Archive pour le Tag 'bidon'

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Changement de nom du FN , c’est bidon »(Jean-Marie Le Pen)

Changement de nom du FN , c’est bidon »(Jean-Marie Le Pen)

 

Le vice-président du parti, Florian Philippot, envisage de changer le nom du parti. Mais Jean-Marie Le Pen n’est pas de cet avis. Il explique au Figaro que « le changement de nom, c’est comme le changement du climat, c’est bidon ». Le fondateur du Front national « observe un certain nombre de failles, y compris sur le plan technique puisqu’il y a eu des problèmes d’affiches et de bulletins de vote (…) Je constate que le Front national est probablement le seul parti politique au monde qui n’a pas de journal ». Il ajoute : « La pensée politique si Marine Le Pen quitte le terrain de l’euro, sans doute se privera-t-elle des services de monsieur Philippot.  « .  Quant au rôle de Marine Le Pen dans l’opposition, Jean-Marie Le Pen juge que sa fille « sera amenée à animer une opposition radicale au macronisme.

Trump : des promesses économiques bidon

 Trump : des promesses économiques bidon

Pour résumer Trump a promis de réduire les impôts (surtout des entreprises), d’augmenter les dépenses d’infrastructures (1000 milliards !), en permettant tout autant des mesures libérales que des mesures protectionnistes (le mur avec le Mexique !, taxe des produits chinois, l’augmentation des salaires). Des mesures évidemment contradictoires qui entraineront la réaction des partenaires économiques des Etats Unis. Surtout des mesures qui ne sont pas fiancées. Problème: « Ces mesures ne sont pas financées », confirme  Alexis Karklins, directeur général délégué du cabinet de conseil financier Eight Advisory. Pourtant il faudra des recettes copieuses pour couvrir « les baisses massives d’impôts qui figurent dans le programme de Trump, une baisse de 2 points du taux d’imposition des ménages les plus fortunés, avec la tranche la plus haute qui descendrait à 33%, et la baisse du taux d’imposition sur les bénéfices des entreprises, qui passerait de 35 à 15% », estime Alexis Karklins. Alors oui, les élections au congrès qui se tenaient parallèlement à la présidentielle ont laissé la majorité aux Républicains. En théorie, Donald Trump devrait pouvoir compter sur leur soutien pour mettre en place ses projets. Mais « le congrès va bloquer, parce qu’en matière de conservatisme fiscal, les Républicains campent sur leurs positions », prévoit Alexis Karklins. « Les déficits budgétaires qui ont été chiffrés, simulés avec le programme de Trump, ne seront pas acceptés par le Congrès », ajoute-t-il. Ces promesses de baisses d’impôts, pourtant, ont visiblement été déterminantes dans la victoire de Donald Trump à l’élection présidentielle. Aujourd’hui, les Américains ne paient pas d’impôt lorsqu’ils gagnent moins de 9.700 dollars par an. Au-delà, ils paient 14%. Puis à partir de 30.000 dollars, 30%. Le taux passe à 41% à partir de 72.000 dollars, et 45% au-dessus de 165.000 dollars. La promesse de Trump, c’est de supprimer toute imposition sous le seuil de 29.000 dollars de revenus annuels. « Donc il se met les classes pauvres dans la poche », souligne Gérard Guyard, président-directeur général de Gravotech. Et d’un autre côté, il réduit le plus haut taux d’imposition à 33%, à partir de 72.000 dollars annuels. De quoi séduire les ménages les plus aisés. En tout cas l’incertitude née de l’élection de Trump a de quoi inquiéter les entreprises françaises. À cause de ces mesures intenables, mais aussi des promesses du candidat républicain de revoir les accords de libre-échange avec ses partenaires commerciaux, coupables selon lui de détruire les emplois américains. « Nous faisons presque 40% de notre chiffre d’affaires aux États-Unis », indique le PDG de Gravotech, un industriel de la gravure. « Nous sommes en train de bâtir notre plan à 5 ans. La question est: comment en tant qu’industriel, je mets ceci en perspective au moins pour les quelques mois qui sont devant nous »?

