Archive pour le Tag 'bientôt'

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Vaccin de Novavax : bientôt plus d’un milliard de doses

Vaccin de Novavax : bientôt plus d’un milliard de doses

Dans le cadre du dispositif international Kovacs qui vise à assurer la fourniture de vaccin a 20 % de la population de 200 pays, l »entreprise de biotechnologie américaine Novavax s’est engagée à mettre à disposition du programme international de vaccination anti-Covid Covax 1,1 milliard de doses de son candidat vaccin, a indiqué vendredi Gavi.

L’objectif est donc de disposer d’un total de 1,1 milliard de doses de Novavax, produites par la société biotechnologique elle-même ou par le SII, a expliqué un porte-parole de Gavi. Ce vaccin américain en deux doses fait l’objet d’un examen continu par l’Agence européenne des médicaments (EMA), ce qui ouvre la voie à une demande prochaine d’autorisation dans l’UE. C’est un vaccin dit «sous-unitaire», à base de protéines qui déclenchent une réponse immunitaire, sans virus. Ses concepteurs affirment qu’il est efficace à 89,3%.

Foot français : bientôt américain ?

Foot français : bientôt américain ?

C’est l’interrogation du journaliste Christian Jeanpierre commentateur sur TF1. Et qui vient de publier le livre 2026, l’année où le football deviendra américain chez Solar éditions. « Quand j’ai écris ce livre il y a un an, je partais d’un principe philosophique qui me plaisait. C’est-à-dire, que c’était un sport qui est né en 1863 en Angleterre et qui allait s’imposer aux États-Unis ». Il a découvert cette année que « ce sport qui est né en Europe allait s’imposer aux États-Unis mais que les Américains qui sont les rois du business, débarquaient en Europe, et allaient en faire un business en Europe ».

Le journaliste est persuadé de la surpuissance américaine dans les années à venir puisqu’après un voyage aux États-Unis en 2019, il a découvert la Coupe du monde 1994 qui n’avait pas été suivie par les Américains à l’époque. Mais en 2019, à Manhattan tout était différent, Christian Jeanpierre a vu partout des publicités pour le soccer européen« Les Américains débarquent en Europe et vont faire de notre football, un business ».

 

Covid-19 : les hôpitaux bientôt débordés

Covid-19 : les hôpitaux bientôt débordés

Le  nombre de malades hospitalisés a encore augmenté ce dimanche, à 26.357 (+ 493 en 24 heures), soit un bon millier de plus qu’il y a une semaine. Les services de réanimation – où sont les cas les plus graves – comptent eux 2955 malades (+ 69 en 24 heures), contre 2766 sept jours auparavant.

 

Ces vingt-quatre dernières heures, la France a enregistré 172 décès à l’hôpital (contre 321 samedi, ce qui est pour le coup une baisse), portant le total à 73.049 depuis le début de l’épidémie. 18.436 personnes contaminées ont été dépistées, ce qui porte le nombre total de contaminations dépistées à 3.053.617. Le taux de positivité des tests, indicateur avancé très suivi, est de 7,1% (7,1% samedi, 7% vendredi), au plus haut depuis début décembre.

Bientôt un «certificat de vaccination» européen

Bientôt un «certificat de vaccination» européen

Ursula von der Leyen, s’est prononcé clairement pour un certificat de vaccination européen

«C’est un impératif médical d’avoir un certificat de vaccination. C’est pour cette raison que je me réjouis de l’initiative du Premier ministre grec (Kyriakos Mitsotakis, ndlr) pour un certificat de vaccination mutuellement reconnu», a-t-elle déclaré.

 

«Si cela donne priorité ou accès à certains biens, c’est une décision politique et juridique qui doit être discutée au niveau européen», a-t-elle ajouté, alors que les Vingt-Sept tiendront jeudi prochain un nouveau sommet sur leur coordination face à la crise sanitaire.

Le chef du gouvernement grec avait appelé mardi l’Union européenne à adopter un certificat «standardisé» de vaccination pour donner un coup de pouce à l’industrie du tourisme, terrassée par la pandémie du coronavirus.

