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LE VARIANT BRITANNIQUE: 33% DES CAS EN BRETAGNE!

 LE VARIANT BRITANNIQUE:  33% DES CAS EN BRETAGNE!

La Bretagne est une des régions la moins touchée par le virus cependant les résultats préliminaires de la deuxième enquête flash effectuée par Santé Publique France le 27 janvier et dévoilés ce mercredi, les variants représentent désormais 14% des cas positifs en France. Cependant les dernières données faisaient apparaître un taux de 20 %. En effet les variants progressent de façon exponentielle et doublerait toutes les semaines. En Bretagne, la situation serait encore plus alarmante: le taux de variants parmi les tests positifs s’y élèverait à 33,6%, soit plus d’une personne sur quatre. Ce chiffre est cependant à prendre avec beaucoup de précaution, explique à BFMTV.com Stéphane Mulliez, directeur de l’ARS Bretagne.

Coronavirus : l’exemple britannique ?

Coronavirus : l’exemple britannique ?

 

 

Il est indéniable que l’importance de la pandémie a été très sous-estimée par Maurice Johnson à son début. On peut même dire qu’elle a été ignorée jusqu’à ce que lui-même soit victime du virus. Ensuite surtout les contaminations se sont envolées du fait du refus des pouvoirs britanniques d’envisager des mesures restrictives concernant l’ouverture des commerces et la mobilité.

 

Ainsi le Royaume-Uni est le pays le plus touché au monde ou presque proportionnellement avec 100 000 morts. Cependant Boris Johnson a pris des mesures très contraignantes depuis plusieurs semaines qui montrent un très net ralentissement de la pandémie. Il s’agirait d’un effet direct de décision très restrictive sur la mobilité interne et internationale. S’ajoutent à cela une campagne de vaccination très volontariste explique notamment LCI. Pour Corinne Gonet, médecin urgentiste en France et au Royal London Hospital, au cœur de la capitale anglaise, « à partir de la deuxième semaine de ce confinement, tout est devenu plus drastique, tandis que les arrivées depuis les trains ou les avions sont désormais beaucoup plus contrôlées », explique-t-elle à LCI.  »Si vous êtes cas contact ou que vous revenez d’un autre pays, vous recevez chaque jour un coup de téléphone pour vérifier que vous êtes bien chez vous. Avant, c’était plutôt un ou deux appels dans la semaine. »

Une vaccination massive qui produit déjà des effets ?

En outre, le Royaume-Uni est le pays d’Europe qui a démarré le plus tôt sa campagne de vaccination, dès le 8 décembre. Un mois et demi plus tard, plus de sept millions de doses ont déjà été injectées aux Britanniques, selon Our World in data, soit plus de 10% de la population. « Quasiment un million de personnes y ont déjà reçu la deuxième dose », qui confère une protection maximale, précise Corinne Gonet.

quels enseignements faut-il tirer de la situation anglaise ? « Il faut agir plus vite qu’eux », estime Philippe Amouyel. « Le couvre-feu à 18h n’a pas l’effet attendu, même le porte-parole du gouvernement le dit, et les deux précédents indicateurs de sortie du dernier confinement sont revenus dans le rouge », à savoir le nombre de cas quotidiens (plus de 20.000 en moyenne contre 5000 espérés), ainsi que le nombre de personnes admises en réanimation (plus de 3000 depuis le début de la semaine, au-dessus de l’objectif).

Le virus britannique plus dangereux déclare Boris Johnson ?

Le virus britannique plus dangereux déclare Boris Johnson ?

 

Il faut évidemment se méfier des déclarations de Boris Johnson capable de tout dire et le contraire pour tenter de solidifier un peu sa situation politique relativement bousculée d’une part par les conséquences du brexit  d’autre part par les résultats catastrophiques de la pandémie au Royaume-Uni.

Boris Johnson a longtemps contesté, comme Trump  d’ailleurs, les risques du virus et il lui faut maintenant affronter les conséquences d’un laxisme qui font que le Royaume-Uni est le pays proportionnellement le plus atteint par le Coronavirus.

On sait déjà que ce Coronavirus britannique est beaucoup plus contagieux mais il n’avait pas été démontré qu’il était davantage mortel.

Tout est possible,  les études sont en cours à ce sujet mais il se pourrait aussi que Boris Johnson instrumentalise le virus britannique pour expliquer les dégâts d’une politique sanitaire complètement irresponsable.

Pour les hommes âgés d’une soixantaine d’années, le risque de mortalité est de 10 sur 1000 avec le virus, un chiffre qui atteint 13 à 14 sur 1000 avec le nouveau variant, a indiqué le conseiller scientifique du gouvernement, Patrick Vallance. Ce qui correspond à un surplus de mortalité d’au moins 30%. Cet effet a été évalué par les scientifiques du groupe NERVTAG qui conseille Downing Street. Ils ont comparé la mortalité liées aux différentes souches du virus en Grande Bretagne, mais n’est pas encore visible en analysant les seules données hospitalières du pays, explique la BBC.

