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Impôts PME : bientôt un allégement ?

Impôts PME : bientôt un allégement ?

Le gouvernement réfléchit à  ramener le taux d’impôt sur les sociétés (IS) dans la moyenne de la zone euro pour les PME, soit 28 %. Une mesure réclamée depuis longtemps par les entreprises, aujourd’hui taxées facialement à 33,3 % pour la très grande majorité d’entre elles. En Allemagne le taux est de 30 %, en Italie de 31,4 %, en Espagne de 25 % sans parler de l’Irlande à 12,5 %. «Pour ramener le taux d’IS à 28 %, on a le choix de le baisser un peu chaque année pour toutes les entreprises – sachant qu’un point d’IS coûte 1,2 milliard d’euros. Ou bien on crée un taux à 28 % pour les PME, puis on élargit progressivement le nombre d’entreprises qui peuvent bénéficier de ce taux plus faible», souligne-t-on à Bercy. C’est ce dernier scénario qui semble avoir la préférence du ministre des Finances, Michel Sapin. Il permettrait à l’exécutif de faire d’une pierre deux coups: soutenir les PME et améliorer l’attractivité du pays, en commençant le mouvement d’harmonisation fiscale européenne par une baisse ciblée du taux d’IS, mais franche et lisible. «On regarde cette piste ; elle a le mérite de donner la direction dans laquelle on veut aller, à savoir un taux d’IS à 28 % pour toutes les entreprises à horizon 2020», confirme l’entourage du ministre des Finances. Concrètement, ce nouveau taux viendrait s’intercaler dès 2017 entre le taux classique de 33,3 % et le taux réduit d’IS à 15 % – dont peuvent bénéficier, sur leurs premiers 38.000 euros de bénéfices, les sociétés de taille modeste qui réalisent un chiffre d’affaires maximum de 7,6 millions. Au final, on ne serait plus très loin de l’une des promesses de campagne de François Hollande, lorsqu’il était encore candidat à l’élection présidentielle en 2012. Il promettait alors trois taux d’imposition distincts: 35% pour les grandes, 30% pour les petites et moyennes et 15% pour les très petites.

(Avec AFP)

 

Orange, bientôt la fin du téléphone fixe ?

Orange, bientôt la fin du téléphone fixe ?

 

 

Ce sera bientôt la fin du bon vieux téléphone fixe devront ce convertir au téléphone via Internet (ligne ADSL). L’opérateur testera en 2017 dans 14 communes de Bretagne l’arrêt progressif du téléphone fixe classique au profit d’accès à base de technologies Internet. Orange prépare ses clients à l’extinction définitive du service par grandes zones géographiques, à partir de 2021. Dans le cadre de la modernisation de ses réseaux, Orange a prévu d’arrêter la téléphonie classique dont les infrastructures techniques, vieilles de 30 à 40 ans selon les zones, deviennent obsolètes et coûteuses à maintenir. L’opérateur étant tenu d’annoncer au moins 5 ans à l’avance l’arrêt technique de son service téléphonique de base sur une quelconque partie du territoire, il a décidé de lancer dès 2016 en Bretagne ce chantier d’ampleur nationale.  L’enjeu pour Orange consiste à débrancher progressivement sur toute la France 10,6 millions de « vieilles » lignes en service (fin 2015) contre 23,8 millions de lignes ADSL par lesquelles, via une box d’opérateur, passent les trafics liés à la voix, le web et la télévision. Cette extinction annoncée ne concerne pas le réseau d’accès en cuivre même si Orange teste aussi le remplacement complet de son réseau en cuivre par la fibre optique, sur toute la ville de Palaiseau en Ile-de-France (cf encadré ci-dessous). Partout ailleurs, son réseau de cuivre sert encore de base aux 23,8 millions de lignes ADSL.

(Avec BFM)

