Archive pour le Tag 'Cadeaux'

Revente des cadeaux de Noël : le grand gaspillage

Revente des cadeaux de Noël : le grand gaspillage

D’après un sondage, un tiers des ménages serait prêt à revendre leurs cadeaux de Noël ce qui constitue à la fois le signe d’un grand gaspillage en même temps qu’un signe de pauvreté.

Des cadeaux qui vont perdre évidemment une grande valeur et qui opèrent un transfert entre le donateur, le bénéficiaire et l’acheteur en dernier ressort. Pourquoi dès lors acheter des produits dont on sait presque à l’avance qu’ils seront presque aussitôt revendus ? Le sommet sans doute d’une société de consommation et de gaspillage.

Mais dans beaucoup de cas c’est une contrainte budgétaire qui amène des ménages à revendre leurs cadeaux pour boucher les trous du budget. En ce sens, c’est un indicateur de montée des difficultés financières face à l’inflation.
Ce phénomène affecte particulièrement les familles les moins favorisées

Revente des cadeaux de Noël : signe de gaspillage et de pauvreté signe de gaspillage et de pauvreté

Revente des cadeaux de Noël : signe de gaspillage et de pauvreté signe de gaspillage et de pauvreté

D’après un sondage, un tiers des ménages serait prêt à revendre leurs cadeaux de Noël ce qui constitue à la fois le signe d’un grand gaspillage en même temps qu’un signe de pauvreté.

Des cadeaux qui vont perdre évidemment une grande valeur et qui opèrent un transfert entre le donateur, le bénéficiaire et l’acheteur en dernier ressort. Pourquoi dès lors acheter des produits dont on sait presque à l’avance qu’ils seront presque aussitôt revendus ? Le sommet sans doute d’une société de consommation et de gaspillage.

Mais dans beaucoup de cas c’est une contrainte budgétaire qui amène des ménages à revendre leurs cadeaux pour boucher les trous du budget. En ce sens, c’est un indicateur de montée des difficultés financières face à l’inflation.
Ce phénomène affecte particulièrement les familles les moins favorisées

Noël : de plus en plus de cadeaux achetés à crédit !

Noël : de plus en plus de cadeaux achetés à crédit !

Dans une étude réalisée par Toluna et Harris Interactive pour la Fédération de l’e-commerce et de la vente à distance (Fevad), près de 30 % des consommateurs envisage d’acheter des cadeaux de Noël à crédit. Le signe évidemment de la crise économique et de la réduction du pouvoir d’achat.

83% de Français «déclarent que l’inflation aura un impact sur leurs achats des fêtes de fin d’année.

De nombreux produits stars de Noël enregistrent ainsi une forte inflation sur un an, comme le saumon fumé (+13,4%), les marrons et châtaignes (+12,8%), les pains à toast (+16,6%), les Saint-Jacques surgelées (+7,9%) ou encore le foie gras frais (+13,5%), selon les données du panéliste Circana. Les Français vont avoir les yeux rivés sur leur porte-monnaie et ils prévoient de dépenser moins que l’an passé, avec un budget global de 369 euros cette année contre 404 euros en 2022. Sur Internet, les dépenses sont, elles aussi, en baisse, passant de 279 euros l’année dernière, à 229 euros pour 2023.

Près d’un tiers des consommateurs envisage de recourir «à un crédit ou à l’achat fractionné», relève l’étude. population indique même être prête à revendre des présents pour se créer un complément de revenus», détaille l’analyse.

Les cadeaux de la BCE aux banques

Les cadeaux de la BCE aux banques

 Les taux négatifs auxquels la banque centrale a accordé certains prêts jusqu’en juin 2022 constituent une forme de subventions aux banques pour qu’elles empruntent auprès de l’Eurosystème. Par Eric Dor, IÉSEG School of Management

 

De septembre 2019 à décembre 2021, la Banque centrale européenne (BCE), par le biais des banques centrales nationales, a octroyé aux banques 10 séries de prêts dits TLTRO 3 (Targeted Longer-Term Refinancing Operations, ou opérations ciblées de refinancement de long terme) pour un montant total de 2339 milliards d’euros.