«Je tiens à souligner qu’il y a beaucoup d’incertitude autour de ces chiffres», a déclaré Vallance, soulignant une «inquiétude qu’il y ait eu une augmentation de la mortalité ainsi qu’une augmentation de la transmissibilité».

Coronavirus : « Menace générale du variant britannique » (Mircea Sofonea)

Coronavirus : « Menace générale du variant britannique » (Mircea Sofonea)

Il paraît de plus en plus évident que le variant britannique va rapidement prendre le dessus surtout en Europe  ( il y a aussi le variant sud-africain et le variant brésilien). Selon Mircea Sofonea, maître de conférences en épidémiologie et évolution des maladies infectieuses à l’Université de Montpellier, tout doit être mis en œuvre pour observer la circulation du variant britannique et le contenir entre parenthèses (interview JDD)

 

Depuis quand ce variant circule-t-il, et que sait-on des conditions de son émergence?
Ce variant a été détecté en novembre principalement à Londres, dans le sud et l’est de l’Angleterre. Il faut savoir que le Royaume-Uni a une politique très volontariste de détection des variants : avec un effort de séquençage près de 50 fois supérieur à celui de la France, c’est le pays européen qui fournit le plus grand nombre de données de séquence de variants coronavirus SARS-CoV-2 pour alimenter la base de données GISAID. Ce qui frappe quand on analyse la séquence de ce variant, c’est qu’on y décèle un nombre important de mutations par rapport aux autres variants en circulation : on en compte une vingtaine au total, alors que les autres n’en comportent en moyenne qu’une dizaine. Bon nombre de ces mutations touchent notamment la protéine Spike, au moyen de laquelle le virus entre dans les cellules humaines pour les infecter.

Il a été officiellement détecté dans plus d’une cinquantaine de pays dans le monde

En menant des études phylogénétiques, qui permettent de suivre l’évolution du coronavirus dans le temps, on peut retracer l’émergence de ce variant à septembre, dans le sud-est de l’Angleterre. Cinq mois plus tard, on constate qu’il est non seulement présent dans des proportions élevées dans tout le Royaume-Uni et en Irlande, mais il a été officiellement détecté dans plus d’une cinquantaine de pays dans le monde.

Connaît-on les raisons de ce succès?
Il y a trois façons de voir émerger un variant qui s’installe dans le paysage génétique d’une maladie virale :

  • La première c’est le hasard. Il arrive, lorsqu’une épidémie est stationnaire ou en légère croissance, que de nouveaux variants neutres (c’est-à-dire épidémiologiquement équivalents aux autres) trouvent localement des situations qui peuvent favoriser leur propagation (rassemblement important de personnes dans un lieu clos par exemple). Si une telle situation s’offre à un variant et qu’il se retrouve à l’origine d’une flambée, il va finir par être davantage représenté que les autres variants en circulation. Tout se passe comme s’il était porté par cet effet d’amplification locale, surfant sur la vague créée localement pour se diffuser dans la population.
  • La seconde possibilité est qu’émerge un variant porteur d’une (ou plusieurs) mutation(s) qui change radicalement sa capacité à se transmettre. Si les personnes qu’il infecte sont plus contagieuses que celles infectées par les variants déjà existants, on comprend aisément que ce variant finit par se propager plus rapidement.
  • Enfin, troisième possibilité : un variant porteur de mutations qui lui permettrait de trouver une nouvelle « porte d’entrée » pour infecter des personnes qui étaient auparavant moins sensibles.

Dans le cas du variant anglais, le premier mécanisme est écarté par les analyses réalisées par nos collègues britanniques. Elles ont montré qu’une fois qu’une fois présent dans un territoire, sa fréquence a augmenté de façon relativement prédictible et homogène. Cette situation indique qu’il ne s’agirait donc pas d’un variant qui serait apparu « au bon endroit, au bon moment », et qui aurait profité de conditions favorables en marge de l’épidémie. Il semble bien se transmettre plus rapidement que les autres variants circulants, sans que ce soit lié à un effet local particulier.

En Angleterre il semblerait que l’émergence du variant britannique se soit accompagnée d’un décalage des infections vers les classes d’âge les plus jeunes. Cela plaide-t-il en faveur du troisième scénario? Ce virus infecte-t-il plus facilement les plus jeunes?
Effectivement, nos collègues de l’Imperial College ont mis en évidence une surreprésentation de près de 25% de ces classes d’âge parmi les contaminés par le nouveau variant, comparativement aux autres variants. Il faut toutefois se souvenir que la situation en Angleterre était particulière quand ce variant a commencé à se répandre : le pays était confiné, mais les écoles étaient encore ouvertes. De ce fait, il s’agissait des seuls endroits ou une transmission importante pouvait se produire. Ce qui interpelle, c’est effectivement qu’on considérait que les classes d’âges concernées sont normalement les classes d’âge qui sont moins contagieuses que les autres (même s’il n’y a pas encore vraiment de consensus scientifique sur le sujet).

