Archive pour le Tag 'bobos'

Propos de bobos « La migration transgressive: l’avenir du monde » !!

Propos de bobos « La migration transgressive: l’avenir du monde » !!

La mondialisation nous oblige à inventer une gouvernance globale des migrations, là où le bricolage répressif européen ne fait qu’aggraver le mal, défendent, dans une tribune au « Monde », la présidente de France terre d’asile, Najat VALLAUD-BELKACEM, ancienne ministre mariée à un haut fonctionnaire et le politiste Bertrand Badie .

Le point de vue typique des bobos de gauche qui acceptent finalement que des territoires entiers du monde ne se développent pas et que les migrations y compris transgressives s’y substituent pour combler l’abandon des pays en développement. Sans parler de la rhétorique hors-sol sur l’évolution de la société. NDLR

Le débat désormais quotidien autour du thème de l’immigration surprend par sa cécité face aux mutations réelles de notre monde. Il semble tout droit sorti du siècle dernier, même d’un millénaire révolu, de cette époque où une Europe dominante disposait des moyens de faire de l’absolue souveraineté de ses seuls Etats un principe efficace et respecté de régulation internationale. Avons-nous seulement compris que ce monde-là n’existe plus ?

Si l’on veut traiter humainement et rationnellement des questions migratoires d’aujourd’hui, il faut d’abord changer de logiciel, tirer les conséquences évidentes d’une mondialisation qui appartient au cycle présent de notre histoire, et qui modifie profondément la donne du fait migratoire.

Une telle rupture n’a pas seulement altéré les paramètres techniques de notre temps, facilitant les transports, réduisant les distances, augmentant la visibilité des lieux plus favorables et plus éloignés : autant de facteurs qui donnent déjà une force inédite à la mobilité humaine… Mais elle a surtout atteint les comportements sociaux, créant au fil du temps un imaginaire mondialisé qui touche chaque individu − n’est-ce pas notre cas ? celui de nos enfants ? −, quelle que soit sa condition, de plus en plus connecté à un monde qui suscite attraits, désirs, volonté d’accomplissement, affectant ainsi durablement la façon d’être de chacun dans un environnement fortement élargi.

La mondialisation des êtres humains

C’est dire que la migration, jadis exceptionnelle, voire transgressive, devient peu à peu l’avenir du monde. Là où la sédentarité, la fixité, l’enfermement prennent lentement mais sûrement les formes du passé, pour incarner à leur tour l’exception de demain.

Est-ce à dire qu’il n’y a qu’à se laisser porter par ce vent nouveau ? Non : au contraire, cette mutation nous oblige, mais dans un sens totalement opposé à ce qu’un conservatisme béat conduit à conclure. Si nous quittons un monde statique pour nous adapter à celui de la mobilité, tout reste à faire pour en définir les règles nouvelles. Pour concevoir ce temps de la mondialisation des êtres humains, nous qui avons su sans trop de peine concevoir celle des marchandises. Pour parvenir à cette gouvernance globale des migrations optimisant le bien-être de ses trois protagonistes : sociétés de départ, sociétés d’accueil et migrants eux-mêmes.

Politiques -écolos bobos : les pires ennemis de l’environnement

Politiques -écolos bobos : les pires ennemis de l’environnement

Les écolos bobos croient servir la cause environnementale avec leur intégrisme radical. En fait, dans la plupart des cas ils n’obtiennent que le contraire de ce qui est recherché. Pour certains d’ailleurs, la lutte pour le cadre de vie est secondaire, l’objectif est surtout politique : imposer un autre type de société de philosophie néo marxiste même si les organisations en cause regroupent aussi des anarchistes, des humanistes naïfs et nombre de marginaux.

Ainsi la vague verte enregistrée lors des municipales est-elle largement teintée de rouge recyclé. Les organisations politiques officielles de gauche ont été éjectées du jeu politique et nombre de militants se sont reconvertis dans l’idéologie verte révolutionnaire. Le pouvoir est bien contraint d’intégrer les aspirations environnementales d’ une partie de l’électorat et sacrifie sur l’autel écolo quelques victimes expiatoires mais évidemment sans changer la ligne générale de développement. Ainsi en est-il du nucléaire avec par exemple le renoncement très politicien de Mitterrand au projet de central Tricastin et dernièrement la fermeture de Fessenheim par Macron.

Dans le même temps, ce dernier prévoit assez rapidement la construction de 6 EPR qui compenseront est bien davantage les quelques fermetures de réacteurs anciens ( une trentaine d’EPR d’ ici 2050). L’objectif de ramener la part du nucléaire à 50 % au lieu de 70 à 75 % relève de cette illusion verte. Pour donner le change, on construit aussi de très coûteuse éoliennes qui permettent à certains propriétaires terriens de s’enrichir mais constituent un contresens économique et énergétique. Bien d’autres sources d’énergie méritent d’être soutenues comme la biomasse, la géothermie, l’hydroélectrique, le voltaïque ou encore l’hydrogène.

