Archive pour le Tag 'bobos'

Écologie et violence : une stratégie contre-productive de bobos

Écologie et violence : une stratégie contre-productive de bobos

Il est évident que la problématique de la transition énergétique est particulièrement complexe car elle articule des préoccupations bien sûr environnementales mais aussi économiques, sociales voire sociétales. Il faudra d’un côté engager des mesures structurelles concernant les modes de production et de distribution, ce qui demandera du temps et de la détermination; Parallèlement, engager des sensibilisations des citoyens et des consommateurs sur la nécessité du changement d’un modèle de développement et de consommation. Là encore du temps devra être accordé au yemps. Il faudra beaucoup de pédagogie et surtout ne pas recourir à la violence qui aurait l’effet inverse du but recherché. En effet consommateurs et ménages ne sont pas idiots et savent distinguer dans les actions radicales ce qui relève réellement de la lutte environnementale et ce qui relève au fond de la lutte pseudo révolutionnaire.

La stratégie de la violence et de la provocation choisie par les écolos ultra constitue donc une erreur stratégique et d’une certaine manière, elle est contre-productive. En effet, l’ objectif de ces écolos bobos serait de faire prendre conscience à la population de l’urgence environnementale. Or la population n’a nullement besoin de ces coups d’éclat pour comprendre quels sont les enjeux du moment. Il vérifient chaque jour les dérèglements climatiques et les dégâts parfois dramatiques.

La question n’est pas celle de la prise de conscience car la population a bien pris la mesure des dérèglements. La question est essentiellement politique et économique.

Sur le plan politique on assiste encore à deux nombreuses contradictions en dépit des discours. Pour parler clair en France en particulier, il manque une stratégie cohérente permettant de gérer la transition écologique. Exemple sur le concept de la voiture, sur la date de la transition en 2035 dans le ministre des transports vient de demander le report ! Rien d’étonnant à cela; Macron lui-même reconnaît que la voiture électrique atteindra une production de 2 millions en 2030 alors que le parc comprend 40 à 50 millions de véhicules. L’échéance de 2035 est une illusion.

En outre, pratiquement rien n’a été fait pour engager une profonde évolution du concept de l’automobile beaucoup trop lourde, beaucoup trop grande, beaucoup trop consommatrice d’énergie. Enfin et peut-être surtout , la véritable évolution dans ce domaine dépendra d’une politique des transport globale rééquilibrant la part des modes. Cette problématique exige une réflexion autrement plus profonde que celle des écolos exhibitionnistes. Sa prise en compte réelle demandera du temps compte tenu de l’ampleur des mutations évoquées.

En vérité, les provocations politiques des écolos ultra- qui cachent mal d’ailleurs une stratégie gauchiste plus globale- ne font qu’irriter la population et renforcent même les convictions anti environnementales de certains.

Le pire , c’est qu’on retrouvera sans doute d’ici une dizaine d’années les jeunes radicaux bobos comme cadres dans de grandes sociétés qui oublieront leurs convictions de jeunesse et exploiteront sans état d’âme salariés et environnement. Comme ceux de 1968 qui sont passés de la révolution à la bourgeoisie bien traditionnelle.

Écologie radicale : une stratégie de bobos contre-productive

Écologie radicale : une stratégie de bobos contre-productive

Il est évident que la problématique de la transition énergétique est particulièrement complexe car elle articule des préoccupations bien sûr environnementales mais aussi économiques, sociales voire sociétales. Il faudra d’un côté engager des mesures structurelles concernant les modes de production et de distribution, ce qui demandera du temps et de la détermination; Parallèlement, engager des sensibilisations des citoyens et des consommateurs sur la nécessité du changement d’un modèle de développement et de consommation. Là encore du temps devra être accordé au yemps. Il faudra beaucoup de pédagogie et surtout ne pas recourir à la violence qui aurait l’effet inverse du but recherché. En effet consommateurs et ménages ne sont pas idiots et savent distinguer dans les actions radicales ce qui relève réellement de la lutte environnementale et ce qui relève au fond de la lutte pseudo révolutionnaire.

La stratégie de la violence et de la provocation choisie par les écolos ultra constitue donc une erreur stratégique et d’une certaine manière, elle est contre-productive. En effet, l’ objectif de ces écolos bobos serait de faire prendre conscience à la population de l’urgence environnementale. Or la population n’a nullement besoin de ces coups d’éclat pour comprendre quels sont les enjeux du moment. Il vérifient chaque jour les dérèglements climatiques et les dégâts parfois dramatiques.

La question n’est pas celle de la prise de conscience car la population a bien pris la mesure des dérèglements. La question est essentiellement politique et économique.

Sur le plan politique on assiste encore à deux nombreuses contradictions en dépit des discours. Pour parler clair en France en particulier, il manque une stratégie cohérente permettant de gérer la transition écologique. Exemple sur le concept de la voiture, sur la date de la transition en 2035 dans le ministre des transports vient de demander le report ! Rien d’étonnant à cela; Macron lui-même reconnaît que la voiture électrique atteindra une production de 2 millions en 2030 alors que le parc comprend 40 à 50 millions de véhicules. L’échéance de 2035 est une illusion.

