Archive pour le Tag 'boucherie'

Guerre en Ukraine :Des soldats russes dénoncent la boucherie

Guerre en Ukraine : Des soldats russes dénoncent la boucherie

D’après des informations ukrainienne , il y aurait jusqu’à 800 morts par jour dans le rang des Russes dont certains, inexpérimentés, servent d’appât pour repérer l’artillerie ukrainienne.

De plus en plus de militaires russes interpellent directement le président russe. « Nous ne sommes pas des morceaux de viande », dénoncent certains d’entre eux. Tous partagent ce sentiment d’être envoyé vers une mort quasi certaine sur le front ukrainien.

« Nous n’avons pas reçus d’entraînement adapté. Nous avons été envoyés (…) sans en avoir les compétences, sans le soutien de l’artillerie, sans communication, sans mission de reconnaissance. Nous sommes envoyés à l’abattoir », fustige une autre unité. Des dizaines de vidéos de ce type ont été envoyées depuis l’Ukraine, par des unités provenant d’un peu partout en Russie. Ce phénomène se propage et trouve un écho en Russie, où des épouses de soldats relaient leur appel à Vladimir Poutine. Jusque-là, ni le Kremlin, ni l’armée russe, n’ont réagi.

Suez : un risque de boucherie sociale

Suez : un risque de boucherie sociale

Le risque du regroupement de Veolia et Suez est évident car pourrait créer une situation de monopole avec une hausse significative des prix de l’eau. Ou à leur il faudrait accepter de mettre en forte concurrence le nouvel ensemble avec des sociétés étrangères. Une drôle de manière de protéger les entreprises du secteur.

Curieusement le gouvernement semble approuver cette opération comme il a approuvé d’autres regroupements dangereux voire scandaleux comme celui d’Alstom bradé pour sa branche électrique très stratégique aux Américains.

Syndicats et direction de Suez redoutent un démembrement, avec la vente forcée de l’activité historique de traitement des eaux en France à un fonds d’investissement, car un regroupement avec Veolia créerait une situation de monopole !

Au total, 11 000 emplois sont en jeu, soit un tiers des effectifs de Suez dans l’Hexagone. Cette OPA de Veolia, elle est aberrante, incroyable, et sans avenir estime Pierre Salin, de la CFTC : « La concurrence, ce sera zéro demain, ce sera Veolia. Le choix du roi, plus de concurrence, donc des difficultés à innover, à maîtriser le prix de l’eau aussi probablement. » Cela d’autant plus que les collectivités locales sont particulièrement mal armées pour négocier à égalité avec les géants de l’eau. Résultat la facture va continuer d’augmenter pour les consommateurs

« Il est hors de question que cette OPA débouche sur une boucherie sociale ! » Déclare les syndicats. Des centaines de salariés de Suez ont manifesté au pied de la tour du groupe à la Défense, mardi 8 septembre, pour protester contre le projet d’OPA (Offre Publique d’Achat) lancé par leur concurrent Veolia. Un projet qui pourrait entraîner selon eux des milliers de suppressions d’emplois. Au même moment, des débrayages ont eu lieu partout en France sur les sites du géant de la gestion de l’eau et des déchets.

« Les synergies lors d’une OPA ou d’une fusion, on sait très bien ce que c’est. C’est de la casse sociale, des pertes d’emploi, des suppressions de postes » déplore Franck Reinhold, syndicaliste à la CGT. « Trouvez-moi une opération de cette ampleur où il n’y a pas eu de doublons ou de casse sociale, je suis preneur, mais historiquement, je n’en vois pas, remarque-t-il. Toutes les dernières grosses fusions chez Lafarge, ou d’autres groupes de cette taille là, ça finit généralement très, très mal pour l’un des deux partis. »

Syndicats et direction n’ont pas défilé bras dessus-bras dessous, mais les dirigeants de Suez « soutiennent » l’initiative des syndicats selon des sources proches du dossier.

