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Foot- PSG : bon départ mais….

Foot- PSG : bon départ mais….

 

Pour une fois le PS j’ai appris un bon départ en gagnant un à zéro face à Lille. Un score étriqué qui témoigne mal de la domination technique de Paris. Par ailleurs le PSG  j’ai à jouer à 10 pendant plus d’une heure après une expulsion  injustifiée d’Adrien Rabiot (éternel problème d’arbitrage !). Dans l’ensemble Paris s’est montré nettement supérieur à une équipe de Lille composée surtout de jeunes et de nouveaux joueurs. La maîtrise parisienne a été indiscutable toutefois il faut regretter une insuffisance d’occasions de but. En cause une attaque qui doute toujours en particulier Cavani, certes courageux, mais toujours aussi approximatif. Pastore est de son côté ne s’est guère monté très actif. Seul Lucas ami en évidence sa vitesse et son opportunisme. Pour la première fois depuis l’arrivée des Qataris à la tête du club en 2011, le PSG s’est imposé en ouverture de la Ligue 1. Ils se sont imposés 1-0 à Lille.  Le PSG a pris les trois points lors de son premier match de la saison de L1. Une  première depuis le début de l’ère qatarie à Paris en 2011. Pourtant, privé d’Ibrahimovic et de Di Maria, le champion de France en titre s’est rapidement retrouvé à dix sur la pelouse de Lille. La faute à l’expulsion très évitable d’Adrien Rabiot après deux cartons jaunes. Sentant son équipe déjouer malgré sa supériorité numérique, Hervé Renard a « profité » de la blessure d’Ibrahim Amadou pour faire entrer Ryan Mendes à sa place. Mais cela n’a pas bouleversé une équipe parisienne déjà bien affutée et qui n’a eu besoin que d’une accélération fulgurante de Lucas pour empocher la victoire. Lucas a conclu une magnifique action en triangle menée par Edinson Cavani et Blaise Matuidi. Et, contrairement à la saison passée, le PSG ne s’est pas fait peur en fin de partie face des Lillois visiblement très intimidés et incapables de s’approcher de la surface de Kevin Trapp. Pas de retard à l’allumage donc pour les coéquipiers d’un excellent Serge Aurier. Les temps changent…

 

Taxis, VTC, Uber : Macron veut mettre fin au grand bordel, bon courage !

Taxis, VTC, Uber : Macron veut mettre fin au grand bordel, bon courage !

 

Autant le dire le transport collectif en automobiles est devenu un grand bordel. Avec des règles très contraintes pour les taxis, des règles allégées pour les VTC et pas de règle du tout pour les Uber et autres associations lucratives «  collaboratives ». Macron veut repenser le modèle économique du secteur, bon courage ! D’autant qu’il ne s’attaque qu’à un aspect de la mobilité urbaine. Or toute perspective pertinente doit prendre en compte la totalité des modes afin notamment d’articuler la problématique de la mobilité avec la problématique environnementale. Ce n’est certainement pas avec une  table ronde d’uen journée que Macron y parviendra. Le ministre de l’Economie a donc annoncé la mise en place d’un groupe de travail afin de trouver une solution d’entente entre les différents acteurs du transport de personnes, quitte à réécrire la loi Thévenoud, qui ne satisfait ni les taxis ni les voitures de transport avec chauffeur (VTC). Le ministre de l’Economie Emmanuel Macron a indiqué lundi 27 juillet qu’il allait organiser fin août une table ronde réunissant les représentants des taxis et des voitures de transport avec chauffeur (VTC), afin de « repenser le modèle économique de tout ce secteur ». « On ne peut pas changer la loi tous les six mois sur tel ou tel paramètre, ou accepter qu’il y ait des violences comme celles que nous avons connues« , a expliqué Emmanuel Macron, faisant allusion à la dernière grève des taxis fin juin, en marge d’une visite d’un « accélérateur de start-up » à Paris, menée en compagnie du ministre des Finances britannique George Osborne. « Ce que nous souhaitons faire, c’est repenser le modèle économique de tout ce secteur, de manière à l’adapter à la modernité, à la demande de nos concitoyens qui veulent se déplacer plus simplement, parfois à moindre coût, et aussi au juste droit de l’ensemble des salariés des professionnels du secteur« . « A partir de la fin de l’été, nous allons mettre en place un travail apaisé avec l’ensemble des acteurs de ce secteur pour pouvoir proposer des solutions de long terme et constructives ». « On peut développer des nouvelles formes de transport, ce qu’on appelle les VTC ou autres, en prenant en compte les intérêts des taxis et en respectant les intérêts acquis ». « Notre rôle, c’est de donner un cadre mais de le donner de manière durable et juste, en permettant l’innovation et l’amélioration du service pour tous ». Le ministre n’a pas exclu au terme de ces discussions une réécriture de la loi Thévenoud du 1er octobre 2014, qui a renforcé les sanctions contre les services comme UberPop, dont les chauffeurs ne sont pas des professionnels du VTC, comme les chauffeurs UberX par exemple, mais de simples particuliers.

