine élection présidentielle.

 

Dans l’ensemble des scénarios testés, Marine Le Pen conserverait sa place en première position, avec des intentions de vote oscillant entre 34 et 35%. Bénéficiant d’un électorat attrape-tout, Marine Le Pen apparait comme la personnalité politique que les Français souhaitent voir le plus à la présidence de la République après Emmanuel Macron (39% de souhait) devant Edouard Philippe (35%) et Gabriel Attal (33%).

 

Entre Edouard Philippe et Gabriel Attal, le candidat qui ferait le meilleur score face à Marine Le Pen est l’actuel maire du Havre Edouard Philippe avec 27% d’intentions de vote (contre 24% pour Gabriel Attal). Les deux anciens Premiers Ministres semblent capitaliser sur leur distance prise avec Emmanuel Macron (+3 points pour Edouard Philippe et + 4 points pour Gabriel Attal par rapport à avril).

 

En s’intéressant à la gauche, si Jean-Luc Mélenchon arrivait systématiquement troisième avec des intentions de vote entre 9 et 10% (-4 points par rapport à avril dernier), le rapport de force avec les autres partis de gauche s’est rééquilibré : François Hollande, testé pour la première fois, recueillerait une intention de vote non négligeable de 7 et 8% (il se positionne à 1.5 points de Jean-Luc Mélenchon). Quant à lui, Olivier Faure recueillerait 4% des intentions de vote.  Fabien Roussel, avec 5-6% des intentions de vote est en légère hausse par rapport à avril dernier (+1,5 point) tout comme Marine Tondelier (+ 3 points).

 

 

Édouard Philippe, candidat…en 2027

 

 Édouard Philippe, candidat…en 2027

Alors qu’on attend maintenant de façon assez urgente la nomination d’un Premier ministre, Édouard Philippe sort du bois mais pour annoncer sa candidature….. aux élections présidentielles. De quoi ajouter de la confusion à la confusion et en même temps indirectement ouvrir la problématique d’une élection présidentielle éventuellement anticipée  et donc le départ de Macron avant 2027. Le président appréciera sans doute ce geste de « courtoisie » de son ancien premier ministre.

Dans un entretien au Point ce mardi, il annonce être officiellement «candidat à la prochaine élection présidentielle» de 2027.

Au regard de la «situation» parlementaire à la fois «inédite» et «périlleuse», le premier chef de gouvernement d’Emmanuel Macron liste «quatre dangers redoutables» auxquels la France doit faire face : «Démocratique»«budgétaire»«l’immobilisme» et «l’ordre public et la sécurité». Pour y remédier, il confie se «préparer pour proposer des choses aux Français» dans les trois prochaines années. Avec l’espoir de battre sa possible adversaire du RN, Marine Le Pen : «Ce que je proposerai sera massif. Les Français décideront.»

Quant à la question actuelle du choix du Premier ministre, Édouard Philippe évite l’obstacle en déclarant  «soutenir tout premier ministre choisi dans un espace politique qui va de la droite conservatrice à la social-démocratie et qui inscrira son action dans cet espace politique en construisant les compromis pour avancer.»

Politique: Attal pas candidat à Matignon pour un gouvernement éphémère !

Politique: Attal pas candidat à Matignon pour un gouvernement éphémère !

 

Gabriel Attal est sans doute très lucide sur les incertitudes concernant le futur gouvernement. Et par avance, il déclare ne pas être candidat pour en prendre la tête. Compte tenu des contradictions actuelles, il apparaît en effet que l’éventuel compromis qui va aboutir le moment venu un gouvernement pourra assez rapidement voler en éclats. Inutile sans doute pour Attal  de se griller les ailes dans ce gouvernement très provisoire.

 

D’une certaine manière, c’est d’ailleurs le flou artistique concernant l’union introuvable. S’agit-il vraiment de former un gouvernement de personnalités appartenant à différents clans ou de se limiter à la recherche de majorité au cas par cas à l’assemblée nationale mais sans participation directe au gouvernement ( proposition Wauquiez par exemple).

