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Sapin: « Notre amie c’est la bonne finance », ben voyons, comme le bon chômage !

Sapin: « Notre amie c’est la bonne finance », ben voyons, comme le bon chômage !

Il ne manque pas d’humour Sapin à défaut d’efficacité. Il a en en effet pris le contrepied de Hollande pour revendiquer l’amitié de la finance mais la « bonne finance ». Nuance de taille évidemment. Normal sapin n’est plus en campagne électorale avec Hollande, il est en situation de gestion et là il faut changer de lunettes.  Comme Hollande qui vienet d’ailleurs de changer ses lorgnons roses pour des modèles plus gestionnaires de comptable. Sapin, ancien ministre du travail,  qui tout au long de l’année 2013 s’était fait le porte voix de Hollande pour chanter l’hymne de «  l inversion du chômage » revient aux réalités comme ministre des finances. Pas sûr que les électeurs qui ont voté pour Hollande comprennent bien des ces revirements hasardeux qui témoignent à la fois d’une démagogie et d’une impréparation à la direction de l’Etat. Pour pousser encore un peu plus loin le bouchon Sapin aurait pu aussi affirmé que le « bon chômage » était son ami.   Le ministre des Finances, Michel Sapin, a donc  déclaré dimanche que la finance était l’ »amie » du gouvernement et de l’économie française, précisant « la bonne finance », dans une intervention aux Rencontres économiques d’Aix-en-Provence.  Nous avons à répondre à une très belle question: +y a-t-il une finance heureuse, au service d’investissements heureux ‘+ Je l’exprimerai autrement et vous verrez ma part de provocation. Notre amie c’est la finance: la bonne finance« , a-t-il lancé, déclenchant des rires dans la salle. Il n’est pas certain que les Français, eux,  apprécient cet humour aussi  douteux !

 

Des plats préparés avec des déchets de poisson….bon appétit !

Des plats préparés avec des déchets de poisson….bon appétit

 

On trouve de tout dans ces plats aux poissons sauf du poisson ! En fait le même procédé que pour les plats à la viande préparés avec du minerai de viande (en clair des déchets). En effet ‘association de consommateurs CLCV jette un pavé dans la mare : 80 % des produits à base de poissons sont fabriqués à base de chair ou de pulpe, et non de filets de poisson. Un mélange des déchets auxquels on a ajouté des arêtes et de la peau. Pour une teneur en poisson souvent inférieure à 30%.  Qu’y a-t-il vraiment dans les parmentiers, brandades, panés, croquettes, nuggets, rillettes, surimis, soupes de poissons ? Des filets de poisson ? Pas vraiment, à en croire l’enquête réalisée par l’association de consommateurs CLCV. Celle-ci a étudié les étiquettes de 70 produits à base de poissons. Et le résultat est édifiant : sans même procéder à une analyse poussée, l’association s’est rendue compte que 80 % des produits examinés étaient fabriqués non pas à base de filets de poisson, mais plutôt avec de la chair ou de la pulpe de poisson. Sur le papier, pourquoi pas… Mais qu’est-ce que c’est, cette pulpe ? Un « mélange peu ragoûtant », explique la CLCV. Des chutes de filetage, desquelles sont enlevés tous les morceaux nobles, auxquelles on ajoute des arêtes et de la peau ; le tout, mixé dans des broyeurs à forte pression. Si rien ne les interdit  - il n’existe aucune loi – ces produits ne sont pas dangereux pour la santé, mais ils restent « de qualité très médiocre ». De plus, faute d’étiquetage précis, difficile de savoir également de quels poissons il s’agit. Plus de la moitié des produits étudiés ne le précisent pas. Difficile enfin de savoir quelle quantité de poisson exacte on ingurgite. Certains fabricants se contentent de mentionner la quantité de poissons dans la farce qui a servi à la préparation, puis le pourcentage de farce dans le produit final… A charge pour le consommateur de sortir sa calculatrice.  Au final, la teneur en poisson se révèle bien souvent inférieure à 30 %, et les produits sont enrichis d’agents de texture (amidon, glycérides d’acides gras), de matières grasses ou d’eau. Au final, 30% des produits étudiés ne fournissent donc aucun pourcentage de poisson explicite, et directement exploitable, dénonce la CLCV. L’association demande aux pouvoir publics et aux professionnels de la filière de travailler à une clarification des règles d’étiquetage.

