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Sacs plastiques : bientôt interdits dans le monde

Sacs plastiques :  bientôt interdits dans le monde

Ne n’est pas encore faiat mais dans différents pays on s’oriente vers une diminution des sacs plastiques 500 à  1000  milliards de sacs par an au plan mondial). Voire leur suppresion pure et simple.la question pourrait être traitée lors de la conférence infranational qui se tient à Paris en 2015.  La France, Paris en tête, adoptera-t-elle la mode des « brown bags » américains ? L’interdiction des sacs plastiques fabriqués à partir du pétrole pour cause de désastre environnemental, un « serpent de mer » qui resurgit dans l’actualité à la faveur de projets de lois et de règlementations. Partout, le but est le même: lutter contre la pollution générée par les déchets plastiques, lesquels se retrouvent dans les océans, provoquant par agglomération la constitution de « continents plastiques » ; en outre, les microparticules issues de leur désagrégation auraient des effets néfastes sur la santé. Dernière en date à prévoir un tel bannissement, la Mairie de Paris. Anne Hidalgo a annoncé le 30 septembre son intention de faire voter une telle interdiction, qui concernerait non seulement les sacs dits « de caisse » mais également ceux distribués pour les fruits et légumes. Avant une interdiction formelle, la première étape consistera à faire figurer cette interdiction dans le cahier des charges de l’appel d’offres pour le renouvellement de la délégation de service public des marchés parisiens, qui arrive à terme à la fin de l’année. L’enjeu d’une telle accélération dans la capitale ? Paris, qui doit « accueillir en 2015 la conférence sur le Climat » tient à s’engager « en amont pour lancer cette dynamique vertueuse« , vante une porte-parole de la Mairie. Si le conseil municipal, après « concertation avec les commerçants », validait une extension de cette interdiction, Paris prendrait ainsi de l’avance sur le programme prévu à l’échelle nationale, Ségolène Royal, ministre de l’Environnement, ayant fait introduire au mois de juin un amendement à la loi sur la biodiversité prévoyant une mesure similaire applicable en 2016. La loi sur la transition énergétique actuellement débattue au Palais Bourbon prévoit, elle aussi, une interdiction de ce type (article 19.bis).  Ici encore, il s’agit de faire du zèle puisque cela traduit une directive européenne qui prévoit de diviser par deux la consommation de sacs plastiques à usage unique d’ici à 2017. Il n’en reste pas moins que San Francisco a montré le chemin. Non seulement une centaines d’autres villes ont suivi mais, désormais, c’est toute la Californie qui s’y est mise. Le jour où Anne Hidalgo annonçait son projet, le gouverneur démocrate de l’Etat le plus peuplé du pays, Jerry Brown, signait l’extension de cette interdiction à l’ensemble de l’Etat.

 

Hollande bientôt des promesses et du bla-bla !

Hollande bientôt des promesses et du bla-bla !

 

Hollande ressort une nouvelle boite à outils, l’ancienne est obsolète. Cette fois sur le logement, l’investissement et les professions réglementées. Il va donc faire des annonces et en même temps assurer de sa combativité et de son énergie. Du  bla-bla auquel plus de 80% des Français ne croient plus. En fait à chaque fois une sorte d’inventaire à la Prévert de mesures non coordonnées, souvent contradictoires (voir par exemple les dégâts de la loi Duflot, de la fiscalité et de l’austérité en générale). Un  président qui devient de plus en plus commentateur de l’actualité et qui en fait ne sait plus quoi entreprendre d’autant qu’il est complètement discrédité. Il veut aller plus vite mais il ne sait pas où !  « On maintient le cap et on est dans le mouvement, on force l’allure », a confié hier soir le chef de l’Etat à des journalistes en marge d’une tournée dans l’océan indien jusqu’à demain, ajoutant que sa politique de relance de la compétitivité de l’économie française par le pacte de responsabilité « va marcher ». »Toute autre politique aurait enfoncé le pays soit dans la dette soit dans la désagrégation sociale », a-t-il dit. M. Hollande fera « des annonces dès la semaine prochaine, dans quatre domaines, le logement, la concurrence et les professions réglementées, la simplification et l’investissement ».  »Si je pensais que ma politique n’allait pas porter ses fruits, j’en aurais changé », a-t-il insisté, revendiquant « sa constance ». Le chef de l’Etat rejette les alternatives: « Sortir de l’euro, laisser filer les déficits ou bien sabrer dans la dépense publique, aucune de ces politiques n’a d’avenir ». Il reconnaît « que le pacte de responsabilité n’aura d’effet qu’à moyen terme », n’excluant pas que le « mandat suivant en bénéficie », mais table à court terme « sur l’effet psychologique d’un cadre suffisamment stable pour que la confiance revienne ».  »Le problème français, c’est un problème de confiance dans l’avenir », souligne-t-il, estimant que le retour de la confiance pourrait relancer « l’investissement, privé comme public, qui est la clef de tout et qu’il faut débloquer ».A l’Europe, François Hollande demande du temps pour réduire les déficits publics alors que le ministre des Finances Michel Sapin estime désormais qu’ils seront supérieurs à 4% cette année, excluant de facto un retour à 3%, la norme européenne, dès l’an prochain. Les Allemands « ont mis dix ans de réformes pour en arriver là où ils en sont et nous en sommes à deux années », fait valoir le chef de l’Etat.  »Nous allons continuer de réduire les déficits mais au rythme qui nous paraîtra compatible avec la croissance », explique-t-il encore, estimant qu’au « niveau de l’Europe aussi, il faut que le rythme de l’ajustement budgétaire soit adapté à la croissance ». Même s’il refuse de se projeter en 2017 – « sinon je n’avance plus » – il estime qu’on peut « faire des réformes et gagner », notant que l’ancien chancelier allemand Gerhard Schröder avait « perdu de peu » après avoir engagé une vaste réforme du marché du travail. Quant à la reprise, s’il reconnaît qu’elle « est faible » et « fragile », il estime qu’elle est bien là avec désormais 0,5% de croissance attendue cette année par le gouvernement. « On n’est plus dans la crise mais l’enjeu, c’est de libérer et de mobiliser toutes les énergies pour sortir de la stagnation », affirme-t-il.

