Archive pour le Tag 'bientôt'

Page 11 sur 15

Inflation bientôt négative en zone euro (Jens Weidmann)

 

Inflation bientôt négative en zone euro (Jens Weidmann)

Le débat sur l’inflation du risque de renaître en Europe d’autant que cette question est au cœur de la politique monétaire notamment de la BCE. Une inflation actuellement voisine de zéro et qui pourrait même devenir négative. Cela découlant directement du décalage de l’offre par rapport à la demande. Le caractère négatif de l’inflation n’inquiète toutefois pas le gouverneur de la banque centrale allemande qui la prévoit pour les mois à venir. En fait l’Allemagne a toujours été hantée par une inflation excessive et ne peut donc adhérer à des moyens de soutien qui pourrait la faire repartir à la hausse de manière trop significative. L’inflation en zone euro va donc vraisemblablement repasser bientôt en territoire négatif, a prévenu jeudi le président de la Bundesbank allemande, qui ne voit pas pour autant de menace de déflation et reste critique de l’action de la BCE. « La prévision d’inflation (pour la zone euro) va devoir être revue en sensible baisse », a déclaré Jens Weidmann, gouverneur de la banque centrale allemande, dans un discours à Bonn (ouest), publié sur le site de l’institution. L’indice des prix à la consommation « pourrait au printemps s’établir provisoirement en territoire négatif. Nous ne devons pas nous laisser hypnotiser par le taux d’inflation, comme le lapin par le serpent », a-t-il plaidé, et « la politique monétaire devrait passer outre ces fluctuations de court terme, dictées par les prix du pétrole ». Si effectivement on ne peut constater le tassement de la hausse des prix lié en particulier à la baisse de ceux des matières premières, il convient cependant de relativiser l’ampleur de la baisse des prix. En effet les prix retenus concernent essentiellement la consommation des ménages. Or du fait de la crise ces ménages ont tendance à modifier la structure de leur consommation ; en clair, ils compensent  l’augmentation des dépenses contraintes par une réduction des dépenses ajustables. Dans la réalité, les prix retenus ne baissent pas autant qu’on le dit. Du coup la mesure de la croissance elle-même se trouve un peu faussé par ce déflateur sous-évalué. En clair la croissance est encore moins importante qu’elle ne paraît dans les chiffres officiels.

Suède : 80.000 demandeurs d’asile bientôt expulsés ?

Suède : 80.000 demandeurs d’asile bientôt expulsés ?

Il est clair que la politique des Etats de l’union européenne est en train de changer radicalement en ce qui concerne l’accueil des réfugiés. Ainsi la Suède, un des pays  les plus tolérants dans ce domaine, envisage-t-elle maintenant une éventuelle expulsion de la moitié des demandeurs d’asile venus en Suède en 2015. D’une certaine manière la politique d’immigration européenne aura connu trois phases : la première, une phase de compassion et d’accueil massif de  réfugiés ; La seconde, une phase de limitation pour les entrées ;  la troisième une phase de rejet et de renvois des intéressés dans leur pays. Encore une fois l’évolution radicale d’un pays comme la Suède considérée comme très accueillant précédemment illustre bien ce changement d’attitude en Europe. La Suède entend en effet  expulser jusqu’à 80.000 migrants arrivés sur son sol en 2015 et dont la demande d’asile a été ou sera rejetée, a déclaré le 27 janvier le ministre de l’Intérieur Anders Ygeman.  »On parle de 60.000 personnes, mais cela peut monter à 80.000″, a indiqué le ministre au quotidien financier Dagens Industri et à la télévision publique SVT. Ce dernier a précisé que la police et l’Office des migrations organiseront ces retours à la demande du gouvernement En temps ordinaire, les expulsions s’effectuent sur des vols commerciaux mais compte tenu des nombres évoqués, « nous allons devoir utiliser plus d’avions charters » spécialement affrétés et les expulsions s’étaleront sur plusieurs années, a ajouté M. Ygeman. En 2015, 163.000 réfugiés ont déposé une demande d’asile en Suède, l’équivalent de 1,3 million de personnes pour un pays de 80 millions d’habitants comme l’Allemagne, laquelle a reçu 1,1 million de réfugiés sur la même période.  Sur les quelque 58.800 dossiers traités l’an dernier par l’office suédois, 55% ont été acceptés, moyenne sur laquelle se fonde le ministre de l’Intérieur pour justifier l’estimation la plus haute. Celle-ci pourrait se révéler excessive car une proportion importante des décisions rendues concernaient des demandes déposées en 2014 alors que la crise migratoire n’avait pas encore atteint son pic. Or les Syriens sont arrivés en masse en 2015 et le taux d’acceptation des demandes d’asile varie considérablement en fonction des nationalités: 90% pour les Syriens, 35% pour les Afghans et 20% seulement pour les Irakiens

Bientôt un syndicat pour les salariés de l’État islamique ?