En outre, pratiquement rien n’a été fait pour engager une profonde évolution du concept de l’automobile beaucoup trop lourde, beaucoup trop grande, beaucoup trop consommatrice d’énergie. Enfin et peut-être surtout , la véritable évolution dans ce domaine dépendra d’une politique des transport globale rééquilibrant la part des modes. Cette problématique exige une réflexion autrement plus profonde que celle des écolos exhibitionnistes. Sa prise en compte réelle demandera du temps compte tenu de l’ampleur des mutations évoquées.

En vérité, les provocations politiques des écolos ultra- qui cachent mal d’ailleurs une stratégie gauchiste plus globale- ne font qu’irriter la population et renforcent même les convictions anti environnementales de certains.

Le pire , c’est qu’on retrouvera sans doute d’ici une dizaine d’années les jeunes radicaux bobos comme cadres dans de grandes sociétés qui oublieront leurs convictions de jeunesse et exploiteront sans état d’âme salariés et environnement. Comme ceux de 1968 qui sont passés de la révolution à la bourgeoisie bien traditionnelle.

Ecologie radicale: Des bobos conformistes

Ecologie radicale: Des bobos conformistes

Face aux annonces apocalyptiques, le porte-parole de l’association Action Écologie, Bertrand Alliot dénonce la radicalité,prône la tempérance et en appelle à la science dans le Figaro.

L’orange, le jaune et le rouge sont à la mode. Orange sur fond de Vermeer, rouge sur fond de Van Gogh, jaune sur fond de Monnet. Un siècle après Carré blanc sur fond blanc de Malevitch et une semaine après la mort de Soulages, le père du noir sur fond noir, la folie continue. De jeunes écologistes encollent aujourd’hui leurs mains sur le bitume comme hier Piotr Pavlenski se clouait les testicules sur la chaussée de la Place Rouge. C’est tout le génie de l’art contemporain qu’on ne peut ni apprécier ni comprendre si l’on reste ignorant des « intentions » de l’artiste. Le scrotum fixé sur le pavé, c’était pour dénoncer « l’apathie, l’indifférence et le fatalisme politique de la société russe ». Les soupes versées sur les chefs-d’œuvre des musées c’est pour dénoncer la destruction de la planète.

Les activistes climatiques, eux, n’ont pourtant pas posé leurs parties intimes sur la table : les tableaux de maîtres étaient protégés par des vitres. Indignes descendants de Pinoncelly qui pissait pour de vrai dans l’urinoir de Duchamp et lui assénait un coup de marteau. Il voulait « achever l’œuvre » : « un urinoir dans un musée doit forcément s’attendre à ce que quelqu’un urine dedans un jour, en réponse à la provocation inhérente à la présentation de ce genre d’objet trivial dans un musée (…). On devrait pouvoir se servir d’un Rembrandt comme planche à repasser ». Être à la hauteur de la cause que l’on défend, détruire la beauté de l’œuvre pour dénoncer la destruction de la beauté du monde, autrement dit, souiller vraiment ou prendre la sage décision de rester dans sa chambre d’adolescent.

Ces révoltés de carton-pâte, ces Jean Moulin de carnaval, nous les avons bien mérités. Pas un jour sans que le diagnostic de l’apocalypse écologique ne soit repris par l’ensemble des gens de bien : dans les écoles, les entreprises, les universités, les grandes écoles, les ONG et bien sûr par le gouvernement… Par peur, conviction, opportunisme, mimétisme, ils ont fait inscrire partout en lettres d’or l’arrivée imminente de la catastrophe : dans les manuels scolaires, les journaux télévisés, en première page des magazines. La ministre Panier Runacher, en charge de la « Transition Énergétique », déclarait avec l’art et la manière contemporaine : « notre objectif est de sauver les humains sur la planète ». Une mèche de cheveux bleue et elle n’aura plus qu’à se revendiquer de la tribu des jeunes artistes écologistes.
Personne ne semble vouloir écouter ces spécialistes qui prônent la tempérance et il est maintenant beaucoup plus probable que l’effondrement soit provoqué par une peur panique de la catastrophe plutôt que par la catastrophe elle-même.

Ces révoltés conformistes et proprets sont donc d’excellents élèves. S’ils ne comprennent pas l’inaction, c’est qu’ils ont bien retenu la leçon. Ils feraient maintenant bien de faire l’école buissonnière. La catastrophe est loin d’être certaine et les spécialistes sont de plus en plus nombreux chaque jour à contester l’hypothèse de l’apocalypse climatique. Björn Lomborg, Michael Shellenberger, Steven E. Koonin font partis de ces écologistes « rassuristes » dont les gens de bien ne parlent pas. Ils soulignent le plus souvent l’absurdité et l’inutilité des politiques menées au nom du climat et leurs innombrables effets pervers. Ils démontrent en même temps les ressources d’adaptation dont sont dotées les sociétés humaines. Olivier Postel-Vinay, digne descendant d’Emmanuel Leroy Ladurie, le rappelle aussi dans son dernier livre Sapiens et le Climat. Loin de toute polémique, il raconte les péripéties de l’homme en proie à des changements climatiques perpétuels… En d’autres termes, l’espèce humaine en a vu d’autres.

