Archive pour le Tag 'Bourses'

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Bourses : le plongeon

 

 

 

La Bourse de Tokyo était de nouveau en nette baisse mardi 10 mai dans la matinée, emboîtant le pas à Wall Street, qui a chuté la veille face aux inquiétudes sur l’inflation aux Etats-Unis et la réponse de la Banque centrale américaine. L’indice vedette Nikkei perdait 1,74% à 25.861,74 points vers 01H20 GMT, passant sous la barre des 26.000 points pour la première fois depuis mi-mars. L’indice élargi Topix reculait de 1,66% à 1.847,17 points.

 

«Les valeurs japonaises devraient être lestées par les inquiétudes sur un resserrement de la politique monétaire aux Etats-Unis et un ralentissement de l’économie chinoise», a commenté Mizuho Securities dans une note.

 

Ukraine : les bourses en baisse l’or en hausse

Ukraine : les bourses en baisse l’or en hausse

 

La  dernière déclaration de Poutine affirmant qu’il obtiendrait par tous les moyens y compris  l’écrasement de l’Ukraine sur toutes les revendications a fortement inquiété les acteurs économiques. Personne ne sait en effet jusqu’où pourra aller cette guerre compte tenu du fol entêtement du dictateur russe. Ainsi  lvedette Nikkei chutait de 3,03% à 25.197,50 points peu après 01H00 GMT (2 heures, heure française), tandis que l’indice élargi Topix lâchait 2,91% à 1.791,25 points.

Le prix du baril de Brent de la mer du Nord a ainsi frôlé les 140 dollars dimanche vers 23H00 GMT (minuit, heure française), proche de son record absolu de 147,50 dollars atteint en juillet 2008,.p arallèlement toutes les matières premières s’envolent également y compris des denrées alimentaires.

 

Outre le prix de l’énergie, celui du blé et du maïs explosent. Vendredi, le premier a augmenté de 7,92% à 412 euros la tonne, le second 6,33% à 403 euros la tonne, battant eux aussi des records sur le marché européen. L’Ukraine étant un pays central dans l’approvisionnement de matières premières agricoles. Du côté des métaux, le nickel a dépassé la barre des 30.000 dollars la tonne, une première depuis 2008.

Seng cédait 3,59% à 21.118,16 points, à l’unisson des marchés financiers mondiaux. La place hongkongaise avait déjà cédé 2,54% vendredi à la suite du bombardement de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, la plus grande d’Europe. L’indice Hang Seng a perdu 3,8% sur l’ensemble de la semaine dernière.

Comme souvent, Les investisseurs se réfugient sur l’or . Le métal précieux a atteint un pic de 2.000,86 dollars l’once, son plus haut niveau depuis septembre 2020.

Les bourses au plus haut avec des risques d’éclatement de la bulle

 Les bourses au plus haut avec des risques d’éclatement de la bulle

 

Les marchés boursiers retrouvent des niveaux historiques en France comme aux États-Unis par exemple. Ce qui traduit un décalage de plus en plus vertigineux entre la valorisation des actions et la réalité économique.

 

En cause évidemment des masses de liquidités déversées par les banques centrales dont une grande partie se retrouve à la bourse pour artificiellement gonfler les cours. Tout cela avec des rendements complètement anachroniques de 10,20 30 % parfois davantage en quelques mois alors que la richesse nationale progresse très lentement. Plus 1 % seulement de croissance pour la France au premier trimestre avec une perspective de 4 % en 2021.

Aux États-Unis il a suffi d’un tweet du patron de AstraZeneca pour faire gagner d’un coup 25 milliards. Tesla valorisée 10 à 20 fois plus que les autres constructeurs alors  que la société ne produit qu’environ 200 000 véhicules électriques pour par exemple plus de 10 millions de véhicules pour Toyota. On pourrait multiplier les exemples de valeurs complètement déconnectées de la rentabilité réelle des les entreprises. Comme on sait que les arbres ne montent jamais au ciel, il en est de même pour la cote. Du coup les conditions sont de plus en plus réunis pour qu’éclate un jour une énorme bulle financière qui pourrait alors contaminer l’ensemble du marché financier puis l’économie réelle.

Bourses: Londres passe derrière Amsterdam

Bourses:   Londres passe derrière Amsterdam

 

Récemment les autorités boursières de Londres se sont inquiétées des futures relations avec le reste de l’union économique souhaitant  qu’une collaboration ne remette pas en cause le rôle de la bourse britannique. Une sorte de politique de la main tendue. Cette déclaration montre  en réalité les inquiétudes des milieux londoniens vis-à-vis du scénario Johnson. Ce dernier envisageait en effet qu’après le brexit, le  Royaume-Uni deviendrait en quelque sorte une sorte de Singapour sur Tamise avec un rôle toujours primordial de la bourse de Londres

.Or les échanges commerciaux espérés ne sont pas au rendez-vous car les importations évitent pour une part désormais les ports britanniques quand ils sont à destination de l’Union européenne (essentiellement pour des questions de complexification des procédures administratives). En ce qui concerne les marchés financiers la bourse d’Amsterdam domine désormais Londres.

