Archive pour le Tag 'boulets'

Démocratie-Les boulets de la politique : Macron, Mélenchon, Ciotti , Sandrine Rousseau, Hollande …et les autres

Démocratie-Les boulets de la politique : Macron, Mélenchon, Ciotti , Sandrine Rousseau, Hollande  …et les autres

D’après des sondages d’opinion près de la moitié de la population ont exprimé lors   premier tour des législatives leur ras-le-bol vis-à-vis de la politique et des  élites. Des élites souvent composées de professionnels de la politique et-ou de technocrates coupés des réalités. S’ajoute à cela la personnalité de certains leaders qui constituent de véritables repoussoirs.

Au sein de la majorité présidentielle actuelle,  Macron occupe est de loin la première place de repoussoirs. Il faut dire que sa posture de monarque républicain type bonapartiste condescendant constitue la cause principale du déclin de « Renaissance et de ses alliés ». Le parti des républicains porte aussi sa croix avec la désertion de son propre président Éric passé au RN pour sauver sa place de député. Et en plus un responsable d’une indigence intellectuelle qui désarme. Et le pire c’est qu’on parlait de lui comme ministre de la défense lui qui s’est débrouillé pour ne pas faire son service militaire ! À gauche évidemment Mélenchon tient le pompon comme repoussoirs numéro un. L’homme ne manque pas de culture mais son radicalisme fait peur y comprise à son propre camp où d’ailleurs il n’hésite pas à faire régner la terreur.

Chez les écolos, on peut facilement placer en tête Sandrine Rousseau davantage préoccupée des questions sociétales que d’écologie, plus proche d’ailleurs de Mélenchon que d’Europe écologie les Verts. Une sorte de Ségolène Royal en pire et encore plus bavarde. Au parti socialiste, il y a l’éternel François Hollande toujours prêt à intervenir sur tout, à exister et même envisager un retour présidentiel ou pourtant son bilan a été catastrophique.

Enfin au RN le boulet pourrait bien être Marine Le Pen elle-même. Elle confirme chaque fois qu’elle s’exprime son manque de consistance voir son indigence politique à la différence d’un Bardella qui donne l’impression d’être plus sérieux et plus construit. La liste des repoussoirs est sans doute plus nombreuse car en réalité, c’est une grande partie du système et des hommes qui est en cause. Trop de démagogie, trop d’incompétence, trop de coupures avec le réel, trop d’idéologues,  trop d’intérêts personnels. Bref un déficit démocratique et un manque d’efficacité.

Les boulets de la politique : Macron, Mélenchon, Ciotti , Sandrine Rousseau …et les autres

Les boulets de la politique : Macron, Mélenchon, Ciotti , Sandrine Rousseau, Hollande  …et les autres

D’après des sondages d’opinion près de la moitié de la population ont exprimé lors   premier tour des législatives leur ras-le-bol vis-à-vis de la politique et des  élites. Des élites souvent composées de professionnels de la politique et-ou de technocrates coupés des réalités. S’ajoute à cela la personnalité de certains leaders qui constituent de véritables repoussoirs.

Au sein de la majorité présidentielle actuelle,  Macron occupe est de loin la première place de repoussoirs. Il faut dire que sa posture de monarque républicain type bonapartiste condescendant constitue la cause principale du déclin de « Renaissance et de ses alliés ». Le parti des républicains porte aussi sa croix avec la désertion de son propre président Éric passé au RN pour sauver sa place de député. Et en plus un responsable d’une indigence intellectuelle qui désarme. Et le pire c’est qu’on parlait de lui comme ministre de la défense lui qui s’est débrouillé pour ne pas faire son service militaire ! À gauche évidemment Mélenchon tient le pompon comme repoussoirs numéro un. L’homme ne manque pas de culture mais son radicalisme fait peur y comprise à son propre camp où d’ailleurs il n’hésite pas à faire régner la terreur.