Cette situation fait qu’il est difficile de discriminer entre les deux derniers scénarios : plus de contagiosité ou une contagiosité ciblant des classes plus jeunes. Pour pouvoir trancher, il faudrait vérifier ce qui se passe dans les autres pays, où les mesures sanitaires sont appliquées de façon différente (confinement avec écoles fermées par exemple). Une autre possibilité serait de vérifier si l’augmentation d’infection chez les plus jeunes constatée en Angleterre a correspondu avec l’augmentation des séquences du variant. Mais pour cela il faudrait être certains que la détection du variant a été homogène sur la période étudiée. En outre les données disponibles ne permettent pas d’établir précisément le contexte des contaminations. Quoi qu’il en soit, nous en saurons plus dans quelques semaines.

A-t-on une idée des mécanismes virologiques qui expliqueraient le succès de ce virus?
Ils sont en cours d’investigation. Une explication avancée est qu’une ou plusieurs mutations affectant protéine Spike augmentent l’affinité de cette dernière pour les récepteurs ACE2 situés à la surface des cellules des voies aériennes que le virus infecte, facilitant l’entrée de ce variant. Il en résulte une plus grande infectivité des particules virales et donc une contagiosité accrue des porteurs.  Rappelons que la contagiosité peut être augmentée de deux façons : soit les personnes sont plus contagieuses parce qu’elles produisent plus de particules virales, soit à quantité de particules virales égales, celles-ci sont plus infectieuses parce qu’elles rentrent plus facilement dans les cellules du nouvel hôte. Si la facilité d’entrée est ici augmentée, est-ce que c’est aussi le cas de la quantité de production de particules virales? On ne le sait pas encore.

Une augmentation de transmissibilité est problématique dans le cas où le système hospitalier s’avère incapable d’absorber l’afflux de malades

Ne pourrait-on pas aussi imaginer que le virus favorise des formes plus symptomatiques, dont on sait qu’elles favorisent la transmission (toux, nez qui coule…)?
Pour l’instant, rien n’indique que ce soit le cas : il n’y a pas à ma connaissance et à ce jour pas eu d’étude ayant montré une différence significative de manifestations cliniques des infections par ce nouveau variant. Globalement on n’observe pas de différence en termes de sévérité ou de létalité, ce qui est assez rassurant. A ce sujet, on a pu entendre et lire à plusieurs reprises ces derniers jours qu’un variant plus contagieux est plus inquiétant qu’un virus plus létal. Il convient de nuancer ce propos. Une augmentation de transmissibilité est problématique dans le cas où le système hospitalier s’avère incapable d’absorber l’afflux de malades. En effet, plus le virus se transmet facilement, plus le pic de tension hospitalière est élevé. Cependant, si l’on est en capacité de faire face à la vague d’hospitalisations ou si l’on s’intéresse aux conséquences de l’épidémie à plus long terme, les choses sont différentes.

Dans le contexte d’une épidémie telle que celle-ci, dont le nombre de reproduction peut monter jusqu’à 3 (en absence de mesures sanitaires), une augmentation hypothétique de la létalité quantitativement équivalente (environ +50%) serait en fait plus préoccupante si ce nombre de reproduction dépasse 1,5. En effet, elle engendrerait alors un bilan de mortalité final plus important qu’une mutation portant sur la transmission. (NDLR : aussi appelé « R effectif », le nombre de reproduction est une estimation, sur les 7 derniers jours, du nombre moyen d’individus contaminés par une personne infectée. Un R effectif inférieur à 1 signifie que l’épidémie régresse)

Dans le cas présent, quel est l’impact attendu de cette augmentation de la transmissibilité sur le nombre de reproduction?
Les chercheurs de l’Imperial College ont estimé que dans le cas de ce nouveau variant, l’augmentation de la transmission était de l’ordre de 0,4 à 0,7 unité de nombre de reproduction (par rapport aux autres variants circulants). La question qui se pose est la suivante : est-ce qu’il faut prendre en compte cette augmentation en ajoutant 0,4 au nombre de reproduction de l’épidémie (dans le cas où ce variant est effectivement capable de contaminer de nouvelles classes d’âge, ce qui lui permet d’augmenter de façon « forfaitaire » sa transmission) ou est-ce qu’il faut multiplier ce nombre de reproduction par 1,4 (dans le cas où ce virus est plus contagieux, mais sans avoir nécessairement changé de cible)?

Si ce point n’est pas simple à trancher à partir des données actuelles, il ne contraint toutefois pas les projections pour la France qui actuellement présente un nombre de reproduction proche d’1 : les deux scénarios sont alors approximativement équivalents.