En effet bourse d’Amsterdam a enregistré 9,2 milliards d’euros d’échanges d’actions par jour, contre 8,6 milliards pour Londres le mois dernier. 

À titre de comparaison, l’an dernier, Londres réalisait pour 17,5 milliards d’euros d’échanges quotidiens, suivie par Francfort avec 5,9 milliards, Amsterdam n’arrivant alors qu’en sixième position avec 2,6 milliards, selon des données de CBOE, opérateur de marché présent à la fois à Londres et Amsterdam. De même que le London Stock Exchange, qui a ouvert aux Pays-Bas une filiale baptisée Turquoise pour traiter les transactions en euros.

 

Covid-19 : les Bourses mondiales dopées par l’espoir d’un vaccin

Covid-19 : les Bourses mondiales dopées  par l’espoir d’un vaccin

Les bourses jusque-là très déprimées reprennent espoir et ont même été dopées ce lundi par l’annonce d’un possible vaccin contre le Coronavirus. La bourse avait déjà repris un peu de vigueur avec la perspective de Joe Biden comme président de la république. Un gage de stabilité d’abord et de reprise à moyen terme. Ensuite il y a surtout eu cette annonce des laboratoires Pfizer et BioNTech qui ont déclaré être en capacité de mettre assez rapidement sur le marché un vaccin efficace à 90 %. Il est clair que la situation économique est aussi largement dépendante de l’évolution de l’environnement sanitaire. La perspective d’un vaccin permet d’anticiper une reprise économique sinon immédiatement du moins d’ici l’été 2021

. À Wall Street, le Dow Jones grimpait de 5,63% à un nouveau record. L’action des laboratoires Pfizer s’envolait (+11,51%). L’indice vedette de la Bourse de New York a terminé en forte hausse, de 2,95% à 29.157,97 points et le S&P 500, l’indice le plus représentatif du marché américain, a gagné 1,17% à 3.550,65 points. Le Nasdaq, lui par contre a abandonné 1,53% à 11.713,78 points.

En Europe. , vers 16 heures, Madrid et Paris grimpaient de plus de 8%, Francfort, Londres et Milan de plus de 5%. Le Dax allemand a même brièvement dépassé son niveau du 1er janvier.

Reconfinement : les bourses enterrent l’économie

Reconfinement : les bourses enterrent l’économie

 

Un peu partout les bourses ont dévissé en raison de l’aggravation de la situation sanitaire. La chute n’est certainement pas terminée même si on va assister à quelques rebonds haussiers des spécialistes qui vont prendre leurs bénéfices. La tendance générale sera baissière avec des sursauts à la hausse. Une tendance qui pourrait durer maintenant pendant plusieurs mois tant que ne pointera pas à l’horizon l’existence d’un traitement voire d’un vaccin efficace contre le Coron virus.

Le pire évidemment c’est l’atteinte portée au moral des entreprises et des ménages qui va peser sur les dépenses notamment d’équipement.

À la clôture, le CAC 40 a lourdement chuté de 3,37% à 4.571,12 points, accusant sa pire séance depuis plus d’un mois. Au même moment, le Dax allemand lâchait 4,17% tandis que Londres a terminé sur une chute de 2,55%. «Tous les voyants sont au rouge : la présidentielle américaine induit son regain d’aversion au risque habituel, les chiffres économiques sont en général mauvais, à part en Asie, et surtout le reconfinement à l’œuvre en Europe» fait craindre pour la reprise économique, explique Christopher Dembik, responsable de la recherche économique chez Saxo Banque.

La Bourse de New York plongeait, elle aussi, dans le rouge à l’ouverture mercredi à moins d’une semaine de l’élection présidentielle, les investisseurs redoutant l’impact économique de la remontée des cas de coronavirus dans le monde. Son indice vedette, le Dow Jones Industrial Average, qui évoluait à son plus bas niveau en un peu plus d’un mois, plongeait de 3,43% à 26.520,97 points, selon des résultats provisoires à la clôture, tandis que le Nasdaq reculait de 3,73% à 11.004,86 points et l’indice élargi S&P 500 de 3,53% à 3.271,03 points, soit leur plus lourde chute depuis le mois de juin. «

Bourses et coronavirus, la chute jusqu’où ?