Chez les écolos, on peut facilement placer en tête Sandrine Rousseau davantage préoccupée des questions sociétales que d’écologie, plus proche d’ailleurs de Mélenchon que d’Europe écologie les Verts. Une sorte de Ségolène Royal en pire et encore plus bavarde. Au parti socialiste, il y a l’éternel François Hollande toujours prêt à intervenir sur tout, à exister et même envisager un retour présidentiel ou pourtant son bilan a été catastrophique.

Enfin au RN le boulet pourrait bien être Marine Le Pen elle-même. Elle confirme chaque fois qu’elle s’exprime son manque de consistance voir son indigence politique à la différence d’un Bardella qui donne l’impression d’être plus sérieux et plus construit. La liste des repoussoirs est sans doute plus nombreuse car en réalité, c’est une grande partie du système et des hommes qui est en cause. Trop de démagogie, trop d’incompétence, trop de coupures avec le réel, trop d’idéologues,  trop d’intérêts personnels. Bref un déficit démocratique et un manque d’efficacité.

Les boulets de la politique : Macron, Mélenchon, Ciotti , Sandrine Rousseau …et les autres

Les boulets de la politique : Macron, Mélenchon, Ciotti , Sandrine Rousseau …et les autres

D’après des sondages d’opinion près de la moitié de la population ont exprimé lors   premier tour des législatives leur ras-le-bol vis-à-vis de la politique et des  élites. Des élites souvent composées de professionnels de la politique et-ou de technocrates coupés des réalités. S’ajoute à cela la personnalité de certains leaders qui constituent de véritables repoussoirs.

Au sein de la majorité présidentielle actuelle,  Macron occupe est de loin la première place de repoussoirs. Il faut dire que sa posture de monarque républicain type bonapartiste condescendant constitue la cause principale du déclin de « Renaissance et de ses alliés ». Le parti des républicains porte aussi sa croix avec la désertion de son propre président Éric passé au RN pour sauver sa place de député. Et en plus un responsable d’une indigence intellectuelle qui désarme. Et le pire c’est qu’on parlait de lui comme ministre de la défense lui qui s’est débrouillé pour ne pas faire son service militaire ! À gauche évidemment Mélenchon tient le pompon comme repoussoirs numéro un. L’homme ne manque pas de culture mais son radicalisme fait peur y comprise à son propre camp où d’ailleurs il n’hésite pas à faire régner la terreur.

Chez les écolos, on peut facilement placer en tête Sandrine Rousseau davantage préoccupée des questions sociétales que d’écologie, plus proche d’ailleurs de Mélenchon que d’Europe écologie les Verts. Une sorte de Ségolène Royal en pire et encore plus bavarde. Au parti socialiste, il y a l’éternel François Hollande toujours prêt à intervenir sur tout, à exister et même envisager un retour présidentiel ou pourtant son bilan a été catastrophique.

Enfin au RN le boulet pourrait bien être Marine Le Pen elle-même. Elle confirme chaque fois qu’elle s’exprime son manque de consistance voir son indigence politique à la différence d’un Bardella qui donne l’impression d’être plus sérieux et plus construit. La liste des repoussoirs est sans doute plus nombreuse car en réalité, c’est une grande partie du système et des hommes qui est en cause. Trop de démagogie, trop d’incompétence, trop de coupures avec le réel, trop d’idéologues,  trop d’intérêts personnels. Bref un déficit démocratique et un manque d’efficacité.

Législatives – Les boulets de la campagne- Macro, Mélenchon, Ciotti

Législatives – Les boulets de la campagne- Macro, Mélenchon, Ciotti

La dissolution précipitée souligne les faiblesses de certains courants et de certains responsables au point même que les plus hauts dirigeants apparaissent aujourd’hui comme des boulets pour leur propre organisation voire pour la démocratie.