L’épidémie n’est plus sous contrôle en France depuis une semaine et nous assistons actuellement à une hausse du niveau de circulation virale

Où en est l’épidémie dans notre pays? Que disent les modèles de l’effet possible de ce nouveau variant?
L’épidémie n’est plus sous contrôle en France depuis une semaine et nous assistons actuellement à une hausse du niveau de circulation virale, avec un nombre de reproduction en croissance et estimé à 1,10 (entre 1,05 et 1,15) au 14 janvier. La propagation est exponentielle, mais plus lente qu’au début du mois d’octobre, avant que les mesures sanitaires ne se renforcent. Cette hausse s’explique naturellement par l’effet du réveillon de Noël, toutefois plus modéré que ce qui était craint initialement. Mais il reste à estimer celui de la Saint-Sylvestre, qui a pu avoir un effet amplificateur de l’épidémie : les personnes infectées les 24 et 25 décembre étaient contagieuses une semaine après. Un tel effet sur l’actuelle épidémie en progression lente, auquel peut s’ajouter celui de la reprise scolaire et professionnelle de janvier, peut déclencher un net rebond. Si tel est le cas, il sera mesurable dans la semaine à venir.

Pour l’instant, en tenant compte de la sous-détection mentionnée précédemment, le variant anglais ne semble pas encore suffisamment présent pour affecter ledit nombre de reproduction au niveau national. Mais il pourrait changer la donne en deux mois. Il faut se souvenir que le premier confinement, efficace, mais extrêmement drastique, avec de lourdes conséquences socio-économiques, avait ramené le nombre de reproduction de l’épidémie à 0,7. Si ce nouveau variant augmente le nombre de reproduction de l’épidémie de 0,4 à 0,7, on voit non seulement que le contrôle de l’épidémie est perdu, mais que même des mesures extrêmement coûteuses et stringentes telles que celles mises en place pendant la première vague ne seront plus efficaces. C’est la raison pour laquelle il faut freiner au maximum la progression de ce variant.

Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original.

VARIANT BRITANNIQUE : la menace qui va imposer le reconfinement

VARIANT BRITANNIQUE : la menace qui va imposer le reconfinement

Le  virus premier importé de Chine était déjà difficile à contrôler. Mais la situation devient hors contrôle quand le virus britannique et où le virus sud-africain prend le dessus. Ce qui est inévitable car c’est toujours le virus le plus dynamique qui remplace les autres.

Ainsi le généticien, Axel Kahn, aussi président Ligue contre le cancer affirme dans: « Il y a eu énormément de dégâts collatéraux pour les personnes atteintes de cancer ». Il a notamment mis en garde contre l’arrivée des deux « mutants », dont « le V1, l’anglais » qui présente une grande « capacité d’invasivité ».

À Marseille par exemple , les analyses à la suite de la découverte d’un probable « cluster » de la souche anglaise du Covid-19 à Marseille se poursuivent. Sur les 23 contaminations examinées, le maire Benoît Payan annonce ce dimanche soir que 8 correspondent au variant anglais.

L’enquête n’est pas terminée à Marseille, mais la situation virale est déjà jugée « inquiétante ». Benoît Payan, le maire socialiste de la ville, s’est exprimé à deux reprises pour évoquer le cluster du variant anglais du Covid-19, détecté dans la cité phocéenne.

Avant cette prise de parole, Benoît Payan et Michèle Rubirola se sont exprimés plus tôt, ce dimanche à 15 heures, lors d’un point presse organisé dans une caserne des marins-pompiers.

« Désormais chaque minute compte pour endiguer la propagation de la souche anglaise », a alors prévenu l’édile: « Il nous faut réagir immédiatement, nous souhaitons que l’on sorte des schémas habituels de la crise et tout faire pour tracer, tester et isoler en urgence tous les porteurs potentiels de la souche britannique. »

 

Le problème c’est qu’on est bien incapable de quantifier le nombre de personnes atteintes par le virus britannique voir sud-africain.

 

Coronavirus : l’extrême danger du virus britannique

Coronavirus : l’extrême danger du virus britannique

 

Le Coronavirus a déjà enregistré de nombreuses mutations mais la dernière souche britannique constitue un danger particulier compte tenu de la vitesse de contamination. C’est sans doute ce virus qui contribue à augmenter de façon très significative la contamination dans de nombreux pays. Malheureusement la vitesse de circulation de cette souche ne permet pas d’identifier son ampleur voir ses conséquences.

 

 Cette souche sera sans doute à l’origine de  reconfinements dans plusieurs pays. La France annonce une trentaine de contaminations du type britannique mais il s’agit d’un chiffre tout à fait approximatif, on ne sait pas réellement quelle est l’ampleur du phénomène.