Ecosse : un référendum bientôt organisé pour quitter le Royaume-Uni

Ecosse : un référendum bientôt organisé pour quitter le Royaume-Uni

Le gouvernement écossais se prépare à présenter une loi autorisant la tenue d’un second référendum sur l’indépendance de l’Ecosse et souhaite débuter au plus vite des discussions sur sa place au sein de l’Union européenne, a déclaré samedi la Première ministre Nicola Sturgeon. La chef de file du Parti national écossais (SNP), favorable à l’indépendance, a expliqué qu’il était de son devoir de rassurer ses concitoyens, qui ont voté à 62% en faveur du maintien dans l’Union européenne lors du référendum de jeudi. « Nous sommes déterminés à agir sans hésitation afin de bâtir une unité dans toute l’Ecosse », déclaré Nicola Sturgeon devant la presse. « L’option d’un second référendum sur l’indépendance est très clairement sur la table et nous allons prendre des mesures pour nous assurer que la législation nécessaire va être adoptée », a-t-elle ajouté, confirmant ses propos tenus la veille. Nicola Sturgeon a expliqué qu’une commission consultative en vue d’un référendum serait mise en place « dans les prochains jours » et indiqué que les autorités écossaises souhaitaient parallèlement entamer au plus vite des discussions avec les institutions européennes. La Commission européenne a réagi avec prudence aux propos de la dirigeante écossaise, rappelant que l’Ecosse faisait constitutionnellement partie du Royaume-Uni et refusant de « spéculer plus avant » sur la question. Une source proche du gouvernement écossais a déclaré ne pas être découragée par cette réaction qui était simplement « un constat de fait ». Les Ecossais s’étaient prononcés à 55% contre l’indépendance de leur pays lors du référendum de septembre 2014. Les autorités d’Edimbourg estiment que le vote en faveur du Brexit justifie la tenue d’une nouvelle consultation. Sur le référendum de jeudi, les Ecossais se sont très largement prononcés en faveur du « Remain » (maintien) qui a recueilli 62% des suffrages dans le pays. Le SNP fait valoir que l’échec du référendum sur l’indépendance s’explique par l’idée que la présence de l’Ecosse dans le Royaume-Uni apparaissait alors comme le seul moyen de garantir son appartenance européenne. L’Ecosse ne se laissera pas priver de son statut de membre de l’UE sans explorer des solutions de remplacement, a ajouté Nicola Sturgeon.

(avec Reuters)

Euro foot 2016 : la Russie bientôt exclue

 Euro foot 2016 : la Russie bientôt exclue

La Russie écope d’une suspension avec sursis à cause des violences de ses fans samedi dernier au Vélodrome, à Marseille. En cas de nouvel incident, le pays sera exclu de l’Euro 2016. La Russie est soupçonnée d’une certaine complicité avec ses hooligans dans la mesure où elle n’a pratiquement pas collaboré avec la police française pour signaler ses supporters violents. Une quinzaine seulement d’individus ont été signalés alors que des centaines ont réussi à pénétrer sur le sol français. La plupart des autres pays ont transmis à la France des listes de plusieurs centaines d’hooligans y compris la Suisse qui n’est pas pourtant le pays d’affrontement privilégié des supporters. L’avertissement à la Russie et sans doute salutaire dans la mesure où ce pays sera chargé d’organiser le mondial 2018.  On saura donc  à l’issue du prochain match de la Russie contre mercredi si la Russie et exclue ou non de l’euro 2016. En attendant La Russie a été sanctionnée par l’UEFA mardi d’une suspension avec sursis, à cause des violences de ses fans au Vélodrome samedi, ce qui veut dire qu’elle sera exclue de l’Euro 2016 en cas de nouvel incident de ses supporters dans un stade du tournoi en France. La Russie était poursuivie par l’UEFA pour les incidents provoqués par des fans russes au coup de sifflet final d’Angleterre-Russie (1-1) au Vélodrome de Marseille samedi. L’instance européenne du football ne gère que les débordements dans les enceintes sportives, ce qui se passe en dehors relève des autorités du pays hôte. La fédération russe est également condamnée à payer une amende de 150.000 euros. La Russie, pays hôte du Mondial-2018, était poursuivie par l’UEFA pour des « perturbations » dans les tribunes, « comportement raciste » et usage de « fumigènes ». Des fans russes avaient chargé les supporters anglais dans les travées du Vélodrome, incidents nettement moins graves que les affrontements entre supporters sur le Vieux-Port qui avaient fait 35 blessés, majoritairement des Britanniques, dont un homme toujours dans un état critique, mais stable. Le prochain match de la Russie, contre la Slovaquie, est programmé mercredi à Lille et son dernier en phase de poules, contre le Pays de Galles, est prévu lundi 20 juin à Toulouse. Des supporters russes contrôlés mardi dans le département des Alpes-Maritimes, à une heure et demie de Marseille, vont être reconduits à la frontière, car ils sont soupçonnés de présenter une menace à l’ordre public après les incidents survenus samedi en marge du match Angleterre-Russie à Marseille, a indiqué par ailleurs la préfecture.

Alliance Renault-Nissan-Mitsubishi : bientôt numéro un mondial ?

Alliance Renault-Nissan-Mitsubishi : bientôt numéro un mondial ?

