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Un hôtel dans le château de Versailles et bientôt Disneyland ?

Un hôtel dans le  château de Versailles et bientôt Disneyland ?

 

Près de 3000 m² de bâtiments seront donc transformés en hôtel à l’intérieur du château de Versailles. L’objectif reconnu par la direction de l’établissement autonome de Versailles est de développer les activités économiques en d’autres termes le business. Bien sûr en plus il s’agira d’un hôtel de luxe réservé aux plus nantis ce qui est conforme aux principes de notre monarchie royale. Pour faire encore davantage de fric on pourrait aussi envisager de créer un nouveau Disneyland. La direction du château de Versailles indique clairement qu’elle souhaite valoriser les espaces. Dès leur pourquoi pas un nouveau Disneyland, des boîtes de nuit et même des McDo à l’intérieur du domaine royal. Et s’il faut attirer encore davantage de monde on pourrait même imaginer la construction d’un stade de foot puisque précisément le PSG cherche à disposer d’un nouveau stade. Pour les gestionnaires de Versailles (dont la gestion est de plus en plus privatisée) il n’y a pas incompatibilité entre culture et fric. À quand des boutiques de merguez et de frites dans la galerie des glaces ? L’Etablissement public du château de Versailles lance un appel d’offre. Objectif : transformer en hôtel haut de gamme un ensemble de trois bâtiments longeant le parterre de l’Orangerie.  Passer sa nuit dans un quatre étoiles à quelques pas de la demeure du Roi Soleil sera peut-être bientôt possible. L’Etablissement public du château de Versailles a lancé un appel d’offre pour transformer en hôtel haut de gamme trois bâtiments longeant le parterre de l’Orangerie : le Grand Contrôle, le Petit Contrôle, et le Pavillon des premières cent marches. Les lieux, inoccupés depuis 2008, représentent en tout, une superficie de 2.800 m2. Ce sont d’anciens locaux administratifs du ministère de la Défense. Les résidents de l’hôtel n’entreront pas via l’entrée principale, comme le faisait Louis XIV, mais par la rue de l’Indépendance américaine. Cependant, une partie des chambres donnera sur l’Orangerie. « Cette démarche« , souligne-t-on de source proche de la direction du domaine de Versailles, « s’inscrit dans la politique de rénovation et valorisation des espaces et d’implantation d’activités économiques dans les monuments historiques, définie depuis plusieurs années par le ministre de la Culture et le secrétaire d’État au Tourisme. » L’association Coordination Défense de Versailles est opposée à cet appel d’offre. Pour son président, Arnaud Upinsky, c’est une atteinte au prestige des lieux : « Ce patrimoine doit rester le patrimoine des Français. Il ne doit pas passer dans le domaine privé, en doit pas servir à faire de l’argent à côté. Un hôtel n’a pas sa place à cet endroit là. »

Bientôt des voitures volantes ?

Bientôt des voitures volantes ?

 

Bientôt des voitures volantes, c’est possible d’un point de vue technologique. Des prototypes sont déjà opérationnels d’après La Tribune qui publie pendant l’été des extraits issus de l’émission « FutureMag », diffusée sur Arte. C’est un  engin hybride une sorte d’automobile équipée d’ailes repliables  pour son utilisation routière. Il s’agit cependant d’un projet utopique pour banaliser cette innovation. En effet se poseraient de redoutables questions de sécurité dans l’espace. Aujourd’hui sur la terre ferme la sécurité repose sur le principe de la marche à vue qui doit être observée par l’automobiliste. En clair il n’y a aucun système de régulation et tout est fondé sur l’observation et les réactions du conducteur. Un tel système ne pourrait fonctionner dans l’espace. Un espace qui pourrait devenir très encombré avec des risques considérables. Un tel projet pourrait cependant peut-être un jour être banalisé si la circulation aérienne de tels véhicules était  réguleé de manière automatique (notons par ailleurs que cette régulation automatique impliquant aussi la conduite  est aussi envisagée pour la circulation automobile du futur). Il n’est cependant pas interdit de penser que de telles voitures volantes puissent être utilisées dans des zones d’accès difficiles. La  banalisation seraiat cependant relativement freinée par le cout de ce type d’engin et par les connaissances aériennes exigée des conducteurs. .

Grèce : un accord de bricolage bientôt prêt

Grèce : un accord de bricolage bientôt prêt

 