 

«Pour répondre à cette question, il faut connaître deux paramètres, d’une part la prévalence du nouveau variant, c’est-à-dire quel est son niveau de circulation, et d’autre part son effet sur la propagation de la maladie, explique Mircea Sofonea, épidémiologiste et modélisateur à l’université de Montpellier. Les mesures britanniques nous donnent une idée du deuxième paramètre, de l’excès de contagiosité du nouveau variant, mais nous n’avons malheureusement à ce jour aucune donnée fiable « 

Brexit : « une erreur », estime un ancien député conservateur britannique

Brexit : « une erreur », estime un ancien député conservateur britannique

 

 

Sur France Info, un ancien député conservateur britannique, Dominic Grieve, considère toujours que brexit  était une erreur

 

« Nous restons dans une situation difficile parce que le Brexit, c’était une erreur« , a réagi jeudi 24 décembre sur franceinfo Dominic Grieve, ancien député conservateur britannique, après l’accord commercial conclu entre l’Union européenne et le Royaume-Uni au sujet du Brexit. « Nous allons découvrir l’année prochaine que, même avec cet accord, il y aura des obstacles pour le libre-échange« , assure Dominic Grieve. Selon lui, les Britanniques n’ont pas « repris le contrôle de leur destin« .

 

Comment réagissez-vous à la conclusion de l’accord de Brexit ?

Dominic Grieve : Je suis soulagé qu’il y ait un accord parce que si nous n’avions pas eu d’accord, la situation sans accord le 1er janvier aurait été très difficile. Quant aux avantages de cet accord, du point de vue de l’intérêt national britannique, c’est assez douteux. Que cela réussisse, cela dépend de ce que nous allons perdre en quittant l’Union européenne, et il faut que ce que nous allons conserver par cet accord soit balancé en faisant des accords extérieurs que nous voulons et faire grandir notre économie. Et de ce point de vue-là, rien n’a changé. Nous restons dans une situation difficile parce que le Brexit, c’était une erreur. Ce que nous allons découvrir l’année prochaine, c’est que, même avec cet accord, il y aura des obstacles pour le libre-échange des produits.

 

« Nous avons repris le contrôle de notre destin« , dit Boris Johnson ce soir. Cela veut dire finalement qu’il a réussi son pari ?

Mais nous n’avons pas repris le contrôle de notre destin. D’abord, nous avions le contrôle de notre destin quand nous étions au sein de l’Union européenne. Deuxièmement, l’accord qu’il a signé, il est tout à fait évident que ça continue dans un sens à partager notre souveraineté, parce que tout accord commercial le fait. Voilà mon incompréhension de sa position. Du point de vue philosophique, je suis patriote britannique. Je crois à la souveraineté de mon pays, mais je ne la voyais pas entamée de cette façon par notre participation à l’Union. Donc, c’est un point de vue très différent de celui du premier ministre.

C’est surtout la tristesse qui l’emporte pour vous de voir ce point final à ce Brexit ?

Oui, mais ce n’est pas un point final parce qu’il est tout à fait évident que la proximité de nos partenaires européens sera la plaque dominante de notre future prospérité. Nous allons passer cinq à dix ans à refaire des liens avec l’Union européenne. Nous ne serons pas nécessairement un membre. Mais je suis absolument certain que dans les deux-trois ans à venir, il sera évident qu’il va falloir raccrocher des liens que nous avons forgés pour la première fois aujourd’hui, en abandonnant un accord de participation à l’Union qui était bon pour nous.

Rebond historique de 16% du PIB britannique au T3 mais baisse de 10% en 2020

Rebond historique de 16% du PIB britannique au T3 mais baisse de 10% en 2020

Un rebond de 16,0% sur les trois mois à fin septembre, un chiffre record révisé à la hausse par rapport à l’estimation précédente de 15,5%. Cependant sur l’ensemble de l’année le PIB  enregistrera une contraction de l’ordre de 10 % en rythme annuel.

Brexit pêche : proposition britannique inacceptable

Brexit pêche : proposition britannique inacceptable

Les négociations pourraient bien être prolongées au-delà du 31 décembre tellement les positions sont encore inconciliables notamment sur la pêche. Le négociateur européen Michel Barnier a considéré que les propositions britanniques étaient inacceptables dans ce domaine. Du côté de Londres, en propose une réduction des prises dans les eaux britanniques par les pêcheurs du continent de 75 %

Des  sources européennes ont indiqué que l’UE était prête à accepter une réduction allant jusqu’à 25% de ses prises dans les eaux britanniques.“Pour les Etats membres, la dernière proposition de la Commission va déjà très loin et peut uniquement être considérée (…) comme définitive”, a dit un haut diplomate européen.

Deux sources diplomatiques ont déclaré à Reuters que l’UE était prête à négocier au-delà du 1er janvier.“Des progrès ont été faits. La plupart des questions sont réglées en principe ou proches de l’être. Cependant, les divergences sur la pêche restent difficiles à combler”, a dit un diplomate européen après le compte-rendu de Michel Barnier.

“L’UE ne fermera pas sa porte au Royaume-Uni et reste prête à négocier au-delà du 1er janvier”, a-t-il ajouté.

Pêche- Brexit : les navires de guerre britannique mobilisés !