Le boulet le plus encombrant est sans conteste désormais le président de la république qui évidemment n’a encore pas compris que chaque parole prononcée constitue un argument supplémentaire pour voter RN chez beaucoup d’électeurs. Non pas que les paroles de Macron manquent toujours de pertinence. Le problème c’est qu’il n’est plus ni entendu, ni écouté. Sa posture jupitérienne, sa suffisance ne suscite désormais que rejet et même haine. Cela vaut pour l’ensemble de la population ou presque y compris dans son propre camp. S’y ajoutent des contradictions flagrantes liées au « en même temps « ,  idéologie fumeuse et dangereuse. Dans la majorité présidentielle actuelle, la plupart des responsables eux-mêmes souhaitent désormais que le président se taise.

Dans l’opposition de gauche Mélenchon est évidemment le boulet le plus lourd à porter. Chaque fois qu’il s’exprime lui aussi  provoque réprobation y compris chez ses pairs. Par exemple quand il annonce son éventuelle candidature à Matignon. Chez lui aussi trop de discours tue le discours sans parler évidemment de ses méthodes staliniennes et de ses positionnements politiques.

Autre boulet, celui de Monsieur Ciotti qui pèse évidemment sur le parti LR. Un Ciotti rallié au RN dans la nuit de publication des résultats des Européennes pour sauver son poste de député à Nice et qui se voit même ministre de l’intérieur !  Il n’est pas certain que la manœuvre politicienne de Ciotti rendre  service au RN car l’intéressé ne brille pas par son intelligence, sa stature et son honnêteté.

Avec cette dissolution précipitée en tout cas Macron a réussi à organiser un  » beau bordel » dans le pays estime même des responsables de la majorité.

On pourrait évidemment citer d’autres boulets qui constitue autant de contradictions et de risques pour le pays

Politique-Deux boulets pour Attal : Macron et Rachida Dati

Politique-Deux boulets pour Attal : Macron et Rachida Dati

De toute évidence Attal a été très éloigné du processus de composition du nouveau gouvernement. Macon a maîtrisé et décidé de bout en bout la distribution des portefeuilles. Surtout avec en tête l’idée d’un gouvernement offensif davantage politique, bref Macron veut des combattants et même des « révolutionnaires » (le terme fait sourire) surtout pas des gestionnaires. Sur le fond, un gouvernement encore plus à droite qui suit en réalité l’évolution de la société qui réclame davantage d’autorité dans beaucoup de domaines.

Du coup, préoccupé par les rééquilibrages politiques Macron on a oublié les femmes très minoritaires dans les grands ministères régaliens et qui devront se contenter de secrétariats d’État. Une seule échappe à ce constat l’ancienne ministre des sports désormais chargée aussi de l’école et des JO mais dont les pouvoirs seront en fait éclatés sur plusieurs secrétaires d’État. À son propos on a déjà faire remarquer qu’elle avait placé ses enfants dans l’école privée !

Pour Attal la tâche sera particulièrement compliquée. Il devra d’abord composer avec les éléphants du gouvernement c’est-à-dire en premier Darmanin qui espérait la place de premier ministre mais aussi avec le ministre de l’économie qui n’entend pas partager une miette de son pouvoir ou encore le ministre de la justice.

Le pire pour Attal sera de traîner le boulet Macron qui voudra assurer encore plus qu’hier la fonction de Super premier ministre en plus de celle de président. Macron va inonder l’opinion de ses bavardages contradictoires distribuant passages bons et mauvais. Comme il l’avait fait d’ailleurs à l’égard d’Élisabeth Borne.

Et pour compléter les obstacles à gérer Attal devra tenir compte aussi de l’arrivée de Rachida Dati qui sans doute ne va pas manifester une grande appétence dans un domaine où elle ne connaît rien mais qui voudra émerger sur toutes les autres questions politiques avec sa dialectique de boxeur.

Attal qui se caractérise par une certaine économie de mots et une grande maîtrise du verbe risque d’être débordé par de bavards impénitents davantage préoccupés de leur image et de leur avenir que de l’intérêt du pays.

