Archive pour le Tag 'bricole'

Conjoncture économiques-Croissance : la Banque de France bricole encore ses prévisions

Conjoncture économiques-Croissance : la Banque de France bricole encore ses prévisions

Comme la plupart des autres instituts et comme le gouvernement, la Banque de France ne cesse de bricoler ses prévisions économiques pour cacher la tendance baissière de l’activité. Ainsi la banque de France a révisé sa prévision de croissance pour 2023 à 0,9 % au lieu de 0,7 % prévu en juin dernier. Le problème, c’est que les chiffres du troisième trimestre et du quatrième risque d’être mauvais en raison d’une part de la baisse des investissements, du tassement encore de la consommation et d’un moral des entreprises qui recule.

Pour preuve de cette tendance baissière de l’économie, la banque de France revoit par contre en baisse ses prévisions d’activité pour 2024 à 0,9% contre 1% en juin

La Banque de France par contre révise à la hausse ses projections macroéconomiques pour 2023 à 0,9% contre 0,7% en juin dernier. La Banque centrale s’aligne donc avec les derniers chiffres de l’Insee pour cette année.

De son côté, le gouvernement, a révisé à la baisse la croissance pour l’année prochaine à 1,4% contre 1,6% précédemment. Mais elle demeure encore bien supérieure à celle estimée par la Banque de France.

La Banque de France envisage une inflation plus élevée que prévue en 2023 à 5,8% contre 5,6% en juin. Ils ont également revu à la hausse l’inflation pour 2024 à 2,8% contre 2,6%.

Du coup, la facture est pour les ménages. L’indice des prix à la consommation a bondi vers des sommets . Résultat, la plupart des consommateurs ont perdu du pouvoir d’achat en 2022.

En revanche, pour 2023, la Banque de France s’attend cependant à une légère progression (+0,6%) en raison notamment de la hausse des revenus non salariaux (primes, intéressement) !!!

Mais la consommation fait du surplace cette année (0%). Elle pourrait toutefois remonter à partir de l’année prochaine (+1,8%).

Toutes ces prévisions sont faites pour beaucoup au doigt mouillé et s’inscrivent dans l’épaisseur d’un trait. De sorte qu’il n’est pas possible pour 2024 d’ailleurs comme pour 2023 de faire des perspectives précises à 0,1 ou 02 % de variations.

Economie- Croissance : la Banque de France bricole encore ses prévisions

Economie- Croissance : la Banque de France bricole encore ses prévisions

Comme la plupart des autres instituts et comme le gouvernement, la Banque de France ne cesse de bricoler ses prévisions économiques pour cacher la tendance baissière de l’activité. Ainsi la banque de France a révisé sa prévision de croissance pour 2023 à 0,9 % au lieu de 0,7 % prévu en juin dernier. Le problème, c’est que les chiffres du troisième trimestre et du quatrième risque d’être mauvais en raison d’une part de la baisse des investissements, du tassement encore de la consommation et d’un moral des entreprises qui recule.

Pour preuve de cette tendance baissière de l’économie, la banque de France revoit par contre en baisse ses prévisions d’activité pour 2024 à 0,9% contre 1% en juin

La Banque de France par contre révise à la hausse ses projections macroéconomiques pour 2023 à 0,9% contre 0,7% en juin dernier. La Banque centrale s’aligne donc avec les derniers chiffres de l’Insee pour cette année.

De son côté, le gouvernement, a révisé à la baisse la croissance pour l’année prochaine à 1,4% contre 1,6% précédemment. Mais elle demeure encore bien supérieure à celle estimée par la Banque de France.

La Banque de France envisage une inflation plus élevée que prévue en 2023 à 5,8% contre 5,6% en juin. Ils ont également revu à la hausse l’inflation pour 2024 à 2,8% contre 2,6%.

Du coup, la facture est pour les ménages. L’indice des prix à la consommation a bondi vers des sommets . Résultat, la plupart des consommateurs ont perdu du pouvoir d’achat en 2022.

En revanche, pour 2023, la Banque de France s’attend cependant à une légère progression (+0,6%) en raison notamment de la hausse des revenus non salariaux (primes, intéressement) !!!

Mais la consommation fait du surplace cette année (0%). Elle pourrait toutefois remonter à partir de l’année prochaine (+1,8%).

Toutes ces prévisions sont faites pour beaucoup au doigt mouillé et s’inscrivent dans l’épaisseur d’un trait. De sorte qu’il n’est pas possible pour 2024 d’ailleurs comme pour 2023 de faire des perspectives précises à 0,1 ou 02 % de variations.

Croissance : la Banque de France bricole encore ses prévisions

Croissance : la Banque de France bricole encore ses prévisions

Comme la plupart des autres instituts et comme le gouvernement, la Banque de France ne cesse de bricoler ses prévisions économiques pour cacher la tendance baissière de l’activité. Ainsi la banque de France a révisé sa prévision de croissance pour 2023 à 0,9 % au lieu de 0,7 % prévu en juin dernier. Le problème, c’est que les chiffres du troisième trimestre et du quatrième risque d’être mauvais en raison d’une part de la baisse des investissements, du tassement encore de la consommation et d’un moral des entreprises qui recule.