«Il est urgent d’élaborer un accord commun sur la création d’un certificat de vaccination qui sera accepté par tous les pays membres», avait écrit Kyriakos Mitsotakis, soulignant qu’«un certificat standardisé sera la preuve qu’une personne a été vaccinée avec succès».

La République en marche : bientôt les funérailles

La République en marche : bientôt les funérailles

Rien ne va plus dans ce pseudo parti de la république en marche. Un pseudo parti puisqu’il ne compte pas de militants ou de responsables et que tout repose sur le référent départemental, sorte de préfet du parti. Les défaites succédant aux défaites électorales, le parti vient de changer 70 préfets sur 130 afin de tenter de renouveler ces responsables sortis de nulle part et recrutés pour la plupart sur Internet.

 

Ces « préfets » du mouvement, comme ils sont surnommés, sont désignés par le siège national pour une durée de trois ans. Ceux remplacés aujourd’hui étaient donc arrivés aux manettes au début du quinquennat, voire avant l’élection d’Emmanuel Macron, à une époque où les marcheurs imaginaient encore que la bienveillance pouvait changer à elle seule le pays.

A seize mois de la prochaine présidentielle, un changement de cap s’impose. « Les référents passent du rôle de moteur à celui d’exécutant », résume Philippe Peruchon, qui vient de passer la main en Indre-et-Loire.

À noter que la désignation des nouveaux responsables d’une structure à la fois baroque et centralisée. En effet cette tâche incombe aux 12 membres de la « commission nationale des talents », parmi lesquels l’ex-ministre Sibeth Ndiaye et Jean-Marc Borello, délégué général adjoint de LREM.

En fait les prochaines élections locales (départementales et régionales) devraient constituer une sorte de funérailles pour le parti en marche qui devra changer de nom, de contenus et de dynamique si Macron veut être réélu. Adieu donc le recrutement par Internet et vivent les accommodements avec les partis classiques pour réunir les forces !

Trump : bientôt en prison ?

Trump : bientôt en prison ?

 

Il est probable que Trump nourrisse  encore des ambitions pour se représenter encore un jour à l’élection présidentielle par exemple dans quatre ans. Pourtant, l’avenir politique de Trump pourrait bien être compromis par des poursuites judiciaires le concernant non seulement vis-à-vis de certaines décisions politiques qui frisent l’illégalité mais aussi pour d’anciennes affaires relatives à la gestion de son business propre.

 

L’intéressé a en effet entretenu des relations douteuses non seulement avec la fiscalité ( c’est pourquoi il n’a jamais voulu publier sa feuille d’impôt.) Mais aussi avec certains états notamment la Russie. Il pourrait aussi être accusé de certaines mesures anticonstitutionnelles et de déclarations favorisant l’insécurité du pays D’après le « Washington Post », les procès sur ses affaires et son comportement se multiplieront contre lui dès son départ de la Maison-Blanche.

Si certains dirigeants démocrates espèrent que le 45e président rende des comptes, Joe Biden n’a exprimé aucun désir de voir Trump passer devant la justice. Le président élu s’est contenté de dire qu’il n’avait pas à interférer avec la justice. Pour le moment, Donald Trump est surtout en train de perdre sa bataille judiciaire - coordonnée par son fidèle Rudy Giuliani - pour invalider la victoire du démocrate.

Bientôt 10 millions de pauvres

Bientôt 10 millions de pauvres

 

Comme souvent les statistiques de l’INSEE ont toujours un train de retard. Ainsi INSEE constate avec une certaine satisfaction que le nombre de pauvres a diminué en 2019 pour concerner environ 9 millions de personnes. Le problème c’est qu’avec la crise sanitaire nombre de spécialistes anticipent que ce nombre de pauvres devrait dépasser largement les 10 millions en 2020 du fait notamment de la crise sanitaire.

Selon une estimation avancée de l’Insee rendue publique ce mercredi 18 novembre, le taux de pauvreté en 2019 diminuerait de 0,3 point en 2019 pour atteindre 14,5% de la population.  En 2018, ce ratio avait atteint un pic à 14,8% avec une hausse importante par rapport à 2017 de 0,7 point alors que ce taux s’était stabilisé autour de 14% depuis 2014 après avoir grimpé en flèche à la suite des crises de 2008 et 2012. Au total, 9,1 millions de personnes étaient en situation de pauvreté avant l’arrivée de la pandémie sur le territoire français.