 

Hollande : 60 ans, bientôt la retraite ?

Hollande : 60 ans, bientôt la retraite ?

 

Il s’y attendait à ce sarcasme, Hollande a donc décidé de fêter discrètement son anniversaire. Le chantre de la retraite à 60 ans devrait en effet quand même y penser car avec son taux de popularité dans les chaussettes la reconversion va s’imposer. Hollande évidemment ne sera pas qualifier pour le second tour en 2017 et ce sera même pire que Jospin. Il n’est pas sur non plus qu’il puisse être candidat enfin on ne peut non plus exclure qu’il ne puisse finir son mandat tellement les résultats économiques et sociaux sont catastrophiques. Hollande aura échoué sur tous les plans. 0 60 ans Hollande devrait donc sérieusement penser à la retraite même si elle n’est guère méritée. Pour éviter les médias, cap vers le sud. Mardi, pour souffler ses bougies, François Hollande ne sera pas à La Lanterne, à Versailles, mais « dans le Sud-est », a indiqué lundi l’Elysée. Un anniversaire que le Président passe « en petit comité », en famille.  Mardi, François Hollande fête ses 60 ans. Et alors qu’il passait ses quelques jours de vacances dans la résidence de La Lanterne, à Versailles, le chef de l’Etat a décidé de mettre le cap plus au sud. Dans un autre lieu situé « dans le Sud-Est », a simplement fait savoir l’Elysée lundi. C’est là qu’il soufflera ses 60 bougies, « en petit comité » – en compagnie de ses quatre enfants Thomas, Clémence, Julien et Flora – et hors la présence de tout ministre, a encore confié la présidence. Selon un proche du chef de l’Etat, ce n’est ni dans la villa qu’il possède à Mougins (Alpes-Maritimes), ni auprès de son père, à Cannes. Toutes les hypothèses sont donc permises. Sauf une : celle d’un séjour au Fort de Brégançon (Var) où il avait passé ses premières vacances estivales en tant que Président, en 2012, avec sa compagne d’alors, Valérie Trierweiler. De plus, le Fort est ouvert au public tout l’été.