Ce sont des séries de prêts à 3 ans dont la maturité s’échelonne de septembre 2022 à décembre 2024. Si elles le souhaitent, les banques ont la possibilité, tous les 3 mois, de procéder à des remboursements précoces, mais elles ont très peu utilisé cette possibilité jusqu’à présent. L’encours total est encore de 2263 milliards d’euros.

Le taux à payer par les banques sur ces emprunts à l’Eurosystème, qui regroupe la BCE et les banques centrales nationales des États membres de la zone euro, est fonction de la quantité de prêts éligibles qu’elles octroient au secteur privé. Jusqu’au 23 juin 2022, le meilleur taux possible sur les TLTRO 3, pour les banques qui maintiennent leur quantité de prêts au-dessus d’une certaine limite, a été de -1 %.

Ce meilleur taux négatif possible représentait ainsi une énorme subvention aux banques, payées pour emprunter à l’Eurosystème. Tout récemment, il impliquait une recette maximum mensuelle de 1832 millions d’euros pour les banques de la zone euro, sous l’hypothèse que toutes peuvent bénéficier du meilleur taux. Cette recette excédait le coût mensuel estimé à 1499 millions d’euros, pour les banques de la zone euro, du taux négatif de -0,5 % sur la facilité de dépôt et leurs réserves excédentaires en compte courant, après déduction par le système de « tiering » de l’excédent de liquidité non soumis au taux négatif. Il y avait ainsi un gain net pour les banques.

À partir du 24 juin 2022, le meilleur taux possible sur les prêts TLTRO 3 est la moyenne du taux de la facilité de dépôt, c’est-à-dire le taux d’intérêt fixé par la banque centrale auquel elle rémunère les dépôts des banques et établissements financiers placés chez elle, depuis leur émission jusqu’à leur maturité. Ce taux est différent pour chacune des 10 séries puisque leurs dates d’émission et de maturité diffèrent.

Ce meilleur taux est donc encore inconnu puisque, s’il est partiellement fonction du taux passé déjà connu de la facilité de dépôt, il va dépendre aussi de son évolution future. Pour chaque série de prêts TLTRO 3, il convient donc d’estimer le meilleur taux possible sur base d’hypothèses sur la trajectoire que la BCE va décider pour le taux de la facilité de dépôt.

Nos simulations considèrent d’une part un scénario de resserrement léger de la politique monétaire, et d’autre part un scénario de resserrement fort.

Le scénario de resserrement léger suppose des décisions d’augmentations successives du taux de la facilité de dépôt à partir de la réunion de juillet 2022, pour arriver à 0,75 % en décembre 2022, et rester là jusqu’en décembre 2024. Le 21 juillet, un premier palier a été franchi avec une hausse, supérieure aux attentes, de 0,5 point.

Le scénario de resserrement fort suppose qu’ensuite la BCE déciderait encore d’augmentations supplémentaires successives du taux de la facilité de dépôt lors des réunions suivantes, pour arriver à 2 % en juin 2023, et rester là jusqu’en décembre 2024.

Nos simulations montrent que, quel que soit le scénario, pour chaque série de prêts TLTRO, le meilleur taux possible à payer, entre juillet 2022 et la date de maturité, reste inférieur à la moyenne du taux de la facilité de dépôt sur la même période. Les banques de la zone euro ont donc intérêt à garder leurs emprunts TLTRO 3 jusqu’à leur maturité, et les investir simplement sur la facilité de dépôt de la BCE, pour bénéficier d’un gain net certain.

Les simulations permettent de calculer les résultats d’une telle stratégie.

Sous les hypothèses du scénario de resserrement léger, la différence entre le meilleur taux possible sur les TLTRO 3 et la moyenne du taux de la facilité de dépôt, entre juillet 2022 et la maturité, excède 0,6 % pour certaines séries. Au total, pour toutes les séries, de juillet 2022 à décembre 2024, les banques de la zone euro pourraient dégager un gain net maximum de 14,661 milliards d’euros.

Sous les hypothèses du scénario de resserrement fort, la différence entre le meilleur taux possible sur les TLTRO 3 et la moyenne du taux de la facilité de dépôt, entre juillet 2022 et la maturité, excède 0,8 % pour certaines séries. Au total, pour toutes les séries, de juillet 2022 à décembre 2024, les banques pourraient dégager un gain net maximum de 21,064 milliards d’euros.