Un nouvel accord avec la Grèce devrait être signé d’ici la fin août. Pour schématiser à outrance, il s’agit d’un plan qui prévoit de nouveaux prêts surtout destinés à rembourser les précédents, aussi à imposer de nouvelles mesures d’austérité en Grèce. Un plan forcément partiel et provisoire qui au mieux tiendra quelques années au pire quelques mois. La question de la restructuration de la dette en effet à été mise de côté. On sait que la Grèce est dans l’incapacité de rembourser cette dette. En outre la question de la relance de la croissance a été traitée à la légère. Or les nouvelles mesures d’austérité viendront peser sur cette croissance est sans croissance la Grèce aura les pires difficultés à dégager les ressources nécessaires pour apurer seulement une partie de la dette. Au total il s’agit d’un accord bâtard qui résulte de positions opposées entre l’Allemagne qui aurait voulu se satisfaire d’un prêt relais et de la France qui voulait un accord définitif. Un accord définitif mais qui sera bien précaire. La Grèce devrait être en mesure de conclure mardi prochain avec ses créanciers un projet d’accord en vue d’un troisième plan de renflouement financier, qui pourrait permettre le versement d’une première tranche le 20 août, indique une source informée de la téléconférence organisée par des responsables de l’Union européenne vendredi. Les discussions se poursuivent sans accroc et pourraient être bouclées au cours du week-end, ajoute cette source. Si le projet de mémorandum encadrant le déblocage de cette nouvelle aide financière et l’analyse actualisée de la soutenabilité de la dette grecque sont prêts comme prévu mardi, le gouvernement et le parlement grec pourraient les approuver d’ici jeudi. Les ministres des Finances de la zone euro pourraient se retrouver ou organiser une téléconférence vendredi pour accepter ce programme de prêt sur trois ans. La Grèce devrait alors adopter un nouveau train de réformes avant le 20 août en parallèle aux procédures nationales de ratification afin de recevoir le premier versement à temps pour faire face à une échéance cruciale de remboursement d’obligations à la Banque centrale européenne (BCE) à cette date. « Tout le monde travaille sur un plan A, un accord avec un versement au 20 août », a ajouté la source. Les négociations en vue de ce troisième plan d’aide à la Grèce depuis 2010 ont débuté le 20 juillet, une semaine après que les dirigeants de la zone euro eurent présenté à Athènes un certain nombre d’exigences préalables à l’ouverture des discussions.  Conformément à l’accord conclu le 13 juillet à Bruxelles, Athènes, les institutions européennes (Commission, Banque centrale européenne et Mécanisme européen de stabilité, le fonds de sauvetage de la zone euro) et le Fonds monétaire international discutent d’un plan qui pourrait atteindre 86 milliards d’euros et empêcher que la Grèce fasse défaut sur sa dette.

Les départements bientôt en faillite (Dominique Bussereau)

Les départements bientôt en faillite (Dominique Bussereau)

Dominique Bussereau a rencontré Hollande pour attirer son attention sur la situation catastrophique des départements (Dominique Bussereau est président de association des départements de France). Dès 2015, il prévoit la faillite de 5 départements. La vérité c’est que la moitié de ces départements pourraient être en faillite d’ici 2017.

 

Un an après la proposition de Manuel Valls de supprimer les conseils départementaux, l’ADF a-t-il normalisé ses relations avec l’exécutif ?

Ce discours a disparu. Les élections départementales ont connu moins d’abstention que prévu, le nouveau mode de scrutin a entraîné un rajeunissement et une féminisation des élus départementaux qui ont retrouvé une légitimité nouvelle.

 

L’Etat partage-t-il vos préoccupations financières ?

Nous partageons le même diagnostic. Depuis 2010, la montée du chômage a entraîné une hausse annuelle de 13% de nos dépenses sociales. Cette année, le RSA devrait encore grimper de 8%, l’allocation personnalisée d’autonomie de 1,6% à cause du vieillissement. Nous avons aussi insisté auprès du président sur la hausse de 9% des prestations sur le handicap. Or, nos recettes fiscales stagnent et les dotations de l’Etat baissent. D’autant que le gouvernement vient d’annoncer qu’il nous supprimera à terme la moitié de notre contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE), soit 3,9 milliards d’euros en moins chaque année pour les départements.

 

Que réclamez-vous au gouvernement ?

L’Etat n’a pas compensé l’intégralité des versements que nous faisons pour son compte aux prestataires sociaux. Nous avons calculé qu’à fin juillet, le reste à charge cumulé pour les départements est de 8 milliards d’euros. De un à cinq départements risquent de se déclarer en faillite d’ici à la fin de l’année si rien n’est fait. Le plus critique est le Nord, dont la précédente présidence n’avait budgété que onze mois de RSA sur douze. Le cabinet Klopfer estime qu’une trentaine de départements pourraient être dans cette situation fin 2016. Nous souhaitons donc des mesures à court terme dans le projet de loi de finances 2016, mais aussi une refonte plus profonde du financement des aides sociales. Un groupe de travail va être mis en place avec Matignon sous la supervision d’Alain Lambert, mon prédécesseur au ministère du Budget et président de l’Orne.

 

Un tel travail avait déjà été annoncé début mars…

Rien n’a été fait.

 

Quelles pistes proposez-vous  ?

Il faut accorder des moyens supplémentaires aux départements les plus en difficulté. Maurice Leroy, président du Conseil départemental du Loir-et-Cher, propose par exemple de ne plus comptabiliser la dotation aux amortissements. A plus long terme, si l’on ne trouve pas de moyens pérennes, nous nous résoudrons à une recentralisation du financement social. Nous pourrions conserver une fonction de contrôle par exemple.

 

Avez-vous senti le président concerné ?

Le président a bien conscience que le risque qu’en 2017 des départements soient contraints de stopper les versements sociaux n’est pas souhaitable…

 

La réforme des compétences des collectivités vient d’être adoptée. Quel bilan en tirez-vous  ?

Contrairement aux deux réformes de décentralisation majeures de 1982 et 2004, celle-ci ne restera pas dans l’histoire. Le législateur a accouché d’un dispositif très complexe qui exigera de très nombreux textes d’application. Je pense que la réforme ne se stabilisera pas avant cinq ans. Je vous cite un exemple. Dans mon département, nous avons 52 établissements portuaires pour la pêche, le commerce, la plaisance, etc. On ne sait pas encore lesquels seront repris par la région, lesquels on transfère dans des syndicats mixtes. Il va falloir beaucoup de réunions.

 

Il faut donc s’attendre à une longue période de transition ?

Les présidents de départements font preuve actuellement d’un certain attentisme dans l’attente des décrets d’application de la loi, mais aussi des futurs présidents de région et de la clarification du financement des conseils départementaux. Et de nombreux projets d’investissements sont ainsi gelés, ce qui a des effets économiques contracycliques. J’ai par exemple un projet en Charente-Maritime de doubler la capacité du port de pêche de La Cotinière à Oléron. Nous avions prévu un partenariat public-privé, mais il faut aujourd’hui attendre le positionnement du futur président de région ou des membres d’un éventuel syndicat mixte. Mon collègue de Seine-Saint-Denis explique avoir de nombreux collèges à construire mais il doit attendre. C’est pourquoi le groupe de travail doit déboucher rapidement sur des solutions.