Après la pseudo convention citoyenne, la plupart des sujets stratégiques ont été enterrés. On retient surtout le gadget des terrasses chauffées ( et les pelouse des terrains de foot ?). Bref, le radicalisme des écolos verts rouges contraint à slalomer pour atteindre les objectifs stratégiques, à perdre du temps de l’argent et finalement à nuire à l’environnement. Des évolutions sont indispensables pour améliorer la qualité de vie, le climat et la biodiversité mais elles ne peuvent être que structurelles, c’est-à-dire s’inscrire dans le temps en tenant compte des réalités. Sinon on se résout à accepter une politique environnementale de gribouille qui affiche surtout des gadgets voire des contradictions avec l’objectif recherché. Exemples ridicules : la proposition des écolos de supprimer l’arbre de Noël ou encore les jours fériés à connotation religieuse !

Les écolos bobos dingos : les pires ennemis de l’environnement

Les écolos bobos dingos : les pires ennemis de l’environnement

Les écolos bobos croient servir la cause environnementale avec leur intégrisme radical. En fait, dans la plupart des cas ils n’obtiennent que le contraire de ce qui est recherché. Pour certains d’ailleurs, la lutte pour le cadre de vie est secondaire, l’objectif est surtout politique : imposer un autre type de société de philosophie néo marxiste même si les organisations en cause regroupent aussi des anarchistes, des humanistes naïfs et nombre de marginaux.

Ainsi la vague verte enregistrée lors des municipales est-elle largement teintée de rouge recyclé. Les organisations politiques officielles de gauche ont été éjectées du jeu politique et nombre de militants se sont reconvertis dans l’idéologie verte révolutionnaire. Le pouvoir est bien contraint d’intégrer les aspirations environnementales d’ une partie de l’électorat et sacrifie sur l’autel écolo quelques victimes expiatoires mais évidemment sans changer la ligne générale de développement. Ainsi en est-il du nucléaire avec par exemple le renoncement très politicien de Mitterrand au projet de central Tricastin et dernièrement la fermeture de Fessenheim par Macron.

Dans le même temps, ce dernier prévoit assez rapidement la construction de 6 EPR qui compenseront est bien davantage les quelques fermetures de réacteurs anciens ( une trentaine d’EPR d’ ici 2050). L’objectif de ramener la part du nucléaire à 50 % au lieu de 70 à 75 % relève de cette illusion verte. Pour donner le change, on construit aussi de très coûteuse éoliennes qui permettent à certains propriétaires terriens de s’enrichir mais constituent un contresens économique et énergétique. Bien d’autres sources d’énergie méritent d’être soutenues comme la biomasse, la géothermie, l’hydroélectrique, le voltaïque ou encore l’hydrogène.

Après la pseudo convention citoyenne, la plupart des sujets stratégiques ont été enterrés. On retient surtout le gadget des terrasses chauffées ( et les pelouse des terrains de foot ?). Bref, le radicalisme des écolos verts rouges contraint à slalomer pour atteindre les objectifs stratégiques, à perdre du temps de l’argent et finalement à nuire à l’environnement. Des évolutions sont indispensables pour améliorer la qualité de vie, le climat et la biodiversité mais elles ne peuvent être que structurelles, c’est-à-dire s’inscrire dans le temps en tenant compte des réalités. Sinon on se résout à accepter une politique environnementale de gribouille qui affiche surtout des gadgets voire des contradictions avec l’objectif recherché. Exemples ridicules : la proposition des écolos de supprimer l’arbre de Noël ou encore les jours fériés à connotation religieuse !

Société- L’environnement en otage entre les écolos bobos et les technocrates

Société- L’environnement en otage entre les écolos bobos et les technocrates


Si la dégradation de l’environnement en général- et du climat en particulier- ne suscite guère de contestation dans la société par contre, les facteurs explicatifs et encore davantage les orientations rencontrent de graves contradictions.

Pour schématiser à outrance les écolos bobos imputent la responsabilité à la croissance et propose des mesures de sobriété brutale en faisant fi des conséquences économiques mais aussi sociales. Rien d’étonnant à cela car pour la plupart les écolos sont des gauchistes recasés dans la lutte environnementale et dont le combat vise surtout à détruire le système. Beaucoup sont d’ailleurs d’obédience communiste. Les préoccupations sont d’ailleurs bien davantage politiques qu’écologistes. Cette radicalité est totalement contre-productive car au lieu de persuader de la nécessaire appropriation de l’enjeu environnemental, elle inquiète et même provoque le rejet de la cause écologique.

