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Les tablettes bientôt interdites à l’école ?

Les tablettes bientôt  interdites à l’école ?

 La mode est au numérique partout y compris en fait quand il ne s’agit que de gadgets ( les fameuses  applis qui peuvent tout résoudre). Hollande a promis à tous les élèves de les équiper en ordinateurs. Pourtant aux Etats Unis dans les meilleures écoles, les outils numériques sosnt interdits depuis longtemps. Des ordis   pour quoi faire ? Pour initier les élèves aux nouvelles technologies ? Alors que les  élèves passent déjà des heures sur leurs tablettes et autres Smartphones personnels  ! En tout cas uen commission de parlementaires recommande le contraire de ce que propose Hollande  prêt à tout pour sacrifier à la mode du jeunisme branché.  Grosperrin, rapporteur d’une commission d’enquête sur l’école, préconise l’interdiction des tablettes en primaire. L’an dernier, il en avait pourtant promis aux élèves de Besançon, révèle NextINpact.. Ce sénateur du parti Les Républicains vient de présenter un rapport sur l’école, rédigé par une commission d’enquête composé de vingt parlementaires de tous bords politiques. Ils y brossent un portrait très noir de ce qu’ils qualifient « d’envahissement du numérique » à l’école, à travers les smartphones, les ordinateurs et les tablettes, notant au passage que les enseignants « peinent de plus en plus à transmettre les valeurs de la République ».  Le sénateur s’étrangle donc de la mesure proposée par le président de la République, François Hollande, de fournir à l’ensemble des élèves de 5ème une tablette numérique à la rentrée 2016. Une mesure qu’il juge « coûteuse et inefficace ». La commission d’enquête préconise, elle, d’interdire les tablettes numériques au primaire, et de mettre à l’étude un dispositif de brouillage des téléphones portables dans les écoles et les collèges.

 

Les vieux bientôt totalement connectés

Les vieux bientôt totalement connectés

 

Aujourd’hui on connecte tout même les vieux ; mais pas assez dit le patron de Legrand. Certes la télésurveillance apporte une sécurité mais visiblement là il s’agit de vendre tout et n’importe quoi : exemple la connexion de la porte du frigo !  Sans doute aussi celle des WC et du papier toilette quand le rouleau est épuisé.   Les objets connectés permettent aussi, selon lui, de maintenir à domicile les personnes âgées. Il relève que « la France n’est pas en avance » dans ce domaine, malgré le lancement du programme « Silver économie » en 2013. « Or cela pourrait devenir une vraie expertise française », assure le chef d’entreprise. Il propose déjà plusieurs dispositifs, existants ou à venir, plus pointus que la télésurveillance via un bracelet ou un pendentif. Et de citer les détecteurs de chutes, d’errance, de manque d’alimentation, les objets captant si le gaz est ouvert ou le réfrigérateur ouvert, si une personne n’a pas bougé pendant longtemps… C’est une question de « confort et de sécurité », argue Gilles Schnepp, qui met aussi en avant l’argument économique : « le retour sur investissement est très attractif ». Ainsi, alors qu’une maison de retraite coûte « 1.000 à 3.000 euros par mois », « l’équipement d’un appartement coûte 2.000 à 5.000 euros au maximum ». Aucun rapport évidemment mais comme les vieux sont en général réfractaires aux smartphones, il faut bien leur vendre autre chose; !

Religion: bientôt un diplôme pour les croyants ?

Religion:  bientôt un diplôme pour les croyants ?

 