 

Faudra-t-il une nouvelle réforme territoriale, comme certains candidats de votre camp à la présidentielle le souhaitent ?

Notre pays souffre déjà d’un excès de loi, alors ne bouleversons pas tout à nouveau après 2017. Il faudra certainement corriger quelques anomalies, notamment sur les transports scolaires.

 

Justement, pensez-vous que les régions vont transférer une partie des compétences dont elles héritent de la loi NOTre ?

Je pense qu’un maximum de régions va faire du conventionnement avec leurs départements. Je doute par exemple que le futur président de la région Aquitaine Limousin Poitou-Charentes veuille gérer le transport scolaire à Felletin dans la Creuse.

(Interview Le Echos)

Livret A : bientôt un taux d’intérêt négatif ?

Livret A : bientôt un taux d’intérêt négatif ?

Comprenne qui pourra mais la rémunération à 1% du livret A coûte cher à l’économie d’après le gouverneur de la Banque de France. Conclusion, on pourrait un jour connaître des taux négatifs. En fait l’épargnant serait contraint de payer pour déposer son argent sur le livret A. Ce qu’il fait déjà en faat si on tient compte de l’évolution réelle de l’inflation. Une inflation officiellement autour de 0.3% sur un an mais calculée sur un indice obsolète de l’INSEE qui ne tient pas compte de la déformation de la structure de consommation. En clair les prix baissent sur des articles que le consommateur achète peu ou pas tandis que les prix des services notamment, eux, augmentent, ce sont en particulier les dépenses contraintes (dernier exemple en date les prix de l’électricité qui vont augmenter de 2.5%  au premier août). Le Livret A va-t-il encore être touché par une éventuelle baisse de son taux rémunérateur ? C’est en tout cas ce que révèle le JDD, en rapportant une réflexion du gouvernement concernant la révision à la baisse du taux, qui est de 1%. L’épargne la plus prisée des Français, avec 61 millions d’épargnants recensés, pourrait devenir beaucoup moins intéressante.   En effet, le journal indique que les discussions portent sur une révision à 0,5%, ou plutôt vers un consensus à 0,75%, sans doute au plus grand mécontentement des épargnants. Le gouvernement appliquerait dans ce cas la quatrième baisse depuis 2012.   Le gouverneur de la Banque de France milite fortement dans ce sens : le taux du Livret A freine la reprise en France. Nos banques qui empruntent à 0,05% rémunèrent nos livrets à 1%. Cela leur coûte cher. Ce sont autant de financements en moins pour les entreprises ».  Ainsi, la rémunération excessive a des répercussions directes sur la construction de logements sociaux. « La Caisse des Dépôts, qui finance 60% du logement social, trouve elle aussi la facture trop lourde : une rémunération deux fois supérieure à l’inflation, comme c’est aujourd’hui le cas, lui « coûterait » la non-construction de 5.000 logements HLM par an », explique-t-il. Du pipeau car si la construction des logements sociaux diminue c’est surtout en raison de la situation catastrophique des collectivités locales et des organismes qui y sont rattachés.

Les tablettes bientôt interdites à l’école ?

Les tablettes bientôt  interdites à l’école ?

 La mode est au numérique partout y compris en fait quand il ne s’agit que de gadgets ( les fameuses  applis qui peuvent tout résoudre). Hollande a promis à tous les élèves de les équiper en ordinateurs. Pourtant aux Etats Unis dans les meilleures écoles, les outils numériques sosnt interdits depuis longtemps. Des ordis   pour quoi faire ? Pour initier les élèves aux nouvelles technologies ? Alors que les  élèves passent déjà des heures sur leurs tablettes et autres Smartphones personnels  ! En tout cas uen commission de parlementaires recommande le contraire de ce que propose Hollande  prêt à tout pour sacrifier à la mode du jeunisme branché.  Grosperrin, rapporteur d’une commission d’enquête sur l’école, préconise l’interdiction des tablettes en primaire. L’an dernier, il en avait pourtant promis aux élèves de Besançon, révèle NextINpact.. Ce sénateur du parti Les Républicains vient de présenter un rapport sur l’école, rédigé par une commission d’enquête composé de vingt parlementaires de tous bords politiques. Ils y brossent un portrait très noir de ce qu’ils qualifient « d’envahissement du numérique » à l’école, à travers les smartphones, les ordinateurs et les tablettes, notant au passage que les enseignants « peinent de plus en plus à transmettre les valeurs de la République ».  Le sénateur s’étrangle donc de la mesure proposée par le président de la République, François Hollande, de fournir à l’ensemble des élèves de 5ème une tablette numérique à la rentrée 2016. Une mesure qu’il juge « coûteuse et inefficace ». La commission d’enquête préconise, elle, d’interdire les tablettes numériques au primaire, et de mettre à l’étude un dispositif de brouillage des téléphones portables dans les écoles et les collèges.