Le président de BNP Paribas bientôt évincé

Le  président de BNP Paribas bientôt évincé

C’est rare pour être signalé  mais le président de la BNP pourrait bien payer ses erreurs de gestion après la lourde amende infligée par les Etats-Unis à la Banque. Certes il n’ira pas en prison comme le bouc émissaire Kerviel mais après cette amende infligée par les Américains, Baudouin Prot devrait quitter son poste dans les prochains mois. Jean Lemierre, ancien patron du Trésor, pourrait le remplacer.  Tout n’est pas terminé chez BNP Paribas. Il y a un mois, la banque française s’acquittait d’une amende record de 6,6 milliards d’euros auprès de la justice américaine pour avoir commercé en dollars avec le Soudan, Cuba et l’Iran, des pays sous embargo. De nombreux dirigeants sont partis dont le directeur général délégué en charge des métiers de financement, Georges Chodron de Courcel. Le directeur général, Jean-Laurent Bonnafé, a été épargné. Au moment des faits, entre 2002 et 2009, il dirigeait la banque de proximité. Mais selon plusieurs sources internes et proches de BNP Paribas, son président Baudouin Prot devrait quitter son poste dans les prochains mois. « C’est ce qui est envisagé par la banque et par lui-même, explique une source, mais ce n’est pas encore arrêté. » Il était directeur général du groupe de 2003 à 2011. Même si les autorités américaines ont reconnu qu’il avait mis fin aux activités interdites dès qu’il en avait eu connaissance, sa responsabilité est engagée. Son entourage le décrit très affecté par cette sanction. « Baudouin le vit très mal personnellement, confie un cadre de BNP Paribas. Il prendra sa décision à la rentrée, mais la logique veut qu’il parte. » Pour le ménager, une sortie « en douceur » serait prévue, vers la fin de l’année. Gênée aux entournures, la banque se contente de déclarer qu’ »il est président aujourd’hui » tout en reconnaissant qu’ »il a eu un moment de faiblesse ». Preuve que le processus est dans toutes les têtes, le nom de son successeur circule déjà dans les couloirs de la banque. Il s’agit de Jean Lemierre, conseiller du président Prot. Il a joué un rôle majeur ces derniers mois en négociant l’accord avec les autorités américaines aux côtés du directeur général Jean-Laurent Bonnafé. Ancien directeur général du Trésor et de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (Berd), sa stature internationale lui confère un avantage important pour briguer la présidence. Le départ de Baudouin Prot devrait être le dernier d’une longue série. Au milieu de la chaîne hiérarchique, le patron de la « sécurité financière » fait figure de rescapé. En poste depuis dix ans, Henri Quintard est chargé de vérifier que les transactions n’enfreignent pas les règles internationales d’embargo, de blanchiment et de financement du terrorisme. Il est l’un des premiers responsables mais n’a pas été sanctionné. « Pourquoi les Américains acceptent-ils maintenant qu’il soit basé sur leur sol? », s’interroge un spécialiste de l’intelligence économique dans les banques. Avant de tenter une explication : « Ils ont évoqué un salarié de BNP qui les avait aidés en les alertant. » Embarrassée, la banque répond que toute son équipe de sécurité financière sera déplacée de Paris à New York comme prévu dans l’accord avec la justice américaine.  À terme, une centaine de salariés français seront expatriés, une centaine d’autres seront recrutés sur place. Parmi eux, des fonctionnaires de la justice américaine s’installeront au sein des bureaux new-yorkais de BNP Paribas pour contrôler ses activités. « Leur périmètre ne concerne que les pays sous embargo », jure la banque française, qui rejette le risque d’un espionnage industriel de la part des autorités américaines. « Ils auront accès à tout, confirme pourtant une source des autorités publiques françaises. C’était le prix à payer pour que BNP Paribas conserve sa licence bancaire aux États-Unis. »

Pharmaciens : bientôt la concurrence totale ?

Pharmaciens : bientôt la concurrence  totale ?

 

 

Les pharmacies sont mises en cause  par le gouvernement du fait du coût de certains médicaments. Premier facteur explicatif d’abord le monopole qui renchérit le coût du fonds de commerce (autour de 200 000 euros environ en moyenne mais comme pour l’immobilier il existe de grands écarts autour de cette moyenne). ), Du coup une grande parie du résultat est affecté au remboursement des prêts d’achat des pharmacies. Il est clair que la suppression du monopole (autorisation de ventes de certains médicaments par d’autres commerces) et la suppresion du numerus clausus (nombre d’étudiants et nombre de pharmacies) favoriserait une baisse des prix pour le consommateur.  La France compte 23 000 officines pharmaceutiques et 55 000 pharmaciens d’officine (qui ont fait 6 ans d’études pour la plupart, certains se spécialisent et font 10 ans d’études), Le chiffre d’affaires moyen d’une officine s’établit à 1,5 million d’euros, en 2008 selon un cabinet d’étude spécialisé. La marge brute d’une officine se répartit en moyenne comme suit :

  • vente de médicaments remboursables sous brevet : 67 % des recettes ;
  • vente de médicaments remboursables génériques : 13 % ;
  • vente de médicaments sans ordonnance : 6 % ;
  • vente de produits de parapharmacie et autres : 14 %.

 

 

L’Inspection générale des Finances (IGF) préconise, dans un rapport sur les professions réglementées, la fin du monopole des pharmaciens sur certains médicaments, indique le quotidien Les Echos dans son édition de ce lundi. L’IGF recommande d’ouvrir à la concurrence la vente de médicaments dont la prescription est facultative (Doliprane, Spasfon, etc) et la vente de médicaments non remboursables (Nurofen, Humex, Fervex, etc), précisent Les Echos. Ces deux types de médicaments représentent environ 9% du chiffre d’affaires des pharmacies en moyenne, souligne le quotidien qui a eu accès à un nouveau chapitre du rapport de l’IGF qui n’a pas été rendu public. L’Inspection générale des Finances souligne que « les prix des médicaments non remboursables ont augmenté deux fois plus vite que le coût de la vie depuis quinze ans (+3 % par an en moyenne entre 1998 et 2011) » – une hausse visant à compenser la baisse des prix des médicaments remboursables, expliquent Les Echos. Or « ce rattrapage de marge est jugé parfois disproportionné par le rapport », pour lequel ouvrir la vente de certains médicaments aux supermarchés par exemple entraînerait une baisse des prix pour les consommateurs. Parmi les autres recommandations, les Echos citent la fin du numerus clausus pour les étudiants en pharmacie, l’ouverture du capital des officines à des investisseurs extérieurs, la liberté d’installation totale pour les pharmaciens. Au 1er janvier 2013, les pharmaciens étaient 72.204, dont 31.074 exerçaient en libéral, selon la Cour des comptes. Les pharmaciens sont principalement rémunérés par la marge sur les médicaments mais les modes de rémunération commencent à se diversifier avec l’introduction récente d’une rémunération à la performance et d’un honoraire de dispensation. Les 37 professions repérées par l’IGF sont protégées soit par des barrières à l’entrée (numerus clausus), par des tarifications réglementées ou les privilèges de certains actes. Dans le secteur juridique, sont cités les huissiers, les greffiers des tribunaux de commerce et les avocats. Pour le ministre de l’Economie Arnaud Montebourg, ces professions « captent par leur position des revenus pour des services payés trop chers qui entament le pouvoir d’achat des ménages ».