Du côté des inégalités, les indicateurs communiqués par l’organisme public illustrent une légère inflexion mais là encore la propagation du virus dans la population pourrait avoir des effets dévastateurs.  »Ces indicateurs sont à prendre avec prudence mais ils montrent une dynamique positive. Cette estimation montre que la pauvreté a baissé et les inégalités ont légèrement diminué. Ce concept de pauvreté monétaire ne prend pas en compte toutes les situations. Ce taux de pauvreté donne une indication. Il ne faut pas occulter l’année 2020″ explique-t-on dans l’entourage du ministre de l’Economie Bruno Le Maire.

Il y a effectivement des raisons de ne pas occulter l’année 2020 qui va apporter au moins 1 million de pauvres supplémentaires.

Mobilité : « bientôt des bouchons de voitures propres ! « 

Mobilité : « bientôt des bouchons de voitures propres ! « 

Le spécialiste de la mobilité urbaine Jean Coldefy, dans une tribune au « Monde », enjoint les acteurs politiques et économiques à sortir des simplismes de la mobilité. Il explique que relier et décarboner devraient être les maîtres mots de la mobilité de la décennie qui s’ouvre.

Tribune. Pour contenir le réchauffement climatique à +1,5 °C, il nous faut réduire de 40 % nos émissions de CO2 d’ici dix ans. La voiture est en France l’un des premiers postes d’émissions. Les solutions qui sont aujourd’hui proposées paraissent simples : pour avoir moins de voitures, il faut plus de vélos et des transports collectifs gratuits. La réalité est plus complexe.

Le vélo représente l’objet cochant toutes les cases de la mobilité urbaine : il va plus vite que la voiture en heures de pointe, il occupe trois fois moins d’espace et n’émet pas de gaz à effet de serre (GES). Pour finir, il est économe en fonds publics. Malgré ces atouts indéniables, le principal défaut du vélo est sa « portée ».

Les flux de voitures entrants dans les centres-villes pèsent 50 % des émissions des agglomérations contre 2 % pour les flux internes aux villes, le reste se situant dans le périurbain. Ces déplacements font plus de 10 kilomètres et peuvent difficilement être réalisés à vélo.

 

Strasbourg, Copenhague et Amsterdam, les villes championnes du vélo, comptent jusqu’à dix fois plus de parts de déplacements en vélo qu’à Lyon. En revanche, la part de la voiture est plus forte dans ces villes qu’à Lyon parce qu’à Lyon la part du transport en commun est plus élevée. Les villes où le vélo est très développé sont celles où l’on marche le moins. L’efficacité du vélo sur le report modal [à un transport en commun par exemple] est une thèse qui n’est pas vérifiée en ville dans les proportions imaginées par ses supporters. Le vélo à assistance électrique pourra-t-il changer la donne pour certains déplacements ? 

Le problème : le manque d’offre de transports

La gratuité des transports collectifs repose aussi sur une équation simple : des transports gratuits = moins de voitures. La réalité montre que ce n’est pas le cas. Le problème, c’est le manque d’offre de transports pour ceux qui prennent la voiture pour aller travailler dans les centres-villes depuis l’extérieur. Les usagers demandent de l’offre et de la qualité, pas la gratuité. Ce sont des candidats aux élections qui la proposent. Il faudrait trois fois plus de transports en commun depuis les périphéries des grandes agglomérations pour pouvoir délaisser sa voiture.

La gratuité, c’est donc pénaliser le développement des alternatives à la voiture dont on a tant besoin aujourd’hui pour décarboner la mobilité. La gratuité met par ailleurs les piétons et les cyclistes dans les bus et les tramways et n’a quasiment aucun impact sur le trafic routier.

 

Royaume-Uni : le nucléaire chinois bientôt exclu ?

Royaume-Uni : le nucléaire chinois bientôt exclu ?

