Archive pour le Tag 'bourgeois'

wokisme: Comme le maoïsme, la nouvelle mode

wokisme: Comme le maoïsme, la nouvelle mode

L’extrême gauche et même certains dans la gauche modérée ont trouvé un nouveau repère idéologique sans doute pour cacher la pauvreté de l’analyse et des propositions émergeant notamment de la France. Hier ( dans les années 70),c’est le maoïsme qui constituait le must en matière de référence idéologique et culturelle. Là aussi l’égalitarisme devait commander l’ensemble des champs de la société y compris sur le plan vestimentaire avec un pyjama noir obligatoire pour chacun.

Après l’adhésion au communisme, au stalinisme, l’élite a besoin de se raccrocher à des principes égalitaires pour faire oublier son origine. Le wokisme vise donc à l’égalité la plus ridicule y compris en matière d’orthographe. Le retour au champ et à la vie rurale n’est pas encore obligatoire comme sous Mao mais l’adhésion au progrès est fortement condamnée. Une posture réactionnaire qui ne touche pas simplement l’économie mais aussi la vie sociale et sociétale.

Évidemment la mode du wokisme disparaîtra le moment venu comme a disparu la mode stalinienne puis maoïste quand on a découvert des millions de morts victimes précisément de l’utopie égalitaire criminelle.

Un peu comme sous Mao, il faut effacer tous les symboles qui rappellent les traditions et les valeurs de la société. On s’en prend même aux arbres de Noël, fête largement laïcisée.

La mode du wokisme nous vient des universités américaines qui ont l’art de générer le pire comme le meilleur et en plus de l’exporter.

il y a quelque chose de surréaliste de voir que certaines grandes écoles notamment les instituts politiques français se laissent pénétrer par la nouvelle religion du wokisme surtout quand on sait que la plupart n’auront aucune honte à s’embourgeoiser plus tard sur le dos des inégalités qu’ils dénoncent aujourd’hui. Comme disait Coco Chanel : la mode c’est ce qui est fait pour être démodé. Mais en attendant que d’idiotie dans une période qui réclamerait au contraire un effort global de connaissances et de réflexion sur des enjeux multiples qui interfèrent entre eux de manière systémique. Bref le catéchisme du wokisme n’est pas vraiment adapté pour aborder la compréhension de la complexité du monde actuel. C’est même clairement un système de référence réactionnaire.

Société- L’orthographe, un «privilège bourgeois» !!!

Société- L’orthographe, un «privilège bourgeois» !!!

Pour certaines personnalité de gauche, l’orthographe est un terrain de lutte idéologique. Pour cela, ils proposent de supprimer les règles. Une manière finalement de s’aligner aussi sur la nouvelle orthographe utilisée dans les SMS et autres mails et surtout sur les réseaux sociaux. Bref de substituer le langage parlé à la règle écrite.

Ce serait le remède miracle pour régler le problème du très faible niveau de maîtrise de la langue.

Selon le ministre de l’éducation nationale lui-même qui s’appuie sur une étude, les résultats des élèves de 4e «ne sont pas satisfaisants et sont même plutôt inquiétants. Un peu plus de la moitié des élèves ne lisent pas convenablement et en mathématiques, plus de la moitié ne maîtrisent pas la résolution de problèmes et la géométrie».

D’après une étude du ministère concernant les CP, CE1, CM1, sixième et quatrième sur des compétences en français et en maths.

Pour contrer cet affaissement, le ministre souhaite «des groupes de niveau en français et en mathématiques. Bref, d’une certaine manière la remise en cause du collège unique. La taille du groupe étant réduite pour les élèves les plus en difficulté», a-t-il évoqué, tout en promettant annoncer «des mesures fortes début décembre sur le collège, pour une entrée en vigueur dès la rentrée prochaine». Peu de temps après son arrivée à la tête de ce ministère, Gabriel Attal avait souhaité «mettre le paquet sur les savoirs fondamentaux» en annonçant deux heures consacrées chaque jour à la lecture au CP, «au moins un texte écrit» chaque semaine pour les élèves de CM2.

L’orthographe, un «privilège bourgeois» !!!

L’orthographe, un «privilège bourgeois» !!!

Pour certaines personnalité de gauche, l’orthographe est un terrain de lutte idéologique. Pour cela, ils proposent de supprimer les règles. Une manière finalement de s’aligner aussi sur la nouvelle orthographe utilisée dans les SMS et autres mails et surtout sur les réseaux sociaux. Bref de substituer le langage parlé à la règle écrite.

Ce serait le remède miracle pour régler le problème du très faible niveau de maîtrise de la langue.