Le Club Med bientôt italien ?

Le Club Med bientôt italien ?

Le Club Med examine ce vendredi 25 juillet la contre-OPA de l’homme d’affaires italien Andréa Bonomi. Le conseil d’administration du groupe de loisirs doit dire s’il la recommande ou non face à celle du duo d’actionnaires Ardian et Fosun. L’Autorité des marchés financiers (AMF) fixera ensuite un calendrier. L’homme d’affaires italien croit de plus en plus à ses chances. Pour Andréa Bonomi, le conseil d’administration ne peut qu’approuver son offre, c’est une question de logique. Elle est la mieux disante financièrement pour les actionnaires, elle valorise le groupe à hauteur de 790 millions d’euros, contre seulement 558 millions d’euros pour l’offre concurrente.  Quelques indices lui permettent en outre d’être plutôt confiant. Tout d’abord, Serge Trigano, l’ancien PDG du groupe est venu lui apporter sa caution, ce qui n’est pas rien. Surtout aux yeux des salariés en partie actionnaires. Les organisations syndicales ont rencontré Andrea Bonomi il y a 15 jours en comité d’entreprise extraordinaire, et ils seraient plutôt séduits. Autre indice: les récentes déclarations de la direction du Club, qui dit vouloir étudier une dizaine d’opportunités de développement en France. Du côté de Bonomi, on prend ça pour de l’affolement et un changement de stratégie. Du côté du Club Med, on assure qu’on travaillait depuis un moment déjà sur ces ouvertures. Le marché, lui, parie sur une surenchère de la première offre puisque le cours de l’action Club Med a dépassé les 21 euros.

La dette bientôt au dessus de 100% du PIB (Carrez)

La dette bientôt au dessus de 100% du PIB (Carrez)

, le président  UMP de la commission des finances de l’Assemblée nationale, Gilles Carrez,  juge « probable » que l’endettement de la France dépasse les 100% du PIB d’ici à 2015. Il se dit convaincu que « la vigilance est altérée » à cause de « taux d’intérêts toujours très bas » et parce qu’ »une partie de la majorité (qui) prétend que la dette n’est pas un sujet ». Lundi 30 juin, l’Insee avait déjà quelque peu tiré la sonnette d’alarme. Selon l’institut de conjoncture, la dette française au sens de Maastricht a nettement grossi au premier trimestre 2014 atteignant 93,6% du PIB sur les trois premiers mois de l’année, soit 1,8% de plus qu’au dernier trimestre de 2013. En termes de montants, ce ne sont pas moins de 45,5 milliards d’euros qui viennent gonfler le passif de la France, qui s’élève désormais à 1985,9 milliards d’euros.  L’Insee précisait que cette hausse provient pour l’essentiel d’une augmentation de l’Etat, sa contribution à la dette ayant augmenté de 43,3 milliards d’euros au premier trimestre 2014. La contribution de la Sécurité sociale a elle augmenté de 4,6 milliards d’euros tandis que celle des administrations publiques locales a baissé de 2,1 milliards d’euros. Le programme de stabilité transmis en mai dernier à la Commission européenne prévoit une hausse de la dette publique qui atteindrait 95,6% en 2014 avant de stabiliser en 2015, puis de refluer à 94,2% en 2016 puis 91,9% en 2017.

 

Club Med: bientôt italien ?

Club Med: bientôt italien ?

