Archive pour le Tag 'BP'

Grande-Bretagne : en pleine crise des salaires une petite prime de 13 millions d’euros le directeur de BP

Grande-Bretagne : en pleine crise des salaires une petite prime de 13 millions d’euros pour le directeur de BP

Alors que la Grande-Bretagne connaît une très grave crise du pouvoir d’achat puisque l’inflation dépasse 10 %, les mouvements de protestation se traduisent par une succession de grèves. Pourtant le directeur général de British Petroleum va toucher une petite prime de 13 millions d’euros !

Bernard Looney, le directeur général de BP, géant britannique des hydrocarbures, va toucher une prime exceptionnelle de 11,4 millions de livres (12,9 millions d’euros), dans la foulée de l’envolée des cours des hydrocarbures, selon le Times. BP a annoncé le 7 février un résultat annuel pour 2022 dopé par la hausse des prix du pétrole et du gaz tirés notamment par la guerre en Ukraine.

L’entreprise britannique a vu son bénéfice hors éléments exceptionnels, indicateur privilégié par les marchés, plus que doubler sur un an à 27,7 milliards de dollars, un record. Contacté par l’AFP, BP n’a ni confirmé ni infirmé le montant de la prime accordée à Bernard Looney. «Les détails de la rémunération de notre directeur général seront inclus dans le rapport annuel qui sera publié dans la première moitié du mois de mars», a dit David Nicholas, un porte-parole de l’entreprise. Le montant des primes exceptionnelles accordées à Bernard Looney et à d’autres dirigeants de l’entreprise a fait l’objet de consultations avec les investisseurs, selon le Times.

L’inflation au Royaume-Uni dépasse 10%, tirée notamment par les prix de l’énergie. Face à l’augmentation du coût de la vie, des salariés de différents secteurs, aussi bien des cheminots que des enseignants ou des infirmières, se sont mis en grève ces derniers mois pour demander des augmentations de salaire.

BP : 10.000 emplois supprimés

BP : 10.000 emplois supprimés

Conséquence de la crise sanitaire qui a fait s’affaiblir  la demande mais aussi une évolution structurelle qui tendait à faire diminuer tendanciellement les besoins, les prix et les profits se sont écroulés- Ainsi,   groupe pétrolier BP a annoncé lundi la suppression de 10.000 emplois, soit environ 15% de ses effectifs, en raison de la crise provoquée par la pandémie liée au nouveau coronavirus et de la volonté de son directeur général Bernard Looney de réorienter la “major” vers les énergies renouvelables.

La répartition géographique des suppressions d’emplois n’a pas été dévoilée, mais elles pourraient concerner 2000 personnes au Royaume-Uni où le groupe emploie 15 000 personnes, a précisé à l’AFP une source proche du dossier.La hiérarchie ne sera pas épargnée puisque BP va réduire d’un tiers le nombre de hauts dirigeants, au nombre de 400 pour l’instant.

Le plan stratégique annoncé en février prévoyait déjà de constituer un groupe moins grand afin de pouvoir assurer un avenir moins dépendant des énergies fossiles. Le groupe s’est engagé à atteindre la neutralité carbone d’ici 2050.

 

Mais la crise sanitaire a tout changé et a poussé BP à prendre des mesures radicales.

Les cours du pétrole ont plongé depuis mars bien en dessous du seuil de rentabilité de BP, face à une demande déprimée par l’arrêt de l’activité pendant les confinements.

M. Looney explique que son groupe dépense beaucoup plus d’argent qu’il n’en fait entrer dans ses caisses, de l’ordre de plusieurs millions de dollars par jour.

BP avait déjà annoncé début avril une baisse drastique de 25 % de ses dépenses d’investissements et un programme d’économies de 2,5 milliards de dollars en 2021, qui devrait même être renforcé.

Mais contrairement à son concurrent Royal Dutch Shell, le groupe a décidé de maintenir son dividende, se privant de ce fait de marges de manœuvre financières.

