Archive pour le Tag 'bonheur'

Publicités : marchands de bonheur !

Publicités : marchands de bonheur !

par
Jamel Khenfer
Associate Professor of Marketing, Excelia dans The Conversation

Le bonheur : voilà ni plus ni moins ce que promettent beaucoup de marques dans leur communication marketing. « Et si on se levait de bonheur ? » propose Nutella (« Spread the Happy », tartiner de la joie, dans le reste du monde) quand McDonald’s vend ses happy meals (« joyeux repas ») dans près de 40 000 restaurants à travers la planète et que Coca-Cola anime sa campagne « Open Happiness » (« ouvre du bonheur »). Côté français, le site de petites annonces Leboncoin affirme que « le bonheur des uns fait le bonheur des autres » et le spécialiste du surgelé Thiriet que « seul le bon crée le bonheur ».

Les gens souhaitent être heureux, et pas seulement dans les pays occidentaux, mais à l’échelle de la planète : pourquoi ne pas s’appuyer dessus ? Du point de vue d’un manager, il semble raisonnable de penser que les consommateurs répondront favorablement à un appel au bonheur. Cette pratique peut néanmoins se retourner contre la marque. Ambitieuse, pareille promesse semble à double tranchant. Elle peut aussi bien séduire les consommateurs que de susciter le rejet.

Dans un article récemment publié dans le Journal of International Marketing, nous montrons que ces réactions ont à voir, quand bien même cela peut paraître curieux, avec la religiosité des consommateurs. On désigne par là le degré d’adhésion à des valeurs, croyances et pratiques religieuses d’un individu et l’importance avec laquelle il les met en pratique dans son quotidien. Les conclusions reposent sur plusieurs études conduites dans différents contextes culturels (Amérique du Nord et Moyen-Orient), suggérant que le phénomène dépasse les frontières et les affiliations religieuses.

Des croyants attachés au bonheur
Si la promesse du bonheur par la consommation d’un produit ou service peut susciter le doute, cette pratique permet a minima d’établir une association verbale avec tout un lexique associé. Or, des travaux de recherche suggèrent que les personnes à forte religiosité sont particulièrement sensibles aux expressions écrites évoquant le bonheur. Les consommateurs religieux ne seront ainsi pas plus disposés à croire en la promesse du bonheur mais ils sont en revanche davantage attirés par sa mention dans une publicité.

Exemple de publicités fictives soumises aux participants à l’enquête. Fourni par l’auteur
Nous avons pu le vérifier. Dans le cadre de deux études expérimentales conduites auprès de 2046 consommateurs aux États-Unis et aux Émirats arabes unis, nous avons ainsi mesuré l’attrait pour des publicités de marques fictives et réelles ainsi que la religiosité des répondants. Les résultats révèlent que plus les consommateurs sont religieux, plus ils apprécient les publicités qui promettent explicitement le bonheur.

Peut-être est-ce car ces derniers ont en effet tendance à se déclarer plus heureux et plus optimistes que les personnes non religieuses, et ce, dans un grand nombre de pays. Plusieurs raisons peuvent être avancées comme le soutien social qui découle de l’appartenance à une communauté religieuse ou l’offre de repères qui balise la quête de sens et favorise un sentiment de quiétude, voire de bien-être.

Nous avons également vérifié l’inverse : l’absence de religiosité est un facteur explicatif du scepticisme, c’est-à-dire la tendance à ne pas croire l’information à laquelle on est confrontée. Les personnes non religieuses tendent à rejeter les affirmations qui ne peuvent pas être objectivement vérifiées. Or, deux éléments caractérisent la promesse du bonheur dans la publicité et soutiennent cette logique de rejet.

