Archive pour le Tag 'Brune'

Brune Poirson va pantoufler chez Accor

 

 

Brune Poirson grâce à son passage en politique va pouvoir faire augmenter de manière substantielle sa rémunération. En allant pantoufler chez Accor. Alors que son salaire comme élue ne pouvait sans doute pas dépasser 10 000 € elle va passer brusquement sans doute à 100 000 € par mois..

 

L’intéressée, c’est le terme qui convient, anticipe sans doute aussi la défaite possible de Macron et son reclassement n’est peut-être pas étranger un éventuel échec de Macron aux présidentielles. Secrétaire d’État à la Transition écologique de 2017 à juillet 2020, Brune Poirson a principalement porté la loi contre le gaspillage et pour l’économie circulaire, adoptée début 2020. Le monde de l’entreprise lui est familier. Diplômée de la London School of Economics et de la Kennedy School de Harvard, elle a travaillé plusieurs années en Inde, en cabinet ministériel, puis pour l’Agence française de développement et pour le groupe Veolia.

 

Elle devrait s’impliquer dans l’environnement et en particulier dans le suivi d’un accord stratégique noué le mois dernier entre Accor, la plateforme Expedia et l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO), pour étendre davantage l’Engagement de l’Unesco en faveur du tourisme durable. Cet accord stratégique tripartite verra le regroupement de 3.358 hôtels Accor dans le monde entier pour promouvoir la durabilité environnementale et le tourisme durable aux quatre coins de la planète.

Leader mondial de l’hôtellerie, Accor occupe 260 000 collaborateurs et compte quelque 5.100 hôtels et 10.000 espaces de restauration et bars dans 110 pays. En 2020 il a réalisé un chiffre d’affaires de 1,6 milliard d’euros.

Le retour peut-être de la taxe carbone (Brune Poirson)

Le retour peut-être de la taxe carbone (Brune Poirson)

 

Brune Poirson, secrétaire d’Etat à la Transition écologique et solidaire, doit sans doute s’ennuyer dans un ministère qui n’a jamais rien décidé puisque tout se passe au ministère de l’économie et chez  le premier ministre sans parler évidemment de l’Élysée. Du coup elle reprend  les propos de du transparent ministre de l’environnement, De Rugy : «  La taxe carbone « reviendra peut-être. Je ne sais pas, ça fait l’objet des discussions dans le grand débat », a déclaré Mme Poirson sur France3….., « la taxe carbone, les économistes l’ont montré (…), c’est un outil qui est efficace ». « C’est un outil en faveur de la transition écologique, qui a un vrai impact parce qu’il envoie un signal prix qui permet aux gens de changer leur comportement »; a-t-elle indiqué, en ajoutant « il faut en débattre ».. Une vision fiscaliste de l’environnement. L’ingénierie fiscale française est en effet sans limite, une pathologie qui touche toutes les sensibilités politiques, tous les technocrates, tous les écolos. Pour résumer, il s’agit de soigner le monde carboné par la saignée fiscale. Le remède radical des médecins de Molière qui guérissaient les malades, lesquels  mourraient de la thérapie de choc. Il est évident qu’en tuant l’économie française on aura aussi fait disparaître le carbone,  à un détail près : on aura reporté les émissions polluantes sur d’autres pays car il faudra bien toujours consommer… (Et accessoirement payer mais avec quelle richesse ?).  En mal de reconnaissance, les économistes qui ont été presque tous nourris au lait du néo libéralisme ont donné une légitimité pseudo scientifique à la taxe carbone. Il s’agit d’abord d’une récupération indécente d’une question sociétale qui ne peut évidemment être seulement et prioritairement régulé par la fiscalité et les prix. Le signal prix cher aux économistes ultra libéraux constitue une sorte de récupération par les mécanismes de marché de la problématique environnementale. L’argumentation consiste à affirmer qu’il convient de limiter les émissions polluantes en leur donnant un prix afin de favoriser la seule régulation marchande. Si l’économie de marché est encore la meilleure chose (ou la moins pire) pour équilibrer l’offre et la demande,  il en va différemment lorsqu’il s’agit des champs sociétaux environnementaux. Certes on peut comprendre l’absolue nécessité d’une transition écologique notamment dans le domaine du transport. Encore faudrait-il qu’il existe une alternative pour permettre le changement de comportement. Or une politique des transports ne peut se conduire que sur le long terme pour  développer à la fois les transports collectifs, le concept du véhicule individuel et son utilisation. En l’absence de ces conditions,  la fiscalité dite écologique se réduit à un impôt classique qui au demeurant vient en plus affecté  le pouvoir d’achat, donc la croissance et l’emploi. Notons aussi que ces mesures carburant touche surtout les moins favorisés qui ne peuvent pas disposer d’une liberté d’horaire pour prendre un autre moyen de transport que leur véhicule individuel. Il y a évidemment d’autres moyens de réguler que l’arme de la fiscalité et des prix : la régulation par les normes et le développement système alternatif. Mais dans le contexte actuel des transports,  la fiscalité écologique constitue une fumisterie environnementale qui n’a d’autre objet que de donner une fausse légitimité scientifique à un impôt qui va se perdre dans le trou du budget. Faudrait-il rappeler aux économistes que leur science, certes utile,  n’est pas très exacte, qu’elle est même souvent approximative. Pour preuve, la majorité des grandes ruptures n’ont pas été prévues par la plupart  de ces experts. Par exemple, la prochaine chute de la croissance française assommée par la fiscalité.

