Archive pour le Tag 'bientôt'

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Harlem Désir bientôt viré du PS?

Harlem Désir bientôt viré du PS?

Harlem Désir bientôt viré de la tête du PS, c’est une hypothèse sérieuse tellement il est transparent et inaudible ; En gros il répète les communies des l’Elysée avec le charisme d’une planche à repasser. Avec la raclée des municipales, il pourrait être débarqué voire promu comme secrétaire d’Etat.  Après la large défaite aux élections municipales des 23 et 30 mars, les petits règlements de compte entre socialistes se poursuivent. Cible privilégiée, le premier secrétaire du Parti socialiste Harlem Désir, accusée d’être en partie responsable de la débâcle. Dans une interview à Médiapart, l’ancien premier secrétaire sous François Mitterrand, Henri Emmanuelli, a lancé la charge : « Le Parti socialiste n’existe plus, ni en attaque, ni en défense (…) C’est devenu un parc à moutons ». Le député des Landes, situé à l’aile gauche du PS, juge ainsi qu’’un congrès extraordinaire ou une démission du premier secrétaire ne (lui) paraîtrait pas inopportun“.  L’ancien directeur de cabinet d’Harlem Désir, Mehdi Ouraoui, a renchéri dans Le Parisien : « Désir n’a plus aucune légitimité. Avec lui, on va au crash aux européennes. » Vendredi, Frédéric Cuvillier, non reconduit comme ministre dans le gouvernement de Manuel Valls, a également lourdement critiqué le parti et son premier secrétaire dans les colonnes du Parisien : « Cette campagne (municipale, Ndlr) a révélé au grand jour l’absence totale du PS national. Nous n’avons reçu aucun soutien de sa part. Le PS n’a eu aucune stratégie. Le malaise est général. Voilà vingt-deux mois que le parti est inaudible, absent. » L’ancien ministre des Transports appelle aussi Harlem Désir à démissionner : « Si on considère qu’il faut tirer des leçons de la lourde défaite aux municipales, alors il faut le faire à tous les niveaux, y compris à la tête du PS. Certes, Harlem Désir a été élu par les militants socialistes, mais il y a une forme de responsabilité électorale qui doit être prise en compte aujourd’hui. Il y a besoin d’un électrochoc, » détaille-t-il.  Une des hypothèses évoquées, selon Le Parisien, pour débarquer Désir sans faire de vague serait de l’exfiltrer à un secrétariat d’Etat aux affaires européennes. Problème, les déclarations d’Emmanuelli semblent avoir compliqué la situation : « Henri est irresponsable. Le fait de demander sa démission, c’est le meilleur moyen pour qu’il ne se passe rien », estime un fidèle de François Hollande cité par Le Parisien. Sur i-Télé, vendredi, Harlem Désir a repoussé l’idée de convoquer un congrès extraordinaire ou de démissionner : « Nous n’avons pas, aujourd’hui, à organiser un congrès socialiste et à nous donner en spectacle mais au contraire à être rassemblés. Il faut au contraire que les socialistes serrent les rangs, qu’ils débattent. J’ai moi-même proposé que nous ayons un conseil national qui va se tenir dans quelques jours, auquel le premier ministre participera, » a-t-il assuré. Le Conseil national du PS, sorte de « parlement » du parti, aura lieu mardi 15 avril, en présence de Manuel Valls, a précisé vendredi Harlem Désir à l’AFP.

 

Anniversaire des Verts : 30 ans et bientôt la fin !

Anniversaire des Verts : 30 ans et bientôt la fin !