Pour Russ Mould, analyste chez AJ Bell, interrogé par l’AFP, « réduire les coûts juste pour garder le dividende n’est pas vraiment une stratégie même si cela peut plaire aux actionnaires à court terme ».

Selon lui, BP serait moins contesté si M. Looney « décidait de se libérer de son dividende qui lui coûte 7 milliards de dollars par an pour rediriger une partie des fonds dans l’investissement de long terme ».

M. Mould rappelle que le groupe dépense près de 10 milliards de dollars par an dans les salaires.

BP pourrait ne pas être le seul groupe du secteur à annoncer des réductions d’effectifs.

Jusqu’à 30 000 emplois pourraient être supprimés d’ici 18 mois dans le secteur du pétrole et du gaz au Royaume-Uni, en raison de la déprime du marché, prévenait fin avril l’association professionnelle Oil and Gas UK.

Shell, comme BP une illusoire neutralité carbone en 2050

Shell, comme BP une illusoire neutralité carbone en 2050

 

Comme BP, Shell annonce curieusement une illusoire neutralité carbone en 2050 sans d’ailleurs trop préciser les moyens parvenir. Sans doute va-t-on envisager de planter des arbres pour compenser les émissions polluantes du pétrole aussi investir dans des énergies alternatives symboliques mais inutiles. Ces groupes pétroliers comme d’autres secteurs qui veulent compenser leurs émissions polluantes par des implantations d’arbres sont des imposteurs car ils ne réduisent pas l’ampleur des émissions notamment de carbone mais les transfèrent. L’objectif est évidemment de passer un coup de peinture verte sur la communication de groupe dans la nature de production est de plus en plus mise en cause. Le groupe veut en outre réduire de 65% l’intensité carbone (la quantité de gaz à effet de serre émise par unité d’énergie produite), d’ici 2050 des produits vendus à ses clients, contre un objectif précédent de 50%. Il s’engage pour l’instant à vendre davantage de produits à faible intensité carbone notamment dans le renouvelable, les biocarburants ou l’hydrogène.

La promesse de Shell sur le climat n’a pas convaincu les ONG, qui fustigent le flou entourant les mesures permettant de tenir les promesses, des critiques déjà adressées à BP.

« Un plan crédible de Shell commencerait par un engagement visant à arrêter les nouveaux forages de pétrole et de gaz », souligne Richard George, un responsable de Greenpeace pour le Royaume-Uni. Il regrette « les aspirations vagues » qui « ne s’attaquent pas à l’empreinte carbone monstrueuse de Shell et font reposer l’effort sur ses clients pour compenser les émissions ».

Pétrolier BP : objectif neutralité carbone d’ici 2050 ?

Pétrolier BP : objectif  neutralité carbone d’ici 2050 ?

Objectif la neutralité carbone d’ici 2050 pour le puissant groupe pétrolier BP d’après les déclarations de son nouveau patron M. Looney. . On se demande bien comment BP pourrait parvenir à tenir cette promesse dans la mesure son activité porte  essentiellement sur les produits pétroliers dont il tire par ailleurs l’essentiel de ses profits. C’est d’ailleurs le dilemme des grands pétroliers comme BP, Shell ou encore Total. Pour investir de manière significative dans des activités plus vertes, il faut convaincre les actionnaires ; c’est-à-dire leur verser de confortables dividendes qui viennent justement du pétrole. Alors comment conserver la hauteur de ces dividendes en réduisant l’activité pétrolière.

Sans doute BP et  d’autres, commencent-ils à diversifier leur investissement notamment en direction d’activité moins polluantes. Toutefois actuellement, cette activité plus verte de BP ne dépasse pas 5 % de l’ensemble. Comme BP ne donne aucun détail sur cette stratégie de neutralité carbone, on imagine donc d’autres investissements et sans doute des projets d’implantation d’arbres pour compenser les émissions polluantes. Des implantations qui toutefois ne seront jamais suffisantes et qui ne règlent  pas la question fondamentale de l’utilisation du pétrole.