Curieux cette façon pour le gouvernement d’aborder la question de l’Islam en proposant notamment des formations aux futurs Imams. Pae extension on pourraiat aussi rendre la formation obligatoire pour toutes les religions, chez les évangélistes aussi où les pasteurs n’ont aussi aucune formation . Plus tard on pourrait même envisager des formations pour les croyants ( l’initiation est prévue pour l’islam dans la réforme scolaire !) avec diplômes également. Pourquoi pas en profiter pour instaurer uen petite taxe, sorte de denier du culte géré par l’Etat et redistribué par un ministère des cultes. Bref l’étatisation des religions ! Le rêve des énarques. Certes il y a un problème pour l’islam avec ses 1000 à 2000 imams qui viennent surtout de l’étranger, dont un tiers ne parlent pas même le français. Pour autant c’est une bien curieuse conception de la laïcité  mettre son nez dans la formation et l’organisation religieuse. Mieux vaudrait montrer davantage de rigueur dans l’application des règles républicaines et s’en tenir à cela. En commençant par expulser ces imams étrangers qui prônent la violence . Pour le gouvernement il faut Renforcer la formation des imams à l’Histoire et au droit français et construire des lieux de culte pour accueillir dans de meilleures conditions les musulmans de France participera de la lutte contre la radicalisation, a estimé lundi Bernard Cazeneuve. La plupart des médias et des experts se sont félicités de la décision du gouvernement de s’immiscer dans la formation des imams «  en contribuant à élaborer uen théologie compatible avec les valeurs de la république ». Drôle de charabia en vérité  La théologie musulmane repose sur la révélation par Mahomet à travers le Coran de l’existence du Créateur, Allah, unique, omniscient et omnipotent. Cela impose donc de nombreuses limites d’interprétations, car jamais les enseignements philosophiques tirés ne peuvent mettre en cause le Coran. De la même manière que le rapport quasi existentiel entre Dieu et l’homme, l’homme et la religion ne peut être mis en cause par la philosophie dans de nombreuses autres religions. Dès lors il y a une confusion entre la sphère privée ( la croyance personnelle ) et la sphère publique ( lois qui déterminent le vivre ensemble comme ont aujourd’hui) de la part du gouvernement. Première observation , c’est une  mesurette car cette formation n’est pas obligatoire ( comme le service civique,  c’est si on veut !). Pourquoi former les Imams et pas tous les clercs des autres religions ? L’Etat  laïc n’a pas à s’immiscer dans l’intime croyance des individus, dans la religion mais à fixer l’environnement juridique qui s’impose à tous religieux ou pas. A cet égard li faut observer que nombre d’imams sont étrangers ( plus de la moitié). Certains viennent ici  simplement parce qu’ils ne pourraient se comporter de la même manière  dans leur propre pays  . La France compte, aujourd’hui, environ 1 800 imams en activité. Seulement un tiers sont rémunérés. Pour le moment, les milieux musulmans ont axé leurs efforts financiers sur la construction de lieux de culte. Pour pallier ce manque de moyens, le recours à des imams étrangers payés perdure. La moitié des imams salariés viennent d’Algérie (120), de Turquie (150) et du Maroc (30) pour un séjour en France qui n’excède généralement pas quatre ans..  La seule obligation pour l’Etat est de s’assurer que ces imams respectent les valeurs traduites dans les lois de la république. En cas d’infraction incitant notamment à la violence ce doit être le retour dans le pays d’origine. Pour les Imams d’origine étrangère disposant de la double nationalité ce devrait être la déchéance de la nationalité ( approuvée par 81% des français). Le reste est littérature et basse manœuvres politiciennes pour masquer l’absence de volonté de s’attaquer à ceux qui diffusent  cette violence , encouragent  le crime et le terrorisme. Il y a une curieuse inversion des champs de responsabilité quand l’Etat s’investit dans la formation théologique mais qu’à l’inverse  il manifeste un pathétique laxisme à l’égard des obligations  de la république.( obligations et droits  de la constitution et des  lois) . Or c’est précisément cette  contradiction et cet angélisme qui permettent  au FN de progresser. En niant le réel, les responsables politiques offrent uen opportunité extraordinaire de discréditer leur propre politique, en niant le réel ils permettent surtout de donner une  crédibilité au tout aussi  virtuel programme extrémiste. L a faute notamment à cette oligarchie coupée depuis longtemps des réalités socio culturelles. La contrepartie de cette intransigeance vis-à-vis du respect de la loi,’c’est la nécessité d’assurer pour tous le libre exercice de la religion et de protéger notamment de la même manière tous les lieux de culte, mosquées comprises.

Les Bourses européennes en baisse, bientôt la crise ?

Les Bourses européennes en baisse,  bientôt la crise ?

 

Les bourses européennes baissent pour plusieurs raisons. D’abord contrairement à ce qui est affirmé partout la crise mondiale est loin d’être terminée et des incertitudes planent sur la croissance mondiale. Ensuite il ya cette interminable affaire avec la Grèce , des tergiversations qui ne font qu’affecter la confiance déjà défaillantes des acteurs. De ce point de vue Merkel porte une  lourde responsabilité car son orthodoxie entêtée risque de faire éclater le système monétaire européen. Il ya par ailleurs des prises de bénéfices qui vont encore durer car le niveau de la bourse est excessif en regard des résultats actuel des entreprises et des perspectives. Dernier élément la perspective d’uen remontée des taux qui peut valoriser un transfert des placements et ou provoquer un crash obligataire comme sur le marché des actions.  Les Bourses européennes ont donc clôturé en net recul vendredi, effaçant leurs gains de la semaine dans des volumes peu étoffés alors que les négociations entre Athènes et ses bailleurs de fonds semblent une nouvelle fois dans l’impasse.  À Paris, le CAC 40 a terminé en baisse de 1,41% (70,18 points) à 4.901,19 points. Sur la semaine, l’indice parisien affiche un repli de 0,4%.  Le Footsie britannique a cédé 0,90% et le Dax allemand a reculé de 1,20%, tandis que l’indice EuroStoxx 50 a abandonné 1,38% et le FTSEurofirst 300 a baissé de 0,83%. La Bourse d’Athènes a terminé sur un plongeon de 5,92%, ce qui porte son recul hebdomadaire à 1,5%.  Les discussions entre Athènes et ses créanciers ont calé alors qu’un terrain d’entente doit être trouvé avant le 30 juin, date de l’expiration du plan d’aide international en cours et d’une échéance de 1,6 milliard d’euros de dettes que la Grèce doit rembourser au Fonds monétaire international (FMI). « La Grèce est un vrai sujet. On ne peut pas exclure une sortie de la Grèce de la zone euro et si cela se produit on aura immédiatement des attaques sur l’Espagne, l’Italie, voire la France et cela sera la fin de l’euro », estime un gérant parisien. A l’approche du Salon aéronautique du Bourget, qui s’ouvre lundi, les valeurs du secteur ont souffert. L’action Airbus Group a cédé 1,64% et celle de Zodiac Aerospace a plongé de 5,31%, en tête des baisses du FTSEurofirst 300, au lendemain d’un avertissement sur résultats.  A l’heure de la clôture en Europe, Wall Street évoluait également dans le rouge. Les cours du pétrole reculent d’environ 1% en fin d’après-midi, l’Arabie saoudite s’étant déclarée prête à augmenter encore sa production dans les prochains mois pour faire face à la demande.  