Pour preuve de cette tendance baissière de l’économie, la banque de France revoit par contre en baisse ses prévisions d’activité pour 2024 à 0,9% contre 1% en juin

La Banque de France par contre révise à la hausse ses projections macroéconomiques pour 2023 à 0,9% contre 0,7% en juin dernier. La Banque centrale s’aligne donc avec les derniers chiffres de l’Insee pour cette année.

De son côté, le gouvernement, a révisé à la baisse la croissance pour l’année prochaine à 1,4% contre 1,6% précédemment. Mais elle demeure encore bien supérieure à celle estimée par la Banque de France.

La Banque de France envisage une inflation plus élevée que prévue en 2023 à 5,8% contre 5,6% en juin. Ils ont également revu à la hausse l’inflation pour 2024 à 2,8% contre 2,6%.

Du coup, la facture est pour les ménages. L’indice des prix à la consommation a bondi vers des sommets . Résultat, la plupart des consommateurs ont perdu du pouvoir d’achat en 2022.

En revanche, pour 2023, la Banque de France s’attend cependant à une légère progression (+0,6%) en raison notamment de la hausse des revenus non salariaux (primes, intéressement) !!!

Mais la consommation fait du surplace cette année (0%). Elle pourrait toutefois remonter à partir de l’année prochaine (+1,8%).

Toutes ces prévisions sont faites pour beaucoup au doigt mouillé et s’inscrivent dans l’épaisseur d’un trait. De sorte qu’il n’est pas possible pour 2024 d’ailleurs comme pour 2023 de faire des perspectives précises à 0,1 ou 02 % de variations.

Législatives : La droite bricole le projet Fillon

Législatives : La droite bricole le projet Fillon

 

 

Faute de temps et surtout de vision idéologique commune, les dirigeants des Républicains et de l’UDI ont bricolé en vitesse un nouveau projet sorte de version remaniée du projet de François Fillon qu’ils présentent comme l’arme de la revanche pour des classes moyennes « massacrées » sous François Hollande. Enfin on a enlevé les aspérités radicales de Fillon en y ajoutant quelques sucreries électorales. Concernant l’argumentaire, on a en quelque sorte inversé le fardeau de la crédibilité sociale en reprochant à Macron  ce qui hier était reproché à Fillon : à savoir le coup de massue fiscale. Dans une synthèse ménageant officiellement les diverses sensibilités de la primaire mais édulcorant les mesures économiques de François Fillon, jugées radicales, la droite et le centre partent au combat avec l’objectif d’emporter la majorité absolue (289 sièges) à l’Assemblée et d’éviter ce qu’ils considèrent comme les prémices d’un nouveau coup de massue fiscal dans le prochain collectif budgétaire. « Le programme d’Emmanuel Macron, c’est une augmentation cachée des impôts avec la hausse de 1,7 point de la CSG (contribution sociale généralisée-NDLR), soit plus de 20 milliards d’euros, qui frappent directement les retraités, les fonctionnaires, les professions libérales… », a estimé Eric Woerth, chargé de la rédaction du « contrat d’alternance ». Il cite également l’augmentation de la fiscalité sur l’assurance-vie, « une imposition très forte de l’immobilier en préparation ». Sous le sceau du « pouvoir d’achat », le projet réintroduit deux mesures-phares défendues par Nicolas Sarkozy durant la primaire : une baisse de 10% de toutes les tranches de l’impôt sur le revenu et le retour aux heures supplémentaires défiscalisées.

Résumé des principales mesures économiques du projet :

- Suppression de la majoration de deux points de la TVA incluse dans le projet Fillon.

- Baisse de 10% de l’impôt sur le revenu.

- Relèvement du quotient familial au niveau de 2012.

- Rétablissement de la défiscalisation des heures supplémentaires.

- Taxation forfaitaire de l’épargne de 30%.

- Maintien de la revalorisation des petites retraites de 300 euros par an et des pensions de reversion de 10%, via le recul de l’âge légal de départ à 65 ans selon un échéancier à définir.

- Suppression des régimes spéciaux de retraite.

- Baisse des charges pour les entreprises de l’ordre de 28 milliards d’euros (contre 40 milliards dans le projet Fillon).

- Baisse de l’impôt sur les sociétés pour atteindre 25% à la fin du quinquennat.

- Suppression progressive des 35 heures avec délai de 18 mois accordé à chaque entreprise ou chaque branche.

- Suppression de 300.000 emplois publics sur cinq ans (contre 500.000 dans le projet Fillon. Cet objectif est porté à un horizon de 7-8 ans). Pas de suppressions dans les secteurs de l’hôpital et de la sécurité.

- Instauration de deux jours de carence dans la fonction publique.




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