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Par Eric Dor, Director of Economic Studies, IÉSEG School of Management.

La version originale de cet article a été publiée sur The Conversation.

Taux d’intérêt : les cadeaux de la BCE aux banques

Taux d’intérêt : les cadeaux de la BCE aux banques

Malgré la hausse des taux, les banques peuvent réaliser d’importants gains grâce à la BCE. Les taux négatifs auxquels la banque centrale a accordé certains prêts jusqu’en juin 2022 constituent une forme de subventions aux banques pour qu’elles empruntent auprès de l’Eurosystème. Par Eric Dor, IÉSEG School of Management

 

De septembre 2019 à décembre 2021, la Banque centrale européenne (BCE), par le biais des banques centrales nationales, a octroyé aux banques 10 séries de prêts dits TLTRO 3 (Targeted Longer-Term Refinancing Operations, ou opérations ciblées de refinancement de long terme) pour un montant total de 2339 milliards d’euros.

Ce sont des séries de prêts à 3 ans dont la maturité s’échelonne de septembre 2022 à décembre 2024. Si elles le souhaitent, les banques ont la possibilité, tous les 3 mois, de procéder à des remboursements précoces, mais elles ont très peu utilisé cette possibilité jusqu’à présent. L’encours total est encore de 2263 milliards d’euros.

Le taux à payer par les banques sur ces emprunts à l’Eurosystème, qui regroupe la BCE et les banques centrales nationales des États membres de la zone euro, est fonction de la quantité de prêts éligibles qu’elles octroient au secteur privé. Jusqu’au 23 juin 2022, le meilleur taux possible sur les TLTRO 3, pour les banques qui maintiennent leur quantité de prêts au-dessus d’une certaine limite, a été de -1 %.

Ce meilleur taux négatif possible représentait ainsi une énorme subvention aux banques, payées pour emprunter à l’Eurosystème. Tout récemment, il impliquait une recette maximum mensuelle de 1832 millions d’euros pour les banques de la zone euro, sous l’hypothèse que toutes peuvent bénéficier du meilleur taux. Cette recette excédait le coût mensuel estimé à 1499 millions d’euros, pour les banques de la zone euro, du taux négatif de -0,5 % sur la facilité de dépôt et leurs réserves excédentaires en compte courant, après déduction par le système de « tiering » de l’excédent de liquidité non soumis au taux négatif. Il y avait ainsi un gain net pour les banques.

À partir du 24 juin 2022, le meilleur taux possible sur les prêts TLTRO 3 est la moyenne du taux de la facilité de dépôt, c’est-à-dire le taux d’intérêt fixé par la banque centrale auquel elle rémunère les dépôts des banques et établissements financiers placés chez elle, depuis leur émission jusqu’à leur maturité. Ce taux est différent pour chacune des 10 séries puisque leurs dates d’émission et de maturité diffèrent.

Ce meilleur taux est donc encore inconnu puisque, s’il est partiellement fonction du taux passé déjà connu de la facilité de dépôt, il va dépendre aussi de son évolution future. Pour chaque série de prêts TLTRO 3, il convient donc d’estimer le meilleur taux possible sur base d’hypothèses sur la trajectoire que la BCE va décider pour le taux de la facilité de dépôt.

Nos simulations considèrent d’une part un scénario de resserrement léger de la politique monétaire, et d’autre part un scénario de resserrement fort.

Le scénario de resserrement léger suppose des décisions d’augmentations successives du taux de la facilité de dépôt à partir de la réunion de juillet 2022, pour arriver à 0,75 % en décembre 2022, et rester là jusqu’en décembre 2024. Le 21 juillet, un premier palier a été franchi avec une hausse, supérieure aux attentes, de 0,5 point.

Le scénario de resserrement fort suppose qu’ensuite la BCE déciderait encore d’augmentations supplémentaires successives du taux de la facilité de dépôt lors des réunions suivantes, pour arriver à 2 % en juin 2023, et rester là jusqu’en décembre 2024.

Nos simulations montrent que, quel que soit le scénario, pour chaque série de prêts TLTRO, le meilleur taux possible à payer, entre juillet 2022 et la date de maturité, reste inférieur à la moyenne du taux de la facilité de dépôt sur la même période. Les banques de la zone euro ont donc intérêt à garder leurs emprunts TLTRO 3 jusqu’à leur maturité, et les investir simplement sur la facilité de dépôt de la BCE, pour bénéficier d’un gain net certain.