 

Immobilier: commenet évaluer le bon prix ?

Immobilier: commenet évaluer le bon prix ?

L’erreur la plus flagrante est la surestimation d’un bien immobilier  qui contribue actuellement au blocage du marché . Comment mieux évaluer cette valeur c’est ce qu’expliquent avec beaucoup de pertinence  Crédit Market et l’un de ses responsables Sébastien Hodencq ( France Info)

Attention, il n’est pas question d’appliquer un prix au mètre carré, contrairement à ce que l’on fait souvent. Si à Paris, dans le 17ème, vous appliquez le prix moyen à un appartement que vous vendez sur le Parc Monceau, vous ne le vendrez pas assez cher. Si au contraire, il se situe porte de Clichy, il sera largement surévalué. Pour évaluer le prix d’un bien immobilier, lorsque l’on est acheteur, on commence, sans le savoir, par appliquer l’une des trois méthodes utilisées par les experts immobiliers, la méthode dite par comparaison. Comme son nom l’indique, elle consiste à comparer le bien à vendre aux autres biens du quartier, à condition qu’ils soient similaires ou comparables. Comme il est rare que deux appartements ou deux maisons soient exactement similaires, on applique quelques correctifs, pour compenser par exemple les différences d’étage, d’état ou d’exposition. Mais attention, cette méthode, à elle seule ne suffit pas et peut-être complétée par d’autres méthodes.

Et quelles sont les autres méthodes ?

Une autre méthode, couramment employée, s’appelle la méthode par capitalisation. Au lieu d’évaluer le prix de vente, vous évaluez le prix auquel vous pourriez louer le bien. Cette méthode est pratique quand il y a peu de biens similaires qui se sont vendus. C’est souvent le cas des parkings, ou de murs commerciaux, par exemple. Une fois que l’on a évalué le loyer, on évalue le taux de rentabilité.

Et comment on évalue ce taux de rentabilité ?

Cela dépend du secteur et de la demande en stationnement. Si par exemple, on s’aperçoit que l’on peut louer un parking 150 euros par mois, et que le taux de rentabilité d’un parking est de l’ordre de 6 %, il suffit de diviser : 150 euros par mois, ça fait 1.800 euros par an, et si je divise 1.500 euros par 6%, j’arrive à un prix de vente de 30.000 euros. Quand on applique cette méthode à un appartement. Il faut simplement prendre conscience que plus il est cher, moins son taux de rentabilité est important : un studio, dans un quartier très populaire peut rapporter jusqu’à 10 %, alors que le même studio, dans un quartier très chic ne rapportera que 4%, voire un peu moins. Un quatre pièces rapporte rarement plus de 2%. Si vous rapprochez ce résultat du prix que vous avez trouvé, en appliquant la première méthode par comparaison, vous allez déterminer une fourchette qui, déjà, vous fixera les idées.

Et la troisième méthode ?

Celle-ci est plus compliquée à mettre en œuvre, on l’appelle la méthode par les composants. Les Domaines utilisent souvent cette méthode. Elle consiste à décomposer le bien et à évaluer chacun des composants. Pour une maison, par exemple, on évaluera le terrain, comme s’il s’agissait d’un terrain à bâtir, et ensuite le prix de la construction auquel on applique, bien sûr, un coefficient de vétusté puisque la construction a un certain âge. Cette méthode a le défaut de ne pas prendre en compte les éléments de marché. Si par exemple, j’ai fait construire il y a dix ans, dans une campagne de la Creuse, une maison très clinquante avec du marbre partout, un jacuzzi, une piscine, et que sais-je encore, je risque d’arriver à un prix dépassant le million d’euros. Or, dans cette région, je ne trouverais jamais d’acquéreur à ce prix pour ce type de bien, et je finirais par le vendre un quart de cette valeur !