 

Les vieux bientôt totalement connectés

Les vieux bientôt totalement connectés

 

Aujourd’hui on connecte tout même les vieux ; mais pas assez dit le patron de Legrand. Certes la télésurveillance apporte une sécurité mais visiblement là il s’agit de vendre tout et n’importe quoi : exemple la connexion de la porte du frigo !  Sans doute aussi celle des WC et du papier toilette quand le rouleau est épuisé.   Les objets connectés permettent aussi, selon lui, de maintenir à domicile les personnes âgées. Il relève que « la France n’est pas en avance » dans ce domaine, malgré le lancement du programme « Silver économie » en 2013. « Or cela pourrait devenir une vraie expertise française », assure le chef d’entreprise. Il propose déjà plusieurs dispositifs, existants ou à venir, plus pointus que la télésurveillance via un bracelet ou un pendentif. Et de citer les détecteurs de chutes, d’errance, de manque d’alimentation, les objets captant si le gaz est ouvert ou le réfrigérateur ouvert, si une personne n’a pas bougé pendant longtemps… C’est une question de « confort et de sécurité », argue Gilles Schnepp, qui met aussi en avant l’argument économique : « le retour sur investissement est très attractif ». Ainsi, alors qu’une maison de retraite coûte « 1.000 à 3.000 euros par mois », « l’équipement d’un appartement coûte 2.000 à 5.000 euros au maximum ». Aucun rapport évidemment mais comme les vieux sont en général réfractaires aux smartphones, il faut bien leur vendre autre chose; !

Religion: bientôt un diplôme pour les croyants ?

Religion:  bientôt un diplôme pour les croyants ?

 

Curieux cette façon pour le gouvernement d’aborder la question de l’Islam en proposant notamment des formations aux futurs Imams. Pae extension on pourraiat aussi rendre la formation obligatoire pour toutes les religions, chez les évangélistes aussi où les pasteurs n’ont aussi aucune formation . Plus tard on pourrait même envisager des formations pour les croyants ( l’initiation est prévue pour l’islam dans la réforme scolaire !) avec diplômes également. Pourquoi pas en profiter pour instaurer uen petite taxe, sorte de denier du culte géré par l’Etat et redistribué par un ministère des cultes. Bref l’étatisation des religions ! Le rêve des énarques. Certes il y a un problème pour l’islam avec ses 1000 à 2000 imams qui viennent surtout de l’étranger, dont un tiers ne parlent pas même le français. Pour autant c’est une bien curieuse conception de la laïcité  mettre son nez dans la formation et l’organisation religieuse. Mieux vaudrait montrer davantage de rigueur dans l’application des règles républicaines et s’en tenir à cela. En commençant par expulser ces imams étrangers qui prônent la violence . Pour le gouvernement il faut Renforcer la formation des imams à l’Histoire et au droit français et construire des lieux de culte pour accueillir dans de meilleures conditions les musulmans de France participera de la lutte contre la radicalisation, a estimé lundi Bernard Cazeneuve. La plupart des médias et des experts se sont félicités de la décision du gouvernement de s’immiscer dans la formation des imams «  en contribuant à élaborer uen théologie compatible avec les valeurs de la république ». Drôle de charabia en vérité  La théologie musulmane repose sur la révélation par Mahomet à travers le Coran de l’existence du Créateur, Allah, unique, omniscient et omnipotent. Cela impose donc de nombreuses limites d’interprétations, car jamais les enseignements philosophiques tirés ne peuvent mettre en cause le Coran. De la même manière que le rapport quasi existentiel entre Dieu et l’homme, l’homme et la religion ne peut être mis en cause par la philosophie dans de nombreuses autres religions. Dès lors il y a une confusion entre la sphère privée ( la croyance personnelle ) et la sphère publique ( lois qui déterminent le vivre ensemble comme ont aujourd’hui) de la part du gouvernement. Première observation , c’est une  mesurette car cette formation n’est pas obligatoire ( comme le service civique,  c’est si on veut !). Pourquoi former les Imams et pas tous les clercs des autres religions ? L’Etat  laïc n’a pas à s’immiscer dans l’intime croyance des individus, dans la religion mais à fixer l’environnement juridique qui s’impose à tous religieux ou pas. A cet égard li faut observer que nombre d’imams sont étrangers ( plus de la moitié). Certains viennent ici  simplement parce qu’ils ne pourraient se comporter de la même manière  dans leur propre pays  . La France compte, aujourd’hui, environ 1 800 imams en activité. Seulement un tiers sont rémunérés. Pour le moment, les milieux musulmans ont axé leurs efforts financiers sur la construction de lieux de culte. Pour pallier ce manque de moyens, le recours à des imams étrangers payés perdure. La moitié des imams salariés viennent d’Algérie (120), de Turquie (150) et du Maroc (30) pour un séjour en France qui n’excède généralement pas quatre ans..  La seule obligation pour l’Etat est de s’assurer que ces imams respectent les valeurs traduites dans les lois de la république. En cas d’infraction incitant notamment à la violence ce doit être le retour dans le pays d’origine. Pour les Imams d’origine étrangère disposant de la double nationalité ce devrait être la déchéance de la nationalité ( approuvée par 81% des français). Le reste est littérature et basse manœuvres politiciennes pour masquer l’absence de volonté de s’attaquer à ceux qui diffusent  cette violence , encouragent  le crime et le terrorisme. Il y a une curieuse inversion des champs de responsabilité quand l’Etat s’investit dans la formation théologique mais qu’à l’inverse  il manifeste un pathétique laxisme à l’égard des obligations  de la république.( obligations et droits  de la constitution et des  lois) . Or c’est précisément cette  contradiction et cet angélisme qui permettent  au FN de progresser. En niant le réel, les responsables politiques offrent uen opportunité extraordinaire de discréditer leur propre politique, en niant le réel ils permettent surtout de donner une  crédibilité au tout aussi  virtuel programme extrémiste. L a faute notamment à cette oligarchie coupée depuis longtemps des réalités socio culturelles. La contrepartie de cette intransigeance vis-à-vis du respect de la loi,’c’est la nécessité d’assurer pour tous le libre exercice de la religion et de protéger notamment de la même manière tous les lieux de culte, mosquées comprises.