Les simulations permettent de calculer les résultats d’une telle stratégie.

Sous les hypothèses du scénario de resserrement léger, la différence entre le meilleur taux possible sur les TLTRO 3 et la moyenne du taux de la facilité de dépôt, entre juillet 2022 et la maturité, excède 0,6 % pour certaines séries. Au total, pour toutes les séries, de juillet 2022 à décembre 2024, les banques de la zone euro pourraient dégager un gain net maximum de 14,661 milliards d’euros.

Sous les hypothèses du scénario de resserrement fort, la différence entre le meilleur taux possible sur les TLTRO 3 et la moyenne du taux de la facilité de dépôt, entre juillet 2022 et la maturité, excède 0,8 % pour certaines séries. Au total, pour toutes les séries, de juillet 2022 à décembre 2024, les banques pourraient dégager un gain net maximum de 21,064 milliards d’euros.

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Par Eric Dor, Director of Economic Studies, IÉSEG School of Management.

La version originale de cet article a été publiée sur The Conversation.

Noël : presque 40 % des cadeaux revendus !

Noël : presque 40 % des cadeaux revendus !

Dans les années 50, des enfants étaient satisfaits de recevoir par exemple une orange comme cadeau de Noël. Depuis les 30 glorieuses et le développements du consumérisme, le concept de cadeau a évolué. Pour 40 % ,le cadeau est devenu une chose à monétiser.

Quatre personnes sur 10 ont déjà remis sur le marché les présents trouvés sous le sapin ou envisagent de le faire, indique le baromètre annuel de Rakuten réalisé par OpinionWay. Les 18 à 24 ans sont même six sur dix dans ce cas. Alors que les trois quarts des plus de 65 ans rejettent l’idée. En outre, les femmes hésitent moins que les hommes. Et les habitants de la région parisienne font partie des plus grands adeptes de cette pratique.

Heureusement,. 45 % des Français le préféreraient la revente, selon le baromètre de Rakuten. L’application Geev , dédiée aux dons d’objets et de nourriture entre particuliers, avait déjà observé l’an dernier une augmentation de 25 % de ceux effectués entre le 25 et le 27 décembre par rapport à la semaine précédant Noël.

Cadeaux de noël : et maintenant la revente !

Cadeaux de noël : et maintenant la revente !

 

 

Symbole notamment de la dérive du consumérisme, de l’ordre de 22 % des cadeaux reçus à Noël seraient revendus. D’autres ne le seront pas mais sont rangés dans les placards sans être jamais utilisés. Du coup, on peut s’interroger sur le sens de cette tradition des cadeaux à Noël. Dans une économie de restrictions comme il y a 50 ou 60 ans cela pouvait avoir encore un sens mais désormais les cadeaux sont achetés et offerts toute l’année de sorte que cela dévalorise le geste spécifique de Noël. En outre économiquement la revente des cadeaux crée une perte de valeur et on peut se demander si finalement un cadeau sous forme monétaire ne serait pas préférable. Mieux, on  pourrait peut-être ne plus sacrifier à ce rituel de consommation qui n’a plus de sens sauf peut-être dans les ménages vraiment défavorisés. Selon l’étude Kantar, 42% des revendeurs conservent l’argent, 35% achètent autre chose et 24% financent Noël, et ce à hauteur de 81 euros en moyenne. « Beaucoup comptent sur cet argent pour financer Noël ou les étrennes », souligne Mme Benzrihem. Le prix moyen de revente d’un objet se situe entre 30 et 32 euros sur eBay France qui reversera 1 euro à la Croix-Rouge pour chaque produit vendu.  »Pour le pouvoir d’achat, ça peut être pas mal pour ceux qui fêtent a posteriori », comme c’est le cas dans les familles recomposées par exemple, indique à l’AFP Alexia Lefeuvre, porte-parole chez Rakuten. C’est « un peu les soldes avant l’heure », dans la mesure où un cadeau remis en vente se paie, selon elle, en moyenne 30% moins cher qu’au prix neuf. Les objets qui se revendent le mieux sont les plus populaires à l’achat avant Noël (jeux vidéo, jeux de société, smartphones, etc.), neufs et restés sous emballage. Seules exceptions : les produits illégaux et les animaux vivants, interdits sur ces plateformes.