Dans un article de challenges on apprend la prise de participation de Nissan chez Mitsubishi. Du coup l’alliance Renault, Nissan Mitsubishi pourrait bien devenir numéro un mondial en tout cas talonner sérieusement Volkswagen et Toyota. Carlos Ghosn a en effet annoncé ce jeudi le renforcement de l’Alliance franco-japonaise en prenant 34% de son concurrent japonais Mitsubishi Motors (MMC) en détresse. Et ce, pour 237 milliards de yens (1,9 milliard d’euros). L’opération prévoit que MMC émettra des actions nouvelles destinées à Nissan, qui contrôlera désormais le constructeur, au vu du droit boursier japonais. L’Alliance Renault-Nissan, qui a vendu 8,53 millions de véhicules l’an dernier (+1%), pèsera avec MMC autour de 9,5 millions, se rapprochant ainsi des ténors Toyota et Volkswagen (autour de 10 millions chacun) qui se disputent la première place mondiale et de l’américain GM. « Nous avons toujours dit que nous avions l’ambition d’être dans le Top 3″, a rappelé Carlos Ghosn ce jeudi dans une conférence de presse à Yokohama. C’est donc une nouvelle opportunité qu’a saisie Carlos Ghosn de renforcer l’Alliance Renault-Nissan, laquelle contrôle également le premier constructeur auto russe Avtovaz (Lada). Renault détient 43,4% de Nissan, qui détient à son tour 15% (sans droits de vote) de son actionnaire tricolore. Depuis 2010, l’Alliance est liée à l’allemand Daimler (Mercedes), qui possède 3,1% de Renault et Nissan. Ces deux derniers possèdent à leur tour 1,55% chacun du consortium de Stuttgart. Les deux partenaires resteront bien « séparés », a insisté Carlos Ghosn. Comme Renault et Nissan depuis leur rapprochement en 1999. Nissan pourra toutefois nommer le tiers des membres du conseil d’administration de Mitsubishi Motors, qui serait également présidé par un responsable du partenaire nippon de Renault.  Mitsubishi Heavy Industries, Mitsubishi Corp et Bank of Tokyo-Mitsubishi UFJ, sociétés de la galaxie Mitsubishi qui détenaient 34% du capital de MMC avant la transaction, n’en auront plus que  22%. « Nous envisagions de renforcer notre collaboration depuis un certain temps, et, sur ce, la crise est survenue, accélérant les choses », explique Carlos Ghosn. Les deux firmes japonaises étaient déjà partenaires. MMC fournit ainsi des « midgets » (mini-véhicules fiscalement favorisés dans l’archipel) à Nissan. C’est d’ailleurs ce dernier qui a découvert, sur ces véhicules, le scandale sur la pollution qui a mis le feu aux poudres, plongeant MMC dans une nouvelle crise. Après avoir été au bord du gouffre  au début des années 2000 à cause de rappels non effectués en violation de la législation nippone, MMC s’était allié à Daimler-Chrysler, lequel avait pris une participation de contrôle. Mais, en difficulté lui-même, le consortium germano-américain avait ensuite laissé tomber le japonais, sauvé in extremis par les firmes partenaires de la nébuleuse Mitsubishi. Trop petit, trop spécialisé dans les mini-véhicules et les 4×4, MMC s’était alors associé industriellement à PSA, à qui il a longtemps fourni des modèles électriques (Peugeot Ion, Citroën C-Zéro) et des « SUV » (Peugeot 4007 puis 4008, Citroën C-Crosser puis Aircross). Des négociations s’étaient déroulées au tout début de la décennie pour une alliance capitalistique. Mais, PSA n’avait pas les moyens de prendre une telle participation. Et MMC s’est retrouvé tout seul, parvenant cependant à survivre grâce à des économies sur les investissements. Et puis, le 20 avril dernier, patatras. MMC avouait qu’il avait menti sur les consommations de quatre de ses mini-véhicules vendus au Japon, deux de ces véhicules étant commercialisés sous la marque Nissan.  Cette tricherie a…fait fondre la capitalisation boursière de MMC de 45%! Il est vrai que les analystes estiment le coût d’indemnisation des clients MMC à  800-900 millions d’euros. MMC apportera essentiellement à Nissan son implantation dans le sud-est asiatique (où son compatriote est faible) et son expertise dans les « midgets ». Carlos Ghosn, a précisé que les deux constructeurs partageraient des technologies et pourraient dégager des « milliards » de synergies en coordonnant leurs achats, l’utilisation des sites industriels et en coopérant dans les marchés en croissance. « Tout le monde y gagnera », a assuré le double PDG.

(Challenges)

La Kwid Renault à 6000 € bientôt en Europe ?