 

Gilets jaunes : la peste brune (Darmanin) !

Gilets jaunes : la peste brune (Darmanin) !

 

L’hystérie sémantique continue ou gouvernement avec les propos complètement exagérés du ministre de l’intérieur, de Macron et maintenant de Darmanin,  le ministre du budget qui a qualifié les jouteurs d’incidents sur les Champs-Élysées dimanche de peste brune. On avait déjà noté dans ce gouvernement quelques insuffisances culturelles et de grande confusion historique. Pas étonnant, la plupart qui sortent des instituts politiques bidon, hauts lieu de la pensée politique où on n’apprend à peu près rien. Faut-il rappeler aux jeunes Darmanin que la peste brune et essentiellement le nom qui a servi à qualifier le nazisme et ses chemises brunes. Faire référence en l’occurrence au nazisme paraît donc complètement disproportionnée et ridicule même si les violences de certains extrémistes doivent évidemment être condamnées. Ces excès de langage trouvent à l’évidence la grande fébrilité du gouvernement qui donne l’impression aujourd’hui de constituer une sorte de citadelle assiégée pas forcément physiquement mais par le mécontentement quasi général dans le pays. Et Darmanin de se lancer dans la justification très approximative. «  l’arrêt de l’écotaxe n’avait été remplacé «par rien, ni par une hausse de la fiscalité ni par une baisse de la dépense», ce qui a abouti à ne pas pouvoir financer des infrastructures comme le canal Seine-Nord.( comme si l’intérêt économique de ce canal existait !). , le ministre a aussi  évoqué l’impact prochain de la réforme de l du statut de la SNCF ! qui n’aura pas d’effet avant des dizaines d’années puisque ne appliquant qu’aux nouveaux embauchés.  Le jeune diplômé d’institut politique ferait bien de retourner à l’école ou de diriger uen épicerie pendant quelques mois sen essayant de ne pas faire faillite.

 

 

Brune Poirson, l’archétype des hors sol d’en marche, pour la hausse du carburant

Brune Poirson, l’archétype des hors sol d’en marche, pour la hausse du carburant

 

Peut-être pour sortir de l’anonymat politique Brune Poirson, secrétaire d’État à la transition écologique tente de donner une légitimité économique et environnementale à la hausse du carburant.  Première observation, on se demande quel est le rôle de cette secrétaire d’État auprès d’un ministre de l’environnement qui lui-même ne sert déjà pas à grand-chose. Seconde observation, sur quelle légitimité politique s’appuie l’intéressée. Comme la plupart des députés d’en marche, elle sort de nulle part, n’a aucune compétence politique, aucune expérience et ne doit son poste de député des Français de l’étranger qu’à Macron. Une secrétaire d’État comme la plupart de ses collègues ministres et députés complètement hors sol et qui défend  le bien-fondé des taxes en même temps que la hausse des cours du pétrole. Et de reprendre les éléments de langage usés du gouvernement « nous assumons » ! Une expression qui ne signifie strictement rien d’abord parce que pour assumer , il faut comprendre quelque chose à la problématique économique et environnementale ensuite parce que ceux qui assument  sont les Français qui ne peuvent faire autrement que d’utiliser leur véhicule individuel faute d’alternative. Il serait bon que ce type de ministre reprenne contact avec les réalités en tentant par exemple de gérer une petite commune. L’occasion pourra leur être donnée lors des prochaines municipales. Mais dans le parti en marche de Macron, on  marche à l’envers.  On veut gérer la France avant d’avoir mit les pieds dans la moindre collectivité locale, la moindre association. Bref avant d’avoir eu la moindre expérience citoyenne.

» Un électrochoc » (Brune Poirson) pour lutter contre le plastique !

» Un électrochoc » (Brune Poirson) pour lutter contre le plastique !

Avec la décision de justice américaine concernant le Roundup de Monsanto, les politiques français ne se sentent plus uriner. Il y a une d’abord la belle récupération politique de l’inutile Nicolas Hulot qui veut désormais mener la guerre à tous les pesticides. Il y a aussi celle qui se rappelle à l’opinion la secrétaire d’État auprès du ministre de la transition écologique, Brune Poirson. Une manière pour elle de signaler qu’elle existe. Et pour cela la sous ministre évoque la transformation complète de l’économie française avec notamment la suppression du plastique ou alors son recyclage. Prudente dans sa révolution économique, le sous ministre parle surtout de recyclage du plastique. Une manière de pas condamner par exemple le juteux  commerce de l’eau  en bouteille dont le plastique envahit les poubelles. Et de découvrir aussi les vertus de l’économie circulaire. Bref un discours quand même très écolo,  sans doute toléré en cette période de vacances mais qui va vite se heurter aux réalités économiques et aux grands groupes de pressions. On se demande pourquoi il aura fallu attendre la décision de justice américaine pour que les ministres écolos du gouvernement se réveillent. Il est vrai que la justice française pour cette problématique (comme pour les affaires politiques au financières) paraît passablement endormie.

 




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