Les Bourses européennes en baisse, bientôt la crise ?

Les Bourses européennes en baisse,  bientôt la crise ?

 

Les bourses européennes baissent pour plusieurs raisons. D’abord contrairement à ce qui est affirmé partout la crise mondiale est loin d’être terminée et des incertitudes planent sur la croissance mondiale. Ensuite il ya cette interminable affaire avec la Grèce , des tergiversations qui ne font qu’affecter la confiance déjà défaillantes des acteurs. De ce point de vue Merkel porte une  lourde responsabilité car son orthodoxie entêtée risque de faire éclater le système monétaire européen. Il ya par ailleurs des prises de bénéfices qui vont encore durer car le niveau de la bourse est excessif en regard des résultats actuel des entreprises et des perspectives. Dernier élément la perspective d’uen remontée des taux qui peut valoriser un transfert des placements et ou provoquer un crash obligataire comme sur le marché des actions.  Les Bourses européennes ont donc clôturé en net recul vendredi, effaçant leurs gains de la semaine dans des volumes peu étoffés alors que les négociations entre Athènes et ses bailleurs de fonds semblent une nouvelle fois dans l’impasse.  À Paris, le CAC 40 a terminé en baisse de 1,41% (70,18 points) à 4.901,19 points. Sur la semaine, l’indice parisien affiche un repli de 0,4%.  Le Footsie britannique a cédé 0,90% et le Dax allemand a reculé de 1,20%, tandis que l’indice EuroStoxx 50 a abandonné 1,38% et le FTSEurofirst 300 a baissé de 0,83%. La Bourse d’Athènes a terminé sur un plongeon de 5,92%, ce qui porte son recul hebdomadaire à 1,5%.  Les discussions entre Athènes et ses créanciers ont calé alors qu’un terrain d’entente doit être trouvé avant le 30 juin, date de l’expiration du plan d’aide international en cours et d’une échéance de 1,6 milliard d’euros de dettes que la Grèce doit rembourser au Fonds monétaire international (FMI). « La Grèce est un vrai sujet. On ne peut pas exclure une sortie de la Grèce de la zone euro et si cela se produit on aura immédiatement des attaques sur l’Espagne, l’Italie, voire la France et cela sera la fin de l’euro », estime un gérant parisien. A l’approche du Salon aéronautique du Bourget, qui s’ouvre lundi, les valeurs du secteur ont souffert. L’action Airbus Group a cédé 1,64% et celle de Zodiac Aerospace a plongé de 5,31%, en tête des baisses du FTSEurofirst 300, au lendemain d’un avertissement sur résultats.  A l’heure de la clôture en Europe, Wall Street évoluait également dans le rouge. Les cours du pétrole reculent d’environ 1% en fin d’après-midi, l’Arabie saoudite s’étant déclarée prête à augmenter encore sa production dans les prochains mois pour faire face à la demande.  

 

Rappel d’un  article publié il y a un mois

Une nouvelle fois les bourses ont tremblé, officiellement en raison de la crise grecque et de la baisse des commandes à l’industrie américaine. La vérité c’est que la croissance (et surtout l’industrie manufacturière en particulier( ne décolle pas , l’industrie est même en recul dans nombre de pays. En fait L’économie mondiale peine à vraiment sortir de la crise  et fait même du yoyo. En Europe on s ‘installe dans la croissance molle, le chômage grimpe, la précarité encore davantage. Pourtant la bourse a atteint des sommets  sur le marché des actions. On a même atteint des records depuis le début d’année ( près de 20% d’augmentation). . A cet égard la bourse  est complètement déconnectée de l’économie réelle, c’est à dire de la croissance et des résultats des entreprises. La faute en premier aux obligations mal rémunérées- ou pas du tout- et le report des capitaux sur les actions. La faute surtout à la marée de liquidités déversées par les banques centrales normalement faites pour desserrer la contraintes budgétaires mais qui servent surtout aux banques pour continuer leur activités de spéculation ;  sur tout, sur les actions bien sûr, comme sur les matières premières( y compris alimentaires au risque d’affamer un peu plus les populations des pays pauvres qui du coup migrent vers les pays plus riches ) ou sur les taux. Même si elles ont accusé un coup d’arrêt la semaine dernière, les bourses européennes volent de record en record depuis le début de l’année (environ 20% depuis le début de l’année).  . Selon un sondage mensuel effectué par BofA Merrill Lynch auprès de 145 gérants de fonds, ils étaient 25% au mois d’avril à penser que les marchés actions mondiaux étaient surévalués. Contre 23% en mars et 8% en février. S’il s’agit du résultat le plus élevé enregistré depuis 2000, on reste néanmoins loin du record observé en 1999 lorsqu’ils étaient 42% à considérer que les actions étaient surévaluées, précise la banque américaine. Cela n’empêche pas 13% des sondés de croire qu’une bulle sur les actions est aujourd’hui le plus grand risque auquel les marchés sont confrontés. Robert Shiller en fait partie. Fin mars, lors d’une conférence de Crédit Suisse sur l’investissement en Asie à Hongkong, le Prix Nobel d’économie 2013 a sorti un graphique montrant que le prix des actions aux Etats-Unis, corrigé de l’inflation, montait en flèche. Et que les plus hauts de 2007 étaient désormais dépassés..  Plusieurs facteurs expliquent la hausse; le principal étant les politiques monétaires «extrêmement accommodantes» qui ont alimenté la machine à investir sur presque toute la planète. A commencer par les Etats-Unis. Pas étonnant dès lors que 68% des experts interrogés par BofA Merrill Lynch estiment que les actions américaines sont aujourd’hui les plus surévaluées au monde. En Europe, le bazooka monétaire a davantage tardé à sortir. Mais c’est chose faite depuis le mois de février. Dorénavant la Banque centrale européenne (BCE) rachète chaque mois, et cela jusqu’en septembre 2016, pour 60 milliards de dettes européennes sur les marchés. Soit 1140 milliards d’euros en tout. Du coup, les rendements des obligations sont en chute libre. Une grande partie ne rapporte même plus rien aux investisseurs – banques, assurances, caisses de pension en tête – qui, par conséquent, cherchent des alternatives. Mais le marché des actions n’est pas le seul à supporter des risques, le marché des obligations souveraines aussi . Et là encore en raison du programme de la BCE. Le sondage réalisé par BofA Merrill Lynch révèle d’ailleurs que 84% des experts interrogés considèrent que le marché obligataire est surévalué. Contre 75% au mois de mars. Un record. La question est quelle bulle risque d’éclater en premier ? En attendant on risque d’assister à une prise massive de bénéfices sur le marché es actions dans les semaines et mois à venir.