Premièrement, le bonheur est un phénomène subjectif ; la définition de ce qui nous rend heureux varie d’une personne à l’autre selon sa fortune, sa famille, sa santé, son environnement et de bien d’autres choses encore. En promettant le bonheur, les publicitaires ne donnent pas d’indications concrètes et laissent donc les consommateurs imaginer comment le produit ou service les rendra heureux. L’appel au bonheur peut ainsi, dans le cas du slogan « ouvre du bonheur » de Coca-Cola, avoir trait à la boisson, son goût, sa fraicheur, autant qu’à la satisfaction de partager un moment avec des proches autour d’un verre.

Deuxièmement, le bonheur est un but à long terme que les individus poursuivent tout au long de leur vie. Sa réalisation dépend de nombreux facteurs qui sont souvent hors du champ d’influence des marques. Des études suggèrent que seulement 40 % du bonheur que les individus prétendent ressentir peut être expliqué par des activités intentionnelles, le reste étant dû à la génétique et aux circonstances. Bien que des épisodes individuels de consommation puissent contribuer à faire l’expérience du bonheur, ces expériences sont limitées dans le temps. Les gens ne souhaitent pas être heureux qu’une seule fois, mais régulièrement voire continuellement tout au long de leur vie.
Notre recherche montre néanmoins que, dans un cas particulier, les consommateurs religieux réagissent aussi négativement à la promesse du bonheur dans la publicité. C’est lorsqu’ils ont été exposés à un stimulus religieux avant d’avoir vu la réclame.

Dans l’une de nos études, nous avons par exemple demandé à la moitié des participants de lire un magazine sur l’architecture de bâtiments religieux pendant que l’autre moitié lisait un magazine sur l’architecture de gares afin de servir de point de comparaison. Après exposition à un stimulus religieux, les croyants en viennent à contraster la promesse publicitaire au regard de leur foi. Plus précisément, l’affirmation des marques quant à leur capacité à apporter le bonheur par la consommation d’un produit ou service se heurte à la croyance en la capacité de Dieu à faire de même sur un plan spirituel.

Ces résultats soulignent donc, pour les annonceurs, l’importance de tenir compte de la religiosité des consommateurs comme variable stratégique dans le média planning des campagnes publicitaires qui reposent sur la promesse du bonheur. Moins les consommateurs sont religieux, plus ils répondront défavorablement à des slogans promettant le bonheur par rapport à d’autres types de slogans. Les managers devraient donc éviter d’utiliser ce type de message publicitaire dans des marchés où la religiosité des consommateurs est faible.

Dans les marchés où la religiosité est forte, la promesse du bonheur peut être problématique si les consommateurs sont confrontés à des stimuli religieux juste avant l’exposition au message publicitaire. Les managers doivent donc tenir comptent de la probabilité que cela se produise et donc anticiper les célébrations religieuses (Noël, Pâques, Ramadan) ou les programmes de divertissement (séries, films) connus pour avoir du contenu à connotation religieuse ou pour faire des références à Dieu.

Le Bonheur National Brut à la place du PIB ?

Le Bonheur National Brut à la place du PIB ?

 

Le professeur en sciences de gestion, Lars Meyer-Waarden, constate, dans une tribune au « Monde », que, au-delà de la satisfaction immédiate du consommateur, les entreprises cherchent désormais à mesurer son niveau de bien-être pour mieux le fidéliser.(extrait)

Tribune. 

Au lieu de s’en tenir à l’évaluation du produit national brut, agrégat de l’ensemble des productions annuelles d’un pays, de plus en plus d’économistes cherchent désormais à mesurer le « bonheur national brut ». Le Bhoutan a fait figure de pionnier, inscrivant dans sa Constitution la centralité de cette quête. L’ONU a établi un indice mondial du bonheur.

Des pays comme la Nouvelle-Zélande sont allés loin sur le plan pratique, arrimant leurs politiques économiques à des indicateurs concrets de bien-être. En France, le président Sarkozy avait lancé une commission d’étude sur ce thème en 2009 sous la houlette du Prix Nobel d’économie Joseph Stiglitz.