Bourses et   coronavirus, la chute jusqu’où ?

Les bourses mondiales enregistrent quelques mouvements de yo-yo à la hausse mais globalement s’inscrivent dans une tendance très baissière qui fait craindre le pire. Pour résumer, la bourse de Paris a perdu 40 % en à-peu-près un mois. La question se pose maintenant de savoir jusqu’où ira cette. Personne ne peut le dire évidemment car il y a encore trop d’incertitudes sur l’évolution du Coronavirus, ses conséquences économiques et sa durée. Notons que les autorités sanitaires allemandes beaucoup moins ambiguës que les autorités françaises indiquent que la crise sanitaire pourrait durer deux ans.

Cette fois on peut parler de véritable krach financier puisque en dehors de quelques mouvements de yo-yo à la hausse la tendance est à la chute brutale. Une chute qu’on n’a pas connue depuis plus de 30 ans. Une chute qu’il faut évidemment relier à la dégradation de la situation sanitaire par le Coronavirus mais une chute prévisible depuis longtemps. Chacun sait que les indices ne peuvent monter au ciel, ce qu’ils ont pourtant tenté de faire au cours des derniers mois et des dernières années. Du coup, en France par exemple, les actions avaient gagné 25 % en un an à mettre en parallèle avec une modeste  activité économique de 1,3 % pour le PIB  et des résultats d’entreprises nettement moins importants ( ce qui n’a pas empêché en France une distribution plus généreuse qu’ailleurs de dividendes).

 

Du coup en quelques jours la bourse de Paris a perdu 30 % alors qu’elle avait gagné  25 % en 2019. La chute n’est sans doute pas terminé car la crise financière avec l’ensemble du monde. Les Bourses européennes ont de nouveau terminé en forte baisse mercredi, la priorité absolue donnée aux liquidités et à la sécurité par la majeure partie des investisseurs continuant d’alimenter la baisse de la plupart des classes d’actifs, pétrole et emprunts d’Etat inclus, et le repli sur le dollar, d’autant que les stratégies de soutien des banques centrales et des gouvernements peinent à convaincre.

Les Bourses européennes ont de nouveau terminé en forte baisse mercredi. À Paris, le CAC 40 affiche en clôture un recul de 5,94%. A Londres, le FTSE 100 a perdu 4,05% et à Francfort, le Dax a reculé de 5,56%.

À Paris, le CAC 40 affiche en clôture un recul de 5,94% (236,94 points) à 3.754,84 points. A Londres, le FTSE 100 a perdu 4,05% et à Francfort, le Dax a reculé de 5,56%.

L’indice EuroStoxx 50 a cédé 5,72%, le FTSEurofirst 300 4,13% et le Stoxx 600 3,92%.

Ce dernier reste au-dessus du plus bas de plus de sept ans touché lundi mais accuse toujours un repli de plus de 35% par rapport à son record de la mi-février.

Ni les déclarations de la Banque centrale européenne (BCE) sur sa volonté de prendre des mesures supplémentaires en cas de besoin ni la présentation par Donald Trump d’un plan de soutien à l’économie américaine de quelque 1.000 milliards de dollars n’ont permis d’inverser la tendance.

La chute des cours du pétrole, qui s’est amplifiée au fil des heures, a été le principal contributeur à la baisse générale: l’indice Stoxx du pétrole et du gaz a abandonné 9,8%, Total a chuté de 13,34%, Royal Dutch Shell de 10,11% et BP de 9,99%.

Mais le secteur aéronautique a lui aussi souffert après l’appel à l’aide lancé par Boeing aux autorités fédérales américaines et des commentaires négatifs de JPMorgan sur les perspectives du secteur de l’aéronautique avec la chute du trafic aérien.

Airbus a plongé de 22,17%, Safran 22,87% et le motoriste Rolls-Royce 10,84%.

Wall Street a effacé tous les gains engrangés mardi et vers 17h00 GMT, le Standard & Poor’s 500 perdait 7%, ce qui a activé une suspension des échanges. Le Dow Jones cédait alors 7,82% et le Nasdaq Composite 5,8%.

Parmi les valeurs les plus durement touchées, Boeing chutait de plus de 18% et United Technologies de plus de 21% tandis que le pétrolier Chevron perdait près de 12%.

. La première responsabilité de ce krach financier incombe au système financier lui-même qui s’est enivré des masses de liquidités délivrées généreusement par la BCE qui au lieu de soutenir l’économie sont allées tout droit vers la spéculation. La situation économique bien évidemment pesait sur l’extrême fragilité du système financier. Une interaction négative s’est mise en place entre les deux secteurs. Mais le Coronavirus ne saurait être responsable de ce double krach qui se prépare. Aucune autorité ne parvient par ailleurs à rassurer les opérateurs, ni les gouvernements ni les banques centrales.