Question d’époque, personne ne semble vouloir écouter ces spécialistes qui prônent la tempérance et il est maintenant beaucoup plus probable que l’effondrement soit provoqué par une peur panique de la catastrophe plutôt que par la catastrophe elle-même. Il faut croire que nous avons trop bien vécu pendant bien trop longtemps pour avoir envie de la faire advenir. Sans doute pour voir ce que ça fait le malheur. Nous sommes tellement gâtés que la machine à perception s’est déréglée et a besoin d’être étalonnée. Il nous faut des topinambours à tous les repas et des hivers sans chauffage pour comprendre ce que le sage sait déjà : que le bonheur, c’est la vie normale, la vie normale après l’épreuve, la vie normale après l’enfer…

En attendant que le monde retrouve ses esprits, il est recommandé d’en appeler au calme, inlassablement et de se méfier des profiteurs : des vendeurs de bilans carbones, des marchands d’éoliennes et de panneaux solaires et des ONG qui, bien loin de vouloir calmer le jeu, ne pensent qu’à détrôner l’Église catholique… comme plus gros collecteur de dons et de legs. Notre époque est devenue un drôle de cabinet de curiosités, un machin contemporain, un vestiaire plein d’urinoirs. Alors, frappez, pissez, « si m’en croyez, n’attendez à demain ! ».

Violence écologique : une stratégie de bobos urbains contre-productive

Violence écologique : une stratégie de bobos urbains contre-productive

La stratégie de la violence et de la provocation choisie par les écolos ultra constitue une erreur stratégique et d’une certaine manière, elle est contre-productive. En effet, l’ objectif de ces écolos bobos serait de faire prendre conscience à la population de l’urgence environnementale. Or la population n’a nullement besoin de ces coups d’éclat pour comprendre quels sont les enjeux du moment. Il vérifient chaque jour les dérèglements climatiques et les dégâts parfois dramatiques.

La question n’est pas celle de la prise de conscience car la population a bien pris la mesure des dérèglements. La question est essentiellement politique et économique.

Sur le plan politique on assiste encore à deux nombreuses contradictions en dépit des discours. Pour parler clair en France en particulier, il manque une stratégie cohérente permettant de gérer la transition écologique. Exemple sur le concept de la voiture, sur la date de la transition en 2035 dans le ministre des transports vient de demander le report ! Rien d’étonnant à cela; Macron lui-même reconnaît que la voiture électrique atteindra une production de 2 millions en 2030 alors que le parc comprend 40 à 50 millions de véhicules. L’échéance de 2035 est une illusion.

En outre, pratiquement rien n’a été fait pour engager une profonde évolution du concept de l’automobile beaucoup trop lourde, beaucoup trop grande, beaucoup trop consommatrice d’énergie. Enfin et peut-être surtout , la véritable évolution dans ce domaine dépendra d’une politique des transport globale rééquilibrant la part des modes. Cette problématique exige une réflexion autrement plus profonde que celle des écolos exhibitionnistes. Sa prise en compte réelle demandera du temps compte tenu de l’ampleur des mutations évoquées.

En vérité, les provocations politiques des écolos ultra- qui cachent mal d’ailleurs une stratégie gauchiste plus globale- ne font qu’irriter la population et renforcent même les convictions anti environnementales de certains.

Ecologie et violence : une stratégie de bobos contre-productive

Ecologie et violence : une stratégie de bobos contre-productive

La stratégie de la violence et de la provocation choisie par les écolos ultra constitue une erreur stratégique et d’une certaine manière, elle est contre-productive. En effet, l’ objectif de ces écolos bobos serait de faire prendre conscience à la population de l’urgence environnementale. Or la population n’a nullement besoin de ces coups d’éclat pour comprendre quels sont les enjeux du moment. Il vérifient chaque jour les dérèglements climatiques et les dégâts parfois dramatiques.

La question n’est pas celle de la prise de conscience car la population a bien pris la mesure des dérèglements. La question est essentiellement politique et économique.

Sur le plan politique on assiste encore à deux nombreuses contradictions en dépit des discours. Pour parler clair en France en particulier, il manque une stratégie cohérente permettant de gérer la transition écologique. Exemple sur le concept de la voiture, sur la date de la transition en 2035 dans le ministre des transports vient de demander le report ! Rien d’étonnant à cela; Macron lui-même reconnaît que la voiture électrique atteindra une production de 2 millions en 2030 alors que le parc comprend 40 à 50 millions de véhicules. L’échéance de 2035 est une illusion.