 

30 ans, c’est l’âge du parti des verts, c est encore jeune et sans doute pourtant bientôt la fin. Pourquoi tout simplement parce que le verts sont devenus un parti comme les autres en oubliant leur objet social au profit d’intérêts boutiquiers. Le paroxysme ayant sans doute été atteint avec l’équipe dirigeante actuelle qui a sacrifié ses orientations pour quelques postes de députés et de ministres. Plus fondamentalement, un parti vert est une hérésie démocratique car on ne saurait créer un parti sur chaque sujet sociétal même si l’environnement constitue un enjeu essentiel mais il y en a d’autres. Il faut une vision globale, à la fois sociétale mais aussi économique et sociale. On se demande évidemment ce que font les écolos dans le gouvernement. En se politisant le mouvement écologique s’est discrédité alors que paradoxalement sur le terrain ne cessent de se développer des associations de défense  de la qualité de vie et de la planète. En faat les écolos n’auraient jamais du délaisser le terrain, ils n’auraient jamais du se laisser polluer par la politique. Ils vont le payer très cher aux élections même s’ils pourront encore sauver les meubles sous l’aile du PS.  Nés en 1984 de la fusion de plusieurs courants écologistes, les Verts subissent au début des années 90 la concurrence féroce de Génération écologie. Le mouvement de Brice Lalonde, Noël Mamère et Jean-Louis Borloo a été fondé avec l’appui discret de François Mitterrand, désireux de diviser les écologistes. Les deux partis passent néanmoins une alliance pour les législatives de 1993, sans parvenir à envoyer le moindre élu au palais Bourbon. « A l’époque, les Verts quittent aussi la stratégie du ‘ni droite ni gauche’ pour s’allier au PS, c’est un moment fondamental », note Daniel Boy. Noël Mamère rejoindra le parti en 1998. Avec l’arrivée de Lionel Jospin à Matignon, les Verts font leur entrée au gouvernement. Dominique Voynet, candidate à la présidentielle en 1995 (3,32%), devient ministre de l’Environnement et de l’Aménagement du territoire. « La dissolution provoquée par Chirac n’a pas laissé le temps de constituer un programme articulé. Les Verts n’obtiendront pas grand-chose de Jospin, qui n’était pas très allant sur le sujet de l’écologie », rappelle Daniel Boy. Avec les élections locales, les européennes sont le scrutin qui réussit le mieux aux Verts. L’année 2007, marquée par une appropriation du thème de l’écologie par les partis traditionnels, a été compliquée. 2009, avec la formation de la liste Europe Ecologie, ouverte à la société civile, marque un certain renouveau. Sous l’impulsion (entre autres) de Daniel Cohn-Bendit et José Bové, le parti obtient 16% des voix, manquant de peu de devancer le Parti socialiste. Un an plus tard, les Verts deviennent Europe Ecologie-les Verts. Ses détracteurs affirment toutefois que l’appareil politique a vite repris la main sur le mouvement civil. L’ancienne juge Eva Joly est désignée candidate d’EELV pour la présidentielle 2012 dans une primaire interne face à Nicolas Hulot. Au terme d’une campagne inaudible, la franco-norvégienne n’obtient finalement que 2,31% des voix. Depuis la candidature d’Antoine Waechter en 1988 (3,78%), les Verts n’ont dépassé la barre des 5% lors de ce scrutin qu’à une seule reprise, avec Noël Mamère en 2002 (5,25%). Ce dernier a dénoncé l’attitude de la direction du parti et rendu sa carte fin 2013. Au bénéfice d’un accord avec le PS, EELV envoie 17 députés à l’Assemblée nationale et forme pour la première fois de son histoire un groupe parlementaire. La patronne du parti, Cécile Duflot, entre au gouvernement comme ministre du Logement. Pour quel résultat? Daniel Boy se montre sceptique : « La transition écologique qu’ils appellent de leurs vœux met du temps à se lancer. Non seulement on ne sait pas encore ce qu’il y a dedans, mais en plus, du fait des décrets d’application, ce sera long à mettre en place. »

 