Bientôt un syndicat pour les salariés de l’État islamique ?

Privé de sa ressource principale à savoir le pétrole, l’État islamique aurait été contraint de réduire de moitié le salaire de ses combattants salariés. De là à penser qu’un syndicat va s’implanter dans le califat, il y a un pas qu’on ne peut pas franchir. Pourtant il y aurait moyen de lutter encore plus efficacement contre l’État islamique en implantant notamment un syndicat gauchiste par exemple comme Sud pour défendre les avantages acquis des travailleurs terroristes. Des syndicats gauchistes qui ont fait la preuve en France de leur efficacité en torpillant la compétitivité de l’économie (responsabilité partagée avec la technocratie). En effet, en raison des difficultés économiques probablement provoquées par les frappes qu’il subit, l’État islamique aurait décidé de réduire de moitié les salaires de ses combattants.  « Personne ne sera exempté de cette décision, quelle que soit sa position, mais la distribution alimentaire se poursuivra deux fois par mois comme d’habitude », précise toutefois le communiqué de l’EI. Selon l’OSDH, un combattant étranger percevrait quelque 400 dollars dans les rangs de l’EI tandis qu’un combattant syrien serait rémunéré la moitié moins, soit 200 dollars.

Banque : l’emploi bientôt dans la situation de la sidérurgie ?

Banque : l’emploi bientôt dans la situation de la sidérurgie ?

Nombre d’experts considèrent  qu’en Europe et en France en particulier les effectifs  devraient être réduits de la moitié dans les 10 ans ;  un phénomène qui touche d’ailleurs l’ensemble du monde. En cause l’amplification de la digitalisation, le développement des banques en ligne et le nouveau développement de moyens de paiement (par mobile notamment). Un secteur qui pourrait connaître le sort de la sidérurgie ou presque. 150 000 emplois ont déjà été supprimés en six mois et les restructurations devraient encore s’accélérer pour les banques européennes. En cause suffisance de rentabilité des activités bancaires. Le taux de rentabilité des activités de dépôt est plombé par le coût de main-d’œuvre (notamment nombre  d’agences et personnel) Il est par ailleurs menacé par la future existence de nouveaux moyens de paiement et la dématérialisation de certaines opérations mais le second volet de l’activité des banques, l’activité d’investissement souffre aussi d’un manque de retour financier lui aussi très gourmand en personnel. Dans un premier temps est donc probable que les banques européennes devront s’aligner si les critères de gestion des banques américaines qui ont supprimé près de 7 % des postes quand les banques européennes n’ont supprimé que quatre %. À plus long terme c’est peut-être l’existence même des les activités bancaires en tout cas leur structure actuelle qui pourrait être en cause et engendrer jusqu’à la moitié des emplois existants d’ici 10 ans. Malgré le poids grandissant de la finance dans nos sociétés, le secteur bancaire n’est pas épargné par les baisses d’effectifs. L’agence Bloomberg observe dans un article que les banques ont supprimé environ 600.000 postes à travers le monde depuis la crise économique de 2008. Parmi les institutions aux coupes les plus sévères, l’américaine Citigroup, présente dans plus de 100 pays, a supprimé plus d’un tiers de ses effectifs, soit près de 140.000 salariés. Comme dans beaucoup d’autres banques, les plans sociaux se sont enchaînés, aussi bien en salle de marché qu’en agence. Et ce mouvement n’est apparemment pas près de s’arrêter. Citigroup a encore prévu 2000 licenciements d’ici à 2016. La banque HSBC, quant à elle, a annoncé la suppression de 25.000 postes avant 2017. En Europe, l’allemande Deutsche Bank prévoit un plan d’économie de 4,7 milliards d’euros et 26.000 licenciements d’ici à 2018. Côté français, Société générale, notamment touchée par l’affaire Kerviel, a supprimé des milliers de postes depuis 2008. Elle prévoit désormais la fermeture de 400 agences sur les 2221 qu’elle compte d’ici à 2020, soit 20% de son réseau. La restructuration passera par le «non-remplacement» de 3000 départs à la retraite, promet la banque. Cette situation fait néanmoins peser un climat lourd dans l’entreprise. Le 9 décembre, dans une lettre adressée à Emmanuel Macron, le syndicat Force Ouvrière reproche à la banque le paradoxe entre son «absence totale de reconnaissance à l’égard des salariés» et ses très bons résultats (1126 milliards d’euros au troisième trimestre de 2015). La crise des subprimes a touché de plein fouet le secteur financier et les taux d’intérêt durablement bas affectent la rentabilité globale des banques. Mais les évolutions en œuvre sont aussi la marque d’une tendance plus profonde: la digitalisation en cours dans le milieu bancaire. De nombreuses opérations historiquement réalisées par des salariés sont désormais automatisées. En salle de marchés, les achats/ventes d’actions d’entreprises, de devises ou encore de «credit default swap» (produits dérivés financiers par lequel le vendeur garantit l’acheteur en cas de défaillance d’une tierce partie) sont de plus en plus dévolus aux ordinateurs.  En outre, l’utilisation du «Big Data» (traitement informatique de données massives) en banque d’investissement permet de mieux identifier les besoins des clients. La division de banque d’entreprise et institutionnelle (CIB) de BNP Paribas, qui emploie 29.000 personnes, a annoncé en novembre dernier qu’elle étudiait le Big Data dans le cadre de son programme de réduction massif des coûts.  D’après une étude publiée par la Fédération bancaire française (FBF), plus de la moitié (52%) des Français se rendaient dans leur banque plusieurs fois par mois en 2010. Aujourd’hui, ils ne sont plus que 21%, soit une personne sur cinq.