Il est clair qu’à la moindre occasion on pourra trouver une majorité pour censurer le gouvernement. Cette majorité existe potentiellement. Par contre aucune majorité absolue n’est envisageable à l’Assemblée nationale pour conduire la politique. C’est le résultat de ce curieux scrutin du deuxième tour des législatives qui est un scrutin d’opposition au « rassemblement national » et non un scrutin d’adhésion à un programme de gestion.

Attal a bien saisi la grande différence entre ce vote d’opposition et ce vote d’adhésion. Compte tenu des fortes oppositions idéologiques mais aussi d’appareils et d’ambitions personnelles, il est vraisemblable que tout gouvernement de gauche sera rapidement vulnérable surtout compte tenu de la nature des programmes. Pour simplifier par exemple sur le plan des finances, il faudrait économiser de l’ordre de 25 milliards supplémentaires pour entrer dans les clous budgétaires  et stopper la dérive de l’endettement alors que la gauche a prévu 50 à 100 milliards de dépenses !

Avenir d’Attal: pas candidat à Matignon pour un gouvernement éphémère !

Avenir d’Attal: pas candidat à Matignon pour un gouvernement éphémère !

 

Gabriel Attal est sans doute très lucide sur les incertitudes concernant le futur gouvernement. Et par avance, il déclare ne pas être candidat pour en prendre la tête. Compte tenu des contradictions actuelles, il apparaît en effet que l’éventuel compromis qui va aboutir le moment venu un gouvernement pourra assez rapidement voler en éclats. Inutile sans doute pour Attal  de se griller les ailes dans ce gouvernement très provisoire.

 

D’une certaine manière, c’est d’ailleurs le flou artistique concernant l’union introuvable. S’agit-il vraiment de former un gouvernement de personnalités appartenant à différents clans ou de se limiter à la recherche de majorité au cas par cas à l’assemblée nationale mais sans participation directe au gouvernement ( proposition Wauquiez par exemple).

Il est clair qu’à la moindre occasion on pourra trouver une majorité pour censurer le gouvernement. Cette majorité existe potentiellement. Par contre aucune majorité absolue n’est envisageable à l’Assemblée nationale pour conduire la politique. C’est le résultat de ce curieux scrutin du deuxième tour des législatives qui est un scrutin d’opposition au « rassemblement national » et non un scrutin d’adhésion à un programme de gestion.

Attal a bien saisi la grande différence entre ce vote d’opposition et ce vote d’adhésion. Compte tenu des fortes oppositions idéologiques mais aussi d’appareils et d’ambitions personnelles, il est vraisemblable que tout gouvernement de gauche sera rapidement vulnérable surtout compte tenu de la nature des programmes. Pour simplifier par exemple sur le plan des finances, il faudrait économiser de l’ordre de 25 milliards supplémentaires pour entrer dans les clous budgétaires  et stopper la dérive de l’endettement alors que la gauche a prévu 50 à 100 milliards de dépenses !

Attal : pas candidat à Matignon pour un gouvernement éphémère !

Attal : pas candidat à Matignon pour un gouvernement éphémère !

 

Gabriel Attal est sans doute très lucide sur les incertitudes concernant le futur gouvernement. Et par avance, il déclare ne pas être candidat pour en prendre la tête. Compte tenu des contradictions actuelles, il apparaît en effet que l’éventuel compromis qui va aboutir le moment venu un gouvernement pourra assez rapidement voler en éclats. Inutile sans doute pour Attal  de se griller les ailes dans ce gouvernement très provisoire.

 

D’une certaine manière, c’est d’ailleurs le flou artistique concernant l’union introuvable. S’agit-il vraiment de former un gouvernement de personnalités appartenant à différents clans ou de se limiter à la recherche de majorité au cas par cas à l’assemblée nationale mais sans participation directe au gouvernement ( proposition Wauquiez par exemple).

Il est clair qu’à la moindre occasion on pourra trouver une majorité pour censurer le gouvernement. Cette majorité existe potentiellement. Par contre aucune majorité absolue n’est envisageable à l’Assemblée nationale pour conduire la politique. C’est le résultat de ce curieux scrutin du deuxième tour des législatives qui est un scrutin d’opposition au « rassemblement national » et non un scrutin d’adhésion à un programme de gestion.