Hollande- Erreurs d’addition : des économies supplémentaires bientôt programmées

Hollande- Erreurs d’addition : des économies supplémentaires bientôt programmées

On a refait les additions après la conférence de presse de Hollande et de toute évidence, le compte n’y est pas pour à la fois réduire les déficits, alléger les charges des entreprises et diminuer les impôts des français d’ici 2017. Une petite erreur de l’ordre de 20 milliards. Erreur habituelle puisqu’en 2013 on devait réaliser seulement 3% de déficit, en fait on a fat 4.1% et on sera seulement 3,6% (en principe)  en 2014. Du coup sans donner de chiffres précis l’Elysée annoncent qu’i y aura des économies supplémentaires à réaliser. La trajectoire d’économies dans les dépenses publiques est pour l’instant inchangée, avec 18 milliards d’euros prévus en 2015, autant en 2016 et 13 milliards en 2017, mais d’autres économies seront bientôt programmées, a-t-on appris mercredi à l’Elysée. Ces économies supplémentaires, trouvées notamment à la lumière des travaux sur le « pacte de responsabilité » avec les entreprises, qui doit se traduire par une nouvelle baisse du coût du travail, modifieront cette trajectoire, a-t-on précisé. Les chiffres cités mercredi par l’Elysée sont conformes aux prévisions déjà annoncées. Le président François Hollande avait quant à lui évoqué mardi lors de sa conférence de presse le chiffre de 17 milliards d’euros d’économies en 2017. Ces économies feront suite à un effort prévu cette année de 15 milliards d’euros de réduction des dépenses par rapport à leur hausse tendancielle, qui vise à réduire le déficit public de la France de 4,1% du PIB fin 2013 à 3,6% fin 2014. Cette trajectoire doit à la fois permettre de remplir les engagements de la France en termes de redressement des finances publiques et de baisser les prélèvements obligatoires en fin de mandat, a souligné une source. « Nous ferons davantage afin de pouvoir faire des allégements additionnels », a-t-elle déclaré, ajoutant que les précisions seraient apportées d’ici le mois de mars. La trajectoire actuelle « sera adaptée à la lumière des travaux du ‘pacte’ et du Conseil supérieur de la dépense dans les prochains mois », a expliqué une seconde source.

 

Le Nouvel Observateur bientôt racheté

Le Nouvel Observateur bientôt racheté

Le nouvel Observateur sera sans doute vendu mais pas seulement par le bouillant Xavier Niel jugé trop provocateur par l’Elysée. Le Nouvel Observateur Xavier Niel, le fondateur du groupe Iliad, est en effet en négociations avec Claude Perdriel en vue de prendre le contrôle du Nouvel Observateur, a rapporté mardi soir Libération sur son site internet. L’opération porterait sur l’hebdomadaire, sa régie publicitaire et le site Rue89, précise l’article, ajoutant que la direction du Nouvel Observateur a confirmé que les discussions avaient atteint le stade des « négociations exclusives ». « Le deal est plus ou moins conclu entre Perdriel et Niel » a en outre déclaré à Libération un salarié du Nouvel Observateur. Lefigaro.fr a par la suite fait état de négociations « avancées » entre Claude Perdriel et la structure « Le Monde Libre », qui réunit Xavier Niel, Pierre Bergé et Matthieu Pigasse, tous trois actionnaires à titre privé du quotidien Le Monde. Le quotidien explique que « l’Elysée voyait d’un mauvais œil le rachat du Nouvel Obs. par le seul homme d’affaires Xavier Niel », cofondateur de Free et Free Mobile. Claude Perdriel, cofondateur et président du directoire du groupe Le Nouvel Observateur, a annoncé le mois dernier rechercher un ou plusieurs nouveaux actionnaires pour l’hebdomadaire, en se disant prêt à en céder le contrôle.

 

PSA bientôt chinois ?

PSA bientôt chinois ?