 

 

 

 

Difficile de s’y retrouver dans les tendances lourdes qui vont caractériser le marché automobile.  D’un coté on note que le prix moyen de la voiture qui se situe autour de 25 000 € a nettement progressé au cours de ces dernières années, de l’ordre de 30 % en cinq ans. En cause la mode des SUV dont le coût est supérieur en général aux autres modèles aussi un grand nombre de gadgets informatiques qui permettent de justifier l’augmentation des prix. Inversement on constate aussi une demande de petit véhicule déshabillé des équipements informatiques inutiles et considérés seulement comme un outil de déplacement. (Sans parler de l’attentisme des automobilistes vis-à-vis du véhicule électrique).  C’est sans doute cette dernière tendance qui risque d’inciter Renault à introduire plus vite que possible son véhicule à très bas coûts là Kwid actuellement fabriqués et Bien une carrière européenne. Et cela pourrait même être pour bientôt: 2020. Officiellement Renault n’y songe pas encore. Pourtant la voiture est déjà testée depuis plusieurs mois sur les routes européennes. Mais pour l’homologuer, il va falloir revoir les normes de sécurités.  En clair : renforcer la structure ou encore l’équiper d’un airbag. Il va falloir aussi l’adapter aux normes antipollution. Un nouveau moteur sera donc indispensable. Des modifications qui vont renchérir son prix. Il faudra compter au minimum 6.000 euros contre 3.500 euros en Inde.  Il faut aussi un site compétitif proche du marché européen, comme l’usine de Tanger au Maroc.

Les tablettes bientôt obsolètes ?

Les tablettes bientôt obsolètes ?

 

 

Ce devait être la nouvelle grande révolution annoncée par Apple or on se demande aujourd’hui si les tablettes ne deviendront pas bientôt obsolètes. Le marché des tablettes dans son ensemble recule (-12% en 2015). La faute à la concurrence des smartphones dont les écrans sont de plus en plus grands et qui viennent empiéter sur les plates-bandes des tablettes. En 2012, la taille d’écran moyenne en France pour les smartphones était de 3,7 pouces, elle est montée à 4,4 pouces en 2014 et a atteint les 5 en 2015. Des smartphones qui cannibalisent mais aussi des appareils qu’on remplace moins souvent. La tablette a fait en quelque sorte « le plein » depuis 5 ans puisque près de 60% des foyers français en possèdent une selon une étude de la Fevad. Or à la différence du smartphone, une tablette a une durée de vie plus longue et se change moins souvent (elle reste à la maison et s’use moins). Désormais la tablette est sur un marché de renouvellement qui ne génère plus de croissance. Les cycles se raccourcissent de plus en plus vite dans la « tech ». Cinq ans seulement après la sortie du premier iPad d’Apple, le marché des tablettes est clairement à la peine. Pour la première fois de leur courte histoire, les ventes de tablettes ont reculé l’an dernier. Selon le cabinet d’études IDC, la baisse a atteint 10,1 % en 2015, avec 206,8 millions d’unités écoulées dans le monde. Sur le dernier trimestre, et malgré les fêtes de Noël, les ventes ont même chuté de 13,7 %. Par contre se développent  les tablettes hybrides entre ordinateurs et tablettes classiques Les ventes de tablettes hybrides ont plus que doublé l’an dernier avec 16,9 millions d’unités écoulées, selon IDC (dont 2 millions pour l’iPad Pro, lancé en novembre 2015).  « L’une des raisons du succès de ces produits vient justement du fait qu’ils peuvent aisément remplacer un PC », estime Jitesh Ubrani. L’analyste s’attend à une poursuite de la croissance pour ce segment de marché, avec l’arrivée de nouveaux acteurs et de nouveaux modèles à des prix plus abordables que les modèles actuels. Les « 2-en-1 » pourraient même permettre d’enrayer le déclin du marché des tablettes dès 2016, et relancer la croissance pour les années suivantes.

Football : bientôt 5, 10 ou 25 arbitres par match !

Football : bientôt 5, 10 ou 25 arbitres par match !

Dans tous les sports les erreurs d’arbitrage sont possibles mais dans le football elles sont tellement récurrentes  qu’on les qualifie de « faits de jeux » affin de les banaliser. Il est vrai qu’il n’est pas facile d’arbitrer des matchs de football lorsqu’au moindre contact les joueurs se roulent par terre et font semblant de hurler de douleur jusqu’à obtention d’un coup franc ou d’un carton pour le supposer coupable. Bien sûr il y a des fautes indiscutables mais la plupart peuvent être discutées tellement les footballeurs ont amélioré leur capacité de comédien ;  il faut ajouter à cela que le rythme s’est nettement accéléré du fait de la technicité des joueurs et en raison des  nouveaux ballons. Face aux critiques récurrentes contre l’arbitrage les porteurs de sifflets officiels organisés en syndicat comme les pilotes de ligne ou les producteurs de porcs proposent donc des mesures concrètes notamment la professionnalisation du métier.  Difficile de croire à l’efficacité de ces orientations car le défaut majeur de ces arbitres c’est de n’avoir pratiquement jamais joué au football. La vraie professionnalisation consisterait «  comme au basket par exemple) à recaser  d’anciens joueurs notamment professionnels dans la fonction d’arbitre. Pas sûr qu’en systématisant la présence de cinq arbitres sur le terrain (pourquoi pas 10 ou 25) on améliorera sérieusement la situation.

les 5 principales mesures concrètes préconisées par le syndicat des arbitres (SAFE).