Les Bourses européennes ont de nouveau terminé en forte baisse mercredi, la priorité absolue donnée aux liquidités et à la sécurité par la majeure partie des investisseurs continuant d’alimenter la baisse de la plupart des classes d’actifs, pétrole et emprunts d’Etat inclus, et le repli sur le dollar, d’autant que les stratégies de soutien des banques centrales et des gouvernements peinent à convaincre.

Marchés-Les bourses secouées

Marchés-Les bourses secouées

 

 

Les bourses sont forcément secouées par la guerre commerciale qui s’amplifie entre la Chine et la Russie. Vendredi dernier elles avaient déjà subi un choc après la décision subite du président américain de taxer 300 milliards supplémentaires d’importations chinoises. Il fallait s’attendre évidemment à des mesures de rétorsion de la Chine. Des mesures dans deux directions la première vise directement des électeurs de Trump puisque la Chine a décidé de ne plus importer de produits agricoles américains. La seconde mesure concerne la dévaluation du yuan. Pour  redonner  sans doute un peu de compétitivité à l’économie et tenter de stopper le tassement de la croissance affectée forcément par l’atonie des échanges internationaux mais aussi par la demande intérieure plombée par un endettement généralisé. Les Bourses européennes ont terminé en forte baisse lundi, subissant encore le contrecoup des dernières déclarations de Donald Trump sur le dossier commercial et d’une baisse du yuan qui risque d’entretenir les tensions du moment, une situation qui favorise les actifs jugés plus sûrs, obligataires en tête.

Bourses : actions en baisse comme à New York ?

Bourses : actions en baisse comme à New York ?

 

La question se pose de l’évolution des placements des actions  dans les prochains jours  et les  bourses mondiales pourraient suivre New York qui termine dans le rouge pour les actions. En cause la hausse des obligations sur fond de crainte de l’inflation alimentée par l’augmentation des matières premières et des salaires.  Du coup les investisseurs pourraient être tentés d’arbitrer leurs placements en faveur des obligations au détriment des actions surtout avec les inquiétudes géopolitiques concernant en particulier l’Ira et les droits de douane. La Bourse de New York en tout cas a abandonné ses gains en cours de séance pour finir dans le rouge lundi, pénalisée par les valeurs de la santé et les craintes des investisseurs de voir les coûts des entreprises grimper, sur fond de hausse des cours du pétrole. Le Standard & Poor’s 500, plus large, a reculé de 21,86 points, soit 0,82%, à 2.648,05. De son côté, le Nasdaq Composite, à forte composante technologique, a cédé 53,53 points, soit 0,75% à 7.066,27, Apple perdant plus de 1,8%.

Coup de « blues » sur les Bourses

Coup de « blues » sur les Bourses

 

Il y a sans doute des éléments objectifs qui peuvent expliquer la baisse de la bourse en particulier les incertitudes relatives à la future politique fiscale des États-Unis et les interrogations sur les taux bien que les banques centrales aient  décidées de se montrer très prudentes sur ce sujet. D’autres éléments sont plus subjectifs comme cette déclaration de Benoît Coeuré, membre du directoire de la BCE, qui a indiqué que les marchés financiers européens n’étaient pas assez développés pour que la banque centrale puisse recourir indéfiniment à l‘assouplissement quantitatif (quantitative easing, QE). Benoît Coeuré aurait sans doute mieux fait de se taire car la BCE a décidé de prolonger sa politique accommodante en réduisant progressivement son volume d’achat d’actifs. Mais pas question pour l’instant de relèvement des taux.  Sans doute Benoît Coeuré a-t-il voulu se placer pour un éventuel remplacement de Draghi, l’actuel président de la BCE. Pour cela il faut évidemment plaire à l’Allemagne et sa déclaration au demeurant inutile flatte l’orthodoxie monétaire défendue outre-Rhin. Mais  l’hebdomadaire allemand Spiegel laissait entendre que Berlin soutiendrait plutôt la candidature de Jens Weidmann pour succéder à Mario Draghi à la tête de la BCE, dont le mandat arrive à échéance l’an prochain. Président de la Bundesbank, la banque centrale allemande, et membre du conseil des gouverneurs de la BCE, Jens Weidmann est un partisan d’une politique de resserrement monétaire la  déclaration de benoit Coeuré est  donc bien mal venue, elle  a contribué à faire baisser les marchés Les propos de Benoît Coeuré ont eu pour effet de faire grimper l‘euro de 0,3% face au dollar et de faire monter les rendements des emprunts d‘Etat de la zone euro, celui du Bund allemand à 10 ans prenant près de 4 points avant de se stabiliser. “Le marché est en train de se dire que la BCE sera peut-être moins accommodante qu‘anticipé”, a indiqué Alexandre Baradez, analyste marchés chez IG.