 

PSA Peugeot Citroën a confirmé jeudi étudier une augmentation de capital ainsi que de nouveaux projets de développement avec des partenaires, dont le chinois Dongfeng Motor. « Il n’y a aucun accord sur les termes d’une éventuelle opération », a précisé le groupe dans un communiqué. « Ces discussions sont à un stade préliminaire et aucune assurance ne peut être donnée quant à leur aboutissement. » Une source au fait du dossier a indiqué mercredi à Reuters que le conseil de surveillance de PSA avait approuvé un projet d’alliance avec Dongfeng qui verrait le constructeur chinois et l’Etat français prendre des participations majoritaires dans le constructeur français à un prix 40% inférieur au cours actuel de l’action.

 

Parachutes dorés des patrons : bientôt légiférés ?

Parachutes dorés des patrons : bientôt légiférés ?

 

 

Interrogé dans le Parisien/Aujourd’hui en France jeudi sur le fait que Philippe Varin a finalement renoncé aux 21 millions prévus pour sa retraite, M. Montebourg parle d’une « décision juste et normale ». « Mais il est fâcheux qu’on soit obligé de passer par un scandale public pour obliger une entreprise et son premier dirigeant à revenir à des niveaux de rémunération ou de retraite décents », ajoute le ministre.  Sur les moyens de régulation de la rémunération des patrons, le ministre souligne que « l’autodiscipline (invoquée par le Medef, ndlr) reste à démontrer puisqu’il faut la régulation par le scandale pour que les choses évoluent ». « Si l’inefficacité est démontrée dans le prochain cas à venir, il faudra légiférer », estime-t-il. « Pour les entreprises privées, si l’autodiscipline ne fonctionne pas, le législateur est parfaitement en droit de procéder à une réglementation », martèle Arnaud Montebourg. « C’est tout à fait possible et cela existe déjà dans d’autres pays d’Europe, comme la Suisse » où les parachutes dorés ont été supprimés, conclut le ministre.

 

 

Salaires : bientôt un SMIC allemand

Salaires : bientôt un SMIC allemand

 

Le SPD milite pour un salaire horaire de 8,50 euros pour tous. Ni la date d’introduction ni le niveau de ce Smic à l’allemande ne sont connus, mais l’accord de principe des conservateurs constitue une révolution dans un pays qui s’en remet traditionnellement là-dessus aux partenaires sociaux. D’ailleurs la pilule a du mal à passer pour beaucoup. « Le salaire minimum fixe a ruiné l’Allemagne de l’Est », tempêtait le chef du gouvernement de Saxe-Anhalt (est), le conservateur Reiner Haseloff, en référence aux salaires fixés par l’Etat dans l’ex-RDA communiste, « nous ne devons pas refaire la même erreur ».  Le président fraîchement élu de l’association patronale BDA, Ingo Kramer, se demande « pourquoi la politique pense en savoir plus que les partenaires sociaux? ». Tout en jugeant « inacceptables » les salaires de misère qui ont cours par endroits, il assène qu’ »il y a de bonnes raisons » pour des salaires d’embauche faibles dans certains cas.  La nouvelle a été en revanche saluée avec enthousiasme à Paris. « C’est un signal (…) d’une approche peut-être plus coopérative des politiques économiques en Europe », a déclaré le ministre français de l’Economie Pierre Moscovici.  Outre la France, l’OCDE, le FMI ou les Etats-Unis ont appelé ces derniers mois l’Allemagne à soutenir sa demande intérieure pour aider à la reprise en zone euro. Un objectif qui passe notamment par une hausse des salaires allemands.  Selon l’institut économique DIW, 5,6 millions de personnes, soit 17% des salariés, gagnent actuellement moins de 8,50 euros, surtout les salariés peu qualifiés et à temps partiel.  Le CDU avait déjà mis de l’eau dans son vin ces dernières années pour permettre l’introduction de seuils de salaire dans certains métiers mal rémunérés. Les coiffeurs, dont certains gagnaient 3 euros de l’heure, ont ainsi maintenant un salaire minimum (de 8,50 euros), même chose pour les intérimaires ou encore les couvreurs.  L’introduction de ces salaires minimum à petit échelle n’a pas conduit à une hémorragie d’emplois dans les secteurs concernés. Mais cela n’empêche pas milieux économiques et économistes de peindre un tableau apocalyptique du marché de l’emploi une fois que le SPD aura eu gain de cause.  Le dernier rapport des « Sages », économistes influents qui conseillent le gouvernement allemand, y voit une « mesure nuisible à la croissance et à l’emploi ».  Le DIW pour sa part prévient que l’introduction d’un salaire minimum n’aura sans doute pas les effets attendus sur les inégalités et le pouvoir d’achat des ménages, notamment parce que quiconque gagne plus paie aussi plus d’impôts. L’institut recommande l’introduction d’un salaire plancher bas, qui serait progressivement relevé.  C’est ce que semblait suggérer en début de semaine Ilse Aigner, ex-ministre de Merkel et participante aux négociations de coalition. Le salaire minimum voulu par le SPD « peut être un objectif, on n’est pas obligé de le faire tout de suite », selon elle. Si elle cède sur le salaire minimum, la chancelière a martelé jeudi qu’elle restait opposée à des hausses d’impôts et à l’assouplissement du passage à 67 ans de l’âge de la retraite. Et viscéralement attachée à l’objectif d’allègement de la dette du pays. Conservateurs et sociaux-démocrates veulent boucler les négociations de coalition la semaine prochaine. Parmi les points d’achoppement figure encore la question de la doublé nationalité, voulue par le SPD, notamment pour les Turcs vivant en Allemagne.