 

Encore une entreprise qui risque de passer dans des mais étrangères, peut-être italiennes. Andrea Bonomi va-t-il racheter le Club Med? Ce lundi 30 juin, la date limite fixée par l’Autorité des marchés  financiers (AMF) au financier italien pour déposer une offre publique d’achat sur le groupe français expire à 18 heures, heure française. Selon le Figaro de ce lundi, l’homme d’affaires transalpin aurait bel et bien l’intention de déposer une offre, qui viendrait alors se confronter à celle lancée conjointement par le fonds d’investissement Ardian et le conglomérat chinois Fosun, il y a un peu plus d’un an. Leur offre venait  initialement à expiration le 23 mai dernier mais, par deux fois, l’AMF l’a prolongée afin notamment de connaître les intentions réelles d’Andrea Bonomi. Le 6 juin dernier, le gendarme des marchés avait ainsi fixé un ultimatum à Investindustrial, société liée à Andrea Bonomi. Cette dernière ne pourra plus, que ce soit seule ou de concert avec une autre entreprise, lancer d’offre sur le Club Med, si’ elle ne le fait pas avant ce lundi.  Investindustrial avait auparavant indiqué à l’AMF, le 26 mai dernier, examiner « l’éventuel lancement d’une offre publique sur le Club Méditerranée ». Elle pourrait ainsi s’allier avec Strategic Holdings, autre entreprise dirigée par Andrea Bonomi et qui possède 10% de Club Med, pour réaliser l’OPA. Investindustrial a, par ailleurs, déposé deux recours pour obtenir un sursis à l’exécution des décisions de l’AMF, recours qui seront examinés en référé le 3 juillet prochain.  De leur côté, Fosun et Ardian mettent la pression. Dans les Echos du Jeudi 27 juin, Guo Guangchang, le président de Fosun, affirmait que si Andrea Bonomi ne respecte pas le délai fixé par l’AMF, « il faudrait en tirer la conclusion que monsieur Bonomi n’a pas de projet alternatif pour la société ». Il regrettait d’avoir perdu « beaucoup de temps » en raison des manœuvres du financier italien. L’offre de Fosun et Ardian, qui valorise Club Med à hauteur de 559 millions d’euros, s’est d’abord heurtée à deux recours déposés par les actionnaires minoritaires de l’entreprise. Une fois que l’AMF a débouté ces deux recours, fin avril dernier, l’OPA des deux entreprises a été compromise par la montée au capital progressive de Strategic Holdings et d’Andrea Bonomi dans le Clubd Med. Fosun et Ardian ont toutefois à leur actif le soutien du management du groupe français et de son PDG Henri Giscard d’Estaing.

 

Jérôme Kerviel : bientôt la prison, non la pendaison !

Jérôme Kerviel : bientôt la prison, non la pendaison !

 

La justice ne lâche pas Kerviel qui doit aller en prison pour ses crimes financiers. La prison non, c’est la pendaison en place publique qu’il faut appliquer à celui qui à lui seul est responsable des désastres financiers de toutes les banques françaises. La preuve en dépit des milliards évaporés (la BCE a dû prêter 1000 milliards d’euros aux banques européennes), aucun dirigeant de banques françaises n’a été inquiété. Kerviel est donc bien coupable et le seul si on se réfère à l’inaltérable indépendance de la justice. Pendant ce temps des procès politico –financiers trainent depuis des années et finiront en eau de boudin (surtout avec l’alternance politique). Certes kerviel n’est pas innocent mais lui faire payer seul la facture c’est offrir en pâture au peuple un pauvre type qui a surtout le malheur de n’être ni énarque, no polytechnicien. Le co-président du Parti de Gauche, Jean-Luc Mélenchon, tout comme un sénateur communiste avant lui, s’est notamment porté au secours de Jérôme Kerviel, menacé d’incarcération. « Nous réclamons que toute la lumière soit faite : Kerviel est innocent », a affirmé Jean-Luc Mélenchon dans un communiqué, ce jeudi 15 mai. De son côté, le sénateur communiste Eric Bocquet a écrit à François Hollande pour lui dire qu’il lui paraît « injustifié » que l’ancien trader de la Société Générale soit incarcéré avant que « toutes ces questions » n’aient « trouvé une réponse ». Jérôme Kerviel doit franchir samedi 17 mai la frontière italo-française à Menton, où pourrait se terminer sa marche entamée à Rome car l’ancien trader a été convoqué au commissariat de cette ville des Alpes-Maritimes, préalable à son incarcération. « Pourquoi ne pas attendre (le) nouveau procès avant de s’en prendre à nouveau à Kerviel ? Qu’est-ce qui justifie l’empressement du parquet ? », a questionné l’eurodéputé Jean-Luc Mélenchon. Le 19 mars, la Cour de cassation a validé la condamnation de Jérôme Kerviel à cinq ans de prison dont trois ferme, mais annulé les dommages et intérêts de 4,91 milliards d’euros équivalents à la perte déclarée par la Société générale. Un nouveau procès doit donc se tenir devant la cour d’appel de Versailles. Selon Jean-Luc Mélenchon, le fait que la Cour de cassation ait annulé la condamnation de Kerviel à verser des dommages et intérêts est « la preuve que les accusations de la Société Générale contre Jérôme Kerviel ne tenaient pas ».

Entreprises française : la braderie continue, le Club Med bientôt chinois ?

Entreprises française : la braderie continue, le Club Med bientôt chinois ?