Pêche- Brexit  : les navires de guerre britannique mobilisés !

Le déploiement de quatre patrouilleurs, intervient alors que le gouvernement conservateur a discrètement doublé au cours des derniers mois la flotte totale de patrouilleurs du Royaume-Uni, en la portant de quatre à huit vaisseaux. « Nous avons beaucoup travaillé pour nous assurer que nous serons prêts à faire face à toute éventualité », a déclaré un proche du dossier interrogé par The Guardian.

Deux navires patrouilleront donc en mer et deux autres se tiendront prêts à intervenir au cas où des bateaux de pêche pénétreraient dans la zone britannique de pêche. La pêche reste l’un des principaux points de friction dans les négociations commerciales entre l’UE et le Royaume-Uni. Selon un responsable de l’UE, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a cependant déclaré vendredi aux dirigeants du bloc, réunis en sommet à Bruxelles, qu’un « no deal » était plus probable qu’un accord. En l’absence d’accord, la Grande-Bretagne perdrait à partir du 1er janvier le libre accès au marché unique du bloc, riche de 450 millions de consommateurs.

Diplomatie Internationale: une alliance franco-britannique incontournable

Diplomatie Internationale: une alliance franco-britannique incontournable

 

Sur les grands dossiers chauds internationaux ,l’alliance franco-britannique est incontournable. Cela en raison de la quasi-absence de politique diplomatique de l’union européenne aussi de la position toujours très ambiguë de l’Allemagne dans les différents conflits politiques mais aussi parfois économiques. La relation franco-britannique est, malgré le Brexit, plus essentielle que jamais sur les dossiers internationaux, relèvent, dans une tribune au « Monde », le chercheur en relations internationales, Benjamin Haddad, et le journaliste Ben Judah.

Tribune.

 

«  Depuis quatre ans, la relation entre le Royaume-Uni et l’Union européenne (UE) est envenimée par les négociations interminables du Brexit, mais cela ne doit pas nous empêcher de réfléchir dès maintenant à ce que pourra être un futur partenariat.

La France peut jouer un rôle majeur si elle évite une vision obsolète de ce qu’est la Grande-Bretagne post-Brexit. Le président français, Emmanuel Macron, et le premier ministre britannique, Boris Johnson, avaient trouvé, en 2019, une convergence contre-intuitive pour mettre fin aux incessants reports de l’échéance du retrait britannique.

Sur de nombreux dossiers internationaux, de l’Iran au changement climatique en passant par la lutte antiterroriste, ou celui de la zone indo-pacifique, les positions de Paris et de Londres sont proches. A l’heure ou les Etats-Unis se détournent du continent européen, la relation franco-britannique est essentielle aux deux pays afin de pouvoir continuer à peser sur la scène internationale. Le Royaume-Uni est en effet un acteur de sécurité et de défense incontournable pour Paris, comme l’ont montré les accords de défense de Saint-Malo (4 décembre 1998) et de Lancaster (2 novembre 2010).

Londres a eu une mauvaise presse ces dernières années, aussi bien à cause du Brexit que de ses carences face à la pandémie de Covid-19. Mais en politique étrangère, le 10 Downing Street a retrouvé une voix et des initiatives montrant ce que pourrait être la vision d’un « Global Britain » promue par Boris Johnson.

Non sans ironie, c’est à propos de Hongkong, là même où le soleil s’est finalement couché sur l’Empire britannique en 1997, que la Grande-Bretagne prend des décisions montrant ce que pourrait être son rôle post-Brexit.

Loin d’être intimidé par les menaces de Pékin contre HSBC, la plus grande banque du Royaume-Uni, Londres a tenu bon et a répondu à la rupture du traité sino-britannique avec l’offre audacieuse à plus de trois millions de citoyens hongkongais – détenant eux-mêmes, ou leur famille, le statut de « British National Overseas » – de droits de résidence à durée indéterminée et une voie vers la citoyenneté.

Alors que l’UE peine toujours à définir une position commune sur Hongkong, Londres est parvenu à rallier l’Australie, le Canada et les Etats-Unis pour une approche conjointe.

Dans la même logique, le Royaume-Uni veut renforcer le rôle de l’alliance du renseignement « Five Eyes » avec les pays anglophones. Londres a aussi décidé de réduire à zéro le rôle de la société chinoise Huawei dans le réseau britannique 5G, qui déverrouillera un partenariat plus proche avec la Maison Blanche. »

Facebook : boycott aussi du parti travailliste britannique

Facebook : boycott aussi du parti travailliste britannique

Ce ne sera sans doute pas une grande perte financière pour  Facebook ce boycott du parti travailliste britannique. Mais c’est évidemment tout un symbole qui vient s’ajouter à la décision de nombre de très grandes organisations et de très grands marques de tourner le dos à un réseau qui ne fait rien pour réguler les haines et les contrevérités les plus scandaleuses. Le problème c’est que les ressources de Facebook reposent sur la publicité justifiée par le volume des flux. Or si les marques boycottent Facebook, le réseau est  touché au point le plus sensible : au portefeuille. «Tous les députés du parti travailliste utilisent Facebook pour faire passer notre message», a déclaré Rachel Reeves sur la BBC, «mais ce que nous ne faisons plus pour le moment, c’est la publicité sur Facebook».

