Archive pour le Tag 'cadres'

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Sondage moral de cadres : dans les chaussettes !

Sondage moral de cadres : dans les chaussettes !  

 

C’est presque un record, les cares plongent dans la déprime.  Selon le Baro-éco de Viavoice pour HEC, Le Figaro et France Inter, le moral des cadres a chuté fortement à la rentrée pour tomber à - 52. «Ce niveau est le plus bas depuis dix-huit mois, observe François Miquet-Marty, directeur associé de Viavoice. Le changement de gouvernement n’a pas permis d’enrayer cette dégradation provoquée par les mauvaises nouvelles macroéconomiques de l’été.» Les marges des entreprises se contractent. Le pouvoir d’achat des ménages baisse. Le déficit annuel va atteindre 4,4 % cette année, alors que le gouvernement tablait sur 4,1 % au début de l’année. «Les cadres constatent que les dérapages de la croissance et des déficits sont pires que prévu», poursuit François Miquet-Marty. Cet état d’esprit explique que 65 % d’entre eux estiment que le niveau de vie en France va «se dégrader» dans l’année à venir. «C’est un niveau record pour cette année proche du record de 71 % atteint en juin 2013», constate François Miquet-Marty. Plus de sept sur dix prévoient que le nombre de chômeurs va croître dans les douze mois. Il s’agit là encore du chiffre le plus élevé depuis juin 2013 (84 %). Ils sont également plus nombreux à enregistrer une dégradation de la motivation de leurs équipes (67 % contre 63 % avant les vacances).

 

Cadres : la retraites repoussée à 65 ans ?

Cadres : la retraites repoussée à 65 ans ?

 

Les cadres  pourraient à terme attendre 65 ans pour toucher leur retraite complémentaire à taux plein.  Le Medef est en effet gestionnaire avec les syndicats de salariés de ces régimes regroupés au sein de l’Agirc. Le patronat devrait donc mettre sa proposition sur la table lors de la réunion de l’Agirc, le 28 novembre.  A la différence des régimes de base de retraite de la sécurité sociale, celui des cadres comme des non-cadres d’ailleurs ne peuvent pas légalement être en déficit. Pour assurer le paiement des pensions et éviter les déficits, l’Agirc a donc constitué des réserves financières au fil des ans en plaçant sur les marchés les cotisations des cadres actifs. Actuellement, ces réserves atteignent 9 milliards d’euros mais devraient être quasiment à sec en 2018 sans mesures rapides d’économies. Or, en 2014, l’Agirc devrait perdre près de 2 milliards d’euros et 5 milliards en 2018.  En effet, le nombre de cadres pensionnés augmente alors que celui des actifs baisse. Il y a aujourd’hui 2,7 millions de retraités pour 4 millions de cotisants. L’Arrco, qui regroupe les régimes complémentaires des non-cadres, est dans une situation un tout petit peu plus favorable.  Pour limiter le dérapage des dépenses, les partenaires sociaux ont bien décidé en mars 2014 le gel de la revalorisation des pensions complémentaires jusqu’en 2015. Une mesure jugée pourtant insuffisante pour tenir sur le long terme.

Salaire des cadres : juste l’inflation

Salaire des cadres : juste l’inflation

 

 