 

Rappel d’un  article publié il y a un mois

Une nouvelle fois les bourses ont tremblé, officiellement en raison de la crise grecque et de la baisse des commandes à l’industrie américaine. La vérité c’est que la croissance (et surtout l’industrie manufacturière en particulier( ne décolle pas , l’industrie est même en recul dans nombre de pays. En fait L’économie mondiale peine à vraiment sortir de la crise  et fait même du yoyo. En Europe on s ‘installe dans la croissance molle, le chômage grimpe, la précarité encore davantage. Pourtant la bourse a atteint des sommets  sur le marché des actions. On a même atteint des records depuis le début d’année ( près de 20% d’augmentation). . A cet égard la bourse  est complètement déconnectée de l’économie réelle, c’est à dire de la croissance et des résultats des entreprises. La faute en premier aux obligations mal rémunérées- ou pas du tout- et le report des capitaux sur les actions. La faute surtout à la marée de liquidités déversées par les banques centrales normalement faites pour desserrer la contraintes budgétaires mais qui servent surtout aux banques pour continuer leur activités de spéculation ;  sur tout, sur les actions bien sûr, comme sur les matières premières( y compris alimentaires au risque d’affamer un peu plus les populations des pays pauvres qui du coup migrent vers les pays plus riches ) ou sur les taux. Même si elles ont accusé un coup d’arrêt la semaine dernière, les bourses européennes volent de record en record depuis le début de l’année (environ 20% depuis le début de l’année).  . Selon un sondage mensuel effectué par BofA Merrill Lynch auprès de 145 gérants de fonds, ils étaient 25% au mois d’avril à penser que les marchés actions mondiaux étaient surévalués. Contre 23% en mars et 8% en février. S’il s’agit du résultat le plus élevé enregistré depuis 2000, on reste néanmoins loin du record observé en 1999 lorsqu’ils étaient 42% à considérer que les actions étaient surévaluées, précise la banque américaine. Cela n’empêche pas 13% des sondés de croire qu’une bulle sur les actions est aujourd’hui le plus grand risque auquel les marchés sont confrontés. Robert Shiller en fait partie. Fin mars, lors d’une conférence de Crédit Suisse sur l’investissement en Asie à Hongkong, le Prix Nobel d’économie 2013 a sorti un graphique montrant que le prix des actions aux Etats-Unis, corrigé de l’inflation, montait en flèche. Et que les plus hauts de 2007 étaient désormais dépassés..  Plusieurs facteurs expliquent la hausse; le principal étant les politiques monétaires «extrêmement accommodantes» qui ont alimenté la machine à investir sur presque toute la planète. A commencer par les Etats-Unis. Pas étonnant dès lors que 68% des experts interrogés par BofA Merrill Lynch estiment que les actions américaines sont aujourd’hui les plus surévaluées au monde. En Europe, le bazooka monétaire a davantage tardé à sortir. Mais c’est chose faite depuis le mois de février. Dorénavant la Banque centrale européenne (BCE) rachète chaque mois, et cela jusqu’en septembre 2016, pour 60 milliards de dettes européennes sur les marchés. Soit 1140 milliards d’euros en tout. Du coup, les rendements des obligations sont en chute libre. Une grande partie ne rapporte même plus rien aux investisseurs – banques, assurances, caisses de pension en tête – qui, par conséquent, cherchent des alternatives. Mais le marché des actions n’est pas le seul à supporter des risques, le marché des obligations souveraines aussi . Et là encore en raison du programme de la BCE. Le sondage réalisé par BofA Merrill Lynch révèle d’ailleurs que 84% des experts interrogés considèrent que le marché obligataire est surévalué. Contre 75% au mois de mars. Un record. La question est quelle bulle risque d’éclater en premier ? En attendant on risque d’assister à une prise massive de bénéfices sur le marché es actions dans les semaines et mois à venir.

 

 

FIFA: le vieux bandit Blatter bientôt en prison ?

FIF:  le vieux bandit bientôt en prison

 

Le veiux bandit de la FIFA Blatter ne manque pas de tours dans sont sac, reste à savoir si cette fois il pourra éviter la prison. Il a en effet annoncé sa démission mais reste en place pour six mois. Le temps sans doute pour rendre présentables les nombreux mouvements de fons destinés à acheter dirigeants et pays. En vérité pas une pratique nouvelle, connue de tous. Les fonds baladeurs supposés aider au développement du foot sont surtout destinés à corrompre les présidents de fédérations nationales et leur entourage. Pas tous mais une grand nombre. Pendant ce temps là e n Afrique par exemple on laisse se développer le trafic de jeunes joueurs qui se retrouvent ensuite dans la rue en Europe quand ils ne réussissent pas. Des millions pour Zlatan mais la rue pour des gosses de 14 ans. Et des milliers d’intermédiaires qui en mettent plein leur poche. Voila le bilan de la FIFA.    Sepp Blatter a donc annoncé mardi sa démission de la présidence de la FIFA et la tenue « le plus rapidement possible » d’un congrès extraordinaire pour élire son successeur. Sepp Blatter, 79 ans, a fait cette annonce lors d’une conférence de presse à Zurich quatre jours après avoir été réélu pour un cinquième mandat à la tête de la principale instance internationale du football. « Bien que les membres de la FIFA m’aient conféré ce mandat, ce mandat n’a pas le soutien de l’intégralité du monde du football, j’entends par-là des supporters, des joueurs, des clubs et de tous ceux qui vivent, respirent et aiment le football autant que nous tous à la FIFA », a-t-il déclaré. « C’est pourquoi je remettrai mon mandat à disposition lors d’un Congrès électif extraordinaire », a-t-il poursuivi. « La FIFA a besoin d’une profonde restructuration », a dit le président démissionnaire, tout en annonçant qu’il emploierait le temps qu’il lui reste à la tête de la plus haute instance du football pour entamer le chantier de la réforme de la FIFA. « Puisque je ne serai pas candidat et que je suis donc désormais libre des contraintes qu’impose inévitablement une élection, je serai en mesure de me concentrer sur la mise en œuvre des ambitieuses et profondes réformes qui transcenderont nos premiers efforts en la matière. » Domenico Scala, président de la Commission d’Audit et de Conformité, a prévenu qu’un délai de quatre mois minimum serait nécessaire pour préparer un nouveau congrès. « La décision sur le calendrier de l’élection du nouveau président reviendra au comité exécutif et il sera organisé entre décembre en mars », a-t-il dit.