Cabanes de jardin : bientôt soumises à l’impôt sur la fortune ?

Cabanes de jardin : bientôt soumises à l’impôt sur la fortune ?

 

 

Depuis déjà depuis de  nombreux jours l’  information concernant la taxation des cabanes de jardin circulent sur le net. Du coup les grands médias s’intéressent à l’affaire depuis hier ; souvent d’ailleurs pour raconter n’importe quoi  (normal les journalistes font le pont !). En fait il s’agit du produit de l’ingénierie fiscale française qui a introduit en 2012- quand Fillon était premier ministre- la possibilité de taxer les constructions annexes de plus de 5 m2 donc y compris les abris de jardin. Il s’agit donc d’une surtaxation du foncier bâti. Sous réserve bien entendue que la construction ait été  déclaré. On peut comprendre la problématique de Bercy qui vise par tous les moyens à innover en matière fiscale pour mieux pomper les  contribuables. On connaît les polémiques qui ont concerné l’impôt sur la fortune et finalement le taux de rendement très faible  de cette fiscalité. Il serait donc  nettement plus rentable pour l’État de taxer les pauvres. Rares sont en effet les détenteurs de grosses fortunes qui rangent leur brouette et leur râteau dans des abris en tôle. Par contre dans les zones pavillonnaires on ne compte plus les abris de jardin qui fiscalement pourrait être considéré comme des signes extérieurs de richesse, donc taxés. En l’état actuel de la fiscalité, les taxes cela  concerne  les abris de jardin, les garages non attenants à la maison, les combles non aménagés et les cabanons de piscine d’une surface de plus de 5 m². Leurs propriétaires, tenus de les déclarer en mairie, se voient appliquer une surtaxation au foncier bâti sauf si la commune décide avant le 30 novembre une exonération générale que prévoit cette loi. Cette taxe a été subrepticement introduite en 2012 lors des derniers jours du gouvernement Fillon. Elle doit rapporter un milliard dès 2015 et concerner entre 20 000 et 50 000 contribuables. Même s’il n’y est pour rien, même si peu de monde est concerné, le gouvernement veut se prémunir d’une nouvelle accusation de matraquage fiscal. La facture est en effet salée pour les intéressés selon la très sérieuse Ifrap qui dénonce le calcul à partir d’une base de 724€ et cite des exemples :

- Une taxe de 250 € pour un abri de 8 m² d’un prix d’achat de 200 € dans le Finistère

- 365 € pour un abri piscine de 25 m² dans le Var

- 894 € pour un abri de jardin en tôle de 19 m² acheté 1 700 € à l’Isle-Jourdain dans le Gers d’où est partie cette fronde.

Zone euro : bientôt une inflation négative ?

Zone euro : bientôt une inflation négative ?