Pour les salaires des cadres ce sera comme pour la croissance, une très molle évolution. En cause surtout la faiblesse de la demande, les incertitudes économique et le manque de confiances des acteurs. Du coup les salaires des cadres ont tendance à stagner. En 2014, les salaires des cadres ont augmenté de 0,9%, une hausse supérieure à celle enregistrée l’an passé (+0,5%), mais largement inférieure aux années 2012 et 2011, selon un baromètre publié ce lundi 1er septembre par Expectra, filiale du groupe Randstad. Selon l’enquête, basée sur les salaires réels extraits de plus de 68.000 fiches de paie, la hausse avait atteint 2,4% en 2012 et 2,9% en 2011. « Ce signal, certes positif, doit toutefois être nuancé. D’une part, la hausse de salaire est faible, (..) d’autre part, elle s’inscrit dans un environnement économique hexagonal privé de moteur où la croissance, de ce fait, ne décolle pas », estime Didier Gaillard, directeur général d’Expectra. Pour lui, « grandes entreprises et PME n’ont souvent d’autre choix que d’adopter des politiques salariales prudentes, marquées du sceau de la maîtrise des coûts ». L’étude montre par ailleurs d’importantes disparités entre les secteurs. Les plus fortes hausses de salaires en 2014 se trouvent chez les cadres issus du commerce (chefs de produit : +5,6%), de la finance (responsables comptabilité : +4,5%) et de l’industrie (ingénieurs : +3,8%). Pour Expectra, spécialisé dans l’intérim et le recrutement de cadres et agents de maîtrise, cela pointe « la volonté des entreprises de maximiser leur portefeuille existant (..). Et ce, faute d’avoir, le plus souvent, les marges de manœuvre financières pour développer de nouveaux services et/ou produits ». Alors que le secteur informatique et télécoms affichait la meilleure revalorisation sectorielle en 2013 (+1,8%), les cadres de la filière ont été augmentés de 0,7% en 2014. « Cette faible progression reflète la croissance du chiffre d’affaires du secteur, attendue sur l’ensemble de l’année à seulement 1,1% », explique l’étude.

 

Cadres : pas de reprise de l’emploi

Cadres : pas de reprise de  l’emploi

Le nombre de recrutements de cadres devrait atteindre 163.200 cette année en France, soit le même niveau qu’en 2013 (163.400), selon l’estimation publiée vendredi par l’Association pour l’emploi des cadres (APEC). « Il faudra attendre 2015 et surtout 2016 pour retrouver un potentiel de reprise, et les niveaux d’embauches d’avant crise, proches de ceux observés en 2008″, explique Jean-Marie Marx, directeur général de l’APEC, dans un communiqué Les recrutements atteindraient ainsi 181.900 l’an prochain (+11%) et 199.700 en 2016 (+10%). Les jeunes issus de l’enseignement supérieur et les seniors auront davantage de difficultés cette année, sur un marché qui va rester favorable aux cadres ayant de un à 15 ans d’expérience, poursuit l’APEC.

EDF et SNCF : entreprises préférées des cadres

EDF et SNCF : entreprises  préférées des cadres

 

Signe de la crise, les cadres préfèrent les entreprises publiques. Les entreprises publiques ont les faveurs des cadres, pour qui elles demeurent des « valeurs sûres ». EDF reste en 2014, comme en 2013, la société la plus attirante pour eux, selon un baromètre Viavoice pour Le Figaro, France Inter et HEC publié lundi 2 juin. 16% des cadres interrogés déclarent spontanément souhaiter y travailler au cours des années à venir. Juste derrière EDF, détenue à 84% par l’Etat, la SNCF, établissement public, est citée par 10% des sondés. « Le secteur public demeure ainsi une valeur sûre professionnellement, particulièrement en période de perspectives économiques jugées moroses ou incertaines », commentent les auteurs du baromètre. Les deux entreprises devancent des groupes internationaux à fort potentiel, tels que Total (9%), Airbus (7%) ou Google (6%). Le baromètre note également une « amélioration notable » du moral des cadres, notamment avec une baisse des inquiétudes pour l’emploi et leurs finances. Certes, 55% d’entre eux pensent que le chômage augmentera dans les mois à venir, mais le chiffre est en baisse de 10 points en un mois. Néanmoins pour 51% de ces cadres, globalement, le niveau de vie en France « se dégradera » dans l’année à venir.

 

Recrutement de cadres : baisse de 10% en 2013 stables en 2014 selon l’APEC

 