Vente aéroport de Toulouse : à nouveau sur le bon coin

Vente aéroport de Toulouse : à nouveau sur le bon coin

Valls a une solution mettre la vente sur le bon coin ; Déjà un ferrailleur roumain serait sur le coup à condition de vendre en même temps la Tour Eiffel et le Pont des Arts , peut-être aussi l’acier contenu dans les appareils dentaires des pensionnaires des maisons de retraite ; Pourquoi pas, on a déjà vendu l’industrie !  Dans une interview publiée ce jeudi par la Dépêche du Midi, le Premier ministre assure que la disparition du principal repreneur chinois ne l’inquiète pas. Mais c’est un argument de plus pour les opposants au rachat par les Chinois de 49.9% des parts de la société de gestion de l’aéroport de Toulouse.   En avril dernier, Mike Poon avait fait le déplacement de Toulouse pour rassurer ceux qui s’inquiétaient de la privatisation, au profit d’investisseurs chinois, de la gestion de l’aéroport. Il jouait un rôle clef dans cette affaire en tant que président-directeur général du fonds d’investissement hongkongais Friedmann Pacific AM, un membre clef du consortium Symbiose qui a repris 49,99% d’ATB, la société de gestion de la plate-forme.  Mais depuis une enquête pour corruption a été ouverte en Chine contre une autre société qu’il présidait, la China Southern Airlines. Et lui même a totalement disparu.  Une affaire qui n’inquiète  »à aucun moment! » Manuel Valls qui s’exprime dans la Dépêche du Midi avant un déplacement à Toulouse.  « La société concernée n’a que des liens indirects avec le consortium chinois qui a acquis une partie du capital de l’aéroport » assure le Premier ministre. Mais pour le Collectif contre la privatisation de l’aéroport, c’est un argument de plus.

Aéroport de Toulouse : à vendre sur le Bon coin ?

Aéroport de Toulouse : à vendre sur le Bon coin ?

On vend les bijoux de famille au premier venu, y compris à la mafia. Dernier exemple en  date l‘aéroport de Toulouse. ‘L’ acheteur chinois a disparu ! Et  l’opérateur canadien lui est interdit bancaire par la Banque mondiale. Finalement uen solution seraiat de vendre à la Grèce ou à la Russie avec en prime AirBus.l L a question de la solvabilité pourraiat se poser mais on pourraiat comme en bourse acheter à crédit peut être même revendre avec une plus value, peut-être à L’Etat islamique.  Ou alors au concurrent Boeing. Pourquoi ne pas passer une annonce sur le bon coin ? En tout cas le  riche industriel chinois est le PDG de Symbiose qui a signé l’acquisition en avril dernier à hauteur de 49,9 % de la société de gestion de l’aéroport de Toulouse en effet disparu. . Selon certaines sources Mike Poon ferait l’objet d’une procédure de justice dans son pays pour «corruption». «Il a totalement disparu des écrans radars il y a environ un mois», explique Maître Christophe Lèguevaques, avocat du collectif des opposants à la privatisation du quatrième aéroport de France, «nous avons appris cela en plein salon du Bourget. Est-il interrogé pour des malversations dans son pays? C’est la rumeur qui court depuis plusieurs jours». L’aéroport était évalué à 150 millions d’euros, et Mike Poon en avait proposé 308 millions. «Cette proposition nous semblait relativement bizarre. Le gouvernement expliquait que le projet proposé allait dynamiser l’aéroport, poursuit l’avocat toulousain, cet aéroport n’a pas été privatisé, mais nationalisé au profit de l’État chinois». Et Christophe Lèguevaques de conclure: «Nous disons ça suffit. L’État a les cartes en main pour faire toute la lumière sur cette affaire. Des emplois sont en jeu!» Le 18 avril dernier, Mike Poon déclarait au quotidien régional La Dépêche du Midi : «vous verrez que nous tiendrons les promesses que nous avons faites». Il assurait vouloir «favoriser le développement de vols internationaux et en particulier en provenance de l’Asie et de la Chine» et investir 1,4 milliard d’euros d’ici à 2020.«Les suspicions de corruption doivent conduire à renoncer à la privatisation de l’aéroport de Toulouse-Blagnac, sans attendre le recours au conseil d’État». Cette disparition mystérieuse ne semble pas inquiéter certains membres du conseil de surveillance de l’aéroport: «pour l’instant, rien ne change». Chantal Beer-Demander, la présidente du Collectif d’opposants à la privatisation est catégorique: «les suspicions de corruption devraient amener le gouvernement à publier le pacte d’actionnaires et le projet industriel pour l’aéroport. Elles doivent surtout conduire à renoncer à la privatisation de l’aéroport de Toulouse-Blagnac, sans attendre le recours au conseil d’État que nous avons déposé avec nos conseils. Il n’a pas que Mike Poon qui est dans l’œil du cyclone avec son consortium. Il y a également l’opérateur canadien Lavalin dont on ne connaît pas le rôle dans cette nouvelle gestion. Lavalin est interdit bancaire par la Banque mondiale également pour des faits de corruption, en Libye notamment. On ne sait même pas si Monsieur Poon a fait le chèque de 308 millions. Il y a trop d’opacité dans toute cela.»