Après le fleuron de l’industrie lourde ALSTOM, le fleuron de l’industrie légère et de l’insouciance : le Club Med. La marque au Trident a la voie désormais libre pour se développer comme elle l’entend, notamment en voyant monter dans son capital le chinois Fosun, déjà actionnaire du Club à hauteur de 10%. Dans un contexte de fin de crise, le groupe a besoin de rebondir. Présent dans 40 pays, le Club Med est une entreprise très internationale dont l’activité est plombée en grande partie par deux marchés : la France et la Belgique. Sans développement à l’étranger, la société est condamnée, elle qui réalise aujourd’hui un chiffre d’affaire d’1 milliards et demi d’euro et emploie 15.000 personnes parlant 30 langues différentes. La montée de Fosun, dans le cadre d’une opération amicale, va permettre au Club de renforcer son assise financière pour gérer sa stratégie sur le long terme. Qui plus est avec un partenaire dont le pays d’origine – la Chine – accèdera bientôt au rang de première puissance économique mondiale, donc touristique, le fonds de commerce du Club. Cela va être également l’occasion pour le groupe dirigé par Henry Giscard d’Estaing de monter en gamme. Aujourd’hui, pour se développer, soit on fait du moyen-bas de gamme pas cher, soit on joue le prestige. C’est ce que fait le Club depuis 2006 en revendant des villages pour en acquérir d’autres plus « smart », mais le moment est venu de passer à la vitesse supérieure. Et puis il n’y a pas que la clientèle chinoise. Une assez grande partie de la population des pays émergents s’enrichit et veut, elle aussi, des vacances et des loisirs. Dans les deux cas (Psa et le Club Méditerranée), il serait vraiment malvenu de critiquer car les opérations répondent à une vraie logique industrielle. La Chine qui, certes, a beaucoup d’argent à placer, s’intéresse à l’Europe car les opportunités d’investissement y sont aujourd’hui nombreuses, mais les partenaires chinois nous permettent d’accéder à leur propre marché. Le Club Med est l’exemple type de l’entreprise placée au cœur de la mondialisation, qui a besoin de grossir pour survivre et, à ce titre, besoin de s’allier avec des partenaires, des actionnaires, internationaux. Ce qui également le cas d’Alstom mais ce dernier a fait les frais d’un débat politique – légitime vu son positionnement stratégique – mais trop politicien. Le tourisme est un secteur beaucoup moins sensible et ne nécessite pas une mobilisation équivalente. L’opération capitalistique va pouvoir être lancée avec 9 mois de retard. Cette fois, pas à cause du gouvernement, mais d’actionnaires minoritaires récalcitrants. La clôture de l’offre devrait intervenir le 23 mai et le résultat connu courant juin. Henry Giscard d’Estaing est ce matin un homme, aux mains libres, plutôt heureux.

Alstom, bientôt vendu aux américains s’envole à la bourse de Paris….avant de disparaître ?

Alstom, bientôt vendu aux américains  s’envole à la bourse de Paris….avant de disparaître ?

.Selon l’agence Bloomberg, l’américain General Electric serait prêt à débourser 13 milliards de dollars pour s’emparer du fleuron industriel français. Quant au Figaro, il croit savoir que seule la branche énergie d’Alstom serait soumise à une offre publique d’achat. La seule certitude c’est que le groupe Alstom, qui emploie 93.000 personnes dans le monde (dont 18.000 en France), connait des difficultés. Pour Général Electric, ce serait une proie facile estime Christopher Dembik, analyste financier chez Saxo Bank. Alstom en devenant américain pourrait progressivement disparaître du paysage français. Une entreprise pourtant sauvée par l’Etat et soutenu a bout de bars par les commandes de centrales et de matériel ferroviaires notamment TGV. Il est clair que ce qui intéresse GE c’est le carnet de commandes et la technologie de Alstom. Dans un premier temps il y aurait nécessairement des restructurations ensuite de nouvelles délocalisations. Progressivement Alstom pourrait disparaître du paysage français. Ou les effets du capitalisme triomphant et de la nullité de la politique industrielle de la France.

Taubira bientôt virée

Taubira bientôt virée

Christiane Taubira n’en aurait plus pour longtemps au ministère de la Justice. La  garde des Sceaux devrait quitter la Chancellerie d’ici quelques mois, le temps de faire passer une mini  réforme pénale au Parlement. Elle serait remplacée par l’actuel président de la commission des lois à l’Assemblée nationale, le député du Finistère Jean-Jacques Urvoas. Ironie de l’histoire, ce dernier visait de longue date le ministère de l’Intérieur. Il avait reçu le soutien de Manuel Valls mais François Hollande s’était opposé à sa nomination, lui préférant son fidèle François Rebsamen. Le président de la République et son premier ministre s’étaient finalement accordés sur Bernard Cazeneuve. Depuis un moment déjà, Christiane Taubira ne cachait pas son envie de quitter le ministère de la Justice depuis la montée en puissance de Valls avec lequel elle ne s’entend pas. Quitte à rester dans le gouvernement, elle avait demandé le ministère de l’Éducation. Mais pour compenser son profil droitier, Manuel Valls l’avait finalement attribué à Benoît Hamon.