Recrutement de cadres : baisse de 10% en 2013  stables en 2014 selon l’APEC

Entre 163.500 et 171.200 cadres devraient être embauchés en 2014.  L’année 2014 risque d’être encore morose pour les cadres. Les recrutements devraient rester timides, s’affichant à un niveau voisin de 2013, selon une enquête de l’Association pour l’emploi des cadres (APEC) publiée ce vendredi 14 février. Après une chute de 10% en 2013 par rapport à l’année précédente avec 163.400 embauches sur l’année, l’APEC prévoit pour 2014, entre 163.500 et 171.200 embauches de cadres, soit une progression de 0% à 5%. Le directeur général de l’APEC, Jean-Marie Marx, a souligné que malgré la baisse des recrutements en 2013, il y avait tout de même eu une « création nette d’emplois » de cadres, avec une augmentation des effectifs « de l’ordre de 15.000″. A titre de comparaison, ce solde net qui a toujours été positif depuis 1993, avait été de 35.000 en 2012.  En 2013, le nombre de promotions, c’est-à-dire la part de non-cadres devenus cadres, a en revanche diminué de 10%, passant de 48.100 en 2012 à 43.400 en 2013. Une donnée qui a « surpris » les responsables de l’Apec. Jean-Marie Marx indique que la situation tendait à la « stabilité », 2014 se situant ainsi « dans les années moyennes », ni dans le bas de la fourchette comme 2009 avec 140.000 recrutements, ni dans le haut comme les années d’avant crise (2006-2007-2008), où les recrutements étaient de l’ordre de 200.000 par an. Les entreprises sont donc toujours « prudentes, attentistes », a relevé le directeur général de l’organisme. Il a souligné que l’enquête avait été menée avant l’annonce du pacte de responsabilité et n’a pas exclu qu’une baisse du coût du travail puisse « débloquer des situations de recrutement » et permettre d’atteindre la fourchette haute, voire de la dépasser.

Emploi des cadres : toujours la prudence

Emploi des cadres : toujours la prudence

« Entre prudence et reprise de confiance », les entreprises sont près d’une sur deux à manifester leur intention d’embaucher un cadre au quatrième trimestre, un niveau stable sur un an mais aussi par rapport au trimestre précédent, selon une étude Apec publiée mercredi 23 octobre. Selon ce baromètre trimestriel de l’Association pour l’emploi des cadres, 49% des entreprises interrogées prévoient de recruter au moins un cadre entre début octobre et fin décembre. Ce taux était le même au trimestre précédent ainsi qu’au dernier trimestre 2012.Cependant, « tout laisse penser qu’elles seront plus nombreuses que l’an passé à transformer ces intentions en embauches car 76% d’entre elles affirment être certaines de recruter », note l’Apec en citant son directeur général Jean-Marie Marx. Au 3e trimestre, seules un peu plus du quart déclaraient être certaines d’embaucher. « La confiance des entreprises semble se restaurer peu à peu », analyse l’association. De fait, 55% des entreprises interrogées ont recruté au moins un cadre au 3e trimestre (+1 point par rapport au 3e trimestre 2012).Mais plus de la moitié des recrutements (54%) visaient à remplacer des départs. Pour un petit quart (23%) ils ont été effectués en raison d’un développement de l’activité. Par ailleurs, les tendances sont très différentes selon les secteurs : les recrutements sont toujours en baisse sur un an dans l’industrie, la construction ou le secteur de la banque assurance, alors qu’ils sont en hausse dans le commerce et transports, l’informatique, le médico-social. Pour cette enquête, 750 entreprises de plus de 100 salariés, représentatives du secteur privé, ont été interrogées par téléphone en septembre.

Retraites: cadres davatage pénalisés

Retraites: cadres davatage  pénalisés

 

Les retraités pourraient être mis à contribution dès le 1er avril pour redresser les finances des régimes complémentaires. Et les cadres plus encore que les salariés. Ce sont les propositions mises sur la table jeudi matin par le patronat lors de l’ultime séance de négociations avec les syndicats sur les retraites complémentaires Agirc (pour les cadres) et Arrco (pour tous les salariés). Les discussions devaient se prolonger jusqu’au soir.  D’après les premières propositions du Medef soumises à négociation, les pensions des cadres retraités augmenteraient moins que celles des salariés retraités. Les unes comme les autres progresseraient moins que l’inflation (1,75%) et déboucheraient donc sur une perte de pouvoir d’achat. Jusqu’à présent, les pensions étaient indexées sur les prix. La sous-indexation se prolongerait durant trois ans. Si les syndicats ne sont pas opposés au principe de faire progresser les pensions moins vite que l’inflation, les curseurs devaient encore bouger durant la journée au fil des discussions.  En début d’après-midi, Éric Aubin, le M. Retraites de la CGT, déclarait ainsi qu’ils «n’avaient pas réellement commencé les négociations». Les syndicats demandent en effet depuis plusieurs mois un effort aussi du côté employeur, via une hausse des cotisations. Le patronat a concédé, lors de la dernière séance de discussion mi-février, une hausse du taux d’appel. En clair, cette mesure revient à faire cotiser plus employeurs et salariés, mais sans créer davantage de droits à la retraite pour ce dernier.  Parmi les représentants des salariés, seule la CFDT en accepte le principe, alors que les quatre autres préfèrent augmenter le taux contractuel. Ce levier permet, lui, de générer des droits à la retraite supplémentaires. «Une hausse des cotisations sans une hausse des droits n’est pas concevable pour nous, assène Éric Aubin. Depuis 1993, 60% des efforts pour redresser le système des retraites ont été réalisés par les salariés et les retraités, contre 40% seulement par les employeurs, a calculé le Conseil d’orientation des retraites. Aujourd’hui, le Medef doit accepter une hausse du taux contractuel.» Force ouvrière semblait pour sa part prête à envisager un mix entre taux d’appel et taux contractuel. Les négociations devaient se poursuivre jusqu’à 20 heures.