 

 

FIFA: le vieux bandit Blatter bientôt en prison ?

FIF:  le vieux bandit bientôt en prison

 

Le veiux bandit de la FIFA Blatter ne manque pas de tours dans sont sac, reste à savoir si cette fois il pourra éviter la prison. Il a en effet annoncé sa démission mais reste en place pour six mois. Le temps sans doute pour rendre présentables les nombreux mouvements de fons destinés à acheter dirigeants et pays. En vérité pas une pratique nouvelle, connue de tous. Les fonds baladeurs supposés aider au développement du foot sont surtout destinés à corrompre les présidents de fédérations nationales et leur entourage. Pas tous mais une grand nombre. Pendant ce temps là e n Afrique par exemple on laisse se développer le trafic de jeunes joueurs qui se retrouvent ensuite dans la rue en Europe quand ils ne réussissent pas. Des millions pour Zlatan mais la rue pour des gosses de 14 ans. Et des milliers d’intermédiaires qui en mettent plein leur poche. Voila le bilan de la FIFA.    Sepp Blatter a donc annoncé mardi sa démission de la présidence de la FIFA et la tenue « le plus rapidement possible » d’un congrès extraordinaire pour élire son successeur. Sepp Blatter, 79 ans, a fait cette annonce lors d’une conférence de presse à Zurich quatre jours après avoir été réélu pour un cinquième mandat à la tête de la principale instance internationale du football. « Bien que les membres de la FIFA m’aient conféré ce mandat, ce mandat n’a pas le soutien de l’intégralité du monde du football, j’entends par-là des supporters, des joueurs, des clubs et de tous ceux qui vivent, respirent et aiment le football autant que nous tous à la FIFA », a-t-il déclaré. « C’est pourquoi je remettrai mon mandat à disposition lors d’un Congrès électif extraordinaire », a-t-il poursuivi. « La FIFA a besoin d’une profonde restructuration », a dit le président démissionnaire, tout en annonçant qu’il emploierait le temps qu’il lui reste à la tête de la plus haute instance du football pour entamer le chantier de la réforme de la FIFA. « Puisque je ne serai pas candidat et que je suis donc désormais libre des contraintes qu’impose inévitablement une élection, je serai en mesure de me concentrer sur la mise en œuvre des ambitieuses et profondes réformes qui transcenderont nos premiers efforts en la matière. » Domenico Scala, président de la Commission d’Audit et de Conformité, a prévenu qu’un délai de quatre mois minimum serait nécessaire pour préparer un nouveau congrès. « La décision sur le calendrier de l’élection du nouveau président reviendra au comité exécutif et il sera organisé entre décembre en mars », a-t-il dit.

 

Arnaud Montebourg bientôt mannequin pour les slips kangourous

Arnaud Montebourg bientôt mannequin pour les slips kangourous

 

L’ancien ministre du redressement productif multiplie les activités. Il vient de jouer les mannequins pour Smuggler après avoir été étudiant pendant une semaine comme apprenti patron puis  nommé vice président du groupe France habitat.  Il joue maintenant  les mannequins (bénévoles) pour un costumier « Made in France »Smuggler. On lui prêterait l’intention de continuer à soutenir les productions française et notamment de poser pour les slips kangourous, invention française des années 20 et qui souffre évidemment  de la concurrence des nouveaux caleçons notamment chinois.  Ce n’est pas la première fois qu’il fait la promotion du  »Made in France ». Arnaud Montebourg a déjà posé vêtu d’une marinière Armor Lux et portant un mixeur Moulinex en Une du Parisien Magazine en octobre 2012. Il s’est également illustré en venant avec un béret saluer les artisans de la maison Laulhère, ou encore par son look mitterrandien pour sa visite au Mont Beuvray. Une campagne de communication pour le « Made in France », qui profite à l’entreprise tricolore, comme à Arnaud Montebourg. Il faut évidemment saluer les efforts que fait Montebourg pour soutenir « le made in France ». peut-être  aussi un exemple pour la classe politique française qui faute d’idées n’hésite pas à monter son cul mais sans pour autant soutenir le slip français.