 

L’inflation pourrait devenir négative dans les prochains mois, ce qui a incite la BCE à revoir ses prévisions d’inflation. La Banque centrale a en effet abaissé ses prévisions d’inflation et de croissance en zone euro pour 2015, 2016 et 2017, évoquant la faiblesse des prix du pétrole, la baisse de la demande mondiale et les inquiétudes sur les émergents. La BCE table désormais sur une hausse des prix de 0,1% en 2015, 1,1% en 2016 et 1,7% en 2017, contre +0,3%, +1,5% et +1,8% respectivement jusqu’à présent, et sur une croissance de 1,4% cette année -contre 1,5% attendu précédemment-, de 1,7% en 2016 (contre 1,9%) et 1,8% en 2017 (contre 2%), a annoncé son président Mario Draghi. Des risques pèsent sur ces nouvelles prévisions, a-t-il ajouté. « Nous pourrions voir des (chiffres) d’inflation négatifs dans les mois à venir », mais ce seront essentiellement « des effets temporaires liés au prix du pétrole », a déclaré M. Draghi.  Le président a par ailleurs assuré qu’il n’y avait « pas spécialement de limites » aux possibilités de l’institution d’en faire plus en matière de politique monétaire, et assuré être prêt et disposé à plus.  « Il n’y a pas spécialement de limites dans la capacité qu’a la BCE à augmenter la voilure de sa politique monétaire », a assuré M. Draghi, soulignant « la volonté d’agir, l’état de préparation pour agir et la capacité à agir » du conseil des gouverneurs. Il a notamment rappelé la « flexibilité » du programme de rachats de dette de la BCE, qui pourra être prolongé au-delà de septembre 2016 « si nécessaire ».

Les Républicains : Rachida Dati bientôt virée ?

Les Républicains : Rachida Dati bientôt virée ?

On connaît la relation étroite qu’entretient Rachida Dati avec l’argent et le luxe («frais de bouche » quand elle était ministre( amende et frais de justice non payés, pension réclamée au riche géniteur supposé de sa fille etc). Du coup elle n’a plus les moyens de payer sa cotisation ;. 6000 euros de retard, c’est le montant qu’elle doit aux Républicains. Rachida Dati avait jusqu’à ce dimanche soir pour régulariser sa situation et régler ses cotisations en retard au groupe Les Républicains du conseil de Paris. Mais elle ne paiera pas. (Normal la cotisation c’est pour l’adhérente de base !).  Elle se sait soutenue par Sarkozy pas mécontent que Rachida Dati fasse des ennuis à NKM  Selon les  informations de RTL, avant toute exclusion Rachida Dati sera rapidement convoquée. Cela devrait se faire dans les 15 jours et elle devra s’expliquer devant le bureau du groupe présidé par Nathalie Kosciusko-Morizet.  Mais encore faut-il qu’elle accepte de venir. Rachida Dati pourrait tout simplement démissionner. Pas question pour elle de signer un chèque de 6.000 euros, l’équivalent de six ans d’arriérés. L’ancienne ministre de Nicolas Sarkozy refuse de financer « le train de vie, selon elle, excessif de Nathalie Kosciusko-Morizet », un jugement d’experte ! Un nouvel épisode dans la rivalité entre les deux femmes. Très déterminée, Rachida Dati s’estime aussi soutenue par Nicolas Sarkozy. « Il s’en sert, explique un proche, pour contrer Nathalie Kosciusko-Morizet », une possible rivale à la primaire. Et preuve de cette complicité retrouvée : la maire du VIIe arrondissement de Paris accompagnait Nicolas Sarkozy il y a quelques jours à Moscou. En attendant, la cotisation des autres conseillers Républicains de Paris est passée de 100 à 115 euros par mois. Une surtaxe qui a trouvé un nom, la surtaxe Dati.

Censure dans les médias : bientôt une loi anti Bolloré ?

Censure dans les médias : bientôt une loi anti Bolloré ?