 

Sondage : les cadres pessimistes

Sondage : les cadres pessimistes

D’après Viavoice,  moral très bas sur l’évolution du niveau de vie, du taux de chômage ou de leur situation financière personnelle, les cadres  sont de plus en plus nombreux à estimer que l’environnement va s’aggraver. À titre d’exemple, la part des cadres soulignant que «le niveau de vie va se dégrader nettement» est en hausse ce mois-ci de 8 points (à 29 %). Même constat sur le front de l’emploi avec un bond de 8 points du nombre de cadres jugeant que «le nombre de chômeurs augmentera nettement», à 39 %. Il reste que, malgré cet environnement plutôt sombre, deux indicateurs du Baro-éco restent favorablement orientés. Il s’agit d’une part de la motivation des cadres, qui s’établit à un niveau relativement élevé de 42 %, et d’autre part de leurs opportunités professionnelles, qui progresse en un mois de 6 points, à 21 %. À la question posée par l’institut Viavoice pour HEC, Le Figaro et France Inter, «quelles sont les personnalités françaises ou étrangères qui ont le plus d’influence sur l’économie, d’après vous?», les cadres citent en priorité Barack Obama (63 %) et la chancelière Angela Merkel (55 %). Pour François Miquet-Marty, président de Viavoice, ce résultat prouve que «les États-Unis demeurent très influents sur les principaux équilibres mondiaux et qu’une reprise américaine dynamique est une condition indispensable à une réelle sortie de crise au niveau mondial». Quant à Angela Merkel, «elle s’impose comme le chef de gouvernement le plus influent en Europe, profitant de la bonne santé de l’économie allemande tant en termes de croissance que de compétitivité ou d’emploi». François Hollande, lui, se classe en troisième position avec 40 % de réponses favorables, preuve, selon François Miquet-Marty, qu’il conserve «une relative crédibilité économique auprès des cadres». Ce qui n’est pas le cas des dirigeants d’entreprise, puisque aucun ne figure cette année dans ce classement réalisé par Viavoice. Seule représentante de la sphère économique, Laurence Parisot, la présidente du Medef, ne recueille que 4 %, se classant à la onzième place. Il faudra en tout cas des personnalités de choc pour redresser le climat économique…. et le moral des cadres. Car le moins que l’on puisse dire est qu’il reste très bas en ce début d’année. Que ce soit sur l’évolution du niveau de vie, du taux de chômage ou de leur situation financière personnelle, ils sont de plus en plus nombreux à estimer que l’environnement va s’aggraver. À titre d’exemple, la part des cadres soulignant que «le niveau de vie va se dégrader nettement» est en hausse ce mois-ci de 8 points (à 29 %). Même constat sur le front de l’emploi avec un bond de 8 points du nombre de cadres jugeant que «le nombre de chômeurs augmentera nettement», à 39 %. Il reste que, malgré cet environnement plutôt sombre, deux indicateurs du Baro-éco restent favorablement orientés. Il s’agit d’une part de la motivation des cadres, qui s’établit à un niveau relativement élevé de 42 %, et d’autre part de leurs opportunités professionnelles, qui progresse en un mois de 6 points, à 21 %.

 

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