 

Paris : Zones bientôt limitées 30 km/h

Paris : Zones bientôt limitées 30 km/h

A terme la vitesse limite de 30 kms sera généralisée à Paris. Une mesure évidemment idiote comme la plupart des mesures généralse. Si elle est respectée, cette mesure va générer de nombreux bouchons et donc aussi de la pollution supplémentaire. Indéniablement l’  insécurité routière et la vitesse sont corrélées mais la  gestion des vitesses ( en ville comme en dehors, voir à cet égard le projet de limitation à 80 hors zone urbaine ) doit être beaucoup plus fine et en fait être adaptée en fonction du caractère de dangerosité de chaque tronçon ; ce qui se pratique par exemple pour le métro ou le train où les accidents sont rarissimes. La généralisation des « zones 30″ se poursuitdonc  à Paris. D’ici à la fin de l’année 2015, 32 % des rues devraient être limitées à 30 km/h. La mesure est examinée ce mardi au conseil de Paris. A terme, la quasi-intégralité des rues de la capitale pourraient être concernées.  Dans les prochains mois, les quatre premiers arrondissements de Paris devraient passer entièrement à 30 km/h. Plusieurs secteurs de l’Est parisien sont aussi concernés, dans les 11e, 12e et 20 arrondissement. Il ne manque que la validation du conseil de Paris ce mardi pour que la mesure soit mise en place. En tout 32 % des rues de Paris seront limitées à 30 km/h contre 22 % actuellement. L’objectif est d’apaiser la circulation et faire mieux cohabiter les différents usagers. Mais pas sûr que cette généralisation des zones 30 km/h enchante les Parisiens. « Pour moi c’est impossible à respecter, » réagit un parisien. « Je trouve que c’est bien pour la sécurité mais je sais que je ne la respecte,‘ admet une francilienne. La rue de Rivoli et le boulevard Sébastopol concernés ? Il va pourtant falloir s’habituer à lever le pied à Paris puisque l’objectif, à terme, est bien de limité la quasi-intégralité des rues de la capitale à 30 km/h, à l’exception des grands axes. Mais la rue de Rivoli ou le boulevard Sébastopol pourraient par exemple très vite passer en « zone 30″. A ceux qui pensent que cette mesure va augmenter les bouchons, Christophe Najdovski, l’adjoint en charge des déplacements à la mairie de Paris répond : « Entre une ville limité à 50 et une ville majoritairement à 30 c’est une différence de seulement 1,5 km/h en ce qui concerne la vitesse moyenne ».

 

Internet bientôt saturé ?

Internet bientôt saturé ?

 

Un mauvais cholestérol menacerait les artère saturées d’internet. Les spécialistes appellent ça le « capacité crunch »… Echange massif de données, streaming vidéo, avalanche d’objets connectés… Nous sommes devenus tellement boulimiques d’internet que les infrastructures actuelles pourraient bientôt ne plus suffire…  En l’occurrence, les câbles de fibre optique qui servent à faire transiter l’information… A écouter certains experts, d’ici 8 ans, les tuyaux seront bouchés… Ils évoquent même la possibilité de « rationner internet »…  Seule solution : investir massivement dans les réseaux au risque de faire augmenter la facture… Ou alors faire payer plus cher ceux qui consomment beaucoup… Ce que les opérateurs télécoms attendent depuis longtemps…  Les scientifiques soulèvent un deuxième problème, il est énergétique… Au Royaume-Uni, 8% de la production d’énergie du pays, l’équivalent de trois centrales nucléaires, est aujourd’hui nécessaire pour faire tourner l’écosystème du web, notamment les fermes de serveurs où sont stockées les données…  Mais là encore, l’évolution de la demande est exponentielle… A tel point que ces mêmes experts estiment qu’à l’horizon 2035, la production actuelle d’énergie suffira tout juste à alimenter nos besoins en internet.

L’eau bientôt au prix du pinard ?

L’eau bientôt au prix du pinard ?

On savait que le prix de  l’eau minérale était déjà proche du prix d’un litre de piquette, en plus parfois plus dangereux en fonction des agents minéraux qui la composent. En plus c’est cher.

 

D’après le site « dangersalimentaires » Le coût par rapport à l’eau du robinet est beaucoup plus élevé Les eaux minérales sont officiellement des eaux qui possèdent des caractéristiques chimiques stables « de nature à apporter ses propriétés favorables à la santé ». En réalité, ce sont surtout de belles opérations de marketing. En effet, astreintes à aucune norme réglementaire (elles ne sont pas visées par les normes EDCH régissant les Eaux Destinées à la Consommation Humaine), elles sont généralement beaucoup trop minéralisées pour être consommées à longueur de journée ou même obtenir l’appellation de « potable ».  si les eaux thermales sont très strictement contrôlées et sont vivantes , les eaux embouteillées sont mortes. Cette différence de nature aura une incidence très importante vis-à-vis de l’assimilation des minéraux par l’organisme: disponibles dans le premier cas, très peu assimilables car anorganiques dans le second. Une eau minérale en bouteille n’apporte rien de ce qui faisait la valeur originelle de la source mais au contraire entartre l’organisme au niveau des articulations et des muscles. L’organisme n’a en effet besoin de minéraux et d’oligoéléments qu’en très petites quantités et une consommation d’eau minérale toute la journée l’obligera à puiser dans ses réserves énergétiques pour éliminer le surplus, avec un risque d’épuisement des organes filtres (reins notamment). « Utilisées à dose journalière comme eaux de table, [les eaux minérales] conduisent à des sulfatages des milieux intérieurs et préparent le terrain d’affections lourdes » précise Patrice Stegmann. « Boire ces eaux là, c’est aller dans le sens contraire de la vie, se laisser glisser sur les terrains des maladies et de dégénérescence [...] c’est l’abaissement insidieux et silencieux des énergies cellulaires micro-vibratoires » renchérit Jacques Collin.