 

 

Après l’opérateur téléphonique chinois Huwei, c’est le nucléaire chinois qui pourrait bien être exclu du Royaume Uni. Or le nucléaire chinois, à travers la société CGN, est associée au groupe EDF  dans le développement d’Hinkley Point, la seule centrale nucléaire en cours de construction dans le pays, censée être livrée à partir de la fin 2025. Le chinois n’est que partenaire minoritaire aux côtés du français qui fournit les réacteurs de nouvelle génération EPR. Le modèle est le même pour le projet de centrale de Sizewell dans le Suffolk, sur la côte est anglaise, pour lequel EDF et CGN attendent une validation du gouvernement.

Les tensions entre la Chine et le Royaume-Uni prenne notamment leurs sources dans l’annexion de fait de Hong Kong en dépit des accords internationaux. En outre on estime que la Chine instrumentalise le Royaume-Uni pour valider sa technologie nucléaire.. « Tout ce que CGN attendait du Royaume-Uni c’était du prestige et le soutien à leur technologie – ce qu’il jugeait important afin de l’exporter vers d’autres pays », explique à l’AFP Steve Thomas, professeur à l’Université de Greenwich et spécialiste des questions énergétiques. Car la participation du groupe chinois à Hinkley et Sizewell est une contrepartie au développement de sa propre centrale, avec EDF comme partenaire minoritaire, celle de Bradwell dans l’Essex (sud-est).

Le chinois tente de faire valider sa technologie auprès de l’autorité de régulation du nucléaire qui mène la dernière phase d’examen avant une décision attendue fin 2021 ou début 2022.

L’atome compte pour environ 20% de l’électricité dans le pays, une part que les pouvoirs publics entendent donc maintenir.

Île-de-France : bientôt un million de chômeurs

Île-de-France : bientôt  un million de chômeurs

« Les estimations, c’est 300.000 chômeurs de plus en Île-de-France d’ici la fin de l’année. Ca veut dire qu’en l’Île-de-France, on risque de dépasser le million de chômeurs, ce sera un triste record historique », a déclaré Mme Pécresse (Libres!, ex-LR) au micro du Grand Jury RTL, Le Figaro, LCI.

« La crise économique sera très dure, particulièrement en Île-de-France. Nous avons du tourisme, nous avons des industries qui sont particulièrement touchés: l’aéronautique, l’automobile. Nous avons la culture, l’événementiel », a ajouté la présidente de la région qui craint qu’une deuxième vague de l’épidémie mette « vraiment l’économie de la France au tapis ».

La crise du Covid-19 est « un tsunami qui remporte tout sur son passage » et entraîne, pour l’Ile-de-France, une dette de « 1 milliard d’euros », à cause de la perte de recettes et l’augmentation des dépenses, a-t-elle encore dit.

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Sur l’ensemble de la France, l’Unédic, qui gère le régime d’assurance-chômage, anticipe la destruction de 900.000 emplois fin 2020 par rapport au 4e trimestre 2019, ce qui entraînerait l’indemnisation de 630.000 demandeurs d’emplois supplémentaires. Et on est certainement très loin du compte car la grande vague de défaillance interviendra au début de l’automne

Le premier trimestre 2020 avait vu la destruction de 497.400 emplois dans le privé, soit une baisse de 2,5% provoquée par un effondrement de 40% de l’intérim, du fait du confinement, selon les chiffres de l’Insee.

Venezuela: Juan Guaido bientôt interdit d’élection

Venezuela: Juan Guaido bientôt interdit d’élection

Comme parfois en Amérique du Sud en Amérique latine la procédure électorale est très simplifiée pour empêcher un candidat d’être élu. Il suffit de l’interdire comme candidat. On se souvient que c’est ce qui avait été pratiqué pour Lula au Brésil. La méthode semble efficace puisque la méthode sera aussi  sera aussi utilisé au Venezuela éliminé le principal au opposant dictateur Maduro. Le Tribunal suprême de justice vénézuélien (TSJ) vient de désigner les membres du CNE, le conseil électoral, qui est chargé d’organiser, de superviser et de valider les élections. Si le calendrier électoral est respecté, les législatives doivent se dérouler en décembre 2020. Cette désignation a soulevé de vives protestations du côté de l’opposition, à commencer par son chef de file, Juan Guaido, président du Parlement et président intérimaire du pays reconnu par plus de 50 pays, parmi lesquels la France et les États-Unis.