En face en quelque sorte, il y a les technocrates finalement assez peu persuadés de la nécessité de la transition écologique mais qui par effet de mode adhèrent à condition de perpétuer le système économique, financier et social. Ainsi la problématique écologique est internalisée dans le marché notamment via des taxes avec le totem du signal prix qui en réalité n’affecte que les plus défavorisés. Dernier exemple en date , les zones urbaines interdites aux véhicules anciens; en gros, aux pauvres ! Aussi des mesures de nature très bureaucratique concernant par exemple le logement et en particulier le chauffage. Mais là encore la facture est pour les plus défavorisés qui n’ont pas les moyens financiers d’opérer les mutations imposées.

La problématique environnementale est donc prise en otage des deux côtés : par ceux qui détiennent le pouvoir politique d’une part et par ceux qui proposent de remplacer finalement la démocratie par la révolution. De quoi nourrir malheureusement les doutes sur l’urgence de la transition écologique.

Société-L’environnement pris en otage entre les écolos bobos et les technocrates

Société-L’environnement pris en otage entre les écolos bobos et les technocrates


Si la dégradation de l’environnement en général- et du climat en particulier- ne suscite guère de contestation dans la société par contre, les facteurs explicatifs et encore davantage les orientations rencontrent de graves contradictions.

Pour schématiser à outrance les écolos bobos imputent la responsabilité à la croissance et propose des mesures de sobriété brutale en faisant fi des conséquences économiques mais aussi sociales. Rien d’étonnant à cela car pour la plupart les écolos sont des gauchistes recasés dans la lutte environnementale et dont le combat vise surtout à détruire le système. Beaucoup sont d’ailleurs d’obédience communiste. Les préoccupations sont d’ailleurs bien davantage politiques qu’écologistes. Cette radicalité est totalement contre-productive car au lieu de persuader de la nécessaire appropriation de l’enjeu environnemental, elle inquiète et même provoque le rejet de la cause écologique.

En face en quelque sorte, il y a les technocrates finalement assez peu persuadés de la nécessité de la transition écologique mais qui par effet de mode adhèrent à condition de perpétuer le système économique, financier et social. Ainsi la problématique écologique est internalisée dans le marché notamment via des taxes avec le totem du signal prix qui en réalité n’affecte que les plus défavorisés. Dernier exemple en date , les zones urbaines interdites aux véhicules anciens; en gros, aux pauvres ! Aussi des mesures de nature très bureaucratique concernant par exemple le logement et en particulier le chauffage. Mais là encore la facture est pour les plus défavorisés qui n’ont pas les moyens financiers d’opérer les mutations imposées.

La problématique environnementale est donc prise en otage des deux côtés : par ceux qui détiennent le pouvoir politique d’une part et par ceux qui proposent de remplacer finalement la démocratie par la révolution. De quoi nourrir malheureusement les doutes sur l’urgence de la transition écologique.

L’environnement pris en otage entre les écolos bobos et les technocrates

L’environnement pris en otage entre les écolos bobos et les technocrates


Si la dégradation de l’environnement en général- et du climat en particulier- ne suscite guère de contestation dans la société par contre, les facteurs explicatifs et encore davantage les orientations rencontrent de graves contradictions.

Pour schématiser à outrance les écolos bobos imputent la responsabilité à la croissance et propose des mesures de sobriété brutale en faisant fi des conséquences économiques mais aussi sociales. Rien d’étonnant à cela car pour la plupart les écolos sont des gauchistes recasés dans la lutte environnementale et dont le combat vise surtout à détruire le système. Beaucoup sont d’ailleurs d’obédience communiste. Les préoccupations sont d’ailleurs bien davantage politiques qu’écologistes. Cette radicalité est totalement contre-productive car au lieu de persuader de la nécessaire appropriation de l’enjeu environnemental, elle inquiète et même provoque le rejet de la cause écologique.

En face en quelque sorte, il y a les technocrates finalement assez peu persuadés de la nécessité de la transition écologique mais qui par effet de mode adhèrent à condition de perpétuer le système économique, financier et social. Ainsi la problématique écologique est internalisée dans le marché notamment via des taxes avec le totem du signal prix qui en réalité n’affecte que les plus défavorisés. Dernier exemple en date , les zones urbaines interdites aux véhicules anciens; en gros, aux pauvres ! Aussi des mesures de nature très bureaucratique concernant par exemple le logement et en particulier le chauffage. Mais là encore la facture est pour les plus défavorisés qui n’ont pas les moyens financiers d’opérer les mutations imposées.