Politique-Deux boulets pour Attal : Macron et Rachida Dati

Politique-Deux boulets pour Attal : Macron et Rachida Dati

De toute évidence Attal a été très éloigné du processus de composition du nouveau gouvernement. Macon a maîtrisé et décidé de bout en bout la distribution des portefeuilles. Surtout avec en tête l’idée d’un gouvernement offensif davantage politique, bref Macron veut des combattants et même des « révolutionnaires » (le terme fait sourire) surtout pas des gestionnaires. Sur le fond, un gouvernement encore plus à droite qui suit en réalité l’évolution de la société qui réclame davantage d’autorité dans beaucoup de domaines.

Du coup, préoccupé par les rééquilibrages politiques Macron on a oublié les femmes très minoritaires dans les grands ministères régaliens et qui devront se contenter de secrétariats d’État. Une seule échappe à ce constat l’ancienne ministre des sports désormais chargés aussi de l’école et des JO mais dont les pouvoirs seront en fait éclatés sur plusieurs secrétaires d’État. À son propos on a déjà faire remarquer qu’elle avait placé ses enfants dans l’école privée !

Pour Attal la tâche sera particulièrement compliquée. Il devra d’abord composer avec les éléphants du gouvernement c’est-à-dire en premier Darmanin qui espérait la place de premier ministre mais aussi avec le ministre de l’économie qui n’entend pas partager une miette de son pouvoir ou encore le ministre de la justice.

Le pire pour Attal sera de traîner le boulet Macron qui voudra assurer encore plus qu’hier la fonction de Super premier ministre en plus de celle de président. Macron va inonder l’opinion de ses bavardages contradictoires distribuant passages bons et mauvais. Comme il l’avait fait d’ailleurs à l’égard d’Élisabeth Borne.

Et pour compléter les obstacles à gérer Attal devra tenir compte aussi de l’arrivée de Rachida Dati qui sans doute ne va pas manifester une grande appétence dans un domaine où elle ne connaît rien mais qui voudra émerger sur toutes les autres questions politiques avec sa dialectique de boxeur.

Attal qui se caractérise par une certaine économie de mots et une grande maîtrise du verbe risque d’être débordé par de bavards impénitents davantage préoccupés de leur image et de leur avenir que de l’intérêt du pays.

Deux boulets pour Attal : Macron et Rachida Dati

Deux boulets pour Attal : Macron et Rachida Dati

De toute évidence Attal a été très éloigné du processus de composition du nouveau gouvernement. Macon a maîtrisé et décidé de bout en bout la distribution des portefeuilles. Surtout avec en tête l’idée d’un gouvernement offensif davantage politique, bref Macron veut des combattants et même des « révolutionnaires » (le terme fait sourire) surtout pas des gestionnaires. Sur le fond, un gouvernement encore plus à droite qui suit en réalité l’évolution de la société qui réclame davantage d’autorité dans beaucoup de domaines.

Du coup, préoccupé par les rééquilibrages politiques Macron on a oublié les femmes très minoritaires dans les grands ministères régaliens et qui devront se contenter de secrétariats d’État. Une seule échappe à ce constat l’ancienne ministre des sports désormais chargés aussi de l’école et des JO mais dont les pouvoirs seront en fait éclatés sur plusieurs secrétaires d’État. À son propos on a déjà faire remarquer qu’elle avait placé ses enfants dans l’école privée !

Pour Attal la tâche sera particulièrement compliquée. Il devra d’abord composer avec les éléphants du gouvernement c’est-à-dire en premier Darmanin qui espérait la place de premier ministre mais aussi avec le ministre de l’économie qui n’entend pas partager une miette de son pouvoir ou encore le ministre de la justice.

Le pire pour Attal sera de traîner le boulet Macron qui voudra assurer encore plus qu’hier la fonction de Super premier ministre en plus de celle de président. Macron va inonder l’opinion de ses bavardages contradictoires distribuant passages bons et mauvais. Comme il l’avait fait d’ailleurs à l’égard d’Élisabeth Borne.