Et les sites Internet qui évaluent votre bien en ligne ?

Ils peuvent être utiles pour fixer un ordre d’idée, mais jamais pour fixer un prix précis. Donc, il ne faut pas leur faire une confiance aveugle ! Disons que ces modèles fonctionnent à peu près correctement pour des biens standards situés dans les zones où il y a beaucoup de transactions.

Croissance Chine : bon 3e trimestre mais doutes

Croissance Chine : bon 3e trimestre mais doutes

La croissance de l’économie chinoise a accéléré au troisième trimestre, à son rythme le plus rapide cette année, sous l’effet d’une hausse de la production industrielle et des ventes au détail, tirées par la demande interne et externe, mais l’avenir s’annonce moins radieux. La croissance du produit intérieur brut (PIB) s’est élevée à 7,8% en rythme annuel entre juillet et septembre, selon les chiffres publiés vendredi par le Bureau national des statistiques, après 7,5% au deuxième trimestre 2013. Ce taux, conforme au consensus des analystes interrogés par Reuters, devrait permettre au gouvernement de tenir son objectif de croissance de 7,5% cette année, performance qui resterait néanmoins la plus faible pour la Chine depuis 23 ans. Sur les neuf premiers mois de l’année, la croissance s’élève à 7,7% par rapport à l’année précédente, a indiqué le Bureau national des statistiques. L’optimisme n’est cependant pas de rigueur pour les mois à venir, en raison d’une demande mondiale toujours instable, comme l’a montré la baisse surprise des exportations chinoises le mois dernier. Le Bureau national des statistiques a lui-même pointé du doigt vendredi des « signes de ralentissement de la croissance en septembre » et reconnu que « le contexte international et national demeure incertain ». Selon les analystes, les efforts de restructuration de l’économie chinoise risquent ainsi de peser sur la croissance pendant les prochains trimestres. « Les chiffres du PIB sont conformes aux attentes des marchés mais il y a des doutes sur le caractère pérenne de cette reprise », note Shen Jianguang, chef économiste chez Mizuho Securities à Hong Kong. « Nous pensons que le rebond du troisième trimestre est avant tout dû à la bonne dynamique du marché de l’immobilier. »

Sondage : Valls un bon Premier ministre ?

Sondage : Valls un bon Premier ministre ?

Valls dans un sondage recueille un bon score comme éventuel Premier Ministre.  Le ministre de l’Intérieur Manuel Valls, qui s’est récemment qualifié lui-même « d’ambitieux » pensant avoir la capacité d’ »assumer les plus hautes responsabilités », ferait un bon Premier ministre pour 45% des Français, selon un sondage Ifop à paraître dans Sud Ouest Dimanche. A la question « Diriez-vous que Manuel Valls ferait un bon Premier ministre? », 45% des personnes interrogées répondent « oui, contre 55% pensent que non », selon le sondage dont les auteurs soulignent que « ce score de 45% est en soi assez élevé », car « sur ce type de question, il est généralement difficile pour un ministre de franchir la barre des 50% ». A titre de comparaison, l’Ifop rappelle qu’en août 2010, quand des rumeurs insistantes de remaniement agitaient le monde politique à la suite d’une déclaration du président Nicolas Sarkozy, « Christine Lagarde obtenait sur la même question 42%, Michèle Alliot-Marie 41% et Jean-Louis Borloo seulement 30% ». L’hypothèse Valls à Matignon, relève l’institut, séduit largement la base socialiste, car 75% des sondés se disant proches du PS estiment que le ministre de l’Intérieur ferait un bon chef de gouvernement.

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