Juan Guaido rejette ces nominations qu’il qualifie de «nouveau coup contre la démocratie». Mais une fois de plus, les protestations du président de l’Assemblée nationale, dominée par l’opposition, risquent de rester vaines.

Coronavirus : la Chine « promet » un vaccin pour bientôt !

Coronavirus : la Chine « promet » un vaccin pour bientôt !

 

Après les annonces de certaines firmes américaines concernant la possibilité trouver un traitement voire un vaccin pour le Coronavirus, la Chine ne pouvait rester en retrait. En effet, si la compétition est légitime en matière de recherche, elle l’est beaucoup moins concernant les profits financiers et politiques qui sont attendus. D’ores et déjà les annonces plus ou moins bidon permettent aux industries pharmaceutiques d’engranger de substantiels gains de valeur en matière de capitalisation. La Chine à l’origine du virus veut tenter de rattraper ses bévues diplomatiques un peu ridicules (qui allaitent jusqu’à persuader certains pays des vertus de son modèle démocratique et politique ! )Aujourd’hui la Chine veut  démontrer qu’elle  est toujours dans la course économique et technologique. Elle est grandement menacée sur le plan technologique avec le refus de certains pays d’utiliser la technique chinoise 5G. Pour montrer sa performance technologique, la Chine annonce d’ores et déjà la possibilité de mettre sur le marché un vaccin contre le Coronavirus d’ici la fin de l’année. Une possibilité sans doute mais qui passerait par dessus tous les processus scientifiques qui permettent de valider un vaccin sur l’homme tout en mesurant bien les contre-indications. On peut certes peut-être raccourcir certains processus de validation scientifique, cependant il paraît peu vraisemblable d’envisager la mise sur le marché d’un vaccin réellement opérationnel avant au moins 2021. La preuve sans doute que la compétition ne se situe pas seulement dans le domaine de la recherche, mais aussi du terrain politique et des profits financiers

Pour  mémoire rappel des phases conduisant à un vaccin ( Wikipédia)

Phase I

Dans cette phase, les chercheurs ne s’intéressent pas vraiment à son efficacité mais plutôt à son l’innocuité. Généralement pour cette phase on teste à dose croissante le vaccin sur des petits groupes (rarement plus de 100). Le nombre de doses peut varier en fonction du type de vaccin. Les effets secondaires sont soigneusement répertoriés. Mais à ce stade certains effets secondaires graves comme la réaction anaphylactique sont rarement détectés en raison du très petit nombre de participant.

Le protocole d’étude doit établir les effets secondaires spécifiquement au vaccin et les quantifier (injection peu douloureuse ou très douloureuse).

Les chercheurs s’intéressent bien entendu à la réponse immunologique (par exemple le dosage des anticorps). Mais ce dosage n’est pas forcément synonyme d’efficacité du vaccin. On parle d’immunogénicité du vaccin.

Phase II

Si la phase I est concluante (pas d’effets secondaires graves plus réponse immunitaire satisfaisante) on peut débuter la phase II, ou on commence d’abord par augmenter la taille du groupe étudié : même protocole que la phase I mais plus de participants (phase II a);

Lorsque le nombre de participants est atteint, on peut commence à tester si la réponse immunitaire peut prévenir la maladie : on teste l’efficacité de la réponse immunitaire.

Beaucoup de vaccins ne passent pas cette phase : ils ont une réponse immunitaire satisfaisante mais celle-ci n’est pas efficace ou suffisante pour empêcher la maladie.

Phase III

Cette phase est la plus longue et la plus coûteuse : entre 8 et 13 ans et environ 750 000 000 millions d’euros.

Les test de sécurité et d’efficacité continuent mais à ce stade s’ajoutent les études d’homogénéité d’un lot à l’autre qui consistent à vérifier l’homogénéité de la fabrication de plusieurs lots cliniques d’un point de vue clinique.