Depuis que Bolloré a largement pénétré le monde des médias en particulier celui de la télévision, nombre de journalistes y compris à Canal protestent  contre les pressions subies vis-à-vis du contenu éditorial. Après notamment la censure présumée d’un documentaire sur le Crédit Mutuel qui devait être diffusé sur Canal+ cet été (finalement diffusé par France 3), la ministre de la Culture et de la Communication, Fleur Pellerin, réfléchit à un amendement « anti-Bolloré », nouveau patron de Vivendi et de Canal+, soupçonné d’avoir été à l’origine de la décision de censure.  Des affaires comme celle de la déprogrammation du documentaire sur les manœuvres fiscales du Crédit Mutuel, forcément, il y en aura d’autres. Voilà ce qui se dit à l’hôtel de Valois. Du coup, ce qui se dit aussi, c’est qu’il faut protéger l’indépendance des médias contre les intérêts économiques des actionnaires et des annonceurs. L’idée, c’est de renforcer, dans la loi, les pouvoirs du Conseil supérieur de l’audiovisuel. Le CSA pourrait aller jusqu’à proposer des noms pour participer aux comités d’éthique des chaînes généralistes. Mais surtout ces chaînes seraient obligées d’inscrire dans la convention qui les lie au gendarme de l’audiovisuel une clause pour garantir l’indépendance éditoriale des rédactions. Ce qui n’existe pas aujourd’hui chez Canal Plus, et c’est bien tout le problème. Au ministère de la Culture, on réfléchit aussi à protéger les lanceurs d’alerte, les journalistes, ou les rédactions qui dénonceraient la censure, ou les pressions. Et on se dit qu’il faut aller vite.  L’examen, en deuxième lecture, au Sénat de la loi sur la liberté de création portée par Fleur Pellerin pourrait donc effectivement être un bon créneau. En tous cas tout est prêt.  Ne restent plus que les arbitrages dits  »politiques », à Matignon et à l’Elysée.

Brésil : la présidente bientôt destituée ?

Brésil : la présidente bientôt destituée ?

 

Ça va très mal pour La présidente brésilienne de gauche Dilma Rousseff, engluée dans des affaires de corruption et dans une crise économique grave et qui maintenant risquent d’être destitué. Déjà au plus bas dans les sondages, elle  a subi deux cinglants camouflets en 24 heures qui fournissent des munitions aux partisans de sa destitution et vont la fragiliser un peu plus.  Le Tribunal des comptes de l’Union (TCU) a préconisé, hier, aux parlementaires brésiliens de rejeter les comptes publics de l’Etat de 2014 au motif qu’ils auraient été sciemment entachés d’irrégularités. Mardi soir, le Tribunal supérieur électoral (TSE) avait ouvert le feu en relançant une enquête sur la campagne présidentielle de 2014 ayant abouti à la réélection disputée de Dilma Rousseff, sur fond d’accusations par l’opposition de financement illicite en marge du vaste scandale de corruption qui éclabousse le géant public pétrolier Petrobras. Les issues des deux procédures sont incertaines. Mais les deux épées de Damoclès qui viennent de se matérialiser au-dessus de la tête de la présidente vont empoisonner un peu plus le climat politique au Brésil, au moment où le géant d’Amérique latine est embourbé dans une sévère récession économique.

Le Grand journal –Canal+ : bientôt supprimé ?

Le Grand journal –Canal+ : bientôt supprimé ?

 

La direction de la chaîne envisagerait de supprimer le programme, rapporte «Le Point». Cette déprogrammation aurait lieu dès janvier prochain. La production de l’émission a donc jusqu’à fin décembre pour trouver des solutions et reconquérir des parts de marché. L’audience de l’émission télé le Grand journal de Canal+ ne n’en finit pas de s’enfoncer. Les propos de la présentatrice concernant le FN risque de précipiter encore le mouvement. Certes la dégringolade de l’audience ne date pas d’hier, elle avait commencé à la fin de  l’ère Denisot,  s’était amplifiée avec De Caunes  qui paraissait tellement s’ennuyer dans son rôle d’animateur. Avec Maintenant Maitena Biraben on tombe maintenant dans le badinage, l’approximatif et surtout l’ennui. En cause surtout le manque de culture politique de ces nouveaux animateurs et même le manque de culture générale tout court. La nouvelle animatrice est certes charmante, souriante et très affable mais manque  visiblement de consistance culturelle. On la verrait mieux animer une émission de cuisine. Ce qu’elle a fait jusqu’à maintenant ou à peu près. La réalité c’est que le nouveau patron de canal Bolloré veut à la fois réorienter la ligne éditoriale de sa chaîne aussi faire des économies. Ainsi il n’a pas voulu recruter un poids lourd de l’info fut-elle distractive. Bref l’impertinence est encore là mais pas la pertinence. En gros l’esprit canal est mort. Personne par exemple pour reprendre les propos iconoclastes et exhibitionnistes de Robert Ménard maire  de Béziers content  d’exposer ses propos populistes sans grande contradiction. Il y a quelques jours, la présentatrice du Grand Journal a répété par deux fois que le FN tenait un « discours de vérité ». Au-delà de la polémique, Canal + n’est (définitivement) plus le modèle télévisuel de la cool attitude.  Avant, Canal + était la girouette du cool, la chaine qui disait qui était in ou qui était out. Mais si l’Esprit Canal est mort depuis longtemps, la polémique lancée hier par Maitena Biraben marque le crépuscule d’une époque et d’un modèle. A l’origine, on trouve une phrase énoncée dans Le Grand Journal hier soir et qui fait encore jaser les internautes. Maïtena Biraben, présentatrice du Grand Journal, lâche durant son entretien avec l’avocat Eric Dupont-Moretti : « le FN tient un discours de vérité ». L’interview avait pour thème l’immigration et les libertés publiques. La présentatrice insiste : « Vous savez que les propos de la vérité sont souvent tenus et incarnés par le Front national aujourd’hui, rarement par le Parti socialiste, très rarement par les partis classiques. C’est quelque chose qui vous pose problème ou que vous entendez et qu’à la fin des fins vous comprenez? »  Les internautes, eux, n’ont pas bien compris en réalité. Philippe Gildas, présentateur emblématique de Nulle Part Ailleurs, et qui a commenté : « Une connerie comme ça, je ne l’ai jamais faite ». Elle peut apprendre… Avant, elle faisait les Maternelles, là ça la change ».A  l’inverse  le petit Journal est davantage apprécié  (pas forcément par Bolloré !) car il repose  vraie colonne vertébrale éditoriale.