Selon le Sunday Times, le chef du parti travailliste Keir Starmer a décidé de mettre en place un «boycott total» de la publicité de la formation politique sur Facebook en solidarité avec le mouvement «Black lives matter». Selon le journal, le parti a dépensé plus d’1,2 million de livres en publicités sur le réseau social lors de la dernière campagne pour les législatives du 12 décembre dernier.

Il s’agit d’une manière de «mettre la pression sur Facebook» pour que le réseau social fasse davantage contre «délinquance et discours haineux», a déclaré Rachel Reeves.

Déjà suivie par près d’un millier d’entreprises – dont Adidas, Levi’s, Coca-Cola, ou encore Starbucks – la campagne #StopHateForProfit a été lancée il y a quelques semaines aux Etats-Unis par des organisations de défense des droits civiques sur fond de manifestations contre le racisme et les violences policières dans le pays après la mort de George Floyd.

 

Coronavirus: Un nouveau corticoïde britannique miracle ?

Coronavirus: Un nouveau corticoïde britannique miracle ?

Londres qui avait mis beaucoup d’enthousiasme à démolir avec application tout intérêt de la chloroquine affirme cette fois  avoir trouvé un traitement miracle : La dexaméthasone, un anti-inflammatoire stéroïdien ou corticoïde bon marché et largement disponible,. D’après les Britanniques, ce serait Premier médicament démontrant son efficacité pour réduire la mortalité des patients atteints du COVID-19, la maladie que développent certaines personnes contaminées par le nouveau coronavirus.

Notons que les Britanniques posent eux aussi d’une puissante industrie pharmaceutique comme ailleurs les liens entre laboratoires de recherche et industrie ne sont pas d’une évidente clarté. Pour preuve la capacité des un à démolir aussitôt l’efficacité d’un éventuel traitement et la même capacité à valoriser leur propre découverte.

Le problème c’est que comme en France les instituts de recherche et même des experts sont souvent financées à la fois par les laboratoires de recherche et par l’industrie. D’où des questionnements déontologiques qui peuvent se poser sérieusement. Rien qu’en France on a pu voir  avec quelle force certaines hautes sommité françaises démolissaient  l’éventualité de l’efficacité de la chloroquine utilisée par le professeur Raoult de Marseille. Rien ne prouve encore de manière scientifique l’efficacité de cette molécule ‘(combinée à d’autres) mais rien ne justifiait  sans doute un tel déferlement contre une molécule utilisée par ailleurs par plusieurs milliards d’individus par jour dans le monde en particulier contre le paludisme.

Selon des résultats du vaste essai britannique Recovery, l’administration à faibles doses de dexaméthasone à des patients hospitalisés pour COVID-19 réduit de près d’un tiers la mortalité de ceux souffrant des formes les plus graves.

Pour les chercheurs ayant mené ces essais, ces résultats suggèrent que ce corticoïde de synthèse devrait devenir immédiatement le traitement de référence des patients souffrant de formes sévères de COVID-19.

“Ces résultats montrent que si les patients COVID-19 équipés de respirateurs ou sous oxygène se voient administrer de la dexaméthasone, ça sauvera des vies et ce, à un coût particulièrement bas”, a déclaré l’un des responsables de l’essai Recovery, Martin Landray, de l’université d’Oxford.

Cette approche thérapeutique ne semble en revanche apporter aucun bénéfice pour les patients souffrant de formes moins sévères et non placés sous assistance respiratoire.

“Ça va être très dur de trouver un autre médicament pour la remplacer, étant donné que 50 livres sterling (56 euros) vous permettent de traiter huit patients et de sauver des vies”, a ajouté Martin Landray lors d’un point de presse en ligne.

Peter Horby, autre responsable de l’essai, a dit que la dexaméthasone était “le seul médicament ayant jusqu’ici permis de réduire la mortalité, et ce, significativement.”

Il s’agit selon lui d’une “avancée majeure”.

Le chef des services sanitaires britanniques, Chris Whitty, a salué ces données sur Twitter, en évoquant le “résultat d’essai sur le COVID-19 le plus important à ce jour”.

“Une réduction significative de la mortalité des patients sous oxygène ou respirateur, grâce à un médicament largement disponible, sûr et bien connu. (…) Cela va sauver des vies à travers le monde”, a-t-il écrit.

Dans le cadre de l’essai randomisé Recovery, lancé en avril, les chercheurs ont testé l’efficacité de différents traitements dans la prise en charge de plus de 11.500 patients COVID-19 dans les hôpitaux britanniques, assignés de façon aléatoire dans les différents groupes de traitement.