Attal a bien saisi la grande différence entre ce vote d’opposition et ce vote d’adhésion. Compte tenu des fortes oppositions idéologiques mais aussi d’appareils et d’ambitions personnelles, il est vraisemblable que tout gouvernement de gauche sera rapidement vulnérable surtout compte tenu de la nature des programmes. Pour simplifier par exemple sur le plan des finances, il faudrait économiser de l’ordre de 25 milliards supplémentaires pour entrer dans les clous budgétaires  et stopper la dérive de l’endettement alors que la gauche a prévu 50 à 100 milliards de dépenses !

Raquel Garrido se désiste pour le candidat officiel de LFI

Raquel Garrido se désiste pour le candidat  officiel de LFI

« Je me désiste ». Raquel Garrido abandonne la course. La députée sortante de la cinquième circonscription de Seine-Saint-Denis, candidate à sa réélection, annonce sur BFMTV ce lundi 1er juillet qu’elle ne se maintiendra pas au second tour ce dimanche. Au premier tour, elle était arrivée en troisième position (23,65%) derrière l’UDI Aude Lagarde (24,56%) et l’insoumis Aly Diouara (33,10%).

« Je n’ai pas de principe à géométrie variable », justifie l’ancienne avocate. « La Sixième République, c’est aussi une éthique dans la politique ».

Plus tôt ce lundi, Alexis Corbière et Danielle Simonnet demandaient aux candidats LFI investis à leur place de se désister en leur faveur, Raquel Garrido se déclarant prête en échange à retirer sa candidature au profit du candidat « officiel » du mouvement.

  »Ma position de principe, qui est de me désister, je ne peux pas la porter seule, ça serait trop injuste. Nous devons nous désister ensemble », avait-elle déclaré à l’adresse de Sabrina Ali Benali (7e circonscription de Seine-Saint-Denis) et Céline Verzeletti (15e de Paris).

 

Bruno Le Maire, déjà candidat en 2027

Bruno Le Maire, déjà candidat en 2027

Alors que le camp des Républicains peine à trouver un responsable actuellement pour un parti en régression, on risque de voir émerger nombre de candidatures pour 2027. Récemment c’était le ministre de l’intérieur qui annonçait de se préparer pour des échéances ultérieures et maintenant c’est Bruno Lemaire. On peut penser qu’il y en aura d’autres du même camp sans parler évidemment d’Édouard Philippe qui, lui aussi, vient  des républicains. 

« Dans la vie, il ne faut pas exclure, il faut inclure. » Bruno Le Maire pourrait-il être candidat à l’élection présidentielle de 2027 ? Le ministre de l’Économie a accordé un entretien à BFMTV dans la soirée de ce mercredi 26 juin. Interrogé sur une possible candidature en 2027, il n’a pas écarté cette possibilité, tout en restant très vague. À l’approche du premier tour des élections législatives, prévu dimanche 30 juin, et du second tour le 7 juillet prochain, Bruno Le Maire a promis de donner sa consigne de vote le 1er juillet. Il n’a néanmoins pas indiqué ce qu’il ferait à l’issue du scrutin mais a assuré : « Avant la fin de l’été, je vous promets, vous saurez ce que je deviens. » 

Et de s’en  prendre au Rassemblement national (RN) et au Nouveau Front populaire en pointant les « points communs » de leurs programmes. « Les points communs des programmes des deux extrêmes c’est travailler moins pour gagner plus, c’est renoncer au travail et à la force du travail, c’est détruire la nation de production que nous étions en train de recréer avec la majorité », a-t-il enfin jugé sur le plateau de la chaîne d’informations.

Législatives : Aurélien Rousseau, ancien ministre de Macron , candidat… à gauche

Législatives : Aurélien Rousseau, ancien ministre de Macron , candidat… à gauche

 

 

Politique-Mélenchon, Candidat premier ministre !

Politique-Mélenchon,  Candidat premier ministre !