 

Dieudonné bientôt expulsé de sa salle de spectacle

Dieudonné bientôt expulsé de sa salle de spectacle

Le polémiste Dieudonné, qui pourrait prochainement être expulsé de son théâtre parisien de la Main d’Or, a été mis à la porte d’une autre salle à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), dans laquelle il comptait jouer ses spectacles, a-t-on appris samedi auprès du propriétaire des lieux.  »Mon client a dénoncé le bail en faisant état d’un vice du consentement », a affirmé à l’AFP Me Odile Cohen, l’avocate du propriétaire, confirmant une information du journal Le Monde. La société de Dieudonné, Les Productions de la Plume, avait signé le 8 septembre un bail de courte durée avec la SARL des Ateliers Christofle, filiale du groupe Madar, pour une salle de 1.500 m2, où devaient se jouer des spectacles. Seul le nom de la compagne de Dieudonné, Noémie Montagne, est cité dans le document, dont l’AFP a obtenu copie.  »On leur reproche de nous avoir trompés. (…) Mon client ne savait pas que c’était Dieudonné qui allait faire des spectacles », a déclaré Me Cohen. Selon elle, il n’en aurait été averti que jeudi, par l’intermédiaire du gardien des lieux. « Quand on l’a appris, on a voulu se protéger pour des raisons de sécurité, car il y a un risque de trouble à l’ordre public, et pour assurer la tranquillité des riverains », a indiqué l’avocate.  »Nous refusons de favoriser une entreprise de spectacles qui sème la haine et entretient la division entre les membres de la communauté nationale », a ajouté le propriétaire dans un communiqué.  Me François Dangléhant, l’un des avocats du polémiste controversé, a déclaré à l’AFP qu’il comptait porter l’affaire devant les tribunaux.  »Nous avons fait constater par huissier qu’ils ont muré les entrées et installé trois vigiles avec des chiens », a-t-il indiqué.  »C’est Noémie Montagne (…) qui est venue en personne les voir et signer le contrat. Tout le monde sait de qui il s’agit, il suffit de taper son nom sur Internet pour savoir que c’est la compagne de Dieudonné », a-t-il expliqué. Le polémiste est à la recherche d’une salle car il pourrait se faire expulser du théâtre de la Main d’Or, à Paris, où il se produit depuis 15 ans. La justice se prononcera le 29 septembre sur cette expulsion, demandée par les propriétaires, qui font valoir que le bail en cours est au nom de la société Bonnie Productions, mais que l’exploitation relève des Productions de la Plume, Bonnie Productions ayant même un temps été radiée du registre du commerce pour cessation d’activité. Dieudonné M’bala M’bala a été condamné à plusieurs reprises pour diffamation, injure et provocation à la haine et à la discrimination raciale.

 

Fram bientôt chinois?

Fram bientôt chinois?