 

En outre syndicats et direction redoutent surtout un démembrement complet de Suez, avec la vente forcée de l’activité historique de traitement des eaux en France à un fonds d’investissement, car un regroupement avec Veolia créerait une situation de monopole. Au total, 11 000 emplois sont en jeu, soit un tiers des effectifs de Suez dans l’Hexagone. Cette OPA de Veolia, elle est aberrante, incroyable, et sans avenir estime Pierre Salin, de la CFTC : « La concurrence, ce sera zéro demain, ce sera Veolia. Le choix du roi, plus de concurrence, donc des difficultés à innover, à maîtriser le prix de l’eau aussi probablement. »

Une boucherie végétarienne

Une boucherie végétarienne

 

 

Des boucheries végétariennes pour sauver la planète, peut-être la solution. En moyenne, 10kg de protéines végétales sont utilisées pour produire 1kg de protéines animales.1 En effet, pour obtenir de la viande, il faut d’abord nourrir un animal : par exemple, il faut 13kg de céréales et 30kg de foin pour produire 1kg de viande de bœuf.2 En conséquence, la production d’aliments d’origine animale nécessite en moyenne beaucoup plus de ressources que la production d’aliments végétaux. Ce gaspillage de ressources est lourd de conséquences pour la planète et contribue à renforcer l’insécurité alimentaire mondiale.: déforestation, érosion, épuisement des ressources d’eau douce, pollution de l’air et de l’eau, réchauffement climatique, réduction de la biodiversité, injustices sociales, développement de maladies. En Amérique Centrale, 40% des forêts tropicales humides ont été détruites au cours des 40 dernières années, principalement pour laisser la place à des pâturages destinés au marché d’exportation, souvent à destination des hamburgers américains… La viande est trop chère pour les pauvres de ces pays exportateurs de viande de bœuf, alors que dans certains cas les pâturages ont chassé une agriculture traditionnelle hautement productive. Au cours des quatre dernières décennies, les terres agricoles ont gagné presque 500 Mha sur les forêts et les autres surfaces. On estime que seront convertis encore 500 Mha entre 1997 et 2020, principalement en Amérique latine et en Afrique sub-saharienne4. Les besoins en terre pour l’élevage en sont la principale cause. En effet, l’élevage est de très loin l’activité humaine la plus consommatrice de terres : il faut de 6 à 17 fois plus de surface de terre pour produire de la viande que pour produire du soja1. En conséquence, la production de bétail monopolise 70 % de toutes les terres agricoles et 30 % de la surface émergée de la planète. 70 % des terres auparavant couvertes de forêts en Amazonie sont occupées par des pâturages, et les cultures destinées à l’alimentation du bétail couvrent une large part des terres restantes.  Certes il n’est pas facile de passer du régime carné au régime végétarien, c’est pourquoi uen bouverie propose de la viande sans viande. Une boucherie végétarienne vient en effet d’ouvrir ses portes dans le 12ème arrondissement, sur la Place d’Aligre, haut lieu de la gastronomie parisienne. Sa spécialité: ne vendre que des viandes créées à partir de matières végétales.  Au « Boucher végétarien », on trouve du bœuf, du poulet, du porc ou encore des brochettes. Au premier abord, rien de très étonnant pour une boucherie. Sauf que dans cette échoppe végétarienne, il n’y a pas la moindre trace de chair animale.  Les produits sont obtenus à partir d’un mélange de soja et de froment de pois. Pour Philippe Conte, le propriétaire de cette boucherie végétarienne, ces produits ne s’adressent pas seulement aux végétariens.  Et même si ces produits ne sont pas aussi riches que de la viande traditionnelle, la présidente de l’association végétarienne de France, Elodie Vieille Blanchard, l’assure: ils couvrent l’ensemble des besoins de l’organisme.   »Du point de vue des protéines, une personne qui choisit de ne se nourrir qu’à base de simili-carnés, par exemple à base de soja, va avoir un apport protéinique tout à fait satisfaisant parce que le soja est une protéine végétale de très bonne qualité, qui contient tout ce qu’il faut ».




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