 

Noël business : la revente des cadeaux pour 42 %

Noël business : la revente des cadeaux pour 42 %

 

 

 

Il y a longtemps que Noël a perdu de sa symbolique fête religieuse qui par syncrétisme à englobé la fête du solstice d’hiver ; puis elle  devenu une fête  familiale et de plus en plus la fête des marchands. Témoin le nombre incalculable de marchés de Noël qui se déroulent  partout dans les villes de France et même dans les moindres villages. La fête marchande domine désormais la fête religieuse. Depuis les 30 glorieuses les cadeaux offerts se multiplient, ils représentent aujourd’hui autour de 700 € par ménage. Mais des cadeaux souvent inutiles, qui font double emploi ou simplement déplaisent. Du coup,  42 % des Français sont prêts à revendre leurs cadeaux rapidement soit pour en acheter un autre soient tout simplement pour garder l’argent. Il faut dire que nombre d’enfants et de parents reçoivent déjà des cadeaux toute l’année et que celui offert à l’occasion de Noël perd beaucoup de son intérêt et de son sens symbolique. On est loin de l’orange qui été reçu par beaucoup à Noël il y a 70 ans ! Il faut dire qu’à l’époque les oranges étaient rares, le pouvoir d’achat relativement bas comparé à celui d’aujourd’hui et que la société de consommation n’avait pas pris l’ampleur actuelle. On se demande bien pourquoi certains n’ont pas encore prient l’initiative d’organiser des vide greniers entre Noël et le jour de l’an pour se débarrasser de cadeaux mal appréciés. En tout cas se développe des bourses d’échange.  Présent dans six pays européens avec plus de 115 points de vente, Troc.com offre un large choix d’articles allant des objets de maison et de loisir aux nouvelles technologies. La marque repose sur un site Internet, des petites annonces gratuites et un réseau de magasins et de professionnels partout en France: des experts interviennent directement auprès des vendeurs pour estimer leurs biens et le revendre au meilleur prix. Troc.com propose également des services de relooking des produits, d’enlèvement à domicile et de vide-maison. Une solution qui fonctionne: «Si on voit que le produit ne se vend pas bien au bout de 2 mois, on baisse le prix jusqu’à ce qu’il se vende. En 6 mois, les produits sont tous partis», explique au Figaro Frédéric Husson, responsable communication du réseau. Car la principale difficulté rencontrée par les particuliers lors de la revente de leur bien est bien le prix: «Il est parfois difficile d’expliquer aux gens qu’on ne peut pas revendre 200 euros un bien qui en valait 300 au moment de l’achat, il y a quelques mois», explique Frédéric Husson. Les  Français interrogés par Troc.com envisagent de revendre leurs cadeaux de Noël si ces derniers ne leur conviennent pas, et 32% des revendeurs revendront leurs cadeaux via un site Internet de petites annonces. Les fondateurs de la start-up HelloZack l’ont bien compris et simplifient ce procédé. Le propriétaire d’un iPhone, iPad, Apple Watch ou MacBook n’a qu’à se connecter sur le site Internet hellozack.com et renseigner des informations sur le produit (état, processeur, mémoire, etc.): il reçoit ensuite un mail lui indiquant une estimation du prix du produit, et n’a qu’à indiquer une heure et un lieu dans Paris intra muros pour qu’un coursier HelloZack vienne récupérer le produit. Une fois le bien récupéré, HelloZack génère immédiatement des petites annonces sur les sites Internet pour qu’il soit revendu. L’ancien propriétaire verra ensuite son compte bancaire ou PayPal crédité du montant estimé du bien.

 

Baisse des impôts ou cadeaux électoraux ?

Baisse  des impôts ou cadeaux électoraux ?