Mettre au point de nouveaux outils de mesure est un élément fondamental pour faire évoluer les situations. Le raisonnement vaut à l’échelle macroscopique, pour les gouvernants des pays ou des villes, mais également à une échelle beaucoup plus fine, lorsqu’il s’agit de sonder les cœurs et les reins des consommateurs pour concevoir et vendre de nouveaux produits et services.

Traditionnellement, c’est la satisfaction de court terme de ces consommateurs qu’étudient les experts en marketing. Mais, depuis sept ou huit ans, une communauté grandissante de spécialistes se regroupe à l’échelle internationale et commence à construire de nouveaux instruments de mesure permettant d’étudier, au-delà de cette satisfaction, l’impact en matière de bien-être des produits et services proposés.

La notion est complexe. On sort d’un univers cognitif, d’une satisfaction liée par exemple à un bon rapport qualité-prix, une livraison rapide et fluide, une qualité correspondant aux attentes, pour entrer dans un monde plus affectif.

Il s’agit d’évaluer le sentiment de sécurité, de confiance, provoqué par les produits et services proposés, ainsi que leurs conséquences en matière de santé mentale et physique. Les questions posées aux consommateurs portent sur leurs émotions, sur des aspects éthiques, voire spirituels.

D’un point de vue pratique, on passe de mesures immédiates à des enquêtes menées plus tardivement, mesurant les perceptions de moyen terme.

Moins de 10 % des clients satisfaits fidèles

Ces études marketing revisitées sont d’abord nées d’une demande des entreprises elles-mêmes, déçues de l’incapacité des méthodes de mesure traditionnelles à prévoir des comportements très importants pour elles, comme la fidélité ou l’infidélité des consommateurs aux marques.

Les consommateurs sont toujours nombreux à vouloir affirmer leur statut par des achats qui les positionnent socialement, mais, de plus en plus, ils réclament aussi de la transparence pour pouvoir faire confiance

France : un déficit de bonheur

France : un déficit de bonheur

La directrice de l’Observatoire du bien-être, Claudia Senik, explique, à l’occasion de la sortie du rapport 2020, que si le pessimisme n’est pas une fatalité, les enquêtes confirment, année après année, un déficit de bonheur chez les Français ( le Monde).

Autrice de L’Economie du bonheur (Le Seuil, 2014) et professeure à l’université Paris-Sorbonne et à l’Ecole d’économie de Paris (PSE), Claudia Senik dirige l’Observatoire du bien‐être du Centre pour la recherche économique et ses applications (Cepremap). Créé il y a quatre ans, cet organisme étudie l’évolution du « bien-être » au fil du temps, sa variation en fonction de l’âge, du genre, de la stratification sociale ou du contexte politique, économique et social, mais aussi sa relation avec les politiques publiques.

L’Observatoire vient de publier son rapport 2020 sur le bien-être en France, sous la direction de Mathieu Perona et Claudia Senik (Cepremap, 163 pages, 12 euros).

Comment définir le bien-être et mesurer de manière objective ce sentiment qui relève, par définition, du ressenti ?

C’est justement l’ambition de notre projet : objectiver le subjectif. Quantifier les dimensions du bien-être, les « Big Four » par exemple – satisfaction dans la vie, émotions de bonheur, émotions d’anxiété et sentiment que notre vie a un sens.

Il s’agit de questions que l’on trouve dans les grandes enquêtes nationales et internationales, et sur lesquelles la recherche s’est appuyée depuis une vingtaine d’années. Alors que c’est en France qu’a été élaboré, en 2009, le rapport Stiglitz-Sen-Fitoussi  à partir duquel s’est diffusée l’injonction de prendre en compte le bien-être et la soutenabilité environnementale et non plus uniquement la croissance économique –, notre pays est en retard sur le recueil de ces mesures dites « subjectives » et leur utilisation.