 

Arnaud Montebourg bientôt mannequin pour les slips kangourous

Arnaud Montebourg bientôt mannequin pour les slips kangourous

 

L’ancien ministre du redressement productif multiplie les activités. Il vient de jouer les mannequins pour Smuggler après avoir été étudiant pendant une semaine comme apprenti patron puis  nommé vice président du groupe France habitat.  Il joue maintenant  les mannequins (bénévoles) pour un costumier « Made in France »Smuggler. On lui prêterait l’intention de continuer à soutenir les productions française et notamment de poser pour les slips kangourous, invention française des années 20 et qui souffre évidemment  de la concurrence des nouveaux caleçons notamment chinois.  Ce n’est pas la première fois qu’il fait la promotion du  »Made in France ». Arnaud Montebourg a déjà posé vêtu d’une marinière Armor Lux et portant un mixeur Moulinex en Une du Parisien Magazine en octobre 2012. Il s’est également illustré en venant avec un béret saluer les artisans de la maison Laulhère, ou encore par son look mitterrandien pour sa visite au Mont Beuvray. Une campagne de communication pour le « Made in France », qui profite à l’entreprise tricolore, comme à Arnaud Montebourg. Il faut évidemment saluer les efforts que fait Montebourg pour soutenir « le made in France ». peut-être  aussi un exemple pour la classe politique française qui faute d’idées n’hésite pas à monter son cul mais sans pour autant soutenir le slip français.

 

Paris : Zones bientôt limitées 30 km/h

Paris : Zones bientôt limitées 30 km/h

A terme la vitesse limite de 30 kms sera généralisée à Paris. Une mesure évidemment idiote comme la plupart des mesures généralse. Si elle est respectée, cette mesure va générer de nombreux bouchons et donc aussi de la pollution supplémentaire. Indéniablement l’  insécurité routière et la vitesse sont corrélées mais la  gestion des vitesses ( en ville comme en dehors, voir à cet égard le projet de limitation à 80 hors zone urbaine ) doit être beaucoup plus fine et en fait être adaptée en fonction du caractère de dangerosité de chaque tronçon ; ce qui se pratique par exemple pour le métro ou le train où les accidents sont rarissimes. La généralisation des « zones 30″ se poursuitdonc  à Paris. D’ici à la fin de l’année 2015, 32 % des rues devraient être limitées à 30 km/h. La mesure est examinée ce mardi au conseil de Paris. A terme, la quasi-intégralité des rues de la capitale pourraient être concernées.  Dans les prochains mois, les quatre premiers arrondissements de Paris devraient passer entièrement à 30 km/h. Plusieurs secteurs de l’Est parisien sont aussi concernés, dans les 11e, 12e et 20 arrondissement. Il ne manque que la validation du conseil de Paris ce mardi pour que la mesure soit mise en place. En tout 32 % des rues de Paris seront limitées à 30 km/h contre 22 % actuellement. L’objectif est d’apaiser la circulation et faire mieux cohabiter les différents usagers. Mais pas sûr que cette généralisation des zones 30 km/h enchante les Parisiens. « Pour moi c’est impossible à respecter, » réagit un parisien. « Je trouve que c’est bien pour la sécurité mais je sais que je ne la respecte,‘ admet une francilienne. La rue de Rivoli et le boulevard Sébastopol concernés ? Il va pourtant falloir s’habituer à lever le pied à Paris puisque l’objectif, à terme, est bien de limité la quasi-intégralité des rues de la capitale à 30 km/h, à l’exception des grands axes. Mais la rue de Rivoli ou le boulevard Sébastopol pourraient par exemple très vite passer en « zone 30″. A ceux qui pensent que cette mesure va augmenter les bouchons, Christophe Najdovski, l’adjoint en charge des déplacements à la mairie de Paris répond : « Entre une ville limité à 50 et une ville majoritairement à 30 c’est une différence de seulement 1,5 km/h en ce qui concerne la vitesse moyenne ».

 

Internet bientôt saturé ?

Internet bientôt saturé ?