En plus  boire de l’eau en bouteille coûte entre 200 et 300 fois plus cher que de boire l’eau du robinet (ce calcul est approximatif car le prix de l’eau du réseau et le prix de l’eau en bouteille peut grandement varier en fonction, respectivement, de la région et de la marque). Nous voyons tout de suite que l’écart de prix est énorme et que consommer de l’eau en bouteille est un luxe ! Selon l’étude Suisse « Ecobilan eau potable – eau minérale » réalisée par ESU-Services (bureau expert en analyse de cycle de vie), l’eau du robinet est 1000 fois plus écologique que l’eau minérale (en bouteille ou en bonbonne) ! « En 2004, la France a produit 11 milliards de litres d’eau minérale naturelle dont 6,6 milliards pour le marché français et 4,4 milliards pour l’exportation. Leur production a environ doublé en dix ans. » affirme l’ANSES.  Toute cette production se fait avec du pétrole, une énergie non renouvelable. D’énormes quantités de pétrole servent à la fabrication des bouteilles plastiques, matière première qu’il faut importer à l’usine d’embouteillage, qui va également consommer de l’énergie pour la confection des contenants. Une fois conditionnée l’eau est acheminée sur de nombreux kilomètres par train, bateau ou camion. Il est totalement aberrant d’un point de vue écologique de retrouver des bouteilles de Perrier ou d’Evian à Los Angeles aux Etats-Unis, par exemple, alors que l’eau coule des robinets ! En conclusion, la quantité de déchets occasionnée et de CO² rejeté est phénoménale ! Une bouteille d’eau, une fois dans les mains du consommateur, a une durée de vie extrêmement faible ! En effet, le contenu est rapidement bu et la bouteille finit aussitôt à la poubelle avec les ordures ménagères dans 88% des cas selon SDWF (Safe Drinking Water Foundation au Canada) et parfois dans les collectes de tri sélectif pour être recyclé ou incinéré (libérant des gaz très toxiques comme le chlore pour le PVC). Une bouteille en plastique n’est pas ou n’est que très peu dégradable naturellement. Il est estimé qu’une bouteille mets 1000 ans pour se dégrader dans la nature !  quant à l’eau du robinet ce n’est pas gratuit non plus.  D’après  60  Millions de consommateurs et la fondation France Libertés,   Dans 85% des 130 villes examinées dans l’étude, les prix ont augmenté en moyenne de 6,3% depuis 2011, pour une inflation de 4%. En moyenne, il est passé de 3,34 à 3,55 euros le mètre cube, pour une consommation de 120 mètres cube par an. « Certaines hausses importantes s’expliquent par des rattrapages dans les investissements », notamment dans les canalisations et les systèmes d’assainissement, avance Thomas Laurenceau, rédacteur en chef de 60 millions de consommateurs. Dans les régions agricoles ou fortement industrielles, l’eau doit par exemple subir des traitements de dépollution plus complexes. Il faut aussi moderniser des installations parfois anciennes. C’est le cas d’Evreux, qui détient le record du prix du mètre cube le plus élevé à 5,17 euros. Antibes, qui détient le record de la ville qui propose le prix le plus faible (1,50 euro) a ainsi pu obtenir une baisse de 43%, simplement en renégociant son contrat avec son délégataire. Par ailleurs, l’enquête pointe le fait qu’à cause d’une tarification sur la base d’une part fixe (l’abonnement) et une part variable (l’eau effectivement consommée), les petits consommateurs sont parfois très pénalisés, avec un prix du mètre cube qui peut être un euro plus cher.

Bientôt des taux négatifs sur les dépôts en banque ?

Bientôt des taux négatifs sur les dépôts  en banque ?

 

D’après les Echos des banques prépareraient discrètement à appliquer des taux négatifs sur les dépôts des clients. Cela sous le prétexte que l’inflation est inexistante, que l’argent des dépôts qu’elles  gèrent  leur coute donc de l’argent et quelle entendent  se rémunérer ( en plus des frais de banques) en appliquant un taux négatif. En clair, on place de l’argent sur un compte courant et la banque retire 1 ou 2%.  Pour l’instant les banques affirment que cela ne viserait que les déposants institutionnelles ( les gros organismes) mais connaissant la créativité des banques en matière de frais  bancaires, la mesure pourraiat s’appliquer aussi aux particuliers. Des banques qui pourtant jouent déjà avec les dépôts d’une part pour renforcer leur fonds propose mais  pour spéculer puisque malheureusement la fonction de crédit se réduit de plus en plus ( les grandes entreprises empruntent directement sur les marchés financiers et on prête de moins en moins aux petites et moyennes entreprise, comme aux particuliers°. Ce qui paraissait impensable hier ne l’est donc plus tout à fait dans l’environnement financier d’aujourd’hui. Cette évolution est en fait la conséquence, somme toute logique, d’une mesure choc prise en juin par la Banque centrale européenne. La BCE a été la première des grandes institutions monétaires à faire descendre ses propres taux de dépôts en dessous de zéro (ils sont fixés à – 0,2 % depuis septembre). Son idée est simple : dans une économie paralysée par le manque de confiance, il faut tout faire pour empêcher les agents économiques (banques, PME, ménages) de thésauriser leurs liquidités, tout faire pour les empêcher de garnir leurs bas de laine, tout faire pour les inciter à prendre plus de risques, pour relancer les crédits et dynamiser ainsi l’activité. . C’est surtout la clientèle institutionnelle, c’est-à-dire les sociétés dotées de très gros comptes, en particulier les organismes de placement collectif, qui en font les frais. D’autres établissements avaient d’ailleurs précédé les banques françaises, en Suisse ou en Allemagne. Et puis il existe de puissantes cordes de rappel pour limiter cette forme de « taxe sur la monnaie », aussi bien commerciales que réglementaires. Hors de question, a priori, de viser les particuliers mais tout dépendra aussi de l’ampleur de la déflation. . Dans un paysage bancaire soumis à une rude concurrence, ce serait sans doute suicidaire. Ou cela voudrait dire, alors, que l’on est entré dans un tout autre monde financier, encore plus déflationniste, imprévisible et déraisonnable.

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