 

Invité du JT de France 2 ce mercredi 12 juin, Jean-Luc Mélenchon affirme se « sentir capable » d’aller à Matignon, tout en affirmant n’être candidat « à rien du tout » et appelant à « attendre » le résultat des élections.(info BFM)

Le leader insoumis a assuré soutenir la proposition faite par le socialiste Olivier Faure: « c’est le groupe parlementaire le plus important qui propose » son candidat, ce qui ne revient pas à « imposer », a-t-il précisé.

Les alliés socialiste, communiste et écologiste de La France insoumise ont déjà tous assuré que l’union de la gauche autour d’un « front populaire » pour les législatives anticipées ne se ferait pas derrière Jean-Luc Mélenchon, lui préférant une « personnalité consensuelle ».

« Il n’y a pas de logique à ce que Jean-Luc Mélenchon soit le candidat » de l’union de la gauche pour Matignon, en cas de majorité à l’Assemblée, a prévenu le premier secrétaire du PS Olivier Faure sur TF1, rappelant que pendant la campagne des européennes « certains mots sont restés en travers de ma gorge ».

Selon le député, « il y avait une espèce d’évidence » lors des précédentes législatives car le leader insoumis avait fait 22% à la présidentielle. Mais dimanche, « c’est Raphaël Glucksmann qui est arrivé en tête de la gauche », a-t-il complété.

Jean-Luc Mélenchon? « Il n’était pas dans les discussions, nous sommes en train de construire autre chose », a abondé le patron des communistes Fabien Roussel sur France2, dont l’inimitié avec l’ancien triple candidat à la présidentielle est notoire.

De son côté, la députée écologiste Sandrine Rousseau a défendu le choix d’une « personne consensuelle » pour mener la campagne du « front populaire ».

« La question de Jean-Luc Mélenchon n’est pas consensuelle dans cet accord », a-t-elle expliqué sur LCI, évoquant les noms de l’insoumis François Ruffin ou de l’ancien dirigeant de la CFDT Laurent Berger, déjà évoqué par Raphaël Glucksmann.

Mélenchon, Candidat premier ministre !

Mélenchon,  Candidat premier ministre !

 

Invité du JT de France 2 ce mercredi 12 juin, Jean-Luc Mélenchon affirme se « sentir capable » d’aller à Matignon, tout en affirmant n’être candidat « à rien du tout » et appelant à « attendre » le résultat des élections.(info BFM)

Le leader insoumis a assuré soutenir la proposition faite par le socialiste Olivier Faure: « c’est le groupe parlementaire le plus important qui propose » son candidat, ce qui ne revient pas à « imposer », a-t-il précisé.

Les alliés socialiste, communiste et écologiste de La France insoumise ont déjà tous assuré que l’union de la gauche autour d’un « front populaire » pour les législatives anticipées ne se ferait pas derrière Jean-Luc Mélenchon, lui préférant une « personnalité consensuelle ».

« Il n’y a pas de logique à ce que Jean-Luc Mélenchon soit le candidat » de l’union de la gauche pour Matignon, en cas de majorité à l’Assemblée, a prévenu le premier secrétaire du PS Olivier Faure sur TF1, rappelant que pendant la campagne des européennes « certains mots sont restés en travers de ma gorge ».

Selon le député, « il y avait une espèce d’évidence » lors des précédentes législatives car le leader insoumis avait fait 22% à la présidentielle. Mais dimanche, « c’est Raphaël Glucksmann qui est arrivé en tête de la gauche », a-t-il complété.

Jean-Luc Mélenchon? « Il n’était pas dans les discussions, nous sommes en train de construire autre chose », a abondé le patron des communistes Fabien Roussel sur France2, dont l’inimitié avec l’ancien triple candidat à la présidentielle est notoire.

De son côté, la députée écologiste Sandrine Rousseau a défendu le choix d’une « personne consensuelle » pour mener la campagne du « front populaire ».

« La question de Jean-Luc Mélenchon n’est pas consensuelle dans cet accord », a-t-elle expliqué sur LCI, évoquant les noms de l’insoumis François Ruffin ou de l’ancien dirigeant de la CFDT Laurent Berger, déjà évoqué par Raphaël Glucksmann.