Pour relever ce défi, l’Observatoire du bien-être du Cepremap, en partenariat avec l’Insee, a mis en place, en 2016, une enquête trimestrielle qui explore vingt facettes du bien-être des Français. Les résultats montrent à quel point les différentes composantes de la satisfaction fluctuent au gré de l’actualité du pays.

 

Le bien-être était au plus bas en décembre 2018, marqué par la crise des « gilets jaunes » : il régnait un fort pessimisme concernant l’avenir et les perspectives économiques, ainsi qu’un sentiment d’exposition à l’agression. Aujourd’hui, la crise due au Covid-19 met en lumière l’importance des relations sociales dans le bien-être – on observe un boom de la satisfaction au moment du premier déconfinement, en juin 2020, et une rechute au plus bas, en décembre 2020, avec le reconfinement et le couvre-feu. 

Les maladies du bonheur des occidentaux (Hugues Lagrange )

Les maladies du bonheur des occidentaux  (Hugues Lagrange )

une analyse du Monde du dernier ouvrage du sociologue Hugues Lagrange  largage Anxiété, alcoolisme, drogues… Le sociologue dresse un ambitieux et stimulant tableau clinique des troubles qui accablent les Occidentaux.

« Les Maladies du bonheur », d’Hugues Lagrange, PUF, 470 p., 22 €.

Parmi les innombrables manières que nous avons de tomber malades, les grandes épidémies, au long du XXe siècle, n’ont cessé de refluer, et leur part dans la gamme de nos maux est désormais minoritaire presque partout dans le monde. Il n’est pas certain que le moment présent soit idéal pour le rappeler. En ouvrant son nouvel essai, Les Maladies du bonheur, sur cette évidence, Hugues Lagrange met pourtant en lumière ce qu’il faut bien considérer comme une des transformations les plus décisives de la condition humaine dans l’histoire récente.

Désormais, écrit le sociologue, chercheur au CNRS, « le sort commun est fait de maladies individualisées – cancers, maladies cardiovasculaires, diabètes et, dans la foulée, pathologies mentales et comportementales ». Les maux, quittant la sphère transcendante de la fatalité collective, ont gagné le territoire de l’intime. Aussi sont-ils devenus un lieu d’observation anthropologique capital, trop peu exploré encore par les sciences sociales, une lacune qu’Hugues Lagrange semble avoir voulu compenser d’un coup dans ce livre aussi passionnant qu’irritant, qui frise souvent le trop-plein.

Il s’agit ni plus ni moins que d’établir un tableau clinique de l’humanité contemporaine, en tout cas en Europe et aux Etats-Unis. De quoi souffre aujourd’hui l’homme occidental ? Les données recueillies, nombreuses, précises, touchent à l’histoire médicale et sociale, à la biologie, à la génétique, à la neurologie, à la psychiatrie, à la sociologie. L’ambition est vaste, et l’on ne peut qu’admirer l’élan qui porte cette enquête, à défaut d’être convaincu par l’ensemble de ses résultats.

En ressort une pression permanente des troubles mentaux et comportementaux – anxiété, dépressionalcoolisme, usage de drogues licites ou non… Maux et miroirs du siècle, ils relient, selon Hugues Lagrange, « le social et l’individuel, le subjectif et le somatique ». Les analyser n’a donc de sens que si l’on ouvre « les boîtes noires de nos malheurs » en sondant « les mœurs des modernes ».

L’enquête avance dès lors d’un cran. Le diagnostic est établi, place à l’étiologie – la recherche des causes – de la modernité occidentale, qu’Hugues Lagrange résume à une forme de désinstitutionnalisation : échappant progressivement aux « formes stables » d’appartenance, nous serions devenus seuls responsables de nos vies. Et fort angoissés de l’être. La modernité a apporté l’autonomie, a réduit la pauvreté, presque multiplié par deux en un siècle l’espérance de vie à la naissance, mais nous voilà, selon l’auteur, malades de nos conquêtes mêmes. Telles seraient les « maladies du bonheur » : des pathologies de la responsabilité, et de la solitude où nous a jetés l’effacement des cadres.