(Avec la Tribune) 

Notre-Dame-des-Landes : un référendum bidon

Notre-Dame-des-Landes : un référendum bidon

 

Ce référendum organisé par le gouvernement à propos du projet d’aéroport de Notre-Dame des Landes n’a aucun sens. Juridiquement son principe et plus que douteux même si le Conseil d’État a reconnu sa légalité. En réalité il ne s’agit même pas d’un référendum mais d’une simple consultation dont l’Etat n’a pas à tenir compte comme l’indique d’ailleurs le Conseil d’État qui précise aussi que le projet d’intérêt public a déjà été décidé. Dès lors on se demande pourquoi organiser alors une consultation. Surtout une consultation limitée au département de Loire-Atlantique alors que ce projet est d’intérêt national et qu’il vise à desservir la France, l’Europe et une grande partie du monde. La raison de la limitation de ce vote à la Loire-Atlantique est très politicien en effet 60 % des les habitants de Loire-Atlantique sont favorables à ce projet tandis que les habitants des Pays de Loire sont contre dans la même proportion rejoignant d’ailleurs l’avis  de l’ensemble des Français. Un référendum donc bidon tant sur le plan politique que juridique et qui ne vise qu’à gagner du temps pour ne pas trop se mettre à dos les écolos, les 967.500 électeurs de Loire-Atlantique feront donc semblant de décider de l’avenir du projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes. Ils répondront par « oui » ou par « non » à la question : « Êtes-vous favorable au projet de transfert de l’aéroport de Nantes-Atlantique sur la commune de Notre-Dame-des-Landes ? »  Pour l’occasion, 1.051 bureaux de vote seront ouverts dans l’ensemble du département. Si le « oui » l’emporte, ce projet, jugé « surdimensionné » par les experts, ne comportera finalement qu’« une seule piste » avait annoncé Ségolène Royal. Deux pistes avaient été envisagées à la base.

La consultation bidon de Notre-Dame-validée par le Conseil d’État !

 

 

Le Conseil d’État manifeste en ce moment une curieuse conception du droit ;  il vient en effet de valider le référendum concernant Notre-Dame des Landes et ses modalités d’organisation tout en  reconnaissant qu’il ne s’agit pas d’un vrai référendum mais d’une simple consultation sur un projet d’intérêt national d’ utilité publique déjà décidé et qui ne peut être remis en cause juridiquement. Autrement dit le référendum peut se tenir, cela n’a aucune importance. On se souvient que récemment le Conseil d’État avait aussi rendu un curieux avis sur l’augmentation rétroactive des tarifs d’EDF tranchant ainsi entre l’intérêt d’EDF et de ses concurrents privés mais en oubliant tout simplement l’intérêt des consommateurs. Bref une conception du droit très c’est étatique, normal de la part du conseil d’État ! On peut s’étonner à propos de Notre-Dame des Landes qu’ait été retenue comme légal  le champ de la consultation limitée à la Loire-Atlantique ; pourquoi pas aussi limitée au seul quartier jouxtant l’actuel aéroport ? Le Conseil d’Etat a donc rejeté lundi le recours contre la consultation locale sur le transfert controversé de l’actuel aéroport de Nantes vers la commune de Notre-Dame-des-Landes, qui est donc maintenue le 26 juin prochain en Loire-Atlantique. Des opposants au projet avaient déposé un recours en urgence devant la plus haute juridiction administrative en espérant obtenir la suspension de celle-ci. « (Le Conseil d’Etat) a jugé, tout d’abord, que la loi permettait à l’État de procéder à la consultation alors même qu’aucune autorisation n’est plus nécessaire au projet et que celui-ci a déjà été déclaré d’utilité publique », a fait savoir l’institution dans un communiqué. « Le Conseil d’Etat a estimé, ensuite, que la question posée aux électeurs (‘Etes-vous favorable au projet de transfert de l’aéroport de Nantes-Atlantique sur la commune de Notre-Dame des Landes ?’) n’est pas ambiguë », est-il précisé. Un décret gouvernemental du 23 avril a déterminé la question qui sera soumise aux électeurs, le périmètre de la consultation et les horaires des bureaux de vote. Cette « consultation » n’est pas un « référendum » à proprement parler : régie par une ordonnance applicable aux seuls projets locaux ayant un impact sur l’environnement, elle aura « valeur d’un simple avis pour le gouvernement », a rappelé récemment le préfet de la Loire-Atlantique. François Hollande a toutefois déclaré que le gouvernement prendrait « ses responsabilités pour suivre ou arrêter le projet » après cette consultation.