Bourses : bon rendement

Bourses : bon rendement 

 

Un nouveau bon rendement enregistré par les actions en octobre. Un rendement à mettre en rapport avec une inflation qui tourne autour de 1 %. Deux raisons à cela une certaine tendance à la reprise économique au plan mondial et le maintien de taux très bas,  voire négatif. Sur l‘ensemble du mois, le CAC 40 a pris 3,25%, contre 1,73% pour le FTSE et 3,12. Reste que la bourse retrouve à peu près son niveau de 2008 et que tout dépendra pour l’avenir évidemment des résultats des entreprises (commerciaux et financiers) mais surtout de l’  attractivité retrouvée des obligations si les taux devaient être remontés. Ce qui ne semble pas le cas pour les prochains mois en Europe mais qui pourraiat prudemment concerner les Etats Unis.  Les marchés, qui misent sur une hausse de taux en décembre, ne prévoient pas d‘annonces spectaculaires dans le communiqué que publiera mercredi la Fed. Ils attendent surtout jeudi et la nomination probable par Donald Trump de Jerome Powell pour prendre en février la succession de Janet Yellen à la tête de la banque centrale américaine. Toujours sur le front monétaire mais en Grande-Bretagne, le marché estime à 86% la probabilité que la Banque d‘Angleterre annonce jeudi qu‘elle relève son taux directeur pour la première fois depuis 10 ans. Sur le front des indicateurs, la croissance économique de la zone euro a été plus soutenue qu‘attendu au troisième trimestre, montre la première estimation publiée par Eurostat. Toujours dans la zone euro, l‘inflation a été un peu plus faible que prévu en octobre, de 1,4% sur un an, selon les données provisoires. L‘euro a baissé un peu face au dollar suite à cette publication avant de se stabiliser.

L‘indice dollar, qui mesure l’évolution du billet vert face à un panier de devises de référence, est stable lui aussi.

Bourses : toujours des doutes sur Trump

Bourses : toujours des doutes sur Trump

Même si les indicateurs économiques sont bons, Wall Street fléchit en raison notamment du  scepticisme accru sur la capacité de Donald Trump à mettre en oeuvre ses réformes de soutien à la croissance économique. Plusieurs Etats ont lancé une action en justice contre l’administration Trump qu’ils accusent d’enfreindre la loi en repoussant l’entrée en vigueur de nouvelles normes énergétiques pour plusieurs produits courants. Cette poursuite renforce le scepticisme des investisseurs sur la capacité du nouveau président à concrétiser ses promesses, à l’origine d’un fort mouvement de hausse des cours si tôt après son élection. Comme nous l’avions indiqué, Les bourses pourraient bien être orientées à la baisse après l’échec retentissant de Trump concernant la suppression de l’Obamacare.  Les bourses sont versatiles, c’est bien connu et c’est même sur ce caractère que les spéculateurs font leur business. L’euphorie d’après élection aux États-Unis semble maintenant doucement disparaître. Du coup, même  la bourse américaine s’interroge.  On avait sans doute trop misé sur l’effet immédiat des annonces intempestives de Trump dans tous les domaines et en particulier concernant la croissance. On prend maintenant conscience que Trump n’était pas du tout préparé à assurer les difficiles fonctions de président. En effet les premières mesures qu’il a souhaité prendre dans différents domaines se sont heurtées aux réalités voire ont été contestées  par la justice. Pas sûr qu’il puisse même mettre en œuvre le quart de ce qu’il avait annoncé. De plus Trump est  davantage dans une posture de candidat à l’élection que dans le positionnement de président en charge des responsabilités. Son amateurisme discrédite de plus en plus les retombées économiques des annonces de l’ancien candidat Les difficultés rencontrées par Donald Trump sur la réforme du système de santé Obamacare font peser un doute sur la capacité du président américain à faire passer à l’avenir ses autres réformes, notamment celle sur la fiscalité et les investissements la presse faiat un constat sans concession de incompétence de Trump.  Pour le New York Times, cette reculade du 45e président marque «le triomphe de l’incompétence». Et de souligner: «La politique récompense parfois les vantards et Trump est un fanfaron de première, mais quand il s’agit de tenir ses promesses, il est nul. La vérité? C’est un politicien complètement inapte à gouverner. Cela pose beaucoup de questions sur la direction que va emprunter notre pays. Si l’administration échoue sur la réforme du système de santé, quelle chance a-t-elle de mener jusqu’au bout un projet encore plus délicat comme la refonte de la fiscalité? Trump fait campagne en vantardise et gouverne en grandiloquence». De son côté le Washington Post titre «Trump apprend que l’art de la négociation n’est pas la même chose que l’art de mener». «Le président a appris une dure leçon: diriger ne se résume pas à trouver un accord», pointe le journal désavouant la stratégie du milliardaire qui a délivré un ultimatum «dramatique» en promettant de passer à autre chose si la chambre n’approuvait pas sa réforme de l’Obamacare. «En deux mois, l’Amérique a désormais une vision claire du style de gouvernance de Trump et ce dernier a désormais un bon aperçu de ce que c’est de gouverner : c’est dur, dur, dur. Et cela va devenir encore plus difficile si le président persiste dans ses tactiques de persuasion», prédit le journal. Sur la côte Ouest, les éditorialistes du Los Angeles Times s’amusent: «le président a récemment découvert que le système de santé était un sujet complexe, il sait désormais que légiférer l’est tout autant». Leur analyste politique remarque quant à lui que cet échec «n’est pas seulement une promesse de campagne non tenue mais un abandon d’un des dogmes du parti républicain. Le président comprend-il le poste pour lequel il a été élu? Une grande partie de ses responsabilités consiste pourtant à faire avancer son agenda au Congrès. Prompt à régler ses comptes sur Twitter, Donald Trump a répliqué camouflet qui fait la une de tous les journaux. Le chef d’Etat a promis «de faire exploser l’Obamacare et d’œuvrer à négocier un système de santé formidable pour le peuple». Mais on craint de plus en plus l’écart entre des déclarations et la capacité réelle d’action du président américain. De ce point de vue on attend avec une certaine appréhension la rencontre entre le chef d’État chinois et le président des États-Unis. On attend autre chose que des tweets fracassants mais vains. Mais ma tante du coté des bourses européennes qui elles aussi sont aussi en stand-by voir dans le rouge.