 

Il est clair que si le gouvernement insiste autant sur la baisse des impôts, c’est évidemment dans un but électoral. Une baisse des impôts toujours bonne  à prendre pour les intéressés compte tenu de la crise. Pour autant il est fallacieux de parler de baisse des impôts puisqu’il ne s’agit que d’une petite partie de la fiscalité. Globalement les prélèvements obligatoires ne diminuent pas bien au contraire et représente environ 47 % de la richesse nationale, soit très grossièrement près de 1000 milliards alors que l’impôt sur le revenu ne représente que environ 75 milliards. La réduction prévue pour l’impôt sur le revenu en 2016 doit atteindre 2 milliards à comparer évidemment auprès de 1000 milliards d’impôts globaux de toute nature vraie (impôts, taxes, prélèvements etc.). La baisse envisagée va donc redonner un peu de pouvoir d’achat aux contribuables concernés (8 millions sur 17 qui paient l’impôt sur le revenu) Trois millions de foyers qui n’ont pas bénéficié de la baisse de l’impôt sur le revenu cette année profiteront de celle promise par François Hollande pour 2016, a annoncé jeudi le ministère des Finances.   »Avec cette nouvelle mesure, de l’ordre d’un million de foyers fiscaux sortiront de l’impôt ou resteront non-imposables », ajoute le ministère dans un communiqué.  Parmi les bénéficiaires, la plupart des célibataires devraient voir leur impôt sur le revenu baisser de 200 à 300 euros et les couples de 300 à 500 euros, précise le ministère. « Comme en 2015, l’impôt sur le revenu n’augmentera pour personne à situation personnelle et revenus inchangés », poursuit-il.

 

Sondage : Cadeaux de Noël : 60% revendus.

Sondage : Cadeaux de Noël : 60% revendus.

 

Curieuse tradition que celle de Noël puisque 60% vont sans doute revendre leurs cadeaux. Un gâchis en même temps car il est loin le temps ou Noel était le seul moment de recevoir ces cadeaux maintenant achetés toute l’année. Du coup, on se demande s’il ne serait pas souhaitable d’emprunter seulement ces cadeaux pour les fêtes et de le rendre le lendemain, une sorte de location en quelque sorte ! Près de 6 Français sur dix se déclarent prêts à revendre tout ou partie de leurs cadeaux de Noël, un phénomène en progression chaque année, selon une étude OpinionWay/PriceMinister-Rakuten publiée ce lundi 23 décembre. Selon OpinionWay, 57% des personnes interrogées déclarent avoir déjà revendu, ou seraient prêt à revendre cette année, les présents reçus à Noël qui ne leur plairaient pas. Cela représente une augmentation de 10% par rapport à l’an dernier. Les 18-24 ans et les 25-34 ans apparaissent comme les plus adeptes de ce comportement. Les raisons qui poussent à la revente de cadeaux restent globalement les mêmes d’une année sur l’autre : en premier lieu, c’est parce que le cadeau ne plait pas, ensuite parce que le présent a été reçu en double.  Si 42% des Français estiment que la pratique de revente des cadeaux de Noël est « légitime » en temps de crise, le sujet reste malgré tout majoritairement tabou : 83% (+6 points) des sondés se gardent bien de dire à l’auteur du cadeau revendu ce qu’il est advenu de son présent.  Dans le palmarès des présents les plus remis en vente, les CD/DVD arrivent toujours en tête, suivis des jeux vidéos, des objets de décorations, de la high tech, puis des livres.

Cadeaux fiscaux à Tapie ?

Cadeaux fiscaux à Tapie ?

 

 Bernard Tapie affirme que l’administration des impôts lui réclame de nouveau le paiement de près de 15 millions d’euros d’arriérés d’impôts dont il avait obtenu l’abandon devant un tribunal de commerce en 2009. Selon l’homme d’affaires, le dossier a été relancé il y a un peu plus d’un an par François Baroin, alors ministre du Budget de Nicolas Sarkozy. « M. Baroin nous a assignés et on est en contentieux depuis plus d’un an », a-t-il dit vendredi à Reuters, en réponse à un article de Mediapart reprochant à l’administration fiscale de lui avoir fait « un cadeau de près de 15 millions d’euros ». « Leur raisonnement ne tient pas debout », a ajouté l’homme d’affaires, devenu patron de presse. Selon le site d’informations, un juge commissaire du tribunal de commerce de Paris a prononcé le 20 octobre 2009 la forclusion de certaines des créances détenues par le Trésor public sur la liquidation Bernard Tapie. Douze millions d’euros de créances auraient été notamment abandonnées au titre des impôts sur le revenu des années 1992 et 1993, précise-t-il.

 




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