BP veut en outre réduire de 50% l’intensité carbone, d’ici 2050, des produits qu’il vend à ses clients, et réduire les émissions de méthane (un gaz à effet de serre beaucoup plus puissant que le CO2), sur toutes ses opérations de production d’hydrocarbures.

« Des questions pressantes restent sans réponse. Comment vont-ils atteindre la neutralité carbone ? Est-ce que ce sera grâce à la compensation carbone? », s’interroge Charlie Kronick, un responsable de l’ONG pour le Royaume-Uni, regrettant le peu d’informations disponibles sur les ambitions du groupe dans les énergies renouvelables.

La compensation consiste à financer des projets dits « verts » (comme la reforestation) qui permettent d’absorber du CO2, face aux émissions carbone des industriels.

Son grand concurrent, le groupe anglo-néerlandais Royal Dutch Shell, se contente de vouloir réduire de 50% son empreinte carbone d’ici 2050 et entend devenir la plus grande compagnie d’électricité au monde au début des années 2030.

Le français Total, assigné en justice en France pour « inaction » climatique, assure lui développer des énergies moins polluantes, investir et faire des efforts pour limiter ses fuites de méthane. L’Agence internationale de l’énergie (AIE) avait estimé le mois dernier que le secteur pétrolier et gazier pouvait « faire beaucoup plus » pour répondre à la crise climatique et respecter les accords de Paris.

Dans un rapport publié mercredi, l’ONG WWF a prévenu que l’inaction climatique pourrait coûter 479 milliards de dollars chaque année à l’économie mondiale d’ici 2050, en raison de la perte de zones agricoles et de l’érosion des côtes.

BP : objectif neutralité carbone d’ici 2050 ?

BP : objectif  neutralité carbone d’ici 2050 ?

Objectif la neutralité carbone d’ici 2050 pour le puissant groupe pétrolier BP d’après les déclarations de son nouveau patron M. Looney. . On se demande bien comment BP pourrait parvenir à tenir cette promesse dans la mesure son activité porte  essentiellement sur les produits pétroliers dont il tire par ailleurs l’essentiel de ses profits. C’est d’ailleurs le dilemme des grands pétroliers comme BP, Shell ou encore Total. Pour investir de manière significative dans des activités plus vertes, il faut convaincre les actionnaires ; c’est-à-dire leur verser de confortables dividendes qui viennent justement du pétrole. Alors comment conserver la hauteur de ces dividendes en réduisant l’activité pétrolière.

Sans doute BP et  d’autres, commencent-ils à diversifier leur investissement notamment en direction d’activité moins polluantes. Toutefois actuellement, cette activité plus verte de BP ne dépasse pas 5 % de l’ensemble. Comme BP ne donne aucun détail sur cette stratégie de neutralité carbone, on imagine donc d’autres investissements et sans doute des projets d’implantation d’arbres pour compenser les émissions polluantes. Des implantations qui toutefois ne seront jamais suffisantes et qui ne règlent  pas la question fondamentale de l’utilisation du pétrole.

BP veut en outre réduire de 50% l’intensité carbone, d’ici 2050, des produits qu’il vend à ses clients, et réduire les émissions de méthane (un gaz à effet de serre beaucoup plus puissant que le CO2), sur toutes ses opérations de production d’hydrocarbures.

« Des questions pressantes restent sans réponse. Comment vont-ils atteindre la neutralité carbone ? Est-ce que ce sera grâce à la compensation carbone? », s’interroge Charlie Kronick, un responsable de l’ONG pour le Royaume-Uni, regrettant le peu d’informations disponibles sur les ambitions du groupe dans les énergies renouvelables.

La compensation consiste à financer des projets dits « verts » (comme la reforestation) qui permettent d’absorber du CO2, face aux émissions carbone des industriels.