 

Sondage :Chirac un bon président pour 63%

Sondage :Chirac un bon président pour 63%

 

Quand on laisse du temps au temps, finalement les présidents sosnt comme les bons vins, ils s’affinent.. 63% des Français estiment que Chirac  été un « bon » chef de l’État, selon un sondage Odoxa pour Le Parisien. La nouvelle ne pouvait pas mieux tomber pour l’ancien président de la République qui a fêté les 20 ans de son élection le 7 mai dernier.  Si son bilan était vivement critiqué après 12 ans passés à l’Élysée, les Français semblent avoir tourné la page et le plébiscitent largement. Déjà considéré comme le président de la République le plus sympathique, Jacques Chirac est donc celui qui a laissé le meilleur souvenir. Sa position en matière de politique internationale, avec en ligne de mire sa fermeté sur la guerre en Irak, en font de lui une véritable icône. François Mitterrand arrive à la deuxième place et obtient 61% d’opinions positives. Valéry Giscard d’Estaing récolte 57% de jugements positifs, Nicolas Sarkozy obtient 39% et François Hollande arrive à la fin du classement avec 21%.  « François Hollande est structurellement désavantagé face à ses concurrents car il est le seul à être toujours en activité face à des rivaux, parfois très impopulaires lorsqu’ils occupaient l’Élysée, mais qui n’étant plus aux affaires depuis parfois très longtemps, sont désormais regardés avec beaucoup plus de mansuétude par l’opinion », précise Gaël Sliman, le président d’Odoxa, au Parisien. Le temps atténue donc les choses ? Nicolas Sarkozy et François Hollande peuvent donc se consoler avec cette idée. Surtout que 92% des Français estiment qu’il est plus difficile de diriger la France aujourd’hui que dans le passé.  Mais les citoyens ont déjà une idée précise du président idéal pour 2017. Interrogés sur cette question, les Français souhaitent avant tout un chef d’État compétent (71%), honnête (50%), solide et ayant de l’autorité (32%) en priorité. Ensuite, ils désirent un candidat qui incarne la France (26%), proche des gens (18%) et dynamique (16%).

 

Grèce: un accord qui ne règle rien mais un bon compromis pour Hollande

Grèce: un accord qui ne règle  rien mais un bon compromis pour Hollande

 

