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Inflation : ça monte, ça monte

Inflation : ça monte, ça monte 

 

D’après l’INSEE l’augmentation des prix serait limitée à 2,6% sur 1 an.  De son côté, l’indice des prix harmonisés (IPCH) - qui sert de base de comparaison au niveau européen - affiche sur la période une hausse des prix en France de 3,2%. Sur un mois, il a augmenté de 0,5%.

Les prix à la consommation ont d’après l’INSEE augmenté de 2,6% sur un an ce mois-ci, selon une estimation provisoire publiée vendredi par l’Insee. (Notons au passage que l’indice des prix de l’INSEE est complètement obsolète depuis la modification de structure de la consommation constatée depuis la crise épidémique)

En zone euro, l’accélération est encore plus marquée avec une augmentation des prix de 4,1% sur un an après +3,4% en septembre. Il s’agit du chiffre le plus élevé depuis juillet 2008. Or, des économistes et analystes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne un chiffre de 3,7%.

Dans l’Hexagone, la hausse est tirée principalement par l’énergie (+20,1%), l’inflation en France, comme dans le reste du monde, inquiète de plus en plus.

Jusqu’à quand l’inflation va-t-elle grimper ? Un retour à la normale n’est pas prévu avant la fin de l’année 2022, a estimé le ministre de l’Economie Bruno Le Maire le 20 octobre. Au niveau mondial aussi, le FMI estime que la pression sur les prix pourrait durer jusqu’à fin 2022. L’institution a en effet revu ses prévisions mercredi, alors qu’elle prévoyait une stabilisation de l’inflation d’ici le milieu de l’année prochaine. « Nous devons être très vigilants sur l’évolution de l’inflation », a ainsi déclaré le 27 octobre Kristalina Georgieva, la directrice du FMI, sur la chaîne CNBC, mettant en exergue la hausse de la demande et les problèmes logistiques à cause notamment de la pénurie de chauffeurs de poids lourds.

Bourse : ça monte que l’économie aille bien ou non !

Bourse : ça monte que l’économie aille bien ou non !

Wall Street comme les bourses européennes a encore terminé en hausse vendredi alors que les nouvelles sur l’emploi américain étaient mitigées.  Conclusion quand l’économie va bien la bourse monte, quand l’économie va mal, la bourse monte aussi car on compte alors sur des politiques plus accommodantes des banques centrales. Une vraie martingale qui n’est due en fait qu’aux masses de liquidités (et à la spéculation) déversées par ces banques centrales qui viennent sur le marchés des actions car les taux obligataires sont particulièrement bas.  Wall Street a terminé la séance de vendredi en légère hausse, même si les investisseurs n’ont pas été ravis de prendre connaissance d’une statistique de l’emploi peu concluante. Elle est toutefois susceptible d’inciter la Réserve fédérale à la prudence dans l’élaboration du calendrier du dénouement de sa politique de rachats obligataires. Prudence reflétée de fait dans les propos de James Bullard, président de la Fed de Saint-Louis. Celui-ci, s’exprimant durant la séance boursière, a observé que l’économie américaine s’améliorait un peu mais devait encore gagner en dynamisme. Quant au dénouement de la politique d’assouplissement quantitatif (QE3), Bullard a jugé que pour l’heure, « il est tout simplement prudent d’attendre et voir que les statistiques ont à dire; je ne crois pas qu’il faille en dire plus et je pense que c’est la conclusion à laquelle le Comité (de politique monétaire) est arrivé ». L’économie américaine hors agriculture a créé moins d’emplois que prévu en juillet sans empêcher le taux de chômage de reculer davantage que ce que prédisaient les économistes pour revenir à son niveau le plus bas depuis décembre 2008. Tranchant avec une série de statistiques allant au-delà des attentes et l’espoir de voir une forte croissance au second semestre, ce dernier indicateur constitue malgré tout un rappel à la réalité, de l’avis des analystes. « Rien dans la statistique de l’emploi ne dit que l’économie peut s’autosuffire. C’est une statistique pas très claire et elle repousse le dénouement (du QE3) beaucoup plus loin dans le quatrième trimestre », a dit Ron Florance (Wells Fargo Private Bank)La Fed a activement soutenu une reprise économique consécutive à la pire récession qu’ait connu les Etats-Unis depuis la Grande Dépression. La banque centrale a répété qu’elle continuerait à soutenir l’économie jusqu’à ce qu’elle puisse auto-entretenir sa croissance, des propos qui ont permis à l’indice S&P-500 de terminer jeudi pour la première fois au-dessus des 1.700 points.




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