Son grand concurrent, le groupe anglo-néerlandais Royal Dutch Shell, se contente de vouloir réduire de 50% son empreinte carbone d’ici 2050 et entend devenir la plus grande compagnie d’électricité au monde au début des années 2030.

Le français Total, assigné en justice en France pour « inaction » climatique, assure lui développer des énergies moins polluantes, investir et faire des efforts pour limiter ses fuites de méthane. L’Agence internationale de l’énergie (AIE) avait estimé le mois dernier que le secteur pétrolier et gazier pouvait « faire beaucoup plus » pour répondre à la crise climatique et respecter les accords de Paris.

Dans un rapport publié mercredi, l’ONG WWF a prévenu que l’inaction climatique pourrait coûter 479 milliards de dollars chaque année à l’économie mondiale d’ici 2050, en raison de la perte de zones agricoles et de l’érosion des côtes.

BP : une pollution à 58 milliards de dollars

BP : une pollution à  58 milliards de dollars

Il faut croire que les profits des compagnies pétrolières sont très substantiels voir démentiels pour pouvoir absorber de telles sommes en réparation de pollution. BP aura  donc du débourser  58 milliards de dollars pour la catastrophe qui s’est produite au large de la Nouvelle-Orléans en 2010 La Justice des Etats-Unis a annoncé lundi avoir passé un accord de plus de 20 milliards de dollars avec le groupe pétrolier britannique BP. Pour la pire catastrophe environnementale des Etats-Unis, le groupe pétrolier va payer la plus lourde indemnisation de l’histoire du pays.  C’était le 20 avril 2010. La plateforme Deepwater Horizon explosait, à 80 km au large de la Nouvelle-Orléans. Le pétrole s’échappe du puits, les premières nappes atteignent la Louisiane le 29 avril. Il faudra 87 jours pour boucher le puits et contenir la fuite. Plus de trois millions de barils de pétrole se seront échappés. Pour ce « 11-Septembre écologique« , comme l’a appelé Barack Obama, BP a mis la main à la poche. Et pas qu’un peu. 20,8 milliards de dollars, du jamais vu en la matière. « Cette transaction historique est une réponse forte et adéquate au pire désastre environnemental de l’histoire américaine », a relevé lundi la ministre américaine de la Justice Loretta Lynch. « BP reçoit la punition qu’il mérite, tout en fournissant la compensation cruciale pour les dégâts qu’il a causés à l’environnement et à l’économie du golfe. »  Selon la ministre, il s’agit de la sanction la plus élevée jamais infligée à une société dans l’histoire des Etats-Unis. Cet accord doit mettre fin aux poursuites intentées par l’Etat fédéral, les cinq Etats touchés (Alabama, Floride, Louisiane, Mississippi et Texas) et par des autorités locales. Et la ministre de conclure : « Avec cette transaction amiable, les autorités fédérales, des Etats et locales ainsi que des communautés de la région côtière du golfe auront les ressources pour effectuer des progrès importants vers la restauration des écosystèmes, des économies et des entreprises de la région ». Au total, la marée noire aura coûté quelque 58 milliards de dollars au groupe pétrolier – 14 milliards pour les opérations de secours, une première amende de 4,5 milliards, 20 milliards pour un fonds d’indemnisation, et donc cette indemnité de 20,8 milliards. L’explosion survenue le 20 avril 2010 sur la plateforme Deepwater Horizon avait tué 11 personnes et provoqué le déversement de millions de barils de brut au large des côtes de plusieurs Etats américains pendant près de trois mois.