Selon le ministre de l’éducation nationale lui-même qui s’appuie sur une étude, les résultats des élèves de 4e «ne sont pas satisfaisants et sont même plutôt inquiétants. Un peu plus de la moitié des élèves ne lisent pas convenablement et en mathématiques, plus de la moitié ne maîtrisent pas la résolution de problèmes et la géométrie».

D’après une étude du ministère concernant les CP, CE1, CM1, sixième et quatrième sur des compétences en français et en maths.

Pour contrer cet affaissement, le ministre souhaite «des groupes de niveau en français et en mathématiques. Bref, d’une certaine manière la remise en cause du collège unique. La taille du groupe étant réduite pour les élèves les plus en difficulté», a-t-il évoqué, tout en promettant annoncer «des mesures fortes début décembre sur le collège, pour une entrée en vigueur dès la rentrée prochaine». Peu de temps après son arrivée à la tête de ce ministère, Gabriel Attal avait souhaité «mettre le paquet sur les savoirs fondamentaux» en annonçant deux heures consacrées chaque jour à la lecture au CP, «au moins un texte écrit» chaque semaine pour les élèves de CM2.

Pas de miel entre les bourgeois et les réactionnaires (Montebourg)

Pas de miel entre les bourgeois et les réactionnaires (Montebourg)

 

 

Pour le marchand de miel qu’est devenu Montebourg pas question de préférer la gourmandise bourgeoise à la gourmandise réactionnaire. En vue de l’élection présidentielle de 2022, l’ex-ministre socialiste de l’économie appelle, dans une tribune au « Monde », à une union des forces populaires qui passe selon lui par un programme politique interventionniste, régulationniste, (Le marchand de miel a du mal avec la sémantique et davantage encore avec les concepts),  républicain et laïc, mais aussi par le contrôle de l’immigration et la lutte contre l’islamisme politique.Bref un vrai programme mielleux! 

 

Il y a dix ans, les sociaux-libéraux encourageaient la gauche à persister dans sa dangereuse préférence pour les questions sociétales, les minorités et le goût pour une certaine bourgeoisie libérale s’épanouissant dans l’individualisme et une mondialisation heureuse. Triomphait alors la version française du « clintonisme » qui avait uni dans un même programme politique Wall Street et Hollywood, symbolisant un mépris implicite pour les classes populaires qui se jetaient à l’inverse dans les bras de Trump.

Pour les gauches mondiales, il n’était plus nécessaire de s’attaquer aux excès du système économique néolibéral et mondialisé puisqu’il était prétendument bon pour nos sociétés. Le protectionnisme devait rester l’apanage des supposés populistes alors que chacun comprend l’urgente nécessité de rééquilibrage écologique et social d’une mondialisation sauvage et destructrice de nos sociétés occidentales. La question des salaires et de l’amour du travail était abandonnée au profit de la seule redistribution, par les impôts et le revenu universel, célébrant ainsi curieusement l’union de Bill Gates avec Benoît Hamon.


En acceptant ainsi le monde tel qu’il était devenu, la gauche du quinquennat Hollande fit grossir de 15 points le Front national par sa politique austéritaire, parachevée par le quinquennat Macron, champion du mépris de classe en apportant les 15 points de plus qui manquaient pour atteindre les 50 % du corps électoral. Le résultat de ce choix est maintenant connu : les « gilets jaunes » s’affrontèrent en fracture ouverte avec Macron en défendant désespérément le droit de vivre de leur travail ; aujourd’hui la famille Le Pen est aux portes du pouvoir, plusieurs régions sont sur le point d’être gagnées par le Rassemblement national, et tous les candidats se revendiquant de la gauche (Mélenchon, Jadot, Hidalgo) seraient battus par Marine Le Pen au second tour de l’élection présidentielle. Tout comme Macron qui n’en est plus très loin et devrait entrer dans l’histoire pour avoir minutieusement installé le RN au pouvoir, par incompétence ou cynisme.

François Mitterrand avait exprimé clairement une vérité lors de son célèbre discours d’investiture du 21 mai 1981 : avec la victoire de la gauche, « la majorité sociale a enfin rencontré la majorité politique ». Avec Emmanuel Macron, c’est la minorité sociale d’un bloc bourgeois qui a arraché une majorité politique, gouvernant pour une base étroite avec arrogance. Cette recomposition découle de choix délibérés d’indifférenciation idéologique et de conversion de la gauche à la pensée unique. Depuis si longtemps, gauche et droite se succèdent au pouvoir pour mener les mêmes politiques néolibérales aux dépens des droits économiques et sociaux des classes moyennes et populaires.