 

PSA : bientôt chinois ou français ?

PSA : bientôt chinois ou français ?

Le constructeur chinois Dongfeng pourrait en effet entrer au capital de PSA . PSA va faire l’actualité industrielle cette semaine. Vendredi 25 octobre, la dernière C3 sortira des chaînes de montages de l’usine Citroën d’Aulnay sous Bois, près de Paris. Le site doit fermer définitivement en 2014. Il reste 1.000 salariés sur 3.000 à reclasser. Mais auparavant, mardi 22 octobre, direction et syndicats doivent signer un accord de compétitivité sur le modèle de celui déjà conclu chez Renault. L’accord doit faire économiser au constructeur 100 millions d’euros par an. Cet accord, qualifié de « nouveau contrat social » par la direction de PSA, implique des efforts aux salariés, comme le gel des salaires ou les RTT, en échange d’assurances sur l’emploi et l’absence de fermetures d’usines dans l’Hexagone d’ici à 2016. En fin de semaine dernire, 4 syndicats sur 6 avaient annoncé leur volonté de signer l’accord.Surtout, l’arrivée de nouveaux actionnaires évoquée depuis des semaines pourrait être officialisée cette semaine. Un conseil de surveillance du PSA doit, en effet, se tenir mardi 22 octobre. Le constructeur chinois Dongfeng pourrait en effet entrer au capital de PSA dans le cadre d’un partenariat capitalistique et industriel. Mais l’augmentation de 2,5 à 3 milliards d’euros pourrait également être souscrite par l’Etat français, par ailleurs déjà actionnaire de Renault.  La direction de PSA avait confirmé, lundi 14 octobre, qu’elle négociait bien des « partenariats », mais que ceux-ci n’étaient pas arrivé à « maturité ». « Comme évoqué lors de sa dernière communication financière, PSA Peugeot Citroën confirme étudier des nouveaux projets de développement industriel et commercial avec différents partenaires, ainsi que les modalités de financement qui les accompagneraient », indiquait le groupe PSA dans un communiqué. De quoi en tout cas soutenir le constructeur alors que les ventes de PSA ont baissé de 2,9% en Europe en septembre alors qu’elles ont progressé de 5,4% en moyenne pour l’ensemble des constructeurs.

 

PSA : bientôt chinois ou français ?

PSA : bientôt chinois ou français ?