L’accord obtenu à l ‘arrache  vendredi n’a pas encore donné lieu à beaucoup d’analyser de la part des médias ( normal c’est le week-end ! ). Pourtant cet accord ne règle rien. C’est simplement uen prolongation de 4 mois de l’aide européenne. En échange la Grèce s’est engagée à maintenir l’austérité .Elle doit faire des propositions qui seront examinées par l’Eurogroupe et la commission. Des propositions conciliables avec les exigences de Bruxelles et les résultats électoraux de Grèce. Autant dire l’impossible. En fait c’est l’ambigüité la plus totale puisque d’un coté Bruxelles considère que la Grèce doit appliquer ce qui a été décidés précédemment que la Grève , elle,  estime que le diktat de l’Europe est remis en cause. Bref rien n’est réglé. On a seulement sauvé la face et gagné du temps. Farce à cette  l’ambigüité,  Hollande, lui considère que c’est un bon accord ! ; Et pour cause, c’est à peu près la même ambigüité qui va permettre à la France d’obtenir en délai supplémentaire pour la réduction de ses déficits , en échange de réformes structurelles …à définir !  Après trois réunions des ministres des Finances de la zone euro en moins de 10 jours, les grands argentiers de l’Europe sont parvenus à un accord sur le sauvetage financier de la Grèce. Dès ce matin, le président François Hollande et le premier ministre grec, Alexis Tsipras, ont salué l’accord arraché lors de cet Eurogroupe.  Samedi matin, en marge d’une visite au salon de l’Agriculture, François Hollande a qualifié de «bon compromis» l’accord visant à prolonger de quatre mois, sous conditions, le financement européen de la Grèce, en évitant un risque de sortie de l’euro. «Sur le dossier de la Grèce, nous avons cherché la bonne solution», a-t-il expliqué.  «La bonne solution, c’était de prolonger le financement permettant à la Grèce d’assurer sa transition et de pouvoir honorer ses engagements». «La bonne solution, c’était aussi de lui laisser le temps pour que ses réformes soient engagées et que le respect des électeurs grecs soit aussi préservé», a-t-il encore précisé. L’Europe s’est engagée à prolonger le financement de la Grèce de quatre mois, mais sous de strictes conditions, soumises à examen dès la semaine prochaine. «L’Europe, elle doit montrer de la crédibilité, elle doit montrer aussi de la solidarité. De la crédibilité parce que nous devons montrer que nous avons des règles et qu’elles valent pour tous les pays (…) De la solidarité, parce que quand il y a des pays qui souffrent, il est légitime que nous puissions les accompagner tout en leur demandant de respecter leurs engagements», a expliqué François Hollande. «La Grèce a fait beaucoup d’efforts ces dernières années. Il y a eu beaucoup de sacrifices qui ont été demandés», a-t-il affirmé. «Maintenant il faut donner du temps, mais en même temps toujours respecter les engagements, car ce sont les contribuables français, allemands et européens qui ont permis que la Grèce puisse s’en sortir».

DSK – Carlton Lille:  » du bon temps »(Dupond-Moretti)

DSK – Carlton Lille:  » du bon temps »(Dupond-Moretti)

Dans l’affaire DSK du Carlton de Lille L’avocat Éric Dupond-Moretti, estime que les juges se servenet surtout du non de DSK pour étayer leur accusations. Il n’a sas doute pas tort car sil n’y avaiat pas eu laffaire de New-York, cette histoire n’auraiat jamais émergé , il est même vraisemblable que la justice n’auraiat pas levé le petit doigt si DSK avait été élu président de la république. Il suffit pour s’en persuader de constater que la plupart de affaires politico-financières ont presque toutes été enterrées et que certaines trainent encore 20 ans après les faits. La justice eset implacables vis à vis des perdants !  Dupont Moretti avocat de David Roquet, ex-patron d’une filiale d’Eiffage, renvoyé en correctionnelle pour proxénétisme aggravé, escroquerie et abus de confiance dans l’affaire du Carlton de Lille, estime que la présence de DSK parmi les 14 accusés pousse les juges à étendre « la notion de client à celle de proxénète ».

 

 

intreview JDD.

La Cour d’appel a confirmé l’analyse des juges que vous avez combattue pendant trois ans. C’est donc bien le procès d’un proxénétisme mondain qui débute demain?
Au bénéfice d’un texte flou, on a étendu la notion de client à celle de proxénète. C’est une première en France! Tout cela parce qu’il s’agit de M. Dominique Strauss-Kahn. Il y a un proxénète revendiqué dans cette affaire, Dominique Alderweireld, qui vit dans un pays où les bars à hôtesses sont tolérés. Pour le reste, soyons sérieux : ces hommes sont avant tout des clients. Ils auraient ainsi favorisé, aidé, protégé la prostitution d’autrui… Ils risqueraient jusqu’à dix ans de prison. Il faut aller jusqu’au bout de cette logique : la patronne du café qui prépare un chocolat chaud tous les matins à une prostituée est donc un proxénète? Puisqu’elle permet à la dame d’exercer son métier dans de bonnes conditions…

Selon vous, les juges auraient renvoyé 14 personnes devant le tribunal pour « se faire » DSK?
Marcel, routier de son état, s’arrête sur un parking d’autoroute à proximité de Lille, il fait venir deux jeunes femmes qu’il rémunère et invite son copain Gaston à monter dans sa cabine. Quel juge va le mettre en examen pour proxénétisme? Aucun. Je crois que pour comprendre cette instruction, il faut quitter le domaine du droit.