En outre, pratiquement rien n’a été fait pour engager une profonde évolution du concept de l’automobile beaucoup trop lourde, beaucoup trop grande, beaucoup trop consommatrice d’énergie. Enfin et peut-être surtout , la véritable évolution dans ce domaine dépendra d’une politique des transport globale rééquilibrant la part des modes. Cette problématique exige une réflexion autrement plus profonde que celle des écolos exhibitionnistes. Sa prise en compte réelle demandera du temps compte tenu de l’ampleur des mutations évoquées.

En vérité, les provocations politiques des écolos ultra- qui cachent mal d’ailleurs une stratégie gauchiste plus globale- ne font qu’irriter la population et renforcent même les convictions anti environnementales de certains.

Le pire , c’est qu’on retrouvera sans doute d’ici une dizaine d’années les jeunes radicaux bobos comme cadres dans de grandes sociétés qui oublieront leurs convictions de jeunesse et exploiteront sans état d’âme salariés et environnement. Comme ceux de 1968 qui sont passés de la révolution à la bourgeoisie bien traditionnelle.

Écologie et violence : une stratégie de bobos contre-productive

Écologie et violence : une stratégie de bobos contre-productive

La stratégie de la violence et de la provocation choisie par les écolos ultra constitue une erreur stratégique et d’une certaine manière, elle est contre-productive. En effet, l’ objectif de ces écolos bobos serait de faire prendre conscience à la population de l’urgence environnementale. Or la population n’a nullement besoin de ces coups d’éclat pour comprendre quels sont les enjeux du moment. Il vérifient chaque jour les dérèglements climatiques et les dégâts parfois dramatiques.

La question n’est pas celle de la prise de conscience car la population a bien pris la mesure des dérèglements. La question est essentiellement politique et économique.

Sur le plan politique on assiste encore à deux nombreuses contradictions en dépit des discours. Pour parler clair en France en particulier, il manque une stratégie cohérente permettant de gérer la transition écologique. Exemple sur le concept de la voiture, sur la date de la transition en 2035 dans le ministre des transports vient de demander le report ! Rien d’étonnant à cela; Macron lui-même reconnaît que la voiture électrique atteindra une production de 2 millions en 2030 alors que le parc comprend 40 à 50 millions de véhicules. L’échéance de 2035 est une illusion.

En outre, pratiquement rien n’a été fait pour engager une profonde évolution du concept de l’automobile beaucoup trop lourde, beaucoup trop grande, beaucoup trop consommatrice d’énergie. Enfin et peut-être surtout , la véritable évolution dans ce domaine dépendra d’une politique des transport globale rééquilibrant la part des modes. Cette problématique exige une réflexion autrement plus profonde que celle des écolos exhibitionnistes. Sa prise en compte réelle demandera du temps compte tenu de l’ampleur des mutations évoquées.

En vérité, les provocations politiques des écolos ultra- qui cachent mal d’ailleurs une stratégie gauchiste plus globale- ne font qu’irriter la population et renforcent même les convictions anti environnementales de certains.

Le pire , c’est qu’on retrouvera sans doute d’ici une dizaine d’années les jeunes radicaux bobos comme cadres dans de grandes sociétés qui oublieront leurs convictions de jeunesse et exploiteront sans état d’âme salariés et environnement. Comme ceux de 1968 qui sont passés de la révolution à la bourgeoisie bien traditionnelle.

Présidentielle–Primaire populaire: une véritable mascarade des bobos de gauche

Présidentielle–Primaire populaire: une véritable mascarade des bobos de gauche

 

 

Les initiateurs de la fameuse primaire dite populaire se félicitent du nombre de votants sans qu’on sache sur quels critères ces votants se sont prononcés puisqu’il n’y avait strictement aucun programme, aucune orientation et même aucune analyse commune. Et pour cause puisque ce vote n’a été précédé d’aucun débat de sorte qu’on s’est prononcé sur la personnalité, sur l’image y compris de ceux qui ont refusé cette consultation . Bref, la confusion entre la cote de popularité et les intentions de vote ! Les candidats opposée à la procédure ne pouvaient évidemment recueillir un score très favorable.

Cette consultation dite populaire constitue une véritable mascarade taillée spécialement pour la sulfureuse Taubira, bourgeoise gauchiste et exhibitionniste qui a déjà fait perdre la gauche une fois en 2002 en maintenant sa candidature face à Jospin. Il est clair que parmi les votants figurent surtout des bobos, urbains, tendances gauchistes qui n’entretiennent que des relations ésotériques avec les réalités économiques et sociales des plus défavorisés.