(Avec Reuters)

2017 : Cambadélis pour une primaire bidon de la gauche

2017 : Cambadélis pour une primaire bidon de la gauche

Pour satisfaire au statut du PS et aux revendications de certains opposants, le secrétaire général du parti socialiste a annoncé une curieuse primaire de la gauche du gouvernement. En fait une sorte de manœuvre pour donner une plus grande légitimité à la candidature de François Hollande. En effet il ne s’agit pas dune  primaire de l’ensemble de la gauche puisque notamment Mélenchon s’y oppose en refusant de se soumettre au vainqueur. Même chose pour l’extrême-gauche évidemment.  Au sein de la gauche du gouvernement on voit mal Valls ou Macron  présenter leur candidature contre celle de François Hollande. Du coup François Hollande risque d’être à peu près le seul candidat en face de concurrents de second rang par exemple des frondeurs. Il est clair par ailleurs que les communistes et les écolos politisés d’Europe écologie les Verts ne se prêteront pas à cette manœuvre dont la ficelle est un peu grosse. Christophe Cambadélis va cependant proposer l’organisation d’une primaire de la gauche de gouvernement, qui pourrait se tenir fin janvier 2017. Officiellement,  Il continue à dire sa préférence pour une primaire large de la gauche et des écologistes. Mais alors que cette dernière paraît plus que compromise – EELV et les communistes s’y étant opposés – Jean-Christophe Cambadélis pense à l’option B. Le premier secrétaire du PS va proposer au Conseil national du parti, qui se réunit samedi, l’organisation d’une primaire ouverte de la gauche de gouvernement en vue de la présidentielle de 2017, a-t-il annoncé vendredi soir. « Si la primaire de toute la gauche est possible, nous garderons les dates évoquées, soit les deux premières semaines de décembre. Si elle était impossible, nous organiserons ces primaires les deux derniers week-ends de janvier », explique le socialiste dans une interview à Libération. Selon des proches du Président, celui-ci est prêt à se soumettre à cet exercice, s’il est candidat. L’organisation d’une telle primaire fin janvier correspond bien à ce calendrier et il est difficile d’imaginer que Jean-Christophe Cambadélis ait décidé cela sans l’accord du chef de l’Etat : « Je l’ai tenu informé », dit-il, tout en souhaitant que François Hollande participe à cette élection « loyale et représentative ».

Chômage: El Khomri -Rebsamen débat méthodologique bidon

Chômage: El Khomri -Rebsamen débat méthodologique bidon

On se souvient que l’ancien ministre du travail Rebsamen avait  fortement critiqué la crédibilité des statistiques de pôle emploi, aussi le fait que le ministère du travail ne gère pas vraiment la loi du même nom. Concernant les statistiques le débat méthodologique ne présente pas beaucoup d’intérêt. En effet la différence entre les statistiques de pôle emploi et les statistiques du bureau international du travail (BIT) provienne du fait que dans un cas on enregistre  les chômeurs qui ne recherchent pas vraiment un emploi et pas dans l’autre. Sur cette base on pourrait sans doute retirer près d’un million de personnes qui ne recherchent pas vraiment un travail mais qui sont pourtant enregistrés comme demandeurs d’emploi. De toute manière les statistiques chômages sont à prendre avec des pincettes ce qu’avait d’ailleurs indiqué l’autorité de la statistique (voir ci-dessous), ce qu’avait dit aussi l’ancien ministre du travail ;  pourtant Myriam el Khomri à renvoyé Rebsamen dans ses baskets.  «Les chiffres de Pôle emploi sont fiables parce qu’ils sont validés par l’Autorité de la statistique», lui a-t-elle rétorqué sèchement. Tout en tentant d’expliquer les différences, réelles, avec ceux du BIT. «Ils ne comptabilisent pas la même chose, a-t-elle reconnu. Il y a des seniors qui ne sont pas obligés à la recherche d’emploi qui sont comptabilisés à Pôle emploi mais ne le sont pas par le BIT. Il y a des distinctions. D’ailleurs, d’après le BIT, le taux de chômage a baissé en 2015 alors que, de façon globale, il n’a pas baissé selon Pôle emploi». Curieuse manière, soit dit en passant, de ne pas dire qu’il a augmenté…

 

 

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Recommandation de l’autorité des statistiques

Avis no 2014-01 du 26 mars 2014 :

 

: 1. Publier sur une base annuelle des séries révisées en droits constatés (séries « avec recul ») issues du fichier historique statistique des demandeurs d’emploi ; 2. Publier, au cas par cas, les séries rétropolées tenant compte des incidents et des changements de procédure ; 3. Ajouter à la publication mensuelle des DEFM un commentaire privilégiant la tendance des derniers mois ; 4. Attirer l’attention des lecteurs sur la faible signification de la variation d’un mois sur l’autre en dessous d’un certain seuil ; 5. Publier régulièrement des séries d’indicateurs visant à évaluer la variabilité statistique des DEFM en stocks et en flux ; 6. Conduire une analyse préventive des risques des processus de production et de publication et prévoir une procédure de gestion de crise. La labellisation est accordée pour une durée de cinq ans, avec une clause de revoyure de deux ans, date à laquelle les recommandations précédentes devraient avoir été mises en œuvre. A cette échéance, une comparaison entre les listes d’inscrits à Pôle emploi

 

Après les attentats à Bruxelles un dispositif policier bidon en France

Après les attentats  à Bruxelles un dispositif policier bidon en France

Pour résumer 15 policiers supplémentaires par département mais le maintien de l’euro 2016 de foot « sous contrôle «  d’après le ministre des sports ». Encore une réunion de crise à l’Élysée qui débouche sur des crottes de chat. Bernard Cazeneuve ministre de l’intérieur a en effet annoncé 1600 policiers supplémentaires pour l’ensemble du territoire ce qui représente en moyenne une quinzaine de policiers en plus par département. Une grande décision aussi : les usagers n’auront accès aux infrastructures publiques que s’ils disposent  d’une pièce d’identité ;  de quoi évidemment sourire tellement cette mesure est ridicule et inefficace surtout. La posture médiatique du gouvernement ne serrait ne saurer dissimuler l’indigence des mesures prises contre le terrorisme. Parmi ces mesures des annonces qui seront faites dans les aéroports à la SNCF ou encore à la RATP signalant aux usagers qu’il faut être prudent vis-à-vis  des risques du terrorisme ! Après les explosions qui ont fait au moins 13 morts à Bruxelles ce mardi matin, Bernard Cazeneuve, le ministre de l’Intérieur a donc annoncé un renforcement du dispositif policier et des contrôles « systématisés ».« Ce matin, dès les attaques de Bruxelles, j’ai décidé de déployer 1.600 policiers et gendarmes supplémentaires en différents points du territoire, aux frontières et dans les infrastructures de transports aérien, maritime et ferroviaire », a annoncé mardi le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, après une réunion de crise à l’Elysée autour de François Hollande et Manuel Valls. « En Ile-de-France, 400 policiers et gendarmes supplémentaires, en particulier à Roissy, Orly, dans le métro, dans les principales gares et les espaces publics. Ce sera aussi le cas sur le reste du territoire », a ajouté le ministre, lors d’une allocution. Les gares, les aéroports et les ports sont les priorités des forces de l’ordre. Bernard Cazeneuve a par ailleurs, annoncé que « les accès aux zones publiques dans des infrastructures de transports seront réservés aux personnes munies d’un titre de transport et/ou munies d’une pièce d’identité ». « Des messages préventifs de sensibilisation vont être diffusés par les opérateurs RATP, SNCF et autres en direction du grand public. Dans le cadre du dispositif Sentinelle, des patrouilles de militaires vont être réorientées sur ces sites pour épauler les forces déjà présentes. Les mesures de contrôles et palpations vont être systématisées », a ajouté Bernard Cazeneuve. 

 

Economie

Après les explosions à Bruxelles un nouveau dispositif policier bidon en France

Après les explosions à Bruxelles un dispositif policier bidon en France

Encore une réunion de crise à l’Élysée qui débouche sur des crottes de chat. Bernard Cazeneuve ministre de l’intérieur a en effet annoncé 1600 policiers supplémentaires pour l’ensemble du territoire ce qui représente en moyenne une quinzaine de policiers en plus par département. Une grande décision aussi : les usagers n’auront accès aux infrastructures publiques que s’ils disposent  d’une pièce d’identité ;  de quoi évidemment sourire tellement cette mesure est ridicule et inefficace surtout. La posture médiatique du gouvernement ne serrait ne saurer dissimuler l’indigence des mesures prises contre le terrorisme. Parmi ces mesures des annonces qui seront faites dans les aéroports à la SNCF ou encore à la RATP signalant aux usagers qu’il faut être prudent vis-à-vis  des risques du terrorisme ! Après les explosions qui ont fait au moins 13 morts à Bruxelles ce mardi matin, Bernard Cazeneuve, le ministre de l’Intérieur a donc annoncé un renforcement du dispositif policier et des contrôles « systématisés ».« Ce matin, dès les attaques de Bruxelles, j’ai décidé de déployer 1.600 policiers et gendarmes supplémentaires en différents points du territoire, aux frontières et dans les infrastructures de transports aérien, maritime et ferroviaire », a annoncé mardi le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, après une réunion de crise à l’Elysée autour de François Hollande et Manuel Valls. « En Ile-de-France, 400 policiers et gendarmes supplémentaires, en particulier à Roissy, Orly, dans le métro, dans les principales gares et les espaces publics. Ce sera aussi le cas sur le reste du territoire », a ajouté le ministre, lors d’une allocution. Les gares, les aéroports et les ports sont les priorités des forces de l’ordre. Bernard Cazeneuve a par ailleurs, annoncé que « les accès aux zones publiques dans des infrastructures de transports seront réservés aux personnes munies d’un titre de transport et/ou munies d’une pièce d’identité ». « Des messages préventifs de sensibilisation vont être diffusés par les opérateurs RATP, SNCF et autres en direction du grand public. Dans le cadre du dispositif Sentinelle, des patrouilles de militaires vont être réorientées sur ces sites pour épauler les forces déjà présentes. Les mesures de contrôles et palpations vont être systématisées », a ajouté Bernard Cazeneuve. 

Un nouveau permis de conduire tout aussi bidon

Un nouveau permis de conduire tout aussi bidon

À partir d’avril on connaîtra une nouvelle réforme du permis de conduire tout aussi bidon. L’objectif officiel de cette réforme applicable  à partir d’avril est de réduire les coûts et les délais d’attente. Un coup particulièrement excessif pour les jeunes puisqu’il se situe entre 1500 et 2 000 €. L’attente, elle, pourrait être diminuée ; elle est aujourd’hui d’environ 100 jours soit le double de la moyenne européenne. Pour cela on envisage une externalisation des examens y compris en ayant recours par exemple à la Poste. Sur le fond cela ne changera pas grand-chose et le permis sera toujours aussi inadapté à la préparation à la conduite. En effet connaître la réglementation ou le maniement des instruments de conduite ne suffit pas. Il y a déjà des dizaines et des dizaines d’années que l’ancien pilote de course Jean-Pierre Beltoise avait préconisées que l’examen pratique soit effectué sur circuit afin de mesurer les compétences à la gestion des risques. D’une certaine manière on peut donc considérer cette réforme comme du bricolage. Pour preuve des modifications complètement anecdotiques voir surréalistes. En effet À compter du 18 avril prochain, la nouvelle banque de photos destinée aux examens du code sera soumise aux candidats. Ce toilettage qui permet de dépoussiérer ce stock ancien intègre de nouveaux clichés avec vues aériennes mais aussi, et c’est nouveau, des vidéos. Par ailleurs, le volume des diapositives augmente passant de 700 aujourd’hui à 1015. Compte tenu de l’enjeu la l’enseignement concernant la sécurité routière devrait être intégrée dans le processus de formation des élèves  et cet enseignement sanctionné par un diplôme gratuit. Ne resterait alors à la charge du candidat conducteur que le coût de l’épreuve pratique à passer dans les conditions proches du réel. Avec la loi moi qu’on va peut-être gagner en rapidité mais pas forcément en qualité. La loi Macron prévoit en effet de redéployer les inspecteurs du permis de conduire pour essayer de le diviser par deux. C’est pourquoi l’examen du code de la route et du permis poids lourds pourra être confié à des organismes privés agréés, comme La Poste. Selon le gouvernement, cet aménagement va permettre de libérer 170000 places.  À compter du 1er juin, le candidat au code paiera 30 euros. 

Hausse du carburant au profit des contribuables modestes : du bidon !

Hausse du carburant au profit des contribuables modestes : du bidon !

 

 

Officiellement la hausse du carburant doit permettre la réduction d’impôts locaux pour les plus modestes. On voit mal comment. En effet les impôts locaux dépendent des collectivités locales et non de l’Etat. En outre la tendance est plutôt à la progression sensible de ces impôts locaux compte tenu de l’état de délabrement des finances ; locales (40 départements par exemple pourrait être en faillite dès 2016 en raison notamment de la croissance du RSA mais pas seulement). La réduction des impôts locaux pour les contribuables modestes, rendue possible par la hausse de la taxation du gazole, représentera en moyenne 660 euros par foyer fiscal concerné, a pourtant  indiqué mardi le secrétaire d’Etat au Budget Christian Eckert. «C’est environ 100.000 foyers supplémentaires qui bénéficieront de cette réduction d’impôts locaux pour une valeur moyenne d’environ 660 euros par foyer fiscal», a déclaré Christian Eckert à l’Assemblée nationale, répondant à une question de la députée socialiste Christine Pirès-Beaune. Le gouvernement a annoncé la semaine dernière une hausse d’un centime par litre de la taxation du gazole dès l’an prochain, suivie d’une augmentation similaire en 2017, tandis que celle de l’essence sera réduite du même montant pendant la même période, afin de mettre fin à la «diésélisation massive» du parc automobile français. Il a par ailleurs promis que les recettes tirées de cette mesure, de 245 millions d’euros, seraient utilisées pour alléger la fiscalité locale des contribuables modestes.

Bygmalion chez Balkany: 200 000 euros pour un site internet… bidon

Bygmalion chez Balkany:  200 000 euros pour un site internet… bidon

Encore une nouvelle affaire Pygmalion, encore uen nouvelle affaire Balkany. En effet Une enquête est en cours  pour « détournement de fonds publics » pour un contrat  de 192.000 euros signé en février 2012 pour deux ans entre Pygmalion et la municipalité, au terme d’un appel d’offres lancé fin 2011 par cette riche commune des Hauts-de-Seine.  Il s’agissait pour Bygmalion de conseiller Levallois notamment sur la refonte de son site internet et sur la maquette de son magazine municipal. En découvrant l’an dernier les détails de l’affaire de fausses factures établies par Bygmalion à l’UMP, qui auraient permis de dissimuler des dépenses de campagne de Nicolas Sarkozy lors de la présidentielle de 2012, certains élus de Levallois ont cherché à clarifier les prestations fournies par la société.  Dans son courrier du 12 juin, consulté par l’AFP, Arnaud de Courson demande au procureur de « vérifier si le contrat cité repose sur une réalité de travail », ajoutant que depuis 2012, « aucune modification de la maquette du journal ou du site internet n’est intervenue ». Une plainte contre X déposée en février par l’Association des contribuables de Levallois-Perret et portant sur les mêmes faits devrait être jointe à cette procédure, selon le parquet.  Dans une note distribuée lors du conseil municipal du 23 juin, également consultée par l’AFP, la municipalité détaille les différentes études et missions d’accompagnement réalisées par Bygmalion pour attester de la réalité du travail fourni.  Elle y précise notamment que la société présentait le « meilleur rapport qualité/prix » et que ses prestations ont atteint 182.298 euros hors taxes, soit « seulement 2,6% du budget annuel de la communication de la ville » en coût annuel.   »Les relations entre Levallois-Perret et Bygmalion sont archi-transparentes et ne posent pas la moindre difficulté », a réagi Me Grégoire Lafarge, avocat de la ville, « pas informé de l’existence d’une enquête préliminaire ». En fait le site internet n’a jamais été modifié, quant au reste !

 

Loi Florange : une loi bidon de Hollande

Loi Florange : une loi bidon de Hollande

 

Montée sur une camionnette pendant la campagne électorale Hollande avait promis une loi pour sauver les entreprises menacées. C’était d’abord une promesse mensongère car malheureusement on ne peut empêcher la fermeture de tous les sites industriels. Ensuite, la fameuse loi Florange est une illusion typique de la politique du PS. En gros du Guy mollet revu à la mode Hollande, c’est à dire des mots très durs mais un contenu inexistant. En fait a fameuse loi ne fait obligation que de rechercher un repreneur, or chercher n’est pas trouver et on peut facilement faire semblant de chercher. Ensuite les sanctions ont disparues de la loi.  Certes sous la décision du conseil constitutionnel mais les nombreux énarques du PS ne pouvait pas ignorer cette faille juridique ; une hypocrisie de plus !  En février 2014, une loi dite « Florange » a en effet été adoptée par le parlement. Elle stipule que si un patron d’une entreprise de plus de 1000 salariés veut fermer un site, il a l’obligation de chercher un repreneur pendant trois mois. François Hollande semble ainsi tenir sa promesse, mais trop tard pour sauver les hauts-fourneaux de Florange, dont l’activité a été définitivement arrêtée. Autre problème, si la loi a le mérite d’exister, une censure du Conseil constitutionnel au printemps dernier l’a en grande partie édulcorée. Le conseil n’a pas voulu des sanctions financières prévues pour les entreprises qui ne cherchent pas de repreneur. Les sanctions pouvaient aller jusqu’à 28.000 euros par emploi supprimé. Sans celles-ci, la loi est largement vidée de sa substance. Une nouvelle version du texte prévoit tout de même que les entreprises qui ne cherchent pas de repreneur puissent rembourser une partie des aides publiques qu’elles ont touchées.

 

Automobiles : des consommations bidon des constructeurs

Automobiles : des consommations bidon des constructeurs

 

Un écart considérable entre la consommation communiquée par les constructeurs et la réalité, la différence peut aller jusqu’à 40%. Cela s’explique par les condtions d’utilisation de la voiture et aussi par un système d’homologation obsolète. En effet, la voiture est soumise à des tests de simulation qui ne tiennent pas compte de la situation réelle : les conditions hivernales, l’utilisation du climatiseur et des phares ou encore du GPS. En Europe, la mesure de la consommation s’effectue selon une procédure très stricte d’homologation baptisée NEDC, pour New European Driving Cycle. La voiture est placée sur un banc à rouleau où elle est soumise à des cycles simulant la circulation urbaine et extra-urbaine, afin d’établir une valeur moyenne dite mixte. La voiture parcourt ainsi 11 km durant le test, dont 4 km en ville. Le principe est d’enchaîner accélérations, décélérations et paliers de vitesse, durant environ 20 minutes.  Les raisons sont multiples. Tout d’abord, le test est effectué à une température ambiante comprise entre 20° et 30°, sans tenir compte des conditions hivernales. Ensuite, les accélérations réclamées par le cycle sont très faibles: 0 à 70 km/h en 43 s, alors que la plus poussive des voitures est capable de passer de 0 à 100 km/h en 20 s. D’autre part, la climatisation et les phares ne fonctionnent jamais durant le cycle. Dans leurs essais complets, les magazines spécialisés procèdent à des mesures précises, selon un protocole plus en phase avec la réalité. Résultat, quand Renault annonce 4 l/100 km pour une Clio 1.5 dCi 90, l’Auto Journal mesure 5,2 l/100 km, soit un écart de 23 %. Dans la vraie vie, l’allongement excessif des rapports couramment adopté pour abaisser les émissions de CO2 peut avoir des effets contraires, car il incite l’automobiliste à écraser davantage l’accélérateur dans les phases de relance. Autre réalité, plus la voiture est puissante, plus l’écart est grand, car le potentiel disponible est plus largement exploité par le client que durant le cycle.

 

Le gouvernement présente un déficit : un budget rectificatif bidon

Le gouvernement présente un déficit : un budget rectificatif bidon

 

En fait c’est un faux budget rectificatif pour éviter de se faire gronder par Bruxelles, une sorte d’arrangement avec Moscovici, nouveau commisaire européenne et Juncker, président en délicatesse avec les règles fiscales de son pays. En bref de fausses économies, notamment en matière de défense (alors qu’on dépasse actuellement toutes les prévisions) et en matière de lutte conte la fraude à la TVA (ce que de toute façon on aurait fait par exemple concernant les importations d’automobiles d’occasion). La Commission européenne n’a jusqu’à présent pas émis d’avis négatif sur le projet de Budget pour 2015, alors que Paris a unilatéralement décidé de reporter de 2015 à 2017 l’objectif de déficit à 3% du PIB.  Mais Bruxelles n’a toutefois pas encore rendu son avis définitif. Et, pour obtenir la clémence de la Commission européenne, Paris doit donner certains gages.  Le commissaire européen Pierre Moscovici l’a encore rappelé lundi. « Il s’agit d’avoir un dialogue serein, constructif, pour faire en sorte d’aboutir à des accords qui permettent d’éviter les sanctions parce que les uns et les autres ont été capables de faire des gestes », expliquait-il.  Le ministre des Finances Michel Sapin a d’ailleurs déjà livré les grandes lignes de ce « geste », le 27 octobre dernier. Concrètement, il s’agit de trouver 3,6 milliards d’euros pour faire baisser le déficit de 2015 de 0,5 point supplémentaire, via des « mesures nouvelles ». Ces 3,6 milliards d’euros ne représentent pas de nouvelles économies, mais des surplus de recettes fiscales ou des prévisions plus favorables sur l’environnement économique.  Une partie de « ces mesures nouvelles » va ainsi être incluse dans le budget rectificatif présenté ce mercredi. Parmi elles, l’exécutif a notamment décidé de rendre non déductible de l’IS (impôt sur les sociétés) plusieurs taxes, ce qui devrait rapporter 500 millions d’euros. Le gouvernement devrait aussi revoir à la hausse les recettes tirées de la lutte contre la fraude et l’évasion fiscale pour un total de 900 millions d’euros.  L’autre partie de ces mesures doit être ajoutée au projet de loi de Finances pour 2015, actuellement en cours d’examen au Parlement. Avec l’ensemble de ces éléments, la France espère ainsi « rester dans les clous », pour reprendre l’expression de Michel Sapin, et obtenir un feu vert définitif de la part de la Commission européenne. 

 

Croissance : des prévisions toujours bidon

Croissance : des prévisions toujours bidon

 

La France est coutumière du fait : faire des prévisions de croissance bidon pour justifier toutes les dépenses. C’et le cas depuis longtemps, c’est même la stratégie la plus utilisée par nos politiques. Pour équilibrer le budget avec des prévisions de croissance réaliste, il faudrait engager des réformes structurelle (ce que ne veulent pas faire ces responsables nationaux qui ne veulent pas se fâcher à avec certains électeurs). Du coup depuis trente ans d’une part les dépenses globales sont déjà excessives et par ailleurs les recettes sont bidonnées par des fausses prévisions. Exemple pour cette année  quand  L’Insee a estimé, jeudi 14 août, que la croissance française avait été nulle au deuxième trimestre, mettant un terme aux espoirs gouvernementaux de la voir atteindre 1% sur l’année. Comme depuis trois ans, les prévisions ne se sont donc pas vérifiées. Le semestre écoulé, marqué par une croissance économique nulle en France, devrait sonner le glas des prévisions annuelles du gouvernement. Ce dernier tablait en effet officiellement sur une hausse de 1% du PIB en 2014, mais Michel Sapin, le ministre des Finances, se montre désormais sceptique et évoque le chiffre de 0,5%. Depuis le début du quinquennat, comme durant le mandat précédent, les calculs gouvernementaux se sont rarement révélés justes. Le point sur trois ans de prévisions erronées.  Lors de l’élaboration de la loi de programmation des finances publiques pour les années 2009 à 2012, le gouvernement Fillon s’était montré résolument optimiste, avec une prévision de croissance de 2,5% pour 2012. Deux ans plus tard, au moment de préparer le Budget 2012, l’exécutif ne table pus que sur une augmentation du PIB de l’ordre de 1,75%. Une estimation remise en cause par Nicolas Sarkozy lui-même en novembre, qui annonce lors d’une intervention télévisée que la croissance ne devrait pas dépasser 1%.  L’ancien président français se cramponnera à ce chiffre lors de la campagne présidentielle, alors que de son côté, François Hollande évoque une croissance de 0,5%. Peu de temps après son élection, la prévision de croissance sera ramenée à 0,3% lors d’une loi de finances rectificative. Et au final, l’Insee dévoile le chiffre officiel pour l’année 2012 : 0% et le début des ennuis pour le nouvel exécutif.

 

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