Gilets jaunes : L’hystérisation entre bourgeois et gauchistes

Gilets jaunes : L’hystérisation entre bourgeois et gauchistes

 

Indéniablement le mouvement des gilets jaunes a marqué la situation sociale du pays. Ce mouvement reflète les mécontentements et la colère de certaines couches moyennes défavorisées à propos notamment du pouvoir d’achat et de la justice fiscale. Les manifestations qui se tiennent chaque samedi depuis le 17 novembre constituent un marqueur de ce mécontentement. Malheureusement ces manifestations font parallèlement l’objet de violences de la part de certains manipulateurs extrémistes qui profitent de la situation. Ceci étant il convient d  relativiser la participation à ces manifestations dont la dernière a réuni environ 50 000 personnes, peut-être davantage mais bien loin de ce que les syndicats peuvent parfois convoquer. La France subit évidemment certaines conséquences néfastes concernant des commerces mais n’est ni feu ni à sang, ni même arrêtée. Pourtant d’un côté comme de l’autre, on assiste à une forme d’hystérisation de la situation. Côté pouvoirs on donne l’impression que le pays est dans une dans un état d’insurrection et de l’autre on prétend que le pays glisse vers une dictature. Des propos excessifs qui n’ont pour effet que de servir la violence et qui d’une certaine façon sont aussi irresponsables les uns que les autres Sur France Info, Julien Denormandie estime que Jean-Luc Mélenchon «a trahi la République» pour avoir condamné la fermeture de la cagnotte de soutien pour l’ex-boxeur Christophe Dettinger, soupçonné d’avoir agressé deux gendarmes. «Le but de ceux qui veulent interdire cette collecte est de détruire la famille aussi. Honte à eux», avait ainsi tweeté, mardi Jean-Luc Mélenchon. «Ce responsable politique (…) qui insulte les juges, qui appelle au final à casser du flic, parce qu’il soutient ceux qui cassent du flic, au final c’est une trahison républicaine. Les propos de responsables politiques comme Jean-Luc Mélenchon sur ces cagnottes, ils sont scandaleux», a lancé Denormandie.

De son côté, la députée Aurore Bergé, porte-parole des députés LREM, a critiqué l’attitude de Jean-Luc Mélenchon qui «depuis des mois se félicite et se gargarise de ces violences. (…) Quand a-t-il condamné les menaces contre les élus de la République en marche? Quand a-t-il condamné les violences contre les journalistes? Quand a-t-il condamné les violences contre les forces de l’ordre?». Aurore Bergé a par ailleurs annoncé mercredi qu’elle allait signaler à la justice les propos de cadres de LFI incitant selon elle à la violence. «En tant qu’élu de la République, quand on a connaissance de crimes ou de délits, c’est notre devoir, notre responsabilité de les signaler et on a des propos qui aujourd’hui clairement invitent à commettre des délits ou des crimes», a-t-elle expliqué sur France 2 la députée dont «le domicile a été placé sous protection» à la suite de menaces. Une guerre verbale finalement assez traditionnelle entre bourgeois et gauchistes qui ont en commun de verser dans une dialectique excessive et peu responsable.

 

 

Macron : un bourgeois trop jeune et méprisant

 

Macron : un bourgeois  trop jeune  et méprisant

 

 

Il est clair que Macron est complètement inconscient du rejet qu’il provoque dans l’opinion publique. Certes sa politique économique et sociale est contestée et contestable eu égard aux résultats catastrophiques concernant aussi bien la croissance, le chômage que les équilibres financiers mais le pire c’est sans doute cette espèce condescendance pseudo aristocratique qui caractérise le rapport de Macron aux  citoyens. Pour résumer,  Macron est un gosse mal élevé. Fils d’un milieu bourgeois, il a été gâté, pourri au point qu’il ignore les éléments de base de la politesse, du respect et de l’humanisme. Adulte, il n’a guère connu de difficultés. Il s’est marié avec Brigitte, elle-même fille de grands bourgeois qui a pris pour premier époux un banquier (déjà !),  Macron est beaucoup trop jeune et inexpérimenté  pour exercer un mandat de président, il n’a rien vécu en parcourant le chemin doré qui mène à l’ENA, aux cercles élitistes, à l’argent et au pouvoir. Comment pourrait-il avoir la moindre idée de ce que c’est que vivre avec un SMIC de 1150 € ? Le pire évidemment, c’est l’insupportable tonalité de ses discours, une tonalité professorale, agressive et méprisante. En gros il explique aux Français déjà en détresse que ce sont des incompétents et des paresseux. Pas vraiment un discours dynamique et rassembleur. Quant, il s’excuse  personne ne croit à cet acte de contrition contraint pas les catastrophiques sondages de popularité. Là aussi, il en fait trop, on ne le croit pas un instant.   Pour finir le portrait, le jeune homme se prend pour un monarque et il ne se prive pas de prendre les Français et ses collaborateurs pour  de simples sujets. Voir par exemple à cet égard comment il a corrigé récemment Philippe à propos du moratoire sur la taxe carbone ou encore la pauvre Schiappa qui avait suggéré que la suppression de l’ISF pourrait être mise en cause. Et quand un pauvre député s’avise de voter contre, il est immédiatement exclu. Encore heureux qu’un ne l’ait pas condamné à être pendu en place de Grèves !  Une gifle en pleine assemblée pour Édouard Philippe, une autre en plein conseil des ministres pour Schiappa, la mise au banc d’un député.  La France a bien eu tort d’élire ce petit jeune homme précieux et prétentieux qui ne connaît rien aux réalités sociales et économiques. En plus à partir d’une imposture et d’une trahison  politique puisque Macron ne doit son ascension  qu’aux socialistes et qu’il mène une vraie politique de droite. Il avait promis l’égalité et la démocratie, il pratique la politique de privilèges d’un monarque.  En général en choisissant un homme de 50 à 60 on a davantage de chances d’éviter les erreurs de jeunesse même si ce n’est pas totalement garanti !