Comme d’autres voyagistes Fram  connaît des difficultés financières et pourrait passer sous pavillon chinois d’après des informations des Échos. D’une manière générale les voyagistes connaissent actuellement des mutations importantes. Mutations provenant d’abord de la situation économique des Européens aussi des risques potentiels dans certains pays instables ou en conflit. Se pose aussi la question de la répartition des responsabilités entre la fabrication des voyages, et leur commercialisation. De ce point de vue la diffusion du numérique pourrait bousculer les métiers en particulier les agences traditionnelles de voyages. Les grands opérateurs vont en effet s’efforcer de commercialiser directement leurs prestations auprès des clients. Il est  également possible que plusieurs voyagistes importants ce débarrassent de structures hôtelières coûteuses. Après le Club Méditerranée, le voyagiste toulousain Fram, qui connaît des difficultés financières depuis plusieurs années, pourrait donc  à son tour passer sous pavillon chinois, écrivent Les Echos ce mardi. HNA, « un mastodonte aux activités diversifiées, notamment présent dans le transport aérien », serait sur les rangs. HNA est propriétaire, entre autres, de Hainan Airlines et vient de s’offrir Swissport, le numéro un mondial des services aéroportuaires, précisent Les Echos. HNA est aussi l’un des actionnaires d’Aigle Azur. Le groupe est « déjà actif dans le tourisme et s’intéresserait maintenant à la société toulousaine », écrit le quotidien. Les Echos confirment par ailleurs l’information du Journal du Dimanche selon laquelle le groupe de vente de voyages en ligne Karavel-Promovacances serait aussi intéressé. « Le spécialiste du voyage enligne, qui développe aussi depuis quelque temps un réseau d’agences de voyages, a élaboré une offre conditionnelle », croient savoir Les Echos.

Un hôtel dans le château de Versailles et bientôt Disneyland ?

Un hôtel dans le  château de Versailles et bientôt Disneyland ?

 

Près de 3000 m² de bâtiments seront donc transformés en hôtel à l’intérieur du château de Versailles. L’objectif reconnu par la direction de l’établissement autonome de Versailles est de développer les activités économiques en d’autres termes le business. Bien sûr en plus il s’agira d’un hôtel de luxe réservé aux plus nantis ce qui est conforme aux principes de notre monarchie royale. Pour faire encore davantage de fric on pourrait aussi envisager de créer un nouveau Disneyland. La direction du château de Versailles indique clairement qu’elle souhaite valoriser les espaces. Dès leur pourquoi pas un nouveau Disneyland, des boîtes de nuit et même des McDo à l’intérieur du domaine royal. Et s’il faut attirer encore davantage de monde on pourrait même imaginer la construction d’un stade de foot puisque précisément le PSG cherche à disposer d’un nouveau stade. Pour les gestionnaires de Versailles (dont la gestion est de plus en plus privatisée) il n’y a pas incompatibilité entre culture et fric. À quand des boutiques de merguez et de frites dans la galerie des glaces ? L’Etablissement public du château de Versailles lance un appel d’offre. Objectif : transformer en hôtel haut de gamme un ensemble de trois bâtiments longeant le parterre de l’Orangerie.  Passer sa nuit dans un quatre étoiles à quelques pas de la demeure du Roi Soleil sera peut-être bientôt possible. L’Etablissement public du château de Versailles a lancé un appel d’offre pour transformer en hôtel haut de gamme trois bâtiments longeant le parterre de l’Orangerie : le Grand Contrôle, le Petit Contrôle, et le Pavillon des premières cent marches. Les lieux, inoccupés depuis 2008, représentent en tout, une superficie de 2.800 m2. Ce sont d’anciens locaux administratifs du ministère de la Défense. Les résidents de l’hôtel n’entreront pas via l’entrée principale, comme le faisait Louis XIV, mais par la rue de l’Indépendance américaine. Cependant, une partie des chambres donnera sur l’Orangerie. « Cette démarche« , souligne-t-on de source proche de la direction du domaine de Versailles, « s’inscrit dans la politique de rénovation et valorisation des espaces et d’implantation d’activités économiques dans les monuments historiques, définie depuis plusieurs années par le ministre de la Culture et le secrétaire d’État au Tourisme. » L’association Coordination Défense de Versailles est opposée à cet appel d’offre. Pour son président, Arnaud Upinsky, c’est une atteinte au prestige des lieux : « Ce patrimoine doit rester le patrimoine des Français. Il ne doit pas passer dans le domaine privé, en doit pas servir à faire de l’argent à côté. Un hôtel n’a pas sa place à cet endroit là. »

Bientôt des voitures volantes ?