 

La perspective d’une entrée de l’Etat français et du chinois Dongfeng au capital de PSA Peugeot Citroën, acculé financièrement, pose la délicate question de savoir qui contrôlera le premier constructeur automobile français. Des sources proches du dossier ont déclaré vendredi à Reuters que PSA préparait une augmentation de capital de trois milliards d’euros qui verrait l’Etat et Dongfeng, groupe public, investir chacun 1,5 milliard d’euros et prendre chacun une participation de 20% à 30%. Selon les sources, la famille Peugeot, principal actionnaire avec 25,4% du capital, accepterait de perdre au passage le contrôle de l’entreprise qu’elle a fondée il y a 200 ans. Même si un accord n’est pas envisagé avant la fin de l’année, la structure actionnariale qui semble se dessiner permettra à PSA de rester sous pavillon français. « Dans ce scénario, ce sont l’Etat français et la famille Peugeot qui auront le contrôle de PSA », note une source bancaire française. « Là, il semble que le motif principal du gouvernement français serait d’éviter un passage sous contrôle chinois », commente Bernard Jullien, directeur du réseau international de recherche sur l’automobile GERPISA. « C’est un peu décevant si (…) par la suite ils laissent la direction faire ce qu’elle veut. » La participation de l’Etat français, qui a fait savoir cet été qu’il procéderait à un arbitrage dans son portefeuille de participations pour financer de nouveaux investissements, permettra à PSA une levée de fonds importante. Ces trois milliards d’euros nécessaires au groupe représentent près de 70% de sa capitalisation boursière actuelle. Elle permettra également de ménager une opinion et des syndicats encore sous le coup du vaste plan social engagé par PSA en France.

Travail du dimanche: bientôt une loi (une de plus)

Travail du dimanche: bientôt une loi (une de plus)

Une loi, une de plus pour le travail du dimanche alors qu’il suffisait d’harmoniser les dérogations. Du coup le chaos va continuer pendant des mois. Le gouvernement veut-il mettre fin une bonne fois pour toute à la polémique sur le travail du dimanche? Michel Sapin, le ministre du Travail, a reconnu, ce jeudi 3 octobre, devant le Sénat que le gouvernement n’excluait pas de légiférer sur la question. « Il nous faut remettre de l’ordre (..) et nous allons le faire par la concertation. Ensuite, le gouvernement prendra ses responsabilités. Si le Parlement doit être saisi, il le sera ».  Michel Sapin a réaffirmé que le gouvernement était « attaché au maintien du principe du repos dominical ». Mais, a-t-il relevé, « il y a un énorme désordre aujourd’hui. Ce désordre, il a été créé par une loi, la loi Mallié de 2009″, une « mauvaise loi » qui donne lieu aujourd’hui à « des décisions de justice qui constatent le caractère totalement inapplicable de manière ordonnée » de cette loi. La polémique sur le travail du dimanche a ressurgi après la décision de deux enseignes du bricolage, Leroy Merlin et Castorama d’ouvrir 14 de leurs magasins franciliens dimanche dernier, malgré une décision judiciaire leur intimant de les garder fermés.

Médicaments : bientôt Un code d’efficacité

Médicaments : bientôt Un code d’efficacité

Le ministère de la Santé ne confirme ni l’infirme pour l’heure l’information. Selon un « document confidentiel » que Le Parisien/Aujourd’hui en France dit avoir consulté, un code indiquant le « service médical rendu » (SMR) devra être appliqué sur chaque boîte de médicaments remboursables en 2014. Ce code pourra indiquer « important », « modéré » ou « insuffisant ». « Les autorités voudraient profiter de la disparition programmée des petites vignettes autocollantes blanches, bleues ou oranges, pour imposer aux laboratoires pharmaceutiques de faire figurer sur ou dans les boîtes des médicaments remboursables ce SMR« , indique le quotidien. Le but : connaître la réelle efficacité du produit que prend le patient. Cette mesure permettrait « une meilleure information des usagers, une meilleure démocratie sanitaire et finalement une meilleure transparence« , réagit le professeur Gilles Bouvenot, président de la Commission de transparence de la Haute autorité de santé, joint par France Info.