Macron, un bourgeois mal élevé, prétentieux et méprisant

Macron, un bourgeois mal élevé, prétentieux et méprisant

 

 

Il est clair que Macron est complètement inconscient du rejet qu’il provoque dans l’opinion publique. Certes sa politique économique et sociale est contestée et contestable eu égard aux résultats catastrophiques concernant aussi bien la croissance, le chômage que les équilibres financiers mais le pire c’est sans doute cette espèce condescendance aristocratique qui caractérise le rapport de Macron aux  citoyens. Pour résumer,  Macron est un gosse mal élevé. Fils d’un milieu bourgeois il a été gâté, pourri au point qu’il ignore les éléments de base de la politesse, du respect et de l’humanisme. Adulte, il n’a guère connu de difficultés. Il s’est marié avec Brigitte, elle-même fille de grands bourgeois qui a pris pour premier époux un banquier (déjà !),  Macron est beaucoup trop jeune et inexpérimenté  pour exercer un mandat de président, il n’a rien vécu en parcourant le chemin doré qui mène à l’ENA, aux cercles élitistes, à l’argent et au pouvoir. Comment pourrait-il avoir la moindre idée de ce que c’est que vivre avec un SMIC de 1150 € ? Le pire évidemment c’est cette tonalité de ses discours, une tonalité professorale, agressive et méprisante. En gros il explique aux Français déjà en détresse que ce sont des incompétents et des paresseux. Pas vraiment un discours dynamique et  rassembleur.  Et pour finir le portrait, le jeune homme se prend pour un monarque et il ne se prive pas de prendre les Français et ses collaborateurs pour  de simples sujets. Voir par exemple à cet égard comment il a corrigé récemment Philippe à propos du moratoire sur la taxe carbone ou encore la pauvre Schiappa qui avait suggéré que la suppression de l’ISF pourrait être mise en cause. Une gifle en pleine assemblée pour Édouard Philippe, une autre en plein conseil des ministres pour Schiappa. La France a bien eu tort d’élire ce petit jeune homme précieux et prétentieux qui ne connaît rien aux réalités sociales et économiques. En général en choisissant un homme de 50 à 60 on a davantage de chances d’éviter les erreurs de jeunesse même si ce n’est pas totalement garanti.

 

 

Les macronistes candidats pour remplacer Ferrand : des petits bourgeois carrièristes et sans conviction

Les  macronistes candidats pour remplacer  Ferrand : des petits bourgeois carrièristes et sans conviction

Qui pour remplacer le sulfureux Richard Ferrand comme président de l’assemblée nationale. Sans doute un petit bobo, carriériste et sans grande légitimité politique et sociale. Bref des copier coller de Macron   avec la compétence et le charisme en moins. En fait on cherche un profil type Ferrand capable de cadenasser tout autant les velléités de démocratie des députés en marche. Si en plus il se monte aussi méprisant que leur patron vis-à-vis des couches défavorisées « qui coûtent un pognon dingue »  cela constituera évidemment un atout  supplémentaire. Bref on recherche un profil type adjudant chef aux convictions politiques approximatives qui a envie de faire carrière dans la politique. Il faudra aussi que comme Richard Ferrand, Kastner ou Griveaux,  il fasse preuve d’excellence dans le domaine de la courtisanerie. Les lèches bottes sont en effet très apprécié par le monarque républicain Une dizaine de députés sont candidats, ce sont tous des cadres de petit-bourgeois aux convictions molles et pour la plupart avec des relations très floues  avec l’intérêt général. Bref des opportunistes, de vrais macronistes.

 




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