Enfin des études d’administrations simultanées vérifient l’absence d’interférence significative lorsqu’il est administré concomitamment à un vaccin déjà homologué et inclus dans les programmes courants de vaccination.

Malgré la plus grande taille des groupes étudiés, les effets secondaires très rares ne seront pas connus au cours de la phase III : les essais cliniques de sécurité en phase III sont normalement conçus pour observer les effets indésirables jusqu’à un taux de 1 pour 10 000.

Cette phase va définir le ratio risques/bénéfices qui est obligatoire pour l’enregistrement de ces vaccins.

Phase IV production

« Stopcovid »: le traçage par smartphone bientôt en œuvre

« Stopcovid »: le traçage par  smartphone bientôt en œuvre

 

Il est probable que le traçage par mobile s’effectuera sur la base du volontariat pour ne pas mettre en péril  les libertés individuelles. Le principe du traçage est de prévenir les personnes en contact avec des désinfectés afin de les inviter à se faire tester. “Le gouvernement a décidé de lancer le projet StopCovid afin de développer une application qui pourrait limiter la diffusion du virus en identifiant des chaînes de transmission”, indique le secrétaire d’Etat au Numérique Cédric O dans un entretien accordé avec le ministre de la Santé Olivier Véran au Monde.

“L’idée serait de prévenir les personnes qui ont été en contact avec un malade testé positif afin de pouvoir se faire tester soi-même, et si besoin d’être pris en charge très tôt, ou bien de se confiner”, explique-t-il.

“Le principe serait simple : l’application est installée volontairement ; lorsque deux personnes se croisent pendant une certaine durée, et à une distance rapprochée, le téléphone portable de l’un enregistre les références de l’autre dans son historique”, ajoutent-ils. “Si un cas positif se déclare, ceux qui auront été en contact avec cette personne sont prévenus de manière automatique.”

A l’heure actuelle, “aucune décision n’est prise” et cela dépendra de “si les scientifiques nous disent que cela peut nous aider à lutter contre la propagation de l’épidémie”, prévient de son coté Olivier Véran.

L’Elysée avait ouvert la porte à l’utilisation du numérique pour lutter contre le coronavirus – qui a fait plus de 10.000 morts en France selon le dernier bilan – en annonçant la mise en place d’un comité qui serait chargé de conseiller Emmanuel Macron notamment sur les pratiques de “backtracking”.

Lors d’une audition devant des députés, le Premier ministre Edouard Philippe avait précisé le 1er avril dernier que tout traçage numérique se ferait sur la base du volontariat, une manière de rassurer les défenseurs des libertés individuelles qui ont multiplié les mises en garde.

Réforme des retraites : bientôt enterrée officiellement

 

Englué dans l’impopularité bien avant la crise sanitaire, le gouvernement envisage d’enterrer officiellement sa grande réforme concernant les retraites. Le problème est moins technique que politique. La majorité n’a jamais réussi à persuader l’opinion publique de la pertinence de sa réforme. En outre, son impopularité est récurrente. Même le Coron virus n’a pas donné l’occasion au gouvernement et à macr en particulier de remonter dans les sondages d’opinion. Avec Corona virus , le gouvernement se heurte au même problème qu’avant la crise sanitaire : il n’est pas cru.

Du coup la déclaration de Gilles Legendre président du groupe la république en marche sonne comme un aveu:   »"la réforme des retraites a montré à quel point notre démocratie sociale est épuisée ». « Entre deux réformes utiles, il faudra toujours choisir celle qui rassemble les Français. Si elle empêche le pacte républicain de se conclure, la réforme des retraites devra être mise de côté », affirme-t-il. En fait ce sont les principales réformes que le pouvoir devrait abandonner tellement son impopularité est grande et tellement même à l’occasion d’une crise sanitaire qui devrait favoriser l’unité nationale il se trouve toujours autant marginalisé dans l’opinion.