La problématique environnementale est donc prise en otage des deux côtés : par ceux qui détiennent le pouvoir politique d’une part et par ceux qui proposent de remplacer finalement la démocratie par la révolution. De quoi nourrir malheureusement les doutes sur l’urgence de la transition écologique.

Des socialos bobos, des insoumis gauchos et des écolos dingos: la dégénérescence de la gauche

Des socialos bobos, des insoumis gauchos et des écolos dingos: la dégénérescence de la gauche

Les Français dans leur grande majorité se font une idée assez critique du manque de courage et de crédibilité des partis politiques en général. Et par défaut, le Front National profite du vide à droite comme à gauche. Une gauche en pleine décomposition avec des socialistes de salon supposés défendre les intérêts des plus défavorisés et qui se sont discrédités avec des positions coupées des réalités contribuant ainsi largement au renforcement du Front National. Reste à savoir si les socialistes seront susceptibles de renaître à travers une ligne sociale-démocrate et un parti réellement représentatif de leur électorat potentiel( et non pas des dirigeants qui sortent à peu près tous d’instituts politiques comme la plupart des autres partis).

Côté NUPES, on s’approche de la fin avec des Insoumis entraînés par Mélenchon dans le précipice politique de tous les extrémismes. La correction électorale sera sévère pour ce parti qui petit à petit fait sauter toutes les valeurs républicaines et sociétales.

Quant aux écolos, ils deviennent encore plus dingos en voulant imposer par la force une vision laïcarde et frugale de la société. Pour eux aussi , la principale faiblesse vient de la composition sociologique. Eux aussi des activistes de salon.

Bilan de ces égarements politiques et idéologiques, chaque jour , le front national est le réceptacle de tous les mécontentements . Comme bilan politique en fait mieux !

Écologie et violence : une stratégie contre-productive de bobos

Écologie et violence : une stratégie contre-productive de bobos

Il est évident que la problématique de la transition énergétique est particulièrement complexe car elle articule des préoccupations bien sûr environnementales mais aussi économiques, sociales voire sociétales. Il faudra d’un côté engager des mesures structurelles concernant les modes de production et de distribution, ce qui demandera du temps et de la détermination; Parallèlement, engager des sensibilisations des citoyens et des consommateurs sur la nécessité du changement d’un modèle de développement et de consommation. Là encore du temps devra être accordé au yemps. Il faudra beaucoup de pédagogie et surtout ne pas recourir à la violence qui aurait l’effet inverse du but recherché. En effet consommateurs et ménages ne sont pas idiots et savent distinguer dans les actions radicales ce qui relève réellement de la lutte environnementale et ce qui relève au fond de la lutte pseudo révolutionnaire.

La stratégie de la violence et de la provocation choisie par les écolos ultra constitue donc une erreur stratégique et d’une certaine manière, elle est contre-productive. En effet, l’ objectif de ces écolos bobos serait de faire prendre conscience à la population de l’urgence environnementale. Or la population n’a nullement besoin de ces coups d’éclat pour comprendre quels sont les enjeux du moment. Il vérifient chaque jour les dérèglements climatiques et les dégâts parfois dramatiques.

La question n’est pas celle de la prise de conscience car la population a bien pris la mesure des dérèglements. La question est essentiellement politique et économique.

Sur le plan politique on assiste encore à deux nombreuses contradictions en dépit des discours. Pour parler clair en France en particulier, il manque une stratégie cohérente permettant de gérer la transition écologique. Exemple sur le concept de la voiture, sur la date de la transition en 2035 dans le ministre des transports vient de demander le report ! Rien d’étonnant à cela; Macron lui-même reconnaît que la voiture électrique atteindra une production de 2 millions en 2030 alors que le parc comprend 40 à 50 millions de véhicules. L’échéance de 2035 est une illusion.

En outre, pratiquement rien n’a été fait pour engager une profonde évolution du concept de l’automobile beaucoup trop lourde, beaucoup trop grande, beaucoup trop consommatrice d’énergie. Enfin et peut-être surtout , la véritable évolution dans ce domaine dépendra d’une politique des transport globale rééquilibrant la part des modes. Cette problématique exige une réflexion autrement plus profonde que celle des écolos exhibitionnistes. Sa prise en compte réelle demandera du temps compte tenu de l’ampleur des mutations évoquées.

En vérité, les provocations politiques des écolos ultra- qui cachent mal d’ailleurs une stratégie gauchiste plus globale- ne font qu’irriter la population et renforcent même les convictions anti environnementales de certains.

Le pire , c’est qu’on retrouvera sans doute d’ici une dizaine d’années les jeunes radicaux bobos comme cadres dans de grandes sociétés qui oublieront leurs convictions de jeunesse et exploiteront sans état d’âme salariés et environnement. Comme ceux de 1968 qui sont passés de la révolution à la bourgeoisie bien traditionnelle.