 

Un mauvais cholestérol menacerait les artère saturées d’internet. Les spécialistes appellent ça le « capacité crunch »… Echange massif de données, streaming vidéo, avalanche d’objets connectés… Nous sommes devenus tellement boulimiques d’internet que les infrastructures actuelles pourraient bientôt ne plus suffire…  En l’occurrence, les câbles de fibre optique qui servent à faire transiter l’information… A écouter certains experts, d’ici 8 ans, les tuyaux seront bouchés… Ils évoquent même la possibilité de « rationner internet »…  Seule solution : investir massivement dans les réseaux au risque de faire augmenter la facture… Ou alors faire payer plus cher ceux qui consomment beaucoup… Ce que les opérateurs télécoms attendent depuis longtemps…  Les scientifiques soulèvent un deuxième problème, il est énergétique… Au Royaume-Uni, 8% de la production d’énergie du pays, l’équivalent de trois centrales nucléaires, est aujourd’hui nécessaire pour faire tourner l’écosystème du web, notamment les fermes de serveurs où sont stockées les données…  Mais là encore, l’évolution de la demande est exponentielle… A tel point que ces mêmes experts estiment qu’à l’horizon 2035, la production actuelle d’énergie suffira tout juste à alimenter nos besoins en internet.

L’eau bientôt au prix du pinard ?

L’eau bientôt au prix du pinard ?

On savait que le prix de  l’eau minérale était déjà proche du prix d’un litre de piquette, en plus parfois plus dangereux en fonction des agents minéraux qui la composent. En plus c’est cher.

 

D’après le site « dangersalimentaires » Le coût par rapport à l’eau du robinet est beaucoup plus élevé Les eaux minérales sont officiellement des eaux qui possèdent des caractéristiques chimiques stables « de nature à apporter ses propriétés favorables à la santé ». En réalité, ce sont surtout de belles opérations de marketing. En effet, astreintes à aucune norme réglementaire (elles ne sont pas visées par les normes EDCH régissant les Eaux Destinées à la Consommation Humaine), elles sont généralement beaucoup trop minéralisées pour être consommées à longueur de journée ou même obtenir l’appellation de « potable ».  si les eaux thermales sont très strictement contrôlées et sont vivantes , les eaux embouteillées sont mortes. Cette différence de nature aura une incidence très importante vis-à-vis de l’assimilation des minéraux par l’organisme: disponibles dans le premier cas, très peu assimilables car anorganiques dans le second. Une eau minérale en bouteille n’apporte rien de ce qui faisait la valeur originelle de la source mais au contraire entartre l’organisme au niveau des articulations et des muscles. L’organisme n’a en effet besoin de minéraux et d’oligoéléments qu’en très petites quantités et une consommation d’eau minérale toute la journée l’obligera à puiser dans ses réserves énergétiques pour éliminer le surplus, avec un risque d’épuisement des organes filtres (reins notamment). « Utilisées à dose journalière comme eaux de table, [les eaux minérales] conduisent à des sulfatages des milieux intérieurs et préparent le terrain d’affections lourdes » précise Patrice Stegmann. « Boire ces eaux là, c’est aller dans le sens contraire de la vie, se laisser glisser sur les terrains des maladies et de dégénérescence [...] c’est l’abaissement insidieux et silencieux des énergies cellulaires micro-vibratoires » renchérit Jacques Collin.

En plus  boire de l’eau en bouteille coûte entre 200 et 300 fois plus cher que de boire l’eau du robinet (ce calcul est approximatif car le prix de l’eau du réseau et le prix de l’eau en bouteille peut grandement varier en fonction, respectivement, de la région et de la marque). Nous voyons tout de suite que l’écart de prix est énorme et que consommer de l’eau en bouteille est un luxe ! Selon l’étude Suisse « Ecobilan eau potable – eau minérale » réalisée par ESU-Services (bureau expert en analyse de cycle de vie), l’eau du robinet est 1000 fois plus écologique que l’eau minérale (en bouteille ou en bonbonne) ! « En 2004, la France a produit 11 milliards de litres d’eau minérale naturelle dont 6,6 milliards pour le marché français et 4,4 milliards pour l’exportation. Leur production a environ doublé en dix ans. » affirme l’ANSES.  Toute cette production se fait avec du pétrole, une énergie non renouvelable. D’énormes quantités de pétrole servent à la fabrication des bouteilles plastiques, matière première qu’il faut importer à l’usine d’embouteillage, qui va également consommer de l’énergie pour la confection des contenants. Une fois conditionnée l’eau est acheminée sur de nombreux kilomètres par train, bateau ou camion. Il est totalement aberrant d’un point de vue écologique de retrouver des bouteilles de Perrier ou d’Evian à Los Angeles aux Etats-Unis, par exemple, alors que l’eau coule des robinets ! En conclusion, la quantité de déchets occasionnée et de CO² rejeté est phénoménale ! Une bouteille d’eau, une fois dans les mains du consommateur, a une durée de vie extrêmement faible ! En effet, le contenu est rapidement bu et la bouteille finit aussitôt à la poubelle avec les ordures ménagères dans 88% des cas selon SDWF (Safe Drinking Water Foundation au Canada) et parfois dans les collectes de tri sélectif pour être recyclé ou incinéré (libérant des gaz très toxiques comme le chlore pour le PVC). Une bouteille en plastique n’est pas ou n’est que très peu dégradable naturellement. Il est estimé qu’une bouteille mets 1000 ans pour se dégrader dans la nature !  quant à l’eau du robinet ce n’est pas gratuit non plus.  D’après  60  Millions de consommateurs et la fondation France Libertés,   Dans 85% des 130 villes examinées dans l’étude, les prix ont augmenté en moyenne de 6,3% depuis 2011, pour une inflation de 4%. En moyenne, il est passé de 3,34 à 3,55 euros le mètre cube, pour une consommation de 120 mètres cube par an. « Certaines hausses importantes s’expliquent par des rattrapages dans les investissements », notamment dans les canalisations et les systèmes d’assainissement, avance Thomas Laurenceau, rédacteur en chef de 60 millions de consommateurs. Dans les régions agricoles ou fortement industrielles, l’eau doit par exemple subir des traitements de dépollution plus complexes. Il faut aussi moderniser des installations parfois anciennes. C’est le cas d’Evreux, qui détient le record du prix du mètre cube le plus élevé à 5,17 euros. Antibes, qui détient le record de la ville qui propose le prix le plus faible (1,50 euro) a ainsi pu obtenir une baisse de 43%, simplement en renégociant son contrat avec son délégataire. Par ailleurs, l’enquête pointe le fait qu’à cause d’une tarification sur la base d’une part fixe (l’abonnement) et une part variable (l’eau effectivement consommée), les petits consommateurs sont parfois très pénalisés, avec un prix du mètre cube qui peut être un euro plus cher.

