Archive pour le Tag 'candidat'

Édouard Philippe, candidat…en 2027

 

 Édouard Philippe, candidat…en 2027

Alors qu’on attend maintenant de façon assez urgente la nomination d’un Premier ministre, Édouard Philippe sort du bois mais pour annoncer sa candidature….. aux élections présidentielles. De quoi ajouter de la confusion à la confusion et en même temps indirectement ouvrir la problématique d’une élection présidentielle éventuellement anticipée  et donc le départ de Macron avant 2027. Le président appréciera sans doute ce geste de « courtoisie » de son ancien premier ministre.

Dans un entretien au Point ce mardi, il annonce être officiellement «candidat à la prochaine élection présidentielle» de 2027.

Au regard de la «situation» parlementaire à la fois «inédite» et «périlleuse», le premier chef de gouvernement d’Emmanuel Macron liste «quatre dangers redoutables» auxquels la France doit faire face : «Démocratique»«budgétaire»«l’immobilisme» et «l’ordre public et la sécurité». Pour y remédier, il confie se «préparer pour proposer des choses aux Français» dans les trois prochaines années. Avec l’espoir de battre sa possible adversaire du RN, Marine Le Pen : «Ce que je proposerai sera massif. Les Français décideront.»

Quant à la question actuelle du choix du Premier ministre, Édouard Philippe évite l’obstacle en déclarant  «soutenir tout premier ministre choisi dans un espace politique qui va de la droite conservatrice à la social-démocratie et qui inscrira son action dans cet espace politique en construisant les compromis pour avancer.»

Politique: Attal pas candidat à Matignon pour un gouvernement éphémère !

Politique: Attal pas candidat à Matignon pour un gouvernement éphémère !

 

Gabriel Attal est sans doute très lucide sur les incertitudes concernant le futur gouvernement. Et par avance, il déclare ne pas être candidat pour en prendre la tête. Compte tenu des contradictions actuelles, il apparaît en effet que l’éventuel compromis qui va aboutir le moment venu un gouvernement pourra assez rapidement voler en éclats. Inutile sans doute pour Attal  de se griller les ailes dans ce gouvernement très provisoire.

 

D’une certaine manière, c’est d’ailleurs le flou artistique concernant l’union introuvable. S’agit-il vraiment de former un gouvernement de personnalités appartenant à différents clans ou de se limiter à la recherche de majorité au cas par cas à l’assemblée nationale mais sans participation directe au gouvernement ( proposition Wauquiez par exemple).

Il est clair qu’à la moindre occasion on pourra trouver une majorité pour censurer le gouvernement. Cette majorité existe potentiellement. Par contre aucune majorité absolue n’est envisageable à l’Assemblée nationale pour conduire la politique. C’est le résultat de ce curieux scrutin du deuxième tour des législatives qui est un scrutin d’opposition au « rassemblement national » et non un scrutin d’adhésion à un programme de gestion.

Attal a bien saisi la grande différence entre ce vote d’opposition et ce vote d’adhésion. Compte tenu des fortes oppositions idéologiques mais aussi d’appareils et d’ambitions personnelles, il est vraisemblable que tout gouvernement de gauche sera rapidement vulnérable surtout compte tenu de la nature des programmes. Pour simplifier par exemple sur le plan des finances, il faudrait économiser de l’ordre de 25 milliards supplémentaires pour entrer dans les clous budgétaires  et stopper la dérive de l’endettement alors que la gauche a prévu 50 à 100 milliards de dépenses !

Avenir d’Attal: pas candidat à Matignon pour un gouvernement éphémère !

Avenir d’Attal: pas candidat à Matignon pour un gouvernement éphémère !

 

Gabriel Attal est sans doute très lucide sur les incertitudes concernant le futur gouvernement. Et par avance, il déclare ne pas être candidat pour en prendre la tête. Compte tenu des contradictions actuelles, il apparaît en effet que l’éventuel compromis qui va aboutir le moment venu un gouvernement pourra assez rapidement voler en éclats. Inutile sans doute pour Attal  de se griller les ailes dans ce gouvernement très provisoire.

 

D’une certaine manière, c’est d’ailleurs le flou artistique concernant l’union introuvable. S’agit-il vraiment de former un gouvernement de personnalités appartenant à différents clans ou de se limiter à la recherche de majorité au cas par cas à l’assemblée nationale mais sans participation directe au gouvernement ( proposition Wauquiez par exemple).

Il est clair qu’à la moindre occasion on pourra trouver une majorité pour censurer le gouvernement. Cette majorité existe potentiellement. Par contre aucune majorité absolue n’est envisageable à l’Assemblée nationale pour conduire la politique. C’est le résultat de ce curieux scrutin du deuxième tour des législatives qui est un scrutin d’opposition au « rassemblement national » et non un scrutin d’adhésion à un programme de gestion.

Attal a bien saisi la grande différence entre ce vote d’opposition et ce vote d’adhésion. Compte tenu des fortes oppositions idéologiques mais aussi d’appareils et d’ambitions personnelles, il est vraisemblable que tout gouvernement de gauche sera rapidement vulnérable surtout compte tenu de la nature des programmes. Pour simplifier par exemple sur le plan des finances, il faudrait économiser de l’ordre de 25 milliards supplémentaires pour entrer dans les clous budgétaires  et stopper la dérive de l’endettement alors que la gauche a prévu 50 à 100 milliards de dépenses !

Attal : pas candidat à Matignon pour un gouvernement éphémère !

Attal : pas candidat à Matignon pour un gouvernement éphémère !

 

Gabriel Attal est sans doute très lucide sur les incertitudes concernant le futur gouvernement. Et par avance, il déclare ne pas être candidat pour en prendre la tête. Compte tenu des contradictions actuelles, il apparaît en effet que l’éventuel compromis qui va aboutir le moment venu un gouvernement pourra assez rapidement voler en éclats. Inutile sans doute pour Attal  de se griller les ailes dans ce gouvernement très provisoire.

 

D’une certaine manière, c’est d’ailleurs le flou artistique concernant l’union introuvable. S’agit-il vraiment de former un gouvernement de personnalités appartenant à différents clans ou de se limiter à la recherche de majorité au cas par cas à l’assemblée nationale mais sans participation directe au gouvernement ( proposition Wauquiez par exemple).

Il est clair qu’à la moindre occasion on pourra trouver une majorité pour censurer le gouvernement. Cette majorité existe potentiellement. Par contre aucune majorité absolue n’est envisageable à l’Assemblée nationale pour conduire la politique. C’est le résultat de ce curieux scrutin du deuxième tour des législatives qui est un scrutin d’opposition au « rassemblement national » et non un scrutin d’adhésion à un programme de gestion.

Attal a bien saisi la grande différence entre ce vote d’opposition et ce vote d’adhésion. Compte tenu des fortes oppositions idéologiques mais aussi d’appareils et d’ambitions personnelles, il est vraisemblable que tout gouvernement de gauche sera rapidement vulnérable surtout compte tenu de la nature des programmes. Pour simplifier par exemple sur le plan des finances, il faudrait économiser de l’ordre de 25 milliards supplémentaires pour entrer dans les clous budgétaires  et stopper la dérive de l’endettement alors que la gauche a prévu 50 à 100 milliards de dépenses !

Raquel Garrido se désiste pour le candidat officiel de LFI

Raquel Garrido se désiste pour le candidat  officiel de LFI

« Je me désiste ». Raquel Garrido abandonne la course. La députée sortante de la cinquième circonscription de Seine-Saint-Denis, candidate à sa réélection, annonce sur BFMTV ce lundi 1er juillet qu’elle ne se maintiendra pas au second tour ce dimanche. Au premier tour, elle était arrivée en troisième position (23,65%) derrière l’UDI Aude Lagarde (24,56%) et l’insoumis Aly Diouara (33,10%).

« Je n’ai pas de principe à géométrie variable », justifie l’ancienne avocate. « La Sixième République, c’est aussi une éthique dans la politique ».

Plus tôt ce lundi, Alexis Corbière et Danielle Simonnet demandaient aux candidats LFI investis à leur place de se désister en leur faveur, Raquel Garrido se déclarant prête en échange à retirer sa candidature au profit du candidat « officiel » du mouvement.

  »Ma position de principe, qui est de me désister, je ne peux pas la porter seule, ça serait trop injuste. Nous devons nous désister ensemble », avait-elle déclaré à l’adresse de Sabrina Ali Benali (7e circonscription de Seine-Saint-Denis) et Céline Verzeletti (15e de Paris).

 

Bruno Le Maire, déjà candidat en 2027

Bruno Le Maire, déjà candidat en 2027

Alors que le camp des Républicains peine à trouver un responsable actuellement pour un parti en régression, on risque de voir émerger nombre de candidatures pour 2027. Récemment c’était le ministre de l’intérieur qui annonçait de se préparer pour des échéances ultérieures et maintenant c’est Bruno Lemaire. On peut penser qu’il y en aura d’autres du même camp sans parler évidemment d’Édouard Philippe qui, lui aussi, vient  des républicains. 

« Dans la vie, il ne faut pas exclure, il faut inclure. » Bruno Le Maire pourrait-il être candidat à l’élection présidentielle de 2027 ? Le ministre de l’Économie a accordé un entretien à BFMTV dans la soirée de ce mercredi 26 juin. Interrogé sur une possible candidature en 2027, il n’a pas écarté cette possibilité, tout en restant très vague. À l’approche du premier tour des élections législatives, prévu dimanche 30 juin, et du second tour le 7 juillet prochain, Bruno Le Maire a promis de donner sa consigne de vote le 1er juillet. Il n’a néanmoins pas indiqué ce qu’il ferait à l’issue du scrutin mais a assuré : « Avant la fin de l’été, je vous promets, vous saurez ce que je deviens. » 

Et de s’en  prendre au Rassemblement national (RN) et au Nouveau Front populaire en pointant les « points communs » de leurs programmes. « Les points communs des programmes des deux extrêmes c’est travailler moins pour gagner plus, c’est renoncer au travail et à la force du travail, c’est détruire la nation de production que nous étions en train de recréer avec la majorité », a-t-il enfin jugé sur le plateau de la chaîne d’informations.

Législatives : Aurélien Rousseau, ancien ministre de Macron , candidat… à gauche

Législatives : Aurélien Rousseau, ancien ministre de Macron , candidat… à gauche

 

 

Politique-Mélenchon, Candidat premier ministre !

Politique-Mélenchon,  Candidat premier ministre !

 

Invité du JT de France 2 ce mercredi 12 juin, Jean-Luc Mélenchon affirme se « sentir capable » d’aller à Matignon, tout en affirmant n’être candidat « à rien du tout » et appelant à « attendre » le résultat des élections.(info BFM)

Le leader insoumis a assuré soutenir la proposition faite par le socialiste Olivier Faure: « c’est le groupe parlementaire le plus important qui propose » son candidat, ce qui ne revient pas à « imposer », a-t-il précisé.

Les alliés socialiste, communiste et écologiste de La France insoumise ont déjà tous assuré que l’union de la gauche autour d’un « front populaire » pour les législatives anticipées ne se ferait pas derrière Jean-Luc Mélenchon, lui préférant une « personnalité consensuelle ».

« Il n’y a pas de logique à ce que Jean-Luc Mélenchon soit le candidat » de l’union de la gauche pour Matignon, en cas de majorité à l’Assemblée, a prévenu le premier secrétaire du PS Olivier Faure sur TF1, rappelant que pendant la campagne des européennes « certains mots sont restés en travers de ma gorge ».

Selon le député, « il y avait une espèce d’évidence » lors des précédentes législatives car le leader insoumis avait fait 22% à la présidentielle. Mais dimanche, « c’est Raphaël Glucksmann qui est arrivé en tête de la gauche », a-t-il complété.

Jean-Luc Mélenchon? « Il n’était pas dans les discussions, nous sommes en train de construire autre chose », a abondé le patron des communistes Fabien Roussel sur France2, dont l’inimitié avec l’ancien triple candidat à la présidentielle est notoire.

De son côté, la députée écologiste Sandrine Rousseau a défendu le choix d’une « personne consensuelle » pour mener la campagne du « front populaire ».

« La question de Jean-Luc Mélenchon n’est pas consensuelle dans cet accord », a-t-elle expliqué sur LCI, évoquant les noms de l’insoumis François Ruffin ou de l’ancien dirigeant de la CFDT Laurent Berger, déjà évoqué par Raphaël Glucksmann.

Mélenchon, Candidat premier ministre !

Mélenchon,  Candidat premier ministre !

 

Invité du JT de France 2 ce mercredi 12 juin, Jean-Luc Mélenchon affirme se « sentir capable » d’aller à Matignon, tout en affirmant n’être candidat « à rien du tout » et appelant à « attendre » le résultat des élections.(info BFM)

Le leader insoumis a assuré soutenir la proposition faite par le socialiste Olivier Faure: « c’est le groupe parlementaire le plus important qui propose » son candidat, ce qui ne revient pas à « imposer », a-t-il précisé.

Les alliés socialiste, communiste et écologiste de La France insoumise ont déjà tous assuré que l’union de la gauche autour d’un « front populaire » pour les législatives anticipées ne se ferait pas derrière Jean-Luc Mélenchon, lui préférant une « personnalité consensuelle ».

« Il n’y a pas de logique à ce que Jean-Luc Mélenchon soit le candidat » de l’union de la gauche pour Matignon, en cas de majorité à l’Assemblée, a prévenu le premier secrétaire du PS Olivier Faure sur TF1, rappelant que pendant la campagne des européennes « certains mots sont restés en travers de ma gorge ».

Selon le député, « il y avait une espèce d’évidence » lors des précédentes législatives car le leader insoumis avait fait 22% à la présidentielle. Mais dimanche, « c’est Raphaël Glucksmann qui est arrivé en tête de la gauche », a-t-il complété.

Jean-Luc Mélenchon? « Il n’était pas dans les discussions, nous sommes en train de construire autre chose », a abondé le patron des communistes Fabien Roussel sur France2, dont l’inimitié avec l’ancien triple candidat à la présidentielle est notoire.

De son côté, la députée écologiste Sandrine Rousseau a défendu le choix d’une « personne consensuelle » pour mener la campagne du « front populaire ».

« La question de Jean-Luc Mélenchon n’est pas consensuelle dans cet accord », a-t-elle expliqué sur LCI, évoquant les noms de l’insoumis François Ruffin ou de l’ancien dirigeant de la CFDT Laurent Berger, déjà évoqué par Raphaël Glucksmann.

Mexique : un 25e candidat aux élections tué par les réseaux de drogue

Mexique : un 25e candidat aux élections tué par les réseaux de drogue

Dans la société des réseaux de narco trafiquants, l’assassinat des candidats aux élections se développe on vient en effet d’assister au 25e candidat tué par des réseaux de drogue.

 

Un nouveau candidat aux élections municipales a été assassiné vendredi 31 mai dans l’État de Puebla, dans le centre du Mexique, à moins de 48 heures des élections générales dans le pays, marquées par l’assassinat de plus d’une vingtaine de personnes qui briguaient des mandats locaux, selon les autorités. Jorge Huerta Cabrera, candidat pour un siège au conseil municipal d’Izucar de Matamoros, une ville d’environ 80.000 habitants, a été tué et son épouse et un collaborateur blessés dans l’attentat, ont indiqué à l’AFP une source du gouvernement de l’État de Puebla ainsi qu’un fonctionnaire du parquet. Selon les médias mexicains, Jorge Huerta Cabrera, 30 ans, a été abattu de plusieurs balles en plein jour, alors qu’il descendait de son véhicule.

 

Puigdemont, l’indépendantiste, candidat à la présidence catalane

Puigdemont, l’indépendantiste,  candidat à la présidence catalane

 
Bien qu’il soit toujours menacé d’arrestation en Espagne, l’indépendantiste entend se présenter à la présidence de la Catalogne. Carles Puigdemont a fui l’Espagne en 2017 à la suite d’une déclaration unilatérale d’indépendance qui a incité Madrid à destituer l’exécutif autonome de Catalogne, à dissoudre le Parlement régional et à mettre sous tutelle la région. 

Le dirigeant indépendantiste catalan en exil Carles Puigdemont a fait part jeudi de son intention de se présenter à la présidence de la Catalogne lors des élections régionale prévues en mai, ouvrant la voie à un retour en Espagne, où il risque l’arrestation.

« C’est le moment d’y être (en Catalogne). Soyons clair, mon objectif est de parachever le processus d’indépendance que nous avons ouvert en octobre 2017″, a dit Carles Puigdemont dans un discours prononcé à Elne, commune des Pyrénées-Orientales située à une trentaine de kilomètres de la frontière espagnole.

 

Politique- Élections européennes : Hollande ne sera pas candidat; Ouf !

Politique- Élections européennes : Hollande ne sera pas candidat, Ouf !

Voilà la France rassurée d’un danger supplémentaire écarté: Hollande ne sera pas Candidat pour les européennes en 2024. Un non-événement évidemment mais qui donne l’occasion à l’ancien président de faire encore parler de lui même pour rien. Et de croire qu’il a toujours une influence avec des propos toujours aussi bizarres et ambigus .

François Hollande assure dans un entretien accordé ce samedi 2 décembre à Ouest-France que «non, pas candidat, mais je jouerai un rôle». Sans doute un rôle de figurant !

«J’appuierai la liste socialiste si elle s’élargit à toutes les composantes du PS et à des mouvements extérieurs, comme celui de Bernard Cazeneuve (son ancien premier ministre et ministre de l’Intérieur, qui a quitté le PS et créé son propre mouvement, NDLR), et les radicaux…» du Parti radical de gauche (PRG), deux opposants à la Nupes.

L’ancien président de la République (2012-2017) estime que «seul cet élargissement peut donner une nouvelle force à l’idée sociale-démocrate», notamment en vue de la présidentielle de 2027.

«La direction du Parti socialiste n’a pas le choix. Elle doit accepter d’ouvrir largement sa liste», insiste l’ancien président, alors que le patron du PS Olivier Faure n’entend pas inviter Bernard Cazeneuve ou le PRG. «Le PS a besoin que Bernard Cazeneuve s’investisse personnellement dans cette campagne. Pour bien le connaître je le considère comme un atout», assure François Hollande.

Le PRG, opposé à toute alliance avec LFI, a annoncé fin novembre qu’il voulait présenter sa propre liste aux élections européennes, appelant le PS à sortir de «l’ambiguïté» et invitant Raphaël Glucksmann à ne pas être «le chef de file d’une liste du moratoire».

Élections européennes : Hollande ne sera pas candidat, Ouf !

Élections européennes : Hollande ne sera pas candidat, Ouf !

Voilà la France rassurée d’un danger supplémentaire écarté: Hollande ne sera pas Candidat pour les européennes en 2024. Un non-événement évidemment mais qui donne l’occasion à l’ancien président de faire encore parler de lui même pour rien. Et de croire qu’il a toujours une influence avec des propos toujours aussi bizarres et ambigus .

François Hollande assure dans un entretien accordé ce samedi 2 décembre à Ouest-France que «non, pas candidat, mais je jouerai un rôle». Sans doute un rôle de figurant !

«J’appuierai la liste socialiste si elle s’élargit à toutes les composantes du PS et à des mouvements extérieurs, comme celui de Bernard Cazeneuve (son ancien premier ministre et ministre de l’Intérieur, qui a quitté le PS et créé son propre mouvement, NDLR), et les radicaux…» du Parti radical de gauche (PRG), deux opposants à la Nupes.

L’ancien président de la République (2012-2017) estime que «seul cet élargissement peut donner une nouvelle force à l’idée sociale-démocrate», notamment en vue de la présidentielle de 2027.

«La direction du Parti socialiste n’a pas le choix. Elle doit accepter d’ouvrir largement sa liste», insiste l’ancien président, alors que le patron du PS Olivier Faure n’entend pas inviter Bernard Cazeneuve ou le PRG. «Le PS a besoin que Bernard Cazeneuve s’investisse personnellement dans cette campagne. Pour bien le connaître je le considère comme un atout», assure François Hollande.

Le PRG, opposé à toute alliance avec LFI, a annoncé fin novembre qu’il voulait présenter sa propre liste aux élections européennes, appelant le PS à sortir de «l’ambiguïté» et invitant Raphaël Glucksmann à ne pas être «le chef de file d’une liste du moratoire».

Poutine candidat -déjà élu -aux présidentielles en 2024 !

Poutine candidat -déjà élu- aux présidentielles en 2024 !

À la « surprise presque générale », Poutine est donc candidat–évidemment déjà élu- aux présidentielles russes en 2024. Déjà élu parce qu’évidemment il n’y aura pas de candidat d’opposition crédible, la plupart ayant été tués ou mis en prison. Ensuite, parce que les résultats dans cette dictature sont déjà proclamés avant même le dépouillement. On pourrait suggérer à la Russie et à Poutine en particulier d’éviter cette procédure bureaucratique que constituent les élections en Russie afin d’économiser les moyens d’un pays en moyenne condamné à la misère et à l’oppression.

Vladimir Poutine pourra donc rester au pouvoir jusqu’en 2030 au moins. Avec une cote de popularité de 80% en Russie, l’élection n’est qu’une formalité pour Vladimir Poutine s’il se présente : avec le soutien de l’Etat, des médias d’Etat et la quasi-absence de dissidence au sein de l’opinion publique, le dirigeant est certain de l’emporter.

Le président russe, qui a fêté son 71e anniversaire le 7 octobre, est au pouvoir depuis qu’il a été nommé Premier ministre en 1999 par Boris Eltsine. Il est à ce jour le dirigeant russe à la longévité la plus longue depuis Josef Staline. Le Kremlin a rejeté les informations selon lesquelles Vladimir Poutine était souffrant, les qualifiant de désinformation diffusée par l’Occident.

Ligue 1 foot: Compte tenu de la médiocrité aucun candidat pour téléviser

Ligue 1 foot: Compte tenu de la médiocrité aucun candidat pour téléviser


La ligue de football le français espérait une recette d’un milliard pour la télévision des matchs mais aucun candidat n’a voulu prendre le risque de répondre à l’appel d’offres. La preuve que la médiocrité générale du football français qui n’attire pas vraiment les mordus du sport a des conséquences économiques.

Sans discussion possible le spectacle offert par le championnat français n’a rien à voir avec d’autres championnats notamment évidemment le championnat anglais .

Le foot français joue aujourd’hui en deuxième division au plan des clubs loin derrière les Anglais, les Allemands, l’Espagne et même l’Italie.

La France joue en deuxième division comme le prouve d’ailleurs les résultats particulièrement médiocres dans les différentes compétitions européennes. En règle générale, tous les clubs français sont à peu près éliminé de ces compétitions vers la fin de l’année.

Il y a une vraie réflexion engagée à propos de la faiblesse du niveau du football français en club. On objectera que les résultats de l’équipe de France, eux, sont notoirement plus satisfaisants. Sans doute en raison du fait que la plupart des joueurs jouent précisément dans les grands championnats étrangers avec notamment un autre engagement physique.

L’absence de candidat pour télévisé les matcha constitue un camouflet pour le foot français. « Aucun des cinq lots » des droits TV de la Ligue 1 pour la période 2024-2029 n’a été attribué aux enchères mardi, a annoncé la Ligue de football professionnel (LFP), précisant que le « processus de commercialisation » allait se poursuivre. « Après avoir reçu plusieurs offres qualitatives et dispositifs de garantie financière sur l’ensemble des lots 1 à 5, LFP Media indique qu’aucun des cinq lots n’a été attribué ce jour, conformément aux dispositions de l’appel à candidatures Ligue 1 », écrit la LFP dans un communiqué.

Des négociations de gré à gré entre la LFP et les médias intéressés vont désormais commencer, et pourraient durer plusieurs semaines. Parmi les candidats pressentis, Prime Vidéo, beIN Sports, la plateforme de streaming sportif DAZN ou encore Apple. Canal+ pourrait aussi se réinviter dans la danse, alors que le président du directoire du groupe Maxime Saada avait prévenu la Ligue que la chaîne cryptée ne participerait pas aux enchères, fin septembre.

Leurs conditions « ont achevé de nous convaincre que votre seul objectif était d’en écarter Canal+ et de favoriser Amazon », avait-il écrit dans le courrier révélé par L’Equipe. « Vous n’avez eu de cesse de pénaliser Canal+ ». Ces enchères infructueuses sont un premier revers pour le président de la LFP, Vincent Labrune. Il avait dit espérer, cet été, atteindre un milliard d’euros de droits TV à redistribuer aux clubs professionnels, en comptant la vente des droits vers l’étranger – dont l’appel d’offres a été lancé le 6 octobre.

(avec AFP)

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