Près de 2.100 patients ont été traités par le corticoïde et l’évolution de leur état a été comparée à celle d’environ 4.300 patients ayant bénéficié de la prise en charge traditionnelle.

Un autre volet de cet essai a été clos au début du mois après n’avoir mis en évidence aucun effet bénéfique de l’antipaludéen de synthèse hydroxychloroquine.

Pour l’instant aucun traitement spécifique n’a été validé dans la prise en charge du COVID-19 et les recherches sont encore en cours pour développer un vaccin.

Le bilan de la pandémie liée au nouveau coronavirus, qui a émergé en fin d’année dernière en Chine, s’élève à ce jour à plus de huit millions de cas de contamination et plus de 431.000 morts à travers le monde.

Feuilleton de l’Hydroxychloroquine : « pas d’effet bénéfique » contre le Covid-19 selon une « étude » britannique

Feuilleton de l’Hydroxychloroquine : « pas d’effet bénéfique » contre le Covid-19 selon une « étude » britannique

Le feuilleton sur l’efficacité de la chloroquine continue et selon les études, les laboratoires ou les industries pharmaceutiques les avis divergents souvent d’ailleurs pour des motifs financiers. Rien n’indique pour l’instant que la chloroquine est complètement efficace mais le contraire non plus. Ce qui n’empêche pas certains organismes de le condamner sans doute notamment en raison de son coût ridicule. La dernière condamnation est britannique L’hydroxychloroquine est-elle efficace contre le Covid-19 ? La question n’a pas fini de faire polémique. Selon les résultats préliminaires de l’essai clinique britannique, Recovery, ce n’est pas le cas.

« Nous avons examiné les données et conclu qu’il n’y avait aucune preuve d’un effet bénéfique de l’hydroxychloroquine chez les patients hospitalisés » avec le nouveau coronavirus, explique ce vendredi Martin Landray, professeur à l’Université d’Oxford et codirecteur de l’étude. Les chercheurs ont, sur la base de ces premières données, « décidé d’arrêter l’inscription des participants dans le bras hydroxychloroquine de l’essai avec effet immédiat », ajoute-t-il.

Recovery a été lancé en mars comme une étude clinique randomisée « pour tester une gamme de médicaments potentiels contre le Covid-19 », dont le controversé traitement antipaludéen. Il était l’un des seuls essais à ne pas avoir arrêté le recours à l’hydroxychloroquine malgré une étude observationnelle très critiquée de The Lancet - dont trois des auteurs se sont rétractés depuis - pointant du doigt l’inefficacité voire l’effet néfaste de la molécule. Le débat est loin d’être terminé car outre les aspects scientifiques se mêlent des intérêts financiers évidents sans parler des enjeux de prestige.

 

Secteur aérien britannique: le plan de Johnson contesté

Secteur aérien britannique: le  plan de Johnson contesté

 

D’une façon générale, le plan de des confinement de Boris Johnson est assez contesté notamment concernant la perspective de mise en quarantaine des passagers débarquant au Royaume-Uni. Selon les dirigeants des compagnies aériennes, les nouvelles règles, qui imposeront une période d’isolement de 14 jours à la plupart des personnes en provenance de l’étranger, dissuaderont ces dernières de voyager et éteindront tout espoir d’une reprise rapide dans un secteur déjà en crise.

Depuis la mi-mars, la plupart des compagnies aériennes dans le monde ont été contraintes d’immobiliser leurs flottes en raison des restrictions de voyage pour freiner la propagation du virus.

L’aéroport de Londres-Heathrow, le plus fréquenté d’Europe, a vu son trafic passagers chuter de 97% en avril. Son gestionnaire souhaite des normes internationales communes pour permettre aux passagers de voyager librement entre les pays à faible risque lorsque la circulation du virus sera maîtrisée.

La compagnie easyJet, dont le titre chutait de plus de 8% lundi à la Bourse de Londres, estime pour sa part que de nouvelles règles sur la quarantaine doivent être de courte durée.

La fédération du secteur Airlines UK estime, quant à elle, que ces nouvelles mesures conduiront le secteur à réclamer davantage d’aides de l’Etat.

Willie Walsh, le directeur général d’IAG, la maison mère de British Airways, a déclaré lundi avoir épuisé toutes les possibilités de consolider les liquidités du groupe qui diminuent à un rythme soutenu.

“Nous avons probablement épuisé toutes les possibilités auxquelles je peux penser à ce stade pour consolider nos liquidités. Le cash a considérablement diminué et ce sera le cas au cours des mois de mai, juin et juillet”, a-t-il dit lors d’une audition devant la commission des transports du Parlement.

Dimanche, après un échange entre Emmanuel Macron et Boris Johnson, deux communiqués ont indiqué qu’aucune mesure de quarantaine ne s’appliquerait aux voyageurs arrivant sur le territoire britannique en provenance de France.

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