Bientôt des taux négatifs sur les dépôts en banque ?

Bientôt des taux négatifs sur les dépôts  en banque ?

 

D’après les Echos des banques prépareraient discrètement à appliquer des taux négatifs sur les dépôts des clients. Cela sous le prétexte que l’inflation est inexistante, que l’argent des dépôts qu’elles  gèrent  leur coute donc de l’argent et quelle entendent  se rémunérer ( en plus des frais de banques) en appliquant un taux négatif. En clair, on place de l’argent sur un compte courant et la banque retire 1 ou 2%.  Pour l’instant les banques affirment que cela ne viserait que les déposants institutionnelles ( les gros organismes) mais connaissant la créativité des banques en matière de frais  bancaires, la mesure pourraiat s’appliquer aussi aux particuliers. Des banques qui pourtant jouent déjà avec les dépôts d’une part pour renforcer leur fonds propose mais  pour spéculer puisque malheureusement la fonction de crédit se réduit de plus en plus ( les grandes entreprises empruntent directement sur les marchés financiers et on prête de moins en moins aux petites et moyennes entreprise, comme aux particuliers°. Ce qui paraissait impensable hier ne l’est donc plus tout à fait dans l’environnement financier d’aujourd’hui. Cette évolution est en fait la conséquence, somme toute logique, d’une mesure choc prise en juin par la Banque centrale européenne. La BCE a été la première des grandes institutions monétaires à faire descendre ses propres taux de dépôts en dessous de zéro (ils sont fixés à – 0,2 % depuis septembre). Son idée est simple : dans une économie paralysée par le manque de confiance, il faut tout faire pour empêcher les agents économiques (banques, PME, ménages) de thésauriser leurs liquidités, tout faire pour les empêcher de garnir leurs bas de laine, tout faire pour les inciter à prendre plus de risques, pour relancer les crédits et dynamiser ainsi l’activité. . C’est surtout la clientèle institutionnelle, c’est-à-dire les sociétés dotées de très gros comptes, en particulier les organismes de placement collectif, qui en font les frais. D’autres établissements avaient d’ailleurs précédé les banques françaises, en Suisse ou en Allemagne. Et puis il existe de puissantes cordes de rappel pour limiter cette forme de « taxe sur la monnaie », aussi bien commerciales que réglementaires. Hors de question, a priori, de viser les particuliers mais tout dépendra aussi de l’ampleur de la déflation. . Dans un paysage bancaire soumis à une rude concurrence, ce serait sans doute suicidaire. Ou cela voudrait dire, alors, que l’on est entré dans un tout autre monde financier, encore plus déflationniste, imprévisible et déraisonnable.

Moins de voitures officielle, l’Etat bientôt en vélo ?

Moins de voitures officielle,  l’Etat bientôt en vélo ?

 

A défaut de mesures vraiment structurelles l’Etat français veut montrer à Bruxelles que la France fait des économies.  Du coup on va réduire le parc automobiles ; il faut dire qu’il ya de la marge : 65 000 véhicules actuellement . Peut-être pourraiat-on prendre exemple sur Taubira qui se rend au ministère en vélo .. mais accompagnées de voitures et de motos !  Les voitures de l’Etat seront aussi moins luxueuse, à quand ne Logan mieux uen tat à 1500 euros pour le président de la république ; peut-^ter  un scooter qu’il conduit lui-même  pour des voyages très privés. En prévision de ce plan d’économies , Hollande  a d’ailleurs supprimé l’usage de ce scooter puisque sa maitresse vit désormais à l’Elysée aux frais de la princesse . Malheureusement il faut prendre en charge les couts de protection de la favorite. Pas facile de faire de raies économie en France. ! Le ministre des Finances, Michel Sapin, a annoncé que l’Etat souhaitait réduire son parc automobile et ainsi gagner 150 millions d’euros, dans un entretien au Parisien/Aujourd’hui en France samedi 21 février. « Le parc automobile est considérable, il compte 65.000 véhicules », précise le ministre, ajoutant que « nous souhaitons l’alléger de 10% d’ici à 2017, ce qui va permettre à l’Etat d’y gagner 150 M€ d’économies ».  Concernant les véhicules propres, Michel Sapin a précisé que ceux-ci « représentent dès cette année un tiers de nos achats. L’année prochaine, ce sera 50 % » et cela entraînera « une baisse considérable des véhicules diesels ». Il a également insisté sur la « descente en gamme » des véhicules qui doit s’adresser « à tous les niveaux », y compris, « évidemment les ministres ». « L’exemplarité doit être pour tout type de véhicule », a-t-il précisé.  Selon Le Parisien, la circulaire qui a trait à l’organisation du parc automobile de l’Etat comprend une dizaine de mesures. Parmi elles, il y a notamment « l’interdiction d’acheter les modèles trop coûteux, l’interdiction de choisir les options les plus onéreuses, des assurances désormais obligatoires, le passage systématique par les centrales d’achat pour baisser les coûts d’acquisition ». Comme le note le quotidien, cette volonté de faire encore des économies intervient alors que la Commission européenne doit rendre à la fin du mois les conclusions de son enquête sur la gestion des finances publiques françaises.