1. Un appel à la professionnalisation

L’appel à « la professionnalisation de l’arbitrage » est une des propositions du SAFE. « Il faut donner à tous les arbitres les moyens de se consacrer pleinement à l’arbitrage », a justifié Olivier Lamarre, qui a cependant rappelé que « les arbitres ont un statut d’indépendant et ne sont pas salariés de la FFF, car la loi l’interdit ».

2. Un arbitrage à 5 en Ligue 1

« L’utilisation de deux arbitres additionnels » en L1 dès la saison prochaine, « en adéquation avec le niveau des compétitions UEFA » (Ligue des champions, Europa League, Euro 2016), est également préconisée. « Au niveau des ressources humaines, nous n’aurions pas de souci pour trouver les arbitres supplémentaires compétents« , a assuré Olivier Lamarre.

 

3. La mise en place du carton blanc et l’extension de la vidéo

Le SAFE propose également « une ouverture à l’évolution des règles », comme l’usage d’un carton blanc, qui exclurait temporairement, durant dix minutes, un joueur coupable d’énervement. « Nous sommes évidemment favorables à l’usage de la vidéo proposée récemment par le Board (organe garant des lois du jeu) ». En ce sens, la FFF et la LFP ont aussi indiqué leur volonté de tester la vidéo en fonction des recommandations du Board.

4. Une diffusion des propos des arbitres

Autre proposition notable, « un surplus d’ouverture auprès des joueurs, des entraîneurs et des spectateurs ». Ce qui se traduirait par la possibilité de diffuser les propos des arbitres pendant les matches, mais également d’ouvrir les vestiaires aux joueurs et aux entraîneurs.

5. De la pédagogie dans les médias

Parmi les autres propositions concrètes, figurent également « une éducation pédagogique sur les règles pour faire évoluer les mentalités » qui se ferait par l’intervention plus régulière des arbitres dans les médias. Un renforcement des sanctions disciplinaires après des comportements déviants et des agressions est également suggéré, tout comme une meilleure protection sociale et une préparation à la reconversion des arbitres. Ces propositions seront abordées lors d’une réunion avec la Direction technique de l’arbitrage (DTA) le 5 février.

 

Le virus Zika bientôt en France en France ?

Le virus Zika  bientôt en France en France ?

Pas une certitude mais une possibilité selon un rapport rendu public lundi par le Haut Conseil de la santé publique (HCSP) et alors que l’organisation mondiale de la santé vient de déclarer un état d’urgence mondiale vis-à-vis du virus musica. Dans son rapport rédigé à la demande des autorités sanitaires, le HSCP reconnaît que «les conditions pour une transmission autochtone du virus zika sont réunies dans les départements (métropolitains) où le moustique vecteur est présent», c’est-à-dire dans les départements déjà colonisés par le moustique tigre (voir carte). Le risque de transmission du virus dans les départements métropolitains concernés est considéré comme «réel» par le HCSP, notamment en cas de circulation du virus dans les départements français d’Amérique (DFA, Guadeloupe, Martinique et Guyane) où le risque de transmission autochtone du virus est jugé «élevé». Pour les auteurs du rapport, le virus zika pourrait se propager de la même manière que le chikungunya, avec des vacanciers partis dans des zones où sévit le virus et qui l’importent à leur retour en France métropolitaine. La propagation se fait ensuite par le moustique tigre.  Pour réduire le risque, le HCSP recommande de prendre des mesures de lutte antivectorielle, du type de celles prises pour lutter contre le chikungunya aux Antilles. Parmi celles-ci figure l’isolement des cas suspects ou confirmés pendant la période fébrile sous moustiquaire ou dans un local avec fenêtres fermées, pour éviter la contamination de nouveaux moustiques. L’épidémie de 2013-2014 en Polynésie française avait touché environ 32.000 personnes, selon des estimations citées par le HCSP. Parmi les personnes infectées, 72 avaient présenté des complications neurologiques graves dont 42 syndromes de Guillain-Barré, un syndrome qui peut se traduire par une paralysie des membres et de la face. Dans les cas les plus graves, ce sont les muscles de la déglutition et de la respiration qui sont atteints.