Au total la plus grande contradiction,c’est que cette consultation qui devait favoriser l’union ajoute une division supplémentaire.Les sondages démontrent d’ailleurs il n’y a aucune dynamique en faveur de Taubira mais qu’elle grignote des points sur le dos notamment des écologistes et des socialistes qui pourraient bien ne pas se remettre de cette élection. Bref Taubira objectivement prend à nouveau la posture de fossoyeur de la gauche. Un véritable massacre politique qui va déconsidérer encore un peu plus la gauche et qui aura au moins le mérite de flatter l’égocentrisme d’une candidate autant irresponsable qu’incompétente. Sans parler de sa posture personnelle de grande bourgeoise qui ne lui confère aucune légitimité évidemment pour représenter les milieux populaires. Avec des méthodes aussi confuses en matière de processus d’élection, il est certain qu’on pourrait faire élire facilement comme président de la république Michel Drucker ou Mimi Mathis !

2022-Primaire populaire: des bobos, urbanisés, jeunes et socialement à l’aise

  • Primaire populaire: des bobos, urbanisés, jeunes et socialement à l’aise

 

La primaire dite populaire sera tout sauf une véritable consultation vraiment démocratique. Elle a d’abord été initiée par des personnalités en général aisées  de la même manière que ceux qui vont y participer. Sociologiquement, les partisans de cette démarche très majoritairement sont plutôt des bobos, urbanisés et appartiennent à des classes qui ne sont pas vraiment populaires.

À peu près le même public qu’on retrouve dans les organisations d’extrême-gauche ou surtout chez les écolos d’Europe écologie les Verts. Ils sont de gauche bien sûr mais plutôt tendance gauchiste, anarchiste, utopiste voire révolutionnaire. En tout cas plutôt radicaux.Beaucoup sont fonctionnaires ou équivalents

Pour l’ensemble de cette population, c’est davantage le mouvement qui compte que le contenu du programme. Pour preuve Taubira va sans doute emporter cette élection puisqu’elle est la seule candidate en réalité. La contradiction la plus flagrante c’est que cette primaire populaire devait à l’origine favorisée l’union de la gauche. Par cette opération on va diviser  un peu plus une gauche déjà complètement éclatée. En outre on confiera à Taubira le soin de représenter l’union, elle qui a déjà fait tomber la gauche en 2002 en se maintenant face à Jospin. Bref une opération totalement irresponsable, improductive et qui en quelque sorte va continuer de tuer un peu plus la gauche en tout cas de la déconsidérer.

Primaire populaire: des bobos, urbanisés jeunes et socialement à l’aise

  • Primaire populaire: des bobos, urbanisés jeunes et socialement à l’aise

 

La primaire dite populaire sera tout sauf une véritable consultation vraiment démocratique. Elle a d’abord été initiée par des personnalités en général aisées  de la même manière que ceux qui vont y participer. Sociologiquement, les partisans de cette démarche très majoritairement sont plutôt des bobos, urbanisés et appartiennent à des classes qui ne sont pas vraiment populaires.

À peu près le même public qu’on retrouve dans les organisations d’extrême-gauche ou surtout chez les écolos d’Europe écologie les Verts. Ils sont de gauche bien sûr mais plutôt tendance gauchiste, anarchiste, utopiste voire révolutionnaire. En tout cas plutôt radicaux.Beaucoup sont fonctionnaires ou équivalents

Pour l’ensemble de cette population, c’est davantage le mouvement qui compte que le contenu du programme. Pour preuve Taubira va sans doute emporter cette élection puisqu’elle est la seule candidate en réalité. La contradiction la plus flagrante c’est que cette primaire populaire devait à l’origine favorisée l’union de la gauche. Par cette opération on va diviser  un peu plus une gauche déjà complètement éclatée. En outre on confiera à Taubira le soin de représenter l’union, elle qui a déjà fait tomber la gauche en 2002 en se maintenant face à Jospin. Bref une opération totalement irresponsable, improductive et qui en quelque sorte va continuer de tuer un peu plus la gauche en tout cas de la déconsidérer.

Politique- Appel de bobos pour l’union de la gauche

Politique- Appel de bobos pour l’union de la gauche

Parce qu’« aucun des candidats annoncés à gauche ne peut gagner seul », une grande primaire est nécessaire, alerte, dans une tribune au « Monde », un collectif réunissant des artistes, écrivains, universitaires, membres du milieu associatif, emmenés par le réalisateur Cyril Dion. 

 

Tribune. 

 

 Les discours de haine semblent gagner tous les jours du terrain. Ils nous rappellent les heures les plus sombres de l’histoire de France et nous font craindre un avenir proche semé de divisions, de violences et d’exclusions. Faire barrage à la haine, c’est encore possible, mais c’est urgent : en avril il sera trop tard.

Tout aussi urgent : le bouleversement climatique fait chaque année des milliers de morts, annonçant un avenir invivable, fait de sécheresses, d’inondations toujours plus fréquentes et plus violentes, et d’ouragans plus puissants…

Pourtant nous connaissons les solutions pour gagner la bataille du climat. Mais notre seule chance d’y arriver demande un sérieux changement de cap. Avec cinq candidatures qui disent, chacune, « ma priorité, c’est le climat et la justice sociale », on est certains que ces priorités cruciales n’ont aucune chance de l’emporter en avril.