 

CGT : Lepron bientôt évincé ?

CGT : Lepron bientôt évincé ?

 

 

L’appartement, le bureau et maintenant une indemnité de départ : ça fait beaucoup pour Lepron qui risque d’être viré rapidement ou d’enfoncer son organisation. Jamais dans l’histoire des syndicats des indemnités de départs n’ont été accordés alors qu’il s’agit en outre d’une promotion pour Lepron. Une affaire dont le mode syndical n’avait pas besoin et surtout la CGT  et qui éclabousse tous les responsables syndicaux (permanents compris qui n’ont droit ni à des logements de fonction, ni à des bureaux richement rénovés, ni à des primes de départ).  En effet l’affaire de l’indemnité de départ touche au moins autant que celle de l’appartement aux fondamentaux de la CGT. Rien de plus normal pourtant pour le leader cégétiste qui la justifie par le fait qu’il «changeait d’employeur». La nouvelle a fait l’effet d’une bombe dans la galaxie CGT. «On est au-delà du taquet», commentait ce mardi un responsable, meurtri comme tous ceux qui acceptent d’évoquer la situation anonymement pour ne pas être accusés de jouer contre l’organisation. D’après nos informations, il n’y aurait pas eu de rupture conventionnelle en bonne et due forme homologuée par le ministère du Travail mais le versement d’un complément de salaire au moment du départ vers la confédération. «Il s’est en quelque sorte attribué une prime de mobilité alors que son employeur lui finance un logement de fonction, c’est assez incroyable», résume un ancien DRH.   Politiquement, le numéro un de la CGT s’est mis dans une situation intenable pour plusieurs raisons. La première est que sa centrale s’est refusée à signer l’accord créant la rupture conventionnelle en 2008, au motif qu’en réalité, les ruptures amiables sont faites pour permettre aux patrons de licencier en évitant les prud’hommes. Or Thierry Lepaon montre là qu’elles peuvent être au contraire à l’avantage du salarié car logiquement, il aurait dû démissionner de son poste et partir sans indemnités autres que de congés payés. La deuxième est que l’indemnité lui a été attribuée par le comité régional alors qu’il le dirigeait. La logique est la même que celle que dénonce la CGT sur les retraites chapeaux que s’attribuent les grands patrons. La troisième raison est que de fait, l’indemnité a été payée, au moins en partie, par les cotisations des syndiqués qui apprécieront d’avoir été mis à contribution là aussi comme sur les travaux hors de prix de l’appartement et du bureau.  On ignore pour l’instant toujours le montant précis de l’indemnité. Thierry Lepaon a dit à « L’Express » qu’il «ne se souvient plus» de son montant, ajoutant que ce n’était «pas grand chose» alors que dans la confédération, une fourchette de 100.000 à 200.000 euros circule.

 

Ebola : bientôt 10 000 cas par semaine

Ebola : Bientôt 10 000 cas par semaine

Il est clair que les moyens ne sont pas à hauteur de l’enjeu et qu’on sous-estime les réalités socio-écconomiques africaines, voire même culturelles. Les chiffres de l’OMS sont déjà dramatiques mais complètement approximatifs tellement la confusion peut être grande entre le palu (déjà souvent non identifié et/ou non soigné) et Ebola.  C’est un constat dramatique qu’a dressé mardi un haut responsable des Nations Unies. Lors d’une réunion du Conseil de sécurité de l’ONU consacrée à l’épidémie, Anthony Banbury, chef de la mission chargée de coordonner la réponse d’urgence à Ebola (UNMEER), a été pour le moins pessimiste sur les perspectives d’Ebola. Selon ce spécialiste, le monde est en train de perdre la course contre le virus et il ne parvient pas à freiner l’épidémie mortelle. « Si Ebola gagne, nous, les peuples des Nations Unies, nous perdrons énormément », a-t-il déclaré. Soit nous arrêtons Ebola maintenant, soit nous devrons affronter une situation sans précédent et pour laquelle nous n’avons pas de plan ».   »Ebola a une longueur d’avance sur nous », a ainsi déploré Anthony Banbury. »Chaque jour qui passe voit le nombre de malades augmenter. Récemment l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a fait savoir que 5 000 à 10 000 nouveaux cas par semaine pourraient être enregistrés dès le mois de décembre en Afrique de l’Ouest, soit jusqu’à 1500 nouveaux cas par jour.