État de Palestine : bientôt reconnu officiellement par la France

État de Palestine : bientôt reconnu officiellement par la France

On sait que les relations de la France avec Israël se sont nettement détériorées ces derniers temps en raison notamment du blocage total des négociations entre palestiniens et Israéliens. Du coup peut-être pour forcer la main à Israël Laurent Fabius menace de reconnaître officiellement la Palestine. Pour cela il lance une ultime chance de négocier dans le cadre d’une conférence internationale. Une conférence internationale qui en l’état du rapport de force a peu de chances d’aboutir. Mais cet échec pourrait donner une légitimité à la France pour reconnaître officiellement la Palestine. On sait que les Israéliens ont été très déçus de la normalisation des relations lithiques et économiques avec l’Iran. Une normalisation maintenant soutenue par la France. La position française sur ce sujet ne sera sans doute pas de nature à favoriser un climat de négociation dans un cadre international. Laurent Fabius, qui a plusieurs fois tenté en vain de promouvoir «un changement de méthode» dans le traitement du conflit israélo-palestinien, ne cependant renonce pas. Vendredi, à l’occasion de ses vœux au corps diplomatique, le ministre des Affaires étrangères a annoncé vouloir réunir «dans les semaines qui viennent» une conférence internationale impliquant les Etats-Unis, l’Europe et les pays arabes «afin de préserver et de faire aboutir, si c’est possible, la solution des deux Etats». Dans le cas où cette initiative échouerait, a-t-il aussi précisé, la France prendra ses responsabilités et reconnaîtra l’Etat de Palestine.

Immobilier : la fin de la baisse des prix pour bientôt ?

Immobilier : la fin de la baisse des prix pour bientôt ?

On ne cesse de répéter que les lobbys de l’immobilier passent leur temps depuis deux ans à pronostiquer la sortie de crise pour le secteur et le redressement des prix. S’appuyant sur une augmentation des ventes, la fédération des agents immobiliers prévoit donc la fin de la baisse des prix. Les transactions ont effectivement augmenté en 2015 ; Début décembre, les notaires ont fait état de 753.000 transactions enregistrées à fin septembre, sur les 12 derniers mois, soit un volume en hausse de 4%. On pourrait atteindre un chiffre de 800 000 transactions pour l’année passée. Quant aux prix, ils se sont repliés de 1,9% au niveau national (-2% en province, -1,4% en Ile-de-France), selon les estimations de la Fnaim. «La fin de la baisse est pour bientôt», souligne Philippe Taboret, directeur général adjoint du courtier en crédit Cafpi: «Les conséquences de la politique menée par la Banque centrale américaine (FED) devraient nous impacter à partir du second semestre 2016. Là, les taux vont remonter tranquillement, et nous seront peut-être à 2,50 %en moyenne en fin d’année.» Première observation la fin de la baisse est loin d’être certaine car le déséquilibre offre demande demeure. En moyenne, il y a toujours un vendeur pour un acheteur. Seconde observation la récurrente question de l’insuffisance de solvabilité pour les primo accédants. Troisième observation, il n’est pas du tout certain que l’on s’oriente vers une remontée des taux par la banque centrale américaine ni en mars, ni au cours de 2016 compte  tenu du tassement général de l’activité mondiale. À juste titre,  la fédération des agents immobiliers note de grandes différences selon les segments de marché. Si effectivement les prix ont baissé en 2015 de quelques % par contre les baisses peuvent aller jusqu’à 20 30 40 même 50 % en zone rurale très isolée. Dernière remarque les incertitudes qui pèsent sur l’économie mondiale avec notamment l’inquiétant tassement en Chine aussi les risques géo politique.

Inflation bientôt négative en zone euro (Jens Weidmann)

 

Inflation bientôt négative en zone euro (Jens Weidmann)