Bourses Brexit : et maintenant, l’incertitude

 

Bourses Brexit : et maintenant, l’incertitude  

Certains journaux économiques se satisfaisont de l’information du jour signifié par la lettre de Theresa May et considère que la bourse à digéré  et le Brexit. C’est évidemment une erreur fondamentale. Jusqu’à lors, le Brexit  a surtout pesé sur les taux de change et a vu la livre perdre de sa valeur. Pour le reste,  on peut tout attendre,  le pire comme le meilleur. En réalité le Brexit va générer des négociations qui vont durer 5 à10 ans ; en cause la complexité. . Il faudra en effet que le royaume uni renégocie la totalité des accords commerciaux qui précédemment étaient pilotés  sous la responsabilité de l’union européenne. Il se pourrait que pendant cela de temps un certain nombre d’événements économiques se produisent. Si par exemple avec le temps les évolutions économiques britanniques devaient être plus mauvaises que celle de l’union européenne alors cette conjoncture pourrait peser sur les négociations. Le pire c’est évidemment la rupture totale avec l’union européenne, le Royaume-Uni étend renvoyé à un statut de pays tiers. Mais le meilleur est aussi envisageable. On le sait,  l’opinion  est versatile et notamment lors des référendums où elle s’exprime rarement sur le sujet posé mais en profite pour exprimer toutes sortes de mécontentements. Cette opinion est changeante et pourrait se retourner contre les gouvernants britanniques en cas de détérioration de la situation économique et sociale. Les dirigeants du Royaume-Uni n’auraient alors d’autres solutions que de se rapprocher de l’UE. Il faut en particulier renégocier la totalité des accords commerciaux pour le Royaume-Uni ; des accords commerciaux qui étaient précédemment entièrement gérés par Bruxelles. Pendant la période de négociation,  la conjoncture pourrait être amenée à se modifier soit en bien soit en mal. Si l’économie britannique devait se détériorer l’opinion pourrait alors changer et les dirigeants contraints de rechercher un accord très proche de la situation actuelle voir même de demander l’annulation du Brexit (on a déjà vu des pays qui changer d’opinion voire même des pays qui n’en tenaient pas compte !) Il faut aussi noter qu’il n’y a pas forcément unanimité sur les positions du commissaire français européen Barnier qui souhaite un Brexit  dur. Certains pays du Nord, l’Allemagne en particulier pourrait peser pour éviter la rupture avec le Royaume-Uni.  À terme pour envisager un Brexit dur il faudrait que l’économie britannique obtienne des résultats significativement supérieurs à ceux de l’union européenne donnant ainsi raison à ce qui voulaient t la rupture. Si c’était le contraire alors tout est envisageable y comprit l’annulation du Brexit. En attendant,  cette longue période de négociation va surtout créer de l’instabilité et contrairement à ce qu’affirment certains médias,  les bourses sont loin d’avoir encore digéré le vote britannique. À cela il faut aussi ajouter des considérations internes notamment le refus de l’Irlande de quitter l’euro et l’union européenne, aussi les velléités d’indépendance de l’Écosse voire du pays de Galles autant d’éléments externes et internes qui permettent de penser qu’on est loin d’avoir dirigé le vote du Brexit.  Theresa May, Premier ministre britannique. (Crédits : Reuters)Après neuf mois de préparatifs, Theresa May a donc lancé mercredi les négociations sur la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne avec de grandes ambitions et un projet qui, espère-t-elle, lui permettra d’obtenir un divorce bien plus avantageux que beaucoup ne prédisent.

Bourses : la baisse après l’échec contre l’Obamacare

Bourses : la baisse après l’échec contre l’Obamacare

 

Les bourses pourraient bien être orientées à la baisse après l’échec retentissant de Trump concernant la suppression de l’Obamacare.  Les bourses sont versatiles, c’est bien connu et c’est même sur ce caractère que les spéculateurs font leur business. L’euphorie d’après élection aux États-Unis semble maintenant doucement disparaître. Du coup, même  la bourse américaine s’interroge.  On avait sans doute trop misé sur l’effet immédiat des annonces intempestives de Trump dans tous les domaines et en particulier concernant la croissance. On prend maintenant conscience que Trump n’était pas du tout préparé à assurer les difficiles fonctions de président. En effet les premières mesures qu’il a souhaité prendre dans différents domaines se sont heurtés aux réalités voire ont été contestées  par la justice. Pas sûr qu’il puisse même mettre en œuvre le quart de ce qu’il avait annoncé. De plus Trump est  davantage dans une posture de candidat à l’élection que dans le positionnement de président en charge des responsabilités. Son amateurisme discrédite de plus en plus les retombées économiques des annonces de l’ancien candidat Les difficultés rencontrées par Donald Trump sur la réforme du système de santé Obamacare font peser un doute sur la capacité du président américain à faire passer à l’avenir ses autres réformes, notamment celle sur la fiscalité et les investissements la presse faiat un constat sans concession de incompétence de Trump.  Pour le New York Times, cette reculade du 45e président marque «le triomphe de l’incompétence». Et de souligner: «La politique récompense parfois les vantards et Trump est un fanfaron de première, mais quand il s’agit de tenir ses promesses, il est nul. La vérité? C’est un politicien complètement inapte à gouverner. Cela pose beaucoup de questions sur la direction que va emprunter notre pays. Si l’administration échoue sur la réforme du système de santé, quelle chance a-t-elle de mener jusqu’au bout un projet encore plus délicat comme la refonte de la fiscalité? Trump fait campagne en vantardise et gouverne en grandiloquence». De son côté le Washington Post titre «Trump apprend que l’art de la négociation n’est pas la même chose que l’art de mener». «Le président a appris une dure leçon: diriger ne se résume pas à trouver un accord», pointe le journal désavouant la stratégie du milliardaire qui a délivré un ultimatum «dramatique» en promettant de passer à autre chose si la chambre n’approuvait pas sa réforme de l’Obamacare. «En deux mois, l’Amérique a désormais une vision claire du style de gouvernance de Trump et ce dernier a désormais un bon aperçu de ce que c’est de gouverner : c’est dur, dur, dur. Et cela va devenir encore plus difficile si le président persiste dans ses tactiques de persuasion», prédit le journal. Sur la côte Ouest, les éditorialistes du Los Angeles Times s’amusent: «le président a récemment découvert que le système de santé était un sujet complexe, il sait désormais que légiférer l’est tout autant». Leur analyste politique remarque quant à lui que cet échec «n’est pas seulement une promesse de campagne non tenue mais un abandon d’un des dogmes du parti républicain. Le président comprend-il le poste pour lequel il a été élu? Une grande partie de ses responsabilités consiste pourtant à faire avancer son agenda au Congrès. Prompt à régler ses comptes sur Twitter, Donald Trump a répliqué, samedi midi, au camouflet qui fait la une de tous les journaux. Le chef d’Etat a promis «de faire exploser l’Obamacare et d’œuvrer à négocier un système de santé formidable pour le peuple».

 

Les Bourses doutent de l’effet Trump

Les Bourses doutent de l’effet  Trump

 

Les bourses sont versatiles, c’est bien connu et c’est même sur ce caractère que les spéculateurs font leur business. L’euphorie d’après élection aux États-Unis semble maintenant doucement disparaître. Du coup, la bourse américaine recule. On avait sans doute trop misé sur l’effet immédiat des les annonces intempestives de Trump dans tous les domaines et en particulier concernant la croissance. On prend maintenant conscience que Trump n’était pas du tout préparé à assurer les difficiles fonctions de président. En effet les premières mesures qu’il a souhaité prendre dans différents domaines se sont heurtés aux réalités voire ont été contestées  par la justice. Pas sûr qu’il puisse même mettre en œuvre le quart de ce qu’il avait annoncé. De plus Trump est  davantage dans une posture de candidat à l’élection que dans le positionnement de président en charge des responsabilités. Son amateurisme discrédite de plus en plus les retombées économiques des annonces de l’ancien candidat Les principales Bourses européennes ont donc clôturé dans le rouge mardi et Wall Street évolue en nette baisse, les investisseurs s’interrogeant sur la capacité de Donald Trump à mener à bien ses réformes très attendues de soutien à l’activité, tandis que le reflux du risque politique en Europe a porté l’euro à plus de 1,08 dollar. Le CAC 40 a reculé de 0,19%, à 5.002,43 points, après être tombé en séance sous le seuil des 5.000 points. L’indice parisien a pourtant touché dans la matinée un plus haut depuis le 11 août 2015. A Francfort, le Dax a cédé 0,75% et à Londres, le FTSE a reculé de 0,69%. L’indice EuroStoxx 50 a clôturé en baisse de 0,23%, le FTSEurofirst 300 a perdu 0,52% et le Stoxx 600 a abandonné 0,53%. En hausse à la mi-séance, les marchés d’actions européens sont retombés dans le rouge avec Wall Street, où l’indice Dow Jones recule de 0,81%, le S&P 500 de 0,88% et le Nasdaq de 1,26%. Les difficultés rencontrées par Donald Trump sur la réforme du système de santé Obamacare font peser un doute sur la capacité du président américain à faire passer à l’avenir ses autres réformes, notamment celle sur la fiscalité. « Le mouvement de vente sur les actions (américaines), mené par les valeurs financières et industrielles, suggère que les investisseurs sont peut-être moins confiants dans le fait que les annonces de l’administration Trump en faveur de la croissance seront mises en place rapidement », observe Mohamed El-Erian, économiste chez Allianz. Donald Trump a brièvement rencontré mardi des élus républicains au Congrès afin de resserrer les rangs de sa majorité autour de son projet de refonte de l’Obamacare, la réforme de l’assurance maladie mise en place par son prédécesseur, qui constitue le premier grand test législatif de son mandat. Ces inquiétudes sont propices à des prises de bénéfices sur les marchés d’actions américains, alors que le Nasdaq a touché mardi un nouveau plus haut historique en début de séance, à 5.928,06 points. La séance avait pourtant démarré favorablement sur les marchés en Europe, après le débat de lundi soir entre les cinq principaux candidats à l’élection présidentielle française qui a semblé rassurer les investisseurs sur le risque politique entourant la course à l’Elysée. Les valeurs bancaires en ont profité et ont longtemps soutenu la progression des Bourses européennes. L’indice sectoriel des banques européennes a finalement clôturé en hausse de 0,15%. A Paris, BNP Paribas, Société générale et Crédit agricole ont affiché des progressions allant de 0,29% à 1,64%. L’apaisement des craintes autour de l’élection présidentielle française s’est aussi traduit par une nette progression de l’euro et un resserrement de l’écart de rendement entre les obligations françaises et allemandes à 10 ans. La devise européenne évolue à 1,0820 dollar, à son plus haut niveau depuis début février. « Toute nouvelle entre maintenant et l’élection française le mois prochain qui suggérerait un moindre risque de victoire de Marine Le Pen devrait constituer un soutien pour l’euro », indique Omer Esiner, responsable de l’analyse marchés chez Commonwealth Foreign Exchange à Washington. De son côté, le dollar recule face à un panier de devises de référence, son indice repassant sous le seuil de 100 pour la première fois depuis début février. Sur les marchés pétroliers, les cours du brut sont repartis à la baisse, le baril de Brent de la mer du Nord cédant près de 1% à 51,13 dollars et celui du brut léger américain reculant de 1,4%, à moins de 48 dollars. L’aversion pour les actifs risqués favorise un retour vers l’or et les marchés obligataires. Le métal jaune gagne 0,87% à 1.243,56 dollars l’once, tandis que les rendements des obligations américaines sont tombés à des plus bas de trois semaines. Parmi les autres valeurs en Europe, Deutsche Bank a gagné 4,29% au-dessus de son cours théorique hors droits de souscription après le lancement de son augmentation de capital de huit milliards d’euros. L’opération sera close le 6 avril.

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