Marée noire BP : 12 milliards à payer

Marée noire BP  : 12 milliards à payer

La justice américaine valide un accord entre le groupe pétrolier et les autorités, par lequel BP accepte une amende de 4,5 milliards de dollars. La somme vient s’ajouter à 7,8 milliards versés à des victimes de la marée noire du golfe du Mexique. BP franchit une nouvelle étape dans le règlement des conséquences de la marée noire provoquée par l’explosion le 20 avril 2010 de la plateforme Deepwater Horizon dans le golfe du Mexique. Un juge américain a en effet approuvé l’accord passé entre les autorités américaines et le groupe britannique où ce dernier s’engage notamment à payer une amende historique de plus de 4,5 milliards de dollars. Le géant pétrolier reconnait en outre sa culpabilité dans la marée noire du Golfe du Mexique en 2010. En contrepartie, les autorités fédérales américaines abandonnent les poursuites pénales contre le groupe.  Lors de l’audience de mardi à La Nouvelle-Orléans, le vice-président de BP Amérique Luke Keller s’est excusé auprès des familles des victimes de l’accident. «Notre accord de plaider-coupable le montre clairement, BP comprend et reconnaît son rôle dans cette tragédie», a-t-il déclaré. «BP est également désolé de tout le tort causé à l’environnement», a-t-il poursuivi. En novembre, le groupe avait plaidé coupable de 11 chefs d’homicide involontaire, de deux chefs de violation de lois de protection de l’environnement et d’un chef d’obstruction au Congrès. Mais les démêlés judiciaires de BP ne sont pas terminés pour autant. BP devra à nouveau comparaître le 25 février devant un tribunal de La Nouvelle-Orléans pour un procès au civil qui pourrait lui coûter jusqu’à 18 milliards de dollars supplémentaires s’il est reconnu coupable de négligence. BP avait déjà conclu un accord à l’amiable de 7,8 milliards de dollars avec certaines victimes de la marée noire. Mais le groupe ne veut pas être seul à payer pour la catastrophe. Il a signalé son intention de réclamer des dommages et intérêts au propriétaire de la plateforme, le Suisse Transocean – qui s’est engagé à payer 1,4 milliard de dollars dans le cadre d’une autre procédure de plaider-coupable -, et à son sous-traitant Halliburton, qui avait réalisé le coffrage en ciment de la plateforme.

 

 

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Mali : les islamistes prennent 40 otages en Algérie

Mali : les islamistes prennent 40 otages  en Algérie

Une quarantaine d’otages occidentaux étaient mercredi soir encore entre les mains d’un groupe islamiste armé qui a attaqué dans la nuit de mardi à mercredi la base de vie d’un site gazier d’In Amenas, à 1500 km au sud-est d’Alger, à la frontière avec la Libye. Les kidnappeurs ont annoncé à deux sites d’information mauritaniens détenir, entre autres, des Américains, des Français, des Britanniques et des Japonais travaillant pour le groupe Japan Gas Corp. Le ministère français des Affaires étrangères a activé une cellule de crise, mais le président français, François Hollande, a déclaré qu’il n’y avait pas de certitude concernant la présence de ressortissants français sur le site. Washington a en revanche confirmé que des Américains figuraient parmi les captifs.  D’après l’APS, l’agence de presse algérienne, deux étrangers, un Britannique et un Algérien, seraient décédés tandis que six autres auraient été blessés dans l’attaque. Le ministère britannique des Affaires étrangères a confirmé dans la nuit de mercredi à jeudi la mort de ce ressortissant britannique, la qualifiant de «meurtre de sang-froid». Sur les quelque 400 personnes retenues, dont 150 employés algériens de la société française CIS Catering (hôtellerie, logistique), des travailleurs algériens ont déjà été relâchés par petits groupes. Jointe par téléphone, une de ces personnes retenues par les djihadistes raconte avoir vu un expatrié «se faire tuer à bout portant» avant de préciser que tous les otages ne se trouvaient pas au même endroit. RTL affirme ce jeudi matin que la quasi-totalité du personnel algérien aurait été relâché dans la nuit par les islamistes. Les ravisseurs souhaiteraient se concentrer sur leurs otages occidentaux.

 




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