Écologie radicale : une stratégie de bobos contre-productive

Écologie radicale : une stratégie de bobos contre-productive

Il est évident que la problématique de la transition énergétique est particulièrement complexe car elle articule des préoccupations bien sûr environnementales mais aussi économiques, sociales voire sociétales. Il faudra d’un côté engager des mesures structurelles concernant les modes de production et de distribution, ce qui demandera du temps et de la détermination; Parallèlement, engager des sensibilisations des citoyens et des consommateurs sur la nécessité du changement d’un modèle de développement et de consommation. Là encore du temps devra être accordé au yemps. Il faudra beaucoup de pédagogie et surtout ne pas recourir à la violence qui aurait l’effet inverse du but recherché. En effet consommateurs et ménages ne sont pas idiots et savent distinguer dans les actions radicales ce qui relève réellement de la lutte environnementale et ce qui relève au fond de la lutte pseudo révolutionnaire.

La stratégie de la violence et de la provocation choisie par les écolos ultra constitue donc une erreur stratégique et d’une certaine manière, elle est contre-productive. En effet, l’ objectif de ces écolos bobos serait de faire prendre conscience à la population de l’urgence environnementale. Or la population n’a nullement besoin de ces coups d’éclat pour comprendre quels sont les enjeux du moment. Il vérifient chaque jour les dérèglements climatiques et les dégâts parfois dramatiques.

La question n’est pas celle de la prise de conscience car la population a bien pris la mesure des dérèglements. La question est essentiellement politique et économique.

Sur le plan politique on assiste encore à deux nombreuses contradictions en dépit des discours. Pour parler clair en France en particulier, il manque une stratégie cohérente permettant de gérer la transition écologique. Exemple sur le concept de la voiture, sur la date de la transition en 2035 dans le ministre des transports vient de demander le report ! Rien d’étonnant à cela; Macron lui-même reconnaît que la voiture électrique atteindra une production de 2 millions en 2030 alors que le parc comprend 40 à 50 millions de véhicules. L’échéance de 2035 est une illusion.

En outre, pratiquement rien n’a été fait pour engager une profonde évolution du concept de l’automobile beaucoup trop lourde, beaucoup trop grande, beaucoup trop consommatrice d’énergie. Enfin et peut-être surtout , la véritable évolution dans ce domaine dépendra d’une politique des transport globale rééquilibrant la part des modes. Cette problématique exige une réflexion autrement plus profonde que celle des écolos exhibitionnistes. Sa prise en compte réelle demandera du temps compte tenu de l’ampleur des mutations évoquées.

En vérité, les provocations politiques des écolos ultra- qui cachent mal d’ailleurs une stratégie gauchiste plus globale- ne font qu’irriter la population et renforcent même les convictions anti environnementales de certains.

Le pire , c’est qu’on retrouvera sans doute d’ici une dizaine d’années les jeunes radicaux bobos comme cadres dans de grandes sociétés qui oublieront leurs convictions de jeunesse et exploiteront sans état d’âme salariés et environnement. Comme ceux de 1968 qui sont passés de la révolution à la bourgeoisie bien traditionnelle.

Ecologie radicale: Des bobos conformistes

Ecologie radicale: Des bobos conformistes

Face aux annonces apocalyptiques, le porte-parole de l’association Action Écologie, Bertrand Alliot dénonce la radicalité,prône la tempérance et en appelle à la science dans le Figaro.

L’orange, le jaune et le rouge sont à la mode. Orange sur fond de Vermeer, rouge sur fond de Van Gogh, jaune sur fond de Monnet. Un siècle après Carré blanc sur fond blanc de Malevitch et une semaine après la mort de Soulages, le père du noir sur fond noir, la folie continue. De jeunes écologistes encollent aujourd’hui leurs mains sur le bitume comme hier Piotr Pavlenski se clouait les testicules sur la chaussée de la Place Rouge. C’est tout le génie de l’art contemporain qu’on ne peut ni apprécier ni comprendre si l’on reste ignorant des « intentions » de l’artiste. Le scrotum fixé sur le pavé, c’était pour dénoncer « l’apathie, l’indifférence et le fatalisme politique de la société russe ». Les soupes versées sur les chefs-d’œuvre des musées c’est pour dénoncer la destruction de la planète.