 

 

Foot mondial : un grand bonheur contre la Suisse

Foot mondial : un grand bonheur contre la Suisse

 

Oui, un très grand bonheur avec ce match exceptionnel non seulement du fait du score  mais surtout du fait de la solidarité de cette équipe. De sa classe auusi. La France s’est vraiment réconciliée  avec son équipe ; on objectera peut-être à juste titre que le Suisse n’était pas vraimenet à la hauteur, sans doute mais tout a été mis en place que pour la Suisse ne puisse développer son jeu. Tous les joueurs ont été bons, les attaquants, Giroud, Benzema ; le petit Valbuena, égal à lui-même, c’est à dire brillant, lucide, courageux. Le milieu a été parfait et finalemenet la défense n’a pas eu à trop faire d’efforts, du coup les latéraux ont pu auusi briller ; bref du football champagne. Du coup on se met à rêver. Il faudra cependant se confronter à une grande équipe en forme pour vérifier si effectivement l’équipe de France à franchi définitivement un pas dans le classement mondial. Ce qui séduit le plus chez les bleus, c’est cette envie qui combinée avec la classe des joueurs leur  permet de gagner les duels et de transformer la plupart des attaques en occasions.  Vraiment un moment magnifique même si évidemment rien n’est joué car les équipes d’Amérique latine ont-elles auusi la même envie, Brésil excepté.

Enquête INSEE : argent, bien être, stress, bonheur, l’inventaire à la Prévert de l’institut

Enquête INSEE : argent, bien être, stress,  bonheur, l’inventaire à la Prévert de l’institut

L’argent ne fait pas le bonheur c’st le titre des médis ce matin suite à enquête de l’INSEE. On mélange,  tout d’abord avec ce poncif «  l’argent qui ne fait pas le bonheur » ; ensuite avec  concept de bien-être qui est différent, enfin avec le bonheur qui est encore une autre dimension ; C’est une étude parait-il très sérieuse de l’Insee qui le dit. L’aisance financière ne joue que partiellement dans le sentiment de bien-être ressenti par les Français, qui sont aussi très sensibles aux liens sociaux ou au stress de la vie quotidienne. « Les adultes vivant en France métropolitaine déclarent en 2011 un niveau moyen de satisfaction dans la vie de 6,8 sur une échelle allant de 0 à 10″, écrit l’Institut de la statistique, qui a réalisé cette étude en 2011, dans la foulée du rapport de l’économiste Joseph Stiglitz de 2009, qui proposait de mettre au point des indicateurs de « bien-être ».  « Si 13% d’entre eux estiment leur bien-être à 9 ou 10, ils sont 7% à le situer à moins de 5 sur l’échelle de satisfaction », précise l’Insee. Ils sont 22,5% « parmi les personnes les plus modestes » à être peu satisfaits de leur vie tandis qu’à l’opposé, 23,4% des personnes les plus satisfaites appartiennent à un ménage à hauts revenus.  Pour autant, malgré « le fort effet apparent du revenu » sur le sentiment de bien-être, « les écarts de bien-être ne se réduisent pas à des écarts de ressources », note l’Insee.  « Ce ne sont pas seulement les restrictions monétaires, contraintes financières ou faibles revenus, qui vont de pair avec une moindre satisfaction », poursuit l’Insee, qui relève que « d’autres aspects de la qualité de vie, comme la faiblesse des liens sociaux ou le stress dans la vie courante, jouent autant, voire davantage que les contraintes financières ».  « Viennent ensuite les difficultés liées à la santé, au logement, et à l’insécurité physique et économique ». En revanche, « la perception de la qualité de l’environnement ou celle de tensions dans la société n’ont pas d’influence significative sur le bien-être ressenti ». L’enquête aborde aussi « pour la première fois en France » la question des risques psychosociaux au travail, qui « vont de pair avec un moindre sentiment de bien-être ».

 




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