Cette affaire ne se déroule pas sur un parking mais dans des palaces, entre Paris et New York. Une organisation plus sophistiquée tout de même…
Parce qu’il y a plus d’argent. Il n’en reste pas moins qu’il s’agit d’une affaire de copains qui s’offrent du bon temps. Les juges avaient dans l’une des armoires de leur bureau la caricature de Dominique Strauss-Kahn. Mon client l’avait en ligne de mire pendant un de ses interrogatoires. On avait oublié de fermer la porte. Cela donne une idée de l’esprit dans lequel ont travaillé les magistrats. Oui, je pense qu’on veut « se faire » DSK. Et son entourage a été emporté avec lui dans cette folie

Aéroport Notre-Dames-des-Landes : « bon courage » à Valls (Ségolène)

Aéroport Notre-Dames-des-Landes : « bon courage » à Valls (Ségolène)

 

Après le coup  de menton de Valls réaffirmant que l’aéroport de Notre Dame des Landes serait bien construit à partir de mi-2015 ; Ségolène a été interrogée sur cette déclaration qui l’a surprise et a souhaité «  bon courage «  à Valls. Une manière sans doute de marquer sa différence dans un dossier qui s’enlise de plus en plus.  Manuel Valls a donc réaffirmé sa volonté de construire l’aéroport de Notre-Dames-des-Landes dans les colonnes de Ouest-France. Mais le Premier ministre semble avoir oublié de prévenir sa ministre de l’Écologie avant de marteler son engagement.  « Vous étiez au courant ? », a demandé Anne-Sophie Lapix à Ségolène Royal dans C à Vous mercredi soir. « Non », lui répond alors la ministre. « Vous trouvez que c’est une bonne décision ? » enchaîne alors la journaliste. « Je lui laisse l’entière responsabilité de cette déclaration ». Ségolène Royal a semblé un peu confuse, visiblement surprise, ne sachant pas de quoi ses interlocuteurs parlaient, alors que l’information était sortie quelques dizaine de minutes plus tôt dans la presse. Consciente des difficultés qu’attendent Manuel Valls, notamment en raison de l’opposition des « zadistes », l’ancienne présidente de la région Poitou-Charentes souhaite alors « bon courage » et « bonne chance » à Matignon.

 

Italie : grosse manif contre Renzi qui tient bon

Italie : grosse manif contre Renzi qui tient bon

En dépit de la grosse manif contre les réformes, Renzi tient bon : « Si nous renvoyons les réformes, nous nous condamnons à un lent déclin ». (Une différence avec la France qui sen tient à des réformettes dans le domaine social).  « Il faut avoir le courage de changer les choses », avait-il déclaré dans la matinée devant la presse italienne au cours d’un déplacement en Turquie. La principale cible de la colère syndicale reste le « Jobs Act », la réforme du marché du travail voulue par M. Renzi pour encourager les embauches. La loi prévoit de faciliter les licenciements et de réduire les droits et protections des salariés dans leurs premières années de contrat. Mais le texte a été définitivement adopté par le Parlement la semaine dernière et la journée de grève, qui fait suite à des rassemblements parfois massifs dans les rues de Rome depuis un mois et demi, est donc désormais essentiellement symbolique. Les syndicats dénoncent aussi le projet de budget 2015, jugeant ses mesures de relance de l’économie insuffisantes. En toile de fond, le mécontentement vient aussi du choix de Matteo Renzi de mettre fin à la concertation avec les confédérations syndicales et au marchandage qu’elles ont imposé pendant des décennies à tous les gouvernements sur de nombreux sujets. « Le gouvernement commet une erreur en éliminant la discussion et la participation » des syndicats à l’élaboration des lois, a affirmé vendredi Susanna Camusso, secrétaire générale de la CGIL (gauche), principale confédération italienne. « Le gouvernement doit choisir entre le conflit et le dialogue », a-t-elle insisté. « La grève générale d’aujourd’hui est sans aucun doute le signe d’une tension notable entre le gouvernement et les syndicats », a relevé le président de la République Giorgio Napolitano.

«Jouyet, un bon secrétaire général de l’Elysée»….. comme Hollande, un bon président !

«Jouyet,  un bon secrétaire général de l’Elysée»….. comme Hollande, un bon président !