Eviter un second tour Macron-Zemmour

« Notre système politique est bloqué. Chaque jour, nos institutions, inadaptées et sclérosées, s’enfoncent un peu plus dans la crise. Faute de propositions satisfaisantes, de perspectives claires et de résultats tangibles, nos concitoyens sont nombreux à s’abstenir aux élections, quand ils ne s’abandonnent pas aux promesses insensées et au discours de haine du Rassemblement national et de l’extrême droite. Trop souvent, nous nous contentons de voter “contre”, pour éliminer l’“autre” candidat. Pire, nous ne votons pas, atterrés par la médiocrité de l’offre politique et son incapacité à se renouveler. »

« Nous sommes des millions à trouver ridicules et suicidaires les cinq candidatures annoncées qui se donnent toutes pour priorités “le climat et la justice sociale” »

C’est par ces mots que commençait l’« Appel pour une primaire à gauche » signé il y a six ans par Yannick Jadot et plusieurs d’entre nous (Libération, 10 janvier 2016). Six ans plus tard, la nécessité d’une grande primaire est encore plus évidente : 70 % des Français ne veulent pas d’un second tour Macron-Le Pen, selon un sondage IFOP publié en février 2021. Et nous sommes des millions à vouloir éviter à tout prix un second tour Macron-Zemmour ou Macron-Pécresse.

Nous sommes également des millions à vouloir rompre avec quarante ans d’accroissement des inégalités et des discriminations. Des millions à constater qu’Emmanuel Macron n’a vraiment pas été à la hauteur dans la lutte contre le dérèglement climatique et contre les inégalités. Des millions à trouver ridicules et suicidaires les cinq candidatures annoncées qui se donnent toutes pour priorités « le climat et la justice sociale ».

Appel de bobos pour l’union de la gauche

Appel de bobos pour l’union de la gauche

Parce qu’« aucun des candidats annoncés à gauche ne peut gagner seul », une grande primaire est nécessaire, alerte, dans une tribune au « Monde », un collectif réunissant des artistes, écrivains, universitaires, membres du milieu associatif, emmenés par le réalisateur Cyril Dion.

 

Tribune.

 

 Les discours de haine semblent gagner tous les jours du terrain. Ils nous rappellent les heures les plus sombres de l’histoire de France et nous font craindre un avenir proche semé de divisions, de violences et d’exclusions. Faire barrage à la haine, c’est encore possible, mais c’est urgent : en avril il sera trop tard.

Tout aussi urgent : le bouleversement climatique fait chaque année des milliers de morts, annonçant un avenir invivable, fait de sécheresses, d’inondations toujours plus fréquentes et plus violentes, et d’ouragans plus puissants…

Pourtant nous connaissons les solutions pour gagner la bataille du climat. Mais notre seule chance d’y arriver demande un sérieux changement de cap. Avec cinq candidatures qui disent, chacune, « ma priorité, c’est le climat et la justice sociale », on est certains que ces priorités cruciales n’ont aucune chance de l’emporter en avril.

Eviter un second tour Macron-Zemmour

« Notre système politique est bloqué. Chaque jour, nos institutions, inadaptées et sclérosées, s’enfoncent un peu plus dans la crise. Faute de propositions satisfaisantes, de perspectives claires et de résultats tangibles, nos concitoyens sont nombreux à s’abstenir aux élections, quand ils ne s’abandonnent pas aux promesses insensées et au discours de haine du Rassemblement national et de l’extrême droite. Trop souvent, nous nous contentons de voter “contre”, pour éliminer l’“autre” candidat. Pire, nous ne votons pas, atterrés par la médiocrité de l’offre politique et son incapacité à se renouveler. »

« Nous sommes des millions à trouver ridicules et suicidaires les cinq candidatures annoncées qui se donnent toutes pour priorités “le climat et la justice sociale” »

C’est par ces mots que commençait l’« Appel pour une primaire à gauche » signé il y a six ans par Yannick Jadot et plusieurs d’entre nous (Libération, 10 janvier 2016). Six ans plus tard, la nécessité d’une grande primaire est encore plus évidente : 70 % des Français ne veulent pas d’un second tour Macron-Le Pen, selon un sondage IFOP publié en février 2021. Et nous sommes des millions à vouloir éviter à tout prix un second tour Macron-Zemmour ou Macron-Pécresse.

Nous sommes également des millions à vouloir rompre avec quarante ans d’accroissement des inégalités et des discriminations. Des millions à constater qu’Emmanuel Macron n’a vraiment pas été à la hauteur dans la lutte contre le dérèglement climatique et contre les inégalités. Des millions à trouver ridicules et suicidaires les cinq candidatures annoncées qui se donnent toutes pour priorités « le climat et la justice sociale ».

Environnement: Ces écolos bobos qui vont tuer la prise de conscience environnementale

Environnement: Ces écolos bobos qui vont tuer la prise de conscience environnementale

 

 

 

Le radicalisme dans toutes les matières conduits assez souvent à l’inverse de l’objectif recherché. Ainsi par exemple la doctrine marxiste qui visait à rendre le régime communiste plus égalitaire a surtout conduit à créer des régimes de dictature au profit d’oligarchies. Ainsi le prosélytisme très militant de certaines religions se fondant sur l’amour a-t-elle provoqué d’immenses guerres et de crimes contre l’humanité.