Et pour compléter les obstacles à gérer Attal devra tenir compte aussi de l’arrivée de Rachida Dati qui sans doute ne va pas manifester une grande appétence dans un domaine où elle ne connaît rien mais qui voudra émerger sur toutes les autres questions politiques avec sa dialectique de boxeur.

Attal qui se caractérise par une certaine économie de mots et une grande maîtrise du verbe risque d’être débordé par de bavards impénitents davantage préoccupés de leur image et de leur avenir que de l’intérêt du pays.

Retour du plan : la vieille droite tire à boulets rouges

Retour du plan : la vieille droite tire à boulets rouges

Le retour du plan est envisagé avec Bayrou  à sa tête. Pas vraiment un partisan de la dictature socialiste ou de la planification à la mode soviétique. Pourtant la vieille droite tire à boulets rouges sur l’éventualité d’une renaissance du commissariat au plan. La critique est évidemment ridicule notamment le risque en France d’une planification à la mode soviétique. Sans faire un retour historique approfondi, convenons que le plan en France a toujours tenu une place finalement assez secondaire. Pour apprécier exactement le poids du plan il faudrait comparer par exemple les engagements financiers du plan par rapport aux dépenses budgétaires de l’État, faire une comparaison avec la part du PIB  influencée par le plan ou d’autres indicateurs du même type. On arriverait vite à la conclusion que le plan en France n’a jouée qu’un rôle très partiel même si parfois notamment à la libération il a pu booster certains objectifs stratégiques. Un rappel de la planification de Wikipédia:

 


La planification française du commissariat au Plan, à l’instar de celle mise en place par le régime de Vichy, est indicative et incitative, à la différence de la planification soviétique. Le commissariat général du Plan (CGP) s’appuie sur deux organismes de prévision : l’Insee et la SEEF (Service des Études économiques et financières du ministère des Finances)5.

Plusieurs éléments font de la planification française une expérience originale. Elle constitue l’aspect le plus singulier de l’action de l’État pour domestiquer le marché. Se bornant à donner des objectifs quantitatifs ou qualitatifs définis d’un commun accord entre les partenaires sociaux, le plan tente d’orienter les investissements dans les secteurs prioritaires pour la croissance. À cet égard, on peut le voir comme un « réducteur d’incertitudes » 6 selon la formule de Pierre Massé.


Les positions relatives au 1er plan de modernisation et d’équipement et aux moyens d’en assurer l’exécution sont notamment les suivantes7,8.

Objet et dispositif du Plan

Le plan de modernisation et d’équipement 1947-1950, soumis à l’examen du Conseil, a essentiellement pour objet :

  • d’assurer un relèvement rapide du niveau de vie de la population, et notamment de son alimentation ;
  • de moderniser et d’équiper les activités de base (houillères, électricité, sidérurgie, ciment, machinisme agricole et transports) ;
  • de moderniser l’agriculture ;
  • d’affecter à la reconstruction le maximum de moyens, en tenant compte des besoins des activités de base et en modernisant l’industrie des matériaux de construction et celle du bâtiment et des travaux publics ;
  • de moderniser et de développer les industries d’exportation pour assurer en 1950 l’équilibre de la balance des comptes.

La base de départ sera ainsi créée pour entreprendre, dans une seconde étape, la transformation des conditions de vie et notamment du logement. »

Le premier plan correspondait à un objectif d’aide au redressements du pays. Ensuite son action s’est  notoirement affaiblie pour finalement disparaître. L’idée même d’une résurgence du plan fait monter la vieille droite qui s’exprime en particulier dans le journal l’Opinion et dans le Figaro qui écrit par exemple: Ressusciter un commissariat général au Plan permettrait de réintroduire le sens du temps long dans l’action publique. L’objectif est louable, mais l’instrument, superflu. ». Certains éditorialistes dans l’Opinion estiment que le marché fait office de plan !