 

C’est Hollande, un expert,  qui le dit, Jouyet c’est un bon ! Enfin presque, un copain en tout cas François Hollande a attendu 8  jours pour soutenir son ami. Un ami de quarante ans qui pourrait bien connaître le sort d’autres si les afires médiatiques ne se calment pas. Ce ne sont pas les états d’âme qui étoufferont t Hollande. . Interrogé, à l’issue du G20 de Brisbane (Australie) sur les versions contradictoires livrées par Jean-Pierre Jouyet pour tenter de se sortir de l’affaire Fillon-Jouyet, et son maintien en poste au secrétariat général de l’Elysée malgré ce «mensonge», François Hollande a défendu son collaborateur, proche ami depuis quarante ans.  «Le secrétaire général de l’Elysée n’est pas présent ici au G20, parce que ce n’était pas sa place. Votre question n’a donc pas sa place ici» a d’abord expliqué le président de République avant de poursuivre : «Jean-Pierre Jouyet est le secrétaire général de l’Elysée et c’est un bon secrétaire général de l’Elysée». Concis, clair et net.   Jusqu’ici, la défense politique des socialistes autour de Jouyet s’était limitée à la matinée de mercredi. A l’issue du conseil des ministres, Ségolène Royal, amie elle-aussi de Jouyet, avait assuré que le secrétaire général avait «bien sûr» le soutien de tous à l’Elysée, ce qu’avait appuyé quelques minutes plus tard le porte-parole du gouvernement Stéphane Le Foll. Surtout, pour montrer sa confiance à Jouyet, Manuel Valls s’était longuement attardé avec lui sous l’oeil des caméras massées dans la cour de la présidence. Les deux hommes étaient tout sourire  et visiblement d’humeur légère.

Système de retraites français : bon niveau mais qui ne durera pas

Système de retraites français  : bon niveau mais qui ne durera pas

 

Une évaluation approfondie des systèmes de retraites dans le monde met en évidence la fragilité du dispositif français : il ne tiendra pas et du coup la France ne se place qu’à la 14eme place mondiale d’après l’étude du cabinet Mercer.,  trois points en-dessous de la moyenne (la moyenne est de 60 et la France obtient 57), un  niveau équivalent à celui des  États-Unis. Le Danemark, l’Australie et les Pays-Bas occupent le podium de cette étude réalisée en coopération avec l’Australian Centre for financial studies (Centre australien d’étude économie) et parue le 13 octobre. Elle classe les systèmes de retraites à l’aide d’une quarantaine d’indicateurs répartis dans trois critères, chacun ayant un poids différent. La suffisance (niveau des allocations, d’épargne, aide fiscale) qui pèse pour 40% de la note finale, la durabilité (couverture, total des actifs, démographie) qui en représente 35% et enfin à 25% l’intégrité (coûts, protection, gouvernance).Salué pour le niveau des pensions de retraites, l’Hexagone se voit pénalisé par la durabilité de son système, qui affiche un indicateur de 37,7 contre 53,3 en moyenne. Le rapport met toutefois en avant la réforme du système de retraites français (allongement de la durée de cotisation, revalorisation du minimum vieillesse), qui a ainsi permis à la France de gagner quelques points. Cela ne lui permet néanmoins pas de rejoindre le groupe des bons élèves (note globale de 65 et plus) .

 

 

Macron-Modernisation économique: des mesurettes

Docteur Macron : bon diagnostic de l’économie mais thérapie insuffisante

 

Le docteur Macron, ministre de l’économe a bien diagnostiqué certaines maladies françaises «  la défiance, la complexité et le corporatisme ».Pour autant ses orientations ressemblent à des mesurettes. En effet la complexité par exemple ne pourra être guérie sans une refonte complète d’un Etat tentaculaire, la diminution du nombre de politiques et de fonctionnaires. Des castes qui nourrissent auusi largement le corporatisme. Le thérapies proposée par le docteur Macron relève en fait de l’ inventaire à la Prévert sans doute davantage pour impressionner Bruxelles et réclamer sa clémence plutôt que dune volonté d’engager de réelle reformes structurelles. . Ainsi plusieurs secteurs sont concernés par les dispositions envisagées, qui vont de la libéralisation du transport par autocar, à l’assouplissement de la réglementation du travail dominical en passant par la simplification des conditions d’installation des professions juridiques et médicales. Emmanuel Macron en est resté toutefois aux grands principes d’un texte qui sera présenté en décembre en conseil des ministres. Il aura alors été complété par d’autres dispositions, notamment sur l’immobilier ou le code du Travail si les négociations qui viennent de débuter sur la modernisation du dialogue social débouchent sur du concret. Sa présentation a coïncidé avec la transmission par la France à la Commission européenne de son projet de budget 2015 controversé, qui entérine un dérapage des déficits publics par rapport aux engagements pris par Paris.  Dans ce contexte, beaucoup y voient une démonstration surtout destinée aux Européens pour prouver que, à défaut de maîtriser ses finances, la France est prête à engager des réformes sérieuses pour favoriser croissance et emploi. Le ministre de l’Economie s’est défendu de tout marchandage avec l’exécutif européen, pour le dissuader de retoquer le budget français avant même qu’il soit voté. « Il n’y a pas d’échange ‘pétrole contre nourriture’ avec Bruxelles », a-t-il assuré, « ces réformes, nous les faisons pour nous-mêmes ».