 

Il en est de même avec la cause environnementale. En effet cette cause est surtout servie de manière caricaturale autant que sectaire par des militants qui veulent d’un coup changé les usages mais aussi les valeurs de la société. Ce radicalisme va provoquer forcément une sorte de boomerang chez ceux qui prennent aussi en compte la problématique économique et sociale.

 

La plupart des écolos bobos méprisent  en effet la dimension économique et sociale pour la simple raison que pour la plupart ils viennent sur des métiers financés par l’État ou les organisations internationales. Environ 80 % des élus écolo  d’EELV sont en quelque sorte des fonctionnaires ou assimilés ; ils n’ont  guère eu à se préoccuper des contraintes économiques et de leurs conséquences sociales. Du coup les exigences des écolos bobos risquent de provoquer un dernier coup fatal à la fois à une industrie française en pleine obsolescence et à l’industrie agricole, elle aussi en crise

 

. Certes des changements sont nécessaires et même incontournables là et dans d’autres secteurs. Mais des changements progressifs, négociés et réalistes. Pas vraiment ce que proposent les nouveaux maires élus un peu par hasard lors des  municipales par ailleurs  complètement délaissées par les électeurs. Or la prise de conscience environnementale est indispensable. Tout ne peut en effet posséder de décision ou de régulation étatique.

 

Une part non négligeable dépend du comportement des usagers et des citoyens. D’une certaine manière, les écolos bobos sectaires se comportent comme ces anciens militants communistes qui voulaient faire le bonheur de la société contre la volonté des dés intéressés. Il y a de ce point de vue une certaine similitude entre les deux systèmes de pensée puisque pour une bonne part les écolos bobos sont surtout des gauchistes reconvertis dans l’environnement à la suite du dépérissement voire de la disparition de la gauche et de l’extrême gauche politique. Le même discours prophétique, le même sectarisme, la même volonté de changer la nature de l’homme sans son assentiment et sa participation.

Ces écolos bobos qui vont tuer la prise de conscience environnementale

Ces écolos bobos qui vont tuer la prise de conscience environnementale

 

 

 

Le radicalisme dans toutes les matières conduits assez souvent à l’inverse de l’objectif recherché. Ainsi par exemple la doctrine marxiste qui visait à rendre le régime communiste plus égalitaire a surtout conduit à créer des régimes de dictature au profit d’oligarchies. Ainsi le prosélytisme très militant de certaines religions se fondant sur l’amour a-t-elle provoqué d’immenses guerres et de crimes contre l’humanité.

 

Il en est de même avec la cause environnementale. En effet cette cause est surtout servie de manière caricaturale autant que sectaire par des militants qui veulent d’un coup changé les usages mais aussi les valeurs de la société. Ce radicalisme va provoquer forcément une sorte de boomerang chez ceux qui prennent aussi en compte la problématique économique et sociale.

 

La plupart des écolos bobos méprisent  en effet la dimension économique et sociale pour la simple raison que pour la plupart ils viennent sur des métiers financés par l’État ou les organisations internationales. Environ 80 % des élus écolo  d’EELV sont en quelque sorte des fonctionnaires ou assimilés ; ils n’ont  guère eu à se préoccuper des contraintes économiques et de leurs conséquences sociales. Du coup les exigences des écolos bobos risquent de provoquer un dernier coup fatal à la fois à une industrie française en pleine obsolescence et à l’industrie agricole, elle aussi en crise

 

. Certes des changements sont nécessaires et même incontournables là et dans d’autres secteurs. Mais des changements progressifs, négociés et réalistes. Pas vraiment ce que proposent les nouveaux maires élus un peu par hasard lors des  municipales par ailleurs  complètement délaissées par les électeurs. Or la prise de conscience environnementale est indispensable. Tout ne peut en effet posséder de décision ou de régulation étatique.

 

Une part non négligeable dépend du comportement des usagers et des citoyens. D’une certaine manière, les écolos bobos sectaires se comportent comme ces anciens militants communistes qui voulaient faire le bonheur de la société contre la volonté des dés intéressés. Il y a de ce point de vue une certaine similitude entre les deux systèmes de pensée puisque pour une bonne part les écolos bobos sont surtout des gauchistes reconvertis dans l’environnement à la suite du dépérissement voire de la disparition de la gauche et de l’extrême gauche politique. Le même discours prophétique, le même sectarisme, la même volonté de changer la nature de l’homme sans son assentiment et sa participation.