Certes l’exercice de prospective n’est pas totalement condamné, cela peut être utile conviennent  les plus tolérants. Mais ce que l’on craint le plus c’est évidemment de partager l’analyse avec les partenaires sociaux et les acteurs économiques ( entreprises, salariés, clients, usagers et citoyens. Car c’est la particularités du plan que de se livrer à un exercice de réflexion sur les enjeux stratégiques de moyen et long terme avec les acteurs. Ce que réfute avec force la vieille droite évidemment au service des intérêts économiques dominants laissant le marché arbitrer entre l’intérêt général et les intérêts particuliers.

Pourtant dans une période caractérisée par une crise systémique aux multiples aspects, économiques, sociaux, technologiques, environnementaux et plus globalement sociétaux la compréhension des phénomènes est un exercice incontournable. Une compréhension qui ne doit pas être réservée à des élites technocratiques ou financières. Bref il s’agit d’envisager une analyse partagée qui débouche sur des hypothèses et des scénarios permettant la meilleure adaptation possible, la meilleure anticipation des grandes évolutions structurelles. Deux exemples simplement, le plus récent celui de la crise sanitaire qui évidemment n’a jamais été envisagée. Autre exemple, celui du développement des plates-formes numériques qui  prennent  en sandwich producteur et consommateur dans une position de plus en plus dominante; or la France comme l’Europe sont complètement hors jeu. Encore une fois la planification française a toujours eu un caractère incitatif, partiel, indicatif et non pas impératif et globalisant.

 

 

Retour de l’esclavage chez Amazon : des bracelets électroniques pour les salariés et bientôt des boulets au pied ?

Retour de l’esclavage chez Amazon : des bracelets électroniques pour les salariés et bientôt des boulets  au pied ?

En mars 2016, Amazon a déposé deux brevets sur des bracelets électroniques, révèle le site spécialisé GeekWire (en anglais).  Ce système de « traçage (…) des mouvements des mains d’un employé (…) pourrait être utilisé pour surveiller la réalisation de tâches assignées » comme l’inventaire et la préparation des commandes, expliquent les documents officiels relatifs à ce brevet. L’appareil est « prévu pour être porté (…) près de la main et pour émettre des vibrations ». Concrètement, si un employé place ses mains au mauvais endroit ou ne touche pas le bon objet au moment de la collecte dans les entrepôts, le bracelet pourra se mettre à vibrer par ultrason. Un moyen de guider, mais aussi de surveiller, tous les mouvements des salariés logistiques de l’entreprise. « Ce bracelet n’est pas étonnant, c’est une continuité de la discipline de fer qui règne chez Amazon, estime aussi Jean-Baptiste Malet, journaliste et auteur d’En Amazonie, infiltré dans le « meilleur des mondes » (Ed. Fayard), à franceinfo. Ca a déjà cours dans les entrepôts, avec les scanners. Les employés sont tracés et ne font que obéir à des normes définies aux Etats-Unis. » Chacun sait que les conditions de travail sont déjà particulièrement difficiles chez Amazon, véritable machine à cash pour exploité les producteurs et les salariés.  Dans les allées des entrepôts d’Amazon, tout est déjà minuté, codifié, scruté, grâce aux scanners utilisés à chaque étape du traitement des colis. « Avec ça, ils savent exactement où vous vous trouvez et se servent de ces informations pour calculer votre temps d’arrêt », accusait alors Alain Jeault, employé sur le site de Sevrey (Saône-et-Loire) et délégué CGT. Dans ce contexte, ces bracelets inquiètent, mais ne semblent pas surprendre les salariés du groupe. D’anciens et actuels employés d’Amazon ont ainsi déclaré au New York Times (en anglais) que « l’entreprise utilisait déjà une technologie de suivi similaire dans ses entrepôts », et qu’ils ne « seraient pas surpris si elle mettait ces brevets en pratique », relève Slate. Les syndicats italiens ont aussi fait part de leur inquiétude. « Est-ce qu’il y aura aussi le boulet au pied ? », s’est interrogée la secrétaire générale de la Confédération générale italienne du travail, Susanna Camusso, dans 24 Ore« Des plateformes numériques sont en train de créer une nouvelle forme d’exploitation », a renchéri Carmelo Barbagallo, secrétaire général de l’Union italienne du travail. En France, cette annonce n’a pas (encore) provoqué de réactions politiques. Désormais, près d’un tiers des enfants possèdent leur tablette. On peut donc parler d’addiction.  »En France comme en Angleterre, des hôpitaux proposent des consultations pour leur apprendre à se désintoxiquer », poursuit la journaliste. « Car le plus grave, c’est l’impact sur les enfants. C’est prouvé : la surconsommation d’écran entrave leur développement. Selon l’étude,  les enfants qui passent deux heures par jour devant la télévision à l’école primaire ont deux fois plus de risques de sortir du système scolaire sans diplôme. »