Le Parti radical de gauche menace de quitter le gouvernement, ah bon, c’est qui les ministres ?

Le Parti radical de gauche menace de quitter le gouvernement, ah bon,  c’est qui les ministres ?

Pas grand monde ne sait qu’il y a des ministres radicaux de gauches au gouvernement.  mais comme Baylet président des du mouvement annonce qu’ils vont quitter le gouvernement c’est une bonne manière de rappeler leur présence à savoir Sylvia Pinel, ministre de quelque chose et deux autres aussi sûrement en charge d’un portefeuille. Le Parti radical de gauche (PRG), dernier allié du Parti socialiste après le départ des écologistes du gouvernement, menace de quitter l’équipe de Manuel Valls faute d’obtenir « un pacte de gouvernement » du Premier ministre avant vendredi. Une réunion dans la soirée de lundi à Matignon entre responsables radicaux et socialistes autour du chef du gouvernement s’est achevée sans résultat.   »On continue à discuter », a déclaré à sa sortie le premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis, qui s’est dit ouvert à « un nouveau partenariat stratégique », alors que chez les radicaux, certains exprimaient leur frustration.   »On a plus rien à faire avec eux », estimait l’un des participants de la délégation radicale après son dîner avec le Premier ministre, dont la majorité serait gravement affaiblie en cas de rupture avec le PRG.  Ce dernier compte trois membres dans le gouvernement de Manuel Valls mais il demande aujourd’hui l’abandon de plusieurs mesures envisagées par Matignon, comme la suppression de la première tranche de l’impôt sur le revenu et des mesures d’économies dans la politique familiale. Il réclame également une négociation sur la réforme territoriale, condition « sine qua non » à son maintien au gouvernement. Autant de conditions qui doivent être tranchées avant la réunion de son comité directeur vendredi.   »Si nous ne sommes là que pour le decorum, nous n’avons pas de raison de rester au gouvernement », a-a déclaré Jean-Michel Baylet dans un communiqué posté sur le site internet du parti.  Le patron du PRG est surtout en colère car il a été une victime emblématique de la défaite de la majorité aux élections sénatoriales, du fait notamment de la division de la gauche dans sa circonscription.  

 

Le « chômage est un échec du gouvernement » (Rebsamen, ministre du travail) … ah bon !

Le « chômage est un échec du gouvernement »  (Rebsamen, ministre du travail) … ah bon !

 

Etonnant,  avec Michel Sapin, il y a avait toujours des motifs de se réjouir et surtout d’espérer la fameuse inversion mais du coup avec le nouveau ministre Rebsamen, le constat est sans appel c’est l’échec ce qui ne l’empêche pas d’espérer toujours avec la même rengaine : le pacte de responsabilité ! Le martelage sur le retournement de la courbe du chômage fait bel et bien partie du passé. Ce samedi, François Rebsamen, le ministre du Travail, évoque « un échec » à propos de la lutte contre le chômage depuis le début du quinquennat de François Hollande. Pour autant, le ministre se dit convaincu que la politique choisie est « adaptée à la situation économique » et « portera ses fruits ».  Interrogé sur France Info sur les 500.000 chômeurs supplémentaires depuis l’élection à la présidence en 2012 de François Hollande, François Rebsamen, qui a succédé à Michel Sapin au Travail en avril, a dressé un constat sombre.    »C’est un échec, chaque mois j’en mesure la gravité. Derrière les chiffes ce sont des hommes et femmes qui souffrent, qui ont perdu leur travail souvent dans des zones industrielles anciennes où les entreprises n’avaient pas su évoluer, s’adapter à la production de produits innovants », a poursuivi le ministre du Travail. « Je reste persuadé que la politique que nous menons est adaptée à la situation économique; il faut être pragmatique, elle va porter ses fruits », a-t-il affirmé. « C’est long, c’est trop long….C’est vrai, le président de la République en est persuadé, c’est d’ailleurs pour ça qu’il nous demande de booster à travers le pacte de responsabilité et de solidarité », a-t-il fait valoir.  Les derniers chiffres, publiés mercredi 27 août, ont fait état d’une forte hausse du chômage pour le mois de juillet. Plus de 26.000 chômeurs supplémentaires se sont inscrits à Pôle emploi. Le nombre de chômeurs n’ayant pas du tout travaillé a atteint le niveau record de 3,424 millions de demandeurs d’emploi. C’est le neuvième mois consécutif de hausse du chômage.  François Rebsamen a plusieurs fois revu les objectifs du gouvernement dans sa lutte pour l’emploi à la baisse. En avril, il estimait que repasser sous les 3 millions de chômeurs en 2017, comme promis par François Hollande, était « un objectif ambitieux ». En juin, il avait indiqué n’espérer désormais qu’une « stabilisation » du taux de chômage sous le seuil des 10% de la population active d’ici la fin 2014.