Mexique : un 25e candidat aux élections tué par les réseaux de drogue

Mexique : un 25e candidat aux élections tué par les réseaux de drogue

Dans la société des réseaux de narco trafiquants, l’assassinat des candidats aux élections se développe on vient en effet d’assister au 25e candidat tué par des réseaux de drogue.

 

Un nouveau candidat aux élections municipales a été assassiné vendredi 31 mai dans l’État de Puebla, dans le centre du Mexique, à moins de 48 heures des élections générales dans le pays, marquées par l’assassinat de plus d’une vingtaine de personnes qui briguaient des mandats locaux, selon les autorités. Jorge Huerta Cabrera, candidat pour un siège au conseil municipal d’Izucar de Matamoros, une ville d’environ 80.000 habitants, a été tué et son épouse et un collaborateur blessés dans l’attentat, ont indiqué à l’AFP une source du gouvernement de l’État de Puebla ainsi qu’un fonctionnaire du parquet. Selon les médias mexicains, Jorge Huerta Cabrera, 30 ans, a été abattu de plusieurs balles en plein jour, alors qu’il descendait de son véhicule.

 

Puigdemont, l’indépendantiste, candidat à la présidence catalane

Puigdemont, l’indépendantiste,  candidat à la présidence catalane

 
Bien qu’il soit toujours menacé d’arrestation en Espagne, l’indépendantiste entend se présenter à la présidence de la Catalogne. Carles Puigdemont a fui l’Espagne en 2017 à la suite d’une déclaration unilatérale d’indépendance qui a incité Madrid à destituer l’exécutif autonome de Catalogne, à dissoudre le Parlement régional et à mettre sous tutelle la région. 

Le dirigeant indépendantiste catalan en exil Carles Puigdemont a fait part jeudi de son intention de se présenter à la présidence de la Catalogne lors des élections régionale prévues en mai, ouvrant la voie à un retour en Espagne, où il risque l’arrestation.

« C’est le moment d’y être (en Catalogne). Soyons clair, mon objectif est de parachever le processus d’indépendance que nous avons ouvert en octobre 2017″, a dit Carles Puigdemont dans un discours prononcé à Elne, commune des Pyrénées-Orientales située à une trentaine de kilomètres de la frontière espagnole.

 

Politique- Élections européennes : Hollande ne sera pas candidat; Ouf !

Politique- Élections européennes : Hollande ne sera pas candidat, Ouf !

Voilà la France rassurée d’un danger supplémentaire écarté: Hollande ne sera pas Candidat pour les européennes en 2024. Un non-événement évidemment mais qui donne l’occasion à l’ancien président de faire encore parler de lui même pour rien. Et de croire qu’il a toujours une influence avec des propos toujours aussi bizarres et ambigus .

François Hollande assure dans un entretien accordé ce samedi 2 décembre à Ouest-France que «non, pas candidat, mais je jouerai un rôle». Sans doute un rôle de figurant !

«J’appuierai la liste socialiste si elle s’élargit à toutes les composantes du PS et à des mouvements extérieurs, comme celui de Bernard Cazeneuve (son ancien premier ministre et ministre de l’Intérieur, qui a quitté le PS et créé son propre mouvement, NDLR), et les radicaux…» du Parti radical de gauche (PRG), deux opposants à la Nupes.

L’ancien président de la République (2012-2017) estime que «seul cet élargissement peut donner une nouvelle force à l’idée sociale-démocrate», notamment en vue de la présidentielle de 2027.

«La direction du Parti socialiste n’a pas le choix. Elle doit accepter d’ouvrir largement sa liste», insiste l’ancien président, alors que le patron du PS Olivier Faure n’entend pas inviter Bernard Cazeneuve ou le PRG. «Le PS a besoin que Bernard Cazeneuve s’investisse personnellement dans cette campagne. Pour bien le connaître je le considère comme un atout», assure François Hollande.

Le PRG, opposé à toute alliance avec LFI, a annoncé fin novembre qu’il voulait présenter sa propre liste aux élections européennes, appelant le PS à sortir de «l’ambiguïté» et invitant Raphaël Glucksmann à ne pas être «le chef de file d’une liste du moratoire».

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