Les activistes climatiques, eux, n’ont pourtant pas posé leurs parties intimes sur la table : les tableaux de maîtres étaient protégés par des vitres. Indignes descendants de Pinoncelly qui pissait pour de vrai dans l’urinoir de Duchamp et lui assénait un coup de marteau. Il voulait « achever l’œuvre » : « un urinoir dans un musée doit forcément s’attendre à ce que quelqu’un urine dedans un jour, en réponse à la provocation inhérente à la présentation de ce genre d’objet trivial dans un musée (…). On devrait pouvoir se servir d’un Rembrandt comme planche à repasser ». Être à la hauteur de la cause que l’on défend, détruire la beauté de l’œuvre pour dénoncer la destruction de la beauté du monde, autrement dit, souiller vraiment ou prendre la sage décision de rester dans sa chambre d’adolescent.

Ces révoltés de carton-pâte, ces Jean Moulin de carnaval, nous les avons bien mérités. Pas un jour sans que le diagnostic de l’apocalypse écologique ne soit repris par l’ensemble des gens de bien : dans les écoles, les entreprises, les universités, les grandes écoles, les ONG et bien sûr par le gouvernement… Par peur, conviction, opportunisme, mimétisme, ils ont fait inscrire partout en lettres d’or l’arrivée imminente de la catastrophe : dans les manuels scolaires, les journaux télévisés, en première page des magazines. La ministre Panier Runacher, en charge de la « Transition Énergétique », déclarait avec l’art et la manière contemporaine : « notre objectif est de sauver les humains sur la planète ». Une mèche de cheveux bleue et elle n’aura plus qu’à se revendiquer de la tribu des jeunes artistes écologistes.
Personne ne semble vouloir écouter ces spécialistes qui prônent la tempérance et il est maintenant beaucoup plus probable que l’effondrement soit provoqué par une peur panique de la catastrophe plutôt que par la catastrophe elle-même.

Ces révoltés conformistes et proprets sont donc d’excellents élèves. S’ils ne comprennent pas l’inaction, c’est qu’ils ont bien retenu la leçon. Ils feraient maintenant bien de faire l’école buissonnière. La catastrophe est loin d’être certaine et les spécialistes sont de plus en plus nombreux chaque jour à contester l’hypothèse de l’apocalypse climatique. Björn Lomborg, Michael Shellenberger, Steven E. Koonin font partis de ces écologistes « rassuristes » dont les gens de bien ne parlent pas. Ils soulignent le plus souvent l’absurdité et l’inutilité des politiques menées au nom du climat et leurs innombrables effets pervers. Ils démontrent en même temps les ressources d’adaptation dont sont dotées les sociétés humaines. Olivier Postel-Vinay, digne descendant d’Emmanuel Leroy Ladurie, le rappelle aussi dans son dernier livre Sapiens et le Climat. Loin de toute polémique, il raconte les péripéties de l’homme en proie à des changements climatiques perpétuels… En d’autres termes, l’espèce humaine en a vu d’autres.

Question d’époque, personne ne semble vouloir écouter ces spécialistes qui prônent la tempérance et il est maintenant beaucoup plus probable que l’effondrement soit provoqué par une peur panique de la catastrophe plutôt que par la catastrophe elle-même. Il faut croire que nous avons trop bien vécu pendant bien trop longtemps pour avoir envie de la faire advenir. Sans doute pour voir ce que ça fait le malheur. Nous sommes tellement gâtés que la machine à perception s’est déréglée et a besoin d’être étalonnée. Il nous faut des topinambours à tous les repas et des hivers sans chauffage pour comprendre ce que le sage sait déjà : que le bonheur, c’est la vie normale, la vie normale après l’épreuve, la vie normale après l’enfer…

En attendant que le monde retrouve ses esprits, il est recommandé d’en appeler au calme, inlassablement et de se méfier des profiteurs : des vendeurs de bilans carbones, des marchands d’éoliennes et de panneaux solaires et des ONG qui, bien loin de vouloir calmer le jeu, ne pensent qu’à détrôner l’Église catholique… comme plus gros collecteur de dons et de legs. Notre époque est devenue un drôle de cabinet de curiosités, un machin contemporain, un vestiaire plein d’urinoirs. Alors, frappez, pissez, « si m’en croyez, n’attendez à demain ! ».

Violence écologique : une stratégie de bobos urbains contre-productive

Violence écologique : une stratégie de bobos urbains contre-productive

La stratégie de la violence et de la provocation choisie par les écolos ultra constitue une erreur stratégique et d’une certaine manière, elle est contre-productive. En effet, l’ objectif de ces écolos bobos serait de faire prendre conscience à la population de l’urgence environnementale. Or la population n’a nullement besoin de ces coups d’éclat pour comprendre quels sont les enjeux du moment. Il vérifient chaque jour les dérèglements climatiques et les dégâts parfois dramatiques.

La question n’est pas celle de la prise de conscience car la population a bien pris la mesure des dérèglements. La question est essentiellement politique et économique.

Sur le plan politique on assiste encore à deux nombreuses contradictions en dépit des discours. Pour parler clair en France en particulier, il manque une stratégie cohérente permettant de gérer la transition écologique. Exemple sur le concept de la voiture, sur la date de la transition en 2035 dans le ministre des transports vient de demander le report ! Rien d’étonnant à cela; Macron lui-même reconnaît que la voiture électrique atteindra une production de 2 millions en 2030 alors que le parc comprend 40 à 50 millions de véhicules. L’échéance de 2035 est une illusion.

En outre, pratiquement rien n’a été fait pour engager une profonde évolution du concept de l’automobile beaucoup trop lourde, beaucoup trop grande, beaucoup trop consommatrice d’énergie. Enfin et peut-être surtout , la véritable évolution dans ce domaine dépendra d’une politique des transport globale rééquilibrant la part des modes. Cette problématique exige une réflexion autrement plus profonde que celle des écolos exhibitionnistes. Sa prise en compte réelle demandera du temps compte tenu de l’ampleur des mutations évoquées.

En vérité, les provocations politiques des écolos ultra- qui cachent mal d’ailleurs une stratégie gauchiste plus globale- ne font qu’irriter la population et renforcent même les convictions anti environnementales de certains.

Ecologie et violence : une stratégie de bobos contre-productive

Ecologie et violence : une stratégie de bobos contre-productive

La stratégie de la violence et de la provocation choisie par les écolos ultra constitue une erreur stratégique et d’une certaine manière, elle est contre-productive. En effet, l’ objectif de ces écolos bobos serait de faire prendre conscience à la population de l’urgence environnementale. Or la population n’a nullement besoin de ces coups d’éclat pour comprendre quels sont les enjeux du moment. Il vérifient chaque jour les dérèglements climatiques et les dégâts parfois dramatiques.

La question n’est pas celle de la prise de conscience car la population a bien pris la mesure des dérèglements. La question est essentiellement politique et économique.

Sur le plan politique on assiste encore à deux nombreuses contradictions en dépit des discours. Pour parler clair en France en particulier, il manque une stratégie cohérente permettant de gérer la transition écologique. Exemple sur le concept de la voiture, sur la date de la transition en 2035 dans le ministre des transports vient de demander le report ! Rien d’étonnant à cela; Macron lui-même reconnaît que la voiture électrique atteindra une production de 2 millions en 2030 alors que le parc comprend 40 à 50 millions de véhicules. L’échéance de 2035 est une illusion.

En outre, pratiquement rien n’a été fait pour engager une profonde évolution du concept de l’automobile beaucoup trop lourde, beaucoup trop grande, beaucoup trop consommatrice d’énergie. Enfin et peut-être surtout , la véritable évolution dans ce domaine dépendra d’une politique des transport globale rééquilibrant la part des modes. Cette problématique exige une réflexion autrement plus profonde que celle des écolos exhibitionnistes. Sa prise en compte réelle demandera du temps compte tenu de l’ampleur des mutations évoquées.

En vérité, les provocations politiques des écolos ultra- qui cachent mal d’ailleurs une stratégie gauchiste plus globale- ne font qu’irriter la population et renforcent même les convictions anti environnementales de certains.

Le pire , c’est qu’on retrouvera sans doute d’ici une dizaine d’années les jeunes radicaux bobos comme cadres dans de grandes sociétés qui oublieront leurs convictions de jeunesse et exploiteront sans état d’âme salariés et environnement. Comme ceux de 1968 qui sont passés de la révolution à la bourgeoisie bien traditionnelle.

Écologie et violence : une stratégie de bobos contre-productive

Écologie et violence : une stratégie de bobos contre-productive

La stratégie de la violence et de la provocation choisie par les écolos ultra constitue une erreur stratégique et d’une certaine manière, elle est contre-productive. En effet, l’ objectif de ces écolos bobos serait de faire prendre conscience à la population de l’urgence environnementale. Or la population n’a nullement besoin de ces coups d’éclat pour comprendre quels sont les enjeux du moment. Il vérifient chaque jour les dérèglements climatiques et les dégâts parfois dramatiques.

La question n’est pas celle de la prise de conscience car la population a bien pris la mesure des dérèglements. La question est essentiellement politique et économique.

Sur le plan politique on assiste encore à deux nombreuses contradictions en dépit des discours. Pour parler clair en France en particulier, il manque une stratégie cohérente permettant de gérer la transition écologique. Exemple sur le concept de la voiture, sur la date de la transition en 2035 dans le ministre des transports vient de demander le report ! Rien d’étonnant à cela; Macron lui-même reconnaît que la voiture électrique atteindra une production de 2 millions en 2030 alors que le parc comprend 40 à 50 millions de véhicules. L’échéance de 2035 est une illusion.

En outre, pratiquement rien n’a été fait pour engager une profonde évolution du concept de l’automobile beaucoup trop lourde, beaucoup trop grande, beaucoup trop consommatrice d’énergie. Enfin et peut-être surtout , la véritable évolution dans ce domaine dépendra d’une politique des transport globale rééquilibrant la part des modes. Cette problématique exige une réflexion autrement plus profonde que celle des écolos exhibitionnistes. Sa prise en compte réelle demandera du temps compte tenu de l’ampleur des mutations évoquées.

En vérité, les provocations politiques des écolos ultra- qui cachent mal d’ailleurs une stratégie gauchiste plus globale- ne font qu’irriter la population et renforcent même les convictions anti environnementales de certains.

Le pire , c’est qu’on retrouvera sans doute d’ici une dizaine d’années les jeunes radicaux bobos comme cadres dans de grandes sociétés qui oublieront leurs convictions de jeunesse et exploiteront sans état d’âme salariés et environnement. Comme ceux de 1968 qui sont passés de la révolution à la bourgeoisie bien traditionnelle.

Présidentielle–Primaire populaire: une véritable mascarade des bobos de gauche

Présidentielle–Primaire populaire: une véritable mascarade des bobos de gauche

 

 

Les initiateurs de la fameuse primaire dite populaire se félicitent du nombre de votants sans qu’on sache sur quels critères ces votants se sont prononcés puisqu’il n’y avait strictement aucun programme, aucune orientation et même aucune analyse commune. Et pour cause puisque ce vote n’a été précédé d’aucun débat de sorte qu’on s’est prononcé sur la personnalité, sur l’image y compris de ceux qui ont refusé cette consultation . Bref, la confusion entre la cote de popularité et les intentions de vote ! Les candidats opposée à la procédure ne pouvaient évidemment recueillir un score très favorable.

Cette consultation dite populaire constitue une véritable mascarade taillée spécialement pour la sulfureuse Taubira, bourgeoise gauchiste et exhibitionniste qui a déjà fait perdre la gauche une fois en 2002 en maintenant sa candidature face à Jospin. Il est clair que parmi les votants figurent surtout des bobos, urbains, tendances gauchistes qui n’entretiennent que des relations ésotériques avec les réalités économiques et sociales des plus défavorisés.

Au total la plus grande contradiction,c’est que cette consultation qui devait favoriser l’union ajoute une division supplémentaire.Les sondages démontrent d’ailleurs il n’y a aucune dynamique en faveur de Taubira mais qu’elle grignote des points sur le dos notamment des écologistes et des socialistes qui pourraient bien ne pas se remettre de cette élection. Bref Taubira objectivement prend à nouveau la posture de fossoyeur de la gauche. Un véritable massacre politique qui va déconsidérer encore un peu plus la gauche et qui aura au moins le mérite de flatter l’égocentrisme d’une candidate autant irresponsable qu’incompétente. Sans parler de sa posture personnelle de grande bourgeoise qui ne lui confère aucune légitimité évidemment pour représenter les milieux populaires. Avec des méthodes aussi confuses en matière de processus d’élection, il est certain qu’on pourrait faire élire facilement comme président de la république Michel Drucker ou Mimi Mathis !

2022-Primaire populaire: des bobos, urbanisés, jeunes et socialement à l’aise

  • Primaire populaire: des bobos, urbanisés, jeunes et socialement à l’aise

 

La primaire dite populaire sera tout sauf une véritable consultation vraiment démocratique. Elle a d’abord été initiée par des personnalités en général aisées  de la même manière que ceux qui vont y participer. Sociologiquement, les partisans de cette démarche très majoritairement sont plutôt des bobos, urbanisés et appartiennent à des classes qui ne sont pas vraiment populaires.

À peu près le même public qu’on retrouve dans les organisations d’extrême-gauche ou surtout chez les écolos d’Europe écologie les Verts. Ils sont de gauche bien sûr mais plutôt tendance gauchiste, anarchiste, utopiste voire révolutionnaire. En tout cas plutôt radicaux.Beaucoup sont fonctionnaires ou équivalents

Pour l’ensemble de cette population, c’est davantage le mouvement qui compte que le contenu du programme. Pour preuve Taubira va sans doute emporter cette élection puisqu’elle est la seule candidate en réalité. La contradiction la plus flagrante c’est que cette primaire populaire devait à l’origine favorisée l’union de la gauche. Par cette opération on va diviser  un peu plus une gauche déjà complètement éclatée. En outre on confiera à Taubira le soin de représenter l’union, elle qui a déjà fait tomber la gauche en 2002 en se maintenant face à Jospin. Bref une opération totalement irresponsable, improductive et qui en quelque sorte va continuer de tuer un peu plus la gauche en tout cas de la déconsidérer.

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