 

Nabilla : bientôt à l’académie française « bah allo quoi » !

Nabilla : bientôt à l’académie française ‘ « bah allo quoi » !

 

Nabilla bientôt à l’académie française, pourquoi pas elle a déjà vendu 4500 livres ; en outre elle ne serait pas la première académicienne à n’avoir jamais rien écrit elle même. Elle au moins, elle a créé une rase ( « bah allo quoi », ce doit être suffisant comme œuvre littéraire car si les livres se vendent mal les clips eux ont été regardés des millions de fois. Selon Challenges, le livre de Nabilla se serait écoulé à 4500 exemplaires en 4 semaines. A titre de comparaison, elle est bien loin derrière le livre qu’avait écrit la soeur de Grégory Lemarchal, écoulé à 50.000 exemplaires le premier mois. D’après les calculs de Challenges, si le contrat a été bien négocié et que la jeune femme vend 10.000 exemplaires, ses revenus pourraient s’élever à 10.000 euros.  Dans Var Matin, Nabilla a déclaré avoir refusé 500.000 euros pour la publication de sa biographie. « J’ai préféré faire attention à mon image. » Elle a raison, on la retrouvera peut-être une jour ministre de la culture, elle ne sera pas pire que cette députée qui confond Montesquieu et Lepen.

 

Banques centrales : bientôt des taux négatifs ?

Banques centrales : bientôt des taux négatifs ?

Les grandes banques centrales pourraient tenter d’adopter des taux d’intérêts négatifs si leurs plans anti-crise « perdaient en efficacité », a indiqué le Fonds monétaire international (FMI) dans un rapport publié jeudi. Depuis le déclenchement de la crise, les banques centrales de plusieurs pays riches, notamment la Fed aux États-Unis, sont engagées dans des politiques coûteuses mêlant rachat d’actifs et abaissement de leur taux directeur afin d’injecter des liquidités dans le circuit financier. Si l’efficacité de ces mesures déclinait, le FMI estime que d’autres actions non-conventionnelles pourraient être déployées, même si elles poseraient de « plus grands risques ». « Les banques centrales pourraient essayer de pousser leurs taux dans des territoires négatifs et certaines ont déjà fait de petits pas dans cette direction », assure ainsi l’institution dans son rapport. Un taux de dépôt négatif reviendrait à faire payer les établissements financiers qui préfèrent placer leurs liquidités auprès des banques centrales plutôt que des les utiliser pour prêter de l’argent à des ménages ou à des entreprises. « Les obstacles à la mise en œuvre (de cette mesure, NDLR) sont toutefois importants », admet le FMI, précisant que le fonctionnement du marché interbancaire pourrait s’en trouver « détérioré ». Début mai, un membre du conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne (BCE), Ewald Nowotny, avait indiqué que le recours à des taux négatifs était une « option », tout en jugeant qu’elle n’était pas pertinente « dans un avenir proche ». Son président, Mario Draghi, avait lui assuré que la BCE était « prête sur le plan technique » pour cette mesure. Actuellement, le taux de dépôt au jour le jour de la BCE est fixé à 0 %. Selon le rapport du FMI, les grandes banques centrales pourraient également diversifier leurs rachats d’actifs, actuellement principalement des obligations publiques, en faisant l’acquisition de titres de dettes de banques ou d’entreprises, voire de biens immobiliers.

Montebourg : bientôt un show au Palais des congrès

Montebourg : bientôt un show au Palais des congrès

Le cheveu fraîchement coupé, le pas décidé, il arpente les couloirs de Bercy d’un tonitruant : « Ça va la presse? » Puis Arnaud Montebourg salue les vingt-deux commissaires au redressement productif, ses « hussards du made in France », ses « bâtisseurs sur le territoire », comme il les surnomme. « Bonjour la Lorraine, bonjour à tous! » Le ministre du Redressement productif a réuni ses troupes à Bercy, vendredi, pour un tonique bilan d’étape. L’occasion de dévoiler de nouveaux chiffres sur son action et de défendre sa méthode : selon son cabinet, 399 dossiers d’entreprises en difficulté ont été traités à la fin février, avec 59.961 emplois préservés sur 70.909 emplois concernés. Son équipe a également imprimé un fascicule détaillant région par région le bilan des troupes, exemples à l’appui. Les chefs d’entreprise dont la structure a été sauvée ont même été invités à « témoigner »… « La politique industrielle, c’est l’Iliade et l’Odyssée, Pénélope et les sirènes, on ne sait jamais si on va arriver à bon port, abonde le ministre au 7ème étage de Bercy. On ne gagne pas toujours, mais quand on se bat, on arrive à préserver des hauts niveaux d’emplois. » Sa méthode? « Tout schuss », comme il l’a rappelé dimanche au Grand Jury sur Europe 1. « Il faut se débruxelliser la tête, défendons nos couleurs, martèle-t-il. Je veux du made in France partout. Débrouillez-vous! Si les industriels ne savent pas faire, on va leur fournir un kit. Dites-leur de nous appeler! » Le crédit d’impôt, la Banque publique d’investissement, l’accord sur la sécurisation de l’emploi, le programme de « relocalisation des activités », une circulaire prochainement signée qui permettra aux commissaires d’intervenir au nom de l’Etat devant les tribunaux de commerce… Le ministre détaille, encore et encore, le « nouvel arsenal de la politique industrielle ». « Leclerc va mettre en place un marketing patriotique. Même les Galeries Lafayette ont décidé de lancer une liste de mariage made in France! Ce ministère, c’est celui de l’unité nationale,  de tous les Français de droite, de gauche et du centre. C’est le ministère des antidépresseurs. » Sur proposition des commissaires, de nouvelles idées sont soumises à l’étude, comme la création d’un fichier recensant toutes les entreprises à la recherche d’un repreneur ou d’un nouvel actionnaire. Avant de rappeler, façon rock-star, le succès de son dernier bébé, les « nouveaux objets de la France industrielle » présentés chaque mois au ministère. « On a commencé à Bercy, on ira dans les théâtres de province et on finira au Palais des Congrès devant 5.000 personnes

 

Chypre : bientôt en faillite ?

Chypre : bientôt en faillite ?

« Des experts de la troïka calculent, notamment sous la pression de Berlin, les conséquences financières d’une faillite de Chypre », écrit le quotidien le plus lu d’Europe, sans citer de source.  La Grèce serait le pays le plus affecté, à travers la faillite des principales banques chypriotes qui y ont un réseau de succursales où environ 10% des économies grecques sont entreposées.   »Les banques des autres pays de la zone euro ne seraient, en revanche, guère touchées », poursuit Bild.  Chypre a demandé une aide européenne en juin, après que ses deux principales banques, très exposées à la crise grecque, ont appelé le gouvernement à l’aide.  Lundi, les ministres des Finances de la zone euro réunis à Bruxelles avaient renvoyé la décision sur l’aide à Chypre à après l’élection présidentielle, dont le premier tour se tient dimanche. Un audit mené par le fonds d’investissement Pimco, mandaté par la troïka pour estimer les besoin des banques chypriotes, selon divers scénarios, aboutirait à une fourchette de 5,9 à 8,8 milliards d’euros, abaissant d’autant le coût d’un plan d’aide global.  Toutefois, le principal obstacle à une aide à Chypre ne semble pas tant être le montant du plan que l’opposition de Nicosie à un audit d’une entreprise privée sur le respect des règles anti-blanchiment par les banques locales, une demande très fortement appuyée notamment par l’Allemagne.

Nouveau :- site chansons-poèmes de  g.bessay:

http://chansontroisiemeage.unblog.fr/

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