Pour le numéro un des députés de la majorité, il faut « une réinvention de nos modèles, français, européens, mondiaux, mais résister aux vieilles lunes, comme l’acte de décès de la mondialisation », prévient-il. Autant dire que Gilles Legendre propose de jeter aux orties la stratégie conduite jusqu’à là.

Il estime que l’après-crise sanitaire « pourrait s’inscrire dans un nouveau ‘pacte républicain’ », qui « reposerait sur trois piliers : le redémarrage de l’économie, de nouvelles solidarités et protections, et la transition écologique ».

« L’urgence juge-t-il, ce sera la réparation, mais elle s’accompagnera d’une refondation radicale: nous devrons revoir nos équilibres politiques pour rassembler les Français et aussi changer notre manière d’associer ces derniers à l’action publique ». « L’hôpital – c’est acté – bénéficiera d’un plan d’investissement massif. Mais ce n’est pas qu’affaire d’argent. Nous devons poursuivre la réforme déjà engagée de notre système de santé », ajoute-t-il, souhaitant aussi ne pas abandonner la « loi sur la dépendance », qui « illustrerait parfaitement les nouvelles solidarités ».

Russie : Poutine bientôt nommé tsar à vie

Russie : Poutine bientôt nommé tsar à vie

 

Dans plusieurs pays, la mode est à la gestion politique dictatoriale . C’est le cas par exemple en Chine où le président dispose maintenant d’un mandat à vie , c’est le cas dans certains pays d’Amérique du Sud, c’est le cas en Turquie, en Syrie et maintenant en Russie où  Poutine va réussir  en fait à être nommé Tsar à vie . Le président russe Vladimir Poutine a en effet signé la vaste réforme constitutionnelle lui accordant notamment le droit d’effectuer deux mandats supplémentaires, annonce l’agence officielle TASS, samedi 14 mars. Cet amendement avait été ajouté au texte à la surprise générale et vivement dénoncé par l’opposition.

Il doit permettre à Vladimir Poutine de remettre à zéro le nombre de ses mandats présidentiels, afin de lui donner le droit de se représenter en 2024 et en 2030.

 

Il y a presque une vingtaine d’années que Poutine occupe une sorte de fonction de tsar de la Russie. La constitution voudrait qu’il quitte maintenant le pouvoir mais l’intéressé ne semble pas en avoir l’intention. Pire, il va  officiellement se faire nommer avec une bénédiction constitutionnelle modifiée. En fait, Poutine tient le pays dans une main de fer. Certes la situation économique et sociale est particulièrement détériorée mais grâce au populisme et au nationalisme, la popularité de Poutine est grande dans le pays. Cela d’autant plus que tous les opposants sont réduits au silence, emprisonnés voire éliminés physiquement et que la presse est complètement muselée. Bref,  le régime communisme sans le communisme mais avec les méthodes du KGB maintenu. Un peu ce qui se passe de la même manière en Chine où le chef de l’État a lui aussi réussi à faire modifier la constitution de sorte que son mandat de président est désormais illimité dans le temps. Le temps des dictateurs réapparaît ainsi avec le risque surtout d’un renforcement du nationalisme voire des conflits armés.

En clair, la réforme constitutionnelle est  une «remise des compteurs à zéro» qui permettrait au chef de l’État – réélu en 2018 pour un quatrième mandat -, de se représenter en 2024. «Je propose que soit levée la limitation des mandats présidentiels et que soit inscrite une disposition permettant, après l’entrée en vigueur de la Constitution, que le président sortant ait le droit d’être élu chef de l’État, comme tout autre citoyen», a déclaré Valentina Terechkova, ex-cosmonaute et députée du parti présidentiel Russie unie qui l’a suivie comme un seul homme.

Le texte doit ensuite être définitivement approuvé lors d’un « vote populaire » prévu le 22 avril. La présidente de la Chambre haute du Parlement russe, Valentina Matvienko, a assuré à la presse que le vote devait être maintenu « malgré les diverses inquiétudes liées au coronavirus ». Ces dernières semaines, des spéculations affirmaient que le Kremlin procèderait à un vote en ligne, une éventualité dénoncée par l’opposition qui craint qu’elle ne permette des fraudes massives.

 

 

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