Le débat sur l’inflation du risque de renaître en Europe d’autant que cette question est au cœur de la politique monétaire notamment de la BCE. Une inflation actuellement voisine de zéro et qui pourrait même devenir négative. Cela découlant directement du décalage de l’offre par rapport à la demande. Le caractère négatif de l’inflation n’inquiète toutefois pas le gouverneur de la banque centrale allemande qui la prévoit pour les mois à venir. En fait l’Allemagne a toujours été hantée par une inflation excessive et ne peut donc adhérer à des moyens de soutien qui pourrait la faire repartir à la hausse de manière trop significative. L’inflation en zone euro va donc vraisemblablement repasser bientôt en territoire négatif, a prévenu jeudi le président de la Bundesbank allemande, qui ne voit pas pour autant de menace de déflation et reste critique de l’action de la BCE. « La prévision d’inflation (pour la zone euro) va devoir être revue en sensible baisse », a déclaré Jens Weidmann, gouverneur de la banque centrale allemande, dans un discours à Bonn (ouest), publié sur le site de l’institution. L’indice des prix à la consommation « pourrait au printemps s’établir provisoirement en territoire négatif. Nous ne devons pas nous laisser hypnotiser par le taux d’inflation, comme le lapin par le serpent », a-t-il plaidé, et « la politique monétaire devrait passer outre ces fluctuations de court terme, dictées par les prix du pétrole ». Si effectivement on ne peut constater le tassement de la hausse des prix lié en particulier à la baisse de ceux des matières premières, il convient cependant de relativiser l’ampleur de la baisse des prix. En effet les prix retenus concernent essentiellement la consommation des ménages. Or du fait de la crise ces ménages ont tendance à modifier la structure de leur consommation ; en clair, ils compensent  l’augmentation des dépenses contraintes par une réduction des dépenses ajustables. Dans la réalité, les prix retenus ne baissent pas autant qu’on le dit. Du coup la mesure de la croissance elle-même se trouve un peu faussé par ce déflateur sous-évalué. En clair la croissance est encore moins importante qu’elle ne paraît dans les chiffres officiels.

Suède : 80.000 demandeurs d’asile bientôt expulsés ?

Suède : 80.000 demandeurs d’asile bientôt expulsés ?

Il est clair que la politique des Etats de l’union européenne est en train de changer radicalement en ce qui concerne l’accueil des réfugiés. Ainsi la Suède, un des pays  les plus tolérants dans ce domaine, envisage-t-elle maintenant une éventuelle expulsion de la moitié des demandeurs d’asile venus en Suède en 2015. D’une certaine manière la politique d’immigration européenne aura connu trois phases : la première, une phase de compassion et d’accueil massif de  réfugiés ; La seconde, une phase de limitation pour les entrées ;  la troisième une phase de rejet et de renvois des intéressés dans leur pays. Encore une fois l’évolution radicale d’un pays comme la Suède considérée comme très accueillant précédemment illustre bien ce changement d’attitude en Europe. La Suède entend en effet  expulser jusqu’à 80.000 migrants arrivés sur son sol en 2015 et dont la demande d’asile a été ou sera rejetée, a déclaré le 27 janvier le ministre de l’Intérieur Anders Ygeman.  »On parle de 60.000 personnes, mais cela peut monter à 80.000″, a indiqué le ministre au quotidien financier Dagens Industri et à la télévision publique SVT. Ce dernier a précisé que la police et l’Office des migrations organiseront ces retours à la demande du gouvernement En temps ordinaire, les expulsions s’effectuent sur des vols commerciaux mais compte tenu des nombres évoqués, « nous allons devoir utiliser plus d’avions charters » spécialement affrétés et les expulsions s’étaleront sur plusieurs années, a ajouté M. Ygeman. En 2015, 163.000 réfugiés ont déposé une demande d’asile en Suède, l’équivalent de 1,3 million de personnes pour un pays de 80 millions d’habitants comme l’Allemagne, laquelle a reçu 1,1 million de réfugiés sur la même période.  Sur les quelque 58.800 dossiers traités l’an dernier par l’office suédois, 55% ont été acceptés, moyenne sur laquelle se fonde le ministre de l’Intérieur pour justifier l’estimation la plus haute. Celle-ci pourrait se révéler excessive car une proportion importante des décisions rendues concernaient des demandes déposées en 2014 alors que la crise migratoire n’avait pas encore atteint son pic. Or les Syriens sont arrivés en masse en 2015 et le taux d’acceptation des demandes d’asile varie considérablement en fonction des nationalités: 90% pour les Syriens, 35% pour les Afghans et 20% seulement pour les Irakiens

Bientôt un syndicat pour les salariés de l’État islamique ?

Bientôt un syndicat pour les salariés de l’État islamique ?

Privé de sa ressource principale à savoir le pétrole, l’État islamique aurait été contraint de réduire de moitié le salaire de ses combattants salariés. De là à penser qu’un syndicat va s’implanter dans le califat, il y a un pas qu’on ne peut pas franchir. Pourtant il y aurait moyen de lutter encore plus efficacement contre l’État islamique en implantant notamment un syndicat gauchiste par exemple comme Sud pour défendre les avantages acquis des travailleurs terroristes. Des syndicats gauchistes qui ont fait la preuve en France de leur efficacité en torpillant la compétitivité de l’économie (responsabilité partagée avec la technocratie). En effet, en raison des difficultés économiques probablement provoquées par les frappes qu’il subit, l’État islamique aurait décidé de réduire de moitié les salaires de ses combattants.  « Personne ne sera exempté de cette décision, quelle que soit sa position, mais la distribution alimentaire se poursuivra deux fois par mois comme d’habitude », précise toutefois le communiqué de l’EI. Selon l’OSDH, un combattant étranger percevrait quelque 400 dollars dans les rangs de l’EI tandis qu’un combattant syrien serait rémunéré la moitié moins, soit 200 dollars.

