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Politique: Un micro remaniement bidon…et provisoire

Politique: Un micro remaniement bidon…et provisoire

Le seul vrai changement de ce micro remaniement concerne l’éducation nationale avec la nomination du courtisan Gabriel Attal qui bien entendu ne connaît rien au problème puisque sorti comme beaucoup d’autres d’un institut d’études politiques. Pour le reste, ce sont des inconnus qui remplacent d’autres inconnus. Ou comment faire semblant de changer un gouvernement paralysé par la peur comme le président de la république. Et en attendant une rentrée qui risque d’être chaude …..et un nouveau gouvernement.

Pour remplacer Gabriel Attal, le chef de l’Etat a choisi Thomas Cazenave au budget. Le président le connaît bien : inspecteur des finances, il était directeur adjoint de cabinet d’Emmanuel Macron quand ce dernier était à Bercy. Ensuite, Thomas Cazenave est passé par la présidence de la République comme secrétaire général adjoint de l’Elysée. Sabrina Agresti-Roubache devient ministre de la Ville.
Pour le reste ce sont quelques inconnus qui remplace d’autres inconnus dans un gouvernement pléthorique. Les 3/4 ne servent d’ailleurs à rien.

Politique: Un micro remaniement bidon…et provisoire

Politique: Un micro remaniement bidon…et provisoire

Macron A longtemps hésité sur la nécessité ou pas de changer totalement le gouvernement y compris la Première ministre. Finalement il s’est résolu au statu quo et pour donner l’illusion n’a changé que quelques ministres souvent d’ailleurs bien inutiles. Ainsi il va prolonger le calvaire d’Élisabeth borne pour la pressurer jusqu’au moment où la situation sera suffisamment tendue pour nécessiter un vrai changement ; sans doute à la rentrée.

Le seul vrai changement de ce micro remaniement concerne l’éducation nationale avec la nomination du courtisan Gabriel Attal qui bien entendu ne connaît rien au problème puisque sorti comme beaucoup d’autres d’un institut d’études politiques. Pour le reste, ce sont des inconnus qui remplacent d’autres inconnus. Ou comment faire semblant de changer un gouvernement paralysé par la peur comme le président de la république. Et en attendant une rentrée qui risque d’être chaude …..et un nouveau gouvernement.

Pour remplacer Gabriel Attal, le chef de l’Etat a choisi Thomas Cazenave au budget. Le président le connaît bien : inspecteur des finances, il était directeur adjoint de cabinet d’Emmanuel Macron quand ce dernier était à Bercy. Ensuite, Thomas Cazenave est passé par la présidence de la République comme secrétaire général adjoint de l’Elysée. Sabrina Agresti-Roubache devient ministre de la Ville.
Pour le reste ce sont quelques inconnus qui remplace d’autres inconnus dans un gouvernement pléthorique. Les 3/4 ne servent d’ailleurs à rien.

Un micro remaniement bidon…et provisoire

Un micro remaniement bidon…et provisoire

Le seul vrai changement de ce micro remaniement concerne l’éducation nationale avec la nomination du courtisan Gabriel Attal qui bien entendu ne connaît rien au problème puisque sortie comme beaucoup d’autres d’un institut d’études politiques. Pour le reste, ce sont des inconnus qui remplacent d’autres inconnus. Ou comment faire semblant de changer un gouvernement paralysé par la peur comme le président de la république. Et en attendant une rentrée qui risque d’être chaude et un nouveau gouvernement.

Pour remplacer Gabriel Attal, le chef de l’Etat a choisi Thomas Cazenave au budget. Le président le connaît bien : inspecteur des finances, il était directeur adjoint de cabinet d’Emmanuel Macron quand ce dernier était à Bercy. Ensuite, Thomas Cazenave est passé par la présidence de la République comme secrétaire général adjoint de l’Elysée. Sabrina Agresti-Roubache devient ministre de la Ville.
Pour le reste ce sont quelques inconnus qui remplace d’autres inconnus dans un gouvernement pléthorique. Les 3/4 ne servent d’ailleurs à rien.

Un micro remaniement bidon

Un micro remaniement bidon

Le seul vrai changement de ce micro remaniement concerne l’éducation nationale avec la nomination du courtisan Gabriel Attal qui bien entendu ne connaît rien au problème puisque sortie comme beaucoup d’autres d’un institut d’études politiques. Pour le reste, ce sont des inconnus qui remplacent d’autres inconnus. Ou comment faire semblant de changer un gouvernement paralysé par la peur comme le président de la république.

Pour remplacer Gabriel Attal, le chef de l’Etat a choisi Thomas Cazenave au budget. Le président le connaît bien : inspecteur des finances, il était directeur adjoint de cabinet d’Emmanuel Macron quand ce dernier était à Bercy. Ensuite, Thomas Cazenave est passé par la présidence de la République comme secrétaire général adjoint de l’Elysée. Sabrina Agresti-Roubache devient ministre de la Ville.
Pour le reste ce sont quelques inconnus qui remplace d’autres inconnus dans un gouvernement pléthorique. Les 3/4 ne servent d’ailleurs à rien.

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Dette et Budget: des chiffres bidon ! d’après la Cour des comptes

Dette et Budget: des chiffres bidon ! d’après la Cour des comptes

Cette fois, le diagnostic de la Cour des Comptes est sans ambiguïté, le gouvernement a traficoté les chiffres pour minimiser l’ampleur d’un déficit qui va encore augmenter en 2023 et tutoyer les 5 % du PIB.

Les prévisions avancées par le gouvernement dans le programme de stabilité envoyé à Bruxelles sont de loin les plus élevées des prévisions disponibles estiment les magistrats. En 2023, le déficit devrait augmenter légèrement à 4,9% du PIB contre 4,7% en 2022.

Comme d’habitude, le gouvernement a surestimé les recettes fiscales et à l’inverse a minimisé la dérive des dépenses.

La Cour des comptes a dressé un tableau sombre des finances publiques dans son dernier rapport dévoilé ce jeudi 29 juin. Le déficit public pourrait s’établir à 4,9% du produit intérieur brut en 2023 contre 4,7% en 2022. En revanche, la dette pourrait continuer de fléchir passant de 114,6% en 2020 à 109,6% en 2023. ( la norme européenne est de 60%).

La dette publique de la France a dépassé pour la première fois le seuil symbolique des 3000 milliards d’euros au premier trimestre, remontant à 112,5% du produit intérieur brut (PIB), contre 111,8% à la fin décembre 2022, a indiqué ce vendredi matin l’Insee.

la dette sur PIB hexagonale dépasse la moyenne des États de la zone euro (91,6 %).

Paris affichant, malgré la réforme des retraites et les économies promises, des objectifs nettement moins ambitieux. En 2026, selon ses projections, la France serait ainsi le seul grand état européen à ne pas afficher un déficit sur PIB inférieur à 3 %.

Le traité européen de Maastricht de 1992 fixait pour les Etats une limite de dette publique à 60 % du PIB, seuil que la France a dépassé à la fin de l’année 2002, pour ne plus jamais repasser en dessous depuis. Mais, depuis la crise sanitaire, suivie de la guerre en Ukraine, cette règle, comme celle d’un déficit public inférieur à 3 % du PIB, ont été suspendues. Elles seront de nouveau d’application en 2024.

En avril, le gouvernement a présenté une trajectoire plus ambitieuse pour le rétablissement des comptes de la France, qui prévoit de ramener la dette à 108,3 % du PIB en 2027 et le déficit à 2,7 %, dans les clous européens, contre 4,7 % en 2022 et 4,9 % prévus cette année. Mais des chiffres contestés par les experts y compris de la Cour des Comptes qui considèrent ont été surestimée tandis que les dépenses ont été sous-évaluées.

Budget: des chiffres bidon ! d’après la cour des comptes

Budget: des chiffres bidon ! d’après la cour des comptes

Cette fois, le diagnostic de la Cour des Comptes est sans ambiguïté, le gouvernement a traficoté les chiffres pour minimiser l’ampleur d’un déficit qui va encore augmenter en 2023 et tutoyer les 5 % du PIB.

Les prévisions avancées par le gouvernement dans le programme de stabilité envoyé à Bruxelles sont de loin les plus élevées des prévisions disponibles estiment les magistrats. En 2023, le déficit devrait augmenter légèrement à 4,9% du PIB contre 4,7% en 2022.

Comme d’habitude, le gouvernement a surestimé les recettes fiscales et à l’inverse a minimisé la dérive des dépenses.

La Cour des comptes a dressé un tableau sombre des finances publiques dans son dernier rapport dévoilé ce jeudi 29 juin. Le déficit public pourrait s’établir à 4,9% du produit intérieur brut en 2023 contre 4,7% en 2022. En revanche, la dette pourrait continuer de fléchir passant de 114,6% en 2020 à 109,6% en 2023. ( la norme européenne est de 60%).

Politique-Nouveau Pacte financier mondial : du bidon !

Politique-Nouveau Pacte financier mondial : du bidon !

Encore un grand raout qui finira sans doute comme l’accord de Paris sur le climat avec de grands discours et finalement une situation qui se dégrade. Ce sommet international, à l’initiative d’Emmanuel Macron, se déroule jeudi et vendredi à Paris, principalement au palais Brongniart, place de la Bourse mais aussi aux sièges parisiens de l’OCDE et de l’Unesco. Il doit permettre de « construire un nouveau consensus pour un système financier international plus solidaire », selon les organisateurs. Notons d’abord qui ne manque pas d’organisations internationales pour traiter des différentes questions économiques, financières, environnementale ou plus largement sociétales. En définitive ces grandes réunions nationales servent surtout à satisfaire l’ego et la popularité de ce qu’il organise comme c’est le cas en France avec cette nouvelle réunion.Cette réunion à l’initiative de la France pose un problème a priori concernant précisément le rappeur du pays non seulement à la question environnementale mais aussi aux déséquilibres financiers français.

« Ce sommet met la question des financements enfin au cœur des débats, alors que c’est un sujet plutôt traité à la marge lors des réunions du G20 ou du G7″, note auprès de franceinfo Friederike Roder, vice-présidente de l’ONG internationale Global Citizen. Laurence Tubiana, présidente de la Fondation européenne pour le climat et architecte de l’accord de Paris de 2015, explique pour sa part que « ces discussions peuvent accélérer la mise en mouvement » autour des questions de financement.

La Première ministre de la Barbade, Mia Mottley, visage des pays du Sud dans la lutte contre le réchauffement climatique, ouvrira le sommet au côté notamment du secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres. En visite en France depuis une semaine, le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, sera également présent, comme le président brésilien, Lula, la secrétaire au Trésor américaine, Janet Yellen, ou encore le chancelier allemand, Olaf Scholz.

La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, sera également de la partie et participera à une table ronde, comme le nouveau président de la Banque mondiale et la dirigeante du Fonds monétaire international (FMI). La présence de Sultan al-Jaber, président de la prochaine COP28 à Dubaï, est également attendue et scrutée tant le futur sommet aux Emirats arabes unis (du 30 novembre au 12 décembre 2023) fait déjà polémique.

Plus de 120 ONG (parmi lesquelles Action contre la faim, Care France ou Réseau action climat) seront aussi représentées alors que de nombreux experts du climat et des questions de pauvreté interviendront. La militante écologiste suédoise Greta Thunberg doit également s’exprimer en marge du sommet.

Le sommet pour un nouveau pacte financier mondial ambitionne de repenser et de réformer le système financier mondial, un défi majeur et colossal, afin de mieux armer les Etats fragiles face au changement climatique, la pauvreté et les grandes crises. « Désormais, la bataille contre la pauvreté, la décarbonation de notre économie et la lutte pour la biodiversité sont très liées ensemble », avait affirmé Emmanuel Macron la fin avril, en référence à ce sommet, dont l’idée a germé au moment de la COP27 à Charm el-Cheikh, en novembre 2022.

Une large palette de sujets sera abordée durant ces deux jours : réformes institutionnelles, taxation, restructuration des dettes des pays pauvres, rôle du secteur privé…
Ce sommet à l’initiative d’Emmanuel Macron est toutefois accueilli avec méfiance par certains ONG prévoyant par avance que la montagne accouchera d’une souris

Politique-Nouveau Pacte financier mondial : du bidon !

Politique-Nouveau Pacte financier mondial : du bidon !

Encore un grand raout qui finira sans doute comme l’accord de Paris sur le climat avec de grands discours et finalement une situation qui se dégrade. Ce sommet international, à l’initiative d’Emmanuel Macron, se déroule jeudi et vendredi à Paris, principalement au palais Brongniart, place de la Bourse mais aussi aux sièges parisiens de l’OCDE et de l’Unesco. Il doit permettre de « construire un nouveau consensus pour un système financier international plus solidaire », selon les organisateurs. Notons d’abord qui ne manque pas d’organisations internationales pour traiter des différentes questions économiques, financières, environnementale ou plus largement sociétales. En définitive ces grandes réunions nationales servent surtout à satisfaire l’ego et la popularité de ce qu’il organise comme c’est le cas en France avec cette nouvelle réunion.Cette réunion à l’initiative de la France pose un problème a priori concernant précisément le rapport du pays non seulement à la question environnementale mais aussi aux déséquilibres financiers français.

« Ce sommet met la question des financements enfin au cœur des débats, alors que c’est un sujet plutôt traité à la marge lors des réunions du G20 ou du G7″, note auprès de franceinfo Friederike Roder, vice-présidente de l’ONG internationale Global Citizen. Laurence Tubiana, présidente de la Fondation européenne pour le climat et architecte de l’accord de Paris de 2015, explique pour sa part que « ces discussions peuvent accélérer la mise en mouvement » autour des questions de financement.

La Première ministre de la Barbade, Mia Mottley, visage des pays du Sud dans la lutte contre le réchauffement climatique, ouvrira le sommet au côté notamment du secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres. En visite en France depuis une semaine, le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, sera également présent, comme le président brésilien, Lula, la secrétaire au Trésor américaine, Janet Yellen, ou encore le chancelier allemand, Olaf Scholz.

La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, sera également de la partie et participera à une table ronde, comme le nouveau président de la Banque mondiale et la dirigeante du Fonds monétaire international (FMI). La présence de Sultan al-Jaber, président de la prochaine COP28 à Dubaï, est également attendue et scrutée tant le futur sommet aux Emirats arabes unis (du 30 novembre au 12 décembre 2023) fait déjà polémique.

Plus de 120 ONG (parmi lesquelles Action contre la faim, Care France ou Réseau action climat) seront aussi représentées alors que de nombreux experts du climat et des questions de pauvreté interviendront. La militante écologiste suédoise Greta Thunberg doit également s’exprimer en marge du sommet.

Le sommet pour un nouveau pacte financier mondial ambitionne de repenser et de réformer le système financier mondial, un défi majeur et colossal, afin de mieux armer les Etats fragiles face au changement climatique, la pauvreté et les grandes crises. « Désormais, la bataille contre la pauvreté, la décarbonation de notre économie et la lutte pour la biodiversité sont très liées ensemble », avait affirmé Emmanuel Macron la fin avril, en référence à ce sommet, dont l’idée a germé au moment de la COP27 à Charm el-Cheikh, en novembre 2022.

Une large palette de sujets sera abordée durant ces deux jours : réformes institutionnelles, taxation, restructuration des dettes des pays pauvres, rôle du secteur privé…
Ce sommet à l’initiative d’Emmanuel Macron est toutefois accueilli avec méfiance par certains ONG prévoyant par avance que la montagne accouchera d’une souris

Nouveau Pacte financier mondial : du bidon !

Nouveau Pacte financier mondial : du bidon !

Encore un grand raout qui finira sans doute comme l’accord de Paris sur le climat avec de grands discours et finalement une situation qui se dégrade. Ce sommet international, à l’initiative d’Emmanuel Macron, se déroule jeudi et vendredi à Paris, principalement au palais Brongniart, place de la Bourse mais aussi aux sièges parisiens de l’OCDE et de l’Unesco. Il doit permettre de « construire un nouveau consensus pour un système financier international plus solidaire », selon les organisateurs. Notons d’abord qui ne manque pas d’organisations internationales pour traiter des différentes questions économiques, financières, environnementale ou plus largement sociétales. En définitive ces grandes réunions nationales servent surtout à satisfaire l’ego et la popularité de ce qu’il organise comme c’est le cas en France avec cette nouvelle réunion.Cette réunion à l’initiative de la France pose un problème a priori concernant précisément le rappeur du pays non seulement à la question environnementale mais aussi aux déséquilibres financiers français.

« Ce sommet met la question des financements enfin au cœur des débats, alors que c’est un sujet plutôt traité à la marge lors des réunions du G20 ou du G7″, note auprès de franceinfo Friederike Roder, vice-présidente de l’ONG internationale Global Citizen. Laurence Tubiana, présidente de la Fondation européenne pour le climat et architecte de l’accord de Paris de 2015, explique pour sa part que « ces discussions peuvent accélérer la mise en mouvement » autour des questions de financement.

La Première ministre de la Barbade, Mia Mottley, visage des pays du Sud dans la lutte contre le réchauffement climatique, ouvrira le sommet au côté notamment du secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres. En visite en France depuis une semaine, le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, sera également présent, comme le président brésilien, Lula, la secrétaire au Trésor américaine, Janet Yellen, ou encore le chancelier allemand, Olaf Scholz.

La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, sera également de la partie et participera à une table ronde, comme le nouveau président de la Banque mondiale et la dirigeante du Fonds monétaire international (FMI). La présence de Sultan al-Jaber, président de la prochaine COP28 à Dubaï, est également attendue et scrutée tant le futur sommet aux Emirats arabes unis (du 30 novembre au 12 décembre 2023) fait déjà polémique.

Plus de 120 ONG (parmi lesquelles Action contre la faim, Care France ou Réseau action climat) seront aussi représentées alors que de nombreux experts du climat et des questions de pauvreté interviendront. La militante écologiste suédoise Greta Thunberg doit également s’exprimer en marge du sommet.

Le sommet pour un nouveau pacte financier mondial ambitionne de repenser et de réformer le système financier mondial, un défi majeur et colossal, afin de mieux armer les Etats fragiles face au changement climatique, la pauvreté et les grandes crises. « Désormais, la bataille contre la pauvreté, la décarbonation de notre économie et la lutte pour la biodiversité sont très liées ensemble », avait affirmé Emmanuel Macron la fin avril, en référence à ce sommet, dont l’idée a germé au moment de la COP27 à Charm el-Cheikh, en novembre 2022.

Une large palette de sujets sera abordée durant ces deux jours : réformes institutionnelles, taxation, restructuration des dettes des pays pauvres, rôle du secteur privé…
Ce sommet à l’initiative d’Emmanuel Macron est toutefois accueilli avec méfiance par certains ONG prévoyant par avance que la montagne accouchera d’une souris

Politique-Borne en « campagne »: un plan bidon pour la ruralité

Politique-Borne en « campagne »: un plan bidon pour la ruralité


La première ministre et comme le président de la république en campagne pour reconquérir une popularité caractérisée par une condamnation à hauteur de 70 % de la politique gouvernementale. Comme le président de la république Borne distribue des chèques . Élisabeth Borne au Figaro: «La ruralité est une chance pour notre pays, nous obtiendrons des résultats» !!! De quoi sourire quand en fait dans la réalité la priorité est en permanence donnée à l’urbanisation et à la priorité de développement des grandes métropoles. Il y a longtemps que la ruralité est privée de tout, surtout d’emplois, mais aussi de services en général et de service public en particulier. Pour résumer la plupart du temps il ne reste même pas un commerce, plus d’école, non parlons pas des pharmacies, des médecins, des gendarmeries ou des banques.

Il faut dire que parfois la ruralité s’est transformée en déserts sociaux économiques avec la complicité des cellules locaux dont beaucoup ont refusé au cours des décades précédentes toute implantation économique qui viendrait éventuellement changer le rapport de force politique en leur faveur. Presse que la plupart des petites communes ont au cours de ces dernières dizaines d’années eues l’occasion de se prononcer positivement pour un projet économique mais l’ont refusé. Au départ pour éviter que les salaires plus élevés des ouvriers ne viennent concurrencer celui des ouvriers agricoles. Ensuite parce que la clientèle des vieux devait être entretenue pour maintenir les mêmes équipes au pouvoir.

S’il devait y avoir une véritable réforme en France dans ce domaine il s’agirait d’une réforme concernant l’aménagement du territoire et la répétition plus équitable, plus efficace aussi des activités économiques et humaines. Pour Élisabeth Barnes il s’agit surtout de préoccupations politiciennes:  » Le meilleur rempart contre le RN, cela reste de porter des politiques publiques qui répondent aux attentes de nos concitoyens, particulièrement dans les territoires ruraux. Plus de 50 % des habitants de ces territoires ont voté pour Marine Le Pen à la présidentielle. Ils ont le sentiment que tout est plus compliqué pour eux – déplacements, accès enseignement supérieur pour leurs enfants, accès à l’emploi, à la santé… Je veux leur dire que la ruralité est une chance pour notre pays et que nous obtiendrons des résultats qui répondent à leurs préoccupations !!!.

Borne en « campagne »: un plan bidon pour la ruralité

Borne en « campagne »: un plan bidon pour la ruralité


La première ministre et comme le président de la république en campagne pour reconquérir une popularité caractérisée par une condamnation à hauteur de 70 % de la politique gouvernementale. Comme le président de la république Borne distribue des chèques . Élisabeth Borne au Figaro: «La ruralité est une chance pour notre pays, nous obtiendrons des résultats» !!! De quoi sourire quand en fait dans la réalité la priorité est en permanence donnée à l’urbanisation et à la priorité de développement des grandes métropoles. Il y a longtemps que la ruralité est privée de tout, surtout d’emplois, mais aussi de services en général et de service public en particulier. Pour résumer la plupart du temps il ne reste même pas un commerce, plus d’école, non parlons pas des pharmacies, des médecins, des gendarmeries ou des banques.

Il faut dire que parfois la ruralité s’est transformée en déserts sociaux économiques avec la complicité des cellules locaux dont beaucoup ont refusé au cours des décades précédentes toute implantation économique qui viendrait éventuellement changer le rapport de force politique en leur faveur. Presse que la plupart des petites communes ont au cours de ces dernières dizaines d’années eues l’occasion de se prononcer positivement pour un projet économique mais l’ont refusé. Au départ pour éviter que les salaires plus élevés des ouvriers ne viennent concurrencer celui des ouvriers agricoles. Ensuite parce que la clientèle des vieux devait être entretenue pour maintenir les mêmes équipes au pouvoir.

S’il devait y avoir une véritable réforme en France dans ce domaine il s’agirait d’une réforme concernant l’aménagement du territoire et la répétition plus équitable, plus efficace aussi des activités économiques et humaines. Pour Élisabeth Barnes il s’agit surtout de préoccupations politiciennes:  » Le meilleur rempart contre le RN, cela reste de porter des politiques publiques qui répondent aux attentes de nos concitoyens, particulièrement dans les territoires ruraux. Plus de 50 % des habitants de ces territoires ont voté pour Marine Le Pen à la présidentielle. Ils ont le sentiment que tout est plus compliqué pour eux – déplacements, accès enseignement supérieur pour leurs enfants, accès à l’emploi, à la santé… Je veux leur dire que la ruralité est une chance pour notre pays et que nous obtiendrons des résultats qui répondent à leurs préoccupations !!!.

Ruralité et Borne: Borne: un plan bidon

Ruralité et Borne: Borne: un plan bidon


Élisabeth Borne au Figaro: «La ruralité est une chance pour notre pays, nous obtiendrons des résultats» !!! De quoi sourire quand en fait dans la réalité la priorité est en permanence donnée à l’urbanisation et à la priorité de développement des grandes métropoles. Il y a longtemps que la ruralité est privée de tout, surtout d’emplois, mais aussi de services en général et de service public en particulier. Pour résumer la plupart du temps il ne reste même pas un commerce, plus d’école, non parlons pas des pharmacies, des médecins, des gendarmeries ou des banques.

Il faut dire que parfois la ruralité s’est transformée en déserts sociaux économiques avec la complicité des cellules locaux dont beaucoup ont refusé au cours des décades précédentes toute implantation économique qui viendrait éventuellement changer le rapport de force politique en leur faveur. Presse que la plupart des petites communes ont au cours de ces dernières dizaines d’années eues l’occasion de se prononcer positivement pour un projet économique mais l’ont refusé. Au départ pour éviter que les salaires plus élevés des ouvriers ne viennent concurrencer celui des ouvriers agricoles. Ensuite parce que la clientèle des vieux devait être entretenue pour maintenir les mêmes équipes au pouvoir.

S’il devait y avoir une véritable réforme en France dans ce domaine il s’agirait d’une réforme concernant l’aménagement du territoire et la répétition plus équitable, plus efficace aussi des activités économiques et humaines. Pour Élisabeth Barnes il s’agit surtout de préoccupations politiciennes:  » Le meilleur rempart contre le RN, cela reste de porter des politiques publiques qui répondent aux attentes de nos concitoyens, particulièrement dans les territoires ruraux. Plus de 50 % des habitants de ces territoires ont voté pour Marine Le Pen à la présidentielle. Ils ont le sentiment que tout est plus compliqué pour eux – déplacements, accès enseignement supérieur pour leurs enfants, accès à l’emploi, à la santé… Je veux leur dire que la ruralité est une chance pour notre pays et que nous obtiendrons des résultats qui répondent à leurs préoccupations !!!.

Borne: un plan bidon pour la ruralité

Borne: un plan bidon pour la ruralité


Élisabeth Borne au Figaro: «La ruralité est une chance pour notre pays, nous obtiendrons des résultats» !!! De quoi sourire quand en fait dans la réalité la priorité est en permanence donnée à l’urbanisation et à la priorité de développement des grandes métropoles. Il y a longtemps que la ruralité est privée de tout, surtout d’emplois, mais aussi de services en général et de service public en particulier. Pour résumer la plupart du temps il ne reste même pas un commerce, plus d’école, non parlons pas des pharmacies, des médecins, des gendarmeries ou des banques.

Il faut dire que parfois la ruralité s’est transformée en déserts sociaux économiques avec la complicité des cellules locaux dont beaucoup ont refusé au cours des décades précédentes toute implantation économique qui viendrait éventuellement changer le rapport de force politique en leur faveur. Presse que la plupart des petites communes ont au cours de ces dernières dizaines d’années eues l’occasion de se prononcer positivement pour un projet économique mais l’ont refusé. Au départ pour éviter que les salaires plus élevés des ouvriers ne viennent concurrencer celui des ouvriers agricoles. Ensuite parce que la clientèle des vieux devait être entretenue pour maintenir les mêmes équipes au pouvoir.

S’il devait y avoir une véritable réforme en France dans ce domaine il s’agirait d’une réforme concernant l’aménagement du territoire et la répétition plus équitable, plus efficace aussi des activités économiques et humaines. Pour Élisabeth Barnes il s’agit surtout de préoccupations politiciennes:  » Le meilleur rempart contre le RN, cela reste de porter des politiques publiques qui répondent aux attentes de nos concitoyens, particulièrement dans les territoires ruraux. Plus de 50 % des habitants de ces territoires ont voté pour Marine Le Pen à la présidentielle. Ils ont le sentiment que tout est plus compliqué pour eux – déplacements, accès enseignement supérieur pour leurs enfants, accès à l’emploi, à la santé… Je veux leur dire que la ruralité est une chance pour notre pays et que nous obtiendrons des résultats qui répondent à leurs préoccupations !!!.

Climat : encore un plan bidon du gouvernement pour la baisse des émissions de CO2

Climat : encore un plan bidon du gouvernement pour la baisse des émissions de CO2

Encore un nouveau plan pour la planification écologique dont le détail sera précisé lundi; en réalité ,il ne s’agit nullement d’un nouveau plan mais simplement d’un point d’étape sur l’avancement des mesures en cours. Des mesures en général assez anecdotiques. La France est en effet en retard ses objectifs. Ainsi elle a émis 408 millions de tonnes équivalents CO2 de l’an dernier loin de l’objectif de 270 millions à atteindre en 2030.( Alors que le GIEC recommande 200 millions)

Parmi les mesures qui vont être à nouveau annoncées , on va encore inciter davantage les Français à acheter des voitures électriques dont le coût est inaccessible à la grande majorité et dont l’efficacité écologique reste à démontrer.

On va encore inciter les voyageurs à utiliser les transports collectifs mais cela ne vaut que dans les très grandes métropoles. La voiture reste particulièrement dominante sur tous les autres types de trajets.

Dans l’industrie ,on va pousser à utiliser moins d’énergie et à économiser les matières premières. On parlera aussi de l’agriculture mais mezza voce pour ne pas froisser les agriculteurs; il y aura un mot sur les énergies renouvelables et surtout sur le nucléaire après le changement total de stratégie du gouvernement. Enfin l’État va inciter à rationaliser les déchets.

Autant de mesures assez partielles et qui ne sont pas à la hauteur de l’enjeu. Par ailleurs des mesures déjà en cours comme par exemple le changement de chaudière au fioul qui constitue souvent un investissement difficilement supportable pour certaines couches sociales.

Notons que de toute façon le gouvernement ne pourra pas présenter un véritable plan d’action s’appuyant sur une loi dans la mesure où il ne pourrait trouver une majorité sur cette problématique écologique globale. Selon une source à Matignon, Elisabeth Borne présentera le « plan d’actions » du gouvernement pour réduire les émissions secteur par secteur (industrie, transport, bâtiments, agriculture, énergie, déchets).

les émissions de gaz à effet de serre ont reculé seulement de 2,5% en France en 2022

Le fantôme d’un cabinet bidon pour les républicains

Le fantôme d’un cabinet bidon pour les républicains

C’est au moment où les  » Républicains » sont en pleine dégringolade dans l’opinion publique qu’Éric Ciotti sort de sa poche un cabinet fantôme. Le problème c’est que son parti ne représente plus grand-chose; le dernier sondage publié dans le JDD ne donne qu’à peine 10 % des votes aux élections européennes. Progressivement le parti écartelé entre les sirènes du Front National et la soupe de Macron se rétrécit comme peau de chagrin. Proposer un cabinet fantôme dans ces conditions touche un peu au ridicule. Notons d’ailleurs que les médias ont à peine évoqué cette initiative d’un Éric Ciotti par ailleurs contesté au sein même de son parti. Comble du surréalisme Morano fait aussi partie de ce contre-gouvernement !

Eric Ciotti a mis en place son « shadow cabinet ». Le président des Républicains a dévoilé dans le JDD, dimanche 14 mai, un « contre-gouvernement » alternatif à Emmanuel Macron pour défendre les idées du parti et bâtir un projet programmatique, une sorte de « cabinet fantôme » inspiré de la pratique anglo-saxonne. « Je souhaite que les travaux programmatiques s’organisent autour de celui qui aura été chargé de la thématique », a expliqué le chef du parti de droite.

Sous la houlette de la secrétaire générale de LR Annie Genevard, cette équipe d’une trentaine de « secrétaires nationaux » s’inscrit aussi dans l’effort de reconstruction de LR, à la fois affaibli par ses revers électoraux et devenu pivot grâce à ses quelque 60 députés pouvant apporter l’appoint à la majorité. Deux mois après la fin du psychodrame de la réforme des retraites, l’organigramme mêle toutes les tendances de LR. Mais le chef de file des frondeurs, Aurélien Pradié, limogé de son poste de numéro 2, n’y figure pas.

Le pôle régalien compte le vice-président de la région Ile-de-France Frédéric Péchenard (Intérieur), l’eurodéputée Nadine Morano (Immigration) et le sénateur François-Noël Buffet (Justice). Au pôle économique, on trouve l’expert Christian Saint-Etienne (Economie et Réindustrialisation), ainsi que les députées Véronique Louwagie (Comptes publics), Valérie Bazin-Malgras (Entreprises) et Isabelle Périgault (Formation).

La jeune garde de LR est également représentée avec les députés Julien Dive (Agriculture), Antoine Vermorel-Marques (Environnement) et Raphaël Schellenberger (Energie). Dans ce contre-cabinet quasi-paritaire (15 femmes, 17 hommes), les Droits des femmes reviennent à la conseillère de Paris Nelly Garnier et la Culture à la maire de Taverny Florence Portelli. Le député Philippe Juvin est chargé de la Santé et le sénateur Max Brisson de l’Education. Enfin, les questions relatives aux Affaires étrangères sont suivies par Michel Barnier en tant que conseiller spécial du président.

Manquerait plus qu’on sorte Sarkozy du placard comme premier ministre potentiel. Malheureusement l’intéressé a fait le choix de rejoindre le camp de Macron.

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