Florange et Trierweilller : les deux boulets de Hollande

Florange et  Trierweilller : les deux boulets de Hollande

 

Apparemment pas de liens entre ces deux sujets pourtant dans les deux cas Hollande s’est montré lâche ; Pour Florange c’est évidemment le plus grave ; il avait promis une loi pour la reprise des sites menacés, en fait une loi complètement inefficace puisqu’elle n’impose aucune obligation réelle de trouver un repreneur et qu’on a même fait disparaître toute sanction contre l’entrepreneur qui liquide un site (dernière disposition voulue par le conseil constitutionnel). Depuis Florange, c’est une suite ininterrompue de fermetures de sites avec évidemment le chômage qui ne cesse de progresser, officiellement 5 millions de chômeurs mais en réalité prés de 8 millions. En cause une politique complètement incohérente marquée par un slalom fiscal mais globalement avec des prélèvements obligatoires en hausse, un jour on augmente, un jour on allège. Du coup faute de confiance, la croissance s’écroule. Florange, c’était déjà le clou dans la chaussure de Sarkozy, c’est désormais un abcès  dans celle de Hollande. Hollande auto proclamé président normal et qui se comporte comme un monarque y compris avec ses maitresses. En renvoyant Trierweilller (qui par parenthèse n’avait rien à faire à l’Elysée) par voie de dépêche à l’AFP, Hollande a montré sa varie facette : égocentrique et méprisant. L’affaire Trierweilller va lui couter très cher d’autant qu’il s’entête à installer Julie Gayet à l’Elysée. Trierweilller a effet engagé une tournée internationale pour le démolir En Grande Bretagne, en Italie, ailleurs. Son livre est un vrai succès de librairie. En pleine tournée promotionnelle au Royaume-Uni, Valérie Trierweiler continue en effet de distiller ses confidences dans les médias. Ce dimanche, c’est la première fois qu’elle s’exprime dans une interview télévisée sur son brûlot contre François Hollande.  L’ancienne compagne du chef de l’Etat, auteure du best-seller «Merci pour ce moment», justifie sa démarche dans un entretien accordé à la BBC. Son livre «n’est pas une vengeance» envers le président de la République française, assure-t-elle. «Ce n’est pas une vengeance, ce n’est pas pour le détruire lui, c’est pour me reconstruire moi», lâche Valérie Trierweiler.  Visiblement toujours aussi touchée d’avoir été trahie par son compagnon, elle explique ne pas avoir «voulu croire à ces rumeurs même si «parfois», elle en était «vraiment agacée». «Je n’ai pas vu les photos tout de suite, je ne voulais pas les voir», ajoute Valérie Trierweiler. Samedi déjà, dans un entretien diffusé par le journal italien La Repubblica, elle revenait sur les «mensonges» de François Hollande.   Dans l’interview de la BBC de ce dimanche, Valérie Trierweiler s’attaque aussi aux  erreurs politiques de son ancien compagnon. Son «problème», ce sont «les résultats qui n’arrivent pas», assure l’ancienne journaliste. «François Hollande s’est engagé sur un certain nombre de réformes (…) Il avait assuré que la courbe du chômage baisserait,», analyse Valérie Trierweiler.




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