Banque : l’emploi bientôt dans la situation de la sidérurgie ?

Banque : l’emploi bientôt dans la situation de la sidérurgie ?

Nombre d’experts considèrent  qu’en Europe et en France en particulier les effectifs  devraient être réduits de la moitié dans les 10 ans ;  un phénomène qui touche d’ailleurs l’ensemble du monde. En cause l’amplification de la digitalisation, le développement des banques en ligne et le nouveau développement de moyens de paiement (par mobile notamment). Un secteur qui pourrait connaître le sort de la sidérurgie ou presque. 150 000 emplois ont déjà été supprimés en six mois et les restructurations devraient encore s’accélérer pour les banques européennes. En cause suffisance de rentabilité des activités bancaires. Le taux de rentabilité des activités de dépôt est plombé par le coût de main-d’œuvre (notamment nombre  d’agences et personnel) Il est par ailleurs menacé par la future existence de nouveaux moyens de paiement et la dématérialisation de certaines opérations mais le second volet de l’activité des banques, l’activité d’investissement souffre aussi d’un manque de retour financier lui aussi très gourmand en personnel. Dans un premier temps est donc probable que les banques européennes devront s’aligner si les critères de gestion des banques américaines qui ont supprimé près de 7 % des postes quand les banques européennes n’ont supprimé que quatre %. À plus long terme c’est peut-être l’existence même des les activités bancaires en tout cas leur structure actuelle qui pourrait être en cause et engendrer jusqu’à la moitié des emplois existants d’ici 10 ans. Malgré le poids grandissant de la finance dans nos sociétés, le secteur bancaire n’est pas épargné par les baisses d’effectifs. L’agence Bloomberg observe dans un article que les banques ont supprimé environ 600.000 postes à travers le monde depuis la crise économique de 2008. Parmi les institutions aux coupes les plus sévères, l’américaine Citigroup, présente dans plus de 100 pays, a supprimé plus d’un tiers de ses effectifs, soit près de 140.000 salariés. Comme dans beaucoup d’autres banques, les plans sociaux se sont enchaînés, aussi bien en salle de marché qu’en agence. Et ce mouvement n’est apparemment pas près de s’arrêter. Citigroup a encore prévu 2000 licenciements d’ici à 2016. La banque HSBC, quant à elle, a annoncé la suppression de 25.000 postes avant 2017. En Europe, l’allemande Deutsche Bank prévoit un plan d’économie de 4,7 milliards d’euros et 26.000 licenciements d’ici à 2018. Côté français, Société générale, notamment touchée par l’affaire Kerviel, a supprimé des milliers de postes depuis 2008. Elle prévoit désormais la fermeture de 400 agences sur les 2221 qu’elle compte d’ici à 2020, soit 20% de son réseau. La restructuration passera par le «non-remplacement» de 3000 départs à la retraite, promet la banque. Cette situation fait néanmoins peser un climat lourd dans l’entreprise. Le 9 décembre, dans une lettre adressée à Emmanuel Macron, le syndicat Force Ouvrière reproche à la banque le paradoxe entre son «absence totale de reconnaissance à l’égard des salariés» et ses très bons résultats (1126 milliards d’euros au troisième trimestre de 2015). La crise des subprimes a touché de plein fouet le secteur financier et les taux d’intérêt durablement bas affectent la rentabilité globale des banques. Mais les évolutions en œuvre sont aussi la marque d’une tendance plus profonde: la digitalisation en cours dans le milieu bancaire. De nombreuses opérations historiquement réalisées par des salariés sont désormais automatisées. En salle de marchés, les achats/ventes d’actions d’entreprises, de devises ou encore de «credit default swap» (produits dérivés financiers par lequel le vendeur garantit l’acheteur en cas de défaillance d’une tierce partie) sont de plus en plus dévolus aux ordinateurs.  En outre, l’utilisation du «Big Data» (traitement informatique de données massives) en banque d’investissement permet de mieux identifier les besoins des clients. La division de banque d’entreprise et institutionnelle (CIB) de BNP Paribas, qui emploie 29.000 personnes, a annoncé en novembre dernier qu’elle étudiait le Big Data dans le cadre de son programme de réduction massif des coûts.  D’après une étude publiée par la Fédération bancaire française (FBF), plus de la moitié (52%) des Français se rendaient dans leur banque plusieurs fois par mois en 2010. Aujourd’hui, ils ne sont plus que 21%, soit une personne sur cinq.

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