Les écolos bobos : les pires ennemis de l’environnement

Les écolos bobos : les pires ennemis de l’environnement

 

Les écolos bobos croient servir la cause environnementale avec leur intégrisme radical. En fait, dans la plupart des cas ils n’obtiennent que le contraire de ce qui est recherché. Pour certains d’ailleurs la lutte pour le cadre de vie est secondaire, l’objectif est surtout politique : imposer un autre type de société de philosophie néo marxiste même si les organisations en cause regroupent aussi des anarchistes, des humanistes naïfs et nombre de marginaux. Ainsi la vague verte enregistrée lors des municipales est-elle largement teintée de rouge recyclé. Les organisations politiques officielles de gauche ont été éjectées du jeu politique et nombre de militants se sont reconvertis dans l’idéologie verte révolutionnaire. Le pouvoir est bien contraint d’intégrer les aspirations environnementales d’ une partie de l’électorat et sacrifie sur l’autel écolo quelques victimes expiatoires mais évidemment sans changer la ligne générale de développement. Ainsi en est-il du nucléaire avec par exemple le renoncement très politicien de Mitterrand au projet de central Tricastin et dernièrement la fermeture de Fessenheim par Macron. Dans le même temps, ce dernier prévoit assez rapidement la construction de 6 EPR qui compenseront est bien davantage les quelques fermetures de réacteurs anciens ( une trentaine d’EPR d’ ici 2050). L’objectif de ramener la part du nucléaire à 50 % au lieu de 70 à 75 % relève de cette illusion verte. Pour donner le change,  on construit aussi de très coûteuse éoliennes qui permettent à certains propriétaires terriens de s’enrichir mais constituent un contresens économique et énergétique. Bien d’autres sources d’énergie méritent d’être soutenues comme la biomasse, l’hydroélectrique, le voltaïque ou encore l’hydrogène. Après la pseudo convention citoyenne, la plupart des sujets stratégiques ont été enterrés. On retient surtout le gadget des terrasses chauffées ( et les pelouse des terrains de foot ?). Bref, le radicalisme des écolos verts  rouges contraint à slalomer pour atteindre les objectifs stratégiques, à perdre du temps de l’argent et finalement à nuire à l’environnement. Des évolutions sont indispensables pour améliorer la qualité de vie, le climat et la biodiversité mais elles ne peuvent être que structurelles, c’est-à-dire s’inscrire dans le temps en tenant compte des réalités. Sinon on se résout à accepter une politique environnementale de gribouille qui affiche surtout des gadgets voire des contradictions avec l’objectif recherché.

 

Les écolos bobos : les pires ennemis de l’environnement

 Les écolos bobos : les pires ennemis de l’environnement

Les écolos bobos croient servir la cause environnementale avec leur intégrisme radical. En fait, dans la plupart des cas ils n’obtiennent que le contraire de ce qui est recherché. Pour certains d’ailleurs la lutte pour le cadre de vie est secondaire, l’objectif est surtout politique : imposer un autre type de société de philosophie néo marxiste même si les organisations en cause regroupent aussi des anarchistes, des humanistes naïfs et nombre de marginaux. Ainsi la vague verte enregistrée lors des municipales est-elle largement teintée de rouge recyclé. Les organisations politiques officielles de gauche ont été éjectées du jeu politique et nombre de militants se sont reconvertis dans l’idéologie verte révolutionnaire. Le pouvoir est bien contraint d’intégrer les aspirations environnementales d’ une partie de l’électorat et sacrifie sur l’autel du productivisme quelques victimes expiatoires mais évidemment sans changer la ligne générale de développement. Ainsi en est-il du nucléaire avec par exemple le renoncement très politicien de Mitterrand au projet de central Tricastin et dernièrement la fermeture de Fessenheim par Macron. Dans le même temps ce dernier prévoit assez rapidement la construction de 6 EPR qui compenseront est bien davantage les quelques fermetures de réacteurs anciens ( une trentaine d’EPR d’ ici une cinquantaine d’années). L’objectif de ramener la part du nucléaire à 50 % au lieu de 70 à 75 % relève de cet illusion verte. Pour donner le change,  on construit aussi de très coûteuse éoliennes qui permettent à certains propriétaires terriens de s’enrichir mais constituent un contresens économique et énergétique. Bien d’autres sources d’énergie méritent d’être soutenues comme la biomasse, l’hydroélectrique, le voltaïque ou encore l’hydrogène. Après la pseudo convention citoyenne, la plupart des sujets stratégiques ont été enterrés. On retient surtout le gadget des terrasses chauffées ( et les pelouse des terrains de foot ?). Bref, le radicalisme des écolos verts  rouges contraint à slalomer pour atteindre les objectifs stratégiques, à perdre du temps de l’argent et finalement à nuire à l’environnement. Des évolutions sont indispensables pour améliorer la qualité de vie, le climat et la biodiversité mais elles ne peuvent être que structurelles, c’est-à-dire s’inscrire dans le temps en tenant compte des réalités. Sinon on se résout à accepter une politique environnementale de gribouille qui affiche surtout des gadgets voire des contradictions avec l’objectif recherché par exemple en délocalisant les productions polluantes  dans les pays à bas coûts ou même dans la France profonde.

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