 

Harlem Désir bientôt viré du PS?

Harlem Désir bientôt viré du PS?

Harlem Désir bientôt viré de la tête du PS, c’est une hypothèse sérieuse tellement il est transparent et inaudible ; En gros il répète les communies des l’Elysée avec le charisme d’une planche à repasser. Avec la raclée des municipales, il pourrait être débarqué voire promu comme secrétaire d’Etat.  Après la large défaite aux élections municipales des 23 et 30 mars, les petits règlements de compte entre socialistes se poursuivent. Cible privilégiée, le premier secrétaire du Parti socialiste Harlem Désir, accusée d’être en partie responsable de la débâcle. Dans une interview à Médiapart, l’ancien premier secrétaire sous François Mitterrand, Henri Emmanuelli, a lancé la charge : « Le Parti socialiste n’existe plus, ni en attaque, ni en défense (…) C’est devenu un parc à moutons ». Le député des Landes, situé à l’aile gauche du PS, juge ainsi qu’’un congrès extraordinaire ou une démission du premier secrétaire ne (lui) paraîtrait pas inopportun“.  L’ancien directeur de cabinet d’Harlem Désir, Mehdi Ouraoui, a renchéri dans Le Parisien : « Désir n’a plus aucune légitimité. Avec lui, on va au crash aux européennes. » Vendredi, Frédéric Cuvillier, non reconduit comme ministre dans le gouvernement de Manuel Valls, a également lourdement critiqué le parti et son premier secrétaire dans les colonnes du Parisien : « Cette campagne (municipale, Ndlr) a révélé au grand jour l’absence totale du PS national. Nous n’avons reçu aucun soutien de sa part. Le PS n’a eu aucune stratégie. Le malaise est général. Voilà vingt-deux mois que le parti est inaudible, absent. » L’ancien ministre des Transports appelle aussi Harlem Désir à démissionner : « Si on considère qu’il faut tirer des leçons de la lourde défaite aux municipales, alors il faut le faire à tous les niveaux, y compris à la tête du PS. Certes, Harlem Désir a été élu par les militants socialistes, mais il y a une forme de responsabilité électorale qui doit être prise en compte aujourd’hui. Il y a besoin d’un électrochoc, » détaille-t-il.  Une des hypothèses évoquées, selon Le Parisien, pour débarquer Désir sans faire de vague serait de l’exfiltrer à un secrétariat d’Etat aux affaires européennes. Problème, les déclarations d’Emmanuelli semblent avoir compliqué la situation : « Henri est irresponsable. Le fait de demander sa démission, c’est le meilleur moyen pour qu’il ne se passe rien », estime un fidèle de François Hollande cité par Le Parisien. Sur i-Télé, vendredi, Harlem Désir a repoussé l’idée de convoquer un congrès extraordinaire ou de démissionner : « Nous n’avons pas, aujourd’hui, à organiser un congrès socialiste et à nous donner en spectacle mais au contraire à être rassemblés. Il faut au contraire que les socialistes serrent les rangs, qu’ils débattent. J’ai moi-même proposé que nous ayons un conseil national qui va se tenir dans quelques jours, auquel le premier ministre participera, » a-t-il assuré. Le Conseil national du PS, sorte de « parlement » du parti, aura lieu mardi 15 avril, en présence de Manuel Valls, a précisé vendredi Harlem Désir à l’AFP.

 

Anniversaire des Verts : 30 ans et bientôt la fin !

Anniversaire des Verts : 30 ans et bientôt la fin !

 