 

Faussaire en vin : le bon business

Faussaire en vin : le bon business

 

 

Un faussaire en vin qui a fait fortune vient d’être  condamné à 10 ans de prison. En cause évidemment des amateurs fous prêts payer n’importe quoi pour de étiquettes et surtout des prix exorbitants de certains crus surtout lorsque le vin est âgé. Une sorte de snobisme qui a un prix et suscite des vocations de faussaires dan le monde entier comme Rudy Kurniawan . . Considéré comme l’un des cinq plus grands collectionneurs de vins au monde, il a été condamné jeudi à dix ans de prison ferme par un tribunal fédéral de Manhattan pour avoir vendu des contrefaçons de vins de Bourgogne. Une première dans le monde du vin et qui pourrait avoir un effet dissuasif sur les faussaires: les vins contrefaits représenteraient près de 20% du commerce mondial selon les experts. Rudy Kurniawan a écouté la sentence sans broncher. «Je suis désolé pour ce que j’ai fait», s’est-il contenté de déclarer d’une voix presque inaudible. En raison des cinq chefs d’accusation qui pesaient contre lui, Il encourait jusqu’à 40 ans de prison. Les procureurs avaient réclamé entre 11 et 14 ans de réclusion.  Ces derniers ont en effet découvert que le collectionneur assemblait des vins de moindre qualité et les revendait ensuite comme des grands crus, dans son laboratoire californien, aussi appelé «cave magique». 19.000 fausses étiquettes, des bouchons, de la cire, des capsules et des cahiers de notes venaient alors maquiller les bouteilles que l’escroc avait récupérées lors de soirées arrosées. «Sa cave magique, c’est là que Rudy Kurniawan disait dénicher sans fin les vins rares qu’il a vendus pendant des années. Il n’y avait qu’un problème: il n’y a jamais eu de magie dans cette cave, seulement des mensonges», a déclaré lors de son procès le procureur adjoint Joseph Facciponti.  Surnommé «Docteur Conti» en raison de sa passion pour le romanée-conti, l’homme de 37 ans se servait de sa réputation de «petit génie» pour vendre une bouteille, comme un jéroboam (bouteille de 3 litres) Domaine de la Romanée-Conti La Tache, pour 48.000 dollars… Mais aussi pour berner les grands spécialistes comme Robert Parker, célèbre dégustateur de vin et critique de référence avec ses «Guides Parker», qu’il invitait à des dîners et dégustations. La supercherie a tout de même duré huit ans et rapporté plusieurs dizaines de millions d’euros! Le faussaire doit aujourd’hui rembourser 21 millions d’euros aux sept victimes qu’il a trompées. C’est en 2008 que le faussaire indonésien sera rattrapé par ses mensonges. Rudy Kurniawan a alors essayé de vendre aux enchères un lot de près de 84 bouteilles de Clos Saint-Denis du Domaine Ponsot, en Côte-d’Or, datées de 1945 à 1972. Une grave erreur puisque le domaine n’a commencé à mettre en bouteille ce vin qu’à partir de 1982. Alerté par un spécialiste viticole, le propriétaire du domaine, Laurent Ponsot, débarque à New York pour la vente et obtient que les bouteilles soient retirées des enchères.  Déterminé à mettre en lumière un réseau de vins contrefaits mondial, Laurent Ponsot mène alors sa propre enquête sur l’homme d’affaires indonésien. Il travaille en direct avec le FBI qui boucle le dossier en 2012. «Pénétrer dans les domaines viticoles bourguignons est une chose très difficile. C’est impossible de capter toutes les subtilités de la Bourgogne sans y avoir baigné un temps. Je suis persuadé qu’il avait un associé en Bourgogne», avait déclaré Laurent Ponsot, dans un entretien accordé au journal Le Monde en 2013. Ce dernier a même déclaré à France 3 Bourgogne vendredi qu’il écrirait un livre sur cette histoire.

 

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