 

Sacs plastiques : bientôt interdits dans le monde

Sacs plastiques :  bientôt interdits dans le monde

Ne n’est pas encore faiat mais dans différents pays on s’oriente vers une diminution des sacs plastiques 500 à  1000  milliards de sacs par an au plan mondial). Voire leur suppresion pure et simple.la question pourrait être traitée lors de la conférence infranational qui se tient à Paris en 2015.  La France, Paris en tête, adoptera-t-elle la mode des « brown bags » américains ? L’interdiction des sacs plastiques fabriqués à partir du pétrole pour cause de désastre environnemental, un « serpent de mer » qui resurgit dans l’actualité à la faveur de projets de lois et de règlementations. Partout, le but est le même: lutter contre la pollution générée par les déchets plastiques, lesquels se retrouvent dans les océans, provoquant par agglomération la constitution de « continents plastiques » ; en outre, les microparticules issues de leur désagrégation auraient des effets néfastes sur la santé. Dernière en date à prévoir un tel bannissement, la Mairie de Paris. Anne Hidalgo a annoncé le 30 septembre son intention de faire voter une telle interdiction, qui concernerait non seulement les sacs dits « de caisse » mais également ceux distribués pour les fruits et légumes. Avant une interdiction formelle, la première étape consistera à faire figurer cette interdiction dans le cahier des charges de l’appel d’offres pour le renouvellement de la délégation de service public des marchés parisiens, qui arrive à terme à la fin de l’année. L’enjeu d’une telle accélération dans la capitale ? Paris, qui doit « accueillir en 2015 la conférence sur le Climat » tient à s’engager « en amont pour lancer cette dynamique vertueuse« , vante une porte-parole de la Mairie. Si le conseil municipal, après « concertation avec les commerçants », validait une extension de cette interdiction, Paris prendrait ainsi de l’avance sur le programme prévu à l’échelle nationale, Ségolène Royal, ministre de l’Environnement, ayant fait introduire au mois de juin un amendement à la loi sur la biodiversité prévoyant une mesure similaire applicable en 2016. La loi sur la transition énergétique actuellement débattue au Palais Bourbon prévoit, elle aussi, une interdiction de ce type (article 19.bis).  Ici encore, il s’agit de faire du zèle puisque cela traduit une directive européenne qui prévoit de diviser par deux la consommation de sacs plastiques à usage unique d’ici à 2017. Il n’en reste pas moins que San Francisco a montré le chemin. Non seulement une centaines d’autres villes ont suivi mais, désormais, c’est toute la Californie qui s’y est mise. Le jour où Anne Hidalgo annonçait son projet, le gouverneur démocrate de l’Etat le plus peuplé du pays, Jerry Brown, signait l’extension de cette interdiction à l’ensemble de l’Etat.

 

Hollande bientôt des promesses et du bla-bla !

Hollande bientôt des promesses et du bla-bla !

 

Hollande ressort une nouvelle boite à outils, l’ancienne est obsolète. Cette fois sur le logement, l’investissement et les professions réglementées. Il va donc faire des annonces et en même temps assurer de sa combativité et de son énergie. Du  bla-bla auquel plus de 80% des Français ne croient plus. En fait à chaque fois une sorte d’inventaire à la Prévert de mesures non coordonnées, souvent contradictoires (voir par exemple les dégâts de la loi Duflot, de la fiscalité et de l’austérité en générale). Un  président qui devient de plus en plus commentateur de l’actualité et qui en fait ne sait plus quoi entreprendre d’autant qu’il est complètement discrédité. Il veut aller plus vite mais il ne sait pas où !  « On maintient le cap et on est dans le mouvement, on force l’allure », a confié hier soir le chef de l’Etat à des journalistes en marge d’une tournée dans l’océan indien jusqu’à demain, ajoutant que sa politique de relance de la compétitivité de l’économie française par le pacte de responsabilité « va marcher ». »Toute autre politique aurait enfoncé le pays soit dans la dette soit dans la désagrégation sociale », a-t-il dit. M. Hollande fera « des annonces dès la semaine prochaine, dans quatre domaines, le logement, la concurrence et les professions réglementées, la simplification et l’investissement ».  »Si je pensais que ma politique n’allait pas porter ses fruits, j’en aurais changé », a-t-il insisté, revendiquant « sa constance ». Le chef de l’Etat rejette les alternatives: « Sortir de l’euro, laisser filer les déficits ou bien sabrer dans la dépense publique, aucune de ces politiques n’a d’avenir ». Il reconnaît « que le pacte de responsabilité n’aura d’effet qu’à moyen terme », n’excluant pas que le « mandat suivant en bénéficie », mais table à court terme « sur l’effet psychologique d’un cadre suffisamment stable pour que la confiance revienne ».  »Le problème français, c’est un problème de confiance dans l’avenir », souligne-t-il, estimant que le retour de la confiance pourrait relancer « l’investissement, privé comme public, qui est la clef de tout et qu’il faut débloquer ».A l’Europe, François Hollande demande du temps pour réduire les déficits publics alors que le ministre des Finances Michel Sapin estime désormais qu’ils seront supérieurs à 4% cette année, excluant de facto un retour à 3%, la norme européenne, dès l’an prochain. Les Allemands « ont mis dix ans de réformes pour en arriver là où ils en sont et nous en sommes à deux années », fait valoir le chef de l’Etat.  »Nous allons continuer de réduire les déficits mais au rythme qui nous paraîtra compatible avec la croissance », explique-t-il encore, estimant qu’au « niveau de l’Europe aussi, il faut que le rythme de l’ajustement budgétaire soit adapté à la croissance ». Même s’il refuse de se projeter en 2017 – « sinon je n’avance plus » – il estime qu’on peut « faire des réformes et gagner », notant que l’ancien chancelier allemand Gerhard Schröder avait « perdu de peu » après avoir engagé une vaste réforme du marché du travail. Quant à la reprise, s’il reconnaît qu’elle « est faible » et « fragile », il estime qu’elle est bien là avec désormais 0,5% de croissance attendue cette année par le gouvernement. « On n’est plus dans la crise mais l’enjeu, c’est de libérer et de mobiliser toutes les énergies pour sortir de la stagnation », affirme-t-il.

 

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