30 ans, c’est l’âge du parti des verts, c est encore jeune et sans doute pourtant bientôt la fin. Pourquoi tout simplement parce que le verts sont devenus un parti comme les autres en oubliant leur objet social au profit d’intérêts boutiquiers. Le paroxysme ayant sans doute été atteint avec l’équipe dirigeante actuelle qui a sacrifié ses orientations pour quelques postes de députés et de ministres. Plus fondamentalement, un parti vert est une hérésie démocratique car on ne saurait créer un parti sur chaque sujet sociétal même si l’environnement constitue un enjeu essentiel mais il y en a d’autres. Il faut une vision globale, à la fois sociétale mais aussi économique et sociale. On se demande évidemment ce que font les écolos dans le gouvernement. En se politisant le mouvement écologique s’est discrédité alors que paradoxalement sur le terrain ne cessent de se développer des associations de défense  de la qualité de vie et de la planète. En faat les écolos n’auraient jamais du délaisser le terrain, ils n’auraient jamais du se laisser polluer par la politique. Ils vont le payer très cher aux élections même s’ils pourront encore sauver les meubles sous l’aile du PS.  Nés en 1984 de la fusion de plusieurs courants écologistes, les Verts subissent au début des années 90 la concurrence féroce de Génération écologie. Le mouvement de Brice Lalonde, Noël Mamère et Jean-Louis Borloo a été fondé avec l’appui discret de François Mitterrand, désireux de diviser les écologistes. Les deux partis passent néanmoins une alliance pour les législatives de 1993, sans parvenir à envoyer le moindre élu au palais Bourbon. « A l’époque, les Verts quittent aussi la stratégie du ‘ni droite ni gauche’ pour s’allier au PS, c’est un moment fondamental », note Daniel Boy. Noël Mamère rejoindra le parti en 1998. Avec l’arrivée de Lionel Jospin à Matignon, les Verts font leur entrée au gouvernement. Dominique Voynet, candidate à la présidentielle en 1995 (3,32%), devient ministre de l’Environnement et de l’Aménagement du territoire. « La dissolution provoquée par Chirac n’a pas laissé le temps de constituer un programme articulé. Les Verts n’obtiendront pas grand-chose de Jospin, qui n’était pas très allant sur le sujet de l’écologie », rappelle Daniel Boy. Avec les élections locales, les européennes sont le scrutin qui réussit le mieux aux Verts. L’année 2007, marquée par une appropriation du thème de l’écologie par les partis traditionnels, a été compliquée. 2009, avec la formation de la liste Europe Ecologie, ouverte à la société civile, marque un certain renouveau. Sous l’impulsion (entre autres) de Daniel Cohn-Bendit et José Bové, le parti obtient 16% des voix, manquant de peu de devancer le Parti socialiste. Un an plus tard, les Verts deviennent Europe Ecologie-les Verts. Ses détracteurs affirment toutefois que l’appareil politique a vite repris la main sur le mouvement civil. L’ancienne juge Eva Joly est désignée candidate d’EELV pour la présidentielle 2012 dans une primaire interne face à Nicolas Hulot. Au terme d’une campagne inaudible, la franco-norvégienne n’obtient finalement que 2,31% des voix. Depuis la candidature d’Antoine Waechter en 1988 (3,78%), les Verts n’ont dépassé la barre des 5% lors de ce scrutin qu’à une seule reprise, avec Noël Mamère en 2002 (5,25%). Ce dernier a dénoncé l’attitude de la direction du parti et rendu sa carte fin 2013. Au bénéfice d’un accord avec le PS, EELV envoie 17 députés à l’Assemblée nationale et forme pour la première fois de son histoire un groupe parlementaire. La patronne du parti, Cécile Duflot, entre au gouvernement comme ministre du Logement. Pour quel résultat? Daniel Boy se montre sceptique : « La transition écologique qu’ils appellent de leurs vœux met du temps à se lancer. Non seulement on ne sait pas encore ce qu’il y a dedans, mais en plus, du fait des décrets d’application, ce sera long à mettre en place. »

 

Hollande- Erreurs d’addition : des économies supplémentaires bientôt programmées

Hollande- Erreurs d’addition : des économies supplémentaires bientôt programmées

On a refait les additions après la conférence de presse de Hollande et de toute évidence, le compte n’y est pas pour à la fois réduire les déficits, alléger les charges des entreprises et diminuer les impôts des français d’ici 2017. Une petite erreur de l’ordre de 20 milliards. Erreur habituelle puisqu’en 2013 on devait réaliser seulement 3% de déficit, en fait on a fat 4.1% et on sera seulement 3,6% (en principe)  en 2014. Du coup sans donner de chiffres précis l’Elysée annoncent qu’i y aura des économies supplémentaires à réaliser. La trajectoire d’économies dans les dépenses publiques est pour l’instant inchangée, avec 18 milliards d’euros prévus en 2015, autant en 2016 et 13 milliards en 2017, mais d’autres économies seront bientôt programmées, a-t-on appris mercredi à l’Elysée. Ces économies supplémentaires, trouvées notamment à la lumière des travaux sur le « pacte de responsabilité » avec les entreprises, qui doit se traduire par une nouvelle baisse du coût du travail, modifieront cette trajectoire, a-t-on précisé. Les chiffres cités mercredi par l’Elysée sont conformes aux prévisions déjà annoncées. Le président François Hollande avait quant à lui évoqué mardi lors de sa conférence de presse le chiffre de 17 milliards d’euros d’économies en 2017. Ces économies feront suite à un effort prévu cette année de 15 milliards d’euros de réduction des dépenses par rapport à leur hausse tendancielle, qui vise à réduire le déficit public de la France de 4,1% du PIB fin 2013 à 3,6% fin 2014. Cette trajectoire doit à la fois permettre de remplir les engagements de la France en termes de redressement des finances publiques et de baisser les prélèvements obligatoires en fin de mandat, a souligné une source. « Nous ferons davantage afin de pouvoir faire des allégements additionnels », a-t-elle déclaré, ajoutant que les précisions seraient apportées d’ici le mois de mars. La trajectoire actuelle « sera adaptée à la lumière des travaux du ‘pacte’ et du Conseil supérieur de la dépense dans les prochains mois », a expliqué une seconde source.

 

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