Bientôt des voitures volantes ?

 

Bientôt des voitures volantes, c’est possible d’un point de vue technologique. Des prototypes sont déjà opérationnels d’après La Tribune qui publie pendant l’été des extraits issus de l’émission « FutureMag », diffusée sur Arte. C’est un  engin hybride une sorte d’automobile équipée d’ailes repliables  pour son utilisation routière. Il s’agit cependant d’un projet utopique pour banaliser cette innovation. En effet se poseraient de redoutables questions de sécurité dans l’espace. Aujourd’hui sur la terre ferme la sécurité repose sur le principe de la marche à vue qui doit être observée par l’automobiliste. En clair il n’y a aucun système de régulation et tout est fondé sur l’observation et les réactions du conducteur. Un tel système ne pourrait fonctionner dans l’espace. Un espace qui pourrait devenir très encombré avec des risques considérables. Un tel projet pourrait cependant peut-être un jour être banalisé si la circulation aérienne de tels véhicules était  réguleé de manière automatique (notons par ailleurs que cette régulation automatique impliquant aussi la conduite  est aussi envisagée pour la circulation automobile du futur). Il n’est cependant pas interdit de penser que de telles voitures volantes puissent être utilisées dans des zones d’accès difficiles. La  banalisation seraiat cependant relativement freinée par le cout de ce type d’engin et par les connaissances aériennes exigée des conducteurs. .

Grèce : un accord de bricolage bientôt prêt

Grèce : un accord de bricolage bientôt prêt

 

Un nouvel accord avec la Grèce devrait être signé d’ici la fin août. Pour schématiser à outrance, il s’agit d’un plan qui prévoit de nouveaux prêts surtout destinés à rembourser les précédents, aussi à imposer de nouvelles mesures d’austérité en Grèce. Un plan forcément partiel et provisoire qui au mieux tiendra quelques années au pire quelques mois. La question de la restructuration de la dette en effet à été mise de côté. On sait que la Grèce est dans l’incapacité de rembourser cette dette. En outre la question de la relance de la croissance a été traitée à la légère. Or les nouvelles mesures d’austérité viendront peser sur cette croissance est sans croissance la Grèce aura les pires difficultés à dégager les ressources nécessaires pour apurer seulement une partie de la dette. Au total il s’agit d’un accord bâtard qui résulte de positions opposées entre l’Allemagne qui aurait voulu se satisfaire d’un prêt relais et de la France qui voulait un accord définitif. Un accord définitif mais qui sera bien précaire. La Grèce devrait être en mesure de conclure mardi prochain avec ses créanciers un projet d’accord en vue d’un troisième plan de renflouement financier, qui pourrait permettre le versement d’une première tranche le 20 août, indique une source informée de la téléconférence organisée par des responsables de l’Union européenne vendredi. Les discussions se poursuivent sans accroc et pourraient être bouclées au cours du week-end, ajoute cette source. Si le projet de mémorandum encadrant le déblocage de cette nouvelle aide financière et l’analyse actualisée de la soutenabilité de la dette grecque sont prêts comme prévu mardi, le gouvernement et le parlement grec pourraient les approuver d’ici jeudi. Les ministres des Finances de la zone euro pourraient se retrouver ou organiser une téléconférence vendredi pour accepter ce programme de prêt sur trois ans. La Grèce devrait alors adopter un nouveau train de réformes avant le 20 août en parallèle aux procédures nationales de ratification afin de recevoir le premier versement à temps pour faire face à une échéance cruciale de remboursement d’obligations à la Banque centrale européenne (BCE) à cette date. « Tout le monde travaille sur un plan A, un accord avec un versement au 20 août », a ajouté la source. Les négociations en vue de ce troisième plan d’aide à la Grèce depuis 2010 ont débuté le 20 juillet, une semaine après que les dirigeants de la zone euro eurent présenté à Athènes un certain nombre d’exigences préalables à l’ouverture des discussions.  Conformément à l’accord conclu le 13 juillet à Bruxelles, Athènes, les institutions européennes (Commission, Banque centrale européenne et Mécanisme européen de stabilité, le fonds de sauvetage de la zone euro) et le Fonds monétaire international discutent d’un plan qui pourrait atteindre 86 milliards d’euros et empêcher que la Grèce fasse défaut sur sa dette.

1...910111213...15



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol