Archive pour le Tag 'candidat'

2027 : Wauquiez déjà candidat

2027 : Wauquiez déjà candidat

Vauquiez déclare sa candidature 2027 dans une interview à la dépêche du Midi. Sans doute pour couper l’herbe sous le pied à Bruno Retailleau, candidat comme lui à la fois à la tête du parti des  » républicains » et aussi à l’Élysée. Le problème pour Wauquiez c’est qu’il ne parvient pas à mordre dans l’opinion publique. En dépit de son ton en apparence tout miel, il est ressenti comme trop agressif.

La bataille risque donc d’être très dure entre les deux leaders du camp des « républicains »

Le patron des députés LR Laurent Wauquiez, en lice pour la présidence du parti de droite contre Bruno Retailleau, a déposé un caillou supplémentaire sur le chemin de l’Élysée. «Mon objectif, c’est de reconstruire mon pays, notre pays», assume l’élu de Haute-Loire, souhaitant «être dans les responsabilités qui permettent de le faire».

Mercredi, Laurent Wauquiez a déploré des propos «malheureux» de son rival, qui avait déclaré la veille «les chiens aboient, la caravane tranquille passe» en réponse aux critiques émises par le député de Haute-Loire sur sa double casquette de candidat et ministre.

Élections : le candidat pro-Poutine rejeté en Roumanie

Élections : le candidat pro-Poutine rejeté en Roumanie

Annulée sur fond de suspicion d’ingérence russe, l’élection présidentielle de novembre 2024 devrait être rejouée en mai 2025.

Après la spectaculaire annulation de la présidentielle l’an dernier en Roumanie, le candidat d’extrême droite Calin Georgescu a vu sa candidature rejetée dimanche par la Commission électorale, une décision qui a provoqué de violentes protestations de ses partisans.

Donné en tête dans les sondages, Calin Georgescu était arrivé en tête au scrutin de novembre. Lequel avait été ensuite annulé par la cour constitutionnelle à cause de soupçons d’ingérence russe. Plusieurs perquisitions ont été menées en février chez ses proches, dont le mercenaire franco-roumain Horațiu Potra, responsable de sa sécurité, décrit comme un proche de l’organisation paramilitaire Wagner.

«C’est de la folie!», a réagi dimanche Elon Musk, proche conseiller du président Donald Trump, à l’annonce de la décision de la Commission électorale, après déjà plusieurs commentaires similaires ces dernières semaines.

Le vice-président américain JD Vance a lui aussi fustigé des autorités roumaines «annulant des élections dont elles n’aiment pas les résultats». «Elles ont si peur de leur peuple qu’elles le font taire», a-t-il asséné.

Encouragés par de telles déclarations, les sympathisants de Georgescu ont déployé dans la capitale une banderole adressée au président Trump : «Aidez-nous à récupérer notre pays!»

« Un candidat social-démocrate à la présidentielle » ?

« Un  candidat social-démocrate à la présidentielle » ? 

Face à une extrême droite dominante et une gauche fragmentée en Europe, Jean-Christophe Cambadélis plaide pour une refondation du Parti socialiste et l’émergence d’un candidat social-démocrate . ( dans La Tribune)

Le monde s’est installé dans le national-populisme, nouveau visage de l’extrême droite, et les États-Unis viennent, avec le président Donald Trump, de lui donner un nouveau souffle. « Le nationalisme, c’est la guerre », prévenait François Mitterrand le 17 janvier 1995. En effet, la combinaison de celui-ci et des protectionnismes agressifs reproduit les engrenages que nous avions connus avant la Seconde Guerre mondiale. Dans le même temps, nous sommes face à une offensive contre l’État de droit, le droit international, mais aussi l’État social et les défis écologiques.

La vague est planétaire : elle donne des gouvernements illibéraux s’attaquant à toutes les avancées progressistes. La fusion entre ces gouvernements et le capitalisme numérique menace la démocratie, dénoncée comme un modèle faible et sans résultat. La xénophobie a fait son retour, tout à la fois contre l’immigration, accusée de vouloir remplacer ou métisser les identités, et contre les Juifs, dénoncés comme collectivement responsables, parce que Juifs, du gouvernement d’extrême droite israélienne. Nous sommes instruits par l’Histoire de ce que donne ce type de conjoncture.

L’Europe, qui a tant profité des dividendes de la paix, est tout à coup sidérée et comprend qu’elle est maintenant seule. Le cessez-le-feu en Ukraine voulu par l’administration américaine aux conditions de Poutine ne peut, à terme, que « surexciter l’agresseur », comme le disait déjà le général de Gaulle en 1961. L’Europe est pourtant le seul continent, la seule puissance capable, si elle en prend conscience, de dépasser les égoïsmes nationaux, de faire face et de défendre les acquis de son modèle, enfant des Lumières et de l’État de droit, qui s’est imposé au monde, et de maîtriser les défis qui assaillent l’humanité.

Elle peut, elle doit prendre à bras-le-corps sa défense, sa spécificité numérique, son projet écologique ou sa protection sociale face à la précarité de masse. Les Européens ont toutes les ressources nécessaires pour être à la hauteur des défis de l’Histoire. Il ne manque qu’une volonté. Il n’est pas trop tard, même si partout sur notre continent l’extrême droite est au pouvoir ou en passe de l’être, même si, il y a peu, les extrêmes droites du continent ont manifesté leur allégeance au trumpisme.

La France sera bientôt confrontée à ce défi malheureux, et c’est à elle qu’il revient de dire non au cours des événements. Pourtant, nul n’ignore que l’extrême droite est devenue la référence du paysage médiatique et a envahi les urnes de notre pays. Les droites classiques ont été largement contaminées par son idéologie de la préférence nationale, cheval de Troie d’un gouvernement autoritaire.

Dans un sursaut auquel on ne croyait plus lors de la dramatique dissolution, le front républicain a pu stopper la marche au pouvoir de l’extrême droite. Il n’est pas certain qu’il en sera de même lors de la présidentielle à venir. Personne ne peut croire que les Français se réuniront contre l’extrême droite sur des solutions d’extrême gauche portées par un populisme de gauche. Le désordre en toute chose comme réponse aux désordres de la nation ne saurait être la solution.

La rupture dans le Nouveau Front populaire vient d’être publiquement actée par son leader. Le Parti socialiste va tenir son congrès. Son enjeu ne peut être celui d’un replâtrage du cartel des gauches obsolètes, ni celui de la défense d’une continuité du programme de rupture du ­Nouveau Front populaire sans ceux qui l’ont conçu.

Suivre ce chemin sera tout à la fois un drame pour le pays, la marginalisation pour la gauche et le moyen le plus sûr de dégager la route à l’extrême droite. Il faut une nouvelle direction au PS. L’urgence est de définir un nouveau dessein, un nouveau programme pour rassembler la France et bâtir une candidature sociale-démocrate, seule capable de faire échec à la préférence nationale qui menace la France et à la fausse radicalité qui pervertit et handicape la gauche.

Comme Retailleau, Laurent Wauquiez candidat à la présidence des Républicains

Comme Retailleau, Laurent Wauquiez  candidat à la présidence des Républicains

Vauquiez  estime que «la France a besoin d’un ministre de l’Intérieur à temps plein», sous-entendu évidemment que Retailleau n’a pas sa place comme président des républicains

Interview dans le Figaro. – Êtes-vous candidat à la présidence des Républicains ?

LAURENT WAUQUIEZ . - Oui, je suis candidat à la présidence des Républicains. C’est le sens de toute l’action que je mène depuis des mois. En juin, j’ai pris mes responsabilités en partant aux législatives. Je suis allé au combat pour défendre nos idées alors que notre parti était en situation de blocage après le départ d’Éric Ciotti. Ma famille politique, depuis, m’a confié à l’unanimité la mission de conduire sa refondation. J’ai sillonné les fédérations de tout le pays. Nos militants sont incroyables, portés par leurs convictions sans rien attendre en retour. Dans une société qu’on dit égoïste et individualiste, ils se battent pour défendre notre vision de la France. J’ai toujours pu compter sur eux et c’est une fierté pour moi de m’engager à leurs côtés. Il y a tant à faire pour refonder notre parti !

 

 

Retailleau: candidat de la droite ?

Retailleau:  candidat de la droite ?

Bruno Retailleau continue de surfer sur la vague de popularité apparue depuis qu’il est ministre de l’intérieur. Il faut dire qu’il n’a pas ménagé ses apparitions dans les médias et que sa fermeté affichée mais tranquille sur la forme  recueille une bonne partie de l’opinion. Retailleau est pour l’instant candidat à la présidence des républicains. 

 

Pour l’instant , le ministre de l’intérieur est seulement pour candidat à la présidence des républicains, un poste revendiqué par Wauquiez. Au-delà de cette présidence se pose la question de la candidature de la droite aux présidentielles et Retailleau ambitionne sans doute également d’incarner le camp de tous les républicains. Un camp qui ne manque pas de candidats potentiels comme Édouard Philippe, Darmanin ou Wauquiez par exemple. Bref à droite la campagne présidentielle commence avec les luttes d’influence qui l’accompagnent.

« Je le sens, la droite est de nouveau écoutée et c’est pourquoi, demain, elle peut gagner », écrit le ministre de l’Intérieur, qui estime venu le temps d’aborder la question si délicate pour LR de « l’incarnation » et de celui qui peut donner au parti un « nouvel élan ». Il y a encore quelques mois, cette issue était inimaginable. Cet…

 

Trump, déjà candidat à un troisième mandat ?

Trump, déjà  candidat à un troisième mandat ?

Comme dans la plupart des grandes dictatures( en Chine, Russie et dans nombreux autres pays), Trump pourrait bien être autorisée à effectuer un troisième mandat avec  un amendement d’un de ses partisans devait modifier la constitution 

Le 22e amendement de la Constitution stipule que «personne ne sera élu au poste de président plus de deux fois». Mais jeudi, un élu républicain de la Chambre des représentants a présenté une résolution visant à modifier la Constitution pour un troisième mandat !

Donald Trump «a prouvé qu’il était le seul personnage de l’histoire moderne capable d’inverser la décadence de notre pays et de redonner à l’Amérique sa grandeur, et il faut lui donner le temps nécessaire pour atteindre cet objectif», estime le député du Tennessee Andy Ogles dans un communiqué. 

Législative partielle dans l’Isère : Le candidat LFI battu

Législative partielle dans l’Isère : Le candidat LFI battu

Grosse défaite pour LFI au second tour de l’élection législative partielle dans l’Isère face à la candidate macroniste Camille Galliard-Minier.

Son candidat Lyes Louffok a obtenu 35,72% des voix et la candidate macroniste Camille Galliard-Minier 64,28%, d’après les chiffres de la préfecture.

Gabriel Attal, dirigeant du parti présidentiel Renaissance, a salué pour sa part une « victoire face aux agents du chaos ».

« Les extrêmes ont perdu deux sièges en deux élections. Nos compatriotes veulent de l’action et une France en paix. Le choix des extrêmes, c’est la voie du désordre », a-t-il ajouté, en établissant un parallèle avec la victoire surprise du macroniste Lionel Vuibert face à un candidat RN dans les Ardennes le mois dernier.  »Certaines victoires sont de grande signification, locale et nationale ! », a pour sa part salué le Premier ministre François Bayrou.

L’eurodéputé PS-Place publique Raphaël Glucksmann n’avait souhaité donner une «consigne de vote», contrairement à Olivier Faure, qui a apporté son soutien au candidat du NFP dans la dernière ligne droite.

 

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Trump : Déjà candidat pour un troisième mandat !

Trump : Déjà candidat pour un troisième mandat !

 

Oubliant sans doute son âge et surtout la constitution américaine, Trump continue sa rhétorique de provocation  en évoquant  la possibilité d’un troisième mandat ce mercredi.

Donald Trump a évoqué la possibilité d’un troisième mandat ce mercredi. Brian Snyder / REUTERS
DÉCRYPTAGE – Le 47e président des États-Unis a fait part ce mercredi de l’hypothèse d’un troisième mandat.

Trump devant des républicaina évoqué l’hypothèse de se représenter à la Maison-Blanche à l’issue de son second mandat, ce qui est interdit par la Constitution américaine. «Je pense que je ne me représenterai pas, à moins que vous ne vous disiez ’’il est bon, nous devons envisager autre chose’’», a-t-il assuré sous les rires de son public. Histoire de préparer une éventuelle modification de la constitution ?

 

Pascal Affi N’Guessan Ancien premier ministre sera candidat pour le Front populaire ivoirien (FP I).

Pascal Affi N’Guessan Ancien premier ministre sera candidat pour le Front populaire ivoirien (FP I).

 

Le paysage ivoirien est encore loin d’être clarifié pour les futures élections présidentielles. D’abord avec l’interrogation sur la possibilité d’une nouvelle candidature d’ADO, actuel président ensuite sur le poids politique va représenter

L’ancien Premier ministre Pascal Affi N’Guessan, opposant de premier plan lors de la présidentielle de 2020, a été désigné samedi candidat à celle qui aura lieu en octobre 2025. Lors d’un congrès à Yamoussoukro, la capitale ivoirienne, il a été réélu président du Front populaire ivoirien (FPI) face à un autre candidat, Pierre Dagbo Godé, avec 99,34% des voix de quelque 4.500 votants.

«C’est avec joie et gaieté mais aussi gravité que je serai votre candidat (…) celui du peuple de Côte d’Ivoire. Je porterai ses aspirations pour construire ensemble une Côte d’Ivoire toujours plus unie», a-t-il déclaré lors d’un discours.

«Ensemble, nous porterons un projet de rupture», a dit Pascal Affi N’Guessan, qui souhaite notamment instaurer une quatrième république, supprimer le Sénat et interdire le cumul des mandats. «J’ai la connaissance des réalités de ce pays», «j’ai l’expérience» et les Ivoiriens «me connaissent suffisamment», a-t-il déclaré à l’AFP.

Son opposition au cumul de mandats

Pascal Affi N’Guessan, ancien Premier ministre (2000-2003) sous le président Laurent Gbagbo (2000-2011) et candidat à la présidentielle de 2015, s’était opposé au troisième mandat brigué par l’actuel président Alassane Ouattara en 2020. Il avait alors annoncé la formation d’un pouvoir parallèle, le Conseil national de transition (CNT). Des tensions lors du scrutin avaient fait 85 morts.

Objet d’enquêtes pour «complot contre l’autorité de l’Etat», «mouvement insurrectionnel», «assassinat» et «actes de terrorisme» avec un autre opposant, il avait passé deux mois en détention provisoire, avant d’être libéré sous contrôle judiciaire, finalement levé.

À lire aussi Côte d’Ivoire: à Abidjan, pouvoir et opposition en quête de dialogue 

L’année dernière, M. Affi N’Guessan avait signé un accord de partenariat avec le parti au pouvoir, le Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP) d’Alassane Ouattara, et avait fait une alliance pour les élections locales. «Ce partenariat était devenu caduc», a-t-il ajouté. Toutefois, «rien n’est exclu, aucune alliance n’est exclue», a-t-il assuré, en particulier avec l’opposition.

Attal aussi candidat à la présidentielle

Attal aussi candidat à la présidentielle

Deux semaines après la déclaration de candidature d’Édouard Philippe pour le «prochain» scrutin, Attal affirme aussi ses prétentions dans ce domaine. 

Ce positionnement pour le prochain scrutin traduit évidemment des ambitions personnelles mais renforce aussi l’hypothèse de la problématique d’un départ anticipé de Macron en cas d’approfondissement de la crise politique. Dans le cas où l’ancien ministre de l’Éducation nationale porterait les couleurs du bloc central, il recueillerait 22% des voix au premier tour, loin derrière les 35% de Marine Le Pen, selon un sondage Ifop-Fiducial pour Le Figaro Magazine et Sud Radio publié la semaine dernière.

 

Alors que le Nouveau-Front-Populaire a remporté le second tour des élections législatives de 2024, Ifop-Fiducial pour Sud Radio et Le Figaro Magazine a interrogé les Français concernant leurs intentions de vote au prochaine élection présidentielle.

 

Dans l’ensemble des scénarios testés, Marine Le Pen conserverait sa place en première position, avec des intentions de vote oscillant entre 34 et 35%. Bénéficiant d’un électorat attrape-tout, Marine Le Pen apparait comme la personnalité politique que les Français souhaitent voir le plus à la présidence de la République après Emmanuel Macron (39% de souhait) devant Edouard Philippe (35%) et Gabriel Attal (33%).

 

Entre Edouard Philippe et Gabriel Attal, le candidat qui ferait le meilleur score face à Marine Le Pen est l’actuel maire du Havre Edouard Philippe avec 27% d’intentions de vote (contre 24% pour Gabriel Attal). Les deux anciens Premiers Ministres semblent capitaliser sur leur distance prise avec Emmanuel Macron (+3 points pour Edouard Philippe et + 4 points pour Gabriel Attal par rapport à avril).

 

En s’intéressant à la gauche, si Jean-Luc Mélenchon arrivait systématiquement troisième avec des intentions de vote entre 9 et 10% (-4 points par rapport à avril dernier), le rapport de force avec les autres partis de gauche s’est rééquilibré : François Hollande, testé pour la première fois, recueillerait une intention de vote non négligeable de 7 et 8% (il se positionne à 1.5 points de Jean-Luc Mélenchon). Quant à lui, Olivier Faure recueillerait 4% des intentions de vote.  Fabien Roussel, avec 5-6% des intentions de vote est en légère hausse par rapport à avril dernier (+1,5 point) tout comme Marine Tondelier (+ 3 points).

 

 

Édouard Philippe, candidat…en 2027

 

 Édouard Philippe, candidat…en 2027

Alors qu’on attend maintenant de façon assez urgente la nomination d’un Premier ministre, Édouard Philippe sort du bois mais pour annoncer sa candidature….. aux élections présidentielles. De quoi ajouter de la confusion à la confusion et en même temps indirectement ouvrir la problématique d’une élection présidentielle éventuellement anticipée  et donc le départ de Macron avant 2027. Le président appréciera sans doute ce geste de « courtoisie » de son ancien premier ministre.

Dans un entretien au Point ce mardi, il annonce être officiellement «candidat à la prochaine élection présidentielle» de 2027.

Au regard de la «situation» parlementaire à la fois «inédite» et «périlleuse», le premier chef de gouvernement d’Emmanuel Macron liste «quatre dangers redoutables» auxquels la France doit faire face : «Démocratique»«budgétaire»«l’immobilisme» et «l’ordre public et la sécurité». Pour y remédier, il confie se «préparer pour proposer des choses aux Français» dans les trois prochaines années. Avec l’espoir de battre sa possible adversaire du RN, Marine Le Pen : «Ce que je proposerai sera massif. Les Français décideront.»

Quant à la question actuelle du choix du Premier ministre, Édouard Philippe évite l’obstacle en déclarant  «soutenir tout premier ministre choisi dans un espace politique qui va de la droite conservatrice à la social-démocratie et qui inscrira son action dans cet espace politique en construisant les compromis pour avancer.»

Politique: Attal pas candidat à Matignon pour un gouvernement éphémère !

Politique: Attal pas candidat à Matignon pour un gouvernement éphémère !

 

Gabriel Attal est sans doute très lucide sur les incertitudes concernant le futur gouvernement. Et par avance, il déclare ne pas être candidat pour en prendre la tête. Compte tenu des contradictions actuelles, il apparaît en effet que l’éventuel compromis qui va aboutir le moment venu un gouvernement pourra assez rapidement voler en éclats. Inutile sans doute pour Attal  de se griller les ailes dans ce gouvernement très provisoire.

 

D’une certaine manière, c’est d’ailleurs le flou artistique concernant l’union introuvable. S’agit-il vraiment de former un gouvernement de personnalités appartenant à différents clans ou de se limiter à la recherche de majorité au cas par cas à l’assemblée nationale mais sans participation directe au gouvernement ( proposition Wauquiez par exemple).

Il est clair qu’à la moindre occasion on pourra trouver une majorité pour censurer le gouvernement. Cette majorité existe potentiellement. Par contre aucune majorité absolue n’est envisageable à l’Assemblée nationale pour conduire la politique. C’est le résultat de ce curieux scrutin du deuxième tour des législatives qui est un scrutin d’opposition au « rassemblement national » et non un scrutin d’adhésion à un programme de gestion.

Attal a bien saisi la grande différence entre ce vote d’opposition et ce vote d’adhésion. Compte tenu des fortes oppositions idéologiques mais aussi d’appareils et d’ambitions personnelles, il est vraisemblable que tout gouvernement de gauche sera rapidement vulnérable surtout compte tenu de la nature des programmes. Pour simplifier par exemple sur le plan des finances, il faudrait économiser de l’ordre de 25 milliards supplémentaires pour entrer dans les clous budgétaires  et stopper la dérive de l’endettement alors que la gauche a prévu 50 à 100 milliards de dépenses !

Avenir d’Attal: pas candidat à Matignon pour un gouvernement éphémère !

Avenir d’Attal: pas candidat à Matignon pour un gouvernement éphémère !

 

Gabriel Attal est sans doute très lucide sur les incertitudes concernant le futur gouvernement. Et par avance, il déclare ne pas être candidat pour en prendre la tête. Compte tenu des contradictions actuelles, il apparaît en effet que l’éventuel compromis qui va aboutir le moment venu un gouvernement pourra assez rapidement voler en éclats. Inutile sans doute pour Attal  de se griller les ailes dans ce gouvernement très provisoire.

 

D’une certaine manière, c’est d’ailleurs le flou artistique concernant l’union introuvable. S’agit-il vraiment de former un gouvernement de personnalités appartenant à différents clans ou de se limiter à la recherche de majorité au cas par cas à l’assemblée nationale mais sans participation directe au gouvernement ( proposition Wauquiez par exemple).

Il est clair qu’à la moindre occasion on pourra trouver une majorité pour censurer le gouvernement. Cette majorité existe potentiellement. Par contre aucune majorité absolue n’est envisageable à l’Assemblée nationale pour conduire la politique. C’est le résultat de ce curieux scrutin du deuxième tour des législatives qui est un scrutin d’opposition au « rassemblement national » et non un scrutin d’adhésion à un programme de gestion.

Attal a bien saisi la grande différence entre ce vote d’opposition et ce vote d’adhésion. Compte tenu des fortes oppositions idéologiques mais aussi d’appareils et d’ambitions personnelles, il est vraisemblable que tout gouvernement de gauche sera rapidement vulnérable surtout compte tenu de la nature des programmes. Pour simplifier par exemple sur le plan des finances, il faudrait économiser de l’ordre de 25 milliards supplémentaires pour entrer dans les clous budgétaires  et stopper la dérive de l’endettement alors que la gauche a prévu 50 à 100 milliards de dépenses !

Attal : pas candidat à Matignon pour un gouvernement éphémère !

Attal : pas candidat à Matignon pour un gouvernement éphémère !

 

Gabriel Attal est sans doute très lucide sur les incertitudes concernant le futur gouvernement. Et par avance, il déclare ne pas être candidat pour en prendre la tête. Compte tenu des contradictions actuelles, il apparaît en effet que l’éventuel compromis qui va aboutir le moment venu un gouvernement pourra assez rapidement voler en éclats. Inutile sans doute pour Attal  de se griller les ailes dans ce gouvernement très provisoire.

 

D’une certaine manière, c’est d’ailleurs le flou artistique concernant l’union introuvable. S’agit-il vraiment de former un gouvernement de personnalités appartenant à différents clans ou de se limiter à la recherche de majorité au cas par cas à l’assemblée nationale mais sans participation directe au gouvernement ( proposition Wauquiez par exemple).

Il est clair qu’à la moindre occasion on pourra trouver une majorité pour censurer le gouvernement. Cette majorité existe potentiellement. Par contre aucune majorité absolue n’est envisageable à l’Assemblée nationale pour conduire la politique. C’est le résultat de ce curieux scrutin du deuxième tour des législatives qui est un scrutin d’opposition au « rassemblement national » et non un scrutin d’adhésion à un programme de gestion.

Attal a bien saisi la grande différence entre ce vote d’opposition et ce vote d’adhésion. Compte tenu des fortes oppositions idéologiques mais aussi d’appareils et d’ambitions personnelles, il est vraisemblable que tout gouvernement de gauche sera rapidement vulnérable surtout compte tenu de la nature des programmes. Pour simplifier par exemple sur le plan des finances, il faudrait économiser de l’ordre de 25 milliards supplémentaires pour entrer dans les clous budgétaires  et stopper la dérive de l’endettement alors que la gauche a prévu 50 à 100 milliards de dépenses !

Raquel Garrido se désiste pour le candidat officiel de LFI

Raquel Garrido se désiste pour le candidat  officiel de LFI

« Je me désiste ». Raquel Garrido abandonne la course. La députée sortante de la cinquième circonscription de Seine-Saint-Denis, candidate à sa réélection, annonce sur BFMTV ce lundi 1er juillet qu’elle ne se maintiendra pas au second tour ce dimanche. Au premier tour, elle était arrivée en troisième position (23,65%) derrière l’UDI Aude Lagarde (24,56%) et l’insoumis Aly Diouara (33,10%).

« Je n’ai pas de principe à géométrie variable », justifie l’ancienne avocate. « La Sixième République, c’est aussi une éthique dans la politique ».

Plus tôt ce lundi, Alexis Corbière et Danielle Simonnet demandaient aux candidats LFI investis à leur place de se désister en leur faveur, Raquel Garrido se déclarant prête en échange à retirer sa candidature au profit du candidat « officiel » du mouvement.

  »Ma position de principe, qui est de me désister, je ne peux pas la porter seule, ça serait trop injuste. Nous devons nous désister ensemble », avait-elle déclaré à l’adresse de Sabrina Ali Benali (7e circonscription de Seine-Saint-Denis) et Céline Verzeletti (15e de Paris).

 

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